
Tokyo : Daido Moriyama, Shomei Tomatsu
The catalogue published on the occasion of the exhibition Moriyama – Tomatsu: Tokyo scheduled to be held at Maison Européenne de la Photographie in Paris, June 2020. The exhibition has been repeatedly postponed due to the spread of Covid-19 in France.
For this reason Akio Nagasawa Publishing will start selling at its online shop the photo-book exceptionally prior to the opening of the Paris exhibition.
The catalogue is a set of 3 books including Daido Moriyama’s works, Shomei Tomatsu’s works and a textbook of written by both authors.
Catalogue publié à l’occasion de l’exposition « Moriyama – Tomatsu : Tokyo » prévue à la Maison Européenne de la Photographie à Paris en juin 2020. L’exposition a été reportée à plusieurs reprises en raison de la propagation du Covid-19 en France.
C’est pourquoi les éditions Akio Nagasawa ont proposé exceptionnellement ce livre photo sur leur boutique en ligne avant l’ouverture de l’exposition parisienne.
Le catalogue est un ensemble de trois ouvrages comprenant les œuvres de Daido Moriyama, celles de Shomei Tomatsu et un manuel écrit par les deux auteurs.
Le coupeur de roseaux
Lors d’une promenade autour d’un ancien palais impérial, le sanctuaire de Minase, le narrateur rencontre un homme étrange. Est-ce un fantôme, un esprit qui hante les lieux ? Celui-ci lui offre du saké et lui raconte l’histoire de la belle O-Yû, perverse et inaccessible..
Alors que jusque-là je marchais normalement sur ce que je pensais être mon propre chemin, voilà que soudain celui-ci a disparu sous mes pas, et c’est comme si j’avançais simplement dans un espace vide sans connaître de direction, sans plus aucune sensation. Une jeune fille a disparu. Une jeune fille dont le narrateur avait entrepris de faire le portrait. Une jeune fille aux yeux comme une flamme gelée. Une jeune fille qui l’intrigue et qui pourrait être liée à Menshiki. Il va rendre visite au vieux peintre Tomohiko Amada. Là, dans la chambre d’hôpital, apparaît le Commandeur. Le Commandeur est prêt à offrir sa vie pour que la jeune fille soit retrouvée. Il faut faire revivre la scène du tableau, le Commandeur doit être poignardé. Le narrateur lui plante un couteau dans le cœur. Une trappe s’ouvre dans un coin de la chambre. Un personnage étrange en surgit, qui l’invite à entrer dans le passage souterrain. Le début d’un périple qui va conduire le narrateur au-devant des forces du mal… Deuxième livre d’une œuvre exceptionnelle, dans la lignée du monumental 1Q84, un roman somme, ambitieux, profond. Deux tomes pour une odyssée initiatique étrange, inquiétante, envoûtante, où le maître Murakami dévoile ses obsessions les plus intimes.
Un artiste du monde flottant
L’artiste, c’est Masugi Ono, vieux maître de l’art officiel nippon, narrateur de ce livre, et le monde flottant, c’est le quartier des plaisirs de la vie nocturne qu’il a beaucoup fréquenté au temps de sa jeunesse. Aujourd’hui, il tente de donner un sens à sa vie il dialogue avec ses contemporains, dans le Japon de l’immédiat après-guerre et interroge son passé. Grâce au ton insidieux et indéfinissable du narrateur, ce livre exerce un charme envoûtant sur le lecteur. Discret comme un film d’Ozu, ce roman ressemble à du Proust revu et corrigé par Kawabata, la modernité en plus.
Le Clan des Otori (5 volumes)
Le Clan des Otori (titre original : Tales of the Otori) est une série de romans écrits par Lian Hearn se déroulant dans un Japon féodal imaginaire. Les cinq romans (Le Silence du rossignol, 2002 ; Les Neiges de l’exil, 2003 ; La Clarté de la lune, 2004 ; Le Vol du héron, 2007 ; Le Fil du destin, 2007) nous font suivre un jeune homme dénommé Takeo dans sa lutte pour venger son père adoptif, échapper à l’héritage de son père biologique et retrouver l’amour de sa vie au fil de grandes batailles mêlant des dizaines de seigneurs et de nombreux guerriers.
