Le Pacte Holcroft
L’enjeu du Pacte Holcroft est la coquette somme de 700 millions de dollars, déposée en 1945 dans une banque suisse par trois nazis repentis : les généraux Clausen, von Tiebolt et Kessler. L’argent est destiné à leurs descendants, afin qu’ils l’utilisent en dédommagement des crimes d’Hitler contre l’humanité.
C’est ainsi qu’un beau matin, Noël Holcroft, le fils de Clausen, reçoit une lettre écrite quarante ans après l’effondrement du IIIe Reich. S’il veut blanchir son père, Holcroft doit retrouver les enfants de von Tiebolt et de Kessler et, avec eux, signer le Pacte. Le rendez-vous est fixé à Genève. Mais les associations nazies et les services secrets anglais, américains, israéliens ne l’entendent pas de cette oreille…
La Marque de Windfield
L’auteur du Code Rebecca et de l’inoubliable fresque des Piliers de la Terre nous emmène ici, avec sa prodigieuse science de l’intrigue, au cœur de l’Angleterre victorienne.
En 1866, plusieurs élèves du collège de Windfield sont les témoins d’un accident au cours duquel un des leurs trouve la mort. Mais cette noyade est-elle vraiment un accident ? Les secrets qui entourent cet épisode vont marquer à jamais les destins d’Edward, riche héritier d’une grande banque, de Hugh, son cousin pauvre et réprouvé, de Micky Miranda, fils d’un richissime Sud-Américain.
Autour d’eux, des dizaines d’autres figures s’agitent, dans cette société où les affaires de pouvoir et d’argent, de débauche et de famille, se mêlent inextricablement derrière une façade de respectabilité…
La nuit de tous les dangers
Southampton, Angleterre, septembre 1939 : l’Europe entre en guerre, et le Clipper de la Pan American – un fabuleux vaisseau des airs, le plus luxueux hydravion jamais construit – décolle pour la dernière fois vers l’Amérique. A son bord, un lord anglais, fasciste notoire, et sa famille ; une princesse russe ; un couple d’amants ; un beau jeune homme, très intéressé par les bijoux qui ne lui appartiennent pas ; et puis le chef mécanicien, officier irréprochable, soumis au plus odieux des chantages. Durant trente heures de traversée, la tempête va secouer l’appareil. Au-dehors… et au-dedans. Un savoureux cocktail de suspense et d’humour, écrit par le romancier de L’Arme à l’œil et du Code Rebecca.
L’agenda Icare
Sur l’agenda d’Icare, une page blanche : y inscrira-t-on la date de sa mort ou celle des son accession au pouvoir suprême ?
Parce qu’il s’est héroïquement comporté lors d’une prise d’otages dans le sultanat d’Oman, Evans Hendricks, dit « Icare », se trouve un an après les événements à la une de la presse internationale.
Qui cherche ainsi à le désigner à la vindicte des terroristes ? Quelles sont les forces obscures qui s’emparent de cet homme tranquille et sans ambition, l’une le poussant vers l’élection à la présidence des États-Unis, l’autre précipitant sa chute ?
Après La Mémoire dans la peau, La Progression Aquitaine, Une invitation pour Matlock, le roman le plus ambitieux d’un maître incontesté du suspense.
Sur la route de Gandolfo
Un général baroudeur et forte tête, à la carrière jalonnée d’exploits guerriers et d’incidents diplomatiques, qui va se reconvertir dans le gangstérisme de haut vol ; ses quatre épouses, plus séduisantes les unes que les autres, demeurées ses admiratrices et à l’occasion ses complices ; un jeune lieutenant à la veille de sa démobilisation qui rêve de retrouver la quiétude de son cabinet d’avocat et va connaître des émotions fortes ; un pape haut en couleur, doté d’une solide philosophie de la vie ; son cousin ténor d’opéra qui lui ressemble comme un frère : tels sont les personnages dont les destins vont se croiser dans la plus extravagante des aventures. Les situation inattendues vont se succéder jusqu’à l’étonnant rebondissement final…
Sur la route de Gandolfo est un thriller captivant. Robert Ludlum, l’auteur de La Mémoire dans la peau, un des maîtres mondiaux du suspense, nous offre toutes les ressources de son humour et de son imagination.
La Mort à Venise est le récit de la passion folle et fatale qui saisit un écrivain d’âge mûr et l’apparition d’un gracieux adolescent d’une extraordinaire beauté. Dans Tristan, le dilemme qui s’offre à l’héroïne est de tenter de vivre en étouffant ses dons d’artiste ou mourir de musique. La fin de Lobgott Piepsam dans Le Chemin du cimetière prouve que la vie est dure aux faibles, mais que la mort vaut mieux que la débâcle d’une constante lâcheté. C’est peut-être dans ses nouvelles que Thomas Mann, le plus célèbre écrivain allemand de ce siècle, a mis le meilleur de sa verve ironique et de sa sensibilité musicale, de son émotion discrète et dominée, qui se drape volontiers d’un sarcasme. Introduction et notes d’Armand Nivelle.
