
L’assassin d’avril
Béatrice Privat est écrivain. Elle est la fille de Bernard Privat, éditeur des Editions Grasset.
Au gré de l’astrolabe
Michel Bénard est un enchanteur, un chercheur de bonheur qui abolit les frontières en dérivant Au gré de l’astrolabe à la recherche de terres inconnues ; parmi celles-ci : la terre de l’Afrique subsaharienne, à laquelle il consacre toute sa dernière et deuxième partie placée sous l’intitulé « Terra Africa ». En fait, « Terra Africa » constitue un sous-ensemble, – ou si vous préférez un détail – du grand tableau de dessins et visuels de multiples paysages naturels et humains qui fleurent bon l’ailleurs ; lequel est tout naturellement placé sous l’esprit de l’emprise de la « Terra Incognita ». De prime abord, cela m’évoque L’invitation au voyage de Baudelaire : « Mon enfant, ma sœur, / Songe à la douceur / D’aller là-bas vivre ensemble !/Aimer à loisir /Aimer et mourir / Au pays qui te ressemble ! » Bénard écrit en écho aux vers baudelairiens : « Toutes ces îles de paradis, / De fleurs, de fruits et de conques, /Aux abords de la « Pointe de Vénus » / Où passionné j’écoutais, / La légende du « Trou du Souffleur, » / Et dans les palmes / La mélodie du vent. »(p .60). Le poète Bénard à la différence de Baudelaire ne converse pas avec une fille des îles exotiques, il constitue un « herbier de la mémoire » (p.65), pour, continuera-t-il : « […] aller jusqu’à la sacralisation / D’une impression d’éternité / Aux senteurs d’une nuit africaine. »(p.65). Au Spleen de Paris baudelairien, Bénard substitue le Spleen de Reims ; et aux paradis artificiels, il substitue le paradis du Champagne. C’est ainsi que Bénard écrit : « Je titube dans l’alcool de cristal, / Et rêve d’îles couvertes de chants » (p.51). Il évoquera aussi : « L’heure des longues solitudes, /Où doucement s’efface / La silhouette de la lune. » (p.96). Michel Bénard est un poète, peintre et critique d’art qui s’est investi depuis une trentaine d’années dans ces domaines, lesquels se mêlent et s’entremêlent sans discontinuité. C’est ainsi qu’il écrit dans le poème Cendres : « Temps fort d’un signe graphique / Qui transcende les mots, / Se métamorphose du vert au gris / En passant par le rose premier » (p.40). Sur sa palette le peintre mélange non seulement les couleurs et les mots tel qu’on peut le déceler dans le poème central Astrolabe : « Le verbe aimer s’est enchâssé, / Les pages s’encrèrent de turquoise (p.33). Lorsqu’ il évoque « les lignes légères et colorées » (p.41), nous avons affaire au critique d’art. C’est en cela que réside la spécificité marquante de la poésie ciselée de Michel Bénard. Dans la poésie de Bénard on retrouve des réminiscences de nos poètes classiques : Baudelaire, mais aussi Senghor (p. 63, par rapport à Chants d’ombres ; et p. 98 le poème sans titre par rapport à Femme noire), et Césaire (p. 31, poème Migration par rapport au Cahier d’un retour au pays natal). Dans l’optique de Michel Bénard, la musique précède la parole (« Aux résonances d’une kora / Donnant naissance aux paroles des griots. » (p.74), et forcément la peinture précède le poème écrit. C’est ainsi que l’on ne peut étudier en profondeur la poésie de Michel Bénard sans nager dans l’essence de la peinture et de la critique d’art. Nous saluerons, en final, la belle préface à l’ouvrage de Bénard signée par l’écrivain béninois Bernabé Laye, en faisant remarquer, toutefois, qu’elle est trop ancrée (encrée) dans le champ littéraire.
Et si c’était vrai ?
L’association Jean-Michel et son équipe a été fondée en Suisse en 1972 par Jean-Michel Cravanzola. Ce mouvement évangélique est décrié par certains qui le considèrent comme une secte. Elle s’est arrêtée en 1992.
Le vrai sexe de la vraie vie
On ne va pas vous cacher que le tome 2 était déjà prévu depuis le début; car avec Le Vrai Sexe de la vraie vie, on a choisi de montrer non pas une sexualité idéale, mais bien des sexualités, variées, différentes, imparfaites… et elles sont nombreuses. Et pour parler de sexe en plein air, de capote fugitive, de culpabilité sexuelle, de sexe pendant les règles, de sodomie hétéro, de changement female to male, de pression masculine ou de sexe sans capote, on avait besoin d’encore beaucoup, beaucoup de papier.
L’île des morts
Fasciné par le célèbre tableau d’Arnold Böcklin, L’Ile des morts, un jeune peintre s’aperçoit qu’il ne s’agit pas d’une oeuvre d’imagination mais bel et bien d’un paysage existant. Il entreprend à son tour le voyage vers l’île des Morts. Une bande dessinée au style gothique qui envoûte le lecteur tout en l’invitant à entrer dans le royaume des fantômes et des gorgones… Cette intégrale est dotée d’une nouvelle couverture à la maquette originale. Cette magnifique histoire se dévore d’un bout à l’autre. L’Ile des morts est une des BD cultes des années 90, destinée à tous les passionnés de fantastique pur et dur, tous les amoureux d’épouvante à la Jean Ray, Hogson, ou Lovecraft. Mosdi et Sorel sont des auteurs nourris de littérature de terreur, mais aussi de cinéma, d’Hitchcock à De Palma en passant par Lynch. Ils allient à un découpage rythmé un renouvellement des cadrages et une noirceur graphique unique dans le domaine de la bande dessinée.
