La reine du Sud
Nom : Mendoza. Prénom : Teresa. Probablement à la tête de la plus grosse entreprise de transport de cocaïne et de haschich en Méditerranée pour le compte du cartel de Medellin, qui regroupe des mafieux russes et italiens. Femme d’affaires redoutable et dangereuse. Multimillionnaire, mène une vie discrète, aime le rêve et la solitude en mer à bord de son yacht. Aucune preuve n’a pu être retenue contre elle. Surnommée la Reine du Sud. « Un feuilleton à lire d’une traite, cela ne se rate pas.
Quitter le monde
Le soir de son treizième anniversaire, lors d’une énième dispute entre ses parents, Jane Howard annonce qu’elle ne se mariera jamais et n’aura jamais d’enfants. Mais sommes-nous maître de notre destinée ? Une quinzaine d’années plus tard, Jane est professeur à Boston et amoureuse de Theo, un homme brillant et excentrique qui lui donne une petite Emily. A sa grande surprise, Jane s’épanouit dans la maternité. Mais la tragédie frappe et Jane, dévastée, n’a plus qu’une idée en tête : quitter le monde. Alors qu’elle a renoncé à la vie, c’est paradoxalement la disparition d’une jeune fille qui va lui donner la possibilité d’une rédemption. Lancée dans une quête obsessionnelle, persuadée qu’elle est plus à même de résoudre cette affaire que la police, Jane va se retrouver face au plus cruel des choix : rester dans l’ombre ou mettre en lumière une effroyable vérité.
Les ames vagabondes
Melanie Stryder est une rebelle. Notre Terre a été envahie par un ennemi invisible. Petit à petit, les âmes vagabondes s’emparent du corps des hommes en neutralisant leur esprit. La quasi-totalité de l’humanité a ainsi succombé. Melanie Stryder fait partie du dernier groupe d’hommes libres. Lorsqu’elle est capturée par les Traqueurs, on lui insère Vagabonde, une âme exceptionnelle qui a déjà connu plusieurs corps. Elle sait les difficultés d’envahir un humain hostile : les émotions dévastatrices, le tumulte des sens, les souvenirs trop vifs. Et Vagabonde rencontre un obstacle supplémentaire : l’esprit de l’ancienne propriétaire résiste. L’âme explore les souvenirs de Melanie dans l’espoir de découvrir l’endroit où se cachent les derniers résistants humains. Mais à la place de ces informations, Melanie submerge Vagabonde par les images de l’homme qu’elle aime – Jared, un humain encore en cavale. Incapable de se dissocier des pulsions de son corps d’emprunt, Vagabonde commence à aimer l’homme qu’elle est censée livrer aux autorités. Face aux pressions extérieures, Melanie et Vagabonde se retrouvent alliées malgré elles ; commence alors pour elles la quête incertaine et périlleuse de cet homme dont elles sont toutes deux amoureuses.
Aimer du bout des lèvres
La veille de son quarante-huitième anniversaire, la nouvelle tombe : le Conseil de lOrdre invite Gabriel Giraud, oto-rhino-laryngologiste, à comparaître devant la juridiction disciplinaire pour infraction aux dispositions du code de déontologie médicale. A qui la faute ? Aux charmes dEmilie Dupré ou à son inconstance ? Depuis le jour où elle a franchi le seuil de son cabinet, le désir et la culpabilité nont cessé de lagiter, lenserrant dans un douloureux bras de fer entre la raison dun côté et lanimalité du désir de lautre. Il y a deux ans, ce jour-là, lui, lhomme marié, fils dun pasteur et dune catholique assidue, voyait déjà sa vie bouleversée Réflexion sur la crise de la quarantaine, fantasmes érotiques ou histoire damour, tout simplement ? « Aimer du bout des lèvres », cest tout à la fois. Tantôt raisonné et réfléchi, tantôt abandonné à la fièvre des corps, le récit de Florence A. Rivay émeut et questionne, chavire les curs et bouleverse les sens. A travers les yeux de son narrateur masculin, elle esquisse sans faux-semblants, sous forme dun jeu coquin de lâme et du corps, le sentier de la quête du bonheur.
Forever
Je m’appelle Charles P. Castle, j’ai trente-deux ans et je m’apprête aujourd’hui à passer la dernière nuit de ma vie. Demain matin, je serai pendu pour meurtre. Moi qui n’ai jamais fait de mal à une mouche… Personne ne croit à mon innocence, ni au récit de mes aventures. Sir Arthur Conan Doyle, qui est à l’origine de toute l’affaire, aurait pu intervenir en ma faveur et me sauver. Hélas, il ne l’a pas fait ! Pourtant, à la veille de mourir, ce qui me rend le plus malheureux, c’est que je vais emporter dans la tombe le secret le plus extraordinaire de tous les temps. Un secret susceptible de modifier à jamais la vision de l’humanité et qui disparaîtra avec moi. Alors de grâce, accordez-moi une ultime faveur : écoutez mon histoire.
