L’honneur perdu de François Mitterrand
Ceci est le pamphlet le plus célèbre qui ait existé avant d’avoir été publié. Il m’a valu les mille écoutes de l’Elysée sans autres persécutions. Comme Victor Hugo avec Napoléon III, j’ai gâché la postérité de François Mitterrand. Ecrit en 1982, ce livre est passé entre des mains innombrables. Par ces révélations qui circulaient sous le manteau, il a inspiré tous les biographes du président de la République – Catherine Nay, Franz-Olivier Giesbert, Pierre Péan ou Jean Montaldo. Que ce soit sur sa fille Mazarine, sa collaboration, ses liens avec la Cagoule, chacun a été obligé de tenir compte de ces révélations, soit pour les approfondir, soit pour allumer des contrefeux. Bref, j’ai pourri la postérité de François Mitterrand de son vivant – et je suis responsable à jamais de sa seconde mort. Il n’aura d’autre place dans l’Histoire que l’histoire d’une imposture. Au-delà de mon enquête, c’est d’abord le portrait d’un menteur. Un formidable personnage de roman se dessine dans cette eau-forte aussi cruelle que La Bruyère ou Saint-Simon. La puissance de la littérature reste inégalable. C’est le contrepoids historique du monde. Persécuté pendant quatorze ans, c’est ce que j’ai voulu prouver. Il fallait enfin que ce livre soit accessible à tous. Jean-Edern Hallier.
Avec près de 500 rubriques classées, ce Montignac de A à Z apporte toutes les réponses appropriées aux préoccupations du candidat à la minceur, homme ou femme. Il lui permet de faire son éducation nutritionnelle selon la méthode maintenant célèbre mise au point par Michel Montignac et son équipe de médecins et d’en appliquer les principes au gré de ses besoins. Ce livre intelligent, pratique et facile à consulter, donne toutes les clés de la « philosophie » Montignac.
Ramsès. Son seul nom incarne l’éclat et la puissance de la civilisation pharaonique. Fils du soleil et du dieu vivant, il a régné pendant plus de soixante ans et porté l’Égypte à un degré de grandeur jamais atteint dans l’Histoire. A cinquante ans, après tant de guerres, d’amours et de grandioses réalisations, Ramsès pourrait aspirer à la sérénité des vieux jours. Mais il faut encore gouverner et combattre pour préserver une paix durement acquise. L’empereur Hattousil, le Hittite, le somme d’épouser sa fille sous peine d’une nouvelle agression. Durant trois décennies encore, le Fils de la Lumière devra maintenir l’ordre, concilier, régner. Et quand le grand âge viendra, il ira s’asseoir à l’ombre de l’acacia d’Occident. Ameni, son fidèle scribe, posera enfin son pinceau. Romancier magique, Christian Jacq sort l’Antiquité des manuels scolaires, et offre au lecteur un immense territoire de rêve, d’action et de poésie.
La reconstitution grandiose d’un règne fastueux.
Une entreprise romanesque sans précédent.
Dangereux mirages
A Al-Remal, où elle est née au sein d’une riche famille, Amira a grandi sous le joug implacable de la loi coranique. Au Moyen-Orient, dans les années soixante, on exécute encore celles qui se rendent coupables d’adultère, et la jeune fille n’oubliera jamais la mort atroce de sa meilleure amie, lapidée après avoir accouché d’un enfant en prison. Cette loi, elle s’y soumet pourtant en épousant le prince Ali et, toute à l’euphorie des fastes de sa nouvelle vie, elle renonce à ses rêves d’Occident. Mais le conte de fées n’a qu’un temps. Le jour où elle découvre la vraie nature de son mari, elle comprend qu’elle est prisonnière. Victime de sa brutalité sadique, elle prend alors le risque fou de se sauver, en emmenant son jeune fils. Pour que le prince ne puisse jamais la retrouver, elle fait croire à sa mort, et subit une intervention qui la rend méconnaissable. Dès lors, réfugiée à Boston, elle entame une nouvelle vie. Qui peut aujourd’hui se douter que derrière Jenna Sorrel, la brillante psychologue, se cache une princesse en fuite? Mais Ali est puissant, animé d’un redoutable désir de vengeance, et il n’a jamais vraiment cru à la mort de sa femme… Interdit dès sa publication en Arabie Saoudite, Dangereux mirages est un roman bouleversant, riche en rebondissements, qui nous fait pénétrer derrière les barreaux dorés des palais du MoyenOrient, dans l’intimité d’une femme prête à tout pour accéder àla liberté. A travers le destin dramatique d’Amira, c’est à une dénonciation sans appel de la violence conjugale et de la douloureuse condition des femmes dans le monde musulman que se livre Soheir Khashoggi. Avec cette oeuvre, largement nourrie de sa propre expérience, elle s’impose comme une romancière de talent.
