
Le retour du professeur de danse
Le jeune policier Stefan Lindman est sous le choc : il vient d’apprendre qu’il a un cancer, et que son ancien collègue Herbert Molin a été torturé à mort. Pour tromper son angoisse, il part à l’autre bout de la Suède enquêter sur le meurtre de Molin. Que signifient les traces sanglantes sur le parquet, comme si le tueur avait dansé un tango avec le corps de la victime ? Les ombres d’un passé très noir se réveillent. Elles ont frappé, et vont frapper encore. Mais Stefan n’a plus rien à perdre …
La faille souterraine et autres enquêtes
On croit bien connaître Kurt Wallander, enquêteur solitaire hanté par la mort… Savons-nous comment le jeune agent hésitant et sans méthode, qui se demandait s’il serait un jour un bon flic, est devenu le commissaire d’Ystad ? Réparties sur une vingtaine d’années, ces enquêtes reviennent au point d’origine : cette première affaire, en 1969, où Wallander échappe de peu à la mort.
Les chiens de Riga
Février 91. Un canot pneumatique s’échoue sur une plage de Scanie. Il contient les corps de deux hommes exécutés d’une balle dans le coeur. L’origine du canot est vite établie : de fabrication yougoslave à l’usage des Soviétiques et de leurs satellites. Les corps sont identifiés : des criminels lettons d’origine russe liés à la mafia.
Un policier de Riga est appelé en renfort à Ystad. Dès son retour en Lettonie, l’étrange major Liepa pour lequel l’inspecteur Wallander s’est pris d’amitié est assassiné. Wallander part pour Riga. Là, privé de tous repères, il se trouve plongé dans un pays en plein bouleversement, où la démocratie n’est encore qu’un rêve, un monde de surveillance policière, de menaces non voilées, de mensonges.
Où est la vérité ? À force d’obstination l’inspecteur suédois, réduit à ses seules intuitions mais épris de justice, fera la lumière.
Une main encombrante
C’est l’automne en Scanie avec son lot de pluie et de vent. Wallander est en fin de carrière et se sent au bout du rouleau. Il aspire à une retraite paisible, rêve d’acheter une maison à la campagne et d’avoir un chien. Un collègue lui fait visiter celle d’un vieux parent. Wallander s’enthousiasme pour l’ancienne ferme et les lieux alentours, et pense avoir trouvé son bonheur.
Pourtant, lors d’une dernière déambulation dans le jardin à l’abandon, il trébuche sur ce qu’il croit être les débris d’un râteau. Ce sont en fait les os d’une main affleurant le sol. Les recherches aboutissent à une découverte encore plus macabre. Au lieu d’une maison, Wallander récolte une enquête. Jusqu’où devra-t-il remonter le temps, et à quel prix, pour identifier cette main ?
Un récit concis, vif, terriblement humain avec un Wallander bougon à souhait. Le court roman est suivi d’un portrait touchant de Kurt Wallander signé par son créateur.
L’homme qui souriait
Une chaise au milieu de la route, dans le brouillard. Et sur cette chaise, un mannequin de taille humaine. Le vieil avocat Gustaf Torstensson freine brutalement, sort de sa voiture. Ce sera son dernier geste d’homme vivant.
Pendant ce temps, le commissaire Kurt Wallander erre sur les plages infinies de l’île danoise de Jylland. Il est venu là pour prendre un décision : quitter définitivement la police.
C’est alors qu’une vieille connaissance, l’avocat Sten Torstensson, fait irruption dans sa retraite de vent et de dunes. Son père est mort sur une route aux environs d’Ystad ; il refuse de croire à la thèse de l’accident. Wallander, lui, refuse de l’aider. Mais le jour où il retourne au commissariat pour signer enfin sa lettre de démission, il apprend l’assassinat de Sten Torstensson.
Wallander déchire sa lettre.
Dans la traque qui s’engage alors, il découvre un réseau criminel d’une nature effrayante. Derrière, tirant les ficelles, se profile un homme singulier. Un homme élégant et sûr de lui, habitué à ce qu’on lui obéisse. Un homme qui sourit toujours.
