Centres de bien-être
400 pages
Stations thermales, centres de remise en forme, espaces de relaxation, piscines, jacuzzis, saunas, hammams… Les modes de vie sédentaires et l’attention grandissante réservée au corps offrent aux architectes et aux designers d’aujourd’hui la possibilité de réaliser des espaces de détente permettant à l’utilisateur de découvrir ou de redécouvrir des sensations bienfaisantes. Cet ouvrage présente une vaste sélection de propositions architecturales réalisées ces dernières années dans le monde entier.
L’Empire des Loups
Femme d'un haut fonctionnaire parisien, Anna souffre d'amnésie, d'hallucinations terrifiantes. Une psychiatre lui révèle alors qu'elle a subi une opération de chirurgie esthétique importante. Quand, où, pourquoi, de cela Anna ne se souvient pas… Dans le Xe arrondissement de Paris, deux policiers sont chargés d'élucider les meurtres particulièrement horribles de trois Turques qui travaillaient dans les ateliers clandestins. L'un est un jeune inspecteur quasi débutant, l'autre un vieux routier du district, arraché à sa retraite. Au cœur de l'enquête, « les loups gris », une organisation turque d'extrême droite, mêlée à tous les trafics, des tueurs impitoyables. Leur piste va croiser celle d'Anna qui, petit à petit, retrouve son passé dans les lambeaux de sa mémoire. Un chassé croisé sanglant, plein de bruits et de fureur, où proies et prédateurs, manipulés et manipulateurs se confondent dans les décors funèbres d'un Paris secret et d'un Istanbul de terreur, jusqu'aux confins perdus de l'Anatolie.
L’héritage
Trouver trois millions de dollars dans une maison vide… Un rêve !
C’est celui que vit Ray Atlee, un professeur de droit sans histoire. La maison vide est celle de son père, le juge Atlee, et les trois millions de dollars sont entassés dans les placards… Le juge vient de mourir et personne ne connaît l’existence ni l’origine du magot.
Le seul être humain que Ray lèserait en prenant l’argent, c’est son frère, un drogué minable – s’il dépense l’argent en héroïne, à quoi bon ? Ray cède à la tentation : il s’octroie « l’héritage ».
Mais les sacs-poubelles pleins de billets de banque qu’il traîne partout avec lui sont porteurs de mort. Quelqu’un suit Ray, le menace, change ses jours et ses nuits en enfer. Pour sauver sa vie et son âme, il n’a plus qu’une solution : découvrir comment ces trois millions de dollar ont pu arriver dans la maison d’un juge réputé pour son intégrité…
Veillées pour les mots
Cet ouvrage compare le discours du martyre chez Césaire, discours ayant pour horizon la mort du héros, à celui du deuil chez Condé et Chamoiseau, discours ayant la mort du héros pour point de départ et le renouvellement de la communauté qui porte son deuil comme dénouement. Il s’agit de lire ces oeuvres à la fois en tant qu’allégories de la Martinique et de l’écriture et en tant qu’intertextes, questions et réponses, les uns des autres.
Le roman des Jardin
Dans ce récit, Alexandre raconte donc, avec une drôlerie de chaque page, qu’il a voulu être « normal », pour échapper à sa tribu de fous. Il y avait là son père, bien sûr, dit « Le Zubial, » qui déposait des chèques en blanc signés dans des cabines téléphoniques. Son grand-père, « le Nain jaune », qui finançait la droite et la gauche, après avoir été un dignitaire de Vichy; sa grand-mère, dite « l’Arquebuse, » maîtresse officielle de Paul Morand et amoureuse impénitente. Il y avait sa propre mère dont les amours diverses inspirèrent à Claude Sautet (dont elle eut un fils) l’inoubliable César et Rosalie; il y avait surtout « Zouzou, » la gouvernante, celle qui sert de fil conducteur à cette épopée d’une grande famille plutôt bizarre et qui coucha avec plusieurs générations de Jardin – qu’on appelle aussi les « doubles rates » tant ils courent frénétiquement après le bonheur
La dictée
De retour d’exil après son engagement aux côtés des insurgés de la Commune de Paris, Paulin Labarthe, ancien imprimeur épris de liberté et de justice, se réfugie dans un village perdu au cœur de la campagne française, dans la vieille maison léguée par sa mère. Voyant qu’il possède des livres et admirant son savoir, Maria, jeune veuve, le supplie d’apprendre à lire à son fils, Louis. En échange, elle fera son ménage et s’occupera de son foyer. Un véritable amour rapproche bientôt ces deux cœurs solitaires. Quant au jeune Louis, sauvageon inculte qui ne jargonnait que quelques mots de français, il fait de rapides progrès. Il est bientôt admis premier à l’école normale. Il sera instituteur, féru des principes des hussards noirs de la République, le premier d’une longue lignée d’enseignants qui traversera le siècle.