La prochaine fois, le feu
En dépit des bouleversements psychologiques et sociaux qu’il exige, cet ouvrage ne veut que proposer la solution de bon sens au problème de la place des Noirs dans la société américaine. Malgré le ton parfois menaçant, malgré la satire souvent mordante, La prochaine fois, le feu est avant tout un appel à la modération, une ultime tentative de compromis (en 1963) entre les extrémistes des deux bords aveuglés par la passion. Tant par l’actualité des phénomènes dont il présente l’analyse irréfutable que par le mélange de douleur contenue et d’ironie cinglante qui lui donne ce ton si particulier, ce témoignage ne manquera pas d’attirer l’attention du lecteur qui en retiendra les qualités littéraires autant que l’importance politique.
Le roman de George et Martha
S’il n’avait pas rencontré la belle et courageuse Martha, George Washington serait-il devenu le héros de la guerre d’Indépendance et le premier président des Etats-Unis ? Derrière chaque grand homme se cache une femme qui l’aime et le soutient, et la jeune veuve ira jusqu’à traverser les lignes ennemies pour le rejoindre. Dans cette biographie romancée, qui est aussi son premier livre, elle dresse le magnifique portrait d’une femme méconnue, et révèle la profonde humanité d’un des Pères de l’Amérique. Ce Roman est une biographie romancée de l’écrivaine américaine Mary Higgins Clark, paru en 1968. Il s’agit du premier livre publié de l’auteur qui choisit de refondre l’ouvrage et d’en donner une nouvelle version en 2000.
Le troisième jumeau
Une inquiétante plongée au cœur des manœuvres inavouables liées au génie génétique Comment deux vrais jumeaux peuvent-ils être nés de parents différents, des jours différents, à des endroits différents ? C’est à cette impossibilité biologique que se heurte Jeannie Ferrami, une généticienne de vingt-neuf ans spécialiste des jumeaux, lorsqu’elle se penche sur le cas étrange de Steve Logan et Dennis Pinker. Ils partagent le même ADN et sont de véritables Sosies, jusque dans leurs gestes et leurs manies, mais ils ne se connaissent pas et n’ont jamais entendu parler l’un de l’autre. Brillant étudiant en droit, Steve est un garçon sympathique et sans histoire. Dennis, lui, est un psychopathe endurci condamné à la prison à vie. Pourtant, c’est Steve qui est accusé d’un crime. Convaincue de son innocence, Jeannie s’acharne à rechercher la vérité. Autour d’elle, la violence et les agressions se multiplient. Tous les témoignages concordent : l’agresseur ressemble trait pour trait à Steve et Dennis. Qui est cet homme ? Jeannie n’a plus le choix : elle doit découvrir le secret des sosies et le véritable visage de son ennemi. Et s’il s’agissait d’un troisième jumeau ?
La Cinquantaine bien tapée
Caro, la cinquantaine, s’imagine en femme rangée jusqu’au jour où elle tombe sous le charme d’un jeune écrivain libertin et manipulateur. Déchirée entre son mari et le jeune homme, tous ses repères volent en éclats, la précipitant dans une frénésie sexuelle, une fuite en avant qui l’obligera à reconsidérer sa vie passée, sa place de femme, et dont elle ne sortira pas indemne. Dans ce récit en forme de course-poursuite amoureuse mené avec une fougue contagieuse, Julie Saltiel nous livre une parabole contemporaine sur la condition féminine. Oscillant entre ironie et désillusion, conjuguant érotisme et raison, désinvolture et introspection, elle tente de répondre à la question cruciale que tout le monde se pose sans pouvoir y répondre : que veut une femme ?
Pacte avec le vampire
Arkady Tsepesh, accompagné de sa femme enceinte, quitte Londres pour rejoindre, en Transylvanie, le château de son grand-oncle Vlad, plus connu sous le nom de Dracula. Il doit reprendre la charge de son père, récemment décédé, et gérer les affaires de son très étrange quoique bien-aimé parent. Mais ses nouvelles fonctions tournent très vite au cauchemar lorsqu’il s’aperçoit qu’il doit fournir des victimes à Vlad, s’il veut que celui-ci épargne les siens. Les liens de sa famille avec le vampire ont beau être aussi vieux que la dynastie elle-même, et le sang du monstre couler dans ses propres veines, quand il comprend que son fils nouveau-né est appelé à suivre ses traces et à honorer le pacte maudit, Arkady se décide à engager un combat à mort avec Dracula.
L’héritage d’Emilie – Tome 5 – L’arcane
Le voyage dans le temps et l’espace permet à Émilie de comprendre le rôle de chaque protagoniste apparu dans cette saga originale, dont l’inquiétante Arcane… Florence Magnin boucle en beauté ce périple étourdissant, véritable conte fantastique dont elle est passée maître. Un supplément de 8 pages comprenant des inédits, sera présenté en fin d’album.
Eva
Un soir de l’hiver 1979, quelque part dans Paris, j’ai croisé une femme de treize ans dont la réputation était alors terrible. Vingt-cinq ans plus tard, elle m’inspira mon premier roman sans que je ne sache plus rien d’elle qu’une photo de paparazzi. Bien plus tard encore, c’est elle qui me retrouva à un détour de ma vie où je m’étais égaré. C’est elle la petite fée surgie de l’arrière monde qui m’a sauvé du labyrinthe et redonné une dernière fois l’élan d’aimer. Par extraordinaire elle s’appelle Eva, ce livre est son éloge.