La femme sous l’horizon
Quelle fatalité poursuit de génération en génération, jusqu’à nos jours, cette famille d’exilés russes réfugiés en Lorraine ? Dans un manoir en bois de la forêt vosgienne, réplique d’une demeure ancestrale incendiée par les moujiks à la Révolution, vit la petite Ilinka surnommée Tita. Rescapée à six mois d’un accident d’auto où sa mère a péri brûlée, marquée par une cicatrice au visage, Tita refuse son rôle de personnage tragique et fatal annoncé depuis toujours par les tarots et cherche la vérité sur sa naissance. Pour rompre l’envoûtement d’une famille autodestructrice et repliée sur ses nostalgies, il lui faut fuir la fascination du manoir, l’autorité cruelle de la grand-mère Zinnaïfde, la séduction déchirante de l’oncle Lev, les violences d’un père hanté par Camilla, sa femme disparue. Tita vivra des amours douloureuses et compliquées. Le mariage, un enfant seraient peut-être son salut. Mais la malédiction qui la poursuit n’est-elle pas inconsciemment sa raison de vivre ?
Haute fidélité
Rob, propriétaire d’une boutique de vinyles à Londres, vient de se faire plaquer par sa copine. A trente ans passés, il doit se rendre à l’évidence : s’il maîtrise sur le bout des doigts le répertoire de Bob Dylan, il n’a jamais rien compris aux femmes. Lui qui a toujours tout sacrifié sur l’autel du rock, serait-il passé à côté de l’essentiel ? Pour comprendre, ce sempiternel adolescent commence à faire la liste de ses amours passées… Depuis son premier flirt autour d’un bac à sable à cette nuit avec une chanteuse country, Rob dresse le chart de ses ruptures les plus déprimantes et une compilation désopilante des états d’âme de l’homme moderne.
Les yeux bandés
« Pour moi, Klaus demeurait un jeune homme, en dépit du fait que les gens qui me connaissaient sous ce nom ne me prenaient jamais pour un garçon. Le fossé entre ce que j’étais bien obligée d’admettre devant les autres – à savoir : que j’étais une femme – et mes rêves intérieurs ne me dérangeait pas. En devenant Klaus la nuit, j’avais effectivement brouillé mon genre. Le costume, mon crâne tondu et mon visage nu modifiaient la perception que les gens avaient de moi, et à travers leurs yeux je changeais de personnalité. Jusqu’à ma façon de parler changeait quand j’étais Klaus. » Entre ombre et lumière, entre nuit et jour, dans la ville superlative, New York – elle-même personnage à part entière de ces récits -, Iris Vegan, la narratrice, fait l’expérience d’étranges rencontres et de singulières transformations de sa propre identité. Polyptyque à quatre volets, les Yeux bandés a marqué, lors de sa publication en 1993, l’entrée en littérature d’un talent subtil et incontestable, celui de Siri Hustvedt.
Le passage
Histoire d’une passion, de ses douleurs et de ses incertitudes, le récit incisif et subtil de ce moment où surgit l’imprévisible qui bouleverse la vie.
J’étais derrière toi
C’est dans la trentaine que la vie m’a sauté à la figure. J’ai alors cessé de me prendre pour le roi du monde et je suis devenu un adulte comme les autres, qui fait ce qu’il peut avec ce qu’il est. J’ai attendu la trentaine pour ne plus avoir à me demander à quoi cela pouvait bien ressembler, la souffrance et le souci, la trentaine pour me mettre, comme tout le monde, à la recherche du bonheur. Qu’est-ce qui s’est passé? Je n’ai pas connu la guerre, ni la perte d’un proche, ni de maladie grave, rien. Rien qu’une banale histoire de séparation et de rencontre.
Gros-Calin
« Je sais parfaitement que la plupart des jeunes femmes aujourd’hui refuseraient de vivre en appartement avec un python de deux mètres vingt qui n’aime rien tant que de s’enrouler affectueusement autour de vous, des pieds à la tête. Mais il se trouve que Mlle Dreyfus est une Noire de la Guyane française, comme son nom l’indique. J’ai lu tout ce qu’on peut lire sur la Guyane quand on est amoureux et j’ai appris qu’il y a cinquante-deux familles noires qui ont adopté ce nom, à cause de la gloire nationale et dur racisme aux armées en 1905. Comme ça, personne n’ose les toucher. » Lorsqu’on a besoin d’étreinte pour être comblé dans ses lacunes, autour des épaules surtout, et dans le creux des reins, et que vous prenez trop conscience des deux bras qui vous manquent, un python de deux mètres vingt fait merveille. Gros-Câlin est capable de m’étreindre ainsi pendant des heures et des heures. Gros-Câlin paraît au Mercure de France en 1974. Il met en scène un employé de bureau qui, à défaut de trouver l’amour chez ses contemporains, s’éprend d’un python. L’auteur de ce premier roman, fable émouvante sur la solitude de l’homme moderne, est un certain Emile Ajar. La version publiée à l’époque ne correspond pas tout à fait au projet initial de son auteur qui avait en effet accepté d’en modifier la fin. On apprendra plus tard que derrière Emile Ajar se cache le célèbre Romain Gary. Dans son ouvrage posthume, Vie et mort d’Emile Ajar, il explique l’importance que revêt, à ses yeux et au regard de son oeuvre, la fin initiale de Réalisant le souhait de l’auteur, cette nouvelle édition qui paraît aujourd’hui reprend le roman Gros-Câlin dans la version de 1974, et donne en supplément toute la fin » écologique « , retranscrite à partir du manuscrit original.