La nuit de tous les dangers
Southampton, Angleterre, septembre 1939 : l’Europe entre en guerre, et le Clipper de la Pan American – un fabuleux vaisseau des airs, le plus luxueux hydravion jamais construit – décolle pour la dernière fois vers l’Amérique. A son bord, un lord anglais, fasciste notoire, et sa famille ; une princesse russe ; un couple d’amants ; un beau jeune homme, très intéressé par les bijoux qui ne lui appartiennent pas ; et puis le chef mécanicien, officier irréprochable, soumis au plus odieux des chantages. Durant trente heures de traversée, la tempête va secouer l’appareil. Au-dehors… et au-dedans. Un savoureux cocktail de suspense et d’humour, écrit par le romancier de L’Arme à l’œil et du Code Rebecca.
L’herbe rouge
Serait-on heureux si l’on obtenait sur-le-champ ce qu’on désire le plus au monde? La plupart des gens répondent oui, le sénateur Dupont aussi.
Wolf, quant à lui, prétend que non. Pour le prouver, il va chercher l’objet des vœux du sénateur: un ouapiti.
A la suite de quoi, le sénateur Dupont tombe dans un état de béatitude qui ressemble fort à de l’hébétude. Bien que le sénateur Dupont ne soit qu’un chien, ce spectacle déprimant accroît encore la mélancolie de Wolf.
Vivre doit être autre chose qu’une oscillation de pendule entre cafard et sotte félicité. Pour en avoir le cœur net, Wolf utilise la machine qu’il a inventée avec l’aide de son mécanicien Saphir Lazuli.
D’une plongée à l’autre, qu’apprendra-t-il… et où plonge-t-il?
C’est le secret de L’Herbe rouge, qui est aussi celui de Boris Vian – sous le travesti de l’humour noir, il met en scène ses propres inquiétudes avec la frénésie d’invention burlesque qui l’a rendu célèbre.
Sex and the City
Elles sont journalistes, marchandes d’art, avocates, responsables des relations publiques. Elles ont tout pour plaire: jeunes, jolies, brillantes, sexy, indépendantes. Tout, sauf ce qu’elles cherchent désespérément: le partenaire idéal.
Dans la jungle new-yorkaise, les places au soleil sont chères, Sex and the City en témoigne. Devenue un livre-culte avant d’inspirer une série télévisée, cette chronique à la fois hilarante et terrifiante des moeurs amoureuses et sexuelles de l’élite de Manhattan met l’Amérique WASP en émoi. Il est vrai que Candace Bushnell, journaliste branchée du New York Observer, n’hésite pas à bousculer le « sexuellement correct » de rigueur, en narrant en toute impudeur les aventures de ses contemporaines, leurs états d’âme et leurs frasques sexuelles. Ou du moins, ce qu’il en reste…
Bienvenue dans l’ère de l’innocence perdue: un regard lucide et impitoyable sur une société qui fout décidément le camp.
Tereza Batista
Dans un pauvre village du Nordeste brésilien, le destin d’une jolie orpheline est irrémédiable, même si elle est le chef de la bande des gamins du village. Tereza sera vendue quinze mille cruzeiros et une bague en toc alors qu’elle n’a pas encore quinze ans. L’acquéreur est Justiniano Duarte da Rosa, homme riche et atrabilaire, voleur, assassin et grand amateur de combats de coqs. Il collectionne les petites filles, celles qui sentent encore le lait et à chaque nouveau viol ajoute un anneau d’or à son collier. Justiniano apprendra la peur à Tereza, à coups de lanière et au fer rouge. Il possédera son corps en l’avilissant. Passe un gigolo au visage d’ange, Tereza croit découvrir l’amour, son indompta-ble nature renaît et elle tue son bourreau. Elle échoue alors dans une maison de prostituées. Depuis longtemps, le seigneur des lieux, le docteur Emiliano Guedes, l’homme à la cravache d’argent, propriétaire de la banque des Etats-Réunis de Bahia et du Segipe, désirait le corps de miel de Tereza. Il l’enlève du bordel et six années plus tard, de maîtresse en titre, Tereza est devenue une femme aimée et comblée, chaque coup de fouet du Capitao a été effacé; Tereza s’est épanouie en beauté, en élé-gance et en grâce. Le sort lui enlève brutalement l’être tant aimé et c’est de nouveau pour elle la prostitution dans un monde où sévit la famine et la variole. Seules les prostituées enrôlées par Tereza vont soigner les malades et luttent contre l’épidémie.
Cette immense fresque populaire est à l’image des carnavals .brésiliens. Les participants y sont aussi nombreux. Tous les masques sont là: celui de la lubricité comme celui de l’amour, le sadisme, la corruption, la folie, la bourgeoisie, la propriété, la famille. Jorge Amado fait vivre mille et un personnages issus de sa terre. Le corps de Tereza est le symbole du peuple brésilien. Tereza Coup de Couteau, Tereza des Sept Soupirs, Tereza aux Mains de Velours, Tereza Chasse la Peur. La malédiction et l’espoir d’un peuple est chanté dans ce livre, avec tout le rythme envoûtant, la poésie et la sensualité de sa terre.
Sunset
Los Angeles… Douze millions d’habitants, mégapole du Troisième Millénaire, cité des mythes.