Les Parrains Corses
De 1930 à 1980, les parrains corses ont d’abord pris leur essor, entre Marseille et Paris, grâce à une solidarité clanique, des activités diversifiées, une violence rare, une implantation internationale et de solides appuis politiques. Les caïds corses ont dirigé la French Connection, filière française de l’héroïne. Ils ont été mêlés à la plupart des grands événements de l’histoire du pays, dans les coulisses du pouvoir, bénéficiant de protections hors du commun. Au début des années 80, le milieu corse a connu un tournant en s’installant à demeure sur son île. Les parrains ont profité de leurs amis haut placés et du paravent créé par l’activisme des nationalistes pour y étendre leur emprise, exerçant une pression constante sur la démocratie locale et gangrenant l’économie insulaire. Depuis le début des années 2000, ils se disputent des territoires et le contrôle d’activités criminelles qui vont de l’Afrique à l’Amérique latine.
Le sang des anges
Ward Hopkins, ex-agent de la CIA, tout comme Nina Baynam, en congé du FBI, ne se berçait pas d’illusions : toute victoire contre les Hommes de Paille, organisation criminelle aux ramifications planétaires, ne pouvait être que provisoire. Les faits ne tardent pas à leur donner raison : des cadavres mutilés sont retrouvés en Virginie, d’inquiétantes menaces circulent sur Internet. Impossible de ne pas les relier à la sinistre organisation. D’autant que le frère de Ward, qui en est le cerveau, s’est évadé de la prison où il purgeait une peine à vie. La disparition soudaine de Nina balaie les derniers doutes : les Hommes de Paille ont repris les armes…
Perles de rocaille fantaisie
Colliers élastiques, fleuris, tressés ou multirangs, clowns joyeux, poissons multicolores, insectes fabuleux… Ce livre fourmille d’idées et d’astuces pour créer tout en vous amusant des parures assorties et des figurines originales et inédites. Entrez dans le monde enchanteur des perles de rocaille, découvrez les différentes techniques et les matériaux les plus inattendus pour concevoir une multitude de modèles uniques en leur genre !
Los Angeles River
Sur la demande d’une vieille amie dont le mari vient de mourir, l’ex-inspecteur du LAPD Harry Bosch accepte de remettre de l’ordre dans les papiers du disparu. Rendu méfiant par les révélations d’un associé du défunt, il enquête et comprend qu’il y a eu meurtre. Encore faut-il le prouver et retrouver un assassin qui a laissé des traces un peu trop évidentes de ses intentions. C’en serait à croire qu’il a envie de se faire prendre, mais seulement au terme d’un périple de plus en plus dangereux. Pendant ce temps-là, l’agent du FBI Rachel Walling reçoit, elle, l’appel qu’elle redoutait depuis des années : le tueur le plus cruel et retors qu’il lui ait été jamais donné de traquer, à savoir. Le Poète… est de retour. Ainsi commence un des romans les plus violents et douloureux de Michael Connelly.
Go, Dog. Go !
