Au XVIIe siècle, la guerre de Trente Ans ravage la Franche-Comté qui est l'une des plus riches provinces de la couronne d'Espagne. Durant cette conquête par la France, des centaines de villages sont incendiés, des milliers d'hommes torturés, assassinés ou décimés par la peste. Certains, pourtant, continuent à vivre, à se battre, à espérer des jours meilleurs. Ils sont soldats, paysans, nobles ou compagnons. Leur histoire commence au cours de l'hiver 1639, dans la région de Salins où Mathieu Guyon, un charretier, est désigné pour enterrer les victimes de la peste parquées dans un village isolé…
Regarde-moi quand je t’aime
Un homme amoureux, une fille lascive, un père, un tueur en série, un enfant, une femme éprise, un mauvais garçon, Le Palace, une vodka tonic, un texto, un Coca Light, une garce, un morceau de sucre, une mère, la passion, la haine, l’indifférence, une larme, du plaisir, un orgasme. L’amour.
1492. La foudre s’abat sur Florence. Savonarole, le moine fanatique, a vu le glaive de Dieu déchirer le ciel toscan. La ville expie pour les péchés du Magnifique. Lorenzo se meurt. Le premier des Florentins se retourne une dernière fois sur son flamboyant passé. Maître de la ville-lumière de son époque, il revoit les êtres qui ont peuplé son existence : ses ancêtres qui ont contribué à le hisser au faîte du pouvoir, ses ennemis qu’il a affrontés l’épée à la main, le pape qui a tenté de le faire assassiner, les illustres peintres, sculpteurs, poètes et philosophes, amis et protégés, qui ont fait de Florence un joyau incomparable. Et les femmes, qu’il a aimées avec autant de fureur que de tendresse. Muses et amantes. Les plus humbles comme les plus célèbres. Lucrezia, Simonetta, Bartolomea…Le Magnifique ferme les yeux. Pourquoi meurt-il si tôt ? Nul ne pourra effacer la trace du plus grand mécène de tous les temps, l’homme qui a inventé la Renaissance. Une épopée, dont l’éclat illumine le roman de Patrick Pesnot, premier volet d’une trilogie haute en couleur.
Quand le soleil était chaud
Que savait-elle de la vie? Lola, lorsqu’elle dansait d’un pas léger, au début des années cinquante, dans les grands bals du Caire? Comment aurait-elle pu se douter que son univers, insouciant et brillant, allait être englouti par une tourmente? Que ses amours adolescentes, ou la douceur des soirées au bord du Nil, ne seraient plus, bientôt. Que les souvenirs d’un paradis incendié par la guerre? Car l’histoire de Lola, dans ce roman, se mêle sans cesse à celle qui, depuis un demi-siècle, accompagne l’agonie des chrétiens d’Orient. À celle des coptes, de ces syriaques, de ces maronites, de ces orthodoxes qui, à tort ou à raison, crurent toujours que le ciel veillerait sur leur destin. Des palais de son enfance aux ruines de Beyrouth, de la frivolité aux massacres, du nassérisme aux camps palestiniens et aux guerres du Liban, Lola assistera ainsi, avec les siens, au triomphe absurde de l’intolérance sur le bonheur. Le roman d’une femme? Le roman d’une civilisation défaite par la violence des hommes qui, hier encore, savaient vivre ensemble? C’est tout cela que Josette Alia a voulu ressusciter dans cette fresque au goût de miel et de feu.
Sunset
Los Angeles… Douze millions d’habitants, mégapole du Troisième Millénaire, cité des mythes.
Beverly Hills, Bel Air, Hollywood… Ses milliards, ses ghettos, parano… Soleil, palmiers, ciel bleu, piscines… Jusqu’au jour où débarque un dissident russe, Kostia Vlassov. Jeune, beau, sans le sou. Alors, soudain, la carte postale se déchire, les façades s’effritent et tous les secrets de la ville explosent dans une traque à couper le souffle, qui nous bouscule des résidences des rois du monde aux taudis de Down Town, des salons de massage aux cliniques de désintoxication, des soirées haschisch aux rodéos meurtriers des Hells Angels, des plages de Malibu aux bordels de Colombie, des homos aux héros, des studios où se fabriquent les rêves à la chambre de Jenny. Jenny… La plus grande star du cinéma… Richissime, adulée, paumée, droguée… Regardez bien sous son lit : le Russe est peut-être dessous. Un roman haletant, trépidant, imprévisible, fort comme la cocaïne et plus vrai que la vie. Seul Pierre Rey pouvait l’écrire. Los Angeles, il connaît bien : il y vit.
