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Démobilisé, Charles Desperrin arrive à Paris en mai 1919. Renouer avec sa vie antérieure lui paraît hors de question. Repartir pour l’Italie jouer les vignerons peintres auprès de Rosita qu’il a épousée sous le nom de Lorenzi? Impossible. Il va essayer d’oublier la guerre chez sa mère, à Gien. Il a presque oublié la peinture: un ami, Marc, le pique assez au vif pour qu’il file à Florence revoir ses toiles confiées à son ami Salti. Le même élan le ramène à Montparnasse, mais son heure n’a pas encore sonné. Il faudra que Salti organise à son insu une exposition triomphale pour qu’il secoue enfin sa léthargie et redevienne le bon géant ivre de peinture du temps de «Lorenzi» – ce temps que raconte «Vie d’un païen». C’est dans un atelier perché en haut de la colline du Télégraphe que Charles se lance à nouveau dans le tumulte joyeux de la création, envié de tous les Montparnos car ses tableaux italiens lui assurent gloire et fortune. Mais ce n’est pas d’argent que se préoccupe Charles. En même temps qu’il retrouvera ce grand courant de l’imagination qui lui fera mettre «la beauté à genoux», il rencontre Kali, une jeune femme inconnue, premier et seul amour de sa vie que tant de femmes auront traversée. Une nouvelle vie de démesure commence pour Charles Desperrin.
Le troisième jumeau
Une inquiétante plongée au cœur des manœuvres inavouables liées au génie génétique Comment deux vrais jumeaux peuvent-ils être nés de parents différents, des jours différents, à des endroits différents ? C’est à cette impossibilité biologique que se heurte Jeannie Ferrami, une généticienne de vingt-neuf ans spécialiste des jumeaux, lorsqu’elle se penche sur le cas étrange de Steve Logan et Dennis Pinker. Ils partagent le même ADN et sont de véritables Sosies, jusque dans leurs gestes et leurs manies, mais ils ne se connaissent pas et n’ont jamais entendu parler l’un de l’autre. Brillant étudiant en droit, Steve est un garçon sympathique et sans histoire. Dennis, lui, est un psychopathe endurci condamné à la prison à vie. Pourtant, c’est Steve qui est accusé d’un crime. Convaincue de son innocence, Jeannie s’acharne à rechercher la vérité. Autour d’elle, la violence et les agressions se multiplient. Tous les témoignages concordent : l’agresseur ressemble trait pour trait à Steve et Dennis. Qui est cet homme ? Jeannie n’a plus le choix : elle doit découvrir le secret des sosies et le véritable visage de son ennemi. Et s’il s’agissait d’un troisième jumeau ?
La mosaïque Parsifal (tome 2)
Par une nuit noire, sur une plage déserte en Espagne, un agent secret assiste, bouleversé, à l’exécution de la femme qu’il aime, accusée d’être un agent double. Mais quelque temps après, il l’aperçoit vivante en Italie et entreprend des recherches déses-pérées pour la retrouver en devenant lui-même la cible des tueurs. Qui donc est à l’origine de cette immense conspiration dont ils sont les premières victimes ? Son enquête, qui l’entraîne de la France aux Etats-Unis, lui fait découvrir un terrible mystère qui concerne la branche clandestine du département d’Etat, un dangereux groupe dissident du K.G.B., et même un fou et un agent double à des postes très haut placés à Washington. Une course folle s’engage pour sauver le monde d’un désastre nucléaire dont le menace celui que l’on recherche et qui s’appelle Parsifal.
Patricia Highsmith – 5 romans
– L’inconnu du Nord-Express
– Monsieur Ripley (Plein soleil)
– Ripley et les ombres
– Ripley s’amuse (L’ami américain)
– Sur les pas de Ripley
Mary Patricia Plangman, dite Patricia Highsmith, est une romancière américaine, née le 19 janvier 1921 à Fort Worth (Texas) et morte le 4 février 1995 à Locarno (Suisse). Elle est connue pour ses thrillers psychologiques, à partir desquels ont été tirés une douzaine de films.
