Les Quatre Filles du révérend Latimer
Australie, début du XXe siècle. Les sœurs Latimer sont au nombre de quatre : Edda et Grace, les aînées, sœurs jumelles nées de la première union de leur père, un pasteur dont l’épouse est morte en couches ; Heather et Kitty, des jumelles également, filles de l’ancienne gouvernante du presbytère qui a épousé le révérend en secondes noces.
En 1925, les sœurs âgées de 18 et 19 ans fuient l’austérité du presbytère et l’autorité maternelle pour se former au métier d’infirmière dans l’hôpital de leur ville natale, en Nouvelle-Galles du Sud.
Là, chacune pourra aussi laisser libre cours à ses aspirations personnelles, dont la recherche de l’amour. Mais la Grande Dépression n’est pas loin, qui pourrait balayer bien des rêves d’émancipation dans une société encore très patriarcale…
Une grande fresque sentimentale qui s’attache à la destinée de quatre jeunes femmes énergiques et attachantes.
Ce dictionnaire rassemble plus de 30.000 entrées axées en priorité sur le vocabulaire utilisé dans toutes les circonstances de la vie quotidienne et professionnelle.
Concis et accessible à tous, il est l’outil de référence pour aborder l’espagnol moderne.
En annexe, on trouvera une présentation des tableaux de conjugaison ainsi que la liste des verbes irréguliers.
Certains hommes sont porteurs d’une ferveur communicative qui nous rappelle que nous sommes les artisans de notre devenir collectif. Penseurs et bâtisseurs : tels furent, parmi d’autres, Jean Monnet, Raymond Aron, Louise Weiss ou Laurent Schwartz, personnalités exceptionnelles et diverses, dont les parcours illustrent un profond sens de l’histoire ainsi que la fécondité du rapport entre la pensée et l’action.
S’appuyant sur ces figures exemplaires, Thierry de Montbrial décrypte les enjeux politiques et culturels du XXe siècle et se projette dans le siècle naissant. «Il est nécessaire d’espérer pour entreprendre» : cette certitude, reflet de son itinéraire intellectuel et de son expérience internationale, l’auteur l’applique notamment à la construction européenne, le projet selon lui le plus ambitieux du siècle passé et qui préfigure le monde à venir. Récusant l’idée d’un fossé infranchissable entre les civilisations, Thierry de Montbrial réinterprète, à l’attention d’un large public, les notions de culture ou d’identité et propose une vaste réflexion sur l’aventure humaine. Mettant la France au coeur de sa vision européenne, l’auteur délivre un message d’espoir et invite à méditer la formule de Victor Hugo : «La France a cela d’admirable qu’elle est destinée à mourir, mais à mourir comme les dieux, par la transfiguration. La France deviendra l’Europe.»
Né en 1943, Thierry de Montbrial est le directeur général de l’Ifri (Institut français des relations internationales) qu’il a fondé en 1979
Nous étions des Mulvaney
À Mont-Ephraim, une petite ville des États-Unis située dans l’Etat de New York, vit une famille pas comme les autres : les Mulvaney. Au milieu des animaux et du désordre ambiant, ils cohabitent dans une ferme qui respire le bonheur, où les corvées elles-mêmes sont vécues de manière cocasse, offrant ainsi aux autres l’image d’une famille parfaite, comme chacun rêverait d’en avoir. Jusqu’à cette nuit de 1976 où le rêve vire au cauchemar… Une soirée de Saint-Valentin arrosée. Un cavalier douteux. Des souvenirs flous et contradictoires. Le regard des autres qui change. La honte et le rejet. Un drame personnel qui devient un drame familial. Joyce Carol Oates épingle l’hypocrisie d’une société où le paraître règne en maître ; où un sourire chaleureux cache souvent un secret malheureux ; où il faut se taire, au risque de briser l’éclat du rêve américain.
Le pacte du silence
Lors d’une fête, Elisabeth voit révélé au grand jour le secret qu’elle préservait soigneusement depuis 24 ans : son mari n’a pas disparu, il a été emprisonné après avoir provoqué un terrible accident de la route. Sous le choc, leur fils Louis demande à le rencontrer. En partant à sa recherche, Elisabeth découvre qu’elle n’est pas la seule à avoir menti : le jour du drame, son mari n’était pas seul dans la voiture… Mensonges, trahisons… la vie d’Elisabeth est sur le point de basculer.
Le manteau de neige – La bête en cage
Katia est haptophobe : elle ne peut supporter aucun contact physique. Ses parents ont tout tenté depuis son enfance, médecins, psys, guérisseurs, rien n’y fait. Mais le malaise de Katia prend une ampleur plus inquiétante lorsque son grand-père est sauvagement assassiné par sa femme. Un détail cloche cependant : cette dernière était dans un état végétatif depuis 30 ans… Samuel, éleveur laitier du Jura, accumule les dettes. Sa seule échappatoire : s’associer avec son oncle et son cousin qui font passer de la drogue de la Suisse à la France pour le compte d’un réseau de trafiquants kosovars. Mais le soir d’une importante livraison, rien ne se passe comme prévu : le cousin n’arrivera jamais jusqu’à la ferme de Samuel. Lancés à sa recherche dans la montagne enneigée, l’agriculteur et son oncle le découvrent mort au volant de sa voiture précipitée dans un ravin. Et le chargement de drogue s’est volatilisé… La paisible vallée engourdie par le froid polaire va bientôt s’embraser.
