- Jostein Gaarder : Le Monde de Sophie
- Thomas Keneally : La liste de Schindler
- Miklos Batori : La vie est un océan
- William Burroughs : Le festin nu
- Régine Deforges : Le Diable en rit encore
- Régine Deforges : 101, avenue Henri Martin
- Christine Arnothy : Malins plaisirs
- Dominique Bona : Les yeux noirs
- Mickey Spillane : Le Dogue
- Christine de Rivoyre : Boy
La cité des abeilles
Ned se sent seul sur son lit d’hôpital. Il laisse errer son regard. Là sur le rebord de la fenêtre, une abeille et un drôle de papillon le fixent intensément. « Salut ! » leur dit le garçon. Aussitôt, l’abeille dépose sur les lèvres de Ned une goutte d’un mystérieux liquide et c’est le début d’une étrange aventure…
La Liste de Schindler
« Les survivants se rappellent cette liste avec une telle émotion que la réalité se brouille. La liste, c’était le bien absolu. C’était la vie. Au-delà de ces quelques feuillets bourrés de noms, il n’y avait plus qu’un trou noir. » Traité comme un roman, « La liste de Schindler » est un hommage à l’Allemand Oskar Schindler. Durant la Seconde Guerre mondiale, ce dernier utilisa sa position dominante et ses relations parmi les SS pour sauver mille deux cents Juifs d’une mort certaine. La liste recensait les ouvriers qu’il comptait faire transférer de Pologne en Tchécoslovaquie, et pour lesquels il n’hésita pas à dépenser plus de cent mille reichmarks en pots-de-vin. Aujourd’hui, un arbre à Jérusalem porte son nom.
La Liste de Schindler
« Les survivants se rappellent cette liste avec une telle émotion que la réalité se brouille. La liste, c’était le bien absolu. C’était la vie. Au-delà de ces quelques feuillets bourrés de noms, il n’y avait plus qu’un trou noir. » Traité comme un roman, « La liste de Schindler » est un hommage à l’Allemand Oskar Schindler. Durant la Seconde Guerre mondiale, ce dernier utilisa sa position dominante et ses relations parmi les SS pour sauver mille deux cents Juifs d’une mort certaine. La liste recensait les ouvriers qu’il comptait faire transférer de Pologne en Tchécoslovaquie, et pour lesquels il n’hésita pas à dépenser plus de cent mille reichmarks en pots-de-vin. Aujourd’hui, un arbre à Jérusalem porte son nom.