Le fils de soie
Le fil de soie, c’est le lien ténu mais indestructible qui relie Odile, créatrice célèbre de la haute couture parisienne, à son enfance provinciale, pauvre et sauvage. Le fil de soie, c’est encore ce qui tient ensemble les morceaux épars de la vie d’Odon, taillée en pièces par les aléas de l’Histoire et vouée aux incertitudes. Le fil de soie, c’est surtout l’image de la passion qui va nouer les existences de la star de la mode et de son jeune amant : brillante, légère, impalpable et à l’épreuve du temps. De ces fils, Odile et Odon vont tisser un cocon secret. Un pour deux. Peu à peu, à l’insu du monde, ils vont s’y enfermer et laisser les années accomplir la mue, opérer la métamorphose. Aux identités de hasard que la vie nous donne et parfois nous reprend, ils vont préférer le risque et la folie d’une identité que l’on invente, pour soi et pour l’autre, en effaçant toutes les frontières, en rendant invisibles toutes les coutures.
Extremement fort et incroyablement près
Oskar Schell est inventeur, entomologiste, épistolier, francophile, pacifiste, consultant en informatique, végétalien, origamiste, percussionniste, astronome, collectionneur de pierres semi-précieuses, de papillons morts de mort naturelle, de cactées miniatures et de souvenirs des Beatles. Il a neuf ans. Un an après la mort de son père dans les attentats du 11 septembre, Oskar trouve une clé. Persuadé qu’elle résoudra le mystère de la disparition de son père, il part à la recherche de la serrure qui lui correspond. Sa quête le mènera aux quatre coins de New York, à la rencontre d’inconnus qui lui révèleront l’histoire de sa famille. Après le choc de « Tout est illuminé », cet étonnant objet littéraire et typographique explore à nouveau, mais sur un autre registre, les chemins d’une mémoire à jamais perdue. Quand tout a été oublié, il ne reste plus qu’à inventer.
« Pyrotechnique, énigmatique et, avant tout, extrêmement émouvant. Un exploit hors du commun. » Salman Rushdie
Je veux vivre
Tessa vient d’avoir seize ans et se sait condamnée. Dans quelques semaines, elle mourra d’une leucémie. Partagée entre la révolte et l’angoisse, l’injustice et les aspirations propres à son âge, Tessa décide de tout connaître de la vie avant de mourir, y compris les transgressions, la célébrité… Aidée de sa meilleure amie, de ses parents qui acceptent tout, Tessa se lance alors dans une course contre la montre, contre la mort, pour vivre !
Le collectionneur de Venise
Un jeune Vénitien, Angelo Torcellan Dabalà, découvre sur l’écran du cinéma de son quartier le visage d’une star, Giorgia Demeter. Il en tombe éperdument amoureux, comme seul peut l’être un enfant de douze ans. Cette passion va commander sa vie. Angelo quittera sa ville natale et traquera Giorgia à travers le monde. Pour posséder cette femme, il ira jusqu’à voler. Il créera même des marionnettes à leur image pour tenter de vivre à travers elles l’impossible accomplissement de son amour. Ces deux destinées dissemblables finiront par s’entremêler et se fondre dans un don de soi plus fort que la mort. Dans ce roman de la gloire et de la solitude, sur fond de théâtre et de cinéma, entre Venise, Bayreuth et les rives sauvages du Pacifique, on retrouve, magnifiée, la poignante sincérité qui, avec Vladimir ou le vol arrêté, a valu à Marina Vlady la reconnaissance d’un très large public.
Une journée d’Ivan Denissovitch
En 1962, pour qu’Une joumée d’Ivan Denissovitch pût être publiée en URSS, Soljenitsyne avait dû consentir à des coupures et, par endroits, remanier le texte original. Voici la version intégrale de ce roman si profondément, si tragiquement russe et qui, cependant, fait maintenant partie du patrimoine mondial de la culture. Vingt ans ont passé depuis qu’il a vu le jour. Des oeuvres monumentales ont succédé à ce joyau : le Premier Cercle, le Pavillon des cancéreux, Août Quatorze et ce requiem colossal qu’est l’Archipel du Goulag ; pourtant, c’est toujours Ivan Denissovitch qui revient le premier à la mémoire dès qu’on nomme Soljenitsyne. Récit, dans sa version intégrale, de la douloureuse expérience du maçon Denissovitch dans le camp Solovetski. Cette description crue du goulag a fait sensation dès sa parution.
Succession ouverte
Un homme vient de mourir, le vieux Seigneur. Avec lui meurt toute une époque. L’un de ses fils, Driss Ferdi, s’était jadis révolté contre lui, avait fui sa famille, son pays, brûlant de mordre à même la civilisation occidentale, de s’en nourrir, d’élargir son horizon humain. Or le jour où il s’aperçoit que la transplantation ne lui a apporté qu’angoisse, solitude, déséquilibre, il reçoit un télégramme de Casablanca lui apprenant la mort de son père. Il prend l’avion, regagne son pays natal. Par-delà la mort, le dialogue avec le père continue, la succession est ouverte.