La muraille invisible
L’inspecteur Kurt Wallander d’Ystad en Suède est atterré face au crime odieux de deux adolescentes qui ont froidement abattu un chauffeur de taxi à coups de marteau et de couteau. N’éprouvant aucun remords, elles racontent les faits aux policiers sans émotion apparente. Mais bientôt, Sonia, l’aînée des jeunes filles, réussit à s’évader du commissariat et on la retrouve électrocutée à l’intérieur d’un transformateur électrique gravement endommagé et qui a privé de courant la moitié de la région.
Wallander et son équipe cherchent à comprendre : que signifient ces deux crimes et quel sens donner à ce sabotage ? Mais une autre mort le tracasse : celle de Tynnes Falk, un consultant en informatique, foudroyé par une crise cardiaque devant un distributeur automatique et dont le cadavre disparaît de la morgue pour être remplacé par… une pièce appartenant au transformateur où fut découvert le corps de Sonia.
Dès lors, les deux affaires sont liées, mais Wallander a beau tourner et retourner les hypothèses, il est désorienté. Sa ténacité, son énergie et l’aide d’un hacker lui feront découvrir une vérité surprenante qui a pris ses racines en Angola où l’ennemi invisible et dangereux est prêt à donner le coup de grâce.
Dans ce cinquième titre paru en France, Henning Menkell déploie une imagination fertile dont la crédibilité donne froid dans le dos. On retrouve Wallander, avec le même plaisir, en s’attachant à suivre une enquête haletante et ses nouveaux émois amoureux.
Le guerrier solitaire
Dans la chaleur intenable de l’été 1994, une jeune fille s’immole par le feu dans un champ de colza. Le lendemain, un ancien ministre est tué à coups de hache. C’est le début d’une série de meurtres terrifiants. Quel est le lien entre tous ces morts ? La police d’Ystad, menée par Kurt Wallander, entame une course contre la montre pour arrêter le tueur… avant qu’il ne frappe à nouveau.
« C’est sans aucun doute le même meurtrier que pour Wetterstedt. Celui-ci aussi a été scalpé. »
Le chinois
Le Chinois est un livre gigogne, un thriller qui relie adroitement un meurtre collectif, une saga familiale et des réflexions sur le développement économique assorti d’une volonté d’expansion de la Chine moderne. En janvier 2006, 19 membres d’une même famille les Andrén sont massacrés à l’arme blanche dans un village isolé du nord de la Suède. La policière Vivi Sundberg penche pour l’acte d’un déséquilibré. Birgitta Roslin, juge à Helsingborg, s’intéresse à l’affaire car les parents adoptifs de sa mère sont parmi les victimes. Elle mène une enquête parallèle. Un ruban rouge retrouvé sur les lieux du crime la met sur la piste d’un mystérieux Chinois qui aurait séjourné la nuit du massacre dans un hôtel voisin, où il a été filmé par une caméra de vidéosurveillance. Munie de son portrait, Birgitta Roslin le cherche en vain à Pékin. Mais son enquête maladroite dans une Chine en plein bouleversement dérange les projets spéculation immobilière à l’approche des J.O., expansion coloniale en Afrique d’un puissant homme d’affaires Ya Ru.
Comédia infantil
Quelque part en Afrique, la nuit, un homme assis sur le toit d’un théâtre contemple la ville. A ses pieds, un enfant blessé est en train de mourir. Nelio, âgé de dix ans, a vécu la guerre civile et l’errance. Il lui raconte son histoire, en opposant à la barbarie des hommes la poésie et la générosité d’un imaginaire enfantin. Une parole poignante qui résonne comme une fable universelle. J’ai compris que c’était à moi qu’il incombait de raconter l’histoire de Nelio.
