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Kumpag Wàngalàng Wi (Jaar-Jaari TINTIN)
Voyages autour du monde
Mon carnet de gratitude – Livre neuf
Le peuple migrateur
L’Hôtel de Ville de Dakar
Oiseaux du Sénégal – Livre neuf
200 drôles d’expressions

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Nos derniers livres
La 14ème colonie
1783. Des révolutionnaires américains et des Français ayant combattu pour l’indépendance des États-Unis fondent une société secrète, La Société des Cincinnati. George Washington en est le premier président. 1812. Lors de la guerre anglo-américaine, un plan est échafaudé aux plus hauts échelons du gouvernement américain.
La constance du prédateur
Il est surnommé Charon, le passeur de morts. Mais un seul homme pourrait-il avoir fait autant de victimes pendentif près de quinze ans sans jamais se faire prendre? On ne sait presque rien de son mode opératoire, sinon sa signature, singulière.Une tête d’oiseau.Mais Charon est de l’histoire ancienne, il n’a jamais été identifié, n’a jamais été pris.Sauf que ses crimes ressurgissent du passé, dans les profondeurs d’une mine abandonnée. Et s’il était encore vivant ? Plongez avec Ludivine Vancker dans le département des sciences du comportement de la Gendarmerie, les profilers comme on les surnomme, et osez descendre dans l’âme d’un monstre… Car Charon a encore une histoire à raconter.
Valérie Valère : Malika ou un jour comme tous les autres
Eric Ambler : L’héritage Schirmer
Catherine Paysan : Le clown de la rue Montorgueil
Norman Katkov : A cœur ouvert
Stephen Becker : Le Chan aux yeux bleus
Susan Howatch : Passion noire
Christopher Andersen : Sweet Caroline ou la mémoire de Kennedy
Hervé Bazin : Le démon de minuit
Irwin Shaw : Le riche et le pauvre
Madeleine Chapsal : Une femme heureuse
Chroniques du temps passé
1093 pages
Les Pérégrines
Les Compagnons d’éternité
La Dame de Beauté
Les Amours blessés
Qu’il s’agisse de roman ou d’histoire – mais les deux se mêlent ici intimement-, les héroïnes de Jeanne Bourin sont avant tout femmes de leur temps. Comme ces Pérégrines qui répondirent, à l’aube de notre millénaire, à l’appel du pape Urbain II pour libérer le tombeau du Christ à Jérusalem, et que rien ne fit reculer, ni les marches épuisantes, ni la faim, ni la maladie, ni la violence des combats. Comme Agnès Sorel, la belle maîtresse de Charles VII, qui incarnera au Xve siècle la dualité de son époque, encore médiévale par sa foi et sa gaieté, déjà moderne par sa manière d’éloigner Dieu de la vie quotidienne. Ou comme Cassandre Salviati, la fille d’un riche banquier, florentin, qui s’adapte naître la passion de Pierre de Ronsard, Poète de la Renaissance. Leurs espoirs, leurs défaites, leurs victoires se mêlent au bruit et à la fureur du monde. A leur suite revivent ici de pans entiers de notre histoire. Ces Chroniques du temps passé, du Moyen Age à la Renaissance constituent, après Chroniques médiévales, le deuxième volume de l’œuvre de Jeanne Bourin chez Omnibus.
Abécédaire de la bêtise ambiante
Dédié à Jean-Pierre Chevènement et aux petites gens bernés en permanence, ce livre analyse, à travers 120 textes polémiques et brefs, la lente dérive de l’universalisme républicain issu de la Révolution de 1789, vers cet agglomérat de communautarismes revendicatifs et de narcissismes hostiles qui constituent aujourd’hui la société française. Présenté sous forme d’abécédaire, l’ouvrage s’attaque à différentes dérives qui, selon l’auteur, menacent l’unité républicaine.
