Barbara une si belle histoire
Le 24 novembre 1997, à seize heures dix, Barbara s’endormait pour la dernière fois. Trois générations de fervents perdaient ce jour-là une mère, une soeur, une amie, et on a peine à imaginer la force du lien qui unissait la chanteuse à son public.
L’homme tranquille
Vieille édition de 1953 – Après le traité de 1921, les fusils des républicains irlandais et des troupes britanniques se sont tus. Mais la trêve des armes n’est pas celle des sentiments. Dans l’arrière-pays montagneux du sud-ouest de l’Irlande, sur les rives d’une rivière poissonneuse, à la lisière de forêts denses, couve une guerre sans drapeaux ni slogans. Celle que se livrent les héros d’hier, des hommes et des femmes qui ont trop longtemps sacrifié leurs émotions à la cause. Ils se retrouvent à la ferme de Sean, entre frères d’armes, espérant comprendre quelles furent leurs erreurs d’antan. Ils sont tous revenus à Leaccabuie, à l’exception de Nuala, dont le destin tragique hante tous les esprits. Célèbre film de John Ford avec John Wayne et Maureen O’Hara, L’Homme tranquille est avant tout un formidable roman.
Les 186 marches (Mauthausen)
Christian Bernadac, né le 1er août 1937 à Tarascon (aujourd’hui Tarascon-sur-Ariège) et mort le 12 décembre 2003 à Compiègne1, est un journaliste et écrivain français. Ses ouvrages sur la déportation ont connu un succès public considérable dans les années 1960-1970.
Forteresse moyenâgeuse de granite et de béton sur-plombant le Danube, encerclée d’un infranchissable réseau électrifié de barbelés, le camp de Mauthausen, aux 150 000 morts, fut pendant des années le calvaire quotidien de plusieurs milliers de détenus.
Mauthausen, c’est avant tout « Les 186 Marches », « Le Grand Escalier » qu’il faut gravir, chargé de pierres, dans la bousculade du pas de course, sous les coups de crosse ou du gummi, tous les jours par tous les temps, avec sa faim, avec sa soif, avec sa peur, que l’on soit trop jeune ou trop vieux, agonisant ou convalescent. Mais Mauthausen, camp d’extermination par le travail, c’est aussi le camp d’extermination « par traitements plus raffinés et secrets », réservés à certaines catégories spéciales de déportés : républicains espagnols, Tchécoslovaques après l’attentat contre Heydrich, prisonniers de guerre soviétiques, Français Nuit et Brouillard, etc. // « Les 186 Marches » est un nouveau chapitre de cette enquête historique sans précédent, consacrée par Christian BERNADAC à la déportation. Des centaines de témoignages inédits et de dépouillement d’archives jusqu’ici inaccessibles ont permis à l’auteur de retracer la vie et la mort quotidienne de Mauthausen, mais aussi les événements de l’histoire du camp les plus spectaculaires et les plus méconnus.
Marie-Caroline, Duchesse de Berry
Sept mois aprés l’assassinat de son mari, Marie-Caroline, duchesse de Berry, mettait au monde de duc de Bordeaux. L’opposition ricana en apprenant la naissance de cet enfant du miracle promis perpétuer la dynastie monarchique. On rameuta même des fonctionnaires du palais pour s »assurer « de visu » que le bébé était bien … le fils de sa mère. …
Les mannequins nus (3 volumes)
Christian Bernadac, né le 1er août 1937 à Tarascon (aujourd’hui Tarascon-sur-Ariège) et mort le 12 décembre 2003 à Compiègne1, est un journaliste et écrivain français. Ses ouvrages sur la déportation ont connu un succès public considérable dans les années 1960-1970.
LES MANNEQUINS NUS : Série en 3 volumes consacrée aux cemps de femmes
Volume 1 – Les mannequins nus – Volume 2 : Le camp des femmes, Ravensbrück – Volume 3 : Kommandos de femmes. // « On plonge dans les documents de ceux qui ont vécu ces horreurs par leurs propres mots avec des données historiques de Christian Bernadac. Un roman qui nous montre une nouvelle fois le combat de ces personnes, car ce sont des personnes quelque soit leur religion, leur apparence ! L’homme est un loup pour l’homme. Chacun cherche un moyen de résister, de vivre. Malgré les groupes qui se forment, qui se soudent pour arriver à rester vivants ; les bas coups, la jalousie … font partie du quotidien !
C’est tellement horrible qu’on ne peut s’imaginer, alors il faut lire ce genre de livres pour ressentir avec les mots de ces femmes, les lettres qui nous sont parvenues pour ne pas les oublier ! Il y ces femmes, ces militantes qui ont toujours gardé la tête haute, aidant les autres du mieux qu’elles pouvaient puis certaines qui se sont rabaissées espérant un sursis qui ne leur a pas été accordé. Un livre d’Histoire, à avoir dans sa bibliothèque ! ».
Christian Bernadac, né le 1er août 1937 à Tarascon (aujourd’hui Tarascon-sur-Ariège) et mort le 12 décembre 2003 à Compiègne1, est un journaliste et écrivain français. Ses ouvrages sur la déportation ont connu un succès public considérable dans les années 1960-1970.
LES SORCIERS DU CIEL – Dans les camps de concentration, les S.S. les appelaient « Sorciers du Ciel », ou « Chiens du Ciel », ou « Clowns du Ciel ». Ils étaient prêtres, religieux, pasteurs. De Mauthausen à Buchenwald, d’Oranienburg à Auschwitz, dans chaque kommando de travail ou d’extermination, ils ont subi le sort commun. Sur les sept mille « Sorciers du Ciel » déportés, cinq mille ont disparu dans les fours crématoires et les charniers. Les survivants, pour la plupart, devront leur salut à une intervention du Vatican qui permettra, dans le dernier trimestre de 1944, le rassemblement des ecclésiastiques à Dachau, Mais si Dieu était « toléré » dans un block de Dachau, il était « interdit » partout ailleurs sur le « territoire pénitentiaire » du Nouvel Empire.
LE TRAIN DE LA MORT – Témoignage d’un lecteur : « » » Difficile pour un tel ouvrage de déterminer les étoiles ; il s’agit ici de témoignages vrais,autobiographiques et biographiques. C’est l’histoire du train de la honte, du train qui a vu toutes les atrocités qui ont découlées de la chaleur, de la soif, de la déshydratation, de la suffocation, de la peur, de la haine,du délire, de la folie passagère, de la violence, du sang, de l’urine, de la merde … de la mort et de la décomposition des corps. Comment des hommes ont-ils pu survivre dans de telles conditions? Une fois enfermé dans les wagons, c’est l’humiliation et la sauvagerie à l’état brut. Pourquoi a-t-il fallu de telles conditions de mort? « » »