Autobiographie d’un amour
A trente-deux ans, Alexandre Rivière découvre que Jeanne, sa femme, se sent seule dans leur mariage, incomprise, saturée de rancœurs. Bouleversé de l’avoir si mal aimée, Rivière retombe amoureux de celle qu’il pensait connaître. Mais il est trop tard ; Jeanne a trop souffert de l’aimer et ne croit plus en ses baisers. Alexandre quitte sa famille, les Nouvelles-Hébrides, son métier d’instituteur, et s’évapore brusquement. Deux ans plus tard, Octave Rivière – son frère jumeau – débarque dans l’archipel. Il est très exactement l’homme que n’était pas Alexandre. En lui reparaît le mari de Jeanne, remanié, rectifié de tout ce qui la décourageait. Je désire ne jamais vous plaire, vous dégoûter de m’aimer ! lui lance-t-il dès leur première rencontre. Par un habile marivaudage, Octave soignera toutes les laideurs qu’Alexandre lui avait laissées dans le cœur. Il soulagera Jeanne de ses culpabilités, de ses peurs tenaces, la libérera du piège des ressentiments et lui enseignera l’art de satisfaire ses propres attentes. Loin de se contenter de l’aimer, Octave Rivière lui permettra de s’aimer. Mais qui est ce Rivière venu la délivrer d’elle-même ? Manipulateur au service de l’amour, Octave est la création la plus déroutante de l’auteur du Zubial, du Zèbre, du Petit Sauvage, de L’île des Gauchers… (prix Femina, 1988), du Petit Sauvage et de L’île des Gauchers.
Indianoak
Christian Laborde est un écrivain, poète, chroniqueur et pamphlétaire français. Il est célèbre pour avoir vécu l’une des dernières censures littéraires en France. En 1987, son livre « L’Os de Dionysos » est interdit pour « pornographie, lubricité, danger pour la jeunesse en pleine formation physique et morale, invitation au désordre et à la moquerie, trouble illicite… ». Le livre sera finalement réédité en 1989 et deviendra un roman culte. Laborde est également l’un des biographes de Claude Nougaro et Renaud. Il est connu pour son engagement pour la protection de l’ours des Pyrénées aux côtés de ces deux chanteurs. Il tient une chronique « Livres » sur France 3 Sud et est chroniqueur pour la Nouvelle République des Pyrénées. Christian Laborde a consacré plusieurs livres aux héros du Tour de France. Il est l’auteur, chez Plon, du « Dictionnaire amoureux du Tour de France » (2007). « Tour de France, nostalgie » (2012) obtient le Prix Louis Nucéra 2013.
L’héritage d’Emilie – Tome 4 – Le rêveur
Pour Émilie, la vie de château en Irlande a pris une curieuse tournure. Les habitants du domaine ont une attitude de plus en plus étrange et il semble que ce lieu cache bien des mystères. Pourquoi le temps semble-t-il ne pas s’écouler normalement ? Quelle est la véritable identité des résidents ? Quels sont ces passages permettant d’aller vers d’autres lieux à d’autres époques ? Et que cache ce jardin foisonnant ? Cet album sera l’avant-dernier tome de la série.
L’héritage d’Emilie – Tome 3 – L’exilé
Émilie n’en peut plus. Cette fois, elle est bien décidée à fuir le manoir de John Hatcliff. Cette atmosphère surnaturelle va finir par la rendre folle. Et cette rumeur, qui veut qu’un labyrinthe souterrain conduise à un autre univers… Mais au moment même où, par un jour pluvieux, elle franchit la grille du château, elle bascule soudainement dans une autre dimension. La grisaille laisse place à un soleil radieux. Et là, une voiture l’attend. D’après ses occupants, Émilie serait la seule à pouvoir les emmener de l’autre côté, au pays des fées… Les univers créés par Florence Magnin sont un vrai bonheur pour l’oeil – et l’esprit – du lecteur. Son imagination foisonnante est servie par un trait d’une douceur exquise. Elle sait restituer avec la même élégance une lande irlandaise noyée dans la brume, les rues sombres d’une cité médiévale et des mondes merveilleux tout droit sortis de son imagination. Ce troisième volet de L’Héritage d’Émilie offre l’occasion d’une balade à travers les méandres du temps, en compagnie d’un homme venu d’une étoile et luttant contre les ravages du temps. L’Héritage d’Émilie est une série fantastique et poétique envoûtante qui nous entraîne très loin de la réalité quotidienne…
L’héritage d’Emilie – Tome 2 – Maeve
Juillet 1801. Un ancien militaire français, errant en Irlande, découvre dans les landes désolées du Connemara, un cairn très ancien. Au fonds des grottes qu’il dissimule, repose le corps d’une femme-guerrier parée de bijoux. L’homme les lui arrache et s’enfuit tandis que les parois s’effondrent derrière lui. Quelques instants plus tard, il ne reste rien du cairn… La revente du trésor volé assure la fortune de celui qu’on ne connaîtra désormais que sous le nom de John Hatcliff. Sur la lande désolée, il fait construire un superbe château qu’entoure bientôt un parc luxuriant. Alors que, depuis des siècles, sur cette terre désolée, ne poussaient guère que des cailloux ! Les fêtes succèdent aux fêtes dans ce site enchanteur. Jusqu’au jour où, dans l’explosion d’une fusée de feu d’artifice, le châtelain disparaît sans laisser de trace. Juillet 1923. La jolie Émilie perd son travail de danseuse au Moulin-rouge et son petit ami dans la même soirée. Alors qu’elle a le moral au fond des ballerines, un mystérieux notaire lui explique qu’en tant qu’unique héritière de John Hatcliff, le manoir du Connemara lui revient de droit. Emilie embarque pour l’Irlande. Mais qui est l’homme qui semble manipuler le notaire ? Qui sont les tinkers, ces romanichels qui campent tout près du manoir ? Qui est vraiment la vieille lady Darkmooth qui occupe la vieille demeure en compagnie de Meghan, une rousse incendiaire ? Pourquoi des êtres immatériels dansent-ils, la nuit, dans les marais ? Et surtout, Maeve, la reine morte, et John Hatcliff qui la dépouilla cent-vingt ans plus tôt, sont-ils ils vraiment morts ? Les mondes de Florence Magnin glissent comme des rêves entre légendes et réalité. Son dessin fin, délicat et élégant illustre à merveille ces univers où fantastique et merveilleux se mêlent en dégageant un parfum unique.