Métissage
Depuis les premières grandes migrations jusqu’à la reconnaissance actuelle du métis, cet ouvrage retrace les méandres d’une aventure humaine mouvementée. Les provocations de l’histoire, à travers conquêtes, colonisations, esclavage, imposèrent violence et contradictions. Aux Amériques, en Afrique ou en Asie, le métis, fruit d’une union réprouvée, a longtemps été victime d’un système répressif, dicté par le rejet de la différence et la ségrégation. Il est aujourd’hui devenu un symbole de l’échange culturel et l’objet d’une fascination. Quels furent les grandes étapes et les acteurs de cette histoire agitée ? En s’appuyant sur une riche iconographie, Nelly Schmidt raconte l’histoire du métis pour en expliquer les enjeux, les réalités et les mythes, et signifier l’acte de naissance de ce qui est désormais devenu une culture à part entière.
Né le 14 octobre 1922 à Saint–Louis. Il entre à l’Ecole normale William Ponty en 1938 pour devenir enseignant. Au moment où la Seconde guerre mondiale éclate en Europe, il est mobilisé. A son retour, il enseigne en tant qu’instituteur à Sébikotane puis maître d’internat au lycée Van Vollehoven à Dakar. Il obtient le baccalauréat, série Philosophie et demande une bourse pour poursuivre ses études en France. Etudiant à Paris, il obtient une licence de Philosophie. Il est ensuite professeur certifié de philosophie puis surveillant général au lycée Maurice Delafosse à Dakar. Il poursuit une carrière académique comme professeur de philosophie à l’université (maître assistant à partir de 1966 puis professeur et enfin doyen de la Faculté des Lettres et Science Humaines de 1976 à 1983). Il fut conseiller technique à la présidence de la République avec le titre de secrétaire général du Festival mondial des Arts Nègres après deux années passées en détachement à l’UNESCO.
Les bonsaï et jardins miniatures
– Toutes les questions que vous vous posez au sujet des arbres nains: le choix des plantes, la bonne saison, l’équipement nécessaire, les mélanges terreux… – Toutes les recettes de micro-jardinage: taille et pincements, mise en forme de la ramure, exposition, transplantation… – Tous les soins: les principaux parasites, les dégâts physiologiques, l’effet des engrais… – Les bonsaï d’appartement: quelles espèces choisir et comment les cultiver. – Les jardins miniatures: pas japonais, mini-rocaille, forêt vosgienne, jardin-paysage, jardin miniature d’intérieur…
La forme de l’eau
Un employé de voirie découvre un matin au Bercail – lieu de plaisirs nocturnes de la ville – un pendentif en or et, à proximité, un cadavre dans une voiture de luxe. Il s’agit de l’ingénieur Silvio Luparello, récemment nommé responsable du parti politique Démocratie chrétienne. Son ami et avocat Pietro Rizzo est prévenu, ainsi que le commissaire Montalbano. Selon la rumeur, Luparello était impliqué dans une affaire de pots de vin et Rizzo lui servait d’intermédiaire avec la Mafia. Aussi, lorsque l’autopsie révèle qu’il a succombé à une crise cardiaque (il venait de subir un double pontage), cette conclusion arrange tout le monde. Néanmoins, Montalbano obtient deux jours supplémentaires avant de classer l’affaire et découvre rapidement que c’est en faisant l’amour avec une femme que Luparello a succombé. Pour la retrouver, le policier s’intéresse au pendentif en or abandonné sur les lieux.
Le vertige danois de Paul Gauguin
Contraint de rejoindre sa femme et leurs cinq enfants à Copenhague, en novembre 1884, Gauguin n’est pas encore Gauguin, mais il le devient, confronté à l’hostilité qu’il génère. Au long d’une enquête tourbillonnante, Bertrand Leclair restitue le vertige d’un homme déchiré, incapable de renoncer à sa fascination pour la peinture.
Chaque livre est vendu 700 F
Norman Painting, Michael Day : Une vie surgit de l’ombre
Kressmann Taylor : Inconnu à cette adresse
Colette : Gigi
Susan Howatch : Entre Dieu et diable
Hervé Hamon, Patrick Rotman : Tu vois, je n’ai pas oublié
Anne Wiazemsky : Jeune fille
Paul Bodin : … de notre envoyé spécial …
Jean Echenoz : Je m’en vais
Edouard Peisson : Capitaines de la route de New-York
Alex Haley : Racines
Le pull-over rouge
Christian Ranucci a été guillotiné le 28 juillet 1976 à 4h13 dans la cour de la prison marseillaise des Baumettes. Il avait vingt-deux ans et avait été jugé coupable de l’enlèvement et de l’assassinat d’une fillette de huit ans.