Son premier roman, L’Inconnu du Nord-Express, est adapté trois fois au cinéma, notamment par Alfred Hitchcock en 1951. Sa série de romans mettant en scène le personnage de Tom Ripley a également été adaptée à plusieurs reprises à l’écran. Elle a aussi écrit un certain nombre de nouvelles, toutes teintées d’humour noir.
L’effet Lazare
Les océans de Pandore ont jadis été habités par un être immense et intelligent, le varech Avata. Mais les humains qui ont entrepris de coloniser Pandore ont détruit Avata et découvert à leurs dépens que le varech régulait la turbulence des océans. Les flots ont érodé les continents. Les Siréniens qui habitent les profondeurs de la mer et les liens qui vivent sur d’immenses radeaux semi-vivants parviendront-ils à surmonter leurs différences pour ressusciter Avata ? Il y faudra l’amour du poète Panille et de Karen la Sirénienne. Franck Herber, l’auteur de Dune, poursuit avec Bill Ransom la série commencée avec Destination : vide et continuée par L’Incident Jésus, sui réunit les thèmes de l’intelligence artificielle et de l’ordinateur devenu dieu, de la conquête d’un monde étrange et dangereux, et de l’évolution de l’humanité à travers ses propres manipulations génétiques.
Célestine du Bac
Lui, dix-huit ans, fils de bonne famille, solitaire et rêveur. Elle, sans âge, sans domicile, abîmée par la vie et l’alcool. Tout les sépare. Pourtant, un jour, rue du Bac, à Paris, leurs chemins se croisent. Contre toute attente, une extraordinaire amitié se noue. De celles qui changent une vie. De celles qui forgent à jamais une personnalité. Saisir sa chance, affronter le mystère familial qui le hante, c’est ce que Célestine va transmettre à Martin. Et plus encore… « Ce roman, je l’ai écrit en 1990. J’avais rangé le manuscrit dans un carton, puis l’avais oublié. Jusqu’au jour où, à l’occasion d’un déménagement, nous nous sommes retrouvés, lui et moi. Je l’ai relu avec émotion et il m’a semblé qu’il avait aujourd’hui une résonance particulière. Il est là, entre vos mains. » Tatiana de Rosnay
Le directeur de nuit
Directeur de nuit au Meister Palace de Zurich, Jonathan est un idéaliste blessé. Pour venger une femme qu’il a aimée – et trahie à son insu -, il se laisse recruter comme agent secret. Il infiltre l’entourage d’un des richissimes marchands d’armes de la planète. A bord du Pacha de fer, véritable quartier général flottant, et Sur une île des Caraïbes, un nouvel amour lui donne la force de croire encore en lui-même, alors que le désarroi des services secrets et la corruption du monde l’inciteraient à lâcher prise. Notre monde inquiet, ses nouveaux dangers : un thème de choix où l’art de John le Carré se déploie, entre amour, haine et trahison.
Françoise Sagan – Œuvres
Ce livre contient 15 titres de Françoise Sagan : Bonjour Tristesse, Un certain sourire, Dans un mois dans un an, Château en Suède, Aimez-vous Brahms …, Les merveilleux nuages, La chamade, Le garde du cœur, Un peu de soleil dans l’eau froide, Des bleus à l’âme, Le lit défait, Le chien couchant, La femme fardée, La laisse, Les faux-fuyants. /// Françoise Sagan, de son vrai nom Françoise Quoirez, est née le 21 juin 1935 à Carjac, dans le Lot. Elle a grandi dans un milieu bourgeois très protégé, fréquentant le couvent des Oiseaux et le cours Hattemer à Paris. C’est le Saint-Germain de l’après-guerre et les plages de Saint-Tropez qui lui permettent de s’émanciper. En 1954, Bonjour Tristesse la rend immensément célèbre. Le roman choque par un mélange très original de naïveté et de perversité et surtout par l’absence de tout sentiment moral. François Mauriac admirera presque malgré lui le « charmant petit monstre » qui aligne les succès romanesques et théâtraux.