Nous sommes dans les années 1920, à Paris. Émilie, une jeune femme danseuse au Moulin-Rouge, reçoit une énigmatique lettre d’un huissier. Stupéfaite celle-ci apprend qu’elle hérite – d’un grand oncle mystérieux – d’un château situé en Irlande, dans le Connemara ! Mais que cache vraiment ce « cadeau » tombé du ciel ? Commence alors pour elle un fabuleux voyage dans le temps, sur ces terres celtiques que l’on dit sacrées… Une fois encore Florence Magnin excelle dans ces ambiances mystérieuses qu’elle sait mieux que quiconque restituer grâce à un style très personnel et subtil.
Allie est une rebelle, une « non-enregistrée ». Elle méprise les «larbins» ces êtres humains qui se sont laissé réduire à l’état de bétail par les vampires devenus les maîtres du monde, et se bat pour vivre libre, dans la clandestinité. Mais, une nuit, alors qu’elle part chasser sa nourriture, sa vie bascule : elle est attaquée par des enragés et, quand elle reprend miraculeusement conscience, c’est pour s’apercevoir qu’un vampire la tient à sa merci. Un vampire qui met Allie devant un choix impossible : mourir… ou accepter d’être mordue et devenir à son tour un de ces monstres qu’elle honnit.
Lontano
Le père est le premier flic de France. Le fils aîné bosse à la Crime. Le cadet règne sur les marchés financiers. La petite soeur tapine dans les palaces. Chez les Morvan, la haine fait office de ciment familial. Pourtant, quand l’Homme-Clou, le tueur mythique des années 70, ressurgit des limbes africaines, le clan doit se tenir les coudes. Sur fond d’intrigues financières, de trafics miniers, de magie yombé et de barbouzeries sinistres, les Morvan vont affronter un assassin hors norme, qui défie les lois du temps et de l’espace. Ils vont surtout faire face à bien pire : leurs propres démons. Les Atrides réglaient leurs comptes dans un bain de sang. Les Morvan enfouissent leurs morts sous les ors de la République
Clive Cussler – 5 livres Grand Format, en très bon état
- Quart mortel
- Mirage
- Rivage mortel
- Croisière fatale
- Corsaire
Les aventuriers du Nil
En 1798, les troupes françaises du général Bonaparte envahissent l’Egypte. Hubert de Saint-Vincent, jeune dessinateur, fait partie de la Commission d’artistes et de savants appelés à fonder l’Institut d’Egypte. Ayant pris sous sa protection Omar, un Cairote de quinze ans, il rejoint Rosette, à l’embouchure du Nil. Mais la douceur de vivre qui y règne est bientôt troublée par les agissements d’un traître à la solde des Anglais. Lancés dans une suite d’aventures haletantes, Hubert et Omar vont tenter de déjouer leur ennemi pour découvrir avant lui le trésor légendaire qu’il convoite.
Méfiez-vous des anges
« Vous voilà prévenus. Si vous pénétrez dans L’Enceinte, il sera déjà trop tard… » Sur les collines de Californie se dresse. L’Enceinte, une communauté spirituelle en apparence parfaite. Paul Green, ancien journaliste cabossé par la vie, est persuadé que la jeune femme qu’il recherche est enfermée entre ces murs. Il s’infiltre dans L’Enceinte et découvre avec stupeur ses rites étranges, ses lieux interdits, son gourou mystérieux. Au même moment, à Los Angeles, l’inspectrice Sarah Shelley est appelée en urgence. Le cadavre d’une jeune femme vient d’être découvert, entièrement tailladé. Impossible de l’identifier. Elle serait morte vidée de son sang. Et si ce crime nous ramenait au cœur de L’Enceinte ? Dans les bas-fonds de Los Angeles, Sarah Shelley et Paul Green vont emprunter un chemin de ténèbres. Et affronter l’une des organisations sectaires les plus redoutables des États-Unis. Une plongée dans la noirceur de l’âme humaine et de la manipulation.
