Quand sort la recluse
Trois morts, c’est exact, dit Danglard. Mais cela regarde les médecins, les épidémiologistes, les zoologues. Nous, en aucun cas. Ce n’est pas de notre compétence. – Ce qu’il serait bon de vérifier, dit Adamsberg. J’ai donc rendez-vous demain au Muséum d’Histoire naturelle. – Je ne veux pas y croire, je ne veux pas y croire. Revenez-nous, commissaire. Bon sang mais dans quelles brumes avez-vous perdu la vue ?
Debout les morts
Un hêtre peut-il en une seule nuit sans que personne l’ait planté ? Oui. Chez la cantatrice Sophia Séméonidis; et elle n’en dort plus. Puis elle disparaît sans que cela préoccupe son époux. Après une série de meurtres sinistres, ses trois voisins « dans la merde », aidés par l’ex-flic pourri Vandoodler, découvriront les racines du hêtre, vieilles de quinze ans, grasses de haines et de jalousie.
Debout les morts
Un hêtre peut-il en une seule nuit sans que personne l’ait planté ? Oui. Chez la cantatrice Sophia Séméonidis; et elle n’en dort plus. Puis elle disparaît sans que cela préoccupe son époux. Après une série de meurtres sinistres, ses trois voisins « dans la merde », aidés par l’ex-flic pourri Vandoodler, découvriront les racines du hêtre, vieilles de quinze ans, grasses de haines et de jalousie.
Quand sort la recluse
«- Trois morts, c’est exact, dit Danglard. Mais cela regarde les médecins, les épidémiologistes, les zoologues. Nous, en aucun cas. Ce n’est pas de notre compétence.
– Ce qu’il serait bon de vérifier, dit Adamsberg. J’ai donc rendez-vous demain au Muséum d’Histoire naturelle. Je ne veux pas y croire, je ne veux pas y croire. Revenez-nous, commissaire. Bon sang mais dans quelles brumes avez-vous perdu la vue? Je vois très bien dans les brumes, dit Adamsberg un peu sèchement, en posant ses deux mains à plat sur la table. Je vais donc être net. Je crois que ces trois hommes ont été assassinés- Assassinés, répéta le commandant Danglard. Par l’araignée recluse?»
Pars vite et reviens tard
On l’a peint soigneusement sur les treize portes d’un immeuble, dans le 18e arrondissement de Paris : un grand 4 noir, inversé, à la base élargie. En dessous, trois lettres : CLT. Le commissaire Adamsberg les photographie, et hésite : simple graffiti, ou menace ? À l’autre bout de la ville, Joss, l’ancien marin breton devenu crieur de nouvelles est perplexe. Depuis trois semaines, une main glisse à la nuit d’incompréhensibles missives dans sa boîte à messages. Un amuseur ? Un cinglé ? Son ancêtre murmure à son oreille : « Fais gaffe à toi, Joss. Il n’y a pas que du beau dans la tête de l’homme. »
Un lieu incertain
Adamsberg part pour trois jours de colloque à Londres. Estalère, le jeune brigadier, et Danglard – terrorisé à l’idée de passer sous la Manche – sont du voyage. Tout devait se passer de manière aérienne et décontractée, mais un événement macabre alerte leur collègue de New Scotland Yard, Radstock. Clyde-Fox, un original local, lui parle du vieux cimetière de Highgate. Des chaussures – avec des pieds dedans – font face au cimetière, « un des cimetières romantiques les plus baroques de l’Occident, » un lieu macabre, gothique, unique.
Tandis que l’enquête anglaise commence, les français rentrent au pays, et se retrouvent confronté à un horrible massacre dans un pavillon de banlieue. De fil en aiguille, Adamsberg, avec l’aide de Danglard, remonte une piste de vampires, et de tueurs de vampires, jusqu’en Serbie.
L’homme à l’envers
Laisser les loups vivre en liberté dans le Mercantour, c’était une belle idée, dans l’air du temps. Mais ce n’était pas celle des bergers et, quelques mois plus tard, la révolte gronde. Mais est-ce bien un loup qui tue les brebis autour du village de Saint-Victor ? Les superstitions resurgissent, un bruit se propage : ce n’est pas une bête, c’est un loup-garou… Lorsqu’une éleveuse est retrouvée égorgée dans sa bergerie, la rumeur tourne à la psychose. À Paris, le commissaire Adamsberg guette les nouvelles de la Bête du Mercantour Comme des tisons, mon gars, comme des tisons ça fait, les yeux du loup, la nuit.