Ramsès – Tome 4 – La dame d’Abou Simbel
Ramsès. Son nom incarne l’éclat et la puissance de la civilisation pharaonique. Fils du soleil et du dieu vivant, il a régné pendant plus de soixante ans et porté l’Égypte à un degré de grandeur jamais atteint dans l’Histoire.
Ramsès, qui a dû négocier une paix stratégique avec la puissance hittite, peut désormais accomplir son grand rêve architectural, en hommage à Néfertari, « celle pour qui le soleil se lève ». Les splendeurs des deux temples d’Abou Simbel seront le symbole de cet amour éternel. C’est alors qu’apparaît Moïse, l’ami d’autrefois, revenu exiger le départ de ses frères hébreux. Romancier magique, Christian Jacq sort l’Antiquité des manuels scolaires et offre au lecteur un immense territoire de rêve, d’action et de poésie. La reconstitution grandiose d’un règne fastueux.
Une entreprise romanesque sans précédent. Plus d’un million d’exemplaires vendus.
Ramsès – Tome 3 – La Bataille de Kadesh
Dans la vie d’un pharaon il y a des guerres. Une des plus célèbres est celle qui se déroulera devant Kadesh, forteresse imprenable de Syrie du Nord. Le jeune roi de vingt-cinq ans affronte les pires épreuves de son règne. Alors que la santé de Néfertari, victime d’un maléfice, décline irrémédiablement, la menace hittite se précise. Un empire si riche et si magnifique peut-il s’écrouler d’un seul coup ? Il faut se battre. Découvrir la pierre de la déesse qui peut guérir son épouse royale. Devant la forteresse de Kadesh, ensuite, tenter l’impossible face aux chars et aux archers d’un ennemi supérieurement armé.
Dix-huit heures pour mourir
Dans un abattoir désaffecté, au cœur des plaines du Kansas, trois criminels en cavale se sont retranchés, retenant en otages huit écolières sourdes-muettes et leurs enseignantes.
Lou Handy, le meneur psychopathe, place très haut ses enchères meurtrières : il abattra une fillette par heure s’il n’obtient pas satisfaction. Pour Arthur Potter, le négociateur dépêché par le FBI, commence le bras de fer le plus éprouvant de sa carrière. Il trouvera une alliée en la personne de Melanie, l’une des enseignantes, atteinte du même handicap que ses élèves : un handicap qui peut aussi constituer un atout, puisque les ravisseurs ne comprennent pas le langage de leurs victimes…Cette course contre la mort, qui met en scène de façon remarquablement sensible et documentée l’univers des sourds-muets, nous mène sans une seconde de répit jusqu’à l’affrontement et au retournement ultimes.
Le dîner de Londres
Deux êtres se rencontrent en 1956 à Budapest, lors de l’insurrection en Hongrie contre le régime d’alors. Ils vivent deux semaines d’amour fou, dans le danger, la violence, la ville en flammes. La vie les sépare. Puis ils se retrouvent… Et cela dure deux ans… Le hasard les réunit vingt-cinq ans plus tard à Londres. Ils dînent ensemble. Même si le temps laisse des traces, ils ne vont plus se quitter pendant… cinq jours, entre un jeudi et un lundi d’octobre 1988. Pendant ce dîner, ils redécouvrent leur humour, leurs agacements, leur violence, et leur tendresse aussi. Ils arrivent même à oublier leurs griefs pour laisser place à l’indulgence et au pardon. Mais des blessures sont là, néanmoins. Peuvent-elles se cicatriser totalement ?
