Une gueule. Un personnage. Une légende de l’Ouest américain, pas moins. Il s’appelle Blueberry. Mike Blueberry. Drôle de nom : en anglais, il signifie « myrtille »… Mais attention : avec son nez cabossé, sa barbe de trois jours et son caractère de cochon, Blueberry est un dur. Un coriace. Un éternel rebelle, indiscipliné, râleur et batailleur. C’est aussi l’une des figures légendaires de la bande dessinée, née dans les pages de l’hebdomadaire Pilote. Les bonnes fées de la BD se sont penchées sur son destin : ses créateurs, le scénariste Charlier et le dessinateur Giraud, sont deux signatures majeures du neuvième art. Jean-Michel Charlier, grand raconteur d’histoires et maître du récit réaliste, était l’auteur de classiques comme Buck Danny, Barbe-rouge ou Tanguy et Laverdure. Quant à Jean Giraud – qui ne signait pas encore de son pseudonyme Moebius -, il rêvait de mettre en images les paysages de l’Ouest. Quelques années plus tôt, lors d’un voyage initiatique au Mexique, il avait « passé un contrat avec le western, le désert infini et sa magie ». En octobre 1963, Blueberry monte en selle dans Fort Navajo. Il va entraîner dans ses chevauchées plusieurs générations de lecteurs. La série ne manque pas d’atouts : les scénarios impeccablement ficelés de Charlier sont magistralement servis par le trait réaliste de Giraud, dont la puissance s’affirme au fil des albums. Le personnage de Blueberry, lui, va gagner en épaisseur et en humanité. Jusqu’à devenir un homme traqué, brisé, accusé de meurtre et trouvant refuge au sein des tribus indiennes, bien loin de l’imagerie traditionnelle de l’histoire du western. En 1989, Charlier disparaît. Giraud décide alors de poursuivre seul la série.
Bob Morane 03 – Le mystère de la Zone Z
Bob Morane symbolise le héros de BD parfait ! Rusé, costaud, aimant le risque, prêt à lutter contre le mal, ce célibrissime agent des services secrets envoie tout valdinguer sur son passage en compagnie de Bill Balentine, son inséparable compagnon d’aventure.
Courts métrages
Courts métrages est un album oneshot de Michel Blanc-Dumont, Serge Le Tendre, Laurence Harlé et Claude Gemignani, paru en 1985. Selon Bande Dessinée Info, il possède 2 éditions, dont la principale est éditée par Dargaud en 1985.
En matière de western, Blueberry constitue la référence absolue. C’est en 1963 qu’est créé ce personnage pour PILOTE par Charlier et Giraud. Ils campent au départ un solide soldat qui s’affiche comme le sosie de Belmondo. La ressemblance s’estompe au fil des épisodes. Blueberry est une forte tête : teigneux, pas toujours respectueux de la rigueur militaire, indiscipliné, il n’hésite pas parfois à déserter pour remplir au mieux ses missions.
Barbe-Rouge, alias le » Démon des Caraïbes « , est bien sûr le fameux pirate (imaginé par Charlier & Hubinon) qui écumera toutes les mers du globe à bord de son célèbre Faucon noir. Larguez les amarres !
Les têtes de Barbe-Rouge et d’Eric ont été mises à prix. Les Espagnols veulent débarrasser de la mer des caraïbes de son légendaire Démon et de son fils adoptif. Les moyens mis en oeuvre pour y parvenir sont tellement démesurés que la situation finit par être désespérée pour nos héros. Même avec l’aide de Baba et de Triple-Patte, il devient impossible de résister à un tel assaut. Surtout lorsqu’un autre pirate, Stark le Noir, l’ennemi juré de Barbe-Rouge, vient se mêler à la meute, afin de s’emparer d’un fabuleux trésor…
Le siège de la Martinique par les Anglais se poursuit. La seule solution serait de convaincre Barbe-Rouge de venir avec ses navires pour balayer l’Anglais. Un pardon royal lui serait alors accordé pour toutes ses fautes passées.
Oui, mais comment le contacter ? Eric doit donc reprendre la barre, tenter de forcer le blocus, semer ses poursuivants et enfin persuader son père.
Mission délicate, sinon impossible.
Enfin le troisième et dernier volume (très attendu) de la trilogie Marshal… Heaven, la ville frontière, ne connaît plus de répit depuis l’arrivée du nouveau représentant de la loi. Ce dernier a décidé de mener la vie dure aux trafiquants qui l’avaient laissé pour mort à la fin de l’épisode précédent. Mais on ne se débarrasse pas comme ça de Mike S. Blueberry….