La vie à l’épreuve du temps
Catherine Bergeret-Amselek explore depuis plusieurs années les crises maturatives que nous traversons, en vacillant parfois fortement, à chaque entrée dans un nouvel âge de la vie. La vie à l’épreuve du temps propose un regard nouveau sur le grand âge qui tient compte des âges précédents. Et si, contrairement aux idées reçues, un travail analytique pouvait être fructueux après 70 ans ? Qu’en est-il de la sexualité, de la créativité dans la deuxième partie de la vie ? À condition d’assumer les pertes, les renoncements et les deuils en cours, sénescence peut être une étape fondamentale pour se réaliser pleinement. L’auteur nous fait entrer dans les coulisses de la scène analytique, dévoilant sa pratique atypique avec les personnes âgées, mais aussi ses doutes et ses questionnements. On s’aperçoit qu’au crépuscule, la lumière peut être aussi vive qu’à l’aube pour éclairer le temps qui reste. Catherine Bergeret-Amselek est psychanalyste, membre de la Société de psychanalyse freudienne où elle anime un séminaire sur les âges de la vie. Elle a publié notamment Le mystère des mères et La Femme en crise, aux éditions Desclée de Brouwer.
La saison de l’ombre
Si leurs fils ne sont jamais retrouvés, si le ngambi ne révèle pas ce qui leur est arrivé, on ne racontera pas le chagrin de ces mères. La communauté oubliera les dix jeunes initiés, les deux hommes d’âge mûr, évaporés dans l’air au cours du grand incendie. Du feu lui-même, on ne dira plus rien. Qui goûte le souvenir des défaites ? » Nous sommes en Afrique sub-saharienne, quelque part à l’intérieur des terres, dans le clan Mulungo. Les fils aînés ont disparu, leurs mères sont regroupées à l’écart. Quel malheur vient de s’abattre sur le village ? Où sont les garçons ? Au cours d’une quête initiatique et périlleuse, les émissaire du clan, le chef Mukano, et trois mères courageuses, vont comprendre que leurs voisins, les BWele, les ont capturés et vendus aux étrangers venus du Nord par les eaux. Dans ce roman puissant, Léonora Miano revient sur la traite négrière pour faire entendre la voix de celles et ceux à qui elle a volé un être cher. L’histoire de l’Afrique sub-saharienne s’y drape dans une prose magnifique et mystérieuse, imprégnée du mysticisme, de croyances, et de « l’obligation d’inventer pour survivre.
54 Contes d’Afrique (Partie 1) – Livre neuf
LIVRE NEUF EN DEPOT-VENTE / ULTIMES GRIOTS
« 54 Contes d’Afrique » propose une étonnante collection d’histoires qui couvrent l’intégralité du continent africain, des dunes de sable du Nord aux jungles luxuriantes de la région centrale. Chaque récit donne vie aux riches traditions de narration qui ont été transmises de génération en génération, avec un casting dynamique de personnages, des animaux parlants aux êtres mythiques, chacun partageant une sagesse intemporelle et des leçons de vie.
Avec chaque histoire, votre enfant va :
Acquérir une connaissance culturelle : Présentez à votre enfant les cultures, les langues et les enseignements moraux dynamiques des nations africaines, favorisant une perspective mondiale et une empathie culturelle.
Développer le raisonnement moral : Les contes sont imprégnés de dilemmes et de résolutions éthiques qui encouragent les jeunes esprits à réfléchir de manière critique au bien et au mal.
Stimuler l’imagination : Les éléments fantastiques et les descriptions riches stimuleront l’imagination, encourageant la créativité et l’amour de la narration.
Chérir l’héritage culturel : Spécialement pour les enfants de la diaspora africaine, ces contes servent de pont vers leur héritage ancestral, offrant un sentiment de fierté et d’appartenance à travers les histoires chéries de leurs ancêtres.
Parfait pour la lecture à voix haute ou pour que les enfants plus âgés lisent de manière indépendante, ce livre est conçu pour être une passerelle vers des discussions sur les valeurs, les décisions et les conséquences qui en découlent. « 54 Contes d’Afrique » n’est pas seulement un livre ; c’est un outil pédagogique qui divertit tout en enseignant, ce qui en fait un ajout précieux à la bibliothèque de tout enfant.