Le dernier soupir du maure
Le jour de la fête de Ganesh, Aurora Zogoïby danse pour défier des dieux auxquels elle ne croit pas. Peintre célébré, femme aux dimensions formidables, Aurora exècre la foule qui s'adonne au culte superstitieux du dieu éléphant. Sa danse est donc un geste de suprême dédain. Mais la foule se méprend et la vénère. Irréversiblement, elle est au centre des choses. Y compris de la vie de son fils Moraes. Le roman suit exactement le même schéma narratif que Les Enfants de minuit : à l'aube de sa mort, le narrateur se lance sur un rythme effréné dans le récit de sa vie, commençant à la jeunesse de ses grands-parents pour arriver, essoufflé, au moment où il prend la plume. Même festin d'images, même réalisme magique, même sensualité, si ce n'est que le poivre a remplacé le chutney comme moteur du souvenir.
Fort comme la mort
Un autre Maupassant que celui des contes normands et de La Maison Tellier. Un Maupassant qui, à travers l’histoire du peintre Olivier Bertin, projette son obsession du déclin, tente de se libérer de l’angoisse qui saisit tout créateur lorsque s’approche l’heure du bilan. Histoire d’un homme qui cherche à retrouver dans la fille de sa maîtresse sa jeunesse perdue, Fort comme la mort est aussi un grand roman social qui analyse les mécanismes et les rites de ce monde du faux-semblant, de l’ennui, de la stérilité du cœur que l’on appelle le grand monde. On a dit : Paul Bourget, mais la lucidité, déjà, est celle de Proust.
La neige tombait sur les cèdres
Décembre 1954. Au nord-ouest des États-Unis, l’île de San Piedro est le théâtre d’une tempête sans précédent. Alors qu’un blizzard isole l’île, un jeune américain, d’origine japonaise est traduit devant le tribunal de la petite communauté de pêcheurs et de fermiers. Ce procès ravive les souvenirs cruels de la guerre du Pacifique et des camps où fut internés les Nippos-Américains après Pearl Harbor. Le journaliste Ishmael Cambers est confronté à ses souvenirs: celui de Hatsue, son premier et unique amour-la femme de celui que l’on juge aujourd’hui-mais aussi l’évocation douloureuse de cette guerre où il a perdu un bras et s’est perdu lui-même. Roman de l’enfermement et de la désillusion, mais aussi de la survie et de l’espoir, l’auteur nous convie à une analyse subtile d’un microcosme ébranlé par ses passions, ses préjugés et son racisme ordinaire. On est subjugué par ce roman au succès mondial, aujourd’hui adapté pour le cinéma.
Le Cid
Rodrigue et Chimène sont sur le point de se marier mais une grave querelle oppose leurs pères : à la suite d’une rivalité, le Comte, père de Chimène, gifle don Diègue, père de Rodrigue. L’affront ne peut être réparé que par la mort du Comte, mais don Diègue, trop vieux, remet son épée à Rodrigue pour venger son honneur. Rodrigue doit alors faire face à un douloureux dilemme : perdre Chimène ou son honneur. Que fera Rodrigue ?
Crime passionnel
La récente remise au jour du Destin de Mr Crump (phébus, 1996) qui avait tant fasciné Freud et Thomas Mann a ramené en pleine lumière l’oeuvre de Ludwig Lewisohn, premier en date des grands romanciers juifs d’Outre-Atlantique – et (avant Nabokov) le dénonciateur le plus radical peut-être de la bonne pensée américaine… et de la bonne pensée tout court. Crime passionnel (1930), qui eut en son temps un succès considérable (Antonin Artaud et Bernard Steele le traduisent dès 1932) est sans doute son roman le plus ambitieux : un texte dont la modernité en tout cas, un large demi-siècle avant passé, laisse sans voix. Pour la première fois en effet, le Sexe majuscule figure comme le grand fauteur de trouble – c’est-à-dire de vérité -, dans un monde où faux libertins et vrais puritains sont renvoyés dos à dos à leurs médiocres désirs : désirs aimantés non par la chair mais par le goût secret du pouvoir. La rage qui habite ce livre est celle que l’on sent déjà à l’oeuvre dans Mr Crump : l’enfer est sur terre, et d’abord derrière les façades proprettes de la respectabilité des familles, de la bonne conscience, de l’amour même…
Chiens de race – Le Yorkshire terrier
Petit chien de chasse, vif et intelligent, le Yorkshire Terrier est l’animal de compagnie par excellence. Son attachement à son maître, son élégance, sa petite taille en font un chien sociable et drôle. Cet ouvrage vous offre de connaître le Yorkshire, afin de l’élever et de le diriger le mieux possible en toutes situations.