Grâce à un excellent subterfuge, Eric s’est rendu maître du « Faucon Noir » après l’avoir repris à l’ignoble Morales, auteur de l’infâme trahison envers son père Barbe-Rouge.
Fort de ses retrouvailles avec l’ancien brick, il prend la décision de se lancer sur les traces du trésor que son père, avant de disparaître, a découvert lors de sa rencontre avec le spectre de Morgan Tête Rouge.
A ce titre, grâce au plan établi laconiquement par ce dernier et à ses indications énigmatiques, il prend la direction du Cap Horn à la recherche de l’île de l’homme mort.
Mais la quête va se révéler plus ardue que prévue, car Morales est du genre têtu et les éléments naturels peu favorables. De plus, est-ce que l’île en question existe réellement et qu’en est-il aussi de ce trésor ?
Condamné aux galères pour un crime qu’il n’a pas commis, Eric embarque à bord de l’Océane, navire militaire fraîchement émoulu et retrouve inopinément son petit acolyte de la « Railleuse » et son complice Baba. Alors qu’il commence à prendre ses marques, Eric se voit par obligation pénale de participer à une course-poursuite lancée à l’encontre d’un corsaire barbaresque, Omar-El-Hadj. C’est à la suite d’une échauffourée qui tourne à l’avantage du poursuivi que le galérien, profitant de la confusion à bord, décide de se mutiner et de prendre le commandement du navire. Mais la partie n’est pas pour autant terminée, car la pression barbaresque est de plus en plus forte. Jouant le tout pour le tout, une contre-attaque aux aboutissements incertains est alors organisée.
Entre 1959 et 1971, les lecteurs de Pilote se sont passionnés pour Barbe Rouge qui est devenu aujourd’hui un classique de la BD.Les aventures du plus sanguinaire des pirates des Caraïbes reconstituées dans l’ordre de leur création.
Entre 1959 et 1971, les lecteurs de Pilote se sont passionnés pour barbe rouge qui est devenu aujourd’hui un classique de la BD.Les aventures du plus sanguinaire des pirates des Caraïbes reconstituées dans l’ordre de leur création.
Entre 1959 et 1971, les lecteurs de Pilote se sont passionnés pour Barbe Rouge qui est devenu aujourd’hui un classique de la BD.Les aventures du plus sanguinaire des pirates des Caraïbes reconstituées dans l’ordre de leur création.
Emprisonné dans la forteresse de Mantoue, Eric doit être exécuté sur ordre du baron Spada.
Barbe-Rouge – Raid sur la corne d’or
Le « Faucon Noir » de Barbe-Rouge croise à l’embouchure du goulet des Dardanelles. Il espère ainsi intercepter le « Bahadour », lequel emmène à son bord Caroline de Muratore, une captive offerte en présent par le dey d’Alger au sultan. Au courant de ce projet Khaïr Reis, amiral algérois, a prévenu le sultan. Il vogue à la rencontre du Bahadour. Celui-ci, pourtant, est intercepté par Barbe-Rouge. Mais Caroline, la veille, a été transférée sur la felouque de Kaïr. Barbe-Rouge et son équipage se déguisent en Turcs …
Jules, gentil ado sans problèmes (excepté un petit frère qui veut lui trucider son cochon d’Inde), est sélectionné par l’Agence Spatiale Mondiale pour faire partie de la première expédition vers Alpha du Centaure. Le voyage va durer huit semaines pour eux, et huit ans en temps terrestre-à cause de la relativité…Le voilà donc embarqué avec son cochon d’Inde (clandestin) et les membres de la glorieuse équipe : deux farfelus qui collectionnent sept prix Nobel ; une petite copine de chambre assez énervée au début mais ca s’arrange ; un commandant de vaisseau qui, entre une cuite et une déprime, foire ses atterrissages et met en péril la paix galaxique ; et une jolie exobiologiste qui étudiera la vie extraterrestre dés qu’ils l’auront trouvée… Et en effet, ils la trouvent. D’abord sous forme de bestioles – des boules vertes qui sautent partout en hurlant toooooiiiinn – avec lesquelles le cochon d’Inde va se reproduire comme un lapin. Puis sous forme de créatures charmantes et décontractées qui ont atteint un niveau de civilisation trés pointu sans en faire un plat. On appréciait déjà Bravo dans Aleksis Strogonov, mais cette série de SF loufoque lui va comme un gant. L’aventure rebondit bien et tout est drôle : les personnages, le langage et le dessin – une ligne claire pas trop claire (sans le coté bidon qu’elle prend parfois), avec un petit air Pim, Pam, Poum et Pieds Nickelés tout à fait pimpant. Prépubliée dans Okapi, cette nouvelle série s’adresse en principe aux jeunes, mais les moins jeunes auraient tout intérêt à s’y plonger.