Katanga – Tome 1 – Diamants
En 1960, après quatre-vingts ans passés sous la domination coloniale belge, le Congo proclame son indépendance ; moins de deux semaines après, la riche province minière du Katanga fait sécession. Le Congo et le Katanga entrent immédiatement en guerre ; au coeur du conflit : la possession des territoires miniers. De nombreux massacres et exodes de civils s’ensuivent. L’ONU impose alors sa médiation et l’envoi de Casques bleus sur place… Dans le même temps, une horde d’ignobles mercenaires est recrutée pour aller libérer les exploitations minières occupées… Et un domestique noir, Charlie, tord le cou au destin en mettant la main sur un trésor inestimable : 30 millions de dollars de diamants… ce qui fait de lui le Noir le plus recherché du Katanga.
Roches de sang
Et si les victimes étaient en réalité les coupables ?
Un milliardaire serbe égorgé à Londres. Sur la baie vitrée, ces lettres de sang : Chè la mia ferita sia murtale. Que ma blessure soit mortelle…
Pour Marie Jansen, l’inspectrice d’Europol, la sentence sonne comme l’écho lointain d’un passé et d’une terre qu’elle pensait définitivement oubliés.
Son enquête la plonge soudain deux décennies plus tôt. En Corse. Au temps des braquages en mer.
Ce jour-là, Ange et Théo, les frères du gang des Roches rouges, fouillent les cales du yacht qu’ils ont pris d’assaut. Et découvrent, sidérés, ce qu’ils n’auraient jamais dû voir…
Des hauts plateaux corses aux rues sombres de Belgrade, des montagnes suisses à l’île de Lesbos, l’histoire d’un face à face terrifiant à travers l’Europe. Et d’un incroyable chemin de rédemption.
« Olivier Bal se hisse à la hauteur des meilleurs auteurs de thrillers. »
Dragger – Tome 1 – Les mangeurs de sable
Mangeurs de sable (Les) est le volume 1 de la série Dragger par Carlos Trillo et Domingo Mandrafina, paru en 1994. Selon nos informations, il n’en existe qu’une seule édition, publiée par Arboris.
Mots roses au clair de lune (tome 3)
Fang, Jonn, Ladybird, Electrocute ainsi que les inséparables chats Fleya et Fëanor accompagnent la jolie Maliki dans un vent de nostalgie qui emporte au loin les souvenirs moroses de nos personnages favoris. Pendant que de nouveaux compagnons d’humour font leur apparition flash -comme Forest le photon- ou que d’autres nous récurent la boîte à rire -comme Docteur Savonax- le grand Odin lui-même crève les cases et les bulles en nous martelant de son terrible « Berzerkat ». La poésie du quotidien n’aura jamais été autant marquée de colère noire et de mélancolie ! Maliki plus critique que jamais présente une tragédie animalière ponctuée de jeux de mots déjantés et de tranches de vie loufoques. La nuit tombe à Roubaix et le clair de lune réchauffe les coeurs tristes d’une douce folie. À mourir de rire !
Dans une Europe traversé par les idées issues de la Révolution, France de Riga est au centre d’un réseau d’espionnage opposé à Bonaparte. Complots, trahisons et élans amoureux s’entremêlent. La belle aventurière les affronte avec fougue et passion. Ce récit sensible et dur dévoile des personnages très vite attachants, à la psychologie forte. Le dessin de Séraphine très personnel et sa mise en couleurs directes dont de France de Riga une oeuvre réaliste hors normes, …
Chambre 203
Roman – Collège – Pierre, neuf ans, adore le foot, surtout l’équipe de Marseille, et ses copains. Mais bizarrement, il se sent de plus en plus fatigué et les petits plats qu’il adore n’ont plus vraiment le même goût. Ce n’est sans doute pas grand-chose mais on va quand même faire des analyses, dit le médecin. Et le verdict tombe, Pierre est malade et rentre à l’hôpital, chambre 203.
Polina
Très douée pour la danse, la petite Polina Oulinov est sélectionnée pour suivre les cours de Nikita Bojinski, un maître d’une exigence absolue, à la fois redouté et admiré. Au fil de son enseignement, qu’elle suit des années durant, Polina devenue jeune fille développe avec son mentor une relation complexe, entre antagonisme et soumission et finit par le quitter pour explorer de nouvelles expériences artistiques, en toute indépendance. Après avoir exploré l’émoi amoureux, Bastien Vivès parcourt la relation du maître et de l’élève dans Polina ou l’histoire d’une petite fille qui deviendra chorégraphe. Dans un livre conséquent, l’auteur semble réfléchir sa propre expérience par la fiction. Sans détours, avec lucidité et distance.
Kiffe kiffe demain
Doria a quinze ans, un sens aigu de la vanne, une connaissance encyclopédique de la télé, et des rêves pleins la tête. Elle vit seule avec sa mère dans une cité de Livry-Gargan entourée d’Hamoudi, un grand de la cité qui l’a connue «haute comme une barrette de shit», Mme Burlaud, la psychologue au porte-jarretelles, Nabil le nul ou encore Aziz, l’épicier du Sidi Mohamed Market avec qui Dora essaie en vain de caser sa mère. Entre humour ravageur et formidables élans de fraîcheur, Dora navigue dans la vie avec l’innocence de sa jeunesse et l’assurance d’une fille trop intelligente pour ne pas infléchir son destin Surnommée la Sagan des banlieues, analysée dans l’International Herald Tribune et Newsweek, Faïza Guène, 19 ans, française d’origine algérienne et étudiante en sociologie, est déjà un phénomène avec ce premier roman.
