La puissance et la gloire
La Puissance et la Gloire est le sommet des romans catholiques de Graham Greene. Il lui fut inspiré par un séjour au Mexique en 1937.Le clergé mexicain persécuté par le gouvernement révolutionnaire, il ne reste qu’un seul prêtre, dont la tête est mise à prix. Ce prêtre est un pauvre homme qui aime trop l’alcool et qui a fait un enfant à une de ses paroissiennes. Il essaie de fuir mais revient chaque fois qu’un mourant a besoin de lui, « et même lorsqu’il croit que son secours sera vain, et même lorsqu’il n’ignore pas que c’est d’un guet-apens qu’il s’agit et que celui qui l’appelle l’a déjà trahi, ce prêtre ivrogne, impur, et tremblant devant la mort, donne sa vie sans perdre à aucun moment le sentiment de sa bassesse et de sa honte » ( François Mauriac ).Extraordinaire roman, La Puissance et la Gloire connut dès sa parution un succès retentissant et reste l’oeuvre la plus forte du grand écrivain anglais.
Un américain bien tranquille
Saïgon, 1952. Au cours du Nouvel An chinois, le cadavre d’un jeune américain est retrouvé aux abords du fleuve. Pour Fowler, correspondant du London Times, c’est un souvenir qui resurgit des eaux boueuses du passé. Deux ans plus tôt, Alden Pyle débarquait dans la capitale vietnamienne. Innocent, déterminé, la guerre n’avait pas encore levé le voile de ses illusions. Ni de ses intentions.
Graham Greene n’est pas seulement le grand écrivain catholique consacré par le succès de son fameux roman La Puissance et la Gloire.
Entré par effraction dans le royaume de la Grâce (selon le mot de François Mauriac), cet ancien membre du Foreign Office a su, même au travers des divertissements que sont des livres comme Notre agent à La Havane et Un Américain bien tranquille, dénoncer la guerre, les dictatures et ce vice suprême : l’imbécillité.
Voilà pourquoi Graham Greene compte, avec George Orwell et Evelyn Waugh, parmi les géants de la littérature anglaise du XXe siècle.
La puissance et la gloire
La Puissance et la Gloire est le sommet des romans catholiques de Graham Greene. Il lui fut inspiré par un séjour au Mexique en 1937.
Le clergé mexicain persécuté par le gouvernement révolutionnaire, il ne reste qu’un seul prêtre, dont la tête est mise à prix. Ce prêtre est un pauvre homme qui aime trop l’alcool et qui a fait un enfant à une de ses paroissiennes.
Il essaie de fuir mais revient chaque fois qu’un mourant a besoin de lui, « et même lorsqu’il croit que son secours sera vain, et même lorsqu’il n’ignore pas que c’est d’un guet-apens qu’il s’agit et que celui qui l’appelle l’a déjà trahi, ce prêtre ivrogne, impur, et tremblant devant la mort, donne sa vie sans perdre à aucun moment le sentiment de sa bassesse et de sa honte »( François Mauriac ).
Extraordinaire roman, « La Puissance et la Gloire » connut dès sa parution un succès retentissant et reste l’œuvre la plus forte du grand écrivain anglais.
Orient Express
Des êtres réunis par le hasard du voyage, des destinées qui se nouent, des solitudes qui se cherchent, la richesse et la pauvreté, le conformisme et la révolte…
Dans ce huis clos en mouvement qui réunit, le temps d’un bref voyage, des vies que tout sépare, Graham Greene fait se croiser, s’aimer, se trahir ou s’affronter des hommes et des femmes ancrés dans leur temps comme sur des rails.
Celui qui a traversé le XXe siècle, dont il fut l’un des peintres les plus talentueux, n’avait pas trente ans lorsqu’il écrivit ce qui fut son premier succès.
Un américain bien tranquille
Saïgon, 1952. Au cours du Nouvel An chinois, le cadavre d’un jeune américain est retrouvé aux abords du fleuve. Pour Fowler, correspondant du London Times, c’est un souvenir qui resurgit des eaux boueuses du passé. Deux ans plus tôt, Alden Pyle débarquait dans la capitale vietnamienne. Innocent, déterminé, la guerre n’avait pas encore levé le voile de ses illusions. Ni de ses intentions.
Graham Greene n’est pas seulement le grand écrivain catholique consacré par le succès de son fameux roman La Puissance et la Gloire.
Entré par effraction dans le royaume de la Grâce (selon le mot de François Mauriac), cet ancien membre du Foreign Office a su, même au travers des divertissements que sont des livres comme Notre agent à La Havane et Un Américain bien tranquille, dénoncer la guerre, les dictatures et ce vice suprême : l’imbécillité.
