
Une fille de la forêt
Grand-mère Céline raconte à son petit fils, l’écrivain André Besson, les fabuleux souvenirs engrangés dans sa mémoire. Elle évoque son enfance au fond des forêts où la tribu des Chaniet travaillait à la coupe des arbres et à la fabrication du charbon de bois. Elle parle de la grande peur des loups qui hantaient la région et de celle des chiens enragés, avant que Monsieur Pasteur ne mette au point son vaccin. A l’époque (entre 1860 et 1880), Céline marchait pieds nus, se lavait à l’eau de la source et portait des haillons. Chez les Chaniet, malgré leur pauvreté, il y avait toujours « l’écuelle de Dieu » au bout de la table pour plus miséreux qu’eux. Céline parle avec vénération de son grand-père surnommé « Passemaux », parce qu’il possédait le don de passer les maux. Il guérissait en captant la force des chênes. « Le chêne, disait-il, est traversé par une force qui vient du sol et communique avec le soleil par les ramures. » Une inoubliable figure de patriarche, un peu sorcier et grand chrétien, qui envoie ses patients à confesse et transmet ses « secrets » à sa petite-fille. Céline Chaniet-Besson, devenue « civilisée » par un mariage qui l’arrache aux sortilèges de la forêt de Chaux, n’oubliera jamais son enfance. Avant de disparaître, en 1943, à l’âge de 85 ans, elle racontera à son petit-fils, André Besson, la vie des anciens bûcherons-charbonniers de Franche-comté. Conteur exceptionnel profondément enraciné dans son terroir natal, André Besson nous offre ici, avec émotion et réalisme, un livre puisé aux sources. Il nous restitue l’existence de ces hommes et de ces femmes des bois épris de liberté, qui vivaient au rythme de la terre et du ciel.
La nouvelle vague des soucoupes volantes
On ne compte plus les témoins qui déclarent avoir vu des OVNI (Objets Volants Non Identifiés), accompagnés souvent de petits humanoïdes. En France, c’est la Gendarmerie nationale qui recueille les dépositions, et la bonne foi de leurs auteurs peut difficilement être mise en doute. Pour faire le point de la situation, Jean-Claude Bourret a rassemblé, dans une longue série d’émissions, les témoignages les plus divers : hommes et femmes du monde entier qui ont eu l’occasion d’observer des OVNI, et savants qui essaient de donner une explication rationnelle. Le dossier est complet. A vous de juger maintenant !
Triangle rouge
Agée de 24 ans lors de son arrestation, Catherine Roux –matricule 35 282 – fut marquée du « triangle rouge » de ceux qui faisaient de la résistance. — Voici le livre du courage. Pas de la peur, et Dieu sait pourtant qu’elles lui étaient promises ces femmes traquées, arrêtées, torturées, jetées dans les prisons, puis franchissant le seuil de l’univers concentrationnaire parmi les coups, les cris, les aboiements des chiens. Certaines d’entre elles ont rejeté la peur, ne lui ont même pas livré leurs songes. « Dévêtue, battue, piétinée, cravachée, échevelée. », Catherine Roux entend les agents de la Gestapo lui assurer « qu’elle est juive, qu’ils le prouveront scientifiquement », et de s’armer d’un mètre-ruban de couturière pour mesurer l’écart entre ses deux yeux…
La science face aux extra-terrestres
Que se passera-t-il le jour où nous entrerons en contact avec une civilisation extra-terrestre? Question doublement fascinante. D’abord parce qu’elle implique l’existence d’autres vies dans l’univers. Et c’est un pas important dans notre compréhension du cosmos. Ensuite parce qu’elle n’écarte pas la possibilité d’un contact direct entre « eux » et nous. Or, ce n’est pas un auteur de science-fiction qui a soulevé ce fantastique problème. Non. Ce sont tout simplement des exobiologistes, des sociologues, des astrophysiciens, des psychologues, bref, des savants bien de chez nous avec leurs diplômes et leurs certitudes.
Réseaux d’ombres
Le Colonel Rémy, de son vrai nom Gilbert Renault, est l’un des résistants français les plus connus durant la Seconde Guerre mondiale. Il organise, développe et perfectionne le réseau de renseignements créé par Louis de La Bardonnie, réseau qui devient la Confrérie Notre-Dame, un des plus importants réseaux de la zone occupée. Il est également connu sous différents autres pseudonymes comme « Raymond », « Jean-Luc », « Morin », « Watteau », « Roulier » et « Beauce ».
