Pétain et De Gaulle (secrets d’état)
Le XXème siècle couvre les événements les plus passionnants, les plus mystérieux, mais aussi les plus tragiques de la France contemporaine. Au coeur du demi-siècle, une grande tragédie nationale et un grand drame humain ont séparé deux chefs, jadis unis par les liens très étroits d’une admiration profonde: Philippe Pétain et Charles De Gaulle.
J’ai quinze ans et je ne veux pas mourir
A PARTIR DE 13 ANS – Pendant la Seconde Guerre mondiale, à Budapest, une jeune fille de quinze ans est réfugiée dans la cave de son immeuble avec ses parents. Elle tient un journal dans lequel elle raconte la frayeur de tous les instants, la survie, l’organisation de la vie quotidienne, l’espoir, et bientôt la fuite vers la liberté.
Étoile errante
Pendant l’été 1943, dans un petit village de l’arrière-pays niçois transformé en ghetto par les occupants italiens, Esther découvre ce que peut signifier être juif en temps de guerre : adolescente jusqu’alors sereine, elle va connaître la peur, l’humiliation, la fuite à travers les montagnes, la mort de son père. Une fois la guerre terminée, Esther décide avec sa mère de rejoindre le jeune État d’Israël. Au cours du voyage, sur un bateau surpeuplé, secoué par les tempêtes, harcelé par les autorités, elle découvrira la force de la prière et de la religion. Mais la Terre promise ne lui apportera pas la paix : c’est en arrivant qu’elle fait la rencontre, fugitive et brûlante comme un rêve, de Nejma, qui quitte son pays avec les colonnes de Palestiniens en direction des camps de réfugiés. Esther et Nejma, la Juive et la Palestinienne, ne se rencontreront plus. Elles n’auront échangé qu’un regard, et leurs noms. Mais, dans leurs exils respectifs, elles ne cesseront plus de penser l’une à l’autre. Séparées par la guerre, elles crient ensemble contre la guerre. Comme dans Onitsha, avec lequel il forme un diptyque, on retrouve dans Étoile errante le récit d’un voyage vers la conscience de soi. Tant que le mal existera, tant que des enfants continueront d’être captifs de la guerre, tant que l’idée de la nécessité de la violence ne sera pas rejetée, Esther et Nejma resteront des étoiles errantes.
La Liste de Schindler
« Les survivants se rappellent cette liste avec une telle émotion que la réalité se brouille. La liste, c’était le bien absolu. C’était la vie. Au-delà de ces quelques feuillets bourrés de noms, il n’y avait plus qu’un trou noir. » Traité comme un roman, « La liste de Schindler » est un hommage à l’Allemand Oskar Schindler. Durant la Seconde Guerre mondiale, ce dernier utilisa sa position dominante et ses relations parmi les SS pour sauver mille deux cents Juifs d’une mort certaine. La liste recensait les ouvriers qu’il comptait faire transférer de Pologne en Tchécoslovaquie, et pour lesquels il n’hésita pas à dépenser plus de cent mille reichmarks en pots-de-vin. Aujourd’hui, un arbre à Jérusalem porte son nom.
Miroir de nos peines
Avril 1940. Louise, trente ans, court, nue, sur le boulevard du Montparnasse. Pour comprendre la scène tragique qu’elle vient de vivre, elle devra plonger dans la folie d’une période sans équivalent dans l’histoire où la France toute entière, saisie par la panique, sombre dans le chaos, faisant émerger les héros et les salauds, les menteurs et les lâches… Et quelques hommes de bonne volonté. Il fallait toute la verve et la générosité d’un chroniqueur hors pair des passions françaises pour saisir la grandeur et la décadence d’un peuple broyé par les circonstances.
Un sang d’aquarelle
Paris, 1942. Constantin von Meck, metteur en scène allemand qui a fait l’essentiel de sa carrière à Hollywood, tourne un film pour la U.F.A. Il ironise sur ses compatriotes, s’insurge contre les brutalités policières, tente de sauver deux techniciens juifs, est révolté par une scène de torture, mais il ne remet fondamentalement en cause ni l’Allemagne nazie, ni la collaboration, ni sa propre attitude. Il aime la vie et les femmes – surtout la sienne, la belle Wanda. Il aime les hommes, les personnages extravagants et le rire. Séduisant, bruyant, drôle lui-même, il avoue pourtant avoir du « sang d’aquarelle ». Il lui faudra la révélation de l’horreur devant laquelle, d’abord, il recule pour affronter finalement son destin, au terme d’une existence placée sous le double signe de la comédie et de la tragédie.