Sinouhé l’Egyptien (I)
Par amour pour une courtisane, le médecin égyptien Sinouhé s’est vendu comme esclave. Il va vivre une odyssée à mi-chemin des mythes et de la réalité. Médecin, mais aussi espion pour le compte du pharaon Aménophis IV, il ira de Thèbes à Babylone, et aussi chez les mystérieux Hittites et chez les Crétois soumis au Minotaure. Prodigieux roman d’aventures qui nous initie à la politique, à la religion et aux sciences du quatorzième siècle avant Jésus-Christ, le chef-d’oeuvre du grand écrivain finlandais Mika Waltari invite aussi à réfléchir sur l’homme d’aujourd’hui, le plaisir, la liberté, le pouvoir, la violence, l’injustice et tout ce qui fait notre destin.
Hannah
Pologne, 1882. Hannah est juive, elle a sept ans. Dans la chaleur de l’été elle joue avec Taddeuz, un jeune Polonais catholique. Mais dans le village, les Cavaliers de la Mort ont déferlé, détruisant, brûlant, assassinant. En ce jour tragique, Hannah va connaître l’amour, le goût amer de la trahison, l’horreur. Londres, 1899. Dans le monde entier, le double H du nom d’Hannah signe des produits de beauté que les femmes s’arrachent. De la petite fille, elle a gardé les yeux gris. Mais elle est devenue une femme à la volonté de fer. Son don de séduction lui gagne tous ceux qui passent sur son chemin. De son village natal, l’aventure l’a conduite en Australie puis à Londres, Paris, Vienne, dans l’atmosphère brillante de la fin du siècle. Mais plus sa réussite est exceptionnelle, plus Hannah souffre d’avoir perdu Taddeuz… Avec Hannah, Sulitzer, l’auteur du Roi vert, a écrit le grand roman, plein d’aventure et de passion, d’une héroïne inoubliable.
Traquenard en arizona
JIM CORT et BERT HARDY s’étaient con-nus à WEST POINT. Leur amitié avait été brève. Jim, ne pouvant se plier à la discipline militaire, avait préféré la vie sauvage et solitaire des plaines de l’Arizona et la compagnie des Apaches. Sa réputation de contrebandier et de « roi de la gachette » finit par lui attirer les pires ennuis. Bert, plus ambitieux que jamais, et qui brigue à présent les galons de colonel, a juré d’avoir la peau de son ancien ami. Il lui tend alors un piège machiavélique…
La vallée des roses
La Vallée des roses est l’histoire d’une ambition folle qui réussira, d’une ascension qui n’avait pas une chance sur un million de se réaliser, celle d’une fleur, d’une beauté à la grâce incarnée : une jeune fille qui a nom Yi. Yi, qui caresse un rêve inouï : devenir la femme de l’Empereur régnant et, en le subjuguant, régner sur la Chine aux 500 millions de sujets. On voudrait tout citer, tout raconter. D’abord Hieng-Fong, le Soleil Impérial, le souverain auquel Yi rêve de s’unir, « … dégénéré, ivrogne et débauché, une raclure, un être sans foi ni loi… » On voudrait dire aussi la Cité Violette de Pékin, que gardent des régiments de castrats… Et encore le Concours du Concubinat où gardée par le Grand Eunuque et le Grand Surveillant, la Mère du Ciel (mère de l’Empereur), choisira parmi cent filles dénichées d’un bout à l’autre de la Chine, les trente qui seront les concubines de son fils, formeront le Harem Impérial et tenteront de séduire l’implacable pédéraste… Comment passer sous silence la scène où Yi séduit Héros Coupé, l’Eunuque Grand Surveillant.
Le corsaire amoureux
Mais qu’est-ce qui fait courir François Castel ? Qu’est-ce qui le fait bondir à pied, à cheval, et en voiture – et en bateau, donc ! – d’Hendaye à Paris, de Bordeaux à Londres, de Cork à Porto, de Plymouth à Ouessant ? Son sang basque et sa prodigieuse vitalité, certes ; son attirance irrésistible pour la mer, ensuite ; et enfin, dès l’instant qu’il la voit dans la fleur de ses quinze ans, son amour pour la blonde Anne-Marie du Bois de la Roche. Il est moins aisé qu’il n’y paraît de vivre paisiblement avec ces passions-là, surtout dans la France de la Révolution et de la Terreur. Et, en vérité, rien n’est moins paisible que la vie de François, corsaire et amoureux, sur le chemin de qui surgissent ennemis sournois et amies inconditionnelles, aristocrates et filles de joie, Bleus farouches et Blancs fanatiques – sans compter les navires ennemis dont il faut s’emparer, sauf à être pris par eux. La gloire l’attend, et la fortune, et l’amour d’Anne-Marie. Mais que d’obstacles il lui faut franchir, notamment les mois de captivité odieuse sur les pontons ou dans les forteresses britanniques, et les rebuffades inopinées d’une amoureuse entêtée, et attachée à ses vignes de Saint-Émilion autant que lui l’est à la mer. Pour le tirer de ces mauvais pas, il a son courage, son audace, son intelligence astucieuse… Au fil de ces pages, vous ferez connaissance avec – parmi bien d’autres l’ambigu cocher Cossonade, la merveilleuse Suzon-la-Rieuse, l’aristocratique et aimable grand-mère d’Anne-Marie, et l’Anglais George Clyde, ivrogne et débauché… et beaucoup de jolies femmes… Nul doute que, comme elles, vous vous éprendrez de François Castel, le corsaire amoureux.
