L’auberge de la Jamaïque
Orpheline et pauvre, Mary Yellan n’a pas d’autre ressource que de quitter le pays de son enfance pour aller vivre chez sa tante, mariée à un aubergiste, sur une côte désolée de l’Atlantique. Dès son arrivée à l’Auberge de la Jamaïque, Mary soupçonne de terrifiants mystères. Cette tante qu’elle a connue jeune et gaie n’est plus qu’une malheureuse, terrorisée par Joss, son époux, un ivrogne menaçant, qui enjoint à Mary de ne pas poser de questions sur les visiteurs de l’auberge. Auberge dans laquelle, d’ailleurs, aucun vrai voyageur ne s’est arrêté depuis longtemps… De terribles épreuves attendent la jeune fille avant qu’elle ne trouve le salut en même temps que l’amour.
Dans la grande tradition romantique des sœurs Brontë, la romancière anglaise, auteur de Rebecca, nous entraîne avec un sens prodigieux de l’ambiance et de l’intrigue au cœur d’un pays de landes et de marais battu par les tempêtes, où subsiste la sauvagerie ancestrale des pirates et des naufrageurs.
Pas après minuit
Un instituteur quadragénaire se trouve entraîné à la suite d’un couple d’Américains dans des parties de pêche qui sont loin d’être ce qu’elles paraissent. Une jeune actrice se lance dans une quête passionnée dont le dénouement la laissera à jamais désemparée.
La crique du Français
Fuyant les mondanités londoniennes, Dona St Columb, une jeune lady à la beauté fière et au caractère rebelle, s’est réfugiée au bord de la Manche dans sa résidence de Narvon. Là, elle rencontre l’homme qui saura la séduire : un pirate français du nom de Pierre Blanc. Mais l’impitoyable Lord Rockingham, qui la poursuit de ses assiduités, n’entend pas céder à un pareil rival. La chasse au Français commence, et avec elle un crescendo d’épisodes dramatiques… Ici comme dans ses meilleures œuvres – L’Auberge de la Jamaïque, Rebecca -, la grande romancière anglaise excelle à camper des personnages dont la destinée nous passionne ; elle nous entraîne jusqu’au dénouement dans un irrésistible tourbillon de romantisme et d’aventure.
Rebecca
(Reliure toile ornée de l’éditeur) – Un manoir majestueux : Manderley. Un an après sa mort, le charme noir de l’ancienne propriétaire, Rebecca de Winter, hante encore le domaine et ses habitants. La nouvelle épouse, jeune et timide, de Maxim de Winter pourra-t-elle échapper à cette ombre, à son souvenir ? Immortalisé au cinéma par Hitchcock en 1940, le chef-d’œuvre de Daphné du Maurier a fasciné plus de trente millions de lecteurs à travers le monde. Il fait aujourd’hui l’objet d’une traduction inédite qui a su restituer toute la puissance d’évocation du texte originel et en révéler la noirceur.
La chaîne d’amour
Étant enfant, Janet Coombe avait la passion des choses de la mer et ne regrettait rien tant que de ne pas être née garçon pour pouvoir courir les océans. En grandissant, cette passion lui est restée. Le mariage avec son cousin Thomas, son nouveau rôle d’épouse et de mère vont-ils changer Janet ? Ses familiers le croient et se trompent. Sa nostalgie de la vie maritime devient chaque jour plus forte et elle la transmet à son second fils Joseph. Il projette de naviguer avec elle à bord d’un voilier portant son nom et dont la figure de proue est sculptée à son image. Par-delà la mort, Janet est l’inspiratrice et le soutien de ce fils très aimé, si différent de son inquiétant cadet Philip. Leur mère morte, ce dernier mène sans bruit une vendetta secrète, que tour à tour facilite ou déjoue la destinée, contre le hardi capitaine de la Janet-Coombe.
C’est en Cornouailles, à l’époque où les voiliers étaient encore les rois des mers, que commence cette histoire d’un navire et d’un amour qui défie la mort et le temps
Rebecca
Un manoir majestueux : Manderley. Un an après sa mort, le charme noir de l’ancienne propriétaire, Rebecca de Winter, hante encore le domaine et ses habitants. La nouvelle épouse, jeune et timide, de Maxim de Winter pourra-t-elle échapper à cette ombre, à son souvenir ? Immortalisé au cinéma par Hitchcock en 1940, le chef-d’œuvre de Daphné du Maurier a fasciné plus de trente millions de lecteurs à travers le monde. Il fait aujourd’hui l’objet d’une traduction inédite qui a su restituer toute la puissance d'évocation du texte originel et en révéler la noirceur.