Beverly Hills, Bel Air, Hollywood… Ses milliards, ses ghettos, parano… Soleil, palmiers, ciel bleu, piscines… Jusqu’au jour où débarque un dissident russe, Kostia Vlassov. Jeune, beau, sans le sou. Alors, soudain, la carte postale se déchire, les façades s’effritent et tous les secrets de la ville explosent dans une traque à couper le souffle, qui nous bouscule des résidences des rois du monde aux taudis de Down Town, des salons de massage aux cliniques de désintoxication, des soirées haschisch aux rodéos meurtriers des Hells Angels, des plages de Malibu aux bordels de Colombie, des homos aux héros, des studios où se fabriquent les rêves à la chambre de Jenny. Jenny… La plus grande star du cinéma… Richissime, adulée, paumée, droguée… Regardez bien sous son lit : le Russe est peut-être dessous. Un roman haletant, trépidant, imprévisible, fort comme la cocaïne et plus vrai que la vie. Seul Pierre Rey pouvait l’écrire. Los Angeles, il connaît bien : il y vit.
La ville des frelons
Charlotte, en Caroline du Nord. Une cité depuis longtemps surnommée «le nid de frelons de l’Amérique». La violence y est quotidienne. Virginia West, chef de la police, enquête sur une série de meurtres visant exclusivement des hommes d’affaires. C’est dire si elle est ravie lorsque sa supérieure hiérarchique lui confie pour mission de patrouiller dans la ville avec Andy, un jeune journaliste désireux de vivre la vie des flics au quotidien… Mais Andy, d’abord maladroit, se révélera assez vite un coéquipier hors pair…
Vipère au poing
Ce roman, le plus célèbre de l’auteur, est aussi largement autobiographique. Comme dans l’ensemble de son oeuvre, Hervé Bazin y donne les raisons de sa haine et de son combat contre toutes les oppressions familiales et sociales. Vipère au poing raconte la lutte impitoyable livrée par Brasse-Bouillon, alias Jean Rezeau, ainsi que ses frères, contre leur mère, une marâtre odieuse, calculatrice et violente. Folcoche, ainsi que ses enfants la nomment, règne avec autorité sur une famille angevine bien-pensante, ne lésinant pas sur les coups de fouet, les brimades et les humiliations. Mais Brasse-Bouillon est malin, vif et clairvoyant. Il affronte sa mère en lui tendant à son tour les pièges qui l’aideront à avoir raison d’elle. Au premier degré, le livre possède un incontestable humour qui marque les esprits (inoubliable Folcoche, parangon de méchanceté !). Mais, il est avant tout un cri d’enfant et la dénonciation d’un certain modèle d’éducation qui fit longtemps les beaux jours des familles françaises. Pour son auteur, cela reste à tout jamais un traumatisme et un échec.
L’Ange de Bagdad
Bagdad, printemps 2003. Chargé d’organiser les exportations clandestines du pétrole brut pendant l’embargo, Michel Samare, ingénieur et homme d’affaires Irakien, attend l’arrivée des Américains. Très vite, il voit s’éloigner les espoirs de démocratie qu’il fondait pour son peuple. Ulcéré par les méthodes d’occupation brutales et le pillage des richesses de son pays, Michel décide de s’opposer à la toute-puissance de George W. Bush. Le combat de David contre Goliath peut sembler utopique. Pourtant, grâce à des complicités internationales nouées du golfe de Guinée au Texas, soutenu par une belle Australienne pacifiste, Michel monte une machination machiavélique destinée à ruiner les intérêts personnels et pétroliers de la famille du président américain.
L’Exilé
Un tueur, cherchant à effacer des indices compromettants, qui laisse dans son sillage une ribambelle de cadavres…
Un jeune flic, issu d’une unité de Los Angeles, qui se lance à sa poursuite…
Un monstre, une machine à tuer programmée depuis l’enfance, dont les visées, lorsqu’elles seront révélées au grand jour, ébranleront l’Occident…
Des Etats-Unis à Saint-Pétersbourg en passant pat Londres et la France, l’ » éxilé » est l’histoire d’une chasse à l’homme sans merci. Le troisième roman d’Allan Folsom est sans conteste le plus achevé, le plus sanglant aussi.
Rien ne s’oppose à la nuit
Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l'écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd'hui je sais aussi qu'elle illustre, comme tant d'autres familles, le pouvoir de destruction du verbe, et celui du silence.
Sépulcre
Octobre 1891 : La jeune Léonie Vernier et son frère Anatole quittent Paris pour le Domaine de la Cade, à quelques kilomètres de Carcassonne. Dans les bois qui entourent la maison isolée, Léonie tombe par hasard sur les vestiges d’un sépulcre wisigoth. Tandis qu’elle progresse peu à peu dans les strates du passé, elle découvre l’existence d’un jeu de tarot dont on prétend qu’il détient les pouvoirs de vie et de mort.