Le retour du professeur de danse
Le jeune policier Stefan Lindman est sous le choc : il vient d’apprendre qu’il a un cancer, et que son ancien collègue Herbert Molin a été torturé à mort. Pour tromper son angoisse, il part à l’autre bout de la Suède enquêter sur le meurtre de Molin. Que signifient les traces sanglantes sur le parquet, comme si le tueur avait dansé un tango avec le corps de la victime ? Les ombres d’un passé très noir se réveillent. Elles ont frappé, et vont frapper encore. Mais Stefan n’a plus rien à perdre.
L’homme inquiet
Grand-père d’une petite Klara, Wallander a réalisé ses rêves : vivre à la campagne avec son chien. Après avoir évoqué avec le commissaire la guerre froide et une affaire de sous-marins russes dans les eaux territoriales suédoises, le beau-père de sa fille Linda, ancien officier de marine, disparaît, puis c’est le tour de la belle-mère. Soupçons d’espionnage. Au profit de la Russie ? Des États-Unis ? Parallèlement à la police de Stockholm et aux services secrets, Wallander mène sa dernière enquête. C’est alors qu’il amorce sa propre plongée en profondeur : les années écoulées et les femmes de sa vie défilent. Et la petite Klara devient son ultime balise.
L’homme inquiet
Grand-père d’une petite Klara, Wallander a réalisé ses rêves : vivre à la campagne avec son chien. Après avoir évoqué avec le commissaire la guerre froide et une affaire de sous-marins russes dans les eaux territoriales suédoises, le beau-père de sa fille Linda, ancien officier de marine, disparaît, puis c’est le tour de la belle-mère. Soupçons d’espionnage. Au profit de la Russie ? Des États-Unis ? Parallèlement à la police de Stockholm et aux services secrets, Wallander mène sa dernière enquête. C’est alors qu’il amorce sa propre plongée en profondeur : les années écoulées et les femmes de sa vie défilent. Et la petite Klara devient son ultime balise.
L’homme inquiet
Grand-père d’une petite Klara, Wallander a réalisé ses rêves : vivre à la campagne avec son chien. Après avoir évoqué avec le commissaire la guerre froide et une affaire de sous-marins russes dans les eaux territoriales suédoises, le beau-père de sa fille Linda, ancien officier de marine, disparaît, puis c’est le tour de la belle-mère. Soupçons d’espionnage. Au profit de la Russie ? Des États-Unis ? Parallèlement à la police de Stockholm et aux services secrets, Wallander mène sa dernière enquête. C’est alors qu’il amorce sa propre plongée en profondeur : les années écoulées et les femmes de sa vie défilent. Et la petite Klara devient son ultime balise. Au-delà de l’intrigue, la force et la beauté du roman résident dans le portrait riche et bouleversant de celui qui se dévoile ici sous la plume de son créateur, Henning Mankell.
Le Chinois
En janvier 2006, 19 membres d’une même famille (les Andrén) sont massacrés à l’arme blanche dans un village isolé du nord de la Suède. La policière Vivi Sundberg penche pour l’acte d’un déséquilibré. Birgitta Roslin, juge à Helsingborg, s’intéresse à l’affaire car les parents adoptifs de sa mère sont parmi les victimes. Elle mène une enquête parallèle. Un ruban rouge retrouvé sur les lieux du crime la met sur la piste d’un mystérieux Chinois qui aurait séjourné la nuit du massacre dans un hôtel voisin, où il a été filmé par une caméra de vidéo-surveillance. Munie de son portrait, Birgitta Roslin le cherche en vain à Pékin. Mais son enquête maladroite dans une Chine en plein bouleversement dérange les projets (spéculation immobilière à l’approche des J.O., expansion coloniale en Afrique) d’un puissant homme d’affaires Ya RU, par ailleurs commanditaire du massacre suédois (il a vengé un ancêtre, San, maltraité en 1860 par un certain Andrén, contremaître suédois sur le chantier ferroviaire du Nevada. Ya Ru décide d’éliminer Birgitta, qui lui échappe de justesse à Londres. Et la lumière est faite sur le massacre.