Reading goes to the dogs in this timeless Beginner Book edited by Dr. Seuss. From big dogs and little dogs to red, green, and blue dogs, dogs going up and dogs going fast . . . who knew dogs were so busy? And laughter will ensue at the repeated question “Do you like my hat?” Like P. D. Eastman’s classic Are You My Mother? Go, Dog. Go! has been a go-to favorite for over fifty years, leaving audiences of all breeds wagging their tails with delight.
Originally created by Dr. Seuss, Beginner Books encourage children to read all by themselves, with simple words and illustrations that give clues to their meaning.
Comédia infantil
Quelque part en Afrique, la nuit, un homme assis sur le toit d’un théâtre contemple la ville. A ses pieds, un enfant blessé est en train de mourir. Nelio, âgé de dix ans, a vécu la guerre civile et l’errance. Il lui raconte son histoire, en opposant à la barbarie des hommes la poésie et la générosité d’un imaginaire enfantin. Une parole poignante qui résonne comme une fable universelle. J’ai compris que c’était à moi qu’il incombait de raconter l’histoire de Nelio.
Tome 2 – Angry
Alors que les relations entre Suk Dong Min, Cho Ha Seo et Lee Yun Ki se complexifient, l’approche du championnat National de Judo les oblige à s’entraîner ensemble… Parallèlelement, la mère de Ha Seo semble en savoir bien plus qu’ellen’en dit sur les mystérieuses origines de Dong Min… Et pour Yun Ki aussi, les fantômes du passé ressurgissent!
Tome 7 – Usagi Yojimbo
» Stan Sakai a une qualité rare partagée par très peu d’auteurs : Le talent de vous faire oublier que vous êtes en train de lire une, regarder un film ou lire une bande dessinée. Ils vous plongent complètement dans leur univers, vous font participer à enture et quand vous avez fini, vous en voulez encore. Comme avec un bon livre ou un bon film, ça n’est qu’après avoir fini de lire Usagi Yojimbo qu’on commence à se rendre compte combien l’histoire est bien construite, et ce n’est que beaucoup plus tard que l’on se rend compte qu’on s’est passionné les aventures d’un lapin ! » Sergio Aragonés
Tome 6 – Usagi Yojimbo
« Miyamoto Usagi, un guerrier samouraï employé par le Seigneur Mifune, s’est retrouvé sans maître après une bataille apocalyptique dans la plaine de Adachigahara. Désormais Ronin, Usagi revient au village de sa jeunesse. Nous autres lecteurs (et peut-être en premier lieu Usagi lui-même) pouvons encore mieux mesurer sa croissance mentale et spirituelle, d’individu, et de guerrier, dès lors qu’il lui faut affronter ses ennemis et ses amours d’enfance. En tant que narrateur, Stan Sakai est l’un des rares artistes de la bande dessinée a avoir pleinement compris son moyen d’expression. » Jeff Smith, (Créateur de « Bone »).
Tome 2 – Usagi Yojimbo
L’histoire d’Usagi Yojimbo, le lapin samouraï, débute dans le premier tome juste après le massacre d’Adachigahara, la bataille qui le transforma en Ronin. Dans ce deuxième tome, le dessinateur Stan Sakai nous ramène à l’enfance et l’adolescence d’Usagi. On y découvre l’éducation et la formation du samouraï aux longues oreilles.
Tome 4 – Usagi Yojimbo
« La Conspiration du Dragon Rugissant » est la première longue histoire épique d’Usagi Yojimbo. Un complot visant à renverser le Shogun va impliquer toutes les vieilles connaissances d’Usagi, dont Gen le rhinocéros, Zato-Ino le cochon aveugle fine lame, la belle Tomoe, Shingen, Noriyuki, Chizu, auxquels vient s’ajouter le capitaine Torame. En plus de nombreuses autres péripéties palpitantes, ce quatrième tome comprend la confrontation tant attendue, entre Gen et Zato-Ino, et une apparition du sinistre Seigneur Hebi !…
Tome 3 – Usagi Yojimbo
Le lapin samouraï retrouve dans ce tome 3 de vieilles connaissances mais il rencontre également de nombreux nouveaux personnages. Encore une fois vous découvrirez un Usagi confronté à de tumultueuses aventures où seul un véritable samouraï peut triompher. En bonus, découvrez la première aventure d’Usagi avec les Tortues Ninja.