La première épouse
C’est moins le récit d’une séparation que celui d’un deuil car être quittée par son mari qu’elle connaît depuis trente ans est pour la narratrice pire qu’un simple divorce.
Elle se sent véritablement en deuil d’un vivant sans avoir droit aux consolations d’usage mais elle perd aussi du même coup une famille, des amis et, dans une certaine mesure, ses propres enfants. Bien sûr, elle savait son mari volage mais se croyait inattaquable dans son rôle de première épouse. Ce qu’elle découvre au-delà de l’effondrement dans la douleur c’est l’étendue et l’ancienneté d’une trahison. C’est aussi que même dans la grande bourgeoisie on n’évite pas forcément la violence (elle se retrouvera à l’hôpital) ni le grotesque d’un vaudeville procédurier. L’auteur de L’Allée du roi, ces mémoires imaginaires de Madame de Maintenon, donne ici un livre bouleversant de sincérité et d’autant plus touchant qu’au-delà de la nécessité du deuil, au-delà même de la vengeance contre le mari infidèle, c’est aussi le récit d’un nouvel apprentissage de la vie.
Cher Daddy
La foudre tomberait à ses pieds qu’Olivier Watson ne serait pas plus abasourdi quand sa femme Sarah lui annonce son départ. Elle a décidé de reprendre ses études et de se remettre à écrire. La quarantaine passée, lasse de n’être que l’ombre d’un homme qui s’est fait une belle carrière, elle veut enfin vivre sa vie. Elle ne reviendra jamais. Désespéré, puis la rage au coeur, Oliver mettra un an à comprendre. Une année fertile en conflits avec ses trois enfants – avec l’aîné surtout, qui, père à dix-sept ans, abandonne ses études pour entretenir son foyer. Un autre choc attend Oliver après le décès de sa mère, atteinte de la terrible maladie d’Alzheimer, son père s’empresse de se remarier. Mais george Watson n’a-t-il pas raison ? La belle Morgan Townsend ne sera, pour Olivier, qu’une tentation sans lendemain. Et c’est par le hasard d’une rencontre avec la grande vedette Charlotte Sampson qu’il retrouvera enfin le bonheur.
Rançon
Depuis la disparition de son mari, Fernanda vit un cauchemar : elle a perdu l’homme qu’elle aimait et se retrouve seule pour élever leurs trois enfants, avec des factures qui s’accumulent. Car si, aux yeux de tous, Allan Barnes était à la tête d’une immense fortune, personne ne sait qu’il est mort ruiné, ne laissant à Fernanda que des dettes. Et la jeune femme ne peut imaginer que le secret trop bien gardé de cette faillite va avoir de terribles conséquences sur elle et ses enfants, qu’elle devra affronter le pire, face à des gangsters aguerris ne reculant devant rien. Car, malgré l’aide de la police et du FBI, le drame va se produire… Seule la présence de Ted Lee, de la police de San Francisco, lui apportera réconfort et amitié.
A bon port
C’est sur une plage des environs de San Francisco que la petite Pip, 11 ans, rencontre Matthew, le pinceau à la main. Entre ce peintre sans nouvelles de sa propre fille et Pip, orpheline de père depuis peu, la complicité est immédiate.Une relation bientôt renforcée par la profonde amitié qui naît entre Matt et Ophélie, la mère de Pip, qui apprécie sa présence réconfortante et le nouvel équilibre qu’il a su instaurer.
Le cadeau
Déchiré par la perte d’un enfant, un couple se désagrège lentement. Noël à Grinnell, paisible petite ville des Etats-Unis. Une méningite emporte brutalement Annie Whittaker, âgée de cinq ans. En un instant, la vie sans nuages de sa famille bascule dans le malheur et le deuil. Liz, sa mère, et John, son père, ne peuvent que pleurer leur enfant à jamais. Et c’est dans la douleur et la solitude que Tommy, le frère de la jeune disparue, passera le cap difficile de l’adolescence vers l’âge adulte… Hélas cette mort injuste engendre la discorde : insensiblement, Liz et John Whittaker s’éloignent l’un de l’autre, vivant bientôt comme des étrangers dans la vaste demeure devenue silencieuse. Mais la providence veille, qui met Maribeth sur le chemin de Tommy. A seize ans, la jeune fille porte le fruit d’un amour fugitif… L’amitié qui lie les deux jeunes gens ne tarde pas à se muer en un sentiment plus profond. Et au Noël suivant, le cadeau que le ciel a trop vite retiré aux Whittaker leur sera restitué comme un miracle.
Le bel amour
Le temps d’un été, Laurence, fantasque et sensuelle, décide de s’installer à La Farge, en Dordogne, dans la propriété familiale où vit son oncle Georges Lacaze, misanthrope invétéré. L’été est chaud, l’orage tourne sans éclater : des villageois aux citadins en vacances, tous en subiront la touffeur moite, leurs vies bancales en seront changées.