Tout à son amour, Orchidée, la petite princesse mandchoue, avait oublié la Chine et l’impératrice Ts’eu-hi qu’elle a trahie pour épouser Edouard. Mais, soudain, elle reçoit une terrible missive…Ts’eu-hi lui ordonne de regagner la Chine après avoir volé à Paris une agrafe qui appartenait à la famille impériale. La mort dans l’âme, Orchidée dérobe le bijou. Mais le cauchemar continue. Le lendemain, Edouard est assassiné. Et c’est elle que les domestiques accusent ! Effondrée, Orchidée prend la fuite. Direction Marseille, puis… À bord du Méditerranée-Express, elle rencontre enfin l’homme providentiel qui réussira peut-être à l’aider…
Source : Pocket
La source sacrée
Le narrateur, lors d’une élégante partie de campagne, est frappé par deux phénomènes symétriques : l’embellissement spectaculaire d’une femme autrefois laide ; et l’intelligence nouvelle d’un bellâtre naguère stupide. Pour la première, l’explication est facile : elle a épousé un homme de vingt ans son cadet, dont elle absorbe la jeunesse. Mais quelle est la femme cachée dont le bellâtre absorbe l’esprit ? Cette fascinante fantasmagorie psychologique et mondaine possède avant tout le caractère étonnamment précurseur d’un roman du pur regard et de l’interaction entre un regard conscient de lui-même et son objet qui l’observe en retour.
Les promesses du passé
Prague, en 1938. Josef et Lenka s’aiment d’un amour passionné. Mais ils sont juifs et, devant la menace nazie, la famille de Josef, fortunée, décide de s’exiler aux États-Unis. Le jeune homme laisse derrière lui la femme qu’il aime en lui jurant de les aider, elle et sa famille, à s’enfuir. « On se retrouvera », promet-il solennellement. Ils n’en auront pas le temps : les nazis envahissent Prague et Lenka est déportée. New York, en 2000. Un homme croise le regard d’une femme. « Je vous ai déjà vue quelque part », dit-il, le souffle coupé. Se pourrait-il que la vie, le destin et le hasard aient uni leurs forces pour donner une nouvelle chance à Josef et à Lenka ?
Un grand roman sur le pouvoir du premier amour et la force de la mémoire
Le fils de flicka
Flicka, la pouliche sauvage que le jeune Ken a réussi à apprivoiser, vient de donner naissance à un étonnant poulain blanc. Un futur champion ? Ses performances pourraient alors sauver le ranch de la ruine. Mais Thunderhead, l’indomptable, désarçonne son jockey dès sa première course… La suite de mon ami Flicka… La suite d’une merveilleuse histoire d’amitié.
Un été de canicule
Un soleil éclatant, un mariage d’amour: il ne manque que le chant des cigales pour parfaire le tableau. A Cucuron, c’est jour de fête: les Soubeyrand nagent dans le bonheur, Emma en tête, mère du marié et patronne du café des Tilleuls. On en oublierait presque les lettres, signées d’un mystérieux corbeau, qu’elle reçoit depuis le retour de son fils du Brésil.
Quelqu’un n’a vraisemblablement pas oublié la disparition de Laurent Labaume, survenue sept ans plus tôt. On sait pertinemment que les Soubeyrand, mère et fils n’y sont pas étrangers.
La justice, alertée, ne tarde pas à s’intéresser de près à la famille….
Une vie n’est pas assez
Après une jeunesse incertaine et l’échec d’un premier mariage, Lison a le sentiment d’avoir ressaisi sa vie, de l’avoir bâtie et réussie, doucement mais fermement : un mari selon son cœur, deux filles qui pour elle sont des amies, des voyages, un métier. Et pourtant, lors d’un séjour au Mexique, la rencontre inattendue de son premier amour la trouble… Et pourtant, l’évolution de ses deux filles la déconcerte : Délia, qui se disait libérée, choisit un destin banal ; Emma parait inconsciente du danger qui la menace… Lison cherche à comprendre, à se comprendre. Elle voudrait être pleinement une femme, une épouse, une mère… Non, décidément, quand on veut tout vivre, une vie n’est pas assez.
