Les dramaturges de Yan
Yan est d’abord un mystère… Voici une planète et un peuple qui sont traumatisés par un gigantesque cataclysme du passé. En eux demeurent des traces énigmatiques de la catastrophe. Sur le sol de la planète se dressent les constructions gigantesques et incompréhensibles des dramaturges.
Moka
Justine mène une petite vie tranquille entre son mari, ses deux enfants et son boulot de traductrice free-lance. Mais un mercredi après-midi, tout bascule. Un chauffard renverse son fils en plein Paris, et prend la fuite, à bord d’une berline couleur moka. Malcolm sombre dans le coma, l’enquête piétine… Seule contre tous – ou presque, Justine veut découvrir la vérité. Jusqu’au bout. Et à n’importe quel prix.
L’éducation d’une fée
Que faire lorsque la femme de votre vie décide de vous quitter parce qu’elle vous aime ? Comment sauver le couple de ses parents quand on est un petit garçon de huit ans ? Une fille à la dérive, caissière dans un supermarché, peut-elle devenir cette « bonne fée » qui sauverait un couple en rupture et comblerait les voeux d’un enfant ? Avec la force, l’humour et le style qui ont fait le succès de ses romans, Didier van Cauwelaert nous montre une fois encore comment le quotidien le plus cruel peut basculer dans le merveilleux, et la détresse ouvrir le chemin d’une seconde vie.
Eva Perón. La madone des sans-chemise
Enfant illégitime, comme ses soeurs et son frère, Eva Duarte est née en 1919, dans un village de la plaine argentine. A peine adolescente, aspirant au destin d’une héroïne glorieuse, elle part pour Buenos Aires dans l’espoir de s’imposer en tant qu’actrice.
Mais, comédienne médiocre, tant au théâtre qu’au cinéma, il lui faudra plusieurs années de lutte pour devenir une vedette populaire de ces feuilletons radiophoniques si prisés, à l’époque, dans le pays.
C’est alors qu’elle rencontre Perón, et qu’elle décide de consacrer toutes ses forces à l’ascension politique du futur dictateur : au rêve des «sunlights» se substitue l’ambition de passer à l’Histoire comme la Providence incarnée pour ces millions de déshérités auxquels elle s’est vouée avec amour et qui seront inconsolables après sa mort.
Jusqu’à présent, la figure d’Eva Perón a hésité entre le mythe et la légende, entre la sainteté et le despotisme.
Cette biographie, grâce aux révélations d’archives jusqu’alors secrètes, éclaire bien des zones d’ombre, parmi lesquelles les rapports entretenus par le péronisme avec le nazisme.
Au-delà, c’est tout le personnage d’Evita qui nous est révélé dans toute sa complexité, sans concession aucune mais non plus sans parti pris, avec un rythme et une vitalité qui sont ceux du roman sud-américain.
Les liaisons dangeureures
Cette œuvre littéraire majeure du XVIIIe siècle, qui narre le duo pervers de deux nobles manipulateurs, roués et libertins du siècle des Lumières, est considérée comme un chef-d’œuvre de la littérature française, bien qu’il soit tombé dans un quasi-oubli durant la majeure partie du XIXe siècle, avant d’être redécouvert au début du XXe.
Un gout de brouillard et de cendres
Peter Robinson Un goût de brouillard et de cendres « Le brouillard avait un goût de cendres, se dit l’inspecteur-chef Alan Banks en remontant le col de son imperméable. Il n’avait pas encore vu le cadavre mais déjà il ressentait intérieurement ce pincement familier qui accompagnait toujours la découverte d’un meurtre.
Les braves gens du Tennessee
Grover Danford sait diriger le haras de poneys de Shetland qu’il a hérité de son père près de la ville de Wolverton, oui, mais il n’y connaît rien question femmes, sans quoi aurait-il épousé cette Madge qui lui tient la dragée haute les rares jours où elle daigne rester au domaine ? Ainsi grommelle Jimmy Whittaker son contremaître, qui voudrait voir Grover avec un fils capable de reprendre après lui le haras. Le temps presse, puisqu’il n’a pas loin de quarante ans.