East side story
En tant que privé, j’ai plutôt l’habitude d’intervenir dans les embrouilles des autres. Mais là, c’est moi qui me suis fait piéger. Dans mon propre quartier. Faut dire qu’il est crade. Crade, mais branché. C’est l’East Village, à New York. Moi, j’aime. Ou plutôt, j’aimais. Parce que après m’être fait casser la figure en bas de chez moi par trois videurs et voler ma Rolex en or par la gamine que j’essayais de sauver, j’ai bêtement voulu solder les comptes, car après tout j’étais chez moi. Du moins, c’est ce que je croyais. Car l’East Village, c’est tout sauf un village. Plutôt une jungle.
Tome 1 – Usagi Yojimbo
Miyamoto Usagi est un samouraï. Un chevalier, aussi solitaire qu’errant, qui applique à la lettre le code d’honneur, le Bushido, dans un Japon du XVIIe siècle. Un samouraï particulier toutefois, puisqu’il n’est autre qu’un lapin, qui rencontre sur son chemin, semé d’embûches en tous genres, d’autres animaux, irascibles et belliqueux au possible. Ce premier tome des aventures d’Usagi (la suite de ses pérégrinations sera livrée aux lecteurs tous les deux mois par les éditions Paquet) se décompose en dix histoires différentes et vaut surtout pour les trois premières. « Le Lutin d’Adachigahara », « Le Lapin solitaire et l’Enfant », « La Confession » se suivent en effet selon un ordre chronologique qui explique comment Usagi, fieffé lapin aux doubles épées et aux oreilles nouées à la base par un catogan, est devenu un garde du corps nomade (un « ronin ») depuis la mort de son seigneur et maître. Poursuivi par le seigneur Higiki qui veut sa perte, le Yojimbo Usagi n’a plus qu’à passer de province en province, rendant la justice au fil de son sabre… Au gré de ses mésaventures, on croise des ninjas dans l’ombre du Shogun, des chiens, des chats, des serpents, des lézards, des cochons, des renards. Et même des rhinocéros. L’ensemble de l’œuvre est en noir et blanc ; le trait, épuré et économe, évoque une série de Haïkus graphiques. Malheureusement, la cohérence de tous les épisodes est loin d’être forte et certains jeux de mots faciles ne rehaussent guère l’impression caricaturale qui se dégage de ce premier volet. Le succès d’Usagi aux États-Unis est pourtant tel que le lapin samouraï a participé à un des épisodes du dessin animé « Les Tortues Ninja » et que Stan Sakaï a développé au début des années quatre-vingt-dix une histoire parallèle, Usagi dans l’espace, retraçant les exploits futuristes d’un descendant du Yogimbo.–Frédéric Grolleau
Le petit livre des couleurs
Une référence essentielle pour mieux comprendre l’histoire des couleurs ! Ce n’est pas un hasard si nous voyons rouge, rions jaune, devenons verts de peur, bleus de colère ou blancs comme un linge. Les couleurs ne sont pas anodines. Elles véhiculent des tabous, des préjugés auxquels nous obéissons sans le savoir, elles possèdent des sens cachés qui influencent notre environnement, nos comportements, notre langage, notre imaginaire. Les couleurs ont une histoire mouvementée qui raconte l’évolution des mentalités. L’art, la peinture, la décoration, l’architecture, la publicité, nos produits de consommation, nos vêtements, nos voitures, tout est régi par ce code non écrit. Apprenez à penser en couleurs et vous verrez la réalité autrement ! Historien, anthropologue, spécialiste des couleurs, des images et des symboles, Michel Pastoureau a notamment publié en « Points Histoire » Bleu, L’Étoffe du diable, Noir, Histoire symbolique du Moyen Âge occidental et L’Ours et Histoire d’un roi déchu. Auteur de romans et d’essais, Dominique Simonnet a notamment écrit La Plus Belle Histoire du monde, Némo dans les étoiles et L’Amour expliqué à nos enfants (avec Nicole Bacharan), publiés aux Éditions du Seuil.