Dangereuse
Époux et père de famille comblé, politicien de renom, à cinquante ans, Roger Hugues mène une existence sans heurt ni émotion. Jusqu’à ce dîner fatal où Martyn, son fils, lui présente sa fiancée, Anna Barton. Un désir d’une terrifiante violence naît aussitôt entre cette jeune femme énigmatique et cet homme mûr qui n’a jamais vécu. Un désir assouvi dans des relations extrêmes, intenses et cruelles. Roger devient la proie d’Anna, son esclave… Une passion obsédante qui les conduit inexorablement au drame…
L’horizon à l’envers
Hope, Josh et Luke, étudiants en neurosciences forment un trio inséparable.
Lorsque Hope tombe malade, ils décident de jouer aux apprentis sorciers, alchimistes de la vie.
Peut-on sauvegarder notre conscience et la transférer ?
Des laboratoires secrets de l’université de Boston jusqu’à un phare perdu au bout d’une île, s’engage une corses
Émouvant, mystérieux, plein d’humour et d’amour,
L’horizon à l’envers est un roman innovant qui explore la mémoire des sentiments.
Le courage de décider
Tout le monde s’accorde devant l’évidence: dans la campagne présidentielle 2002, le phénomène Chevènement est une surprise de taille. Voilà un homme qui se présente à la plus haute fonction pour la première fois, et qui s’impose d’emblée comme le troisième homme face à des candidats appuyés sur d’imposantes machines.Pourquoi est-il si populaire? On trouvera les réponses ici-même, dans ce livre très attendu où, pour la première fois, il choisit de nous raconter son parcours et ses convictions, en livrant des informations et des anecdotes souvent inédites.Fils d’instituteurs du haut Doubs, contempteur de l’Énarchie, qu’il délaisse très vite pour se faire élire tout jeune député de Belfort, Jean-Pierre Chevènement est à la fois très français et très exceptionnel. De la guerre d’Algérie et de ses engagements de jeunesse à sa candidature aux élections présidentielles, en passant par sa rencontre avec François Mitterrand, la refondation du Parti socialiste au congrès d’Épinay et la création, vingt ans après, du Mouvement des citoyens, Jean-Pierre Chevènement retrace son expérience, et particulièrement les dix ans de gouvernement dans cinq ministères successifs – démissions comprises. Sécurité des Français, immigration, guerre du Golfe, Corse, éducation, tous les sujets sont abordés, sans omettre l’aventure extraordinaire d’un accident opératoire dont, par l’effet d’un « miracle républicain », il est revenu encore plus déterminé qu’autrefois.Ce caractère rebelle, fidèle à ses idées, veut aujourd’hui rassembler les Français autour de l’idée républicaine, que les autres candidats ont depuis longtemps cessé d’incarner. »Le Courage de décider » est aussi un livre d’idées où, entre souvenirs, idéal et propositions, se dessine un projet, sans doute le seul qui redonne son sens à la France.
Comme un vol d’aigles
Décembre 1978.
À Téhéran, à quelques jours de la chute du Shah, deux ingénieurs américains de l’Electronic Data Systems sont jetés en prison. À Dallas, Ross Perot, le patron de cette multinationale, remue ciel et terre pour obtenir leur libération. En vain : le gouvernement américain ne veut pas pour le moment s’engager. Perot décide alors d’agir seul. Il confie au colonel Bull Simons, un ancien des Bérets Verts du Vietnam, un commando composé de cadres E.D. S. , tous volontaires bien qu’ils soient prévenus du côté suicidaire de la mission, et les expédie à Téhéran. Leur objectif : ramener à Dallas leurs camarades.
Comme un vol d’aigles : un récit parfaitement authentique, où rien n’est inventé et où tout paraît plus stupéfiant, plus extraordinaire que le plus échevelé des romans d’aventures.
La cité de la joie
Un prêtre catholique français, un jeune médecin américain, une infirmière et un tireur de pousse-pousse indien se rencontrent sous les cataractes de la mousson. Ils s’installent dans l’hallucinant décor d’un quartier de Calcutta pour soigner, aider, sauver. Condamnés à être des héros, ils vont se battre, lutter, vaincre. Au milieu des inondations, des rats, des scorpions, des eunuques, des dieux, des fêtes et des soixante-dix mille « lumières du monde » qui peuplent la Cité de la joie. Leur épopée est un chant d’amour, un hymne à la vie, une leçon de tendresse et d’espérance pour tous les hommes de notre temps.
