Belles galères
Dans un immeuble de la Plaine Monceau, un oisif richissime s’aperçoit que le vieux locataire qu’il avait pour tâche de déloger a découvert l’immortalité. Et aussi qu’il a une nièce ravissante, Cécilia. Dans un appartement du passage des Panoramas, André Berthold, nègre littéraire de son état, découvre des lettres d’amour oubliées, et part à la recherche de la femme mystérieuse, M., qui les a écrites. Deux arnaques énormes, monstrueuses. Mais aussi deux histoires d’amour, et deux femmes, de ces croqueuses de diamants et de cœurs qui savent emmener les hommes sur de merveilleuses galères. Ce sont deux entourloupes que nous conte Cauvin. Mais on a si bien marché qu’on ne lui en veut bas de nous avoir roulés dans la farine. Jean Contrucci, Le Provencal.
Povchéri
J’avais onze ans dans l’été 43. C’était la guerre. J’en ai donc soixante et onze en cet hiver 2003 et c’est encore la guerre. Pas la même ; la Troisième mondiale. Petit bonhomme en galoches soumis aux restrictions ou vieillard déambulant dans un couloir d’hôpital, c’est quand même toujours moi, Povchéri. Ceci est mon journal de début et de fin.
C’était le Pérou
Entre Bezons (banlieue de Paris) et le Machupicchu, entre la France et le Pérou, il y a plus de dix mille kilomètres. Quatre homihes, aussi différents que l’on puisse être, vont les franchir le temps des vacances. Leur rencontre, dans une voiturè bringuebalante cheminant entre 3000 et 5 500 mètres d’altitude sur la route des Andes, va non seulement les entraîner dans d’abracadabrantes aventures, mais aussi changer à jamais leur vie.
Monsieur Papa
Franck Lanier avait tout arrangé pour les vacances. Il casait son fils chez son ex-femme et lui filait à Bangkok. Mais son petit garçon, Laurent, n’est pas du tout d’accord. Il veut, lui aussi, partir pour Bangkok. Tous les moyens seront bons pour parvenir à ses fins, des plus drôles aux plus désespérés et des aventures peu banales se succèdent dans une vie quotidienne pleine de tendresse entre le père et le fils. Par l’auteur de « L’Amour aveugle », ce roman alerte, rempli d’humour, est un des grands succès de ces dernières années.
Haute-Pierre
Un homme, une femme et un enfant surdoué s’installent pour quatre saisons qui s’annoncent merveilleuses dans un vieux manoir, Haute-Pierre. Après un été splendide, l’automne se referme sur Haute-Pierre où d’étranges phénomènes se produisent soudain. Mais, aujourd’hui, qui peut encore croire aux maisons hantées ?
Jardin Fatal
Marié avec Hélène et papa d’un petit Max-Max, Alan Falken mène une vie heureuse. Après avoir enseigné à l’université, il travaille pour la société américaine Rexmond comme directeur de recherche dans une unité française de biologie végétale. Passionné, il a même installé une serre avec des rosiers dans son appartement. Antoine, un de ses principaux collaborateurs, a mis au point un produit qui, administré à l’une des plantes, en modifie la structure et le comportement. Plusieurs matins de suite, Alan découvre sous ses fenêtres un moineau mort, puis plusieurs volatiles décapités. Un début d’explication se fait jour lorsqu’il se rend compte que le rosier traité par Antoine a quitté la serre. Est-ce cette plante qui, douée d’une activité cérébrale, a tué les moineaux ? Bientôt le chat Olibrius subit le même sort. Puis le rosier tente d’étrangler Max-Max. Un peu plus tard, Hélène, agressée par la plante dans son véhicule, est victime d’un accident. La mort verte vient-elle d’être inventée ?
Jardin Fatal
Marié avec Hélène et papa d’un petit Max-Max, Alan Falken mène une vie heureuse. Après avoir enseigné à l’université, il travaille pour la société américaine Rexmond comme directeur de recherche dans une unité française de biologie végétale. Passionné, il a même installé une serre avec des rosiers dans son appartement. Antoine, un de ses principaux collaborateurs, a mis au point un produit qui, administré à l’une des plantes, en modifie la structure et le comportement. Plusieurs matins de suite, Alan découvre sous ses fenêtres un moineau mort, puis plusieurs volatiles décapités. Un début d’explication se fait jour lorsqu’il se rend compte que le rosier traité par Antoine a quitté la serre. Est-ce cette plante qui, douée d’une activité cérébrale, a tué les moineaux ? Bientôt le chat Olibrius subit le même sort. Puis le rosier tente d’étrangler Max-Max. Un peu plus tard, Hélène, agressée par la plante dans son véhicule, est victime d’un accident. La mort verte vient-elle d’être inventée ?
