Interlude mortel
« La première fois que l’on m’a demandé d’écrire une nouvelle autour de mon héroïne Sookie Stackhouse, je n’étais pas sûre d’ y parvenir. La vie de Sookie, son histoire, sont si complexes que j’ignorais si j’étais capable de créer une fiction courte mais cohérente qui lui rende justice. Je me suis bien amusée à écrire ces histoires. Certaines sont totalement joyeuses, d’autres plus sérieuses, mais elles éclairent toutes une petite facette de la vie de Sookie que je n’ai pas rapportée dans les romans. J’espère que vous éprouverez autant de plaisir à les lire que moi à les écrire. »
Inch’ Allah – 1- Le souffle du Jasmin
1916-2001. Au cœur de l’Orient, quatre familles – juive, palestinienne, irakienne et égyptienne -, personnages fragiles et forts, émouvants et guerriers, tentent de survivre au naufrage que l’Occident leur impose. A des milliers de kilomètres de là, un diplomate français observe, impuissant, les prémices de l’apocalypse, tandis que dans son esprit résonne l’ultime question : le bruit des bombes recouvrira-t-il à jamais le souffle du jasmin ?
Miraculée
En avril 1994 commence le génocide des Tutsis au Rwanda. Le 7 avril, Immaculée Ilibagiza quitte la maison pour se réfugier chez le pasteur du village mais ne reverra jamais ses parents et ses frères adorés. Le nom d’Immaculée figure sur une liste de morts. Des centaines de Hutus ont une priorité : la trouver et la tuer. Cachée dans une minuscule salle de bains durant quatre-vingt-onze jours, elle prie sans relâche et remet sa vie et celle de ses sept compagnes entre les mains de Dieu. Dans ce témoignage bouleversant, les miracles qui jalonnent le parcours de la jeune femme frappent autant que le pardon qu’elle accordera finalement aux assassins de sa famille et de son peuple.
Cette série contient 4 livres. Tome 1 – L’ombre d’une Reine Noire – Un péril sombre, venu de très loin, jette une ombre grandissante sur le monde de Midkemia. Erik de la Lande Noire, fils bâtard d’un baron, fuit vers la cité de Krondor après avoir tué accidentellement son demi-frère. Condamnés à mort, Erik et son ami d’enfance Roo sont momentanément épargnés pour servir dans une mission désespérée contre les créatures reptiliennes qui préparent la conquête de Midkemia et le retour de leur déesse, Alma-Lodaka, l’un des anciens Seigneurs Dragons. Les deux garçons subissent un entraînement brutal avant de rejoindre d’autres condamnés sous le commandement du haut-elfe Calis, » l’Aigle de Krondor « . Leur but : partir comme mercenaires sur le continent de Novindus, où la bataille contre les Pantathians fait rage. Cependant, dans l’ombre, Pug le magicien attend son heure…
Tome 2 – L’ascension d’une Prince Marchand – De retour de Norvindus, où il a obtenu pour le compte de la Couronne de précieux renseignements sur les agissements des Panthatians, Roo s’est vu gracié par le prince Nicholas du crime qui entachait son passé. Repartant de zéro, mais avec une détermination et une audace nouvelles, le jeune homme se jure de devenir l’un des marchands les plus riches de Krondor. Hélas, au grand jeu du commerce, les nouveaux venus sont rarement bien accueillis. Si la plume remplace l’épée, si le paraître tient lieu de force, et si les armées se comptent en carrosses, l’ascension d’un prince marchand est une lutte qui peut se révéler aussi mortelle qu’une campagne militaire.
Tome 3 – La rage d’un roi démon – L’ombre terrible de la reine Emeraude ne cesse de s’étendre…
Ses forces obscures et dévastatrices déferlent sur le royaume des Isles. Qu’ils soient loyal soldat ou riche marchand, de valeureux héros ont déjà servi avec bravoure sous le feu de la guerre qui ravage leur pays. Mais le jour arrive où les épées, les arcs, l’intelligence et le courage ne s’avèrent plus suffisants pour repousser l’ennemi qui fond sur leur patrie.
En effet, à l’aube de la bataille, Pug le magicien, accompagné de son ami de toujours Tomas le guerrier, découvre une menace bien pire que la sorcellerie de la reine : d’autres puissances maléfiques se sont échappées, des démons insatiables venus assouvir leur faim de force vitale !
Le conflit cosmique oppose les serpents aux humains, et le plus grand des magiciens au plus féroce des démons. Il débouchera sur la destruction totale… ou sur la victoire de ceux qui luttent pour une noble cause, si Pug et ses compagnons parviennent à atteindre le sorcier qui se cache derrière la menace… Car Macros le Noir est de retour !
Comment savoir si vous êtes noir
Comment savoir si vous êtes noir ? Avouez-le, vous ne vous êtes jamais posé la question. Heureusement, grâce à ce livre, à travers des observations de la vie quotidienne et de nombreux exemples, vous pourrez enfin combler cette lacune ! Si cette question peut sembler insolite, c’est bien sûr parce que les auteurs ont décidé d’y répondre avec humour et second degré, en s’appuyant sur des faits qu’elles ont vécus, parfois drôles, parfois non, pour parler d’une communauté dite minoritaire et pourtant si visible : les Noirs !L’objectif de ce livre : décrisper les zygomatiques tout en nous faisant réfléchir. Et si, finalement, nous n’étions pas si différents les uns des autres ?
Les orphelines (4) – Rebecca
Son père l’ a abandonnée à sa naissance ; sa mère, qui a sombré dans l’alcool et la drogue, se retrouve en prison.