Octobre 2007 : Meredith Martin arpente les contreforts pyrénéens dans le but d’écrire une biographie de Claude Debussy. Mais elle est aussi à la recherche de la clé susceptible de lui révéler ses propres origines. Armée d’une partition pour piano et d’une vieille photographie, la voilà plongée malgré elle au cœur d’une tragédie remontant à plus d’un siècle où le destin d’une jeune fille, disparue par une nuit funeste, se mêle inextricablement à une dramatique histoire d’amour.
Histoires piégées
Si, errant par la pensée dans La ville fantôme et y cherchant A la pâle clarté des réverbères quelque Interlude pour un meurtre qui soit Garanti sans douleur, vous laissez, par Simple curiosité, Une si gentille serveuse vous entraîner A travers le mur vers un Duel à mort mettant aux prises Quatre amis sûrs, vous aurez soudain La peur pour compagne et vous vous sentirez Passionnément coupable, au point d’estimer que cela mériterait une Édition spéciale… comme celle -que vous offre ici, en un court roman, le célèbre écrivain William P. McGivern !
Carol
Thérèse travaille dans un grand magasin. Dans la vie de la jeune fille fait irruption une femme belle, fascinante, fortunée. Thérèse découvre, en la fréquentant, ce qu’elle n’a jamais éprouvé pour un homme, l’amour. Une passion va naître et grandir, une complémentarité s’établit, qu’aucune différence des sexes ne peut égaler. Néanmoins, la morale veille par l’intermédiaire du mari de Carol avec lequel elle est en instance de divorce, et qui se servira de leur petite fille pour exercer sur elle un chantage.
Substance B
Clara Zelmeyer, jeune biologiste de génie à l’Institut Pasteur, aurait dû se méfier……… Si la Morgan Chemical, multinationale américaine de l’industrie pharmaceutique, lui offre un pont d’or et des moyens illimités pour parachever sa découverte, ce n’est pas forcément pour de bonnes raisons. Dès son arrivée à New York, un piège diabolique va se refermer sur elle, inexorablement. Car la Substance B molécule miracle qui lave le cerveau humain de tout stress et de toute angoisse, déchaîne les convoitises,. Un gourou fanatique, un mystérieux émissaire du Vatican, des puissances financières implacables s’engagent dans une lutte sans merci pour s’approprier le médicament du siècle : la Substance B… B comme bonheur ?
Toilettes pour femmes
Il est à peu prés impossible de résumer le foisonnement de personnages et d’événements que referme cet ouvrage. Marilyn French a réussi un tour de force: fabriquer du banal et du quotidien, sur un ton qui n’est jamais ennuyeux ou plaintif, « un monument aux femmes, à toutes les femmes que j’ai connues », comme elle le dit elle-même. Un très grand roman!
Lucie Ménard. Madame
Violent, irritant, hurlant et désespéré, ce livre éclate de vie.
L’Ecole des parents
La conjuration de la sixtine
Intrigues de pouvoir, secrets d’État, liens parfois tortueux avec la politique, l’argent ou la mafia… Derrière la splendeur de Saint-Pierre et les bénédictions papales, le Vatican a lui aussi sa part d’ombre. Et dans ses archives interdites dorment des secrets venus du fond des âges.De mystérieuses inscriptions, découvertes lors de la restauration des fresques de la Sixtine, laissent augurer un séisme. Elles constitueraient la vengeance de Michel-Ange contre les papes qui l’ont si durement traité. Mais quelle vengeance? Alors que la Curie veut étouffer l’affaire, le cardinal Jellinek décide de le savoir, coûte que coûte. De l’atelier de Buonarroti à la chambre d’agonie de Jean-Paul I, des écrits kabbalistes médiévaux aux recherches des savants contemporains, il va remonter peu à peu vers la plus inattendue et la plus terrible des révélations. Un secret auquel fut initié le Florentin, et que les nazis ont connu. Une vérité susceptible de faire chanceler l’Église tout entière…
Amazone
Le Fleuve était rouge, le musicien noire et le piano blanc. Curieux tableau, en fait. Et l’ensemble avançait au même rythme que la musique, une musique qui se glissait et se répandait dans la jungle comme un long serpent aux harmonies multicolores. Amazone ou l’étonnante odyssée d’un piano blanc au cœur de la forêt amazonienne : un voyage aux sources de la musique, de la folie et du rêve.