Depuis deux ans qu’ils sont mariés, Grover espère toujours fléchir Madge et avoir d’elle l’héritier désiré. Un fils, il en a déjà un – Jeff Bazemore – mais les lois du Tennessee l’empêchent de le reconnaître, après lui avoir interdit d’épouser sa mère parce qu’elle était métisse. Il veille tout de même sur lui, de loin. –
Jeff a dix-sept ans quand Effie Devlin a un enfant dont la rumeur-publique dit qu’il est le portrait de Jeff. Son mari, Mike, voit rouge et rassemble cette survivance du Ku Klux Klan les « cavaliers de la nuit ».
A eux six, ils sont prêts à tout et Grover, prévenu par Jimmy, décide d’emmener J Fuite angoissante où se mesure la graduelle évolution mentalités et qui fait des braves gens du Tennessee roman poignant en même temps qu’un document moderne, sur ce Sud des Etats-Unis qu’Erskine Caldwell a commencer de décrire dans Le Petit Arpent du Bon Dieu (1933) et La Route au tabac (1932).
Au commencement était le crime
Malice domestic : l’expression désigne le crime maison, celui qui intervient entre frères ou conjoints, amants ou maîtresses. Celui qui viole le sanctuaire familial, laissant le cadavre dans la baignoire ou devant la cheminée…Le premier « crime maison » connu, rappelle ici la romancière de La Nuit du renard et de Recherche jeune femme aimant danser, fut le meurtre d’Abel par Caïn. L’histoire d’Oedipe ou celle de Hamlet s’inscrivent également dans cette longue tradition.
Souvenirs de holmes
Que fait Sherlock Holmes toute la journée ? Il déduit et, de déduction en déduction, il découvre pourquoi les moutons boitent quand les chevaux de course disparaissent, pourquoi un homme en fait chanter un autre et pourquoi le colonel Barclay s’effondre, mort, dans son salon. C’est très clair, « élémentaire, mon cher Watson ! » Et les onze énigmes deviennent de simples histoires d’amour, de vengeance et de mort.
Le Grimoire
Quels secrets recèle donc le Malleus Maleficarum, ce traité du XVe siècle, qu’un patient reconnaissant a offert au Dr O’Connell, bibliophile passionné ? Ils doivent être précieux ou terribles, car c’est manifestement pour lui dérober l’ouvrage qu’on assassine O’Connell, chez lui, à New York.
Désormais sa fille Béatrice n’aura plus qu’une idée : retrouver le meurtrier de son père. Et sa vie va tourner au cauchemar. Par l’intermédiaire d’un vieil ami de la victime, Antonelli, lui-même expert en livres anciens, Béatrice découvre une secte aux ramifications internationales, qui, depuis la Seconde Guerre mondiale, mène une lutte sans merci contre les femmes, des » sorcières » destinées à la seule reproduction, et devant à l’homme une obéissance absolue…
Jane Stanton Hitchcock déploie à nouveau ici le sens du suspense et de l’intrigue qui a fait le succès de son précédent roman, Illusions d’optique.
Un chagrin d’amour et d’ailleurs
Jeannette est perdue. Perdue dans la foule en liesse. Dans quelques heures son mari, Gilbert Lefèvre, député-maire d’une ville du Nord, doit inaugurer la maison de la culture. Pour être à sés côtés, Jeannette s’est enfuie de la clinique où elle suivait une cure de désintoxication. Jeannette la scandaleuse : elle boit et provoque des incidents nuisibles à la carrière de son mari. On dit, pour l’excuser, qu’elle souffre de ne pas avoir eu d’enfant, mais son malheur, en vérité, c’est d’aimer, d’aimer Gilbert, depuis près de vingt ans, et de ne plus le reconnaître tout à fait. Jeannette la pitoyable. Gilbert a changé sans doute. Il est absorbé par ses fonctions. Eloigné des rêves de sa jeunesse, soucieux d’efficacité, il s’est attaché à Marie-Christine qui l’assiste dans sa tâche. Et pourtant c’est Jeannette qu’il aime.