A douze ans, Rebecca ne peut vivre seule et est recueillie par son oncle et sa tante.
L’oncle Reuben est un homme injuste et violent, qui la traite comme une domestique et n’hésite pas à la frapper.
Certes, la tante Clara est une brave femme, mais trop terrorisée par son mari pour prendre la défense de Rebecca.
Quant à Jennifer, sa cousine, d’un an son aîné- c’est une vraie peste. Finalement, cette » vie de famille » est un enfer qui ne vaut guère mieux que l’orphelinat.
Le jour où son professeur de gymnastique découvre par hasard les marques qu’elle porte sur le corps, Rebecca ose parler. Le tribunal pour enfants décide alors de la placer dans une maison d’accueil. Où elle fait la connaissance de Janet, de Crystal et de Brenda, dont la vie juqu’à présent n’a pas été plus drôle que la sienne.
Les orphelines (3) – Brenda
Pamela et Peter Thompson voulaient adopter une fillette. Elancée, dotée d’un jolie teint, cheveux blonds et yeux bleus.
Tout le portrait de Pamela. Leur objectif : la présenter à des concours de beauté pour qu’elle remporte un jour le titre de Miss America que Pamela a raté de peu, quelques années plus tôt. Une sorte de revanche en somme.
Alors ils sont allés dans un orphelinat comme on va dans un magasin de jouets et ils ont choisi Brenda. Le physique correspondait à leurs souhaits; le moral, ils se faisaient fort de le façonner.
Cours de maintien, esthéticienne, leçons de piano, vêtements hors de prix. Pamela s’en donne à coeur joie, rectifie, estompe, rembourre. Elle n’avait pas prévu, que la jolie petite poupée se rebellerait : Brenda déteste le piano et les franfreluches. Sa passion, c’est le base-ball -sport pour lequel elle est très douée-, mais qui ne fait pas partie des critères de sélection pour une raine de beauté.
Les orphelines (2) – Crystal
Crystal a treize ans. Née de père inconnu, fille d’une malade mentale, elle est pupille de l’Etat. Avec un tel dossier, elle n’a pas le droit de faire la difficile. Aussi, lorque Karl et Thelma lui affirment qu’ils vont la rendre heureuse et gommer en un rien de temps toutes les cicatrices laissées par ce passé douloureux, elle accepte de jouer le jeu, même si leur optimisme la laisse sceptique.
Leur objectif à tous les trois est simple : former une vraie famille. Discuter, dîner, faire les courses, regarder la télévision, être heureux ensemble. Simple, mais pas si facile quand on n’a pas l’habitude du bonheur.
La confiance et l’amour ne se décrètent pas, ils s’inspirent. Tranquillement, jour après jour, avec des ratés, des reculs et des compromis. Karl et Thelma sont pleins de bonne volonté et Crystal si avide de tendresse que leur tentative devraient réussir. Mais le destin s’acharne sur Crystal, comme pour la punir d’une faute qu’elle n’a pas commise.
Les orphelines (1) – Janet
Quand Céline et Sanford Delorice se présentent à l’orphelinat et décident d’adopter Janet, elle n’ose y croire.
Elle, l’adolescente frêle et timide dont personne ne voulait, va vivre dans cette somptueuse villa, aura une immense chambre pour elle seule. Elle croit rêver. Un rêve qui bientôt devient cauchemar : Céline, ancienne danseuse étoile, est désormais clouée dans un fauteuil roulant. Grâce à Janet, elle va pouvoir vivre par procuration, concrétiser ses espoirs déçus. » Tu seras danseuse étoile, ma fille. Danser, c’est s’envoler dans l’espace tel un papillon.
S’enivrer de la musique, des applaudissements, de la gloire. » Mais danser, c’est muscler et assouplir un corps rebelle. Le forger, en faire un instrument parfaitement maîtrisé. Au prix d’un entraînement impitoyable et de mille souffrances, jusqu’à l’épuisement. Janet est prête à tous les sacrifices pour se faire aimer de sa nouvelle famille. Mais satisfaire une mère aussi exigeante n’est pas tâche facile.
Les romans de Virginia C. Andrews se sont vendus à des millions d’exemplaires et ont été traduits en seize langues. Après sa mort, sa famille, s’inspirant de l’extraordinaire créativité de la romancière et travaillant en étroite collaboration avec un écrivain de talent, a lancé de nouveaux cycles V. C. Andrews. Avec Janet voici le premier volet d’une série inédite, Les orphelines.
Tout va très bien, madame la comtesse !
La comtesse Maria Vittoria dal Pozzo della Cisterna est effondrée : elle a dû se séparer de la quasi-totalité de ses domestiques et la voilà réduite à faire ses propres courses au supermarché. Tout ça à cause d’un fils, beau comme un dieu et bête comme une huître, qui a jugé malin d’offrir le dernier joyau familial à une starlette décérébrée. Pour sortir de ce pétrin, il va falloir faire preuve d’imagination…
Le pavillon des pivoines
Pour la jeune Pivoine, recluse dans les appartements des femmes et promise à un mari qu’elle n’a jamais rencontré, la vie est monotone. Aussi, lorsque dans les jardins de la famille Chen, parmi les senteurs de gingembre, de thé vert et de jasmin, une troupe de théâtre vient jouer son opéra favori, Pivoine supplie ses parents de la laisser assister au spectacle. Sa mère, réticente par souci des convenances, est rassurée par son époux : les femmes regarderont l’opéra derrière un paravent. Mais durant la représentation, la jeune fille s’éprend d’un homme élégant aux cheveux de jais. Commence alors l’inoubliable récit du destin de Pivoine et de ses amours contrariées. Le nouveau roman de Lisa See nous plonge, dans la Chine du XVIIe siècle, après la chute de la dynastie Ming et la prise du pouvoir par les Mandchous. C’est à un long voyage dans les affres de la passion et ses conséquences jusque dans l’au-delà – que nous convie Le Pavillon des Pivoines : un roman d’amour fou, imprégné du mystère des traditions chinoises.