Ecoute-moi
Tandis qu’un de ses collègues chirurgiens opère sa fille Angela, victime d’un grave accident de la route, Timoteo, fou de douleur, lui raconte la trouble passion vécue des années auparavant et qui, enfouie en lui, a modelé ses relations avec les trois femmes de sa vie : Angela, sa fille ; Elsa, sa femme ; Italia, sa maîtresse. Peu avant la naissance d’Angela, Timoteo a eu une liaison avec cette femme passionnément aimée, malgré tout ce qui les séparait. Ni particulièrement jolie ni spécialement brillante, écrasée par un destin avare, elle est l’opposée d’Elsa, une journaliste belle, intelligente, ambitieuse… peut-être trop parfaite. Italia vit dans la misère, avec la certitude d’appartenir au camp des perdants, ceux qui n’attendent rien de l’existence. Avec elle, Timoteo est pourtant submergé par des sentiments qui le dépassent, en proie aux désirs les plus intenses. Pendant quelques mois, ils se réchaufferont mutuellement, avant que les deux femmes ne tombent enceintes au même moment. Là, leurs destins basculeront…
Les années passion
Dans le Bordeaux des années quatre-vingt, Lucrèce, jeune femme ravissante et passionnée, mène de front ses études de journalisme et un emploi de caissière. Depuis le divorce de ses parents, elle vit avec son frère Julien dans un pavillon de banlieue. Blessée par l’indifférence de son père mais pleine de détermination, Lucrèce empoigne son destin. Très tôt elle se distingue par un article explosif dénonçant le plus grand scandale de la décennie. Mais parviendra-t-elle à imposer son talent de journaliste et à gagner son indépendance dans un milieu encore hostile aux femmes ? Si Lucrèce ne manque ni de ténacité ni de courage, elle peine cependant à laisser parler son c?ur. Car, à travers les épreuves et les rencontres, ce n’est pas seulement l’aventure que poursuit la jeune femme, mais aussi sa revanche sur la vie… Dans ce roman qui mêle habilement fiction et réalité, Françoise Bourdin exalte à nouveau la force des sentiments et dresse le portrait d’une femme libre, dans une époque pleine d’espoirs et de bouleversements.
Plus tard tu comprendras
» Plus tard, tu comprendras » me disait ma mère. Je m’étais toujours demandé ce qu’il y avait à comprendre. Je croyais, orgueilleux, avoir déjà tout compris. Il me restait pourtant l’essentiel : tenter de répondre à la question » Qui est cette femme qui m’a aimé et que j’aime et qui m’a donné la vie ? « . Vivante, c’était ma mère. La source et la clé de ma vie. Morte, c’est une femme qui a vécu, avant moi, une autre vie. Une Parisienne, juive, pharmacienne née de parents russes et qui a traversé douloureusement la guerre. Une jeune fille amoureuse, une femme blessée, une mère. Et bien d’autres personnages dont j’ai découvert, ces derniers mois, les multiples facettes.
Le clin d’œil de l’amour
Ne vous est-il jamais arrivé d’évoquer une personne qui vous était complètement sortie de l’esprit depuis des années, puis, le lendemain, de la croiser par hasard ? N’avez-vous jamais pensé envers et contre tous » voici l’homme ou la femme de ma vie » ? De troublantes coïncidences émaillent votre chemin vers le grand amour. Apprenez à les reconnaître, à les interpréter et à leur faire confiance. Etoffé d’histoires vécues, cet ouvrage vous donne les clés d’une vie sentimentale réussie.
Once.