Les vertes années
Robert Shannon n’a pas huit ans quand la mort de ses parents le déracine d’Irlande pour le transplanter en Ecosse chez ses grands-parents maternels, « papa et maman » Leckie, à Levenford. La maisonnée comprend aussi leur seconde fille Kate qui est institutrice, leur fils cadet Murdoch qui ne rêve que jardinage (l’aîné Adam est courtier en assurances dans la ville voisine et deux pensionnaires qui sont la mère de papa Leckie, Grand-Mère, et le père de maman, Dandie Gow.
Les vrais durs ne dansent pas
À Provincetown, dans la trompeuse quiétude de la morte-saison, Tim Madden, écrivain raté et amateur de femmes, noie son ennui dans le bourbon.
Un matin de plus, il se réveille avec une formidable gueule de bois, mais cette fois il va aller de découverte en découverte : un curieux tatouage sur le bras, du sang dans sa voiture et, dans la cache où il planque sa marijuana, la tête, proprement coupée, d’une belle blonde platinée… Est-il pour autant un assassin ? Pour répondre à cette question, Tim se lance dans une enquête personnelle. Une poursuite pleine de péripéties qui l’amènera à rencontrer des ex-boxeurs, des maniaques sexuels, des repris de justice, une ancienne maîtresse et enfin son propre père, dont la figure haute en couleur restera l’une des créations les plus mémorables de Mailer.
Le journal de ma disparition
Il y a huit ans, la jeune Malin, alors adolescente, a découvert une fillette enterrée dans la forêt de Ormberg, une ville suédoise isolée. On n’a jamais pu identifier la petite victime. Devenue une jeune flic ambitieuse, Malin est affectée auprès de Hanne, la célèbre profileuse, et de l’inspecteur Peter Lindgren, qui reprennent l’affaire.
Itinéraire d’enfance
Paru en 1985 au Vietnam, alors que la publication des livres de Duong Thu Huong y était encore autorisée, ce roman de formation remporta un énorme succès. Il est pour la première fois traduit en français. Duong Thu Huong y évoque les tribulations d’une gamine espiègle et entreprenante à la fin des années cinquante.
La maison aux esprits
Une grande saga familiale dans une contrée qui ressemble à s’y méprendre au Chili. Entre les différentes générations, entre la branche des maîtres et celle des bâtards, entre le patriarche, les femmes de la maison, les domestiques, les paysans du domaine, se nouent et se dénouent des relations marquées par l’absolu de l’amour, la familiarité de la mort, la folie douce ou bestiale des uns et des autres, qui reflètent et résument les vicissitudes d’un pays passé en quelques décennies des rythmes ruraux et des traditions paysannes aux affrontements fratricides et à la férocité des tyrannies modernes.
La grace et le venin
Tu seras leveuse de maux, ma belette, quand tu seras grande. Je t’apprendrai mes secrets. Et tu diras aussi de bonnes prières de missel : ça ne peut rien gâter. Le missel, c’était tout ce que la mère d’Aline avait laissé en héritage à sa fille, et les pauvres secrets de la Segonde, tout ce que la vieille guérisseuse, qui l’avait recueillie, pouvait transmettre à l’enfant, avec le don.
L’homme fatal
Il s’appelle Steiner. Il se dit psychiatre. Lorsque Juliet Osborne, la quarantaine indépendante, le voit entrer, dans sa vie, elle est aussitôt partagée entre l’attirance et la peur. Elle découvrira peu à peu que Steiner n’est pas seulement un Don Juan, un collectionneur de femmes.