L’amour n’y est pas pour rien, et si dans la famille Lacaze il est de tradition de le juger de mauvais goût, chacun en rêve et le poursuit. Brigitte Le Varlet sait évoquer avec cette vivacité tonique et chaleureuse, lucide et caustique qui lui est propre, le monde de la campagne fait de plaisirs simples, sensuels et généreux, mais aussi les rapports difficiles entre les êtres, l’usure des sentiments, le désarroi et le rêve. Humour, naturel et fantaisie pour une éducation sentimentale où la sagesse paysanne fait la nique aux affectations citadines.
Une nouvelle vie
Jillian et Jody sont des produits de l’insémination artificielle. Rose s’est développée dans le ventre d’une mère porteuse. David est le fils adoptif d’un célibataire endurci… Leurs parents sont riches et célèbres. Ils voulaient des enfants, ils les ont eus. Ils ne regrettent rien. Ils sont heureux mais ils sont inquiets. Un jour, les chers petits leur poseront des questions sur leur origine… C’est la raison pour laquelle ces parents un peu particuliers se retrouvent chaque semaine à Beverly Hills dans le cabinet du Barbara Singer, psychologue pour enfants. Là, ils évoquent leurs difficultés et apprennent à se remettre en cause pour affronter l’avenir avec sérénité. Un sujet original et d’actualité, traité avec finesse et sensibilité. Un beau roman à la fois chaleureux, drôle, triste et vrai.
Premier livre de Dany Laferrière, satire féroce des stéréotypes et des clichés racistes, Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer se présente comme la joyeuse description d’une vie de bohème, version black. Deux jeunes noirs oisifs partagent un appartement dans un quartier pauvre de Montréal. L’un d’entre eux, le narrateur, projette d’écrire un roman et, pour s’occuper, connaît diverses aventures féminines en dissertant sur la trilogie Blanc-Blanche-Nègre. Car c’est un juste retour des choses, après avoir souffert de l’esclavage, que de séduire toutes ces jeunes donzelles innocentes ou curieuses. Quant à son compère, Bouba, il dort, dort, dort. Et philosophe en lisant et relisant le Coran, sur des airs de jazz. Cachez vos filles, blanches mères, les nègres sont en ville !
Misérable Miranda
Un doberman dépressif ? Un ouistiti somnambule ? Un iguane irritable ? Une seule solution: Miranda ! Tout Londres ne parle que des miracles de cette jeunes et jolie psy pour animaux. Dommage que son don pour décrypter les névroses de ses patients à poils et à plumes s’évapore dés qu’elle rencontre un homme. Car la vie amoureuse de Miranda est une véritable catastrophe. La preuve : elle était sur le point de se marier avec Alexander quand elle a brutalement découvert sa vraie nature. Et ce n’est pas la réapparition de son premier amour, James – avec qui elle a commis l’irréparable- qui va l’aider à inverser la tendance.
Le faux pas
La commune de Saint-Jean-du-Gard, dans les Cévennes, est sous le choc : Jean Chavanel, le fondateur d’une prestigieuse marque de chaussures, s’est suicidé en apprenant la délocalisation de son entreprise à l’étranger, une initiative de son neveu Gérald, à qui il en avait confié la direction. Chloé, la belle-fille du défunt, revient à La Commanderie, la demeure familiale, pour assister aux funérailles. C’est l’occasion pour elle de renouer avec les Chavanel qu’elle n’a pas revus depuis la mort de son mari, victime dix ans plus tôt d’un tragique accident de voiture où elle-même avait été grièvement blessée. Anéantie, elle avait tout quitté et s’était installée sur la Côte d’Azur, malgré son admiration pour Jean Chavanel et son travail de styliste qu’elle accomplissait avec passion au sein de l’entreprise. Attachée à cette région des Cévennes pour ses traditions, ses valeurs et sa beauté, mais surtout décidée à honorer la mémoire du patriarche qui lui a légué une partie du patrimoine familial, elle décide de se battre pour sauver la fabrique de chaussures, aidée par Johann, le chef d’atelier aux manières un peu rustres. Des liens se tissent et une complicité les rapproche au fil des mois. Chloé parviendra-t-elle à oublier les démons du passé et à forcer le destin ? Amoureux de la Provence, où il séjourne régulièrement, Frédérick d’Onaglia vit à Lyon, sa ville natale. De sa trilogie, dont le premier volet, Le Secret des cépages, a été finaliste du prix Carrefour Savoirs 2004 et lauréat du prix Lion’s Club International 2005, à L’Honneur des Bastide et à La Mémoire des Bastide, ses romans, tous parus chez Belfond, ont su conquérir un public toujours plus large.
Le fleuve qui tout emporta
Un coeur rougeoie sous les étoiles… C’est la puissante aciérie des Scott, au bord de l’Ohio. Toute la vie de la région est suspendue au battement de cette fournaise. Qu’il s’arrête, et la misère reprendra le dessus. La misère, Mary en vient. A quinze ans, engagée comme femme de chambre chez les Scott, elle découvre un autre monde. Elle renaît. Ses qualités naturelles trouvent enfin à s’épanouir. Et quand elle tombe amoureuse de Paul Scott, c’est dans leurs coeurs que le brasier s’enflamme. Alors, un nouveau conte de fées ? La petite ouvrière et le fils du patron ? Débute un confilt entre la raison, le devoir et la passion, l’amour.