Où es-tu ?
Il avait rêvé d’un idéal, elle l’aimai… tout simplement.
Adolescents, Susan et Philip représentaient tout l’un pour l’autre. Avec l’optimisme de la jeunesse, ils s’étaient promis de s’aimer pour toujours.
Mais la vie va les écarter l’un de l’autre comme deux étoiles soumises aux lois de la gravitation. Suzan affrontera la violence des ouragans en Amérique centrale, tandis que Philip réussira à Manhattan. À l’exception de quelques rencontres furtives à l’aéroport de Newark, ils ne sauront de leurs vies respectives que ce que disent les lettres qu’ils vont s’écrire pendant des années. Sans que jamais ne se brise le lien qui les unit.
Philip avait promis à Susan qu’il serait toujours là s’il lui arrivait quelque chose. Il ne pouvait pas savoir que cette promesse allait profondément bouleverser sa vie et que, pour l’honorer, il devrait ouvrir son cœur à l’inconnu.
Les dessins de la première et de la 4ème de couverture sont de Mylène Farmer.
Un goût de bonheur et de miel sauvage
DLa dynastie des Leduc, trois générations de grands chefs et de restaurateurs célèbres, est née au coeur de Paris, aux Halles, autour d’une simple marmite de soupe, celle de Mérotte qui fête aujourd’hui ses 85 ans. Et tandis que la vieille dame, entourée des siens, égrène avec bonheur souvenirs et recettes, inséparables chez cette cuisinière hors pair, son arrière-petite-fille, Driva, s’inquiète. Il lui faudra bientôt annoncer à sa famille son refus de prendre la succession, de vivre dans l’univers exigeant, parfois étouffant, de l’hôtellerie… Entre ces deux destins de femmes, Janine Montupet compose, avec art et subtilité, une étonnante saga familiale où passions et gastronomie se mêlent. A savourer comme un bon plat.
Le thé chez la Comtesse
Après les blés de l’enfance et les roses d’un jour, le temps des épines continue. Aristocrate en exil, Marie parle quatre langues mais n’a pas de vrai métier. Veuve très tôt, avec trois filles à élever, elle fait face. Malgré la crise du logement des années 50, elle finit par trouver un studio rue Notre-Dame-des-Champs (« à l’étroit, mais en bonne harmonie », comme on dit à Odessa). Et une recette pour survivre : faire des bonbons maison. Paris, la Ville lumière… Fichtre, que les bonbons sont amers ! En souvenir du bon vieux temps, on prend le thé chez la Comtesse. Mais les tasses de fine porcelaine, symbole des splendeurs passées, sont ébréchées et dépareillées… Nostalgie et humour : le charme des princes déracinés qui reconstruisent leur vie ailleurs sans pour autant renier le passé.
Je vous parle d’un temps
Chansonnier, comédien, humoriste, satiriste, chroniqueur radio… la vie de Jean Amadou, c’est mille vies en une existence. Pour la première fois, il les raconte. Son enfance heureuse au coeur d’une famille qui a la République dans le sang et le goût du débit si bien chevillé au corps que le petit Jean ne pouvait que tomber dans la marmite de la politique. Ses débuts de comédien où il accumule les rôles muets, la rencontre avec Pierre Fresnay, l’équipe de volley-ball où il joue avec Jacques Charron et Jean Le Poulain, son tournage avec Yves Montand et Simone Signoret à Berlin. Fernand Raynaud, qui le fera entrer dans le monde des chansonniers : il en deviendra au fil des années l’une des figures de proue, du Théâtre de Dix-Heures au Don Camillo. Ses débuts à la radio et à la télé – dont « L’Oreille en coin », « C’est pas sérieux » au côté d’Anne-Marie Carrière, « Tournez manège » et bien entendu « Le Bébête Show » avec ses complices Jean Roucas et Stéphane Collaro. Ses galas aussi, pour lesquels il parcourt la France, faisant rire chaque soir des milliers de spectateurs. Sans compter ses 22 Tours de France (528 étapes) qu’il suivra dans la roue des figures légendaires de la course reine: Jacques Goddet, Robert Chapatte, Antoine Blondin…
Les français mode d’emploi
Au fil de l’Histoire de France, Jean Amadou construit un portrait de la France et des Français sous forme de dialogue avec un Américain. Il n’épargne personne et surtout pas les icônes : Napoléon, La Marseillaise, De Gaulle, Mitterrand… et Sarkozy. Mais encore Aragon, qui affirmait que » le transport des militaires en chemin de fer peut avoir comme effet d’efféminer les troupes » jusqu’au futur maréchal Foch qui, en 1911, considérait les avions » comme de beaux jouets à l’efficacité militaire nulle « , sans oublier bien entendu les énarques, les experts de tout poil et les politiques de tous bords, qui illustrent la devise de Talleyrand : » En politique il n’y a pas de convictions, il n’y a que des circonstances. » On compte autant de traits d’esprit qu’il y a de pages.