Tome 17 – XIII – L’or de maximilien
Qui est XIII ? Quel nom se cache sous ce numéro ? Depuis 1984 (vingt et un ans de suspense !), des millions de lecteurs tenus en haleine parviennent enfin à la veille du dénouement… Course au trésor et dernières tentatives du sinistre Giordino : Van Hamme dénoue avec habileté les derniers nœuds de son intrigue. Qui est donc XIII ? La fin de l’énigme est proche… Toujours pourchassés par la justice américaine, XIII et ses amis ont trouvé refuge au Mexique, où ils s’abritent dans une auberge isolée sur la côte pacifique. Là, le trésor revient à l’ordre du jour. Ils ont en effet récupéré les trois montres et disposent à présent du message complet. Crypté et incompréhensible, bien sûr. Heureusement, une intuition géniale leur fait comprendre que le texte, rédigé par des émigrants irlandais, est rédigé en gaélique. Ils se le font traduire et trouvent ainsi la localisation du trésor. Le découvriront-ils ? La réponse est oui. Mais…
Tome 14 – XIII – Secret défense
Le héros culte de la BD est de retour dans une aventure toujours plus angoissante. Est-il vraiment Kelly Brian, ce terroriste de l’IRA, que traque la CIA ? vance et Van Hamme ont encore réalisé un chef-d’oeuvre, une chasse à l’homme meurtrière qui réécrit l’histoire la plus sombre d’un XXème siècle finissant.
Mathieu Sapin rencontre Gérard Depardieu en 2012. Il l’accompagne en Azerbaïdjan à l’occasion du tournage, pour Arte, d’un documentaire sur les traces d’Alexandre Dumas. Une relation unique se noue entre les deux artistes. Dès lors, Gérard Depardieu va inviter Mathieu Sapin à partager son univers, ses pensées (philosophiques ou triviales), ses coups de gueule, que ce soit lors de tournages, au Portugal ou aux quatre coins de l’Europe, d’un voyage exceptionnel en Russie ou, tout simplement, d’un repas dans la cuisine de son hôtel particulier parisien.
Bob Morane 27 – L’empereur de Macao
Victime d’une agression dans les bas-fonds de Hong-Kong, un inspecteur de police charge Bob Morane d’achever son enquête: il s’agit de démasquer le puissant Empereur de Macao dont personne ne connaît le visage, mais qui commande un vaste réseau de contrebande d’armes et d’or.
Rubrique-à-brac – Tome 6
Chez Gotlib, l’humour est une affaire très sérieuse. Et si possible à traiter sous tous ses aspects… Les hilarantes Rubriques-à-brac, la bible de l’humour, en sont les exemples les plus démonstratifs, sans oublier Les Dingodossiers, Les Trucs-en-vrac, Les Cinemastock, etc. Attention : la lecture assidue de ces albums peut provoquer des crises de fous rires aiguës. On vous aura prévenu.
Tranches de Vie (tomes 1 à 4)
Bande dessinée pour adulte – Un peu fortement français dans les allusions avec vulgarités et tableaux de mœurs décadentes.
Ramiro est le nom d’un personnage et d’une série de bande dessinée, créée en 1974 par le dessinateur William Vance, sur un scénario de Jacques Stoquart. Jeune espagnol du xiiie siècle, Ramiro est chargé de plusieurs missions par le roi Alphonse VIII. Ses aventures paraissent de 1974 à 1989. – Fils bâtard du roi de Castille, Ramiro se voit confier par son père des missions délicates. Après avoir escorté un couple de pèlerins jusqu’à St Jacques de Compostelle, il est chargé de récupérer un fabuleux trésor hérité des Wisigoths et plusieurs fois sauvé de la convoitise de l’occupant maure. Le courageux jeune homme est accompagné d’un écuyer, Jos, qu’il entraîne dans de longues chevauchées à travers l’Espagne du roi Alphonse VIII. Chaque album est complété d’un important dossier iconographique d’ouverture permettant une approche plus pédagogique de l’histoire. Le passé historique de ce pays permet à Vance d’exprimer tout l’amour qu’il porte à l’Espagne. Les couleurs sont par ailleurs réalisées par sa femme, Petra.