Marie-Antoinette – La mal-aimée
« La charrette s’arrête si brutalement que Marie-Antoinette manque de tomber en avant. Le bourreau la retient avec sa corde, telle une bête. Ils sont arrivés? Marie-Antoinette descend de la charrette et monte de son pas de danseuse, « à la bravade », les onze marches humides, avec tant de hâte qu’elle égare un de ses souliers. Elle regarde autour d’elle, rejette le bonnet? Le dernier collier de la reine est une lunette en bois que l’on visse et qui ne fait pas souffrir. » Ainsi meurt Marie-Antoinette, décapitée le 16 octobre 1793, emportée par le vent de la Révolution à l’âge de 38 ans. Hortense Dufour raconte le destin extraordinaire de cette reine de France née en 1755, fille de la célèbre impératrice d’Autriche Marie-Thérèse, mariée au futur Louis XVI à l’âge de quinze ans. Personnage controversé de l’histoire de France, elle est aussi une héroïne de tragédie, ballottée entre l’amour et la haine de ses sujets, partagée entre une vie conjugale difficile et une passion dévorante pour Axel de Fersen, dépensière, frivole, scandaleuse mais aussi fragile et terriblement seule. Le lecteur suit ses pas depuis Vienne jusqu’à Versailles, lieu de fastes et d’intrigues, à l’exemple de l’affaire du Collier. La Révolution française scelle le sort de « l’Autrichienne », emblème d’une monarchie honnie et d’un temps révolu, enfermée à la Conciergerie et dépouillée de tout. Marie-Antoinette, la mal-aimée narre avec détail et réalisme la courte vie de la veuve Capet. –Loïs Klein
Trente milliards de rats grouillent sous nos pieds, dans le monde d’en bas. Autant de tueurs, porteurs de peste et de mort, que le féroce Alcibiade, numéro deux de l’Empire, rêve de déchaîner contre l’espèce humaine… Face aux complots de ce courtisan ambitieux, le vieux Jupiter, empereur des rats, dispose d’un atout : Coriolan, l’héritier issu d’une rate de laboratoire et capable de dialoguer avec les hommes. A la mort – mystérieuse – de Jupiter, le jeune prince entreprend d’accomplir sa mission de paix, mais le connétable Alcibiade ne désarme pas. Commence alors, au plus profond des égouts et des galeries souterraines, un duel impitoyable pour lequel Alcibiade semble disposer de toutes les armes ; il n’a oublié qu’un détail : Coriolan n’est plus tout à fait un rat… Terreur, suspense, aventure, anticipation… Le romancier de La Nuit des enfants rois et de La Guerre des cerveaux poursuit ici une fresque prodigieuse, d’une imagination époustouflante… et d’un réalisme à donner le frisson. Les rats de Lenteric, c’est Shakespeare underground. Branle-bas d’armées, luttes de pouvoir, princes rampants, en tenue d’apparat, forcément, rongeant leur frein… Ça grouille sérieux sous Montsouris ! Pierre Vavasseur, Le Parisien.
Tempête sur Babylone
Le président irakien Saddam Hussein a été abattu le 28 avril 1992 à Tikrit, à 150 km de Bagdad, au cours d’une revue militaire, par un commando de six hommes que dirigeait le capitaine Ed Howard… Une question subsiste : est-ce bien l’ennemi n°1 des puissances occidentales, capable de déstabiliser tout le Moyen-Orient, qui est tombé sous la balle d’un tireur d’élite placé à 1 200 mètres de distance ? Ou l’une de ses nombreuses doublures ? Ancien chef de commandos de l’armée britannique, David Mason a pu accéder à des dossiers « secret défense ». Il a lui-même mis au point et testé les moindres détails techniques de l’opération. Il nous entraîne dans un scénario de politique-fiction aussi haletant que les meilleurs Forsyth, aussi rigoureux et précis que l’inoubliable Octobre rouge de Tom Clancy
Etat de siège
Maître du trafic mondial de drogue, exaspéré par l’extradition de l’un des siens, le cartel de Medellin décide de passer à l’offensive à l’intérieur même du territoire américain. Bombes, commandos-suicide, attenta contre le Président, corruption et manipulations au plus haut niveau : ni l’armée ni la CIA ne sont à même de mener cette guerre multiforme, insaisissable. C’est à Jake Grafton, héros du Vol de l’Intruder et de Dernier vol, qu’il incombe d’affronter cet ennemie implacable, dans une lutte qui nous mène au cœur des milieux politiques et dirigeants américains.
Le salaire de la peur
Ils ont été pris au piège de ce port sordide du littoral sud-américain, dans un décor de fin du monde. Pour ces vagabonds des tropiques, aventuriers faméliques, criminels, il ne reste plus qu’à mourir sur place ou récolter quelques dollars pour fuir cet enfer. Quitte à y laisser leur peau, un Français et trois autres desperados acceptent une mission suicide : convoyer, sur des pistes impraticables, un camion hors d’usage chargé de nitroglycérine. Un camion qui prend des allures de destin. Commence alors une épopée de l’angoisse pure et de l’absurde…
Le quatrième K
Dans Le Parrain, Mario Puzo avait pris comme trame romanesque l’univers de la mafia. Cette fois-ci, avec Le Quatrième K, Son nouveau grand roman, il s’attaque à un autre tabou : le pouvoir politique – en s’appuyant sur l’un des mythes contemporains les plus fascinants : la légende des Kennedy. A la fin de notre décennie, à la Maison-Blanche, Francis Xavier Kennedy, cousin de John et Robert, termine son mandat présidentiel et s’apprête à faire campagne. Il n’est déjà plus l’homme aux idéaux triomphants que l’Amérique avait adulé – le pouvoir l’a usé. Et, lorsque sa fille est prise en otage dans un violent complot terroriste, Kennedy, obsédé par l’assassinat de ses oncles, n’hésite pas à déclencher, en représailles, une série de mesures sanglantes que le monde et ses proches contemplent avec horreur. Un suspense explosif aux rebondissements spectaculaires pour servir une intrigue digne de Machiavel. Un grand Puzo.