C’était le Pérou
Entre Bezons (banlieue de Paris) et le Machupicchu, entre la France et le Pérou, il y a plus de dix mille kilomètres. Quatre hommes, aussi différents que l’on puisse être, vont les franchir le temps des vacances. Leur rencontre, dans une voiture bringuebalante cheminant entre 3000 et 5 500 mètres d’altitude sur la route des Andes, va non seulement les entraîner dans d’abracadabrantes aventures, mais aussi changer à jamais leur vie.
Menteur
« Dans la salle d’attente du docteur Pamphile, Antoine Berthier attend. Regardez-le : il n’a l’air de rien. Pas plus anonyme et passe-partout que lui. Qui peut se douter que sa vie est cascadeuse, dangereuse, vertigineuse, amoureuse, calamiteuse et merveilleuse, cela pour une raison unique : Antoine Berthier est un menteur. Un immense et incorrigible menteur, un aventurier du bobard, un pro du boniment, un spécialiste de l’artifice, bref, quelqu’un comme vous et moi. ».
Villa Vanille
Depuis longtemps ils étaient les maîtres de cette île paradisiaque. Leurs terres s’étendaient sur des milliers d’hectares au pied de la montagne. La Seconde Guerre mondiale avait passé au loin sans troubler la paix de l’île rouge. Pourtant, l’empire colonial français était miné de l’intérieur. En 1947, Madagascar s’embrase. Cette histoire tragique et oubliée, Patrick Cauvin la fait revivre ici autour d’une famille de colons, les Arians. Leur histoire, leurs conflits, leurs passions composent une fresque flamboyante et sensuelle, où la violence de l’Histoire jette des reflets de sang. C’est l’Autant en emporte le vent des colonies françaises que nous offre, sur la toile de fond d’une nature grandiose, le romancier de Rue des Bons-Enfants (prix des Maisons de la presse 1990) et d’E = MC2 mon amour.
Rue des bons-enfants
En cet été 1922, le soleil ruisselle sur Marseille. La foule se presse parmi les palais hindous de l’Exposition coloniale. C’est là, sur un manège, que se rencontrent Pascal et Séraphine. Ils ont huit ans. Ils grandissent, s’aiment, se quittent, se retrouvent. La guerre surgit, l’Occupation déchire la France, collaboration, trafics, destructions. Un monde s’achève, un autre commence, mais il reste au couple le refuge de toujours, la vieille rue au centre de la cité meurtrie : la rue des Bons-Enfants. Cet hymne tendre et coloré à la ville de son enfance a valu le prix des Maisons de la Presse 1990 au romancier de E = MC2, mon amour et de Werther, ce soir…
Povchéri
« J’avais onze ans dans l’été 43. C’était la guerre. J’en ai donc soixante et onze en cet hiver 2003 et c’est encore la guerre. Pas la même ; la Troisième mondiale. Petit bonhomme en galoches soumis aux restrictions ou vieillard déambulant dans un couloir d’hôpital, c’est quand même toujours moi, Povchéri. Ceci est mon journal de début et de fin. Malgré tout, et dans l’ensemble, ce fut parfois rigolo de vivre. » Patrick Cauvin n’a pas son pareil pour rendre dans sa fraîcheur et sa vérité le monde de l’enfance. Et sa vision du monde « adulte », dans un futur qui s’approche dangereusement, est d’une force saisissante. Povchéri est un roman tendre, drôle, émouvant. Povchéri est un très grand Cauvin.
Werther, ce soir…
En cette fin des années 80, Orlando Natale est le meilleur ténor du monde. Du Metropolitan de New York à la Scala de Milan, de Covent Garden au Palais-Garnier, les foules se pressent pour l’entendre. De tous les rôles qu’il interprète, celui qu’il préfère est Werther… Et un soir, au théâtre de Mannheim, sous des tempêtes d’applaudissements, il rencontre Carola K. À partir de cet instant, l’Opéra et la Vie commencent à se ressembler étrangement… Des coïncidences se produisent à Munich, à Vienne, jusqu’à ce qu’arrive enfin la nuit de Venise où tout s’embrase dans le déferlement de l’orchestre et où théâtre et réalité se confondent.