Le premier cercle
» Quand on décrit les prisons, on s’attache toujours à en noircir les horreurs. N’est-ce pas encore pire quand il n’y a pas d’horreurs ? Quand l’atroce naît de la grisaille méthodique des semaines ? Et du fait qu’on oublie que la seule vie dont on dispose sur terre est brisée ? » Pour les zeks, les détenus politiques qui peuplent les charachkas, ce premier cercle de l’enfer pénitentiaire, la notion du temps devient abstraite ; chaque jour, chaque heure, c’est la même chose, c’est le silence, l’ennui. Les charachkas, c’est oublier qu’on est en vie. Sous la plume d’Alexandre Soljenitsyne coulent des souvenirs douloureux. Avec un cynisme brûlant et une violence voilée, l’auteur décrit le régime concentrationnaire soviétique en un long cri de rage, celui d’un homme qui n’a jamais cessé de lutter pour la liberté.
Jean-Louis Debré est le fils de Michel Debré, ancien Premier ministre. Il a trois frères : Vincent Debré, homme d’affaires né en 1939, François Debré, journaliste (1942-2020), mort le lendemain du décès de son frère jumeau Bernard Debré, médecin et homme politique (1944-2020)2. Il est aussi le petit-fils du pédiatre Robert Debré et, du côté de sa mère, de l’architecte Charles Lemaresquier. Il est également le neveu du peintre Olivier Debré. Enfin, il est l’arrière-petit-fils du grand rabbin Simon Debré (1854-1939). Avec son épouse, Anne-Marie Engel, morte le 21 juillet 2007, il a eu trois enfants : Charles-Emmanuel Debré (directeur business Grands comptes de Bouygues Télécom), Guillaume Debré (journaliste) et Marie-Victoire Debré (comédienne)3. Il fut élève à l’école Hattemer.
Marianne (Saga en 6 volumes)
La vie prodigieuse de Marianne d’Asselnat de Villeneuve commence en Angleterre, dans le paisible domaine de sa tante Ellis Selton qui l’a recueillie après la mort de ses parents, guillotinés sous la Terreur. Son adolescence prend fin brutalement le jour même où elle épouse le beau Francis Cranmere dont elle est secrètement éprise depuis longtemps. Au cours d’une nuit de noces effroyable elle perd à la fois son amour, sa fortune et sa sécurité. Marianne doit fuir, abandonner tout ce qu’elle aime, revenir en France où règne l’homme qu’on lui a appris à haïr jour après jour : Napoléon. …..
Ce livre de 1344 pages représente les 3 tomes « La jeune mariée » « La fière américaine » « La Princesse Mandchoue »
Les péripéties amoureuses de Mélanie, 15 ans, depuis ce soir de l’été 1905 où, s’aventurant en chemise de nuit dans le jardin de son aristocratique voisine qui donnait un bal, elle tomba par hasard dans les bras du marquis de Varennes. Alexandra adore les voyages. Son mari les déteste. Alors, un jour de 1904, la belle Américaine embarque seule sur un paquebot et fait route pour la France, bien décidée à s’amuser. Mais elle ne sait pas que la France est le pays de l’amour et que le destin va mettre sur son chemin le plus bel homme que la terre ait porté. Tout à son amour, Orchidée, la petite princesse mandchoue, avait oublié la Chine et son impératrice qui lui ordonne de rentrer. Effondrée, Orchidée prend la fuite. Direction Marseille, puis… À bord du Méditerranée-Express, elle rencontre enfin l’homme providentiel qui réussira peut-être à l’aider…
Une belle saloperie
Robert Littell, l’un des grands maîtres du roman d’espionnage, après plusieurs livres qui se développent dans un contexte international, se tourne ici vers le polar et situe son récit dans un décor profondément américain.
Lemuel Gunn, agent de la CIA en poste en Afghanistan jusqu’à ce que sa dénonciation de l’assassinat de civils par des soldats américains provoque sa révocation, est devenu détective privé. Il s’est installé au Nouveau-Mexique et vit désormais dans un mobile home de légende, qui en 1937 fut la caravane de Douglas Fairbanks Jr. sur le tournage du Prisonnier de Zenda.
Fantasque, farouchement indépendant, Gunn se réaccoutume difficilement à la vie civile quand se présente à lui Ornella Neppi, intrigante comtesse aux pieds nus : la belle lui demande de retrouver un certain Emilio Gava, qui a disparu alors que, arrêté pour une affaire de drogue, il bénéficiait d’une liberté sous caution pour laquelle l’oncle d’Ornella s’était porté garant. L’affaire se révèle plus épineuse encore lorsque Gunn met au jour les liens qui unissent Gava tant au FBI qu’à deux familles mafieuses du Nevada qu’oppose une guerre sans merci.
Au fil d’une intrigue électrique, ponctuée de multiples rebondissements, Robert Littell donne vie à un détective à l’ancienne, qui comprend que les valeurs qui le portent n’ont plus cours. Il dessine avec un humour irrésistible une galerie de personnages originaux et hauts en couleur, dans un livre tendrement désenchanté aux accents de la petite musique de Raymond Chandler, comme un hommage à la grande époque du roman noir.