Par amour
« Tout comme mes grands-parents, ma mère parlait peu de la guerre. Ou bien seulement avec d’autres Havrais. Je devinais pourtant qu’ils avaient vécu l’enfer. Un jour, j’ai saisi les raisons de ce silence. La ville n’avait pas seulement été occupée par les Allemands. Nos propres alliés, les Anglais, l’avaient bombardée sans relâche, puis détruite, assassinant nombre de ses habitants. Ce n’était pas une chose à dire.
Alors, j’ai voulu comprendre. Il a fallu retrouver des témoins du drame. Exhumer des archives. Ce que j’ai découvert m’a éclairée sur ce qu’est le courage, l’abnégation, et sur l’amour, qui était demeuré leur seul carburant. »
Voici donc l’histoire de deux familles havraises emportées dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale. D’un côté, Joffre et Emélie, concierges d’école durs au mal, patriotes, et leurs enfants ; de l’autre, le clan de Muguette, dont l’insouciance sera ternie par la misère et la maladie.
Du Havre à l’Algérie où certains enfants seront évacués, des chemins de l’exode au sanatorium d’Oissel, ce roman choral met en scène des personnages dont les vies secrètes s’entremêlent à la grande Histoire, et nous rappelle qu’on ne sait jamais quelles forces guident les hommes dans l’adversité.
La femme de l’officier nazi
L’arrestation par la Gestapo, le confinement dans le ghetto juif de Vienne, l’étoile jaune sur le manteau et l’insigne « J » sur les papiers, l’envoi dans un camp de travail… Prisonnière de cette spirale infernale, Edith Hahn ne devra sa survie qu’à une amie chrétienne dont elle empruntera l’identité afin de gagner Munich, où elle rencontre Werner Vetter, un nazi, qui tombe amoureux d’elle et l’épouse en dépit de sa condition juive. Edith, jusqu’alors méprisée et persécutée, devient dès lors une citoyenne aryenne modèle, et la mère du seul enfant-juif né dans un hôpital du Reich en 1944. Désormais réfugiée dans un silence lucide, elle s’interdit de penser, se replie sur elle-même, un moyen comme un autre de « traverser l’enfer sans se brûler ». Ce récit sans égal relate à la fois le combat d’un être humain pour la vie et la tragédie déchirante de la perte d’identité.
La Liste de Schindler
« Les survivants se rappellent cette liste avec une telle émotion que la réalité se brouille. La liste, c’était le bien absolu. C’était la vie. Au-delà de ces quelques feuillets bourrés de noms, il n’y avait plus qu’un trou noir. » Traité comme un roman, « La liste de Schindler » est un hommage à l’Allemand Oskar Schindler. Durant la Seconde Guerre mondiale, ce dernier utilisa sa position dominante et ses relations parmi les SS pour sauver mille deux cents Juifs d’une mort certaine. La liste recensait les ouvriers qu’il comptait faire transférer de Pologne en Tchécoslovaquie, et pour lesquels il n’hésita pas à dépenser plus de cent mille reichmarks en pots-de-vin. Aujourd’hui, un arbre à Jérusalem porte son nom.
Survivre avec les loups
Fillette juive d’origine belge, Misha a 8 ans quand ses parents sont emmenés par la Gestapo puis déportés. Pour les retrouver, elle fuit la famille qui l’a recueillie avec comme seule idée fixe : » aller vers l’est « . Misha entreprend alors une quête folle. Traversant la Belgique, l’Allemagne, la Pologne, endurant le froid et la faim, Misha marche inlassablement. Sur son chemin, seuls les loups lui offrent une compagnie réconfortante. Auprès d’eux, elle apprendra à survivre.
