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L’étonnante vie de Jésus
Livre neuf – La vie de Jésus est présentée ici en 43 histoires. depuis l’Annonciation jusqu’à l’Ascension. Avec ses nombreux détails, ce récit est une bonne introduction à la personne de Jésus, à sa vie et à son enseignement.
Notes d’Afrique relate l’essor de la musique populaire sur le continent. Le livre couvre les évènements et les styles musicaux qui se sont développés depuis les années 60, jusqu’aux années 80 lorsque que le terme « World Music » a été inventé comme label marketing et que des musiciens africains, notamment Youssou N’Dour et ses contemporains, sont apparus sur la scène internationale, et la dominance d’Afrobeats de la période contemporaine. Jenny Cathcart nous offre, à travers son expérience personnelle et son travail aux côtés de Youssou N’Dour, des portraits et des histoires de la vie de tous les jours et leur influence sur la musique en Afrique. Il en résulte de nouvelles perspectives pour la culture contemporaine, la religion et la politique, aussi bien pour le développement que pour de futures collaborations sur le continent et dans sa diaspora.
Une bête au Paradis
Ce livre est dans un très bon état mais quelques feuilles se sont un peu détachées. Dans sa ferme isolée au bout d’un chemin de terre, appelée le Paradis, Emilienne élève seule ses deux petits-enfants, Blanche et Gabriel. Devenue adolescente, Blanche rencontre Alexandre, son premier amour. Mais, arrivé à l’âge adulte, le couple se déchire lorsqu’Alexandre, dévoré par l’ambition, exprime son désir de rejoindre la ville tandis que Blanche demeure attachée à son coin de terre.
Etonnantes histoires de la bible
Livre neuf – Tous les récits favoris de l’histoire sainte sont racontés ici, illustrés de jolies aquarelles : Noé et Jonas, Joseph et Daniel, Jésus et son Père, qui a tout inspiré… Les enfants y reviendront souvent !
Vallauris Plage
L’insurgé
« Voilà des semaines que j’attends, du fond de mon trou, une occasion de leur filer entre les doigts. Leur échapperai-je ?… je ne crois pas… Tant pis ! si l’on me prend, on me prendra ! Je suis en paix avec moi-même… Mon nom restera affiché dans l’atelier des guerres sociales comme celui d’un ouvrier qui ne fut pas fainéant… Ils ne m’auront pas ! Et je pourrai être avec le peuple encore, si le peuple est rejeté dans la rue et acculé dans la bataille. Je regarde le ciel du côté où je sens Paris. Il est d’un bleu brun avec des nuées rouges. On dirait une grande blouse inondée de sang. »
La difficulté de vivre
Bien que je sois psychanalyste, je tiens à dire d’entrée de jeu au lecteur qu’il ne trouvera pas ici un ouvrage, à proprement parler, de psychanalyse. Il y lira plutôt nombre de réflexions qui l’éveilleront, je l’espère, à la compréhension de ce que tout un chacun peut entendre, sans préparation ni connaissance particulières. J’ai toujours pensé, pour ma part, que le rôle du psychanalyste ne se limite pas à la cure proprement dite, ni à la capitalisation égoïste d’un savoir, mais s’étend, prenant racine dans son expérience de la souffrance humaine, au-delà de son cabinet et de ses concepts, à ses activités sociales et publiques, à ses interventions quotidiennes. La parole et l’écrit du psychanalyste doivent s’adresser surtout à ceux qui sont aux prises avec la vie réelle. Ses interventions doivent éveiller les adultes, les pousser à chercher la juste attitude à prendre vis-à-vis des difficultés de leurs enfants. Cette attitude vivante, toujours en éveil, à l’écoute, prête à réagir selon la vérité, peut prévenir les troubles, canaliser les échanges vers la créativité et le développement et non pas vers des impasses. Et mieux vaut prévenir que guérir.
Essai sur l’entendement humain
L’Essai sur l’entendement humain de John Locke (1632-1704) fait partie des très grands livres qui ont modelé le visage de la philosophie occidentale. Paru en 1689, l’ouvrage a été publié en traduction française en 1700. Il est au point de rencontre de deux grands siècles de philosophie : ancré dans les concepts et les débats de l’âge classique, il marque aussi un moment de rupture dans la manière de faire de la philosophie et met au jour de nouvelles questions que les auteurs du XVIIIe siècle n’auront de cesse d’explorer.
Le travail, c’est pas la fête. Contre le raffarinesque « La France doit se remettre au travail », Corinne Maier pousse son cri du 1er mai : Vive la paresse, un ephlet (essai-pamphlet) spécial sinistrose, à usage thérapeutique. Bonjour paresse est là pour dire enfin la vérité : la grande entreprise, personne n’y croit plus. La foi nous a quittés, nous autres naguère chevaliers combattants de l’Ordre de la Firme. À présent les cadres moyens, petits boulons dans une machine jargonnant un sabir grotesque, n’attendent qu’une chose : le solde à la fin du mois. Mais alors, que faire ? Rien surtout ! Affirme ce livre. Soyons individualistes et inefficaces en attendant que ça s’effondre et qu’une nouvelle société advienne où chacun cultivera essentiellement son jardin et conservera un à-côté accessoire dans une grande structure, histoire de survivre quand même.
