Pour l’amour d’un stradivarius
Coup de foudre, drame et heureux dénouement. Rien ne manque à cette aventure aux héros peu banals : Pierre Amoyal, l’un des plus talentueux violonistes du monde, et le Kochanski, un stradivarius, dérobé puis retrouvé quatre années plus tard après de rocambolesques péripéties. // En 1987, « l’âme sœur » de Pierre Amoyal est dérobée. Pour le soliste, c’est pire qu’un vol : une amputation. Pendant quatre ans, il vivra des aventures dignes de Rouletabille pour récupérer son instrument : fausses demandes de rançons, antiquaires véreux, collectionneurs peu clairs, policiers bizarres mènent une curieuse ronde pour garder ou revendre ce violon rarissime. // Un polar qui se double d’une extraordinaire autobiographie, pleine de verve et d’émotion. Celle d’un jeune prodige qui, à sept ans, décide qu’il sera violoniste, et est à vingt ans un virtuose international. // À sept ans, Pierre Amoyal décide qu’il sera violoniste. Enfant prodige, il entre au conservatoire de Paris à douze ans, à dix-sept ans il part pour devenir, aux États-Unis, l’élève du grand Heifetz. À vingt ans, il est l’un des plus grands solistes du monde. Enseignant au conservatoire de Paris à vingt-huit ans, il transmet à ses élèves l’héritage de ses prédécesseurs. Homme de passion et de cœur, il s’engage dans des spectacles bien loin des classiques concerts musicaux et ira jusqu’à monter un spectacle avec l’écrivain-clown, spécialiste des enfants autistes, Howard Buten.