Ramiro est le nom d’un personnage et d’une série de bande dessinée, créée en 1974 par le dessinateur William Vance, sur un scénario de Jacques Stoquart. Jeune espagnol du xiiie siècle, Ramiro est chargé de plusieurs missions par le roi Alphonse VIII. Ses aventures paraissent de 1974 à 1989. – Les paysages et les décors dessinés par Vance, sont d’une rare beauté. Une série à la portée historique enrichie d’une partie documentaire.
Les plaines sauvages du Wyoming, à la fin du dix-neuvième siècle. Redoutable expert de la gâchette, le cavalier solitaire Durango promène sa silhouette nonchalante de villes-champignons en postes frontières, a la poursuite de hors-la-loi. Muni de son célèbre automatique Mauser, celui que l’on surnomme » Le Pacificateur » n’hésite jamais à contourner la loi pour servir sa propre justice. Quand la poudre parle, la neige et la poussière se teintent de sang.
Bob Morane 35 – La guerre des baleines
Aux Terres de la Déception, « I’International Food Organisation » a entrepris l’élevage des cétacés afin de constituer des réserves de viande, en prévision des besoins d’une population mondiale sans cesse croissante.
Quelle organisation subversive peut avoir intérêt à ruiner cette oeuvre humanitaire ?
C’est ce que Bob Morane va essayer de découvrir…à ses risques et périls.
Les aventures d’Orion -1- Le lac sacré
Jacques Martin, né le 22 juin 1933 à Lyon (Rhône) et mort le 14 septembre 2007 à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), est un comédien, animateur de radio et de télévision, chanteur, humoriste, imitateur, réalisateur et producteur de télévision français. Après avoir débuté par le théâtre en 1949, il a produit et animé entre les années 1970 et 1990 de nombreuses émissions de divertissement comme Le Petit Rapporteur, L’École des fans ou Dimanche Martin.
Avec ce 6e tome, George R.R. Martin et Tommy Patterson poursuivent leur adaptation en BD de A Game of Thrones (Le Trône de fer), le plus grand succès de la fantasy depuis ces quinze dernières années, un monde fait de magie et de monstres légendaires. Après la série télé, voici l’adaptation en bande dessinée du plus grand succès de la fantasy depuis ces quinze dernières années ! Sur le continent de Westeros, dans un monde médiéval où la magie et les créatures légendaires auraient disparu, trois familles – les Baratheon, les Stark et les Targaryen – s’engagent dans une lutte sans merci pour le trône. Pendant ce temps, dans la province du Nord, des signes annoncent l’arrivée de l’hiver tant redouté. Pire, il semble que des monstres oubliés ressurgissent. 6e et dernier volet de A Game of Thrones ; une série de medieval fantasy qui fait la part belle à la magie.
Bob Morane symbolise le héros de BD parfait ! Rusé, costaud, aimant le risque, prêt à lutter contre le mal, ce célibrissime agent des services secrets envoie tout valdinguer sur son passage en compagnie de Bill Balentine, son inséparable compagnon d’aventure.
Bob Morane 40 – Snake
Des serpents exotiques envahissent Bruxelles et provoquent de multiples accidents. Ces derniers temps, des avertissements, sous forme de graffitis, étaient apparus sur les murs de la ville et la rencontre d’une mystérieuse Haïtienne portant un serpent autour du cou fait penser à Bob Morane que ces serpents ont été introduits volontairement dans le pays. Mais qui peut bien avoir intérêt à semer la panique dans la capitale belge ?
Bob Morane 36 – Le réveil du Mamantou
En route pour réaliser un reportage sur les rives du Léna en Sibérie, Bob Morane ressort indemne du crash en pleine Taïga de l’avion que pilotait le capitaine Sobiensky. Ce dernier étant blessé, Bob n’a d’autre solution que d’aller chercher du secours. Relevant des empreintes énormes autour de l’avion et tout le long de son chemin, il apprend de la bouche d’un autochtone que c’est le Mamantu, légende ancestrale, qui s’est réveillé. Après avoir trouvé un refuge pour le blessé, Bob poursuit son chemin en direction du poste militaire le plus proche. A la nuit tombante, dans un défilé, des bruits démesurés et inquiétants font craindre que le journaliste est poursuivi par le Mamantu. Lors d’un clair de lune, ce dernier enfin apparaît dévoilant sa gigantesque stature cauchemardesque.