Un été près de la mer
C’est un été radieux, comme si les beaux jours ne devaient jamais cesser d’être beaux. Les grandes personnes et les enfants sont vacants, jouant ou rêvant entre la mer et les vignes, dans la chaleur heureuse. Tant de lumière, de paix, de joie présente et promise – une jeune femme attend un enfant pour bientôt – finissent étrangement par vous serrer le cœur. On se sent pris d’angoisse et on s’en veut, puisque rien ne la justifie. C’est le miracle et l’art de ce livre. Un rocher en équilibre, la chute d’une feuille suffisent à nous troubler. Tu as remarqué, dit un personnage, quand on est le plus heureux, on pense à la mort « . La mort qui nous attrape aussi simplement qu’un serpent avale un lapin. comment raconter un roman d’Anne Philipe où l’essentiel est suggéré plus que dit, où la vie parle en silence. « Un été près de la mer » est sans doute un des plus beaux de l’auteur du « Temps d’un soupir ». Anne Philipe a déjà publié aux Editions Gallimard « Spirale » et « Ici, là bas, et ailleurs », ainsi que « Gérard Philipe », en collaboration avec Claude Roy. Ses premiers livres, « Caravanes d’Asie », « Les rendez-vous de la colline », « Le temps d’un soupir », ont été publiés aux Editions Julliard.
Rendez-vous
Qu’y a-t-il au-delà de l’horizon? Eve, Freddie et Delphine ont répondu à cette question, chacune à leur manière, mais toutes avec le même goût du risque, de l’audace, des émotions fortes, du défi. A Dijon, en 1913, Eve est celle par qui le scandale arrive. Rompant les liens avec sa famille, bafouant les principes de la bourgeoisie, elle s’éprend d’un artiste de music-hall, et s’enfuit avec lui. Ses filles hériteront de son intrépidité. Freddie, un peu garçonne, se passionne pour l’aviation et devient l’une des premières femmes pilotes acrobatiques. Delphine, comédienne, séductrice à l’écran comme à la ville, partage sa vie entre le regard des caméras et celui des hommes qu’elle fascine. Des vignobles de Champagne à Los Angeles, du théâtre aux armées de la Grande Guerre aux studios de cinéma dans Paris occupé, des salles de bal d’un château britannique aux terrains d’aviation de la RAF, ces trois femmes sont allées au-devant de leur époque. Elles ont osé repousser leurs propres limites.
Retour sur la Lande
« La Vie et rien d’autre », « Carrousel » et « Des voix d’été » : trois courts romans de Rosamunde Pilcher qui se déroulent en Cornouailles, cette région pleine de charme et de mystère. Chacune des héroïnes éprouve le besoin de faire le point sur ses sentiments et s’efforce de trouver la bonne route vers le bonheur.
Un garçon convenable – Partie 1
« Tu épouseras un garçon que j’aurai choisi. »
Ainsi parle à sa fille Lata une digne veuve éprise de respectabilité, Mrs Mehra. Un propos qui n’a rien d’inhabituel dans cette Inde provinciale des années cinquante, indépendante de fraîche date. Mais tout bouge dans cet immense pays. Les moeurs, les idées, les convictions religieuses ou politiques, tout est prétexte à affrontements et à débats. Courtisée par un jeune industriel, par un étudiant musulman et par un poète, Lata mettra deux ans à imposer sa liberté. Autour d’elle se déploie une fresque grandiose, prodigieusement vivante, où rajahs et intouchables, artisans et intellectuels, révolutionnaires et fanatiques, femmes libres et femmes soumises nous donnent le prisme complet d’une société placée entre ses traditions millénaires et son entrée dans le XXe siècle…
On a pu évoquer le souffle de Dickens et de Tolstoï à propos de ce roman-fleuve, à la fois saga familiale et fresque historique, accueilli par un succès triomphal.
Un garçon convenable – Partie 2
« Tu épouseras un garçon que j’aurai choisi. » Ainsi parle à sa fille Lata une digne veuve éprise de respectabilité, Mrs Mehra. Un propos qui n’a rien d’inhabituel dans cette Inde provinciale des années cinquante, indépendante de fraîche date. Mais tout bouge dans cet immense pays. Les mœurs, les idées, les convictions religieuses ou politiques, tout est prétexte à affrontements et à débats. Courtisée par un jeune industriel, par un étudiant musulman et par un poète, Lata mettra deux ans à imposer sa liberté. Autour d’elle se déploie une fresque grandiose, prodigieusement vivante, où rajahs et intouchables, artisans et intellectuels, révolutionnaires et fanatiques, femmes libres et femmes soumises nous donnent le prisme complet d’une société placée entre ses traditions millénaires et son entrée dans le XXe siècle… On a pu évoquer le souffle de Dickens et de Tolstoï à propos de ce roman-fleuve, à la fois saga familiale et fresque historique, accueilli par un succès triomphal.