Était-il coupable ou innocent ?
Le Pull-Over rouge, publié deux ans après l’exécution du jeune homme, posait la question et contribuait à faire évoluer l’opinion publique française vers l’abolition de la peine capitale.
En 1981, la France décidait d’abolir la peine de mort.
Dangereuse
Époux et père de famille comblé, politicien de renom, à cinquante ans, Roger Hugues mène une existence sans heurt ni émotion. Jusqu’à ce dîner fatal où Martyn, son fils, lui présente sa fiancée, Anna Barton. Un désir d’une terrifiante violence naît aussitôt entre cette jeune femme énigmatique et cet homme mûr qui n’a jamais vécu. Un désir assouvi dans des relations extrêmes, intenses et cruelles. Roger devient la proie d’Anna, son esclave… Une passion obsédante qui les conduit inexorablement au drame…
Roches de sang
Et si les victimes étaient en réalité les coupables ?
Un milliardaire serbe égorgé à Londres. Sur la baie vitrée, ces lettres de sang : Chè la mia ferita sia murtale. Que ma blessure soit mortelle…
Pour Marie Jansen, l’inspectrice d’Europol, la sentence sonne comme l’écho lointain d’un passé et d’une terre qu’elle pensait définitivement oubliés.
Son enquête la plonge soudain deux décennies plus tôt. En Corse. Au temps des braquages en mer.
Ce jour-là, Ange et Théo, les frères du gang des Roches rouges, fouillent les cales du yacht qu’ils ont pris d’assaut. Et découvrent, sidérés, ce qu’ils n’auraient jamais dû voir…
Des hauts plateaux corses aux rues sombres de Belgrade, des montagnes suisses à l’île de Lesbos, l’histoire d’un face à face terrifiant à travers l’Europe. Et d’un incroyable chemin de rédemption.
« Olivier Bal se hisse à la hauteur des meilleurs auteurs de thrillers. »
Et tu courberas la nuque
L’avenir radieux de Gillian Murphy, archiviste à la bibliothèque vaticane, vole en éclats lorsque son compagnon Lorenzo, journaliste d’investigation, est retrouvé assassiné dans les égouts de Rome. Gillian, en plein désarroi, découvre que la mort de Lorenzo est liée à un complot. Une société secrète opérant dans l’ombre a évolué en une redoutable secte criminelle, déterminée à éliminer tous ceux qui ne courbent pas la nuque devant elle. Ce cercle souhaite corrompre l’Église et renverser l’ordre établi. Gillian parviendra-t-elle à déjouer les plans démoniaques de cette organisation implacable ?
Vivez l’adrénaline aux côtés de Gillian pour savoir qui tire véritablement les ficelles de cette toile sinistre.
Une comédie légère
Carlos Prullàs, auteur de comédies à succès, assiste aux répétitions de sa dernière pièce. Don Juan désinvolte, il séduit une amie de sa femme en même temps qu’il succombe aux charmes d’une nouvelle comédienne. Mais l’imbroglio sentimental se complique : un homme d’affaires est assassiné et Prullàs est désigné comme principal suspect.
Pour brosser le tableau d’une bourgeoisie menant une existence frivole sur les ruines de la guerre civile, Eduardo Mendoza joue sur tous les registres de la comédie et fait apparaître, sous la futilité des sentiments, la noirceur d’une époque régie par la corruption et le mépris des vainqueurs pour les vaincus. Dans ce tourbillon d’intrigues, le glissement imperceptible du vaudeville à la tragédie repose tout entier sur la légèreté intentionnelle de la langue d’un grand maître.
Le masque du jaguar
Au Mexique, l’équipe internationale d’archéologues dirigée par Léo Mallory parcourt la jungle à la recherche d’une cité perdue. Engloutie par une végétation luxuriante, une pyramide maya extraordinaire se dresse devant leurs yeux. Mais l’expédition tourne au cauchemar : seul dans la crypte funéraire, l’archéologue est agressé… Pendant ce temps, de l’autre côté de l’Atlantique, une sinistre découverte fait trembler les murs du plus prestigieux musée français : huit cadavres ont été retrouvés au Louvre. Huit hommes et femmes décapités et le cœur arraché. Le point commun entre ces deux affaires : le mystérieux Rafael, un gourou indien assoiffé de pouvoir et de sang.
Sans atout et le cheval fantôme
Ce sont certainement les dernières vacances que François va passer au château de Kermoal. Son père, maître Robion, veut le vendre. Le cœur serré, le jeune garçon retrouve la vieille forteresse et les Jaouen qui veillent sur elle. Mais pourquoi parlent-ils tous si bas? François, aussi surnommé Sans Atout, ne les reconnaît pas : ils ont un comportement si étrange ! C’est alors que Jean-Marc, le fils des Jaouen, l’avertit : «À minuit, regarde à travers les fentes des volets…».