Le prince de Central Park
Au cœur de New York – acier, béton, asphalte -, Central Park : un havre de paix, un immense espace vert, le domaine des oiseaux, des écureuils, de l’eau vive. C’est là que, fuyant la misère et la violence, le petit Jay-Jay vient chercher refuge, se cacher dans les branches d’un grand chêne, puissant et fraternel. Nouveau Robinson, Jay-Jay va bâtir là-haut une cabane, invisible aux curieux et à la police. Il rentrera chaque soir après avoir exploré tout le jour le vaste parc à la recherche de nourriture. À la découverte aussi d’un monde inconnu et merveilleux : les cascades du Loch, les jeux du Terrain de l’Aventure. Mais New York est tout proche, menaçant. Et il y a Elmo, un jeune drogué, qui hait Jay-Jay…
Le grand homme
Qui est le grand homme ? Est-ce Lucien Gavard, qui grâce à sa passion de la mécanique devient un magnat de l’industrie automobile ? Ou Ralph Putnam, étrange et célèbre chanteur de jazz, en tournée à Paris ? L’épouse de Lucien Gavard, Claude, dont la vie est une lente, une monotone promenade sur une route bordée de miroirs, celle des mondanités, hésite. C’est Paris, 1929. Les bourgeois font la fête et les ouvriers font la grève. Les autos vont de plus en plus vite. La crise est pour demain. Ce roman de Philippe Soupault, aux allusions à peine déguisées sur la belle industrie familiale, est porté par un grand air de liberté. II « part comme une flèche » selon Benjamin Crémieux qui poursuit : « Après le premier chapitre, on se sent soulevé d’espoir et de curiosité. Pas une lourdeur, pas une bavure, pas une description et tout est dit, évoqué, suggéré. » De cette peinture juste, et très fine, de l’atmosphère de Paris à la veille de la crise s’élève pourtant un cri d’angoisse, un cri de détresse. L’écriture désinvolte, au fil de la plume, révèle aussi le désarroi, l’inquiétude de Soupault face à la bourgeoisie, ses préjugés, ses vices et ses volontés criminelles, et fait de ce roman à la poésie désespérée un témoignage tendrement féroce sur une époque. A vingt ans , il créait son entreprise , aujourd’hui il dirige une immense usine qui est toute sa vie . Tel est Lucien Gavard , pionnier de l’automobile et patron de fer. Né dans un ghetto des États-Unis , il a connu la misère , tous les métiers , la gloire enfin : c’est Putnam , le célèbre » ténor nègre « . Entre eux , une femme hésite : qui est le grand homme ? Qui aime-t-telle ? Au seuil de ces années 30 , Paris découvre le jazz, la vitesse , la pub , la crise. Un roman chargé déjà de toutes les inquiétudes et de tous les espoirs de nore aujourd’hui.
La fontainière du Roy
Le 17 août 1661, au château de Vaux-le-Vicomte, le surintendant Fouquet offre une fête éblouissante. Louis XIV est furieux. Il décide la perte de l’insolent mais cette soirée lui donne l’idée de bâtir Versailles. Clémence, la » fontainière du Roy « , est la fille du génie des eaux de cette future merveille.
Son père, François de Francine, y crée des fontaines, fait jaillir des cascades, grâce à des travaux titanesques. Il embellit ainsi les jardins dessinés par Le Nôtre.
Les amis de Francine, Le Brun, Molière, Racine ou Boileau, baptisent Clémence. Elle devient » Ondine « , depuis qu’on l’a surprise se baignant quasi nue dans le bassin de Saturne.
Le parc est son royaume. Elle y grandit en même temps que le fabuleux palais qui éblouira l’Europe. » Ondine » est aussi l’étoile du ballet royal où se mêlent la politique, la guerre, le talent et le génie des artistes.
Avec elle, on entre dans les coulisses de la cour, près de Louise de La Vallière, de la Montespan, de Mme de Maintenon. Séductrice, Clémence plaira à Louis XIV. Il sera son protecteur.
Dans ce nouveau rendez-vous avec l’Histoire, Jean Diwo, sur les airs du Grand Siècle, nous fait partager la naissance de l’un des monuments les plus visités au monde.
Aliocha
Fils d’immigrés russes blancs, Aliocha souffre de se sentir différent des autres élèves de son école. C’est tout ce que représentent ses parents qu’il stigmatise : leur gêne financière, leur attachement viscéral à une lointaine Russie. Le pays, la culture ou la langue, Aliocha les a radiés de sa mémoire et rejette l’héritage aux couleurs fanées dont ses parents l’abreuvent. Sa patrie c’est la France, sa langue sera désormais le français qu’il admire par-dessus tout et avec elle son cortège d’écrivains qu’il vénère. À l’école, il fait la connaissance de Thierry, élève brillant et envoûtant mais tenu à l’écart des autres du fait de son infirmité. Entre eux naît une amitié indéfectible, fondée sur une admiration réciproque et faite d’échanges intellectuels passionnés. Modèle et miroir l’un de l’autre, Aliocha et Thierry découvrent ensemble au cours de ces quelques mois les chemins ensoleillés de leurs jeunes années. Ainsi, Aliocha, fort de cette nouvelle amitié, comprendra peu à peu le trésor que recèle sa double identité.