Le colonel Graigh de la patrouille du temps apprend à Bob Morane que leur éternel ennemi Ming alias l’Ombre Jaune est réapparu en l’an 3323 pour récupérer une rose spéciale habitée par le strenght, un être galactique qui a le pouvoir de décupler sa puissance. Toutefois, cette fleur a été détournée par une tierce personne qui l’a matérialisée en 1317 en Avignon. Ming s’est transporté à cette époque et il n’y a que les deux agents extraordinaires qui puissent empêcher Ming d’atteindre son but ; surtout que Sophia Paramount, la journaliste, a déjà accepté la mission et se trouve déjà sur les lieux à ladite époque.
« Si vous désirez chasser le dinosaure, rendez-vous de toute urgence, sans en faire part à personne, à telle adresse…. » Une telle phrase ferait bondir n’importe quel chasseur de fauves, surtout s’il s’appelle Frank Reeves… Mais un soir, une jeune femme éplorée vient supplier Bob Morane de voler au secours de Frank, disparu sans laisser de traces…
Bob Morane symbolise le héros de BD parfait ! Rusé, costaud, aimant le risque, prêt à lutter contre le mal, ce célibrissime agent des services secrets envoie tout valdinguer sur son passage en compagnie de Bill Balentine, son inséparable compagnon d’aventure.
Bob Morane 31 – Service secret soucoupes
Le mystère des « soucoupes volantes » demeure entier, et de fantomatiques services de renseignements tentent, à l’écart de toute publicité, de percer le secret des énigmatiques engins volants. Bob Morane et Bill Balantine se trouveront mêlés à ces enquêtes. Réussiront-ils là où tant d’autres ont échoué ? Une lutte farouche s’engage dans l’ombre, dont ne sortiront, peut-être, ni vainqueurs, ni vaincus…
Bob Morane 28 – Opération Wolf
Une ville-fantôme de l’Ouest américain, une base spatiale, et une aventure à mi-chemin entre le western et l’espionnage : un régal pour les amateurs dé Bob Morane…
Bob Morane 41 – Le tigre des lagunes
La région située à l’est du rio Ucayali, à la frontière du Pérou et du Brésil, est l’une des plus secrètes et des plus dangereuses du monde.
Cette contrée de marécages et de forêts impénétrables est hantée par les indiens Bravos et leur redoutable chef blanc…
C’est dans ce monde interdit que Bob Morane se verra entraîné par une mère éplorée, à la recherche de sa fille…
Bob Morane 47 – L’Arbre de l’Eden
Le professeur Aristide a recueilli d’un vieil ami mourant un secret millénaire : l’emplacement de l’arbre de vie. Cet ami tenait lui-même ce secret de Josi Litvin, mort en 1945 à Auschwitz. Cette découverte le mène dans l’himalaya. Mais il est attaqué par des sbires de l’ordre noir, organisation para militaire et néo-nazi. Il dépêche un de ses guides demander de l’aide au fameux commandant Morane. Dans les montagnes enneigées, Bob Bill et Sonia devront échapper aux pièges des brutes fascistes et venir en aide à une bien étrange communauté, aux gardes du corps étonnants…
Bob Morane 49 – Alias M.D.O.
Les clients de l’hôtel Ylang-Ylang, enlevés par le – Smog, ont été libérés. L’agent secret M.D.O. est tué, mais Bob Morane sent le coup fourré. Miss YlangYlang et l’Homme aux Dents d’Or n’en sont pas à leur coup d’essai. La C.I.A. non plus.
Aidés par la Pieuvre des Philippines et sa fille Jean, Bob Morane et Bill Ballantine réussiront à dénouer le nœud de vipères.
Bob Morane 50 – L’anneau de Salomon
Un doigt coupé, un anneau magique d’une valeur archéologique inestimable, le tombeau du grand Roi des Hébreux. En Israël, Bob Morane et ses compagnons sont entraînés dans une course à la mort, de cités en ruine en déserts.