Il était un secret
Le terrible secret d’une femme peut-il en sauver une autre des décennies plus tard ?
Une virée entre amis s’achève en tragédie. Une jeune veuve trouve un bébé abandonné sur le pas de sa porte. Une mère se bat pour sauver son fils de la maladie.
Alors que ces destinées brisées par le temps nous plongent dans des tourbillons d’émotion, la force de l’amour leur permettra de se croiser et de s’unir sous le sceau d’un secret enfin révélé.
Le complot des anges
Barbara Wingate, romancière américaine, est agressée en Provence, dans la maison où elle reçoit souvent son amant John Leiser, un journaliste américain qui vit à Paris. La même nuit, un carnage a lieu tout à côté. Alerté, Julius Kopp, fondateur de l’AMPIR une agence de détectives d’un type nouveau, utilisant les technologies les plus avancées ,suit des pistes qui le mènent au Montana, ainsi que sur l’île grecque de Naximos, propriété de Kervorian, un milliardaire mégalomane qui se prend pour l’empereur Tibère. Parallèlement, des intégristes de toutes les religions se rencontrent à Rome et à Malte. Leur but: faire régner la terreur. Un Premier ministre israélien est abattu. D’autres attentats ensanglantent la planète. Mais est-ce Dieu que l’on sert ainsi ? Ou bien les appétits de puissance de ceux qui manipulent les fanatiques eux-mêmes ?Le romancier de Hannah, de Berlin et des Maîtres de la vie nous donne une fois encore un thriller percutant, en prise directe avec les enjeux les plus brûlants de notre fin de siècle.
Un cri dans la nuit
Jeune divorcée, Jenny se débat dans la vie pour élever ses deux petites filles. Lorsqu’elle fait la connaissance du beau, riche et irrésistible Erich Krueger, Jenny a le coup de foudre. Après une cour hâtive, Erich l’épouse et l’emmène avec ses filles chez lui, au Minnesota, dans une maison de rêve. Mais le bonheur de Jenny ne dure pas longtemps. Bientôt survient une succession d’incidents étranges et terrifiants ; le conte de fées tourne à l’épouvante…Un cri dans la nuit, après La Nuit du renard et La Clinique du docteur H., confirme Mary Higgins Clark comme le maître incontesté du suspense.
Les Aventuriers
Pour survivre ou pour mourir, pour épouser la femme qu’ils aiment ou pour la quitter, pour devenir riche ou rester pauvre, pour sortir de la foule ou pour s’y perdre, pour faire la guerre ou pour avoir la paix, pour rire ou pour pleurer, pour résoudre les mêmes problèmes que vous dans le même monde que vous, ils ont choisi d’autres routes et d’autres moyens : misérables ou glorieux, criminels ou victimes, par leur volonté ou malgré eux, pour une heure ou pour une vie, ils sont devenus… Les aventuriers.
Dieu ?
Polytechnicien et généticien, Albert Jacquard fait grand crédit de la vérité scientifique et il tient pour vrai ce qui résiste à la critique rationnelle.
Mais c’est aussi un homme de conviction et d’engagement ; ses thèses – la solidarité des vivants, le dépassement de l’égoïsme individuel, la responsabilité devant l’avenir, le refus de la compétition, etc. – sont imprégnées des préceptes de la morale évangélique. Son livre sur saint François d’Assise (Calmann-Lévy) et son livre de dialogue avec l’abbé Pierre (Seuil) en témoignent.
Il a décidé ici de faire le point sur sa relation au catholicisme, à Dieu, à la croyance.
Dans une première partie, il prend à bras le corps le Credo de l’Eglise catholique et, mot à mot, il le commente en se demandant : Qu’est-ce qu’un scientifique du XXIe siècle peut retenir de cette prière ? Qu’est-ce qui tient encore ? Dans une seconde partie, il montre qu’on n’a pas besoin de croire à des dogmes et à une Eglise pour adhérer au message du Sermon sur la Montagne, et que ce dernier a conservé toute sa bouleversante fraîcheur si on le débarrasse de la dogmatique qui l’a recouvert.
Histoires à risques et périls
Depuis que, à l’instigation de Mon oncle Joaquin, j’exerce Du haut en bas mon boulot de Pseudo flic en m’efforçant d’Etre froid comme les arbres, je ne sais jamais Ni le jour, ni l’heure où l’on me demandera de partir pour L’empire du milieu afin de retrouver Le frère prodigue ou Un brave gosse qu’Un chantage intemporel a fait Le dindon de la farce. Il m’arrive d’en éprouver des Fourmillements en rêvant de quelque Amical exorcisme qui me rendrait La Baladeuse, à laquelle je crierais alors avec joie :
« Ils vous ont envoyée ! Aloha, Jenny Swire .» et avec qui je connaîtrais Un bonheur sans mélange.