Confucius
Retiré depuis la mort de Confucius dans un village perdu du centre de la Chine, un vieil homme, Yanjiang (son nom signifie » Vieux Gingembre « ), raconte ce que furent les quinze dernières années du grand maître dont il partagea une partie de la vie. Pourquoi Confucius abandonna-t-il la capitale de sa province où il avait occupé les plus hautes fonctions ? Avait-il un projet secret ? Le dernier disciple du maître tente de donner les clefs du mystère. Mais plus qu’une évocation biographique, Inoué raconte une captivante aventure politique et humaine au cours de l’une des périodes les plus troublées de l’histoire de la Chine du Ve siècle av. J.-C. Yasuchi Inoué (mort en 1992, à l’âge de quatre-vingt-cinq ans) est l’un des plus remarquables écrivains japonais du XXe siècle. Ses ouvrages – Le Fusil de chasse, Le Maître de thé, Histoire de ma mère sont devenus de grands classiques. Confucius est son dernier roman. L’auteur a mis beaucoup de lui-même dans le personnage malicieux du » Vieux Gingembre » qui nous donne à découvrir le grand sage et penseur chinois sous l’apparence d’un homme souffrant, humble, plein de compassion et d’humanité face à l’incompréhension hostile du monde.
1Q84 – Livre 3 : Octobre-Décembre
Ils ne le savaient pas alors, mais c’était l’unique lieu parfait en ce monde. Un lieu totalement isolé et le seul pourtant à n’être pas aux couleurs de la solitude. Le Livre 3 fait entendre une nouvelle voix, celle d’Ushikawa. Et pose d’autres questions : quel est ce père qui sans cesse revient frapper à notre porte ? La réalité est-elle jamais véritable ? Et le temps, cette illusion, à jamais perdu ? Sous les deux lunes de 1Q84, Aomamé et Tengo ne sont pas seuls…
Hiro-Hito – L’Empereur ambigu
Au cours d’un des règnes les plus longs de l’histoire, l’empereur Hiro-Hito a été le témoin actif de tous les événements qui ont bouleversé le monde depuis la prise de la Mandchourie par le Japon en 1931, la première des crises internationales qui devaient aboutir à la Deuxième Guerre mondiale. Mais cette vie mouvementée a fait l’objet d’une véritable conspiration du silence. Les gouvernements successifs du Japon et des États-Unis ont, par un accord tacite, jeté le voile sur les responsabilités de l’empereur dans la guerre de Chine en 1937, l’attaque de Pearl Harbor en 1941 et la conduite ultérieure des opérations. Ainsi est née la légende d’un Hiro-Hito fantoche, tenu à l’écart des décisions, prisonnier d’une junte militaire toute-puissante, dont il ne se serait affranchi qu’en 1945 pour lui imposer la capitulation de son pays. Cette légende, nous révèle Edward Behr, fut la plus habile campagne d’intoxication des temps modernes. A l’aide de documents, de témoignages et d’archives, l’auteur, sans haine ni parti pris, nous dit ce que fut le rôle réel de l’empereur et nous restitue son vrai visage.
Love & Pop
Love & Pop aborde une forme de prostitution propre au Japon, dont Murakami avait déjà fait le sujet troublant de son film Tokyo Decadence. Par l’intermédiaire de messageries téléphoniques, de jeunes lycéennes acceptent des rendez-vous avec des inconnus pour pouvoir s’acheter des produits de marque. Le roman raconte la journée d’une jeune fille qui, désirant absolument s’offrir une topaze impériale, accepte coup sur coup deux rendez-vous avec des hommes. Mais les rencontres ne vont pas se passer comme elle l’avait prévu. La littérature n’a que faire des questions de moralité, dit Murakami Ryû, qui a construit son roman à la manière d’une œuvre d’Andy Warhol, en fondant dans la narration des bribes de conversations, d’émissions de radio ou de télévision, des litanies de marques, de titres de films ou des paroles de chansons à la mode. Comme un bruit de fond faisant soudain irruption au premier plan pour saturer le sens de ces rencontres qui ouvrent sur tous les possibles de l’humain. Tandis qu’une violence latente se fait de plus en plus pressante et précise.
Ce document exceptionnel décrit pour la première fois les mécanismes les plus secrets de l’empire financier le plus puissant au monde.