Le cœur en quatre
Une épouse et mère se suspend-elle dans le vide, la tête en bas, pour voler à la rencontre d’un partenaire qu’elle connaît à peine ? » Au cours d’un voyage à Stockholm, Alice fait la connaissance d’un Anglais, Benjamin Usher, qui se trouve être cette année-là – elle le découvrira le lendemain – le prix Nobel de physique.
Malika
Comme Valérie, l’héroïne du pavillon des enfants fous, Malika et son frère Wielfried sont très jeunes. Elle a dix ans, lui en a quinze. Comme Valérie aussi, aucun parent ne s’occupe d’eux. La mère est morte et le père apparaît de temps en temps pour donner de l’argent. Pourtant ils sont heureux dans cet appartement du boulevard Malesherbes qu’ils ont meublé eux-mêmes car ils s’aiment, d’un amour trop parfait que les adultes saccageront.
Le destin de Robert Shannon
Robert Shannon aurait pu devenir un médecin connu et riche, mais c’est la recherche scientifique qui l’attire irrésistiblement. Malgré de nombreuses difficultés et des déceptions de toutes sortes, il persistera dans cette voie. A.J. Cronin nous décrit avec passion la carrière d’un chercheur pauvre.
Le crime de Hollowfield
Par un bel après-midi d’été, .des archéologues sont à la recherche de vestiges saxons. Mais ils découvrent quelque chose de plus sinistre : un cadavre qui, lui, ne remonte certes pas à l’époque des Saxons.
L’identité de l’homme est inconnu, mais il semble qu’il pourrait s’agir d’un jeune fermier disparu quelques années plus tôt en abandonnant sa femme.
Monsieur Papa
Franck Lanier avait tout arrangé pour les vacances. Il casait son fils chez son ex-femme et lui filait à Bangkok. Mais son petit garçon, Laurent, n’est pas du tout d’accord. Il veut, lui aussi, partir pour Bangkok. Tous les moyens seront bons pour parvenir à ses fins, des plus drôles aux plus désespérés et des aventures peu banales se succèdent dans une vie quotidienne pleine de tendresse entre le père et le fils. Par l’auteur de « L’Amour aveugle », ce roman alerte, rempli d’humour, est un des grands succès de ces dernières années.
Le jardin d’acclimatation
C’est l’histoire d’un homme jeune qui doit souffler ses quarante bougies. Il ne peut pas le faire. Il ne sait même plus souffler devant lui. » Pour Bertrand Prouillan la vie s’est figée un certain 9 juillet, jour de ses vingt ans, au retour d’un séjour à Barcelone où son père a fait pratiquer sur lui une lobotomie. Ainsi Henri Prouillan a-t-il pu, sans crainte de scandale, accéder pendant dix-sept mois à la fonction de Ministre dans le gouvernement du moment.
Le quatrième protocole
Nous sommes à la veille des élections législatives anglaises de 1987, qui vont se jouer sur le problème du désarmement nucléaire unilatéral. Une poignée de militants d’extrême gauche complote pour s’emparer du pouvoir et des hordes de pacifistes naïfs manifestent dans le vide.
Après le terrible siège de La Rochelle, Louis XIII et Richelieu peuvent espérer en avoir fini avec la rébellion protestante et avoir rétabli la paix dans le royaume. Quant au duc d’Orbieu, ami d’enfance et homme de confiance du roi, il aspire d’autant plus au repos qu’il vient de se marier. Pourtant, les trois années qui suivent vont être celles de tous les dangers : menées des Habsbourg dans la péninsule italienne, agitation endémique des villes du Midi, complots des Grands du royaume, encouragés par le frère du roi Gaston d’Orléans, contre le tout-puissant cardinal… Pire : la reine-mère elle-même intrigue délibérément contre son fils.