Comme les grands vins, la plume de Jean Amadou s’affine avec le temps. Dans Les Français mode d’emploi, elle est pétillante, subtile, raffinée, impertinente. Feu d’artifice d’anecdotes, de flèches savamment décochées et de bons mots cueillis dans la grande et la petite histoire, le nouveau livre du chansonnier préféré des Français est à garder sur sa table de nuit, pour s’endormir avec le sourire aux lèvres.
On a roulé sur la terre
Le point de départ ? Un beau pari : faire le tour du monde à bicyclette, en un an jour pour jour, avec pour tout budget moins de 1 000 euros chacun ! 365 jours après, Alexandre et Sylvain sont revenus avec 31 pays et 25 000 kilomètres dans les mollets. Ils ont traversé l’Afrique, le continent américain, l’Asie, les pays de l’Est et enfin l’Europe de l’Ouest, vivant chez l’habitant, au gré de leurs rencontres. Improvisation et débrouillardise, anecdotes burlesques, petites et grosses contrariétés, mais aussi splendeur et poésie émaillent le récit de leur voyage. Au-delà de l’exploit sportif, les aventures surprenantes de deux jeunes Français qui racontent, avec toute la fraîcheur de leurs vingt ans, cette année à la découverte du monde. Ils ont suscité, depuis, beaucoup de vocations.
Le sceau des sorcières
Quand Isabelle Desrameaux, chef d’entreprise à la vie privée débridée, est retrouvée torturée à mort à son domicile, c’est du côté du milieu libertin que va fouiller la police. Mais quand une mère de famille sans histoires est découverte, quelques jours plus tard, immolée par le feu sur le campus de Grenoble, l’enquête prend une autre tournure. Rapidement, le capitaine Nadia Barka comprend que c’est dans le passé qu’elle aura une chance de trouver la clé de ces meurtres.Les secrets du Vatican ou la mémoire d’un vieil aristocrate misanthrope tapi sur le sommet du Trastevere à Rome sauront-ils l’aider à décrypter les rares indices dont elle dispose ?
Passant des procès iniques de l’Inquisition du XVIIe siècle aux turpitudes d’une élite lyonnaise dépravée, l’officier de police va se battre pour découvrir la signification du sceau des sorcières, tatouage commun aux victimes, et tenter d’arrêter les assassinats qui s’enchaînent. Ce roman prend racine dans l’histoire de France pour livrer au lecteur une quête qui l’emmènera à la rencontre d’une guérisseuse au savoir ancestral, d’un prêtre romain séduisant, de truands tapis dans toutes les couches de la société et de flics au bord de la crise de nerfs. Déjà plusieurs best-sellers numériques et des dizaines de milliers de lecteurs. Plongez dans l’univers de Jacques Vandroux. N’hésitez pas à lire l’extrait gratuit avant de vous décider à effectuer votre achat. La version papier de ce livre sera disponible ultérieurement.