27 pays : Kenya, Maurice, Ethiopie, Ouganda, Soudan, Somalie, Tanzanie, Angola, Mozambique, Afrique du Sud, Zimbabwe, Algérie, Egypte, Tunisie, Guinée Equatoriale, Cameroun, Burundi, Congo Brazzaville, Congo Kinshasa, Ghana, Mali, Bénin, Sierra Leone, Burkina Faso, Côte-d’Ivoire, Guinée-Bissau, Nigéria
54 Contes d’Afrique (Partie 2) – Livre neuf
LIVRE NEUF EN DEPOT-VENTE / ULTIMES GRIOTS
« 54 Contes d’Afrique » propose une étonnante collection d’histoires qui couvrent l’intégralité du continent africain, des dunes de sable du Nord aux jungles luxuriantes de la région centrale. Chaque récit donne vie aux riches traditions de narration qui ont été transmises de génération en génération, avec un casting dynamique de personnages, des animaux parlants aux êtres mythiques, chacun partageant une sagesse intemporelle et des leçons de vie.
Avec chaque histoire, votre enfant va :
Acquérir une connaissance culturelle : Présentez à votre enfant les cultures, les langues et les enseignements moraux dynamiques des nations africaines, favorisant une perspective mondiale et une empathie culturelle.
Développer le raisonnement moral : Les contes sont imprégnés de dilemmes et de résolutions éthiques qui encouragent les jeunes esprits à réfléchir de manière critique au bien et au mal.
Stimuler l’imagination : Les éléments fantastiques et les descriptions riches stimuleront l’imagination, encourageant la créativité et l’amour de la narration.
Chérir l’héritage culturel : Spécialement pour les enfants de la diaspora africaine, ces contes servent de pont vers leur héritage ancestral, offrant un sentiment de fierté et d’appartenance à travers les histoires chéries de leurs ancêtres.
Parfait pour la lecture à voix haute ou pour que les enfants plus âgés lisent de manière indépendante, ce livre est conçu pour être une passerelle vers des discussions sur les valeurs, les décisions et les conséquences qui en découlent. « 54 Contes d’Afrique » n’est pas seulement un livre ; c’est un outil pédagogique qui divertit tout en enseignant, ce qui en fait un ajout précieux à la bibliothèque de tout enfant.
27 pays : Djibouti, Érythrée, Soudan du Sud, Rwanda, Seychelles, Botswana, Comores, Eswatini, Lesotho, Madagascar, Malawi, Namibie, Zambie,
Libye, Maroc, Mauritanie, Centrafrique, Gabon, Sao Tomé et Principe, Tchad, Cap-Vert, Gambie, Libéria, Niger, Sénégal, Guinée, Togo
L’autre qu’on adorait
“Quand tu penses à ce qui t’arrive, tu as l’impression de te retrouver en plein David Lynch. Blue Velvet, Twin Peaks. Une ville universitaire, le cadavre d’un garçon de vingt ans, la drogue, la police, une ravissante étudiante, une histoire d’amour entre elle et son professeur deux fois plus âgé : il y a toute la matière pour un scénario formidable. Ce n’est pas un film. L’autre qu’on adorait fait revivre Thomas, un homme d’une vitalité exubérante qui fut l’amant, puis le proche ami de la narratrice, et qui s’est suicidé à trente-neuf ans aux États-Unis. Ce douzième roman de Catherine Cusset, où l’on retrouve l’intensité psychologique, le style serré et le rythme rapide qui ont fait le succès du Problème avec Jane, de La haine de la famille et d’Un brillant avenir, déroule avec une rare empathie la mécanique implacable d’une descente aux enfers.
Jeu Le Monde – Jouez et faites la Une !
600 questions sur l’actualité de 19454 à nos jours servies sur un plateau.
Intégrez la rédaction du Monde ! Lancez le dé, progressez sur le “plateau de la salle de rédaction” et mettez à l’épreuve vos connaissances, votre curiosité et votre ouverture d’esprit pour être le premier à faire la Une !