Dynasty – Le retour d’Alexis
Inutile d’avoir vu Dynasty à la télévision pour apprécier ce roman. Qu’on les retrouve ou qu’on les découvre, les membres de la famille Carrington sont toujours aussi fascinants. Leur vie est celle des privilégiés de ce monde, puisqu’ils possèdent l’argent, le pouvoir, la beauté. Mais peut-on envier un homme incapable de communiquer avec son fils unique ? Une femme qui perd tout espoir de maternité? Même la cynique Alexis a ses moments de doute et de faiblesse. Une vie de rêve peut se transformer en cauchemar, et la cage dorée qui enferme les héros de Dynasty ne les met pas à l’abri des passions, des haines et des peines. C’est précisément ce qui les rend si proches de nous.
La faim des lionceaux
Les « Eygletières », c’est le patronyme d’une famille bourgeoise habitant le quartier St Germain des Prés (rue Bonaparte exactement) à la fin des années 50. Philippe, le père, la cinquantaine triomphante remarié avec Carole la séductrice de 20 ans plus jeune que lui, (et qu’il trompe sans vergogne), ses trois enfants issus de son premier mariage : Daniel le clown de la famille (16 ans), Françoise la fausse coincée (18 ans), et Jean-Marc l’aîné de 20 ans, le plus sensible, et aux penchants invertis qui se dévoileront peu à peu au fil de l’intrigue lors de sa rencontre avec Gilbert, un jeune homme esthète et très charismatique. Il y a aussi la tante « Madou » (sœur de Philippe) et ses deux fennecs qui habite Touques et veille avec amour sur ses trois neveux qu’elle a quasiment élevés. Leur mère, Sophie, plus ou moins alcoolique vit sur une autre planète et n’a jamais vraiment pris soin des trois enfants. C’est une superbe Saga familiale passionnante et nimbée d’érotisme, comme savait si bien les écrire Henri Troyat (de l’académie Française). On assiste tout au long des trois tomes à la désintégration lente (la malandre) mais quasi inévitable de cette famille rongée de l’intérieur par les trahisons, les amours interdites, les non-dits, les incompréhensions générationnelles, et surtout par le souci des apparences, et le gout du pouvoir dont la plus grande responsabilité incombe au père de famille : Dur, intraitable, imbu de lui même et peu amène avec les autres. A lire, pour les adeptes de Monsieur Troyat qui écrivait si bien et pour ceux que les grandes sagas familiales intéressent. C’est une série de 3 tomes sortie il y a déjà quelques décennies chez Flammarion mais qu’il est toujours très agréable de relire. Bonne Lecture !
Ipso facto
Insouciants amis bacheliers ! Vous qui batifolez dans l’hydromel de votre vie bien huilée, laissez-moi vous conter ma descente aux Enfers, c’est comme du plomb qu’on m’aurait fait couler dans la gorge, et je vous avoue franchement : c’était bien fait pour moi. J’avais perdu mon Baccalauréat ! Ne prenez pas la vie pour un placebo, mes frères ! Soyez vigilants. Votre Baccalauréat peut disparaître comme le mien, il n’y a pas de raison que je sois le seul crucifié. Alors quand le destin vous aura percutés, vous verrez que vous n’aurez pas acheté ce livre pour rien. Vous le lirez comme on lit un manuel de survie.
Les draps neufs
Je vais dans mon bureau écrire pendant que tu fais tes valises. Je décris les chemises empilées, les livres ficelés. Les mots sont des stigmates que je grave sur le bloc de papier jaune, pour qu’ils servent de témoins. Afin que notre vie ensemble ne s’évanouisse pas sans laisser de trace. Après presque vingt ans d’amour passionnel, deux enfants, une vie en commun, une femme est brutalement confrontée à la séparation. Entre mensonges et semi-vérités, l’homme prend peu à peu ses distances et annonce son départ. Mais comment l’accepter quand le désir est toujours aussi fort et que l’amour n’est pas mort ? Journal de la rupture, ce livre est aussi l’apprentissage du deuil, celui de l’être aimé, celui des toujours et des jamais qui conduisent à un autre apprentissage, plus essentiel celui-là, l’apprentissage de soi.
La fiancée américaine
Un gâteau renversé à l’ananas peut-il changer le cours de l’histoire? Louis dit « le Cheval » Lamontagne est né en pleine messe de minuit alors que sa mère était figurante dans la crèche vivante. Son père, le plus bel homme de Rivière-du-Loup était follement amoureux de sa nouvelle femme Madeleine dite «l’Américaine» cuisinière hors pair dont le livre de recettes transformera la vie de toutes les femmes dans la famille sur quatre générations. Leur fils se trouvera mal marié mais les yeux sarcelle de sa mère continueront à se répandre dans la région tout comme en Europe où il est déployé et dans l’État de New York où il gagnera sa vie comme homme fort dans les foires. Dans ce village pentu encore sous l’emprise du curé qui annonce la fin du monde aux enfants pour le 10 novembre les racontars abondent. Éric Dupont nous offre un magnifique roman où les histoires d’un siècle de Madeleine s’entrelacent comme pour former une pelote de laine. L’expression «histoire d’amour» ne rend pas justice aux méandres de ce récit émaillé de rebondissements. Éric Dupont est né à Amqui (Gaspésie) en 1970. Il est l’auteur de Voleurs de sucre (2004, Prix Senghor de la francophonie), La logeuse (Lauréat du Combat des livres 2006) et Bestiaire (un des cinq meilleurs romans de l’année 2008 selon le journal La Presse). Il enseigne à l’Université McGill.