Ne dis rien à maman
Résumé: « Personne ne te croira. » À onze ans, Sarah est une petite fille sage, trop sage pour faire entendre sa voix. Bill est un ami de sa mère à qui elle est censée apporter un coup de main à la salle de jeu. Mais l’homme révèle très vite ses véritables intentions : semaine après semaine il viole Sarah et la persuade de garder le silence. Le cauchemar de la petite fille semble déjà absolu quand, après le départ de sa mère du domicile familial, elle est sexuellement abusée par son père… Aujourd’hui adulte, Sarah témoigne de l’impunité des hommes et des méfaits du silence.
L’honorable société
Prenez un homicide, par exemple celui d’un employé du Commissariat à l’énergie atomique – et quel employé ! -, ajoutez un groupuscule éco-terroriste, des agents troubles, une femme trahie, un père inquiet pour sa fille unique, des policiers du Quai des Orfèvres, une grande patronne, des journalistes, des politiciens en campagne – tout cela se passe entre les deux tours de l’élection présidentielle. L’avenir stratégique et financier de l’industrie nucléaire française, Dominique Manotti et DOA, et vous obtenez une véritable affaire d’état… Ou presque. Comme toujours, toute ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé est évidemment fortuite.
La pierre du remords
Valborg est assassinée chez elle.
Sur son bureau, on retrouve le numéro de téléphone de Konrad, ancien policer. L’enquête révèle rapidement qu’elle l’avait contacté récemment pour lui demander de retrouver l’enfant qu’elle avait mis au monde cinquante ans plus tôt, et qu’elle avait abandonné juste après sa naissance.
Maintenant désolé de lui avoir refusé son aide, Konrad s’emploie à réparer son erreur. Il retrouve les membres d’un mouvement religieux contre l’avortement et reconstruit l’histoire d’une jeune fille violée dans le bar où elle travaillait.
Il retrouve aussi un clochard équivoque, des trafiquants de drogue et même des fragments de l’histoire de la mort violente de son père.
Au fil de l’enquête, il mesure l’ampleur de la tragédie dans laquelle son intuition et son entêtement l’ont plongé. Konrad se révèle un enquêteur sensible à la souffrance des autres, d’une humanité touchante.
Dans une construction particulièrement habile et haletante, La Pierre du remords est un roman captivant et impitoyable sur la honte, le désespoir et l’intensité des remords qui reviennent nous hanter.
Dans la peau
Zoé est institutrice. Jeune, séduisante, fraîchement débarquée à Londres, elle se sent un peu perdue. Elle n’a qu’une hâte : se débarrasser de l’appartement sordide qu’elle a acheté sans réfléchir quelques mois auparavant. Jennifer est une mère de famille bourgeoise. Belle, elle aussi, mais plus sophistiquée. Elle s’investit dans la rénovation de la maison qu’elle vient d’acquérir avec son mari dans le nord de Londres. Nadia est animatrice de spectacles pour enfants. Au lendemain d’une rupture douloureuse, elle essaie de remettre de l’ordre dans sa vie… et dans son appartement. Trois femmes apparemment différentes qui ont cependant un point commun : un serial killer les observe, les connaît, les aime, et leur écrit pour leur annoncer qu’il va les tuer…
Les anonymes
Washington. Quatre meurtres aux modes opératoires identiques. La marque d’un serial killer de tout évidence. Une enquête presque classique donc pour l’inspecteur Miller. Jusqu’au moment où il découvre qu’une des victimes vivait sous une fausse identité. Qui était-elle réellement? Et ce qui semblait être une affaire banale va conduire Miller jusqu’aux secrets les mieux gardés du gouvernement américain … Une fois encore, R. J. Ellory pousse le thriller dans ses retranchements. Entre Robert Littell et James Ellroy, sur un arrière-plan historique qu’il serait criminel de divulguer ici, il imagine une intrigue magistrale, qui plonge au coeur du système politique américain.
Mortels Trafics
À croire qu’il est plus important d’intercepter des « go fast » de cannabis que d’arrêter des tueurs… Si la marchandise est perdue, rien ne vous protègera plus, même pas les barreaux d’une prison… Une rumeur assassine s’en prend à l’innocence d’une famille. La violence des trafics mobilise Stups et Crim’ au-delà des frontières, dans le secret d’enquêtes mettant à l’honneur des tempéraments policiers percutants, parfois rebelles, toujours passionnés. En France et à l’étranger, Pierre Pouchairet a vécu les procédures, les ambiances et les « milieux » qui inspirent ses romans. Dans ses livres éclate une vérité qui dépasse l’imagination, la vérité d’une vie engagée…
La muse rouge
Paris 1920. À son retour des tranchées, Victor Dessange, ancien de la Mondaine, intègre la brigade Criminelle. L’ambiance à la capitale est électrique – entre grèves à répétition et affrontements entre communistes et anarchistes d’un côté et royalistes de l’Action française de l’autre. Des clandestins de l’Internationale affluent de partout, tandis que les empires coloniaux se fissurent. Dans un tel contexte, les meurtres successifs de plusieurs prostituées peinent à apparaître comme des affaires prioritaires. Jusqu’à ce que ce soit non plus une belle-de-nuit, mais un client, représentant officiel de la République de Chine, qui
trouve la mort dans une maison close. Chargé de l’enquête, Victor tente de démêler un écheveau qui le mènera d’une colonie pénitentiaire pour enfants en Bretagne à l’attaque d’un convoi d’or au Maroc, dont ni les coupables ni le butin n’ont jamais été
retrouvés.