La vie que tu t’étais imaginée
« Le bonheur ne me tentait guère. Je voulais avant tout que la vie me surprenne, je voulais des aventures, des accidents, des voyages » Au début des années 1930, Elissa Landi est une étoile filante d’Hollywood. Dans cette usine à rêves, la jeune actrice semble prolonger le glorieux héritage familial : sa mère, Karoline, a toujours prétendu être la fille cachée de l’impératrice Sissi. Fantasme ou réalité ? Fascinée par le mystère qui entoure les deux femmes, Nelly Alard enquête. À partir de lettres et de documents authentiques, elle lève le voile sur un secret bien gardé de l’Histoire et retrace les destins hors du commun de cette mère et cette fille unies par un amour fusionnel.
La mosaïque Parsifal (tome 2)
Par une nuit noire, sur une plage déserte en Espagne, un agent secret assiste, bouleversé, à l’exécution de la femme qu’il aime, accusée d’être un agent double. Mais quelque temps après, il l’aperçoit vivante en Italie et entreprend des recherches déses-pérées pour la retrouver en devenant lui-même la cible des tueurs. Qui donc est à l’origine de cette immense conspiration dont ils sont les premières victimes ? Son enquête, qui l’entraîne de la France aux Etats-Unis, lui fait découvrir un terrible mystère qui concerne la branche clandestine du département d’Etat, un dangereux groupe dissident du K.G.B., et même un fou et un agent double à des postes très haut placés à Washington. Une course folle s’engage pour sauver le monde d’un désastre nucléaire dont le menace celui que l’on recherche et qui s’appelle Parsifal.
On achève bien les chevaux
Hollywood avant la Seconde Guerre mondiale. Robert Syberten rencontre Gloria Bettie. Comme elle, il est figurant au cinéma. Mais loin d’avoir réalisé leurs rêves, ils n’ont eu qu’un long parcours chaotique semé d’échecs. Désœuvrés et sans argent, ils décident de s’inscrire à un marathon de danse dans l’espoir de décrocher les 1 000 dollars de récompense et de se faire remarquer par un des producteurs formant le public quotidien de ces soirées. Il ne leur reste plus qu’à tournoyer des semaines entières au rythme de l’orchestre. Écrit à la suite de la grande dépression de 1929, « On achève bien les chevaux » est le premier roman noir d’Horace McCoy. Ce texte intemporel, qui n’a rien perdu de sa force évocatrice, est une violente dénonciation du rêve américain. Particulièrement noir et désespéré, il s’attache à explorer l’envers du décor en décrivant la misère de ceux prêts à toutes les humiliations pour pouvoir gagner simplement de quoi survivre. Sidney Pollack en a tiré un très beau film avec notamment Jane Fonda dans le rôle principal. Christophe Dupui
Des diables et des saints
C’est une histoire d’orphelin et d’amour. Celle d’un vieil homme qui joue divinement du Beethoven sur les pianos publics. Il se fait appeler Joe, pour Joseph. On le croise un jour dans une gare, un autre dans un aéroport. Il gâche son talent de concertiste au milieu des voyageurs indifférents. Il attend. Mais qui, et pourquoi ? Alors qu’il a seize ans, ses parents et sa soeur disparaissent dans un accident d’avion. Il est envoyé dans un pensionnat religieux des Pyrénées, Les Confins. Tout est dans le nom. Après Les Confins, il n’y a plus rien. Ici, on recueille les abandonnés, les demeurés. Les journées sont faites de routine, de corvées, de maltraitances. Jusqu’à la rencontre avec Rose, une jeune fille de son âge. La vie n’est alors que rêves de fugues. Jean-Baptiste Andrea nous parle de cet enfant intérieur que nous portons tous en nous. Ses héros ont l’âge des douleurs et des révoltes. Avec Des diables et des saints, il achève sa trilogie autour de l’enfance.
Alors que jusque-là je marchais normalement sur ce que je pensais être mon propre chemin, voilà que soudain celui-ci a disparu sous mes pas, et c’est comme si j’avançais simplement dans un espace vide sans connaître de direction, sans plus aucune sensation. Une jeune fille a disparu. Une jeune fille dont le narrateur avait entrepris de faire le portrait. Une jeune fille aux yeux comme une flamme gelée. Une jeune fille qui l’intrigue et qui pourrait être liée à Menshiki. Il va rendre visite au vieux peintre Tomohiko Amada. Là, dans la chambre d’hôpital, apparaît le Commandeur. Le Commandeur est prêt à offrir sa vie pour que la jeune fille soit retrouvée. Il faut faire revivre la scène du tableau, le Commandeur doit être poignardé. Le narrateur lui plante un couteau dans le cœur. Une trappe s’ouvre dans un coin de la chambre. Un personnage étrange en surgit, qui l’invite à entrer dans le passage souterrain. Le début d’un périple qui va conduire le narrateur au-devant des forces du mal… Deuxième livre d’une œuvre exceptionnelle, dans la lignée du monumental 1Q84, un roman somme, ambitieux, profond. Deux tomes pour une odyssée initiatique étrange, inquiétante, envoûtante, où le maître Murakami dévoile ses obsessions les plus intimes.
Les effondrements se multiplient, de plus en plus impressionnants: Babel, le Pôle, Anima… aucune arche n’est épargnée. Pour éviter l’anéantissement total il faut trouver le responsable. Trouver l’Autre. Mais comment faire sans même savoir à quoi il ressemble ? Plus unis que jamais, Ophélie et Thorn s’engagent sur des chemins inconnus où les échos du passé et du présent les mèneront vers la clef de toutes les énigmes.
