J’avais treize ans sous l’occupation
Dès 13 ans
Nantes, 1943. Au plus fort de l’occupation allemande, Félix, treize ans, ne rêve que de rejoindre un réseau de résistance. Une sombre histoire de corbeau dénonçant des Nantais aux Allemands va lui permettre de faire la preuve de son courage et de sa détermination. Doutant de tout et de tous, Félix se lance à corps perdu dans une enquête difficile et âpre qui l’amènera à regarder d’un autre oeil tous ses proches.
Wiggins et la nuit de l’éclipse
Angleterre, 1894. Trois années ont passé depuis que Sherlock Holmes a disparu dans les chutes de Reichenbach après une lutte sans merci contre l’infâme Moriarty. Inconsolable, Wiggins est plus que jamais déterminé à se montrer digne du grand détective. Lorsqu’il est appelé au collège de Midhurst pour veiller sur le jeune Lowell Summerfield dont le père, un juge connu et redouté, a reçu des lettres de menaces, il voit là l’occasion de gagner enfin ses galons de détective-consultant. À Midhurst, il découvre un monde surprenant qui vit replié sur lui-même. Derrière la façade austère, les règles strictes et le code de l’honneur, la violence rôde. La nuit, de mystérieuses réunions se tiennent dans la chapelle, et il arrive que des pas résonnent dans le grenier. Les grands, chargés de faire respecter la discipline parmi les plus jeunes, ont parfois une conception bien curieuse de l’autorité, et même les professeurs semblent avoir leurs petits secrets. Quel mystère Param le jeune Indien cherche-t-il à percer dans la bibliothèque? De qui Ashley Lawrence a-t-il si peur? Et pourquoi Sarah, la jeune fille qui travaille à la lingerie et dont Wiggins est tombé amoureux, est-elle aussi lunatique? Les forces du mal sont à l’œuvre. Dans un tel panier de crabes où on ne peut faire confiance à personne, Wiggins parviendra-t-il à empêcher qu’il arrive malheur à Lowell Summerfield ?
La mort au doux visage
Se réveiller dans un lit d’hôpital en ayant tout oublié de la journée précédente est une situation pour le moins déstabilisante. Surtout lorsque deux gendarmes viennent vous interroger sur la disparition d’un petit garçon de votre entourage. Et lorsque, la nuit suivante, une voix inconnue résonne dans le téléphone, vous accusant d’avoir commis un meurtre… Désemparée, Laure Favier attend avec impatience le moment de retrouver la paix de sa maison. Et voilà que ce retour la confronte de nouveau à la mort. Cette fois, il va lui être très difficile de prouver qu’elle n’est pas impliquée. Mais comment le pourrait-elle, alors que sa mémoire refuse de lui apporter les réponses à ses questions? Que s’est-il donc passé ce mercredi 21 novembre, jour de ses 35 ans? Qui, dans son entourage, peut la haïr assez pour vouloir la faire accuser de meurtre? A moins qu’elle ne soit réellement coupable, et qu’elle se réfugie derrière son amnésie pour repousser l’inacceptable… C’est dire que l’enquête de Rémi Bechtel sera difficile. D’autant plus délicate que Laure le trouble étrangement, au point de lui faire négliger les mensonges de la jeune femme, fasciné qu’il est par son beau visage… Un visage lisse et lumineux, tout comme ceux des enfants qu’on a retrouvés morts, allongés avec sollicitude, toute trace de violence effacée par un meurtrier précautionneux…