Le voyage à l’envers
Quelque part sur la mer Egée, voici un » homme qui flotte « . Non que Foulques, surnommé Fou par ses amis, soit cramponné à une épave : en compagnie de Clara, directrice d’un grand journal de mode, et d’un garçon platiné qu’elle a invité pour faire nombre, il passe des vacances luxueuses et sans histoire sur un yacht de location. Mais il n’en est pas moins un naufragé à sa manière, mal dans sa peau de quadragénaire, noyé dans un rêve d’évasion. Il suffira d’une rencontre à Epidaure pour que Fou retrouve soudain l’impression de respirer comme autrefois. T-shirt, blue-jeans et cheveux » blond fraise » – ainsi dit-on chez elle – Jill lui apporte une bouffée d’Amérique qui a pour lui le parfum d’une passion toujours vivante. Avec Jill resurgit l’image d’Alison, une autre blonde qui fut le premier, le seul grand amour d’un jeune Fou de vingt ans, dans l’île de Nantucket, chère à Melville, où il a vécu avec elle le plus bel été de son existence, et le début d’un long roman jamais achevé. Rajeuni par le cadeau de cette passagère inespérée, Fou entreprend un » voyage à l’envers » de son âge, comme si Alison et Jill, comme si les Amériques pouvaient se succéder au point de se confondre, quand on le veut.
Scarlett
« Demain est un autre jour… » Sur ces mots d’une héroïne impétueuse et attachante s’achevait une des plus bouleversantes histoires d’amour jamais racontées. Incarnés à l’écran par Clark Gable et Vivien Leigh, les héros d’Autant en emporte le vent, Rhett Butler et Scarlett O’Hara, sont entrés dans la galerie des amants de légende. Mais pour des millions de lecteurs, leurs amours demeuraient en suspens… Nous révéler la suite : c’est le défi qu’a relevé Alexandra Ripley. Toujours aussi fougueuse et passionnée, Scarlett, qui s’est juré de reconquérir l’homme de sa vie, parviendra-t-elle à surmonter les déceptions et les obstacles multiples qui l’attendent ? C’est dans une Irlande ensanglantée par la guerre, berceau de la famille O’Hara, que le destin nous donnera enfin sa réponse.
Les personnages de ces douze nouvelles sont pleins d’espoirs futiles, ou de désespoir grave. Ils ne cherchent pas à changer le monde. Quoi qu’il leur arrive, ils n’ont rien à prouver. Ils ne sont pas héroïques. Simplement humains. On les croise tous les jours sans leur prêter attention, sans se rendre compte de la charge d’émotion qu’ils transportent et que révèle tout à coup la plume si juste d’Anna Gavalda. En pointant sur eux ce projecteur, elle éclaire par ricochet nos propres existences.
Au pays du fou rire
La So british Lady Clara se fait du mouron. Son fiston, alcoolique de renom, vient de lui annoncer ses fiançailles avec une Américaine. La machine de guerre est lancée. Objectif: récupérer ce traître de rejeton à Hollywood, mythique territoire des stars et starlettes, toutes plus fatales les une que les autres… Un choc des cultures drôle à sa damner.
Pour le meilleur et pour le pire
Jenny Rakowsky est sur le point d’épouser le séduisant Jay Wolfe, un riche avocat d’affaires. Brillante avocate elle aussi, elle défend les causes perdues des femmes en détresse. Malgré leur différence de milieux sociaux, la famille de Jay accueille chaleureusement la jeune femme, lui confie la tâche de défendre leur propriété ancestrale, convoitée par des promoteurs sans scrupules.
Désobéissance
Six avions sont envoyés en mission de bombardement. En désespoir de cause, le commandement les a sacrifiés. Dans l’avion de tête, un vieux colonel n’a qu’un but : ne pas laisser périr des hommes pour des occasions qui ne les valent pas. A bord d’un des avions, un capitaine, passionné de son métier, accepte les ordres, quels qu’ils soient. Il est prêt à mourir ; mais les événements lui donnent tort. Entre les deux hommes, un conflit classique : celui de l’expérience des vraies responsabilités, chez le colonel, contre, chez le capitaine, l’ardeur disciplinée, pouvant aller jusqu’aux automatismes. Les deux hommes sont à trois cents mètres l’un de l’autre dans le ciel. Pour le vieux colonel, il faut refuser les règles d’un jeu imbécile.
Mickey l’ange
Est-il convenable de se sauver le jour même de son mariage ? Est-il normal de trouver chez soi une jeune fille inconnue ? Est-il vraisemblable qu’elle passe au travers des portes et du temps, qu’elle lise dans la pensée des gens et affirme avoir été aux surprises-parties de Louis XIV ? Est-il possible de découvrir un trasor dans les murs d’un vieux château normand ? Est-il raisonnable de courir aux Açores sur les traces d’un ancêtre pirate ? Est-il censé de ne vouloir habiter que le château de Versailles ? Est-il prudent de boire aussi peu d’eau quand on est un jeune professeur de français dans un lycée ? Est-il vrai que l’amour est un mirage ? Est-il vrai que Gauthier de Coudran, dit Mickey l’Ange, ne soit pas un sacré menteur ?