Possession
Des objets peuvent-ils être bienfaisants ou maléfiques, agir sur le destin des hommes ? Qu’on accepte ou non de le croire, il arrive que de troublantes coïncidences leur soient associées, comme dans le cas de ce diamant bleu des Indes qui semble condamner à mort tous ses acquéreurs, ou de la mystérieuse ceinture de la Vierge qui, dit-on, permit à Anne d’Autriche de vaincre sa stérilité et de mettre au monde Louis XIV…D’autres objets ont un destin ou racontent une histoire singulière ou fascinante, qu’il s’agisse des tableaux volés par Adolf Hitler ou de ce livre que possédait l’astronome Camille Flammarion, et dont la reliure était faite de peau féminine.Aidés du commissaire-priseur Richard Morand, Jean-Marc Epinoux et Pierre Bellemare ont retrouvé la trace de ces objets que se disputent musées ou collectionneurs. Ils nous racontent soixante-dix histoires tour à tour cocasses, fantastiques ou effrayantes. Mais indubitablement vraies…
Toujours plus !
Au nom de l’égalité, les 54 millions de Français se proclament tous défavorisés et réclament plus d’argent mais aussi plus de droits, d’avantages, de loisirs et de garanties. « Toujours plus ! » Au terme d’une enquête sans précédent, François de Closets dresse le nouveau palmarès des inégalités révélant les Français qui jouissent des plus hauts revenus, mais également ceux qui bénéficient de la sécurité de l’emploi, des rentes de situation, des privilèges fiscaux, des positions de monopole, du travail agréable, du temps libre, des protections renforcées, des promotions assurées, des avantages en nature, des statuts confortables et des primes généreuses.
Ainsi est mise en évidence l’existence d’une France à l’abri de la crise, une véritable « privilégiature » qui englobe tout à la fois riches héritiers, opulents notaires, gros céréaliers et, plus modestes, les salariés des banques, d’E.D.F. ou des grandes entreprises.
A l’opposé de ces puissantes corporations se trouve la France faible et inorganisée, celle des petits patrons, des ouvriers, des travailleurs précaires ou sans emplois. Ahurissant contraste !
Un siècle de progrès social sépare le personnel douillettement installé dans les caisses d’épargne ou au {Journal officiel} et les travailleurs misérables du nettoyage ou de l’habillement.
Preuves à l’appui, chiffres en main, c’est la coupure en deux de notre société qui est ici dénoncée.
Au-delà du simple constat, Toujours plus ! pose les nouvelles règles du jeu entre les Français, celles qu’aucun gouvernement n’a encore eu le courage d’énoncer. En conclusion l’auteur propose une « société à la carte » qui, rejetant les guerres de religion, permettrait à chacun de choisir son destin.
A l’Ouest rien de nouveau
« Quand nous partons, nous ne sommes que de vulgaires soldats, maussades ou de bonne humeur et, quand nous arrivons dans la zone où commence le front, nous sommes devenus des hommes-bêtes… »
Témoignage d’un simple soldat allemand de la guerre de 1914-1918, Àl’ouest rien de nouveau, roman pacifiste, réaliste et bouleversant, connut, dès sa parution en 1928, un succès mondial retentissant. Il reste l’un des ouvrages les plus forts dans la dénonciation de la monstruosité de la guerre.
Jacquou le Croquant
Périgord, 1815. Jacquou a huit ans lorsque son père est condamné aux galères et meurt au bagne quelques mois plus tard.
Le jeune garçon jure de se venger de l’arrogant comte de Nansac, responsable de l’arrestation de son père. Quinze ans plus tard, révolté par la misère et les mauvais traitements qui s’acharnent sur lui et les siens, Jacquou rassemble les paysans et les persuade de combattre la tyrannie du comte.
Cette version abrégée du chef d’œuvre d’Eugène le Roy, publié en 1899, est fidèle à l’esprit et à la lettre du roman, tout en suivant les principales étapes du film de Laurent Boutonnat pour l’adaptation de Jacquou le Croquant au cinéma.
Les Messieurs de Grandval
« Les vignes de Sainte-Colombe », « Ce que vivent les hommes… ». Les sagas de Christian Signol ressuscitent avec bonheur des époques révolues, des personnages inoubliables. Du milieu du XIXe siècle à l’aube du XXe siècle, le romancier fait revivre ici une petite fonderie aux confins du Périgord et du Limousin, sur laquelle règne la dynastie des Granval. Dans la vallée de l’Auvézère, on est maitre de forge de père en fils, et Fabien, l’ainé, succédera au patriarche Eloi, fût-ce au prix de son bonheur, de sa liberté.
Amours interdites, destins brisés ou accomplis, lutte des classes … Christian Signol tresse d’une plume pleine d’admiration et de tendresse le destinée des gens du château et de ceux qui les servent, ouvriers ou paysans. Ce roman grave et prenant est aussi un magnifique hommage à ces hommes du fer et du feu habités par la passion de leur charge, balayés par les vents de l’Histoire et du progrès.
C’était le Pérou
Entre Bezons (banlieue de Paris) et le Machupicchu, entre la France et le Pérou, il y a plus de dix mille kilomètres. Quatre hommes, aussi différents que l’on puisse être, vont les franchir le temps des vacances. Leur rencontre, dans une voiture bringuebalante cheminant entre 3000 et 5 500 mètres d’altitude sur la route des Andes, va non seulement les entraîner dans d’abracadabrantes aventures, mais aussi changer à jamais leur vie.