1Q84 – Livre 3 : Octobre-Décembre
La nouvelle édition événement de l’un des plus grands succès d’Haruki Murakami ! Parue pour la première fois en France en 2011, une des œuvres les plus cultes de l’auteur, une odyssée initiatique entre deux mondes parallèles, une atmosphère aussi étrange qu’envoûtante pour un roman double qui rassemble toutes les obsessions du maître. Le Livre 3 fait entendre une nouvelle voix, celle d’Ushikawa. Et pose d’autres questions : quel est ce père qui sans cesse revient frapper à notre porte ? La réalité est-elle jamais véritable ? Et le temps, cette illusion, à jamais perdu ? Sous les deux lunes de 1Q84, Aomamé et Tengo ne sont plus seuls. Tengo est un génie des maths, apprenti-écrivain et nègre pour un éditeur qui lui demande de réécrire l’autobiographie d’une jeune fille échappé ç la secte des Précurseurs. Il est aussi régulièrement pris de malaises lors desquels il revoit une scène dont il a été témoin à l’âge d’un an et demi. Les deux jeunes gens sont destinés à se retrouver mais où ? Quand ? En 1984 ? Dans 1Q84 ? Dans cette vie ? Dans la mort ?
Les herbes du chemin
Dans l’intimité du couple que forment Kenzô et sa femme, le quotidien scelle une entente faite de méprises et de malentendus ; et l’habitude ne devient rien d’autre que le témoin indifférent d’un être aux prises avec le monde. Mais sur Kenzô, pèse aussi la présence d’un père adoptif, une ombre que trouent de leurs feux intermittents les souvenirs que Sôseki rappelle à lui. Et l’auteur nous montre les incertitudes de la mémoire, ces lignes d’ombre où s’enchevêtrent les traces du passé et du présent, dans les eaux troubles de l’enfance.
Miso Soup
Kenji, un jeune Japonais de vingt ans, gagne sa vie en guidant des touristes dans le célèbre quartier louche de Kabukichô, à Tôkyô. C’est en compagnie de Frank, un client américain, qu’il parcourt durant trois nuits les lieux de plaisir de Shinjuku : trois nuits de terreur auprès d’un meurtrier inquiétant avec qui il joue au chat et à la souris. Ce roman court et percutant laisse une sorte d’amertume, un goût métallique pareil à celui du sang qui imprègne ces pages minutieuses décrivant – comme l’auteur l’avait magistralement fait dans son roman Les Bébés de la consigne automatique – l’agonie d’un monde sans âme et voué à la solitude. » La littérature, nous dit Murakami, consiste à traduire les cris et les chuchotements de ceux qui suffoquent, privés de mots… En écrivant ce roman, je me suis senti dans la position de celui qui se voit confier le soin de traiter seul les ordures. »
Dans la lignée de Murakami, un bijou littéraire original, inspiré des « I-Novels » japonais, porté par une construction virtuose. Entre imaginaire et réalité, une œuvre à la fois profonde et pleine d’humour, intime et universelle, assortie d’une formidable réflexion sur le temps et l’Histoire. Le sac en plastique avait échoué sur le sable de la baie Désolation, un de ces débris emportés par le tsunami. A l’intérieur, une vieille montre, des lunettes jaunies et le journal d’une lycéenne, Nao. Une trouvaille pleine de secrets que Ruth tente de pénétrer avant de réaliser que les mots de la jeune fille lui sont destinés… Depuis un bar à hôtesses de Tokyo, Nao raconte des histoires : la sienne, ado déracinée, martyrisée par ses camarades ; celle de sa fascinante aïeule, nonne zen de cent quatre ans ; de son père qui cherche sur le Net la recette du suicide parfait. Des instants de vie qu’elle veut confier avant de disparaître. Alors qu’elle redoute de lire la fin du journal, Ruth s’interroge : et si elle, romancière en mal d’inspiration, avait le pouvoir de réécrire le destin de Nao ? Serait-il possible alors d’unir le passé et le présent? La terre et le ciel ?
La tombe des lucioles
C’est avec ces deux récits admirables et particulièrement bouleversants, couronnés en 1968 par le prix Naoki, l’une des plus hautes distinctions littéraires, que Nosaka conquit la notoriété. Peu de temps auparavant, Mishima avait applaudi à son premier roman : « Les Pornographes », roman scélérat enjoué comme un ciel de midi au-dessus d’un dépotoir. La Tombe des lucioles, visionnaire et poignant : l’histoire d’un frère et d’une sœur qui s’aiment et vagabondent dans l’enfer des incendies tandis que la guerre fait rage et que la faim tue. Voici une prose étonnante, ample, longue, proustienne dans le sens qu’elle réussit à concentrer en une seule phrase des couleurs, odeurs et dialogues, mais prose très violente, secouée de mots d’argot, d’expressions crues, qui trouvent ici une beauté poétique et nouvelle, d’images quasi insoutenables – prose parcourue d’éclairs.
Poster – NYK Line
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