Gretchen sans uniforme
Gretchen sans uniforme est un roman de gare à succès, paru en Allemagne après-guerre. Il raconte l’histoire d’une jeune et jolie allemande engagée dans la Wehrmacht et qui, après la défaite nazie, contracte volontairement une maladie vénérienne pour contaminer les soldats américains d’occupation.
L’anti-vierge Emmanuelle – Tome II
Emmanuelle est en fait un livre en deux parties, sous le même titre mais avec deux sous-titres correspondant aux deux parties successives : La Leçon d’homme et L’Antivierge. Séparés au début par un éditeur clandestin un peu pressé, les deux morceaux ne se retrouveront en librairie sous le titre commun d’Emmanuelle que huit ans plus tard, encore qu’en deux volumes. Par la suite, les aléas de la librairie, et des histoires de droits compliquées plongeront L’Antivierge, encore une fois, dans une étrange absence. Disparue des rayonnages depuis près de vingt ans, la voici réunie à La Leçon d’homme par la volonté de l’auteur et d’un éditeur pour une fois d’accord, ainsi qu’il convient.
Ouragan sur D.M.S Caine
A l’origine, rien ne prédispose Willie Keith à devenir un brillant officier de transmission à bord du dragueur de mines « Caine ». Timide et brouillon de nature, il gagne peu à peu en assurance à voir avec quelle maladresse le capitaine de Vriess dirige le navire. Témoin discret mais lucide, il comprend que l’autorité et l’intransigeance du commandant ne dissimulent en fait qu’une profonde incapacité. Lorsque le commandant Queeg vient relever le commandant de Vriess, l’équipage et la maistrance espèrent gagner au change. Or, très vite, Queeg se révèle pire que son prédécesseur. Déplorable marin et médiocre psychologue, il fait montre d’une nervosité inquiétante, échouant le bateau, accumulant les erreurs de manœuvre, tout en rejetant sur ses subordonnés la responsabilité de ses fautes. Ses manies tyranniques ont fini par créer à bord un état de tension permanente, qu’un ouragan va soudain exacerber. Par ses ordres contradictoires, Queeg met le navire à deux doigts du naufrage. Alors les officiers décident de le destituer et de prendre le commandement. Le témoignage que l’auteur apporte, par l’intermédiaire de Willie Keith, sur les causes de la mutinerie va enfin être présenté au lecteur par les débats du conseil de guerre chargé d’instruire la plainte du commandant Queeg contre ses subordonnés.
Les Belges
Des crimes de Marc Dutroux, en août 1996, à la contamination de poulets par la dioxine, en juin 1999, la Belgique n’a cessé de défrayer la chronique. L’évasion rocambolesque du même Dutroux et le discrédit jeté sur le Tour de France par des fournisseurs flamands de produits dopants complètent la série catastrophe qui révéla la fragilité d’une société ayant accumulé trop longtemps sans réagir deuils et pertes de repères. Le monde entier s’est interrogé : la Belgique, considérée jusqu’alors comme une démocratie stable et prospère, ne sera-t-elle pas en train de bascule dans l’anarchie ? Cet Etat fraîchement fédéralisé allait-il suivre l’exemple de la Yougoslavie et de la Tchécoslovaquie et, à son tour, disparaître du continent européen ?
Malgré leur individualisme atavique et leur scepticisme chronique à l’endroit de toute forme de pouvoir, les Belges ont montré leur capacité, tant morale que politique, à surmonter cette crise et à entreprendre des réformes nécessaires à la restauration de l’État de droit. La « marche blanche » d’octobre 1996 fut le signal de ce redressement. Les élections législatives de juin 1999 ont confirmé cette volonté de réhabilitation de la citoyenneté.
Le récit enlevé et l’analyse brillante de Didier Pavy constituent à l’évidence une mine riche d’enseignement pour une Europe de plus en plus multiculturelle et ouverte sur le monde, où l’État Nation se trouve remis en question et où les élites politiques et intellectuelles doivent gérer des situations économiques et sociales de plus en plus complexes.
Didier Pavy est journaliste. Il est correspondant permanent du Nouvel Observateur et du mensuel économique Challenges en Belgique depuis 1992.
Les secrets de Bart de Wever
Qui est vraiment Bart de Wever ?
L’homme est partout.
Mais que sait-on réellement de lui et de son idéologie ? Habile communicateur, le président de la N-VA ne laisse paraître que ce qui peut le servir dans sa marche triomphale … et cache de lourds secrets. ….
Après avoir refermé ce livre, vous ne verrez plus jamais les choses de la même façon.