Le médecin de Cordoue
Lorsque Maïmonide naît, en 1135, dans le quartier juif de Cordoue, cette ville d’Andalousie offrait au monde un modèle de civilisation et de tolérance qui, 800 ans plus tard, demeure inégalé. Arabes, Chrétiens et Juifs, sans rien abdiquer de leur personnalité, y vivaient en harmonie. C’est ainsi qu’à 12 ans le jeune Moïse Maimon, que les scholastiques chrétiens surnommeront un jour « l’Aigle de la Synagogue », devint le disciple du grand penseur arabe Averroès, puis se passionna pour l’étude de la médecine. Contraint à l’exil par le fanatisme des nouveaux conquérants arabes, il commença un long voyage autour de la Méditerranée. Chassé de Palestine par les Croisés, et après une vie d’errance, il finit son existence au Caire comme médecin et ami du sultan Saladin. Il passa ses dernières années à combattre les épi démies et à soulager la misère des pauvres.
Un pont sur l’infini
Richard gagne sa vie en faisant partager aux autres ses acrobaties aériennes. Mais son plaisir toujours renouvelé de s’élever vers les cieux cache une grande solitude. Car à chaque nouveau vol, l’aviateur espère que, dans la foule pressée à terre pour l’admirer, se trouve celle qui saura l’aimer et combler le vide affectif de son quotidien.
Mulder et Scully doivent affronter un tueur capable de plier les gens à toutes ses volontés par le pouvoir de la pensée.
Les trois sœurs – 2 – Douce Brianna
Propriétaire d’un chaleureux Bed and Breakfast en Irlande, Brianna s’apprête à passer un nouvel hiver dans le calme et la solitude. Elle va s’occuper de son ravissant cottage et, qui sait, peut-être rêver au grand amour qu’elle espère rencontrer. Cette année pourtant, rien ne se passera comme prévu car un hôte inhabituel a réservé une chambre à l’auberge. Il s’agit de Grayson Thane, un séduisant écrivain américain, qui a l’intention de profiter de la tranquillité des lieux pour écrire son nouveau roman. Brianna attend son arrivée d’un jour à l’autre.
Dessinatrice de talent dans une prestigieuse agence de publicité new-yorkaise, Shannon ne vit que pour sa carrière. Jusqu’au jour où sa mère, mourante, lui révèle la véritable identité de son père Tom Concannon… Bouleversée, Shannon part en Irlande, à la recherche de ses racines. Là, elle oublie peu à peu sa solitude et son chagrin, en découvrant la tendresse d’une famille qu’elle ne connaissait pas: ses sœurs, Maggie et Brianna, leurs maris et leurs enfants. Et aussi le troublant Murphy, poète et agriculteur, convaincu au premier coup d’œil que Shannon est la femme qu’il attendait… Mais, pour la jeune femme, il est temps de rentrer à New York. Pourtant le paysage irlandais possède un charme envoûtant. Et comment refuser l’amour d’un homme qui vous est destiné ?
Les trois sœurs – 1 – Maggie la rebelle
Belle, indépendante, sauvage, Maggie possède un talent incontestable. Dans son petit cottage de l’ouest de l’Irlande, elle souffle le verre et crée de magnifiques oeuvres, dignes des plus grands maîtres verriers. Cette vie solitaire consacrée à l’art, Maggie l’a voulue, choisie. Jusqu’au jour où Rogan Sweeney s’entiche de ses créations. Riche propriétaire de galeries, il n’a plus qu’une idée en tête : les faire connaître au monde entier. Mais comment convaincre la jeune femme de sortir de sa tanière pour venir exposer à Dublin ? Bien entendu, elle refuse énergiquement : il n’en est pas question. Sa tranquillité avant tout ! Rien ni personne ne la fera bouger de son antre. Rogan, lui, est tenace et convaincant. Tant et si bien que Maggie finit – de mauvaise grâce – par accepter. Car cet homme a du charme à revendre..
le cachalot
Une enfance écartelée entre parents et grands-parents, un mariage à dix-neuf ans, trois enfants. Une licence d’allemand, l’enseignement pendant deux ans, puis des traductions. Une vie comme tout le monde… Vers la quarantaine, il rencontre une jeune femme, Elise. C’est l’amour fou, il y investit sa vie. Un matin, il part voir un ami en province. Le soir, Elise n’est plus là. Yves Le Roux sombre alors dans l’alcool, » pour ne rien voir, ne plus rien savoir « . La dérive commence. Quelques mois plus tard, il est SDF. Suivront huit ans de » zone « . La faim, la maladie, l’alcool ( » le dernier refuge « ), la violence, les vols et les agressions, il connaît tout cela pour l’avoir vécu… Aujourd’hui, Yves Le Roux n’en peut plus. Il a de nouveau envie de lire, d’écrire. Alors il raconte… Un témoignage bouleversant sur la marginalité, sur notre société. Un document effrayant. Et si cela n’arrivait pas qu’aux autres ?