Felix, a Jewish boy in Poland in 1942, is hiding from the Nazis in a Catholic orphanage. The only problem is that he doesn’t know anything about the war, and thinks he’s only in the orphanage while his parents travel and try to salvage their bookselling business. And when he thinks his parents are in danger, Felix sets off to warn them–straight into the heart of Nazi-occupied Poland. To Felix, everything is a story: Why did he get a whole carrot in his soup? It must be sign that his parents are coming to get him. Why are the Nazis burning books? They must be foreign librarians sent to clean out the orphanage’s outdated library. But as Felix’s journey gets increasingly dangerous, he begins to see horrors that not even stories can explain. Despite his grim suroundings, Felix never loses hope. Morris Gleitzman takes a painful subject and expertly turns it into a story filled with love, friendship, and even humor.
Comment préserver et renforcer l’amour jour après jour ? Comment dépasser les crises petites ou grandes ? Un dialogue sans fard où sont abordés tous les domaines de la vie conjugale à la lumière de l’expérience pastorale de l’auteur.
Ali Smith’s supersonic 70s
Ali Smith is a writer, born in Inverness, Scotland, to working-class parents. She was raised in a council house in Inverness and now lives in Cambridge. She studied at Aberdeen, and then at Cambridge, for a Ph.D. that was never finished. In a 2004 interview with writing magazine Mslexia, she talked briefly about the difficulty of becoming ill with chronic fatigue syndrome for a year and how it forced her to give up her job as a lecturer at University of Strathclyde to focus on what she really wanted to do: writing. She has been with her partner Sarah Wood for 17 years and dedicates all her books to her.
Animal tropical
Agneta, une sage organisatrice de colloques littéraires en Suède, bombarde le narrateur de coups de téléphone, le presse de venir et se montre de plus en suggestive. Le romancier, pour sa part, est engagé jusqu’au cou dans une passion torride avec une voisine métisse, moitié sado-maso, moitié mac-pute, moitié amour fou. Il finit par décrocher son visa pour la Suède, ce qui nous vaut un livre dans le livre, le récit loufoquissime d’un Cubain dans la banlieue de Stockholm, d’un latin lover obsédé par le thermomètre sur le balcon, révulsé par le saumon froid et le thé à toute heure, décidé à initier sexuellement son amphitryonne et protectrice, dégoûté par les obsessions suicidaires et hygiénistes de l’Occident puritain, et qui finira par repartir à toutes jambes vers sa Gloria, sa putain mulâtresse, femme puissance cent, la vraie gloire. Deux portraits formidables de femmes, archétypiques certes (La Suédoise, La Cubaine) mais qui ne basculent jamais dans la caricature ou l’exotisme facile. Agneta et Gloria sont aussi horripilantes et sublimes l’une que l’autre, à leur manière, et Gutiérrez l’écrivain fait des étincelles dans les dialogues avec ces deux « nanas » si opposées et si femmes.
The Sea
In this luminous novel about love, loss, and the unpredictable power of memory, John Banville introduces us to Max Morden, a middle-aged Irishman who has gone back to the seaside town where he spent his summer holidays as a child to cope with the recent loss of his wife.
Looking for Alaska
For young adult
Before. Miles “Pudge” Halter is done with his safe life at home. His whole life has been one big non-event, and his obsession with famous last words has only made him crave “the Great Perhaps” even more (Francois Rabelais, poet). He heads off to the sometimes crazy and anything-but-boring world of Culver Creek Boarding School, and his life becomes the opposite of safe. Because down the hall is Alaska Young. The gorgeous, clever, funny, sexy, self-destructive, screwed up, and utterly fascinating Alaska Young. She is an event unto herself. She pulls Pudge into her world, launches him into the Great Perhaps, and steals his heart. Then. . . .
After. Nothing is ever the same.
La prochaine fois
Parti à la recherche d’un tableau mystérieux, Jonathan croise la route de Clara.
Tous deux sont convaincus de s’être déjà rencontrés. Mais où et quand ?
À Londres, il y a plus d’un siècle…
Le quatrième roman de Marc Lévy entraîne ses lecteurs de Saint-Pétersbourg à Boston, de Londres à Florence et Paris, dans une histoire où amours et énigmes défient le temps.