Une passion
J’enclouerai ton ombre et l’empreinte de ton pas. Fini de ton talent, mécréante. J’émousserai les pointes affûtées de sens et tairai les salves crépitantes de ta damnée énergie. Tu perdras ta folie sagace, ta tendresse pour le règne animal, végétal, minéral (tu en inventerais d’autres si je te laissais la bride sur le cou), ta jeunesse pathologique (j’ai ta vie devant moi, le si vieux bougre), ton esprit ricaneur, offensif, tes joutes oratoires avec la mort qui me vexent affreusement car je n’y participe pas (j’ai enfin lu tes livres et je te connais, imprudence autobiographique !), oublie, donc, ta moquerie câline et tes pieds de nez au quotidien, cette faculté d’être à la fois croyante folle de Dieu et iconoclaste…. Amour, je guérirai ta folie, ce sera la fin du dialogue avec Dieu et gens faisant suite, et du don que tu Lui dois. Oublie l’écriture, chose phallique, les mots, tes mantras charmeurs-du-monde. Oublie tes chères correspondances entre la mer, la musique, les parfums, et tes recours aux sciences diagonales. Je te veux mon épouse….
Jacques, la combat de la vie
Dans ce journal à deux voix, l’épouse, médecin, et le frère dominicain, grand ami de Jacques, accompagnent jusqu’au seuil de la vie « celui que le Seigneur aime et qui est malade ». Ils ne cachent pas leurs difficultés à accompagner un être cher à chaque étape de la progression du mal. Face au verdict médical, la tendresse et la confiance que leur offre Jacques leur procurent des énergies nouvelles. Jour après jour, Jacques se laisse brûler par l’amour du Christ et de l’Église. En qualité de médecin, l’épouse de Jacques évalue les étapes encore à franchir quant au respect de la dignité de la personne. Le religieux quant à lui témoigne de sa foi sans aucune complaisance envers ses propres limites. « L’amour a raison de tout, même de la souffrance, même de la déchéance physique, même de la peur. Au fur et à mesure que s’affaiblit le coprs, l’esprit gagne en foi et en dignité. …Car la descente est tout autant une montée vers la lumière. » (extrait de la préface de frère Jean-Louis Bruguès).
Une mort sans nom
Une jeune femme est retrouvée nue, adossée à une fontaine de Central Park, à New York. Les recherches concernant son identité restent vaines. En revanche, Kay Scarpetta, Marino et Wesley devinent rapidement celle du tueur : Temple Gault. Mais le choix de la ville, de la victime et le changement de modus operandi les laissent perplexes. L’autopsie ne révélant aucune trace de contrainte, ils ne comprennent pas pourquoi la jeune femme a accepté de se déshabiller par ce froid glacial. Scarpetta lutte contre le découragement. À l’exception des dents de la victime, soignées de manière inhabituelle, les indices sont bien minces.
Heures d’angoisse
Une bande de malfrats cagoulés surnommés Pépin le Bref, Clovis, Henri IV, François Ier, Charlemagne, Charles VII et Louis XIV. « Un Louis XIV ne peut avoir qu’un projet grandiose, un Versailles du braquage! » s’exclame le chef. Entre prise d’otages et intervention du R.A.I.D., l’inspecteur principal aura-t-il la joie de démentir l’idée que cette sacrée profession de policier provoque fatalement le désastre conjugal ?
Mal d’enfant
Novembre à Londres. Pluie battante, bien entendu. Deborah Saint-James, qui fait des fausses couches à répétition, est déprimée… A la National Gallery, la vision d’une radieuse Vierge à l’Enfant de Léonard de Vinci lui sape définitivement le moral. Un pasteur qu’elle rencontre au musée l’invite à lui rendre visite dans le Lancashire. Deborah et son mari partent donc pour le Nord, histoire de se changer les idées. Mais, arrivés à destination, ils apprennent que Robin Sage, leur hôte, vient de mourir des suites d’un empoisonnement accidentel. Expert en sciences légales, Simon Saint-James accueille la nouvelle avec scepticisme: l’ingestion accidentelle du poison qui a causé le décès est presque impossible !