La prise de La Rochelle, en 1628, par Louis XIII et Richelieu, fut un événement considérable. Dernier acte des affrontements entre catholiques et huguenots, elle sonna le glas des entreprises anglaises sur le continent. A l’intérieur, elle renforça la royauté et l’Etat, ambition majeure du cardinal- ministre. Le comte d’Orbieu (pierre de Siorac, ami du roi depuis l’enfance de ce dernier) relate à la première personne, dans un français robuste et dru que n’a pas encore épuré l’Académie, ce siège qui dure un an, et dont l’élément clé est la gigantesque digue qui, barrant la baie, interdit tout secours à la ville. Dans les intervalles de missions aussi délicates que périlleuses – l’une l’amène à l’intérieur même de la ville assiégée -, le fidèle serviteur du roi n’oublie pas sort amour pour le gentil sesso. La pensée de Mme de Brezolles peut-elle suffire à conjurer les rencontres bec à bec avec la coquine Perrette ?
Le onzième volume – toujours aussi entraînant, aussi riche de personnages et de péripéties – de la saga Fortune de France.
Avril 1624, octobre 1627. Trois années marquées par de nombreux événements : entrée de Richelieu au Conseil du roi, guerres incessantes contre les huguenots, entreprises galantes du duc de Buckingham auprès de la reine de France… A la cour, les intrigues se multiplient : Anne d’Autriche conspire avec Monsieur, frère du roi, contre son époux. La noblesse insoumise cherche à faire tomber le Cardinal. Exils, geôles, décapitations punissent les rebelles ; le siège de La Rochelle commence. L’Etat royal s’affirme envers et contre tout, à travers la complicité qui se noue peu à peu entre le jeune roi et son ministre. Devenu comte d’Orbieu, Pierre-Emmanuel de Siorac, fidèle agent de Louis XIII, traverse au gré de ses missions les milieux les plus divers : il côtoie courtisans, manants, aubergistes, ribaudes, marins, connaissant autant d’aventures galantes que d’intrigues politiques… Roman au rythme endiablé, tableau d’histoire fidèle et vivant : dans le prolongement de Fortune de France, Robert Merle nous donne un nouveau chef-d’oeuvre.
Ce n’est pas tout que d’avoir pris le pouvoir : si Henri IV veut « relever la fortune de France », il doit d’abord affermir son trône et pacifier le royaume. Amant d’une grande dame de la Cour, Pierre de Siorac se voit confier des missions tantôt guerrières, tantôt diplomatiques, souvent secrètes : convoi de fonds ou enquête sur les menées des jésuites… À Rome, il prend part aux subtiles intrigues vaticanes dont l’enjeu est l’absolution du roi ; en Espagne, il voit mourir le dévot Philippe II dans le funèbre décor de l’Escurial…
Cécile, la poison
La poison, on la connaît ! C’est la petite dernière de la famille Moreau, à La Marette. Celle qui met son grain de sel, ou de poivre, partout, qui se trouve toujours là où il ne faut pas, bref : celle qui empoisonne. Mais Cécile est parvenue à l’âge où on ne peut plus supporter ce genre de surnom. Et d’ailleurs, ayant lu sa touchante histoire, on s’aperçoit qu’elle n’a vraiment plus rien d’une poison.
Ce sixième volume de la célèbre saga de L’Esprit de famille commence le soir de Noël, à La Marette. On prépare la fête lorsque la nouvelle tombe : le docteur Moreau vient d’être victime d’un accident cardiaque ! Impossible, inacceptable. Tout simplement, cela ne se peut.
Le jeu de la tentation
Ardent, fervent, quotidien, voici, dans sa vérité, le XIIIème siècle ressuscité de nouveau par Jeanne Bourin. Fresque minutieuse et fidèle, ce roman nous plonge au cœur même de la vie médiévale, à Paris où s’exercent grands négoces et petits métiers pittoresques, à la campagne où, dans des senteurs de foin, de miel, de sève, revivent fêtes et travaux rustiques.