Bob Morane 54 – Yang = Yin
Ce soir-là, Bob Morane n’aurait peut-être pas dû se rendre dans l’humble boutique de Monsieur Weï, antiquaire dans le Chinatown de San Francisco. Mais à l’idée d’acquérir un authentique bronze « Kouei », Morane est prêt à supporter la pluie battante qui s’abat sur la vieille ville. Ce qu’il ne sait pas encore, c’est qu’il va trouver Monsieur Weï en fâcheuse posture. Et qu’il va devoir affronter, en plus de la pluie, une horde de hatched men, munis de haches et de fort mauvaises intentions… Les années passent mais semblent n’avoir aucune prise sur ce bon vieux Robert Morane – Bob, pour les intimes. Là, il va faire connaissance avec la Grande Triade. Une société secrète qui ne détesterait pas s’emparer du pouvoir en Chine. Mais les services occidentaux veillent au grain. Et si Morane s’en mêle, alors là… De l’action, de l’aventure et encore de l’action : la recette est éprouvée. Et efficace : le héros créé par Henri Vernes traverse les années et les ennuis avec la même élégance décontractée… –Gilbert Jacques
Bob Morane 56 – L’œil de l’iguanodon
Qui n’a jamais dévoré avec plaisir un Tintin, un Maigret, ou un Bob Morane ?
Voici l’occasion, pour les amateurs ou les profanes, pour les aînés et les plus jeunes, de se plonger ou de se replonger — pour la première fois en édition de librairie — dans les aventures de Bob Morane et de la troublante Miss Ylang-Ylang qui, depuis des décennies, ont contribué à marquer notre imaginaire littéraire.
Henri Vernes nous entraîne cette fois dans une folle équipée à travers la capitale de l’Europe, du Parc Léopold et son Muséum des Sciences naturelles à la Place Royale, en passant par ses sous-terrains millénaires. On se laissera envoûter par le parfum de la sensuelle Eurasienne Miss Ylang-Ylang — qui aidera Bob Morane à sauver la ravissante Nathalie des griffes de l’ « Homme aux Dents d’Or », à la solde du milliardaire et collectionneur de Las Vegas, Howard Heyst.
H. H. parviendra-t-il à « se faire » la peau de l’iguanodon récemment découverte près de Bernissart en Belgique, transportée pour expertise au Muséum des Sciences naturelles ? Et cela au moment où Bob Morane vient passer les fêtes du millénaire à Bruxelles, chez son ami le paléontologue Stéphane van Croës, sa femme Marianne et leur fille Nathalie.
A travers une aventure haletante et fantastique, qui nous fait voir Bruxelles autrement, Henri Vernes nous prouve plus que jamais qu’il « iguanodons » du suspens.
Bob Morane 57 – Les déserts d’amazonie
La forêt amazonienne brûle. Détruite systématiquement pour l’enrichissement des grandes sociétés minières internationales, des pétroliers, des fabricants de hamburgers, elle ne sera plus bientôt, si l’on continue, qu’un désert. Un désert rouge disent certains. C’est dans ce désert du futur, hanté par des hordes barbares, que Bob Morane et ses amis sont transportés…
Projeté dans les méandres du temps, Bob Morane a assisté, presque impuissant, aux massacres perpétrés à Nankin par l’armée japonaise en… 1937 ! De son côté, Sophia Paramount a atterri à Pearl Harbor et Bill Ballantine est parti à la recherche de son commandant. C’est que la Patrouille du Temps espérait bien les inciter à empêcher la Guerre du Pacifique. Mais un vrai héros ne se laisse pas dicter sa conduite ! En revanche, pas question de repartir en laissant un ami derrière soi, surtout pas un impétueux Ecossais.
Alors que Bob Morane qui s’ennuie ferme à Paris se décide de partir, au hasard, pour Manille et le Vietnam, Renée de Saint-Cyr, vient lui demander d’aller à la recherche de sa soeur Patricia, disparue en reportage au Vietnam, après être passée par Manille d’où elle a envoyé une carte postale.
Seuls indices, deux passages à Manille et un rendez-vous avec une certaine madame Cooper. Bill Ballantine étant retenu en Australie, Bob part seul. ….
Ressusciter des hommes mis en hibernation pour en faire des guerriers fanatisés ? L’Ombre Jaune ne se refuse rien. Et, pour Bob Morane, ce combat se revèlera vite… être une aventure au-delà du possible.
Mac Coy – La mort blanche
Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres. Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.
Mac Coy – Wanted
Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres. Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.