L’holocauste dans l’histoire
L’extermination systématique des Juifs d’Europe par les nazis occupe une place troublante dans l’histoire de notre époque. Comment décrire un événement aussi horrible ? Le nom même d’Holocauste, dont l’usage ne s’est répandu qu’après 1960, semble vouloir renforcer le caractère intangible d’une expérience extrême qui se situerait pour ainsi dire en dehors de l’histoire. Pourtant, depuis 20 ans, l’Holocauste est devenu un objet historique, où la rigueur, le détachement et l’objectivité ont pris le pas sur la passion sans nuire à l’émotion retenue. C’est le sujet de ce livre : Michael Marrus dégage les questions essentielles que les débats ont longtemps obscurcies. Comment la politique nazie a-t-elle évolué vers l’extermination de masse ? Comment évaluer le rôle des collaborateurs (gouvernements et sociétés), mais aussi celui des Alliés, des témoins, des Juifs eux-mêmes ? Que savait-on vraiment pendant la guerre en Allemagne, dans les territoires occupés, chez les Alliés ? Quelle fut la politique du Vatican ? Comment les nazis eux-mêmes négocièrent-ils, pendant et à la fin de la guerre, la fin du martyre juif ? Comment, enfin, écrire une telle histoire, apprécier documents et témoignages ? Écrit de manière mesurée et sensible, ce livre accessible au plus large public prend acte, avec lucidité, des progrès de l’enquête où l’intelligence historienne analyse les conditions de l’horreur innommable.
«J’avais autre chose à dire que la vie des camps. Elle est connue de tous ceux qui ont bien voulu la connaître… Je voulais témoigner d’autre chose, non de la mort mais de la vie. Je voulais témoigner de mon triomphe par la naissance d’une enfant, et de sa survie…»
Tout juste mariée en ce printemps 44, Madeleine est déportée. Destination Ravensbrück. Etre enceinte n’offre aucun avantage dans ce camp. Bien au contraire…
Mais Madeleine fera tout pour garder en vie l’enfant qu’elle porte, aidée par ses compagnes, toutes solidaires. En donnant la vie, elle-même naît une seconde fois, surmontant horreur et violence.
C’est ce parcours qu’elle nous décrit, sa transformation profonde au sein d’un monde inhumain…
Dès 1940, avec la déclaration obligatoire des Juifs dans les commissariats, se préparait « l’opération Etoile jaune » La rafle du Vél d’Hiv de l’été 1942 allait commencer. Grâce à des documents d’archives inédits, M. Rajsfus reconstitue cette journée du 16 juillet. Un livre essentiel, en mémoire de ces 13 000 Juifs arrêtés et déportés.
La Passion Savinsen
A Norhogne, une propriété isolée dans la forêt ardennaise, Jeanne, vingt ans, vit entre son grand-père Tobias, perdu dans ses souvenirs d’ancien marin, et sa jeune soeur Camille, une sauvageonne. On est en 1941. Le père de Jeanne est prisonnier dans un oflag. Et l’armée allemande réquisitionne la grande maison.La rencontre de Jeanne avec Matthäus, l’officier qui commande la compagnie, va la précipiter malgré elle dans une passion étrange, qui se doublera du désir d’éprouver ce que fut le secret amour de sa mère.De ces liaisons interdites, François Emmanuel exprime l’intensité contenue dans un récit dense, précis, économe, qui mènera les destins de la lignée des Savinsen jusqu’au lieu de leur embrasement.Ce roman a été couronné en Belgique par le prix Rossel 1998.
Heydrich, l’homme clé du IIIème Reich
Reinhard Heydrich fut parmi les dirigeants nazis l'un des plus féroces et des plus craints. Cet ancien officier de marine fut distingué par Himmler et mis à la tête du SD, le service de sécurité de la SS. Ayant ainsi autorité sur les services secrets et la Gestapo, il eut entre les mains une puissance qui n'était guère dépassée que par celle de Hitler lui-même. Il fut avec Himmler l'un des concepteurs de la » solution finale de la question juive Nommé protecteur de Bohême-Moravie, le « bourreau de Prague » fut abattu en 1942, à trente-huit ans, par des résistants tchèques. Son voeu ultime fut que la destruction des Juifs soit menée à bien. L'apport essentiel d'Edouard Calic est de dévoiler dans cet ouvrage le rôle joué dans l'ombre par Heydrich dans toutes les provocations et attentats orchestrés par les nazis.
Les 186 marches (Mauthausen)
Christian Bernadac, né le 1er août 1937 à Tarascon (aujourd’hui Tarascon-sur-Ariège) et mort le 12 décembre 2003 à Compiègne1, est un journaliste et écrivain français. Ses ouvrages sur la déportation ont connu un succès public considérable dans les années 1960-1970.