Le livre perdu
Hasan entre dans une librairie et choisit ‘Le Gouffre des cœurs , un roman qui le subjugue au point de le faire rater son métro. Ce hasard va lui sauver la vie puisque quelques secondes plus tard, le train explose lui provoquant un évanouissement sans conséquence. A son réveil, le livre a disparu et se révèle épuisé. Hasan entame alors une quête sans limite pour le retrouver.
L’épouse du roi Albert demeure dans la mémoire des Belges et dans celle de tous les Européens une figure rayonnante de chaleur, de courage et d’humanisme.Durant la Première Guerre mondiale, elle alla bien au-delà de ce qu’on exigeait en ce temps d’une souveraine en fait de bonnes oeuvres, et cette reine d’origine bavaroise se dépensa sans compter pour les blessés et les réfugiés. Tout en fortifiant cet esprit de résistance qui a valu à son royal mari le surnom de roi chevalier « , elle tenta en 1917 de faire arrêter la tuerie (elle devait d’ailleurs, jusqu’à la fin de ses jours, se montrer une ardente propagandiste de l’entente entre les nations). Après la mort du roi en 1934 et après les difficultés rencontrées par Léopold III, son fils, à la fin du second conflit mondial son prestige joua un rôle non négligeable dans le crédit dont jouit la monarchie qu’incarne aujourd’hui son petit-fils Baudouin.Mais peut-être est-ce dans le domaine artistique qu’elle aura le mieux servi son pays: amie des poètes et des écrivains (Verhaeren, Valéry, Romain Rolland, Colette, Cocteau…), des savants (Einstein, la famille Curie…), mais plus encore des musiciens (Menuhin, Casals, Oïstrakh…), elle aida la Belgique d’après-guerre à retrouver une place de premier plan dans la culture européenne …
Thanasse et Casimir
Publié entre deux « Toine » en 1942, ce roman très drôle, l’un des préférés de son auteur, met en scène Thanasse, le garde-salle de Cabussart, et son copain Casimir, un ancien poilu français qui manie l’argot avec une verve irrésistible.
Toine Culot, obèse ardennais
Lire ou relire Arthur Masson, c’est se plonger dans un bain de jouvence, de bonne humeur et de sagesse terrienne.
Pour le plaisir de ceux qui aiment la bonne littérature de terroir centrée sur la vie quotidienne d’un village wallon, les récits tragi-comiques contés avec avec humour et tendresse – où la saveur du patois relaie le bon usage d’un excellent français – et les personnages hauts en couleur s’affrontant dans les situations cocasses ou émouvantes, voici le souriant et malicieux Toine Culot, aux traits rajeunis par le talent de David Merveille, à nouveau en librairie au fil des cinq volumes de la célèbre «toinade».
(Re)découvrez le premier titre de la « Toinade » : des images d’une étonnante poésie et un vocabulaire riche et sans pédanterie se mettent au service d’une histoire simple et drôle, pimentée de jovialité wallonne où Toine, jeune campagnard des Ardennes belges, découvre la vie et l’amour.
Toine dans la tourmente
Lire ou relire Arthur Masson, c’est se plonger dans un bain de jouvence, de bonne humeur et de sagesse terrienne.
Pour le plaisir de ceux qui aiment la bonne littérature de terroir centrée sur la vie quotidienne d’un village wallon, les récits tragi-comiques contés avec avec humour et tendresse – où la saveur du patois relaie le bon usage d’un excellent français – et les personnages hauts en couleur s’affrontant dans les situations cocasses ou émouvantes, voici le souriant et malicieux Toine Culot, aux traits rajeunis par le talent de David Merveille, à nouveau en librairie au fil des cinq volumes de la célèbre «toinade».
Et revoilà le malicieux et souriant Toine Culot dans ces aventures pittoresques qui sentent bon le terroir wallon avec ses expressions savoureuses aux accents traînants, avec cette vie où le temps s’écoule au fil des saisons, à l’époque où le chant du coq rythmait encore le travail de nos villages.
Le testament des dieux, qui seul assure la légitimité du pharaon Ramsès II, demeure introuvable. Sur la piste d’un complot diabolique qui unit des hommes de pouvoir et d’influence, le juge Pazair est déporté dans un bagne. Mû par une volonté inflexible, le petit juge parvient à s’enfuir… De retour à Thèbes, avec l’aide de sa jeune épouse Néféret, médecin réputé, et de ses fidèles amis Kem et Souti, Pazair enfin innocenté poursuit son enquête, avec l’accord tacite du souverain, tandis que meurtres, enlèvements et actes de corruption se multiplient. Mais la fête de régénération approche. Ramsès II devra-t-il abdiquer, mettant ainsi fin à une dynastie millénaire ?