La demoiselle d’honneur
Trois femmes occupent l’imagination de Philip : Rebecca, dont l’assassinat supposé passionne Londres ? il éprouve à son sujet une fascination pour la mort qui l’horrifie. Senta, rencontrée au mariage de sa sœur où elle était demoiselle d’honneur. Enfin une statue, représentant la déesse Flore : objet des fantasmes d’adolescent de Philip et propriété d’un personnage peu sympathique, elle ressemble extraordinairement à Senta, avec laquelle il vit une passion vénéneuse. Dans sa recherche du mystère de ces trois femmes, ce sont ses propres énigmes que Philip va peu à peu percer : la violence refoulée, l’inceste latent, l’obsession érotique et la pulsion meurtrière. Dans la parenté de Patricia Highsmith, un des chefs-d’œuvre du roman de psychologie criminelle.
Le destin de Robert Shannon
Robert Shannon aurait pu devenir un médecin connu et riche, mais c’est la recherche scientifique qui l’attire irrésistiblement. Malgré de nombreuses difficultés et des déceptions de toutes sortes, il persistera dans cette voie. A.J. Cronin nous décrit avec passion la carrière d’un chercheur pauvre. Un chef-d’oeuvre de A.J. Cronin !
Le tiers des étoiles
Bernanos disait que « la principale ruse du diable est de nous persuader qu’il n’existe pas ». Marc, le narrateur de cette confession passionnée, qui sait s’il ne l’a pas rencontré sur son chemin ? C’était dans les années 1960. Il avait près de quarante ans. Il était peintre et doutait de son art, de sa vie. Survient un admirateur inconnu, envoyé par son amie Geneviève – une camarade de jeunesse dont Marc n’a jamais tout à fait cessé d’être amoureux. Qui est ce Pierre, séduisant, enthousiaste et qui lui propose de peindre une fresque dans un ensemble qu’il a construit sur la Côte d’Azur ? Un connaisseur, un dilettante, un affairiste, un don juan, un joueur maléfique et métaphysique ? Marc ne saura jamais vraiment. Toutefois, il éprouve une irrésistible sympathie pour Pierre, au point qu’il paiera de sa personne pour sauver le ménage de son ami lorsque Nane, la femme de Pierre, débarque à l’improviste dans l’auberge où son mari fait l’amour avec une maîtresse d’occasion. Mais, peu à peu, Marc va être pris à son propre piège, avec la sournoise complicité de Pierre, comme si ce dernier voulait lui jeter Nane dans les bras. Chaste aventure d’abord, quoique troublante, équivoque et lumineuse pourtant. Bientôt Marc est emporté dans un tourbillon de sentiments, de violence, de frénésie, où l’âme a sa part autant que le sexe, tandis que Dieu, quelque part, veille, » petite brise « .
Le chevalier Tristan
Parmi les plus célèbres héros de la légende arthurienne, Tristan occupe une place unique. Son titre de chevalier dévoué à la cause du roi Marc, et son amour pour la reine Iseut font de lui une légende à part entière. Les principaux épisodes de ce destin extraordinaire sont réunis dans ce texte inédit : le duel contre le monstre Morholt, la conquête d’Iseut, le philtre d’amour, le bannissement, jusqu’à la mort tragique des deux amants.
L’or bleu
Bruce, ayant toujours vécu au large d’Uranus et de Saturne, vient pour la première fois en vacances sur Terre. Lancé malgré lui dans une folle course-poursuite jusqu’à Capri avec Bérénice, une jeune et superbe actrice, Bruce découvrira-t-il la vérité cachée par ceux qui détiennent le bien suprême : l’eau ? Un roman sur la question très actuelle des ressources de l’eau sur Terre, écrit par un auteur majeur de la science-fiction.
On a tué mes enfants
« On a tué mes enfants ! » hurle Diane Downs en arrivant à l’hôpital, ses trois enfants sont grièvement blessés à l’arrière de sa voiture. Cette tragédie bouleverse la tranquillité d’une petite bourgade américaine. La police se lance à la poursuite du mystérieux « homme aux cheveux longs » d’ écrit par la mère éplorée. Un procureur zélé, troublé» par les contradictions de Diane, fouille le passé de cette mère adorable et met au jour le pire des crimes…
Qu’est-ce qui fait courir Jane ?
Jane ne sait plus qui elle est, ni où elle habite, ni où elle va. Elle erre dans les rues de Boston. Elle a dix mille dollars en poche et sa robe est tachée de sang frais… Hospitalisée, elle retrouve son mari, un médecin réputé qui entreprend de lui rappeler leur vie commune. Mais peu à peu le soupçon naît en elle: Michael est-il bien son mari? Ce passé qu’on lui présente comme le sien est-il authentique? A moins qu’on ait voulu faire d’elle la criminelle idéale, dans cette bourgeoisie bostonienne où l’on sait si bien se taire et observer les convenances…Avec cette odyssée d’une femme amnésique, qui se bat seule contre l’angoisse de l’inconnu, Joy Fielding impose dans le thriller un ton singulièrement neuf, une authentique voix féminine.