Somme sans précédent, enquête sans égale, lieu de débat, de critique et de confrontation sans concession, voici le seul livre qui pose dans son entier, dans toutes ses dimensions, l'énigme « Hitler ». Parti du choc des photographies d'enfance, le grand écrivain et journaliste américain Ron Rosenbaum a consacré dix années à exhumer des archives inédites, à examiner toute la littérature sur le sujet, à investiguer tous les terrains du savoir (histoire, sociologie, philosophie, psychanalyse…), à visiter les lieux de mémoire, à rencontrer les témoins, à questionner les plus éminents spécialistes de ce domaine (Alan Bullock, Daniel Goldhagen, George Steiner, Emil Fackenheim, Claude Lanzmann…). De ce voyage inouï au sein de la réalité de la Shoa, mais aussi de l'essence de la culture et de la conscience humaine ressort, adressée à chacun, la question : « Pourquoi Hitler » ?
Premier roman
Le premier roman de la fille naturelle de François Mitterrand. « Agathe était plutôt frivole, attirée par le plaisir en général, sensuelle et intellectuelle à la fois. Victor était sentimental, illogique, peut-être romantique. Parce qu'ils s'aimaient, ils avaient le droit de s'offrir mutuellement la liberté. »
Genesis
Quel secret l’abbé Azetti a-t-il donc entendu en confession, de la part de son ami le Dr Baresi, pour se précipiter aussitôt à Rome ? Pourquoi les autorités du Vatican vont-elles choisir le silence ? En divers points du monde, des enfants sont assassinés avec leur mère, par le feu, comme s’il s’agissait d’un acte rituel. Ces meurtres sont-ils liés à ce qui se passait dans la clinique du Dr Baresi, à la clientèle internationale ? Après la mort atroce de sa soeur et de son neveu, Joe Lassiter, créateur et patron d’une agence privée de renseignements, va chercher la vérité. Une vérité que les hommes du mystérieux réseau « Umbra Domini » veulent à tout prix empêcher d’éclater, même si pour cela ils doivent jalonner leur route de cadavres. Une vérité qui pourrait bouleverser la civilisation, au croisement des plus profonds mystères religieux et de la biogénétique…
Corps étranger
Peut-on changer de vie par amour, devenir quelqu’un de neuf sous une autre identité, sans sacrifier pour autant son existence habituelle ? C’est ce que va oser Frédéric. A dix-huit ans, il avait publié sous le nom de Richard Glen un roman passé inaperçu, puis il avait renoncé à l’écriture ; il avait conquis Paris d’une autre manière … Mais, un jour, une jeune étudiante de Bruges envoie une lettre à ce pseudonyme oublié, à cette part de lui-même en sommeil depuis plus de vingt ans. De tentations inconnues en bonheurs d’imposture. il va s’inventer dans les yeux de Karine un autre passé, un autre présent, rendre Richard Glen de plus en plus réel, de plus en plus vivant… Mais combien de temps deux personnalités peuvent-elles se partager un corps ? Avec son humour et sa tendresse implacable, le romancier d’Un aller simple, prix Goncourt 1994, nous entraîne dans un récit poignant qui explore le rêve secret de beaucoup d’entre nous.
L’Ange des Ténébres
New York, juin 1897. L’épouse éplorée d’un diplomate espagnol engage la détective Miss Sara Howard pour lui venir en aide : sa petite fille a disparu… Immédiatement, l’équipe de Lazio Kreizler se reconstitue autour de Sara, et de déductions en analyses, le profil psychologique du kidnappeur apparaît peu à peu sur leur grand tableau noir. Se dresse progressivement le portrait d’un être dont les mobiles ne sont pas politiques, d’une personnalité en proie à une étrange perversion, d’un tueur d’enfants ayant toutes les apparences de la normalité.
Le nuisible
Un envoi anonyme vous raconte par le menu quelques faits de votre vie, de ceux que vous avez préféré cacher à votre femme, à vos amis et relations… Vous attendez logiquement que ce maître-chanteur très bien renseigné fasse connaître ses exigences. Erreur. Votre correspondant vous veut du bien. Il vous révèle les trahisons dont vous êtes victime. Il vous suggère d'écrire la suite, d'imaginer la punition, de donner des ordres aux puissances de l'ombre… Il suffit de vouloir. Georges, éditeur de « thrillers » à succès, ne résiste pas à la tentation grisante d'utiliser ce serviteur sans visage. Et nous entrons sur ses pas dans un labyrinthe où le chasseur et la proie, la victime et le bourreau, s'échangent indéfiniment les rôles dans un cauchemardesque jeu de miroirs.
Revoici « Boro », son insolence et sa désinvolture de héros fitzgeraldien, dans le troisième volet de ses aventures. Nous sommes en 1937, alors que les républiquains cèdent devant les troupes franquistes. La guerre d'Espagne a oublié le photographe-aventurier sur la paille humide d'un cachot, dans les couloirs des condamnés à mort, parmi les cris des suppliciés.Mais pendant ce temps, dans le Paris du Front populaire, ses amis ne restent pas inactifs. Boro parviendra-t-il à s'évader de sa forteresse et à échapper à son gardien, l'impitoyable Von Riegenburg ? Sauvera-t-il Solana, sa compagne de cellule, farouche passionaria dont la beauté pourrait lui faire oublier la lointaine Maryika ?