Vipère au poing
Ce roman, le plus célèbre de l’auteur, est aussi largement autobiographique. Comme dans l’ensemble de son oeuvre, Hervé Bazin y donne les raisons de sa haine et de son combat contre toutes les oppressions familiales et sociales. Vipère au poing raconte la lutte impitoyable livrée par Brasse-Bouillon, alias Jean Rezeau, ainsi que ses frères, contre leur mère, une marâtre odieuse, calculatrice et violente. Folcoche, ainsi que ses enfants la nomment, règne avec autorité sur une famille angevine bien-pensante, ne lésinant pas sur les coups de fouet, les brimades et les humiliations. Mais Brasse-Bouillon est malin, vif et clairvoyant. Il affronte sa mère en lui tendant à son tour les pièges qui l’aideront à avoir raison d’elle. Au premier degré, le livre possède un incontestable humour qui marque les esprits (inoubliable Folcoche, parangon de méchanceté !). Mais, il est avant tout un cri d’enfant et la dénonciation d’un certain modèle d’éducation qui fit longtemps les beaux jours des familles françaises. Pour son auteur, cela reste à tout jamais un traumatisme et un échec.
L’Ange de Bagdad
Bagdad, printemps 2003. Chargé d’organiser les exportations clandestines du pétrole brut pendant l’embargo, Michel Samare, ingénieur et homme d’affaires Irakien, attend l’arrivée des Américains. Très vite, il voit s’éloigner les espoirs de démocratie qu’il fondait pour son peuple. Ulcéré par les méthodes d’occupation brutales et le pillage des richesses de son pays, Michel décide de s’opposer à la toute-puissance de George W. Bush. Le combat de David contre Goliath peut sembler utopique. Pourtant, grâce à des complicités internationales nouées du golfe de Guinée au Texas, soutenu par une belle Australienne pacifiste, Michel monte une machination machiavélique destinée à ruiner les intérêts personnels et pétroliers de la famille du président américain.
Féroces
Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C’étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l’esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c’était la seule chose qu’ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d’ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l’extérieur de ce qui se passe à la maison. A la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces. Comparé à William Styron et Flannery O’Connor, Robert Goolrick a créé avec son premier roman, Féroces, un de profundis sudiste, dans lequel un fils ne survit pas tout à fait aux crimes du père, même quand il piétine sa tombe avec des chaussures anglaises.
Cet ouvrage est une sélection de quatre meilleurs livre. Opération Firewall: c’est un roman d’action, certes, qui met à jour les ingrédients des classiques de l’espionnage, mais sans être pour autant dépourvu de morale et de sensibilité. Les jardins de vendières: c’est une nouvelle fois, l’auteur d’un grand vent de fleur et de la dentellière d’Alençon déroule pour nous une de ces histoires heureuses dont elle a le secret. Sanction secrète: Que haig connaisse le fonctionnement de l’appareil militaire, voila qui n’a rien d’étonnant. Ce qui est plus étonnant, en revanche, c’est qu’il écrive si bien sur le sujet, en multipliant les effet de surprise. De rêve et de glace: le lecteur est tenu en aleine par l’alternance des pensées et des sentiments que se porte à distance pendant ces deux jours critiques les deux époux.
Ce volume est une sélection de quatre meilleurs livres. La princesse oubliée: une écriture vive, une capacité à nous faire pénétrer dans l’image, un souffle de marathonien. Dans la peau : Un suspense qui ne faiblit pas de la première à la dernière page , avec un superbe revirement… un conte de pure terreur. La tempête blanche : cet itinéraire d’un enfant gelé tient la promesse des précédents chapitres. Julie et Roméo : une variation réussie, amusante et originale sur l’histoire de Roméo et Juliette.
Mélodie du temps ordinaire
Été 1960, Atkinson, petite ville ordinaire du Vermont. Divorcée d’un ivrogne pathétique qui vient encore parfois cogner la nuit à sa porte, Marie Fermoyle s’épuise à joindre les deux bouts, animée d’une ambition farouche pour ses trois enfants et portée par un orgueil qui l’empêche d’accepter l’aide de quiconque. Sa solitude va faire d’elle une proie toute désignée pour Omar Duvall, escroc minable et beau parleur, qui se présente un soir chez elle… Oscillant entre colère et résignation, englués dans leur mal-être adolescent, ni Alice ni Norm, les deux aînés, ne sauront s’opposer à Omar, dont la personnalité inquiétante se révélera peu à peu. Avide de voir sa mère enfin heureuse, le jeune Benjy, lui, taira obstinément son terrible secret : le jour même de l’arrivée de Duvall, il l’a vu poignarder un homme dans la forêt… À travers l’histoire des Fermoyle, à laquelle se trouve inextricablement liée celle de leurs proches et voisins, Mary McGarry Morris a écrit la chronique d’une petite communauté où s’affrontent l’espoir et la peur, le mensonge et la honte, l’obsession du péché et la piété, où se joue une lutte incessante entre la soif de réussite et l’amertume de l’échec. La force de l’intrigue et des personnages, la beauté du style, l’atmosphère lourde et envoûtante qui se dégage du roman en font une œuvre à part, parmi les plus marquantes de la littérature américaine contemporaine.