Le crime était signé
À peine seize ans, cette gamine retrouvée nue, étranglée près du cimetière… Et ces pervers qui s’exhibent entre les tombes… Et ce fumier qui croit séquestrer l’innocence qu’il a perdue… Morte d’avoir trop ou mal aimé ? Des halls de banlieue, zones de non-droit, à la propriété somptueuse d’aristocrates au-dessus des lois, la Crim’ est malmenée, impuissante à répondre au drame des parents ! Alors que l’ADN reste muet, un témoin « signe » une vérité singulièrement humaine… Auteur de plusieurs romans policiers, Lionel Olivier excelle à révéler les coulisses d’une enquête, à mettre en scène avec émotion les doutes des policiers comme l’énergie recouvrée du « 36 ».
Le cercle des impunis
Des brumes de Londres au soleil éclatant de Marseille, des policiers sont assassinés dans la plus sordide des mises en scène, avec un même symbole tatoué sur la langue. Scotland Yard et la police française s’allient pour remonter la piste de ces vengeances diaboliques. Des deux côtés de la Manche, les meilleurs enquêteurs associent leurs méthodes pour traquer celui qui les humilie en s’attaquant aux plus grands flics. Quelle folie humaine peut réussir à « opérer »avec une telle expertise chirurgicale ?Spécialiste des quartiers sensibles et des situations extrêmes, Paul Merault sait d’expérience que le crime n’a pas de patrie et n’épargne aucun milieu. Ses fictions dépassent la raison, mais reflètent les sombres réalités des prédateurs d’aujourd’hui.
Tension extrême
Aux limites du virtuel et de la réalité, les nouvelles technologies conduisent parfois à la folie ! Des cyberattaques paralysent la PJ de Nantes, infiltrent l’intimité des policiers et cernent une ville où le moindre objet connecté peut devenir une arme mortelle. Alors que les victimes s’accumulent, une jeune commissaire à peine sortie de l’école et son adjointe issue du « 36 » affrontent ensemble un ennemi invisible. Toutes les polices spécialisées seront mobilisées pour neutraliser la nouvelle menace de la science complice du crime.
C’est arrivé la nuit
Ils sont hors-la-loi. Mais ils œuvrent pour le bien
Ils sont amis et partagent leurs secrets? Pourtant ils ne se sont jamais rencontrés
Jusqu’au jour où…
C’est arrivé la nuit
Le premier tome de la série 9.
» Depuis vingt ans, j’écris pour voir le monde en couleurs…
Pour me calmer aussi.
À quoi sert d’être écrivain, si ce n’est pour raconter des histoires qui interpellent, pour se poser des questions ?
Je m’en suis posé à chaque page, alors j’ai mené l’enquête, résolu, aussi mordu qu’un reporter.
Je suis parti à la rencontre des vrais protagonistes, des hors-la-loi au cœur d’or, des vilains bien sous tous rapports, des manipulateurs, des faussaires, des passeurs, des assassins en col blanc, des putains magnifiques, des journalistes risquant leur peau pour que la vérité éclate, et ce faisant j’ai découvert l’indicible.
J’avais pour habitude de me laisser entraîner par deux personnages.
Cette fois, ils sont 9.
J’ai tout fait pour entrer dans leur bande. Et ils m’ont accepté.
Cette année, nul besoin de leur dire au revoir à la dernière page.
Parce que l’histoire continue, et elle est loin d’être terminée.
Bienvenue dans le monde de 9 ! »
Marc Levy
7 ans après …
Un divorce les avait séparés… le danger va les réunir
Après un divorce orageux, Nikki et Sebastian ont refait leur vie, très loin l’un de l’autre. Jusqu’au jour où leur fils Jeremy disparaît mystérieusement.
Fugue ? Kidnapping ?
Pour sauver ce qu’elle a de plus cher, Nikki n’a d’autre choix que de se tourner vers son ex-mari qu’elle n’a pas revu depuis sept ans.
Contraints d’unir leurs forces, ils s’engagent alors dans une course-poursuite, retrouvant une intimité qu’ils croyaient perdue à jamais…
Interview de l’auteur :
À l’origine de l’écriture de Sept ans après…, il y a en effet l’envie de jouer avec les codes du suspense en élaborant une histoire distillant certaines obsessions hitchcockiennes. « Mon héros, disait Hitchcock, est un homme ordinaire à qui il arrive des choses étranges. » D’où l’idée de partir de ce couple de New-Yorkais, Nikki et Sebastian, divorcés depuis 7 ans après s’être passionnément aimés, et de le confronter à la disparition mystérieuse de son fils. En commençant à enquêter sur ce qu’ils pensent d’abord n’être qu’une banale fugue d’adolescent, ils vont se faire happer par une situation qui les dépasse.