Neuf mois de sursis
Saxophoniste au talent aussi rare que méconnu, Joel vit heureux avec son épouse Ellen. Or depuis quelque temps, cette dernière a des désirs de maternité. Mais comment s’y prendre avec un époux qui est lui-même un grand enfant ? Rien de plus simple !
Il suffit de lui faire croire qu’on est déjà enceinte, de trouver un moment propice au tête-à-tête, et de ranimer la flamme du désir qui avait une fâcheuse tendance à s’éteindre dernièrement.
Pas si facile. Car depuis l’annonce de la supposée maternité, Joel panique. C’est sûr, il va falloir prendre des mesures radicales…
Le silence de l’innocence
Au Cambodge, des parents vendent leurs enfants dès l’âge de cinq, six ans en échange d’une centaine d’euros. Dans les bordels,
les jeunes se prostituent pour cinq cents riels (quinze centimes d’euro), une somme qui leur est entièrement confisquée par le proxénète ou la mama-san, la mère maquerelle. Somaly Mam, aujourd’hui âgée de trente-quatre ans, retrace dans ce livre son enfance d’esclave battue, violée. Elle témoigne sur la torture dans les bordels, et raconte avec émotion la destinée tragique de ces enfants – comme Thomdi, vendue à l’âge de neuf ans, décédée, ou Sokhone, vendue à huit ans, morte du sida et de la tuberculose à quinze.
Pour lutter contre ce trafic, Somaly Mam, avec son mari Pierre Legros, a créé en 1997 au Cambodge l’association Afesip (Agir pour les femmes en situation précaire), une ONG à vocation internationale qui s’est développée depuis lors en Thaïlande, au Vietnam et au Laos, et qui a pour objectifs le sauvetage et la réinsertion sociale des personnes réduites en esclavage sexuel. Malgré les menaces et les représailles dont elle est la cible, elle a pu venir en aide à des milliers de fillettes et adolescentes contraintes à la prostitution.
Comment devenir son propre thérapeute
Ce livre s’adresse à quiconque souhaite échanger ses comportements malsains contre des habitudes de vie constructives. La méthode qu’on y propose est basée sur les interventions que l’auteur a effectuées auprès de plus de 20 000 patients. Elle permet de diriger sa vie en sachant surmonter les obstacles et influencer les résultats, quels que soient les défis à relever. Elle comporte une série d’outils qui aident à concrétiser les changements que l’on veut opérer, des solutions instantanées pour passer de l’intention à l’action, des tests d’autoévaluation, des repères servant à identifier nos symptômes, ainsi que de nombreux conseils. Voilà un ouvrage essentiel si l’on veut se libérer de nos problèmes et mener une vie plus heureuse.
D’amour et de sang
A partir de 10 ans
Un étrange flacon traverse les siècles. On raconte qu’il a des pouvoirs magiques, on dit qu’une goutte de parfum suffit pour changer le destin de celui qui le sent. Et, pour que la magie opère, un Loup, quelque part, doit apparaître…
* Cette mystérieuse légende retrace deux mille ans d’amour et de sang.
God save la France
Nom : Paul West. Age : 27 ans. Costume : Paul Smith. Langue française : niveau très moyen. Fonction : jeune cadre dynamique promis à un grand avenir. Occupation : déjouer les pièges potentiellement désastreux du quotidien français. Ambition : qu’un jour un garçon de café vienne le servir quand il le hèle. Hobby : lingerie féminine. Signe particulier : Paul West serait le fruit d’un croisement génétique entre Hugh Grant et David Beckam. Histoire d’un succès : Stephen Clarke, journaliste installé en France depuis dix ans, écrit un petit » guide de survie » à l’usage de ses compatriotes en exil. Il imprime l’ouvrage à deux cents exemplaires, le met en vente sur son site Internet et le livre lui-même à domicile. Le bouche à oreille faisant son œuvre, le texte est remarqué par quelques libraires et journalistes, et s’écoule à plusieurs milliers d’exemplaires à Paris avant qu’un éditeur anglais en acquière les droits. Le livre devient un best-seller au Royaume-Uni. Il doit aujourd’hui paraître dans seize pays. Stephen Clarke travaille à la suite des aventures de Paul West.