Les Desmichels – Tome V – Travaux
Une équipe d’ouvriers italiens, beaux garçons et fieffés coureurs, qui s’installe pour de grands travaux dans un village provençal brûlé de soleil et de passions secrètes, voilà de quoi bouleverser femmes et jeunes filles. Même Florina, la riche héritière au beau visage et aux jambes mortes. Même Vincente Revest, veuve trop jeune, sur le point de conclure un mariage de raison. Même la pauvre Angéline qui se tue à élever ses enfants. Mais les travaux finis, les camions s’en vont. « Tu n’es pas de ces femmes qui suivent un homme, un jour ici un jour là. Tu es de celles à qui il faut un toit sur la tête, une cuisinière avec la provision de charbon et de bois, même une chambre avec de gros rideaux et un coffre qui ferme à clé pour garder les sous. Oui, tu es comme ça et c’est peut-être parce que tu es comme ça que je t’ai tant voulue »…
Les Desmichels – Tome IV – La demoiselle
Rosine Jouve, née Desmichels, veut que sa fille Aubette devienne une demoiselle. Elle en sera une. Mieux, elle sera par définition » la Demoiselle », l’institutrice de campagne qui, au prix d’un travail inhumain, face à la hargne et aux calomnies de tout un village, gagnera quelques centaines de francs par mois pour nettoyer de leur crasse corporelle et cérébrale des générations d’enfants, dont elle devra tuer à la fois les poux et les mauvais instincts. Seule issue, lorsqu’à vingt-cinq ans on est veuve, jolie, pauvre et ardente, un mariage « raisonnable « . Pourquoi faut-il qu’il y ait sur la colline un château ruiné, et le séduisant Georges de Saint-Aime… ?
A soixante jours d’intervalle, deux garçons naissent sur le domaine des Michels, la Guirande. Firmin, c’est l’héritier du nom, de la terre, le fils du maître, le maître de demain. L’enfant de Pascaline la servante s’appelle Pascal, il porte le nom du berger Nans, il sera berger et pourtant le premier conçu, l’enfant de l’amour, c’est lui. Saura-t-il pardonner à sa mère sa passion de jeunesse et dominer celle, irrépressible et partagée, qui le jette vers Félicie, la femme de Firmin… ? Le talent chaleureux et sauvage de Thyde Monnier sert à merveille le drame de Nans et son âme déchirée.
Médecin des trois corps
Qui sont ces guérisseurs philippins qui, d’un tour de main, enlèvent un appendice sans laisser de cicatrice ? D’où viennent ces fragments de chair qu’ils extirpent prestement des entrailles de leurs patients ébahis ? Charlatanisme ou science authentique ? Après la mort de sa mère et la crise qui s’ensuivit, l’auteur, médecin anesthésiste à l’hôpital parisien Broussais, découvre d’autres médecines et se rend à Manille pour suivre l’enseignement d’un célèbre guérisseur, Tony Agpaoa. Le savoir exceptionnel des guérisseurs philippins permettra à Janine Fontaine d’accéder à une réalité invisible. Après une éprouvante initiation, elle observera l’existence de trois corps : physique, énergétique et spirituel. Un plaidoyer troublant pour une médecine globale.
Les vampires de l’espace
Colin Wilson, écrivain anglais aussi fécond que divers, est l’auteur d’essais sur la criminologie, le surnaturel. Il a abordé avec non moins de succès la science-fiction,
Retour de mission, le vaisseau du commandant Carlsen rencontre un immense astronef, masse sombre et immobile dans l’infini de l’espace. Une épave vide sans doute…
Pas exactement : les hommes de Carlsen y découvrent une trentaine de créatures d’apparence humaine, en animation suspendue. Trois d’entre elles — un homme et deux femmes — seront ramenées sur Terre, mais Carlsen est loin de se douter des conséquences atroces de ce « transfert ». Dès leur réveil, les mystérieux passagers de l’astronef révèlent leur nature : ce sont des vampires, affamés d’énergie vitale, et pour leurs victimes c’est la mort immédiate. La destruction des « monstres » est aussitôt décrétée mais l’une des femmes s’échappe. D’autant plus dangereuse qu’elle est extraordinairement belle.
L’espèce humaine est en péril.
Génocides
« Une histoire captivante, étrange et effrayante. » Des arbres titanesques, à la croissance très rapide ont mystérieusement envahi la Terre. Ils colonisent le monde, assèchent mers et lacs, totalement indifférents au destin d’une civilisation humaine en train de disparaître dans ce cataclysme vert. Dans le nord du Minnesota, Anderson, un agriculteur vieillissant, une bible dans une main et une arme à feu dans l’autre, tente désespérément de faire survivre la population d’une petite ville. Mais Jeremiah Orville, un citadin rescapé prêt à se venger et à défendre chèrement sa peau, devient un danger pour le groupe. Arriveront-ils à dépasser leurs différends pour vaincre l’ennemi ? À partir de personnages inoubliables, Thomas Disch dépeint une humanité cruelle, incapable malgré les gestes héroïques et les sacrifices inutiles de faire face à sa plus grande menace : une apocalypse verte à nulle autre égale. Ce grand roman a propulsé Thomas Disch comme l’un des auteurs les plus marquants de la science-fiction.À sa sortie, il fut immédiatementqualifié de chef-d’ uvre à rapprocher des textes de H. G. Wells et de J. G. Ballard.
L’erreur est humaine
Poète et romancier, ami de Nerval et de Baudelaire, il fut l’auteur du fameux Capitaine Fracasse, ainsi que du Roman de la momie. Il voulait offrir du rêve et de l’évasion à ses lecteurs ? Il y a parfaitement réussi.