L’oiseau de feu
Du jour où elle rencontre Andy Mendoza, Lili Cramer se lance dans une folle aventure. Jusqu’alors, elle ne s’était préoccupée que de sa carrière, forte de son succès à New York dans un show télévisé. Avec Andy, elle découvre la passion, mais pénètre aussi dans le cercle très fermé des Mendoza, une famille dangereuse dont il n’a cessé de se démarquer. N’ont-ils pas déguisé le meurtre du vicomte Swanning, assassiné en 1939 dans d’étranges circonstances ? N’ont-ils pas des liens secrets avec la mère de Lili, elle-même compromise dans cette affaire ? Pour que vive son amour, Lili va devoir résoudre cette énigme. Mais au moindre soupçon de vérité, les Mendoza se dressent, hostiles, prêts à tout pour cacher leurs forfaits. Une saga implacable, fruit d’amours et de rancunes anciennes.
Funeral in Berlin
En Anglais – FUNERAL IN BERLIN is a spellbinding tale of espionage and its counter in which double and triple crosses are common. Berlin with its infamous wall symbolized the Cold War as did no other place. It was like theatre, but is war for real. « Len Deighton has always been fascinated with the Cold War in a way that could be called scholarly…one always feels that the intricacies of espionage and of the Soviet Union’s spy apparatus rest on serious research. And he writes with effortless mastery. » (The Wall Street Journal). « A most impressive book, a chronicle of our times, in which the tension, more like a chronic ache than a stab of pain, never lets go. » (The London Evening Standard)
Les pièges de la passion
Cette histoire se passe en Australie , une immense ferme d’élevages , des personnages tels que Helen , la seconde femme de Phillip Koenig, un homme au caractère dominateur et despote, Jon, leur fils qui ne vit que pour l’entreprise. Il y a eu la première femme de Phillip, qui est morte lors d’une chute de cheval, de ce premier mariage est né Alex qui s’est enfui de la ferme et que l’on a jamais retrouvé. Il y a aussi Charles , le frère cadet de Phillip amoureux d’Helen, Ben le comptable et père Geena , une jolie métisse dont la mère décédée était une aborigène, deux policiers corrompus, nous apprendrons cela à la fin du roman, voila pour les personnages principaux…
Et la force d’aimer
Mona surgit un soir au bord du canal Saint-Martin, jolie fille seule, épuisée. Lorsqu'il la voit, Emmanuel, installé mais célibataire, séducteur mélancolique, lui offre l'hospitalité, sans vraiment savoir pourquoi. Quelle force l'amène à protéger et à cacher la criminelle en fuite, jugée pour le meurtre de Tom, son amant ? Quelle force habite Mona, capable après neuf ans de détention, après une évasion mystérieuse, de tenter l'impossible pour s'approcher d’Éveline, sa fille, jamais revue depuis sa naissance en prison ? Emmanuel se décide à l'emmener au sud, où vit la petite, mais il ne trouve pas la bonne route, et les saisons passent dans un pays soudain vaste comme l'Amérique.
Meurtre sur vidéo
Sur le thème fascinant de la gémellité, et plus précisément des « jumeaux-miroirs », l’auteur a conçu un récit riche en action, suspense et rebondissements, qui vous réservera d’innombrables surprises. Elle n’avait pas d’alibi. Elle n’avait pas commis le crime odieux dont elle était accusée. Comment l’aurait-elle pu, alors qu’elle ignorait jusqu’à l’existence de la victime, un certain Eddie Gordon, dealer et escroc notoire ? Pourtant, six témoins l’avaient reconnue formellement lors de la séance d’identification qui avait suivi son arrestation pour meurtre. Tous juraient avoir vu Dana ce soir-là, sur le parking du bar. Jusqu’à cet enregistrement vidéo qui en apportait la preuve. Un enregistrement où on la voyait, un revolver à la main, accomplir le geste fatal… A présent, Dana sentait sa raison faiblir: était-elle folle ? Psychopathe ? Souffrait-elle d’un dédoublement de la personnalité? Elle ne savait plus, n’osait plus rien désirer. Seul un homme l’aidait à se raccrocher à la réalité. Kurt, en effet, était la vie, la sensualité, l’énergie faites homme. Kurt, son avocat, saurait bien la tirer de ce guêpier…