Chemins croisés
Coincé dans sa voiture après un accident de la route, Ira Levinson, un homme âgé de 90 ans, attend désespérément qu’on vienne le secourir. Sur cette route isolée, il n’y a pas âme qui vive. Pendant ce temps, Ruth, celle qu’il a aimé tout au long de sa vie et qui a disparu il y a neuf ans, revient le hanter. Ils ont vécu d’intenses joies mais ont aussi été confrontés à un chagrin indélébile : l’incapacité d’avoir des enfants à cause d’une blessure de guerre. Pour combler ce vide, ils sont devenus des collectionneurs d’art. Depuis la mort de sa bien-aimée, Ira erre sans but. Sophia, une jeune étudiante en histoire de l’art, et Luke, un séduisant cow-boy, que tout oppose, tombent amoureux l’un de l’autre. Chacun à des aspirations et des rêves radicalement différents. Le jeune homme doit batailler pour sauver le ranch de sa famille au bord de la faillite. Sophia doit se remettre d’une relation qui l’a brisée. Par un concours de circonstances, la route du jeune couple va croiser celle d’Ira. Ensemble, ils vont apprendre à panser leurs peines pour emprunter enfin le plus beau des chemins.
CeCe d’Aplièse ne s’est jamais vraiment sentie à sa place. Et à la suite du décès de son père adoptif, l’excentrique milliardaire Pa Salt surnommé ainsi par ses filles, adoptées aux quatre coins du monde elle se retrouve complètement perdue. Désespérée, n’ayant que les quelques indices laissés par son père, une photographie en noir et blanc et le nom d’une pionnière ayant traversé le monde, CeCe part à la recherche de ses origines… jusque dans la chaleur et la poussière du centre rouge de l’Australie. Cent ans auparavant, Kitty McBride, fille de pasteur, abandonne sa vie bien rangée pour accompagner une vieille dame d’Édimbourg jusqu’à Adélaïde. Son ticket pour cette terre inconnue apportera le grain d’aventure dont elle avait toujours rêvé… ainsi qu’un amour qu’elle n’avait jamais imaginé. Alors que CeCe découvre des secrets enfouis depuis bien longtemps, elle commence à penser que ce vaste et sauvage continent pourrait lui offrir quelque chose qu’elle a toujours cru impossible : un sentiment d’appartenance et un foyer…
Le sens de la nuit
« Depuis des années, la fin du jour condamnait Marge à une petite mort. Quand le soleil sombrait, elle se rendait compte combien son existence était vague, nuageuse, fragile, et son anxiété incommunicable. Pendant quelques instants, où qu’elle fût, Marge s’éclipsait. Pour certains esprits sensibles, c’est un passage qui révèle la dualité du clair et de l’obscur, du connu et de l’inconnu. Mais à d’autres, qui en sont franchement bouleversés, ce mystérieux passage dénonce un combat plus ambigu encore : le pur contre l’impur, le Bien contre le Mal. J’ai approché un assassin qui, dans la tradition des grands monstres du crime, devenait fou à la tombée du soir. « Le crépuscule excite les fous », écrit Baudelaire dans l’un de ses petits poèmes en prose ; puis il évoque la nuit comme un vrai moment d’espoir et d’apaisement. (Faut-il le croire ?…). On imagine plus volontiers Baudelaire, pris dans la fièvre nocturne de ses désirs, palper les ténèbres et se livrer à de sombres orgies. Mais revenons à mon assassin… »
Le pays du lieutenant Schreiber
Je n’aurais jamais imaginé un destin aussi ouvert sur le sens de la vie. Une existence où se sont incarnés le courage et l’instinct de la mort, l’intense volupté d’être et la douleur, la révolte et le détachement. J’ai découvert un homme qui avait vécu à l’encontre de la haine, aimé au milieu de la pire sauvagerie des guerres, un soldat qui avait su pardonner mais n’avait rien oublié. Son combat rendait leur vraie densité aux mots qu’on n’osait plus prononcer : héroïsme, sacrifice, honneur, patrie… J’ai appris aussi à quel point, dans le monde d’aujourd’hui, cette voix française pouvait être censurée, étouffée. Ce livre n’a d’autre but que d’aider la parole du lieutenant Schreiber à vaincre l’oubli.
Ce très long travail de plus de 3 ans de recherches a conduit l’auteur de découvertes en révélations fascinantes qui rendent ce livre encore plus intéressant sur un plan historique.
Certaines vérités ne sont certes pas bonnes à écrire, encore moins à lire, mais que serait l’histoire si elle était édulcorée ?
C’est précisément ce que l’auteur démontre : les Mythes fabriqués depuis 6000 ans, depuis les Patriarches aux Sionistes, n’ont servi que des objectifs politiques, économiques et financiers.
Ce livre n’est pas à mettre entre toutes les mains, encore moins celles d’antisémites – que l’auteur condamne sans aucune réserve – ou d’esprits simples. C’est avant tout un livre destiné aux étudiants et aux passionnés d’histoire qui y apprendront des vérités qui ne sont relatées nulle part ailleurs.
Harrap’s – Verbes anglais
Verbes anglais
Le guide indispensable à l’étude des verbes anglais, pour une meilleure pratique de la langue.
Les règles essentielles à connaître : formation et emploi des temps, utile auxiliaires modaux, etc. Un dictionnaire de plus de 1000 verbes composés ou phrasal verbs, avec un grand nombre d’exemples. La liste de toutes les particules des phrasal verbs, avec leurs différents sens. De nombreux exemples et leur traduction. Une présentation très claire en deux couleurs.