Forteresse moyenâgeuse de granite et de béton sur-plombant le Danube, encerclée d’un infranchissable réseau électrifié de barbelés, le camp de Mauthausen, aux 150 000 morts, fut pendant des années le calvaire quotidien de plusieurs milliers de détenus.
Mauthausen, c’est avant tout « Les 186 Marches », « Le Grand Escalier » qu’il faut gravir, chargé de pierres, dans la bousculade du pas de course, sous les coups de crosse ou du gummi, tous les jours par tous les temps, avec sa faim, avec sa soif, avec sa peur, que l’on soit trop jeune ou trop vieux, agonisant ou convalescent. Mais Mauthausen, camp d’extermination par le travail, c’est aussi le camp d’extermination « par traitements plus raffinés et secrets », réservés à certaines catégories spéciales de déportés : républicains espagnols, Tchécoslovaques après l’attentat contre Heydrich, prisonniers de guerre soviétiques, Français Nuit et Brouillard, etc. // « Les 186 Marches » est un nouveau chapitre de cette enquête historique sans précédent, consacrée par Christian BERNADAC à la déportation. Des centaines de témoignages inédits et de dépouillement d’archives jusqu’ici inaccessibles ont permis à l’auteur de retracer la vie et la mort quotidienne de Mauthausen, mais aussi les événements de l’histoire du camp les plus spectaculaires et les plus méconnus.
Au nom de tous les miens
De la guerre, le petit Martin connaîtra tout : les privations, les humiliations, la peur durant le temps passé au ghetto de Varsovie, l’horreur absolue des camps nazis à Treblinka, la fureur de vivre quand il s’en échappera caché sous un camion, l’abattement et aussi le suprême courage quand il apprendra qu’il a perdu tous les siens…Et puisqu’il faut bien vivre, il s’engagera ensuite dans l’Armée rouge, puis partira aux Etats-Unis… Enfin la paix reviendra. Martin reconstruit alors sa vie et rencontre le grand amour en la personne de Dina. C’est dans le sud de la France, par une journée d’été éclatante, que le destin le blessera à nouveau – à mort – en décimant ceux qui lui sont le plus chers. Ce récit de vie, extraordinairement dramatique, a fait le tour du monde. Traduit dans plus de vingt langues, adapté au cinéma par Robert Enrico (avec dans les rôles principaux Michael York et Brigitte Fossey), devenu ensuite un feuilleton, il continue à toucher des millions de lecteurs car son message de courage, mais aussi d’espérance, est universel.
Les mannequins nus (3 volumes)
Christian Bernadac, né le 1er août 1937 à Tarascon (aujourd’hui Tarascon-sur-Ariège) et mort le 12 décembre 2003 à Compiègne1, est un journaliste et écrivain français. Ses ouvrages sur la déportation ont connu un succès public considérable dans les années 1960-1970.
LES MANNEQUINS NUS : Série en 3 volumes consacrée aux cemps de femmes
Volume 1 – Les mannequins nus – Volume 2 : Le camp des femmes, Ravensbrück – Volume 3 : Kommandos de femmes. // « On plonge dans les documents de ceux qui ont vécu ces horreurs par leurs propres mots avec des données historiques de Christian Bernadac. Un roman qui nous montre une nouvelle fois le combat de ces personnes, car ce sont des personnes quelque soit leur religion, leur apparence ! L’homme est un loup pour l’homme. Chacun cherche un moyen de résister, de vivre. Malgré les groupes qui se forment, qui se soudent pour arriver à rester vivants ; les bas coups, la jalousie … font partie du quotidien !
C’est tellement horrible qu’on ne peut s’imaginer, alors il faut lire ce genre de livres pour ressentir avec les mots de ces femmes, les lettres qui nous sont parvenues pour ne pas les oublier ! Il y ces femmes, ces militantes qui ont toujours gardé la tête haute, aidant les autres du mieux qu’elles pouvaient puis certaines qui se sont rabaissées espérant un sursis qui ne leur a pas été accordé. Un livre d’Histoire, à avoir dans sa bibliothèque ! ».