Le loup mongol
Avant d’être romancier, Homeric a été jockey et chroniqueur hippique au quotidienLibération où il a inventé une approche romanesque des sports équestres. C’est dire que le cheval est pour lui une passion qui n’est pas étrangère au thème de ce roman.
Le fond du problème
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Scobie vit dans un petit comptoir colonial de la Sierra Leone avec sa femme Louise. Mais tant d’années de mariage ont eu raison de la passion et la perte de leur fille âgée de neuf ans a laissé Louise inconsolable. Lorsque celle-ci décide de partir pour l’Afrique du sud, Scobie se retrouve seul et fait la rencontre de la jeune Helen : il en tombe aussitôt éperdument amoureux.
Sunset
Los Angeles… Douze millions d’habitants, mégapole du Troisième Millénaire, cité des mythes. Beverly Hills, Bel Air, Hollywood… Ses milliards, ses ghettos, parano… Soleil, palmiers, ciel bleu, piscines… Jusqu’au jour où débarque un dissident russe, Kostia Vlassov. Jeune, beau, sans le sou.
La rose du Grand Moghol
Voici un présent pour vous, ma rose. Pourquoi m’appelez vous toujours ainsi ? Vous connaissez pourtant mon nom. Votre peau a la couleur des roses blanches de mes jardins de Lahore, vos lèvres celle des roses rouges et vos yeux, le vert tendre de leurs feuilles.
Les rivières pourpres
Un cadavre, horriblement mutilé, suspendu entre ciel et terre dans les montagnes de la région grenobloise. Une tombe, celle d’un petit garçon, mystérieusement » visitée » pendant la nuit, cependant que les dossiers le concernant disparaissaient de son école. Deux énigmes, que vont s’attacher à résoudre deux flics hors normes : Pierre Niémans, policier génial, dont les méthodes peu orthodoxes ont compromis la carrière. Et Karim Abdouf, l’ancien délinquant devenu flic, dont la couleur de peau et les dreadlocks suscitent plutôt la défiance dans le trou de province où on l’a nommé… Les deux affaires vont se rejoindre, et les deux hommes se reconnaître. Ensemble, ils vont remonter vers le terrifiant secret des rivières pourpres. Un secret qui ne nous sera livré qu’aux dernières pages de ce thriller exceptionnel, dû à l’auteur du Vol des cigognes et récemment porté à l’écran par Mathieu Kassovitz.
Le vol des cygognes
Un ornithologue suisse est trouvé mort d’une crise cardiaque… dans un nid de cigognes. Malgré cette disparition, Louis, l’étudiant qu’il avait engagé, décide d’assumer seul la mission prévue : suivre la migration des cigognes jusqu’en Afrique, afin de découvrir pourquoi nombre d’entre elles ont disparu durant la saison précédente… Parmi les Tsiganes de Bulgarie, dans les territoires occupés par Israël, puis en Afrique, Louis court d’énigme en énigme et d’horreur en horreur : observateurs d’oiseaux massacrés, cadavres d’enfants mutilés dans un laboratoire… Les souvenirs confus de son propre passé – ses mains portent des cicatrices de brûlures depuis un mystérieux accident – se mêlent bientôt à l’enquête. Et c’est au cœur de l’Inde, à Calcutta, que surgira l’effroyable vérité… Suspense, imagination, vérité documentaire : ce thriller captivant, véritable coup de maître, est le premier roman de l’auteur du best-seller Les Rivières pourpres.
Survol
Cerné depuis des décennies par les Terres Maudites, royaume des démons dont l’haleine empoisonnée apporte la maladie et la mort, le Territoire a confié la surveillance de ses frontières aux Guetteurs. Grâce aux Servols, cerfs-volants géants qui les entraînent au bout de leur câble jusqu’à plus de mille mètres de hauteur, les Guetteurs, élite d’une société militaro-religieuse qui leur est toute entière dédiée, n’ont cessé de monter une garde vigilante, périlleuse, mais devenue aussi muette qu’inutile. Car, au fil du temps, les démons, pauvres diables mutants, ont disparu ; les nuages ont perdu leur radioactivité et l’herbe a repoussé sur les terres brûlées.