Brutalement, cette histoire qui avait débuté comme une chronique familiale bascule dans le thriller lorsqu’ils se retrouvent accusés de meurtre. Fugitifs malgré eux, Nikki et Sebastian vont peu à peu se rendre compte que la disparition de leur fils n’est que la partie visible d’un engrenage infernal aux ramifications inattendues.
La vérité sur Lorin Jones
« Véritable chronique de mœurs, roman policier, comédie baroque, La Vérité sur Lorin Jones est un miroir tendu à toute une génération de femmes qui jonglent avec le féminisme, le militantisme, les grands principes et les grands sentiments. »
Manipulations
En 1979, un jeune scientifique fuit l’URSS pour se réfugier sous une fausse identité aux Etats-Unis, emportant avec lui un antique secret capable d’ébranler l’humanité. Trente ans plus tard, les services secrets russes et américains recherchent un homme d’origine russe, détenteur d’une technologie permettant la manipulation mentale. Sean Reilly, du FBI, compte bien le retrouver avant ses homologues moscovites, tout en profitant de l’affaire pour mettre la main sur l’agent de la CIA responsable du lavage de cerveau de son fils.
Ma grande vadrouille
Qui a oublié le tandem Bourvil – de Funès, les gags rocambolesques, l’action échevelée, les situations désopilantes de La Grande Vadrouille, un des chefs d’œuvre de Gérard Oury ? La légèreté, la fantaisie, ce sont des qualités que le célèbre réalisateur a toujours cultivées dans ses films, mais aussi dans sa vie, faisant sienne la maxime d’Eve Curie, » il est poli d’être gai « . C’est dans le même esprit scintillant qu’il nous propose sa » Grande Vadrouille » à lui : de A comma Avarice, à Z comme Zut, en passant par M comme Moi, voici un abécédaire de sa vie, qui file grand train sous le signe de l’humour et de la tendresse, poivré de piques contre la mesquinerie et la bêtise humaines. Portraits d’amis, de comédiens, de personnalités, rêves, confidences, bons mots, regrets, admirations… , Gérard Oury laisse galoper sa mémoire et son esprit. On croise Montand, Bourvil, de Funès, Michèle Morgan, le général de Gaulle, Coluche au Mexique, Romain Gary, Marcel Pagnol, Sophia Loren, Belmondo et tant d’autres, familiers de l’auteur. C’est le vagabondage drolatique et émouvant d’un jeune homme de quatre-vingt-un ans, de surcroît académicien et pétillant.
La cinquième profession
La cinquième profession, c’est celle de protecteur exécutif », autrement dit garde du corps. Savage, le héros de ce livre, a pour clients les riches, et les puissants du monde. Avec l’aide d’Akira, un de ses confrères japonais, il a cette fois-ci pour mission de soustraire la sueur d’une star de cinéma légendaire aux griffes d’un mari cruel et richissime. Et puis l’aventure bascule vers l’impossible, quand les deux hommes comprennent que ce n’est pas seulement leur sort qui se joue, mais celui du monde… Le roman est celui d’une amitié profonde entre deux hommes de cultures différentes, mais que rapproche une même conception de l’honneur.
Mascarade
Liz Sansborough se réveille un matin dans une maison qu’elle ne connaît pas, sans mémoire. Elle réalise alors qu’elle est au centre d’un noeud politique impliquant terroristes internationaux et agents secrets corrompus… Comment Liz a-t-elle pu se trouver ainsi piégée ? Qui est-elle vraiment ? Agent double ou victime innocente ? Comment déceler le vrai du faux dans cette machination infernale ?
Dans ce monde de miroirs déformants, Liz Sansborough ne peut compter que sur son instinct.
L’horizon à l’envers
Hope, Josh et Luke, étudiants en neurosciences forment un trio inséparable.
Lorsque Hope tombe malade, ils décident de jouer aux apprentis sorciers, alchimistes de la vie.
Peut-on sauvegarder notre conscience et la transférer ?
Des laboratoires secrets de l’université de Boston jusqu’à un phare perdu au bout d’une île, s’engage une corses
Émouvant, mystérieux, plein d’humour et d’amour,
L’horizon à l’envers est un roman innovant qui explore la mémoire des sentiments.