Ecoute-moi
Tandis qu’un de ses collègues chirurgiens opère sa fille Angela, victime d’un grave accident de la route, Timoteo, fou de douleur, lui raconte la trouble passion vécue des années auparavant et qui, enfouie en lui, a modelé ses relations avec les trois femmes de sa vie : Angela, sa fille ; Elsa, sa femme ; Italia, sa maîtresse. Peu avant la naissance d’Angela, Timoteo a eu une liaison avec cette femme passionnément aimée, malgré tout ce qui les séparait. Ni particulièrement jolie ni spécialement brillante, écrasée par un destin avare, elle est l’opposée d’Elsa, une journaliste belle, intelligente, ambitieuse… peut-être trop parfaite. Italia vit dans la misère, avec la certitude d’appartenir au camp des perdants, ceux qui n’attendent rien de l’existence. Avec elle, Timoteo est pourtant submergé par des sentiments qui le dépassent, en proie aux désirs les plus intenses. Pendant quelques mois, ils se réchaufferont mutuellement, avant que les deux femmes ne tombent enceintes au même moment. Là, leurs destins basculeront…
L’année des jumeaux
Trois humains, en trois endroits différents de la planète, célèbrent leur 33e anniversaire le 24 mai 1999. Mais à cette date où le beau temps devrait être de rigueur, ils assistent incrédules, à des mini-tempêtes. Ils ignorent également qu’ils sont liés entre eux et qu’ils constituent « des jumeaux énergétiques » selon la théorie bouddhiste de l’interdépendance. L’une de ces trois personnes, la New-Yorkaise Meryl Salinger, consume son énergie dans son travail à Wall Street où elle tente de relancer une revue mensuelle qui périclite. Mais en ce jour anniversaire, elle découvre qu’elle est atteinte d’un cancer du sein.
Après avoir subi une chimiothérapie, Meryl part crapahuter au Népal où, dans un monastère tibétain, elle fait la rencontre du lama Kunbu. Celui-ci, malgré sa jeunesse, possède le don de clairvoyance. Il apprend à la jeune femme qu’elle partage son énergie avec d’autres personnes et il lui indique que son sosie énergétique est en train d’absorber ses forces vitales, ce qui explique pourquoi sa maladie va se poursuivre. Le lama conclut ses révélations en précisant à Meryl que son jumeau est un scientifique chinois qui va bientôt se rapprocher d’elle, tout comme un autre jumeau, son frère de vie, interviendra pour essayer de la sauver. Jean-Philippe Chatrier a exercé divers métiers (chanteur, acteur, journaliste) avant de se consacrer à l’écriture. Après Les Deux Moitiés du ciel (1999), son deuxième livre, L’Année des jumeaux, est annoncé par l’éditeur comme le « premier thriller bouddhiste », une définition restrictive qui risque d’éloigner les non-adeptes d’un récit d’aventure dynamique qui se double d?une histoire d’amour, servie par une écriture efficace.
Le cri de la mouette
Lorsque Emmanuelle a sept ans, elle découvre la langue des signes. Le monde s’ouvre enfin. Elle devient une petite fille rieuse et « bavarde ». A l’adolescence pourtant, tout bascule. Aux désarrois de son âge s’ajoute la révolte de voir nier l’identité des sourds. Emmanuelle ne peut plus concilier l’univers des entendants et le sien. Elle se referme, dérive, se perd dans des expériences chaotiques. Mais, lucide et volontaire, elle réagit et choisit de se battre : elle réussit à passer son bac, lutte pour faire reconnaître les droits de trois millions de sourds français, puis s’impose magistralement au théâtre dans Les Enfants du silence.
Le Cri de la mouette est le témoignage d’une jeune fille qui, à vingt-deux ans, a déjà connu la solitude absolue, le doute et le désespoir, mais aussi le bonheur, la solidarité et la gloire.
La voie terrestre
Le long de la Voie, il y a une infinité de Terres parallèles. Toutes différentes. Ceux qu’on appelle les Vagabonds voyagent d’une Terre à l’autre depuis plus d’un million d’années. Pour faire régner la paix et la justice grâce à leur science considérable. Mais Kyle, le Terrien ordinaire qui a pris l’habitude de se faire passer pour l’un des mystérieux Vagabonds, juste pour lever des filles, va découvrir que la Voie terrestre mène aussi dans l’autre direction. Celle du Mal.