Le code Altman
Un mystérieux navire battant pavillon chinois quitte Shanghai, chargé de produits chimiques illégaux destinés à la fabrication d’armes de destruction massive. Il faut l’intercepter sans compromettre le fragile équilibre diplomatique entre la Chine et l’Amérique. Jon Smith, agent du très secret Réseau Bouclier, part à Taiwan dans l’espoir de découvrir ce qui se trame. Mais en dépit des risques mortels qu’il n’hésite pas à prendre, son enquête piétine et le cargo poursuit sa route inexorablement. A mesure que s’accumulent les traquenards, les trahisons et les meurtres, et que le funeste navire approche de son point de non-retour, Jon Smith remonte la piste d’un gigantesque complot international, qui pourrait bien impliquer les plus hautes sphères du pouvoir et menace de faire basculer le monde dans un conflit nucléaire. Intrigue palpitante, rythme haletant, machinations politiques, secrets, menaces, action et suspense – Le Code Altman, quatrième épisode de la série du «Réseau Bouclier» créée par Robert Ludlum, est un roman explosif et jubilatoire de la première énigme à la dernière révélation.
D’amour et d’ombre
Irène, fille de bourgeois, est la maîtresse de son fiancé de toujours, le beau capitaine Gustavo Morante. Journaliste, elle noue avec Francisco, fils d’émigrants rescapés de la guerre civile espagnole, qui travaille avec elle comme photographe, une relation d’amitié complice. Mais Irène et Francisco vont se trouver incidemment à l’origine de la révélation d’un de ces massacres politiques dont abondent les annales des dictatures d’Amérique du Sud. La répression se tourne alors contre eux. Ce qu’ils vont vivre transforme peu à peu leurs sentiments fraternels en un amour indissoluble. Passant sans cesse de l’ombre à la lumière et de l’amour à la terreur, ce second roman d’Isabel Allende fait vivre des dizaines de personnages pathétiques ou burlesques et, surtout, ces inoubliables figures de mères, d’épouses, de filles, qui font de l’auteur de La Maison aux esprits la romancière par excellence du destin des femmes latino-américaines.
Les aventuriers du Nil
En 1798, les troupes françaises du général Bonaparte envahissent l’Egypte. Hubert de Saint-Vincent, jeune dessinateur, fait partie de la Commission d’artistes et de savants appelés à fonder l’Institut d’Egypte. Ayant pris sous sa protection Omar, un Cairote de quinze ans, il rejoint Rosette, à l’embouchure du Nil. Mais la douceur de vivre qui y règne est bientôt troublée par les agissements d’un traître à la solde des Anglais. Lancés dans une suite d’aventures haletantes, Hubert et Omar vont tenter de déjouer leur ennemi pour découvrir avant lui le trésor légendaire qu’il convoite.
Kiffe kiffe demain
Doria a quinze ans, un sens aigu de la vanne, une connaissance encyclopédique de la télé, et des rêves pleins la tête. Elle vit seule avec sa mère dans une cité de Livry-Gargan entourée d’Hamoudi, un grand de la cité qui l’a connue «haute comme une barrette de shit», Mme Burlaud, la psychologue au porte-jarretelles, Nabil le nul ou encore Aziz, l’épicier du Sidi Mohamed Market avec qui Dora essaie en vain de caser sa mère. Entre humour ravageur et formidables élans de fraîcheur, Dora navigue dans la vie avec l’innocence de sa jeunesse et l’assurance d’une fille trop intelligente pour ne pas infléchir son destin Surnommée la Sagan des banlieues, analysée dans l’International Herald Tribune et Newsweek, Faïza Guène, 19 ans, française d’origine algérienne et étudiante en sociologie, est déjà un phénomène avec ce premier roman.