Peut-on être prêtre et amoureux ? Peut-on aimer la nuit et prêcher le jour ? Question bien embarrassante…
Ajoutez-y une pincée de fantôme. Secouez. Et vous voici dans une mystérieuse histoire d’amour !
Mais rassurez-vous, il ne s’agit que d’un rêve… et d’ailleurs, Clarimonde, la belle courtisane, est morte depuis longtemps…
Mais au fait, que vient-elle faire dans le présent ? Pourquoi trouble-t-elle encore les vivants ? Prenez garde, âme pure, de ne pas succomber aux charmes de cette immortelle ! La beauté dissimule parfois de puissants venins…
L’exorciste
Pour Chris MacNeil et sa fille Reagan, une adolescente de quatorze ans, la vie s’écoule heureuse et aisée dans un quartier bourgeois de Washington.
Et puis, un jour, des bruits étranges résonnent dans la calme demeure, des objets disparaissent, des meubles sont déplacés. Quant à Reagan, d’étranges métamorphoses la défigurent, des mots obscènes jaillissent de sa bouche.
Tandis que peu à peu la personnalité de l’enfant se dédouble et se disloque, face aux médecins impuissants, des profanations souillent une église voisine, un crime mystérieux a lieu sous les fenêtres des MacNeil. La police trop perspicace est saisie d’horreur devant l’atroce vérité. Damien Karras , prêtre et psychiatre, sera-t-il le seul recours?
William Peter Blatty est né à New York. Après une carrière universitaire, il est devenu journaliste, puis s’est tourné vers la littérature et le cinéma.
Le dernier jour de Diana
31 août 1997. Au petit matin, la nouvelle tombe, incroyable, irréelle : la princesse de Galles et Dodi al-Fayed viennent de trouver la mort à Paris, dans un banal accident de la route. Dès l’annonce du drame, la BBC impose le deuil sur son antenne et toutes les télévisions du monde bouleversent leurs programmes. Seul Buckingham Palace reste muré dans un silence incompréhensible… Un an et demi plus tard, de nombreuses questions demeurent. Quelles sont les vraies raisons de l’accident ? Comment le prince Charles et la reine ont-ils réagi en apprenant la mort de la princesse ? Pourquoi la mère du futur roi d’Angleterre circulait-elle à Paris sans escorte officielle ? Quel rôle exact joua Mohamed al-Fayed dans la rencontre de Diana et de Dodi ? Avec ce talent de conteur et ce souci du détail qui ont fait le succès de ses précédentes biographies, Christopher Andersen retrace heure par heure les dernières semaines de la princesse des coeurs et met à jour de troublantes révélations. Un livre-hommage, mais aussi un livre-vérité…
Mirror
Marlène, fidèle à son inconstance, attrape des amants comme on prend des cachous, l’un après l’autre. On se rencontre rose bonbon. Elle en veut, à pleine bouche. S’empiffrer, évacuer, et remettre ça. Alors, de bobard en bobard, on se ment. Surtout à soi-même. A chaque mâle carbonisé, elle rend son tablier : elle largue. Le coeur gris, lentement, ça contamine. Sentimentale, la douleur, toute noire. Rien à redire. Rien. Bien sûr, il y a Léo le transi, l’inoubliable, celui qui vous oublie presque toujours. On rigole jaune avec Alex et sa tauromachie de couloir. Et puis il y a Jean-Paul et les conventions de la trop bonne bourgeoisie, Mike et son grand bazar bariolé d’Amérique, son nabot de papa sur la maxi-tondeuse, sa grosse poupée barbante de mère. Las Vegas et son néant de néons. Et la rechute à Gennevilliers. Les mots de Mirror sont comme les amants de Marlène : ils ont un goût amer et sucré de remettez-moi ça.
Vent de panique chez Daisy
Une pittoresque auberge nichée dans la campagne de Gloucestershire. Mais pas l’ombre d’une mémé en tailleur de tweed sirotant du thé. Oh non ! Colworth Manor a beau être un joyau architectural pétri de traditions et planté de cèdres centenaires, il s’en passe des vertes et des pas mûres entre ses vénérables murs. Daisy Mac Lean, la jeune veuve qui dirige l’hôtel familial, en sait quelque chose.
Forever
Je m’appelle Charles P. Castle, j’ai trente-deux ans et je m’apprête aujourd’hui à passer la dernière nuit de ma vie. Demain matin, je serai pendu pour meurtre. Moi qui n’ai jamais fait de mal à une mouche… Personne ne croit à mon innocence, ni au récit de mes aventures. Sir Arthur Conan Doyle, qui est à l’origine de toute l’affaire, aurait pu intervenir en ma faveur et me sauver. Hélas, il ne l’a pas fait ! Pourtant, à la veille de mourir, ce qui me rend le plus malheureux, c’est que je vais emporter dans la tombe le secret le plus extraordinaire de tous les temps. Un secret susceptible de modifier à jamais la vision de l’humanité et qui disparaîtra avec moi. Alors de grâce, accordez-moi une ultime faveur : écoutez mon histoire.
Blonde ou brune ?
La jeune avocate londonienne Evelyn est invitée par son nouveau coup de foudre à passer trois semaines dans un hôtel de luxe à Hollywood. Mais à peine arrivée, les choses se compliquent : Rory lui présente une jolie blonde siliconée dont il semble très proche… Et à Los Angeles, tout se passe toujours différemment… Comment vivre une vie glamour de blonde quand on est aussi brune ? Evelyn peut-elle abandonner sa folle vie de célibataire et l’Angleterre pour les bizarreries américaines ? Et s’il fallait juste se teindre les cheveux ?
