Brunetti passe à table
Découvrez l’authentique cuisine familiale italienne avec le commissaire Brunetti, héros des romans policiers de Donna Leon, et aussi fin limier que bonne fourchette. Introduites par des textes inédits de Donna Leon, près de 100 recettes nous offrent un voyage singulier au cœur de la Sérénissme, parmi les parfums et les saveurs de la gastronomie vénitienne : Fagottini aux crevettes Crostini aux aubergines Spaghetti all’amatriciana Lasagne aux cœurs d’artichaut et proscuitto Côtelettes d’agneau al pomodoro Zucchini à la ricotta Gâteau pommes, citron, oranges au Grand Marnier Gâteau aux poires et crème pâtissière « Je n’aurais jamais imaginé que j’écrirais un jour un livre de cuisine. Toutefois, après mon quatrième opus des aventures du commissaire Brunetti, les lecteurs ont commencé à commenter ce qui était, à leurs yeux, la présence insistante de la nourriture et des repas dans ces livres. La famille Brunetti, ou Brunetti seul ou en compagnie de collègues et d’amis, font des repas qui frappent beaucoup de lecteurs comme étant exceptionnels en termes de qualité, de complexité ou simplement de longueur.[…]Certes, ni tous les Vénitiens ni tous les Italiens ne mangent ainsi tout le temps. Mais je crois pouvoir dire sans me tromper que presque tous ont été élevés dans cette culture de la nourriture et qu’ils considèrent ces longs repas sensuels comme une manière normale de traiter les aliments. Et non seulement les Vénitiens voient les choses ainsi : nous autres, étrangers qui vivons ici, du moins depuis assez longtemps, en sommes venus à voir le fait de se nourrir comme un élément normal de la vie quotidienne, digne d’attention mais pas tellement de commentaires. »
Deux veuves pour un testament
Le corps d’une vieille femme est retrouvé sans vie. Pour le médecin légiste, Constanza Altavilla a été terrassée par une crise cardiaque et sa tête a heurté dans sa chute le radiateur. Cependant, en interrogeant ses proches et notamment son fils et la responsable de la maison de retraite où Constanza se rendait bénévolement, le commissaire Brunetti est sûr qu’il s’agit d’un meurtre.
De sang et d’ébène
Venise, un soir d’hiver. Un vendeur à la sauvette africain est assassiné au beau milieu de Campo San Stefano. Un groupe de touristes américains était sur la place, marchandant des contrefaçons de sacs de marque, mais personne n’a rien vu qui puisse aider la police. Le commissaire Brunetti est chargé de l’enquête et il a du mal à comprendre les raisons d’un tel crime : les immigrants sans-papiers vivent repliés sur eux-mêmes dans des squats insalubres, sans contact extérieur… Cela ressemble fort à un règlement de comptes au sein de la communauté et sa hiérarchie lui conseille de laisser tomber ses investigations. Mais Brunetti veut en avoir le cœur net. Il fouille les quelques affaires de la victime et dans une petite boîte, il retrouve des diamants bruts dissimulés dans du sel… Qui était réellement cet immigrant ? Et comment s’est-il retrouvé en possession d’un tel trésor ? Et pourquoi cherche-t-on à décourager le commissaire dans son enquête ? « Magnifiquement ciselé, ce polar vénitien frôle la perfection. » Le Nouvel Observateur (à propos de Mortes-eaux). « Les saveurs vénitiennes de Donna Leon constituent un régal aussi dépaysant que délétère. » Madame Figaro. « Avec cet art bien à elle, tout en subtilité, de laisser affleurer dans les dialogues un ton de comédie amère, […] ». Le Parisien
Entre deux eaux
Venise en hiver. Brett Lynch, archéologue de renommée internationale, est de retour dans la cité lagunaire. Elle vient s’expliquer avec le dottor Semenzato avec qui elle a organisé une exposition de céramiques chinoises. Brett le soupçonne d’avoir remplacé trois pièces par des faux. À la veille de leur rencontre, elle est victime d’une agression. Quand elle sort de l’hôpital, Semenzato est assassiné.
Le cantine des innocents
Des carabiniers agressent un pédiatre en pleine nuit pour lui enlever son fils de dix-huit mois. Venise est sous le choc. Puis les langues se délient : certains crient au scandale, d’autres soupçonnent la découverte d’un réseau de trafic d’enfants. Un vent de délation envahit la lagune … Le commissaire Brunetti a bien du mal à distinguer les coupables des innocents.
La femme au masque de chair
Un soir que la neige tombe sur la Sérénissime, une femme blonde juchée sur des hauts talons et enveloppée dans un manteau de fourrure croise la route de notre cher commissaire Guido Brunetti. Elle s’appelle Franca Marinella, s’est fait remodeler le visage par un chirurgien peu adroit, cite Cicéron ou Virgile par cœur, et Brunetti est instantanément subjugué par cet étrange alliage d’intelligence, de culture et de beauté altérée par l’inconscience – comme sa Venise, décidément ! Qu’on songe à la pollution déversée dans les canaux, à ce complexe chimique géant installé aux abords de sa ville ! Aux ordures qui jonchent les rues de tout le pays, aux incinérateurs qui explosent dans tout le sud de l’Italie, à la Camorra qui s’enrichit de l’élimination des déchets ! Et Brunetti de se transformer en expert de l’environnement pour élucider le meurtre d’un routier…
Le garçon qui ne parlait pas
Tandis que les feuilles d’automne commencent à tomber, le vice questeur Patta demande à Brunetti d’enquêter sur une petite infraction commise par la future bru du maire. Le commissaire Brunetti n’a guère envie d’aider son patron à récolter les faveurs politiques, mais il est bien obligé de s’incliner. Puis c’est au tour de sa femme, Paola, de lui présenter une requête. L’handicapé mental employé par leur pressing vient de mourir d’une overdose de somnifères, et Paola ne peut pas supporter l’idée que dans la vie comme dans la mort, personne ne l’ait remarqué ni aidé. Brunetti se met au travail mais, à sa grande surprise, il ne découvre rien sur cet homme : pas d’acte de naissance, pas de passeport, pas de permis de conduire, pas de carte de crédit. Pour l’administration italienne, il n’a jamais existé. Plus étrange encore, sa mère refuse de parler à la police et assure au commissaire que les papiers d’identité de son fils ont été volés lors d’un cambriolage. Au fil des révélations, Brunetti commence à soupçonner les Lembo, des aristocrates, d’être mêlés à cette mort mystérieuse. Mais qui a bien pu vouloir tuer ce malheureux simple d’esprit ?
The Golden Egg
En Anglais – In The Golden Egg, as the first leaves of autumn begin to fall, Vice Questore Patta asks Brunetti to look into a minor shop-keeping violation committed by the mayor's future daughter-in-law. Brunetti has no interest in helping his boss amass political favors, but he has little choice but to comply. Then Brunetti's wife, Paola, comes to him with a request of her own. The mentally handicapped man who worked at their dry cleaner has just died of a sleeping pill overdose, and Paola loathes the idea that he lived and died without anyone noticing him, or helping him.Brunetti begins to investigate the death and is surprised when he finds nothing on the man: no birth certificate, no passport, no driver's license, no credit cards. As far as the Italian government is concerned, he never existed. Stranger still, the dead man's mother refuses to speak to the police, and assures Brunetti that her son's identification papers were stolen in a burglary.