Un jeu inédit, à la fois culturel, enrichissant et divertissant, avec un partenaire prestigieux, celui du quotidien Le Monde !
Obtenez d’abord votre carte de presse, puis, au gré des coups de dés, progressez sur le plateau et répondez correctement aux questions des six rubriques : politique et société, international,économie, sport, culture – art de vivre et mode, sciences et environnement. Surmontez les obstacles scoops et ratages, couvrez un maximum de rubriques, arrivez à temps pour le bouclage et soyez le premier à décrocher la Une du quotidien !
Le matériel : un plateau de jeu – 8 pions-cartes de presse, 50 cartes ” scoop ” ou ” ratage “, 100 fiches questions, un livret pour la règle du jeu et les réponses, 60 jetons rubriques.
Le but du jeu : après un parcours culturel et ponctus des imprévus du métier de journaliste, il s’agit d’arriver le premier sur la case ” arrivée ” doté de ses 6 jetons (un par rubrique).
« – Et l’enfant? demanda Daragane. Vous avez eu des nouvelles de l’enfant? – Aucune. Je me suis souvent demandé ce qu’il était devenu… Quel drôle de départ dans la vie… – Ils l’avaient certainement inscrit à une école… – Oui. À l’école de la Forêt, rue de Beuvron. Je me souviens avoir écrit un mot pour justifier son absence à cause d’une grippe. – Et à l’école de la Forêt, on pourrait peut-être trouver une trace de son passage… – Non, malheureusement. Ils ont détruit l’école de la Forêt il y a deux ans. C’était une toute petite école, vous savez…»
Jean-Godefroy Bidima nous propose ici d’envisager l’espace public via la pratique de la palabre. Pour ce faire, il nous faut d’abord cesser de croire en la résolution possible de tous les conflits. Pour Bidima, placer la palabre comme clef de voûte de l’institution politique, c’est l’envisager au sens “agonistique” (agôn : la lutte en grec). Il s’agira donc d’une palabre engagée dans la prise en charge des différends. Il nous faudra par ailleurs renoncer au mythe de l’unité nationale, toujours imposée par la violence. Sortir de la perpétuelle référence à une figure transcendante de l’unité reviendrait à mettre en péril des idéaux omniprésents : ceux de nation, de nature consensuelle des sociétés traditionnelles en Afrique ou d’irréfutabilité des valeurs religieuses. Pour faire advenir et exister la conscience de l’altérité dans la pratique politique, il faut envisager “le soi” comme divisé. Briser l’homogénéité d’une personnalité qui se représente à elle-même au travers de fictions telles que les concepts d’autonomie et d’atemporalité. Ainsi pourrons-nous, peut-être, sortir de ce que Bidima nomme la “victimologie” sous-jacente aux discours identitaires. Discours d’ordre économique (obsession d’une reconnaissance par les pays du Nord qui passe par la soumission aux modèles qu’ils imposent), intellectuel (la “négritude” comme figure inversée du complexe inoculé par le colonialisme) ou politique (l’incapacité d’aborder la question de l’espace public en dehors d’une réflexion logique sur le fonctionnement des institutions). Pourtant Bidima se réfère à la tradition philosophique occidentale. Il cite Aristote, Kant, Foucault, Ricoeur…et nourrit son ppos de récents travaux sociologiques et anthropologiques sur l’Afrique qui montrent la richesse des pratiques africaines dans le domaine juridique. Position ambitieuse ? Paradoxale ? On peut lire dans l’introduction de cette “Palabre” : “Ceux qui ont trop magnifié le droit en reviennent à la médiation informelle, tandis que ceux qui la pratiquaient spontanément dans leur propre tradition veulent tout codifier par un droit rigide d’importation : ainsi va le monde”.
