God save la France
Nom : Paul West. Age : 27 ans. Costume : Paul Smith. Langue française : niveau très moyen. Fonction : jeune cadre dynamique promis à un grand avenir. Occupation : déjouer les pièges potentiellement désastreux du quotidien français. Ambition : qu’un jour un garçon de café vienne le servir quand il le hèle. Hobby : lingerie féminine. Signe particulier : Paul West serait le fruit d’un croisement génétique entre Hugh Grant et David Beckam. Histoire d’un succès : Stephen Clarke, journaliste installé en France depuis dix ans, écrit un petit » guide de survie » à l’usage de ses compatriotes en exil. Il imprime l’ouvrage à deux cents exemplaires, le met en vente sur son site Internet et le livre lui-même à domicile. Le bouche à oreille faisant son œuvre, le texte est remarqué par quelques libraires et journalistes, et s’écoule à plusieurs milliers d’exemplaires à Paris avant qu’un éditeur anglais en acquière les droits. Le livre devient un best-seller au Royaume-Uni. Il doit aujourd’hui paraître dans seize pays. Stephen Clarke travaille à la suite des aventures de Paul West.
God save la France
Les tribulations d’un jeune Anglais au pays de la lingerie féminine, des suppositoires, et des grèves-surprises. Nom : Paul West. Age : 27 ans. Langue française : niveau très moyen. Fonction : jeune cadre dynamique promis à un grand avenir. Occupation : déjouer les pièges potentiellement désastreux du quotidien français. Hobbie : lingerie féminine. Signe particulier : Paul West serait le fruit d’un croisement génétique entre Hugh Grant et David Beckham. Histoire d’un succès : Stephen Clarke, journaliste installé en France depuis dix ans, écrit un petit « guide de survie » à l’usage de ses compatriotes en exil. Il imprime l’ouvrage à deux cents exemplaires, le met en vente sur son site Internet et le livre lui-même à domicile.
God save les françaises
Paul West, notre Englishman préféré, a décidé de rester en France pour parfaire son éducation érotico-sentimentale Paul West a trouvé la Française de ses rêves. Elle n’a qu’un défaut : ses parents. Et même s’il jure ses grands dieux que l’empoisonnement de sa belle-mère n’était pas prémédité, sa fiancée, depuis, ne le regarde plus tout à fait du même oeil… Sinon, entre deux siestes crapuleuses, Paul West n’a pas renoncé à ouvrir son salon de thé typiquement british. Mais il prend du retard car il se débat parallèlement avec quelques questions existentielles : les bureaucrates français sont-ils tous pervers ? y a-t-il une manière de cuisiner les courgettes qui les rendrait comestibles ? comment une Française peut-elle décemment préférer un french lover à un sujet de Sa Majesté ?