Passion du Sud
Par la fenêtre du dispensaire, Sam regarde Riverbend. La petite bourgade du Sud des Etats-Unis somnole, écrasée de soleil. Jamais Sam n’aurait imaginé qu’il puisse exister une telle différence entre le Nord où elle a vécu et le Sud où elle doit exercer pendant un an. Ici subsistent les séquelles de l’esclavage et règne la violence du Ku Klux Klan. Même Matt Tyler, l’homme le plus puissant de Riverbend, a une façon de se conduire avec les femmes ! La veille, elle a été obligée de le remettre à sa place : – Je vous prierai de me considérer comme un médecin, non comme l’une de vos futures conquêtes ! Mais Tyler a répliqué du tac au tac : – Mon intention était de vous considérer comme une femme, tout simplement. En disant ces mots, il l’a enveloppée d’un regard d’ambre qui l’a fait frissonner… Mais s’il croit qu’elle va lui tomber dans les bras, il risque d’être déçu…
Tourbillons
Pauvre petite fille riche et malheureuse… Étouffée par son père, Meredith se jette dans les bras de Matt.Le résultat ne se fait pas attendre : Meredith est enceinte… Matt lui propose aussitôt de l’épouser.Mais sans fortune, il n’a aucune chance de convenir à son beau-père. Lequel emploie alors toute son énergie à détruire le mariage de sa fille. Avec succès.Onze ans après cette brève et dramatique union, Meredith, désireuse de se remarier, apprend que son divorce n’a jamais été légalement prononcé. Elle décide de revoir son ancien mari pour obtenir un accord à l’amiable… Matt ne l’a jamais oubliée. Aujourd’hui à la tête d’un empire financier, il tient sa revanche… Il ne donnera son accord que si Meredith accepte de lui consacrer une journée par semaine pour qu’ils apprennent à mieux se connaître. Curieux marché… Elle n’a pas le choix, de toute façon. Mais il faut se méfier des volcans que l’on croit éteints… Un étincelle et le brasier se ranime.
Lovers
Belle, talentueuse, ambitieuse, Gigi Orsini vient d'être embauchée par la plus prestigieuse agence de publicité californienne. La voilà lancée entre l'univers de Hollywood et le monde des affaires. Un monde brillant et féroce où les rivalités professionnelles et amoureuses sont implacables. Dans le même temps qu'elle obtient ses premiers succès, elle est séparée de l'homme qu'elle aime, Zach Nevski, metteur en scène adulé. Ben Winthrop, un magnat des centres commerciaux, lui semblera celui auprès de qui elle peut retrouver le bonheur… Jusqu'au moment où elle découvrira son vrai visage. Entre Los Angeles et New York, entre Venise et le Japon, bien des épreuves l'attendent encore avant…
Le Grand Boss
« Le grand boss » : la vertigineuse ascension de Gino Santangelo, fils d’immigrés italiens, qui se retrouve à la tête d’un empire… Né dans le ruisseau, ce prince de la rue, séducteur impénitent, décide un jour de ne pas devenir un gangster minable comme son père. Il connaîtra tout : la maison de redressement, la prison… Tour à tour bootlegger, racketteur, protecteur de gens haut placés, membre du syndicat du crime, roi des casinos, il suit la trace d’Al Capone et de Lucky Luciano. Bientôt il règne sur New York, Chicago, Las Vegas… Pour échapper à un contrôle fiscal, il « disparaît » cinq ans. Lorsqu’il revient, sa fille Lucky a repris son empire. Cette maîtresse femme règne sur un monde d’hommes. La confrontation sera inéluctable…
Trahisons
Que fait-on, lorsqu’on est riche et puissant, pour se débarrasser du petit ami pauvre (Mike) de sa fille (Stéphanie) ? Très simple ! On le fait envoyer en prison. Sous un prétexte fallacieux, bien sûr. Et que fait-on quand on vous annonce qu’un enfant va bientôt agrandir le cercle de famille ? On entre dans une colère noire. Et on renie sa fille. Puis, on pousse la cruauté jusqu’à faire intercepter tout courrier émanant de l’un vers l’autre, et réciproquement. Le tour est joué. Ces deux-là ne sont pas près de se revoir… C’est compter sans le destin… Des années plus tard, en effet, Stéphanie et Mike se retrouvent. Mais chacun a refait sa vie. Et chacun porte le poids de la prétendue trahison de l’autre… L’amour saura-t-il rattraper le temps perdu ?
