Ne compte pas les heures
Confrontés à la maladie, un homme et une femme s’aiment enfin. Apparemment, Mattie Hart, trente-six ans, marchand d’art de Chicago, a tout pour être heureuse. Un mari avocat, le plus brillant sans doute de la ville, une fille adorable, une ravissante maison, un métier qu’elle adore.
Ne me racontez pas d’histoire
Brillante avocate, Jess Koster a réussi à faire poursuivre pour meurtre et viol Rick Ferguson. Mais la femme qu’ il a violée disparait brusquement et Jess fait un rapprochement avec la disparition mystérieuse de sa mère quelques années plus tôt. Jess va avoir toutes les raisons de se méfier des hommes qui l’ entourent : son collègue marié qui la poursuit de ses assiduités ; son beau-frère, macho impénitent ; son ex-mari dominateur qui a l’art de surgir dans les endroits les plus inattendus, et jusqu’à l’homme dont elle tombe amoureuse mais qui semble étrange, intrigant, voire suspect….
Qu’est-ce qui fait courir Jane ?
Jane ne sait plus qui elle est, ni où elle habite, ni où elle va. Elle erre dans les rues de Boston. Elle a dix mille dollars en poche et sa robe est tachée de sang frais… Hospitalisée, elle retrouve son mari, un médecin réputé qui entreprend de lui rappeler leur vie commune. Mais peu à peu le soupçon naît en elle: Michael est-il bien son mari? Ce passé qu’on lui présente comme le sien est-il authentique? A moins qu’on ait voulu faire d’elle la criminelle idéale, dans cette bourgeoisie bostonienne où l’on sait si bien se taire et observer les convenances…Avec cette odyssée d’une femme amnésique, qui se bat seule contre l’angoisse de l’inconnu, Joy Fielding impose dans le thriller un ton singulièrement neuf, une authentique voix féminine.