Rien ne s’oppose à la nuit
Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l'écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd'hui je sais aussi qu'elle illustre, comme tant d'autres familles, le pouvoir de destruction du verbe, et celui du silence.
L’Allée du Roi
De sa naissance dans une prison de Niort à sa mort dans le doux asile de Saint-Cyr, de l’obscure pauvreté de son enfance antillaise à la magnificence de la Cour, de la couche d’un poète infirme et libertin à celle du Roi-Soleil, de la compagnie joyeuse de Ninon de Lenclos au parti pris de dévotion de l’âge mûr, quel roman que cette vie ! Dans le personnage et le destin de Françoise d’Aubigné, marquise de Maintenon, qu’on surnomma « la belle Indienne », se reflètent les aspects contradictoires du « Grand Siècle », dissimulés sous l’apparence immuable de la majesté royale. À partir d’une documentation considérable et en recourant aux nombreux écrits, souvent inédits, de Mme de Maintenon, Françoise Chandernagor a voulu restituer le vrai visage de ce témoin intelligent et sensible. C’est à la découverte d’une femme belle avec esprit, ambitieuse avec dignité, secrète avec sincérité, raisonnable avec passion, que nous entraîne L’Allée du Roi.
Le silence des armes
Guérit-on jamais de la guerre ? De quel combat meurtrier l’homme peut-il être fier ? Engagé pour cinq ans, Jacques Fortier a cru un temps à la noblesse des armes. Blessé, moralement détruit par les atrocités vécues en Algérie, il revient dans son village du jura pour quelques jours de convalescence. Repartir dans les Aurès, c’est accepter la haine et le sang, admettre l’absurde. C’est renier l’enseignement d’un père incompris, refuser les leçons de sa terre natale. Jeter son uniforme, c’est dire non à l’horreur, choisir la vie, mais aussi devenir traître et déserteur aux yeux de la société. Assassin ou proscrit, Jacques doit choisir. » Le monde ne sera sauvé, s’il peut l’être, que par des insoumis. » Cette phrase résume le drame du Silence des armes, l’une des œuvres majeures de Bernard Clavel.
Diabolique rival
Une famille bourgeoise d’Allemagne. Une famille modèle : Lui, Eduard Barrenberg, est un homme qui a réussi. Quinquagénaire alerte, il est architecte et l’heureux père de Monika, qui a dix-huit ans et prépare son baccalauréat.
Elle, Maria, fut une pianiste virtuose, mais après son mariage, elle a décidé de consacrer sa vie aux siens. Mais rien n’est aussi simple. Édouard Barrenberg aime également une autre femme qui, malgré elle, lui portera malheur. Un homme fou de jalousie va s’acharner sur l’architecte. Il séduira tout à tour Maria et Monika, qui sombrera dans la drogue. De pressions diverses en tentatives de chantage, Petrescu-Makaroff, le trafiquant à la double identité, mettra en péril l’édifice modèle d’Eduard Barrenberg.
Avec la maîtrise qui lui valut ses innombrables succès, Konsalik a composé ici un implacable tableau contemporain. Son livre est un avertissement, mais aussi un livre d’espoir. Car les Barrenberg trouveront en eux-mêmes la force de vaincre et de recommencer.
Une petite ville en Allemagne
1967. La vie politique semble paisible à Bonn. Rien ne prédestinait cette » petite ville en Allemagne » à devenir une capitale, et encore moins un enjeu mondial de la Guerre froide. Pourtant l’émoi s’empare de l’Ambassade de Grande-Bretagne suite à la disparition d’un collaborateur et de dossiers ultra confidentiels. A l’heure où leur pays négocie son entrée dans le Marché commun, les Allemands ne doivent pas savoir. A aucun prix.
Paris au mois d’Août
o Henri Plantin n’est rien, dans la vie, ou pas grand-chose
o Patricia Greaves, dite « Pat », nul ne sait rien d’elle, depuis trois jours qu’elle est arrivée à Paris.
o Il est français, de la rue Saint-Martin. Un Français quelconque, de ceux « dont on ne dit rien ».
o Elle est anglaise de Londres. Une jolie Anglaise de celles dont on dit: « Une belle fille ».
o Ils ne sont absolument pas faits pour se rencontrer.
o Ils se rencontrent pourtant, un soir, à Paris au mois d’août.
o Ils n’ont que trois semaines devant eux pour vivre… une histoire sans histoire.
Les gens de Smiley
Poussé à enquêter et à résoudre une affaire qu’il aurait pourtant dû étouffer, Smiley se retrouve face à son ennemi de toujours : Karla. Mais l’issue du combat entre les deux espions est encore incertaine. Pour vaincre, Smiley va devoir employer des méthodes qui vont à l’encontre de ses principes, celles-là mêmes qu’employait son adversaire…