La brute apprivoisée
– Le duc de Peregrine ? Mais tu es folle ! Si tu épouses cet homme, ta vie sera un enfer. En dépit des avertissements, Liana s’entête. Elle a vu défiler d’innombrables prétendants, qui lui débitaient des compliments insipides tout en lorgnant sa dot. Pas un seul n’a fait battre son coeur comme ce colosse roux aux manières détestables. Le souvenir de leur brève étreinte, près d’une source, suffit à la faire défaillir. A peine le mariage célébré, Peregrine arrache sa jeune épouse à sa famille pour l’emmener dans son domaine : un château à demi ruiné, d’une saleté repoussante et peuplé d’une bande de sauvages. Liana pourrait à la rigueur s’accommoder de l’inconfort de sa nouvelle demeure. Mais son mari la délaisse chaque nuit pour retrouver son harem de servantes-maîtresses, arrogantes et stupides. C’en est trop : il faut mater ce rustre ! L’épreuve sera rude. Mais sous son apparente douceur, Liana dissimule une volonté inflexible !
L’île des esclaves
Marivaux n'est pas seulement le magicien des ravissements, des confusions et des conspirations amoureuses. Notre siècle, qui a le goût des paraboles sociales, redécouvre ses pièces en un acte, comme cette Colonie subversive où les femmes ont l'idée de prendre le pouvoir… L'île des esclaves est aussi une utopie, entre la fable philosophique et la comédie à l'italienne. Sur l'île de » nulle part « , deux couples de maîtres et d'esclaves échangent leur condition le temps d'un » cours d'humanité « . Le serviteur se donne trois ans pour corriger le seigneur de sa barbarie et de sa superbe, trois ans pour le rendre humain, sensible et généreux. Venu d'une époque qui ne connaissait pas la lutte des classes, ce conte étonne par son amertume et sa souriante cruauté.
Les deux fins d’Orimita Karabegovic
Elles sont douze, « choisies entre toutes les femmes », leur a dit le Professeur. En raison de leur culture et de leurs origines. Et parce que ce sont des intellectuelles. Leur culture est européenne : rien à redire, n’est-ce pas, à la culture européenne, ses Lumières, ses sciences, ses arts, ses philosophies, son universalisme. Ce sont leurs « regrettables origines » qu’il va falloir purifier. Et les lieux de ces origines : villes et villages, corps. D’intellectuelles qui comprendront. Orimita Karabegovic est l’une d’elles. Quand la guerre a commencé elle préparait à l’université de Zagreb une thèse sur Mallarmé et la logique négative et espérait devenir professeur de littérature française. Le jour où la guerre a éclaté elle assistait à un mariage à Vukovar. On ne croyait pas à la guerre. On croisait sur la route quelques convois de réfugiés. Les Serbes avaient bien rasé des villages et quelques bourgades, à l’ouest de la Slavonie et au nord de la Krajina…
Nicolas II – La transition interrompue
Le règne du dernier empereur de Russie a-t-il marqué l’inexorable déclin d’un régime ne pouvant déboucher que sur une rupture violente et radicale _ celle d’Octobre 1917 _ ou bien recelait-il les éléments d’une transition interrompue, celle que la Russie de Boris Eltsine, quatre-vingts ans après, s’est mise en devoir et en peine de reprendre? S’attachant au destin du dernier tsar de Russie, l’ouvrage d’Hélène Carrère d’Encausse soulève une multitude de questions. Plus que tout autre, Nicolas II, héritier des réformes d’Alexandre II, a œuvré pour la modernisation de son pays, apportant des changements profonds à l’Etat, à la société et à l’économie russes. L’échec et la révolution étaient-ils alors inscrits dès le départ dans le processus de modernisation ?
Comment rester jeune après 40 ans
La ménopause est pour de nombreuses femmes accompagnée de véritables troubles. Trop souvent, elles les subissent sans oser en parler, comme si en souffrir était normal. Trop de femmes ignorent qu'aujourd'hui la médecine a les moyens de traiter efficacement ces troubles. L'auteur s'insurge contre les préjugés et donne ici les recettes pour préserver au mieux sa jeunesse, sa santé et sa sexualité. Les femmes ont gagné la bataille de la contraception, il leur appartient maintenant de gagner celle de la jeunesse. Voici l'ouvrage le plus complet jamais réalisé sur la ménopause, pour franchir allégrement ce cap difficile.
Aujourd’hui, se sentir vieux à 45 ou 50 ans n’est plus une fatalité ! l’homme est légitimement désireux de conserver sa jeunesse, de goûter à tous les plaisirs, y compris les joies de la sexualité, le plus longtemps possible. Avec la précision du scientifique, le savoir du médecin, la connaissance du praticien, le docteur Elia donne à chacun les moyens de mieux se connaître et de mieux préparer son corps au vieillissement.