Petite philosophie de l’amour
Il y avait une chance sur 5 840,82 qu’ils se rencontrent. Une probabilité plus incertaine encore qu’il tombe amoureux d’elle et qu’elle réponde à son amour. Et pourtant, c’est arrivé ! Chloé est entrée dans sa vie un mercredi de décembre à onze heures trente précises à bord du vol British Airways Paris-Londres de dix heures quarante-cinq. C’est ainsi qu’a commencé la plus exquise des romances. Une romance narrée par un jeune homme féru de littérature et de philosophie, qui fait appel à Montaigne, Pascal, Emma Bovary, Nietzsche, Freud, Marx (Groucho et Karl)… et bien d’autres pour commenter le déroulement de leur idylle. Il nous livre ses réflexions enthousiastes, ironiques ou désenchantées et, pour notre plus grand amusement, compose un véritable traité de l’amour en Occident aujourd’hui. “Drôle et habile, dans la lignée de Calvino, ce roman annonce l’arrivée d’un talent nouveau, aussi inventif que facétieux.”
Un amour
Antonio Dorigo, cinquante ans, est tombé follement amoureux de Laïde, petite call-girl de vingt ans. Ce n’était pas une question charnelle, c’était d’une sorcellerie plus profonde, comme si un nouveau destin, auquel il n’avait jamais pensé, l’appelait, lui Antonio, et le traînait progressivement, avec une irrésistible violence, vers des lendemains ignorés et ténébreux. Et de quelque côté qu’on la regardât, la situation ne laissait entrevoir aucune issue possible. Rien d’autre ne pouvait l’attendre que rage, humiliation, jalousies et soucis éternels. Antonio va se débattre ; il lui faudra deux années d’enfer pour se rendre compte et s’avouer qu’il a perdu la bataille.
Steve Berry : La prophétie Nostradamus
Michael Connelly : Les neuf dragons
Harlan Coben : Sans un mot
Harlan Coden : Rupture de contrat
Peter Straub : Mystery
Clive Cussler : Dragon
Clive Cussler : Vortex
Patricia MacDonald : La double mort de Linda
Franck Linol : Lune de miel à la morgue
San-Antonio : A tue et à toi
Totems du temps – Livre neuf
LIVRE NEUF – Radwane Saheli fait partie de ces écrivains dont l’assemblage des mots et des maux dessine une palette de couleurs poétiques, inaltérables par le temps. Malgré les empreintes et les sillages de ce dernier, le poète manie avec une dextérité singulière l’art d’aller aux essentiels de la vie, en toute universalité. Sang et culture mêlés, sensualité, vérités immuables, douleurs, douceur. Un souffle poétique singulier et brûlant qui vous tiendra hors d’haleine dans ce troisième recueil de poésie qu’il signe ici. Une fois la sonorité lyrique quelque peu dissipée, ses mots résonneront longtemps dans vos pensées, car son texte est une ode à l’amour, à l’envie, aux passions, et c’est avec « la langue de l’amour » qu’il s’adresse à vous.
Une journée exceptionnelle
Paul Strom a une vie parfaite. Et il est lui-même un mari parfait. C’est pour cette raison qu’il planifie un week-end romantique pour sa femme, Mia, dans leur maison de campagne, juste tous les deux. Et il promet que cette journée sera exceptionnelle.
Mais alors qu’ils sont en voiture, en train de rallier leur lieu de villégiature, la tension commence à monter et minute après minute, le doute s’installe. Leur mariage est-il aussi parfait que Paul le dit ? Se font-ils réellement entièrement confiance ? Paul est-il vraiment la personne qu’il semble être ? Et quels sont ses projets pour ce week-end ?
Une journée exceptionnelle nous force à nous demander à quel point nous connaissons ou non nos proches… Méfiez-vous des mariages trop parfaits…
Croc-Blanc
«Tout n’est pas liberté dans le monde», et quand ce monde est le Wild, pays farouche et terre glacée, même le loup se sent prisonnier.
Jack London, dans ce décor sauvage et cette nature hostile, nous conte l’histoire d’un louveteau qui vient petit à petit à la civilisation et se fait chien. La vie âpre des animaux sauvages et des chasseurs indiens ou blancs de l’Alaska a rarement été peinte avec autant de force et de vérité. Pour écrire ce récit, qui est devenu un classique de la littérature, Jack London s’est inspiré des souvenirs de son séjour dans le Grand Nord.

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