La couleur du mensonge
À 35 ans, Claire découvre l’identité de son père, un riche homme d’affaires de l’Arizona. Désireux de racheter son affection, celui-ci souhaite la voir intégrer l’empire familial. Mais tout le monde ne semble pas partager son avis… Lorsqu’elle échappe à plusieurs accidents étranges, la jeune femme comprend rapidement qu’on cherche à l’éliminer. Quelqu’un aurait-il intérêt à ce qu’elle disparaisse ? Aidée par son instinct infaillible et par un mystérieux mais séduisant conseiller de son père, Claire est déterminée à rester en vie pour découvrir la vérité qu’on lui a si longtemps cachée.
Un heureux événement
Destins croisés de trois futures ma-mans qui vont devenir amies à la naissance de leurs enfants respectifs.
C’est écrit dans le ciel
Ils sont tous venus. Et Alyssia les fait attendre, comme autrefois. Bientôt elle apparaît, resplendissante. Ils vont enfin savoir pourquoi elle les a convoqués. Tous ensemble. Après des années de silence. Étrange spectacle que de voir le clan des Cordiner trembler devant cette femme ! Barry, son ex-mari ; Beth, sa belle-soeur ; Pad et Maxim, les cousins le gratin de Hollywood. Qui est Alyssia, pour les terroriser à ce point ? Rien qu’une petite domestique mexicaine, une intrigante qui a profité d’eux, de la puissance de la famille, pour se hisser au rang de star. Pourtant, au fond d’eux-mêmes, ils savent. Qu’ils n’ont pas toujours été très élégants. Que tous ont commis des actes dont ils ont à rougir. Tous, sauf Hap, le seul homme qu’Alyssia ait jamais aimé. Le seul membre du clan qui ne soit pas là aujourd’hui.
Les yeux de l’amour
Experte reconnue en Arts-Déco, Alexa Chambers a vu sa carrière ruinée, malgré elle, par une affaire de contrefaçon. De retour à Avalon, la ville de son enfance, la jeune femme espère revenir sur le devant de la scène en participant secrètement à l’élaboration d’une magnifique collection pour l’inauguration d’un palace appartenant au richissime John Lair Trask. Un nom plus que familier pour Alexa : si John est revenu à Avalon après avoir fait fortune, c’est aussi parce qu’il soupçonne le beau-père de la jeune femme d’être lié à la mort de son père survenue douze ans auparavant. John et Alexa vont ainsi se retrouver unis par une quête de la vérité qui semble inexorablement les pousser l’un vers l’autre. Et ce malgré les avertissements donnés par différents membres de l’étrange secte des Dimensions qui règne en maître à Avalon.
Magique
Par une douce soirée d’été parisienne, des centaines de personnes, toutes vêtues de blanc, se rassemblent dans un lieu emblématique de la capitale. C’est le célèbre et mystérieux » Dîner en blanc » qui débute, comme chaque année. Les convives, triés sur le volet, installent leurs tables, leurs chaises, leur service le plus raffiné, quelques fleurs et les mets les plus exquis. Quand le soleil se couche, des milliers de bougies sont allumées et la Ville lumière révèle alors toute sa magie. Jean-Philippe et Valérie assistent à l’événement en compagnie de quelques-uns de leurs plus proches amis : Benedetta et Gregorio Mariani, un couple de Milanais qui travaillent dans la mode, Chantal, une scénariste et réalisatrice de films documentaires, et Dharam, un riche magnat indien. Pendant le repas, des liens se font et se défont, des carrières et des destins se jouent. Un an plus tard, au Dîner en blanc suivant, tout a changé. Pour le meilleur ou pour le pire ?
L’enfant aux yeux bleus
De retour d’une dangereuse mission humanitaire, Ginny erre dans New York en s’interrogeant sur le sens de sa vie. Une fois encore, elle s’apprête à fêter seule Noël et ressent âprement le vide laissé par ceux qu’elle a perdus trop tôt. Elle croise alors le regard bleu perçant d’un jeune garçon. Transi de froid, affamé et manifestement sans abri, il doit avoir une douzaine d’années. Ginny lui offre un repas chaud et l’installe chez elle, le temps de lui trouver un centre d’accueil. C’est le début d’une relation unique qui changera à jamais la jeune femme. L’adolescent, d’abord sauvage, s’ouvre peu à peu à elle jusqu’à lui révéler son plus grand traumatisme. Ginny a maintenant une raison de se battre mais aussi une raison de vivre. Et elle n’abandonnera pas avant d’avoir obtenu justice. En abordant ici des sujets actuels et difficiles, Danielle Steel livre un roman poignant et palpitant qui la place au sommet de son art.
Paris retrouvé
Légende vivante du cinéma américain, Carole Barber se rend à Paris pour écrire son premier roman. Mais alors qu’elle s’apprête à rejoindre son hôtel, elle est blessée dans un attentat et se réveille à l’hôpital, amnésique. Inquiets de ne pas avoir de nouvelles, ses enfants accourent bientôt à son chevet. C’est avec leur aide qu’elle va devoir tenter de reconstituer sa vie, souvenir après souvenir.