Institutrice au coeur du siècle
1943 : » Dans ma classe, cet octobre-là, trois petits garçons portaient, sur leur vêtement, l’étoile jaune. Un matin, une femme de service, affolée, vint me prévenir que « »la Gestapo était dans le bureau du directeur ». La Gestapo était devenue le symbole de la terreur. Par le gymnase dont je possédais la clé, j’ai fait passer les trois petits garçons dans la cour de l’école des filles … » Pupille de la nation, Alix Lataillade débute à dix-neuf ans, dans une petite commune bordelaise, une vie d’institutrice formée dans la tradition Jules Ferry. Mais au coeur du siècle, les événements se précipitent : l’école devient un refuge où les orphelins de la guerre civile espagnole retrouvent le goût de vivre. Plus tard, dans le Vincennes de l’Occupation, la jeune femme devra non seulement égayer et protéger ses élèves, mais aussi ses enfants, car un mari enrôlé dans » l’armée des ombres » la laisse sans nouvelles, sans argent, et lui fait courir des risques insensés. Au courage ordinaire, celui de tous les jours, elle ajoute une participation active à la Résistance. Comment le grand amour d’un chirurgien allemand qui dirige depuis Paris la Résistance hongroise lui permettra-t-il d’échapper à Auschwitz ? Une fois encore, la réalité dépasse la fiction.
Les meurtres de la Tamise
En décembre 1811, aux abords de Ratcliffe Highway, dans le célèbre dock de Londres, deux séries de meurtres commis à douze jours d’intervalle vont, par leur violence et leur cruauté, déchaîner un vent de panique dans la population londonienne et une telle avalanche de critiques dans la presse que, pour ne pas tomber, le gouvernement se voit contraint d’offrir la plus forte récompense jamais proposée pour tout renseignement susceptible d’aider à la découverte des coupables. L’émoi est si grand que les meurtres de Ratcliffe Highway continueront à défrayer la chronique pendant plus de soixante-dix ans – jusqu’à ce que Jack l’Eventreur, sur une scène voisine de l’Est londonien, vienne leur ravir les lauriers sanglants du palmarès criminel britannique.
Charmes de Venise
Si l’on s’en tient à la définition du dictionnaire, le mot » charme » venu du latin carmen, signifie » enchantement magique, grand agrément, puissant attrait « … Depuis des siècles, Venise exerce une telle fascination sur les hommes qui l’ont bâtie, défendue, embellie, représentée, décrite ou rêvée. Pourquoi s’en étonner ? Cette cité unique au monde, véritable thalassocratie qui connut pendant plus de mille ans un prestige et une puissance sans précédent, a rassemblé dans un espace incroyablement restreint tout ce que le génie humain peut créer quand il est soutenu par des esprits soucieux d’indépendance, de gloire et de merveilleux. La beauté poignante de ce lieu attire les plus grands esprits littéraires ou artistiques, qui en feront leur résidence d’élection. Poètes, musiciens, peintres, seront bouleversés et inspirés par les splendeurs et les misères de la plus belle courtisane de l’Europe. Les ombres des visiteurs prestigieux qui l’ont tellement célébrée planent encore sur Venise. Les fantômes de ses enfants talentueux sont présents où que se tourne le regard. Venise n’est pas une, elle est cent, elle est mille, elle est quinze siècles de génie, d’histoire et de beauté.
Syncopes
Quand Cassandra Cassidy, une jeune interne à l’hôpital de Boston, épouse le docteur Thomas Kingsley, c’est pour elle un rêve devenu réalité. Le docteur Kingsley est le chirurgien en cardiologie le plus brillant de la ville, et peut-être de la côte Est. Son talent, sa fortune et son charme en font un parti presque inespéré pour cette jeune femme intelligente et courageuse, mais timide. Pourtant, ce qui aurait pu être un conte de fées dégénère. Entièrement dévoué à ses malades, Thomas se conduit de plus en plus en étranger hostile avec celle qui l’aime. Au moment où le mariage de Cassandra vacille, la rassurante sécurité du monde hospitalier semble, elle aussi, menacée : Cassandra est persuadée qu’à l’hôpital de Boston quelqu’un tue en provoquant des syncopes mortelles. Quelqu’un décide qui doit vivre et qui doit mourir.