Je n’ai aimé que vous
Myriam Dulac a disparu. Est-elle morte ? A-t-elle rejoint, au-delà des mers, ceux dont elle partageait peut-être l’espoir et les combats ? A-t-elle voulu, par cette fuite, manipuler secrètement les désirs d’autrui ? Laura, une jeune photographe qui l’a suivie des années durant à travers le monde, ignore tout, presque tout. Pourtant, et impérieusement, il lui faut retrouver la trace de cette femme troublante.Quête intense, déraisonnable, qui la conduit à prendre sa place entre son mari et sa fille : peut-on se glisser sans risque dans une vie qui ne vous appartient pas ?
Roman (Biographie)
Grand cinéaste ou play-boy international, victime ou viveur? Qui est Roman Polanski? La presse mondiale l’a traité de tout et de son contraire. Pour la première fois, le génial réalisateur du Bal des vampires s’est décidé, nous dit-il, « à mettre sur le papier ce que je crois être ma vérité » Il le fait sans détour, révélant, avec un luxe de détails, la mosaïque de son existence.
L’embellie
Hélène est jeune. Elle a une fille. Babou, une gamine très délurée. Elle veut vivre. Des hommes Pourquoi pas ? Un homme, elle a déjà donné. Et puis, lors d’un voyage au Tibet où Babou l’a entraînée, elle va rencontrer et aimer jean, qui est exactement ce qui ne lui convient pas : un être parfaitement instable, qui ment, toujours prêt à disparaître.
Haute-Pierre
Un homme, une femme et un enfant surdoué s’installent pour quatre saisons qui s’annoncent merveilleuses dans un vieux manoir, Haute-Pierre. Après un été splendide, l’automne se referme sur Haute-Pierre où d’étranges phénomènes se produisent soudain. Mais, aujourd’hui, qui peut encore croire aux maisons hantées ?
La terre chinoise
Quelle aide serait pour un paysan pauvre une jolie femme tout occupée de sa beauté et de ses toilettes au lieu de travailler avec lui dans les rizières ? dit sagement le père de Wang Lung quand celui-ci atteint l’âge de se marier. Il lui choisit donc comme épouse une esclave « ni jeune ni belle »appartenant à la noble Maison de Hwang. O-len est laide, tacitu.
Bunker
Une angoissante course au trésor dans une maison hantée par des fantômes à croix gammée. Une ancienne cité balnéaire où la jungle crève les trottoirs, où les singes envahissent les cabines téléphoniques. Un vieillard mythomane, concierge d’un bunker abandonné, sentinelle d’apocalypse veillant sur les ruines d’un laboratoire digne des « médecins » maudits du IIIe Reich ! Au bout du compte, un cocktail au goût de sang.
Ne réveillez pas les morts
Par un matin pluvieux de novembre, dans les environs de Londres, un éclusier découvre un cadavre flottant sur l’eau. La police locale identifie l’individu grâce aux papiers retrouvés sur lui : il s’agit de Connor Swann, l’époux de Julia, la fille de sir Gerald Asherton, un célèbre chef d’orchestre, et de Dame Caroline Stowe, une cantatrice réputée.
Le roman des Chirac
Voici les secrets d’un couple qui a occupé le devant de la scène politique pendant près de quarante ans. Un véritable roman d’amour et d’ambition ! Où l’on découvre comment Bernadette a su imposer à ses parents un mariage dont ils ne voulaient pas ; comment Jacques, fils unique et adulé, s’est imposé comme le seul centre d’intérêt de sa propre famille, au point de peser lourdement sur le destin des siens ; comment, à l’Élysée, il a su utiliser la rivalité entre sa femme et sa fille cadette, Claude, pour mieux rester le seul patron.