La mémoire du fleuve
Ni blanc ni noir, exilé partout, Jean Michonet échappe à quinze ans à l’orphelinat de Brazzaville (on est avant la guerre) et devient recruteur de main-d’oeuvre pour le compte des compagnies forestières. Il écume le sud du Gabon, encore inexploré. Sa vie pourrait être un roman d’aventures comme tant d’autres, si ne le retenait, presque malgré lui, le subtil écheveau des solidarités humaines. Ayant gardé les meilleurs éléments de son « négoce », il crée son propre chantier, seul maître après Dieu en des villages décimés par la lèpre, grand connaisseur en essences tropicales, expert en serpents et anti-venins, attiré par les sociétés secrètes – le bwiti en particulier, dont il devient un initié notable. Femme noire, femme blanche. Michonet n’en a pas fini avec le compromis racial. « Conseiller » de Léon M’Ba, il vit sur le tas – et non sans pittoresque – le passage de l’Afrique ancestrale à celle des nouveaux États. Puis il retourne à sa vie de forestier où ne tardera pas à le surprendre – énième dégringolade – la fin de son empire des crocos. Rien ne manque à ce tableau : ni les intrigues, ni la magie, ni les chasses fabuleuses. Celles-ci passionneront le lecteur comme elles ont fasciné Christian Dedet, lequel devait nouer avec Michonet une amitié qui forme comme le ciment invisible de ce texte – une « histoire vraie » qui se donne à lire comme un roman. La presse, à la sortie du livre, saluera chapeau bas : « Un livre qui nous introduit dans les secrets de l’Afrique bien mieux que ne saurait le faire un régiment d’ethnologues. »
L’inconnue de Peyrolles
Lasse de la vie parisienne, Pascale Fontanel décide de retourner à Peyrolles, dans le Sud-Ouest, où elle a passé son enfance. Son père s’oppose à cette décision. La jeune femme s’y installe pourtant avec la ferme intention d’y reconstruire sa vie. Très vite, des événements viennent bouleverser son retour : les voisins racontent des histoires troublantes liées aux Fontanel, et Pascale découvre dans le grenier un livret de famille caché pour de bonnes raisons.
Le labyrinthe des cœurs
Le jour où sa mère quitte mari et enfants pour aller vivre avec James Barton, le magnat local du textile, la vie de Rowan bascule. Fou de chagrin, son père disparaît peu après dans des conditions dramatiques, laissant derrière lui une filature au bord de la faillite. Et Rowan, sans un sou, se retrouve en charge de sa soeur Sally et de son frère Andy. Aux yeux de la jeune fille, le responsable de leurs malheurs a un nom : James Barton. Afin de venger leur honneur et de prendre sa revanche sur cet homme odieux, elle décide de le défier sur son propre terrain, celui des affaires. Avec pour seuls atouts l’audace de ses dix-sept ans et une détermination farouche, Rowan va se lancer dans une folle entreprise : tenter de sauver la firme familiale. Mais alors qu’à force de ténacité elle parvient à redresser la barre, son mariage avec Saul, le demi-frère de Barton, lie une nouvelle fois son destin à celui de son ennemi. Entre amour, ambitions et trahisons, une formidable galerie de personnages en proie aux passions les plus dévorantes. Après le succès d’Au risque de la vie, son précédent roman, Elizabeth Walker signe une nouvelle et extraordinaire saga familiale.
La valse des mensonges
Lindsay, journaliste de mode londonienne, veut changer de vie. Elle décide donc de renoncer une fois pour toutes à son amour secret pour Rowland McGuire. Son voyage aux Etats-Unis, et sa liaison avec Colin, un ami de Rowland, l’aideront peut-être à tourner la page… A New York, Natasha Lawrence est sur le point de craquer. La star de cinéma, ex-femme du célèbre metteur en scène Tomas Court, est harcelée par un dangereux pervers, qui menace sa famille. Pour lui échapper, elle emménage au Conrad, une résidence haut de gamme garantissant la sécurité de ses habitants. Le soir de Thanksgiving, Lindsay et Natasha se retrouvent au Conrad. Un terrible drame se prépare dans l’ombre. L’heure a sonné de payer le prix des mensonges passés.
Irrésistible
Maxine Williams a trois adorables enfants, une carrière prenante et une vie bien remplie. Mais elle a également un ex-mari, Blake, aussi irrésistible qu’exaspérant. Brillant, charismatique, fantasque, Blake n’a qu’un seul défaut : il n’est pas doué pour la vie conjugale et sa quête incessante de plaisirs a eu raison de leur mariage. Des années plus tard, Maxine, psychiatre de renom à Manhattan, où elle élève seule leurs trois enfants, rencontre un séduisant médecin aux antipodes de Blake. Sérieux, stable et fiable, Charles ressemble fort à l’homme idéal, et Maxine accepte rapidement sa demande en mariage. Mais Blake, avec qui elle entretient toujours des liens amicaux, n’a peut-être pas dit son dernier mot…