L’Homme, petit ou grand, a besoin d’étoiles pour se repérer. Il a besoin de modèles pour se construire, bâtir son estime de soi, changer son imaginaire, casser les préjugés qu’il projette sur lui-même et sur les autres. Dans mon enfance, on m’a montré beaucoup d’étoiles. Je les ai admirées, j’en ai rêvé : Socrate, Baudelaire, Einstein, Marie Curie, le général de Gaulle, Mère Teresa ? Mais des étoiles noires, personne ne m’en a jamais parlé. Les murs des classes étaient blancs, les pages des livres d’histoire étaient blanches. J’ignorais tout de l’histoire de mes propres ancêtres. Seul l’esclavage était mentionné. L’histoire des Noirs, ainsi présentée, n’était qu’une vallée d’armes et de larmes. Pouvez-vous me citer un scientifique noir ?Un explorateur noir ? Un philosophe noir ? Un pharaon noir ?Si vous ne le savez pas, quelle que soit la couleur de votre peau, ce livre est pour vous. Car la meilleure façon de lutter contre le racisme et l’intolérance, c’est d’enrichir nos connaissances et nos imaginaires. Ces portraits de femmes et d’hommes sont le fruit de mes lectures et de mes entretiens avec des spécialistes et des historiens. De Lucy à Barack Obama, en passant par Ésope, Dona Béatrice, Pouchkine, Anne Zingha, Aimé Césaire, Martin Luther King et bien d’autres encore, ces étoiles m’ont permis d’éviter la victimisation, d’être capable de croire en l’Homme, et surtout d’avoir confiance en moi. Lilian Thuram
Un concours de circonstances
Georges Pompidou est président de la République. Karine est une jeune Russe en exil, danseuse et comédienne. Ils ne se sont jamais rencontrés, mais la mort de l’un, attendue, et celle de l’autre, inexpliquée, ne sont pas sans rapport. Quand une pierre tombe dans un étang, qui sait jusqu’où se propage l’onde de choc? Un concours de circonstances faisant le bonheur des uns et le malheur des autres va brasser des destins dissemblables. Un homme d’influence surpris au milieu de sa vie, un flic prudent, une femme perplexe, une adolescente en proie à la haine amoureuse, une femme de ménage sans emploi, un prêtre à la dérive, un don Juan soviétique en service commandé… Leur point commun : l’ombre portée d’une danseuse morte qui enseigne à chacun combien la réalité est toujours opaque, complexe, dérisoire.
La pluie attendra
Florence Auray vit au Conquet et mène une existence simple et heureuse, partageant son temps entre ses activités de pigiste pour les journaux locaux et la photographie, une passion nourrie par les somptueux paysages côtiers de l’Iroise et l’île d’Ouessant où elle aime aller se ressourcer.
A quelques kilomètres dans les terres, ses soeurs travaillent à la ferme familiale et supportent la lourde charge d’un père handicapé, veuf et d’une grand-mère vieillissante. Florence vient parfois leur prêter main forte, pas assez, cependant, au goût de Margot, sa soeur aînée. Une dispute éclate entre elles quand Florence évoque le flirt caché de Sissi, la cadette, avec Arnaud Kerhuel, leur plus proche voisin. La grand-mère Sidonie s’en mêle. Jamais une Auray n’épousera à Kerhuel. L’accident qui a tué Louis, le père d’Arnaud, et cloué Charles Auray dans un fauteuil n’a-t-il pas servi de leçon ? Faut-il que la malédiction frappe encore les deux familles ?
Une malédiction… ? Laquelle ? Intriguée, Florence fouille, interroge, se heurtant au silence de son entourage et aux menaces de Célestin, l’aîné des enfants Kerhuel. Mais, qu’importe le prix à payer, elle est prête à tout pour connaître la vérité…
La rose noir
Trois cadavres de femmes sont découverts dans l’Oregon sur un chantier. Le promoteur, Martin Darius, est arrêté et mis en accusation. Mais le dossier se révèle bien mince… Jusqu’à ce que le procureur apprenne que le suspect aurait commis, sous un nom différent, d’autres atrocités dix ans plus tôt dans une autre localité avec un scénario identique. Pourquoi Darius n’a-t-il pas été appréhendé et pourquoi le dossier de l’affaire reste-t-il introuvable ? Quels rôles ont joué gouverneur, police et maire pour rendre sa liberté à un tueur en série ?
Les vignes de Sainte-Colombe
Nul ne sait mieux que Christian Signol enchaîner les destins de personnages multiples dans un dédale de passions, de drames et de bonheurs. Hier, les derniers bateliers de la Dordogne rythmaient les flots de sa Rivière Espérance. Ici, ce sont trois générations du pays des vignes qui se battent pour la survie d’un domaine où se cachent les secrets de la terre et du temps. L’Histoire gronde au-dessus du Solail dans ce Languedoc d’ombre et de lumière. Le maître de maison, Charles Barthélémie disparaît à la veille de la guerre de 1870. D’autres temps s’imposent, d’autres crises, d’autres mondes. Les enfants doivent affronter chacun à sa manière tout autant les ravages de la vigne frappée par le phylloxéra que ceux de la guerre ou de leurs propres déchirements. Les cours du vin s’effondrent, Marcelin Albert dresse des barricades, et Clemenceau étouffe dans le sang la colère des vignerons. Mais c’est une femme inoubliable, généreuse, entière, passionnée, Charlotte, la cadette, qui émerge de ce roman fabuleux où l’air vif de l’épopée parcourt une terre sensuelle, immémoriale, que Christian Signol semble avoir lui-même créée tant elle est vraie. Roman historique, roman d’amour, roman populaire, roman de terroir, roman de société… Christian Signol transcende les genres et s’affirme avec Les vignes de Sainte-Colombe comme un de nos grands écrivains.