Voilà pourquoi Graham Greene compte, avec George Orwell et Evelyn Waugh, parmi les géants de la littérature anglaise du XXe siècle.
Stamboul Train
EN ANGLAIS – Near new condition – Published in 1932 as an ‘entertainment’, Graham Greene’s gripping spy thriller unfolds aboard the majestic Orient Express as it crosses Europe from Ostend to Istanbul.
Weaving a web of subterfuge, murder and politics along the way, the novel focuses upon the disturbing relationship between Myatt, the pragmatic Jew, and naive chorus girl Coral Musker as they engage in a desperate, angst-ridden pas-de-deux before a chilling turn of events spells an end to the unlikely interlude. Exploring the many shades of despair and hope, innocence and duplicity, Stamboul Train offers a poignant testimony to Greene’s extraordinary powers of insight into the human condition.
Le capitaine et l’ennemi
Un garçon d’une douzaine d’années, pensionnaire en Angleterre, est gagné au Backgammon par un personnage étrange qui se fait appeler Le Capitaine. Il l’emmène chez Liza, qu’il lui demande d’appeler « mère. » On comprend que cette jeune femme, stérile et en mal d’enfant est la compagne épisodique du Capitaine.
Le fond du problème
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Scobie vit dans un petit comptoir colonial de la Sierra Leone avec sa femme Louise. Mais tant d’années de mariage ont eu raison de la passion et la perte de leur fille âgée de neuf ans a laissé Louise inconsolable. Lorsque celle-ci décide de partir pour l’Afrique du sud, Scobie se retrouve seul et fait la rencontre de la jeune Helen : il en tombe aussitôt éperdument amoureux.
Le fond du problème
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Scobie vit dans un petit comptoir colonial de la Sierra Leone avec sa femme Louise. Mais tant d'années de mariage ont eu raison de la passion et la perte de leur fille âgée de neuf ans a laissé Louise inconsolable. Lorsque celle-ci décide de partir pour l'Afrique du sud, Scobie se retrouve seul et fait la rencontre de la jeune Helen : il en tombe aussitôt éperdument amoureux. Quel sera le choix de cet homme tiraillé entre la passion et le devoir ? Dans un décor inspiré d'un de ses voyages en Afrique, Graham Greene, un des plus grands auteurs britanniques du XXe siècle, nous offre une variation subtile sur les thèmes de l'amour, de la trahison et de la culpabilité.
The human factor
En Anglais – A leak is traced to a small sub-section of SIS, sparking off the inevitable security checks, tensions and suspicions. The sort of atmosphere where mistakes could be made? For Maurice Castle it is the end of the line anyway and time for him to retire with his African wife, Sarah. The Human Factor is Greene’s most extensive attempt to incorporate into fiction what he had learned of espionage when recruited by MI6 during World War II . . . What it offers is a veteran excursion into Greene’s imaginative world . . . Sometimes seen as a brooding prober into the dark recesses of the soul where sins and scruples alike fester, he is equally at home in sending a narrative careering along at break-neck pace . . . Raising the demarcation line between ‘serious’ fiction and fast-plotted entertainment, Greene ensures that components of both jostle energizingly together in his pages.” –from the Introduction by Peter Kemp —
The man within
En Anglais – Graham Greene’s first published novel tells the story of Andrews, a young man who has betrayed his fellow smugglers and fears their vengeance. Fleeing from them, with no hope of pity or salvation, he takes refuge in the house of a young woman, also alone in the world. Elizabeth persuades him to give evidence against his accomplices in court, but neither she nor Andrews is aware that to both criminals and authority, treachery is as great a crime as smuggling. The first step in a brilliant career, The Man Within offers a foretaste of Green’s recurring themes of religion, the individual’s struggles against cynicism, and the indifferent forces of a hostile world. This Penguin Classics edition features an introduction by Jonathan Yardley.
La fin d’une liaison
« Elle m’avait dit : – L’amour n’a pas de fin. Même si nous cessons de nous voir. Est-ce que les gens ne continuent pas d’aimer Dieu toute leur vie sans le voir ? – Ce n’est pas le même amour que le nôtre. – Je pense parfois qu’il n’en existe qu’un, répondit-elle. Tandis que je la guidais avec précaution à travers le vestibule démoli, l’éclairant de ma lampe de poche, elle ajouta: – Tout doit se passer très bien. Si notre amour est assez grand. Les vitres des fenêtres brisées craquaient sous nos pieds. Seul le vieux vitrail victorien au-dessus de la porte restait solide. Le verre écrasé devenait de la poudre blanche, comme la glace que les enfants piétinent dans les champs gelés ou sur les bords des routes. C’était la première nuit, en juin 1944, de ce que nous appelâmes, par la suite, les V 1. »