Du premier regard jusqu’aux noces d’or, les mots construisent nos couples… ou les détruisent ! Découvrez et déjouez dans la bonne humeur les pièges qui menacent une aventure à deux. Explorez les points de vue pour mieux comprendre l’autre et dialoguer autour de ce qui peut agacer. Dans une époque qui oppose trop souvent femmes et hommes, un vrai couple pose enfin un regard croisé, positif et plein d’humour, sur la façon dont chacun fonctionne, jusque dans ses travers… Voici la plus abordable et la plus joyeuse des thérapies de couple. Riez de ces redoutables petites phrases, évitez de les prononcer, et vivez heureux ensemble !
Ensemble, c’est tout
Camille dessine. Dessinait plutôt, maintenant elle fait des ménages, la nuit. Philibert, aristo pur jus, héberge Franck, cuisinier de son état, dont l'existence tourne autour des filles, de la moto et de Paulette, sa grand-mère. Paulette vit seule, tombe beaucoup et cache ses bleus, paniquée à l'idée de mourir loin de son jardin. Ces quatre là n'auraient jamais dû se rencontrer. Trop perdus, trop seuls, trop cabossés… Et pourtant, le destin, ou bien la vie, le hasard, l'amour – appelez ça comme vous voulez -, va se charger de les bousculer un peu. Leur histoire, c'est la théorie des dominos, mais à l'envers. Au lieu de se faire tomber, ils s'aident à se relever.
Des mots d’amour
Luke Cameron est un metteur en scène renommé de New York, avec un agenda bien rempli, des maîtresses occasionnelles et peu encombrantes et une absence quasitotale de vie affective. Le jour où il apprend la mort de sa grand-mère adorée, ex-grande comédienne qui l’a élevé dans le culte et l’amour du théâtre, se rompt sa seule véritable attache. Il se rend en Italie, où la vieille dame s’était retirée, afin de régler sa succession. Il découvre, parmi les mille et un souvenirs d’une vie chatoyante, un coffret précieux rempli de lettres de Jessica Fontaine, une actrice fort célèbre mystérieusement disparue de la scène quelques années plus tôt à la suite d’un terrible accident ferroviaire. De cette femme croisée en quelques occasions, il garde l’image d’une comédienne talentueuse mais d’une personnalité peu attachante. Par jeu, il commence toutefois à parcourir sa correspondance. Peu à peu, il découvre à travers ses mots les plus intimes une femme intelligente, sensible, passionnée, chaleureuse et brisée par l’accident qui a failli la tuer. Bientôt, ces lettres deviennent une obsession.
Une autre femme
Ce soir, Craig n’est pas revenu. Eperdue d’inquiétude, Katherine cherche à comprendre : dix ans de mariage, deux enfants, un bonheur tranquille et inébranlable, croyait-elle. Les recherches restent vaines, les jours passent, aucune nouvelle de Craig. Katherine doit vendre la maison, chercher du travail. Et surtout, publier un avis de recherche. A sa grande surprise, Victoria Hayward, une vieille dame richissime, se manifeste : cette photo de Craig, c’est son propre petit-fils ! Mort noyé quinze ans auparavant. Peu à peu, Katherine va découvrir le passé confus d’un homme qu’elle croyait transparent. Vengeances perfides, passions orageuses, Katherine bascule dans un monde inconnu. Métamorphose fascinante d’une femme que seul un amour fou saura épanouir. Judith, pour Judith Barnard, journaliste, auteur de films et de romans ; Michael Fain, chercheur et photographe. Leurs deux noms associés sont synonymes de best-sellers.
Tant d’étés perdus
Dans le décor sauvage et somptueux de l’Afrique du Sud, non loin du cap de Bonne-Espérance, Tant d’étés perdus a pour héroïne Anna Van Achtenburgh, fille d’un riche propriétaire dans une région où l’on s’échine à cultiver un sol rude et battu par les vents. En 1938, Anne tombe amoureuse de Simon Smit, beau et jeune fermier sans fortune, qu’elle épouse contre le gré de son père. Déshéritée, traitée sans ménagement par un mari qui ne voit en elle qu’une femme soumise, Anne va n’avoir de cesse de prouver aux deux hommes de sa vie qu’elle réussira malgré eux. Commence alors pour la jeune femme un destin exceptionnel, fait de luttes et de déceptions, mais aussi de grands bonheurs. Pour son premier roman, Madge Swindells nous entraîne dans une saga inoubliable que la presse anglosaxonne a comparée aux « Oiseaux se cachent pour mourir ».
J’ai encore menti !
Laura se pose beaucoup de questions. Comment réussir sa vie? Est-il possible de manger tout ce que l’on aime sans prendre dix kilos? Comment trouver l’amour? Trop de doutes pour être heureuse, trop d’envies pour se contenter du banal. Jusqu’au jour où un accident va complètement effacer sa mémoire….
Gilles Legardinier confirme brillamment qu’il n’a pas son pareil pour allier le rire à l’émotion. Qui n’a jamais rêvé de tout oublier pour recommencer ? Attention : les scènes de cette comédie sont vécues par des non-professionnels, il est vivement conseillé de les reproduire chez vous !
Céline Espérin nous emporte avec légèreté aux cotés de Laura, héroïne drôle et attachante,
qui ne recule devant rien malgré cette nouvelle vie où elle a désormais tout à apprendre…