La nuit du carrefour
Quand Maigret, avec un soupir de lassitude, écarta sa chaise du bureau auquel il était accoudé, il y avait exactement dix-sept heures que durait l’interrogatoire de Carl Andersen. On avait vu tour à tour, par les fenêtres sans rideaux, la foule des midinettes et des employés prendre d’assaut, à l’heure de midi, les crémeries de la place Saint-Michel, puis l’animation faiblir, la ruée de six heures vers les métros et les gares, la flânerie de l’apéritif… La Seine s’était enveloppée de buée. Un dernier remorqueur était passé, avec feux verts et rouges, traînant trois péniches. Dernier autobus. Dernier métro. Le cinéma dont on fermait les grilles après avoir rentré les panneaux-réclame… Et le poêle qui semblait ronfler plus fort dans le bureau de Maigret. Sur la table, il y avait des demis vides, des restes de sandwiches.
Demain
Elle est son passé…
… il est son avenir.
Emma vit à New York. À 32 ans, elle continue à chercher l’homme de sa vie. Matthew habite à Boston. Il a perdu sa femme dans un terrible accident et élève seul sa petite fille.
Ils font connaissance grâce à Internet et, désireux de se rencontrer, se donnent bientôt rendez-vous dans un restaurant de Manhattan.
Le même jour à la même heure, ils poussent chacun à leur tour la porte de l’établissement, sont conduits à la même table et pourtant… ils ne se croiseront jamais.
Jeu de mensonges ? Fantasme de l’un ? Manipulation de l’autre ? Victimes d’une réalité qui les dépasse, Matthew et Emma vont rapidement se rendre compte qu’il ne s’agit pas d’un simple rendez-vous manqué…
L’instant présent
Lisa et Arthur n’ont rendez-vous qu’une fois par an.
Il passe sa vie à la chercher…
… elle passe la sienne à l’attendre.
Lisa rêve de devenir comédienne. Pour payer ses études d’art dramatique, elle travaille dans un bar de Manhattan. Un soir, elle fait la connaissance d’Arthur Costello, un jeune médecin urgentiste. Leur complicité est immédiate.
Pour le séduire, Lisa est prête à tout. Dans une ville-labyrinthe qui n’offre aucun répit, elle prend tous les risques. Mais Arthur n’est pas un homme comme les autres. Bientôt, il révèle à Lisa la terrible vérité qui lui interdit de l’aimer :
« Ce qui m’arrive est inimaginable, et pourtant bien réel… »
Dans un New York plus imprévisible que jamais, Arthur et Lisa vont lier leur destin pour déjouer les pièges que leur impose le plus impitoyable des ennemis : le temps.
Un thriller psychologique vertigineux
au final stupéfiant.
Troisième (et avant-dernier) épisode de la saga de Christian Jacq « La Pierre de Lumière, » ce livre emmène une fois de plus le lecteur dans les intrigues ésotérico-policières de l’Égypte antique et dans la vie de La Place de Vérité, le village où vivent les artisans chargés de la construction des tombes des pharaons. Un traître se cache dans la communauté et veut à tout prix voler la Pierre de lumière. Un grand danger plane donc sur le village, et sur l’Égypte toute entière car seule la Place de Vérité peut garantir l’éternité de l’Égypte. Faisant évoluer des personnages originaux (Néfer le Silencieux, Claire la « femme sage » et Paneb l’artiste géniale) dans une intrigue bien ficelée, on sent tout au long de ce récit que Christian Jacq prend du plaisir à nous plonger dans cette fiction. Car c’est bien d’une fiction dont il s’agit et ce livre est à prendre comme tel. Les références historiques ne sont là que pour donner une base à l’histoire. C’est d’une Égypte sans doute un peu idéalisée dont il s’agit, tout droit sortie de la tête de son auteur. Et si certains reprochent à Christian Jacq d’adopter toujours les mêmes schémas d’écriture pour élaborer ces romans, c’est quand même avec plaisir que l’on retrouve « Paneb l’ardent. » Un livre qui ne décevra pas les millions de lecteurs des précédents titres « Néfer le silencieux » et « La Femme sage. » Thomas Boudrant
Déjà vendu à plus de 400 000 exemplaires, » Service compris » sert de référence permanente aux étudiants, aux dirigeants d’entreprise et à tous leurs collaborateurs. Phénomène d’édition sans précédent, ce livre a révolutionné la qualité du service en France et en Europe, contribuant plus que toute autre à faire découvrir et partager la passion du client. A lire de toute urgence.
Ajedhora
De la distraction à la réflexion, il faut plus que de la distance. Il faut suivre un parcours. il faut accomplir un voyage de la Terre à la lointaine Ajedhora, le cheminement se fait progressivement, d’année-lumière en idée flash, à travers les méandres du cosmos et de la pensée. Rêve ou réalité, tout est possible dans un livre, même le choc de tous les mondes en un seul bloc, en un seul roc : choc de l’action et de l’analyse, du conte et de la philosophie, de la lettre et de l’esprit, rivages où s’échouent des sensibilités contraires, des valeurs contradictoires. L’utopie est un indésirable pourquoi pas, flanqué d’un provisoire point d’interrogation. Aux confins de l’utopie et du baroque, Ajedhora est un livre rock.