Les canons de Navarone
La couverture de ce livre ne comporte pas les textes (Auteur, Tutre et Editeur) – Livre tiré à 3000 exemplaires. Cet exemplaire est le numéro 2315 – 1944. Les garnisons allemandes règnent sans partage sur l’archipel des Sporades. Reconquérir coûte que coûte ces îles qui offrent une position stratégique aux portes de la Turquie, telle est la mission impartie au capitaine de vaisseau anglais Jensen. « Nous ne débarquerons à Khéros que si nous anéantissons Navarone ». Navarone, forteresse imprenable gardée par deux canons terrifiants. Cinq hommes sont nommés pour réussir ce pari impossible vaincre la plus infernale machine ce guerre jamais mise au point.
Christian Bernadac, né le 1er août 1937 à Tarascon (aujourd’hui Tarascon-sur-Ariège) et mort le 12 décembre 2003 à Compiègne1, est un journaliste et écrivain français. Ses ouvrages sur la déportation ont connu un succès public considérable dans les années 1960-1970.
LES SORCIERS DU CIEL – Dans les camps de concentration, les S.S. les appelaient « Sorciers du Ciel », ou « Chiens du Ciel », ou « Clowns du Ciel ». Ils étaient prêtres, religieux, pasteurs. De Mauthausen à Buchenwald, d’Oranienburg à Auschwitz, dans chaque kommando de travail ou d’extermination, ils ont subi le sort commun. Sur les sept mille « Sorciers du Ciel » déportés, cinq mille ont disparu dans les fours crématoires et les charniers. Les survivants, pour la plupart, devront leur salut à une intervention du Vatican qui permettra, dans le dernier trimestre de 1944, le rassemblement des ecclésiastiques à Dachau, Mais si Dieu était « toléré » dans un block de Dachau, il était « interdit » partout ailleurs sur le « territoire pénitentiaire » du Nouvel Empire.
LE TRAIN DE LA MORT – Témoignage d’un lecteur : « » » Difficile pour un tel ouvrage de déterminer les étoiles ; il s’agit ici de témoignages vrais,autobiographiques et biographiques. C’est l’histoire du train de la honte, du train qui a vu toutes les atrocités qui ont découlées de la chaleur, de la soif, de la déshydratation, de la suffocation, de la peur, de la haine,du délire, de la folie passagère, de la violence, du sang, de l’urine, de la merde … de la mort et de la décomposition des corps. Comment des hommes ont-ils pu survivre dans de telles conditions? Une fois enfermé dans les wagons, c’est l’humiliation et la sauvagerie à l’état brut. Pourquoi a-t-il fallu de telles conditions de mort? « » »
Le Vol des aigles
Américain casse-cou, Jack Kelso, engagé en 1916 dans l’aviation militaire britannique, a épousé son infirmière, la baronne Elsa von Halder, une jeune Allemande désargentée. Ils ont eu Max et Harry, des jumeaux. Mais Jack se tue lorsqu’ils ont douze ans. Elsa repart en Allemagne avec Max, vivre dans son château grâce au soutien financier du grand-père Abe, qui garde Harry près de lui, à Boston. Durant des vacances où les deux frères se retrouvent aux États-Unis, Abe leur offre des cours de pilotage. Un briscard de la Grande Guerre leur enseigne les ficelles du métier, et les adolescents, à l’image de leur père disparu, deviennent pilotes d’élite. Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate en Europe, Max, rentré en Allemagne, ne tarde pas à faire parler de lui. Surnommé « le baron noir », il est de tous les combats aériens et grimpe vite en grade dans la Luftwaffe. Harry, engagé dans la RAF, a un parcours similaire. Un jour, les deux frères vont se retrouver face à face, piégés par une monstrueuse machination de Himmler. De leur attitude va dépendre le cours de la guerre et l’avenir du monde !
Survivre avec les loups
Fillette juive d’origine belge, Misha a 8 ans quand ses parents sont emmenés par la Gestapo puis déportés. Pour les retrouver, elle fuit la famille qui l’a recueillie avec comme seule idée fixe : » aller vers l’est « . Misha entreprend alors une quête folle. Traversant la Belgique, l’Allemagne, la Pologne, endurant le froid et la faim, Misha marche inlassablement. Sur son chemin, seuls les loups lui offrent une compagnie réconfortante. Auprès d’eux, elle apprendra à survivre.