La plantation Hunter
Pour les amateurs de vieilles éditions (Couverture un peu défraîchie, papier jauni) 435 pages.
Francis Irby Gwaltney (9 septembre 1921 à Traskwood, Arkansas – 27 février 1981) était un auteur sud-américain prolifique. Il était l’auteur le plus connu à avoir écrit ses livres en Arkansas
Il a écrit son premier roman The Yeller-Headed Summer avec l’aide de son compagnon de guerre, Norman Mailer. Son roman le plus célèbre basé sur ses expériences de guerre était Le jour de la fin du siècle, filmé sous le titre Entre le ciel et l’enfer
Vous aimerez sûrement l’histoire de la famille Hunter, histoire passionante de gens trop riches et trop puissants..
Gaylord et la souris fière-à-bras
Gaylord est accompagné d’une souris blanche. Naturellement, grâce à cette connivence mystérieuse qu’il entretient avec les éléments et à cette intuition qui lui permet de deviner inconsciemment la vérité des gens, il devient le complice de toutes sortes de catastrophes (quand il n’en déclenche pas à demi volontairement). Naturellement aussi, comme il a un coeur d’or, les catastrophes tournent bien….
La prochaine fois
Parti à la recherche d’un tableau mystérieux, Jonathan croise la route de Clara.
Tous deux sont convaincus de s’être déjà rencontrés. Mais où et quand ?
À Londres, il y a plus d’un siècle…
Le quatrième roman de Marc Lévy entraîne ses lecteurs de Saint-Pétersbourg à Boston, de Londres à Florence et Paris, dans une histoire où amours et énigmes défient le temps.
Ava, la femme qui aimait les hommes
Ava débarque à Los Angeles en 1941. Elle a dix-sept ans, la beauté du diable, un accent du Sud à couper au couteau, des manières de garçon de ferme, aucun don évident pour la comédie. Au début, sa carrière patine mais les hommes tombent, foudroyés : Mickey Rooney, Artie Shaw, Howard Hughes. Avec Les Tueurs, adapté d’une nouvelle d’Hemingwav, où elle donne la réplique à Burt Lancaster, émerge un personnage de vamp, de scandaleuse, une femme libre et dangereuse. Dès lors, Ava régnera, impériale et sans rivale, anticonformiste et insolente, pendant plus de trente ans. La vie de cette héroïne à la Sagan s’écrit à cent à l’heure, peuplée de monstres sacrés et de têtes brûlées, Huston, Bogart, Hemingway, Sinatra, de cuites inénarrables, d’amours ambivalentes et de quelques chefs-d’oeuvre – Pandora, La Comtesse aux pieds nus, La Nuit de l’iguane. Symbole de l’american dream, cette fille de fermiers devenue femme fatale préférait l’Europe à l’Amérique, la corrida aux hamburgers et la vraie vie aux reflets fantasmés qu’en offre le cinéma. Et pourtant, dans notre imaginaire comme dans l’histoire du cinéma, Ava Gardner s’impose bel et bien comme la dernière des stars hollywoodiennes.
Le premier cercle
Le jeune diplomate Volodine a eu connaissance d’un piège tendu à un médecin de valeur, ami de sa famille, Doit-il le prévenir ? Sa conscience et son coeur disent oui, l’instinct de conservation regimbe. En 1949, sous Staline, il faut se montrer en tout d’une extrême prudence si l’on veut vivre ou simplement survivre, mais alors est-on encore un être humain ? D’ailleurs, il n’existe pas de technique permettant d’identifier les voix. En appelant d’une cabine publique, en faisant vite, les risques restent limités. Et Volodine téléphone. Par malheur, il y a près de Moscou, à Mavrino, une de ces prisons surnommées charachkas où les détenus politiques, pour la plupart ingénieurs et techniciens, sont employés à des travaux de recherche. Ceux de Mavrino s’occupent de mettre au point un téléphone assurant le secret absolu des communications et, accessoirement, d’élaborer un système de codification de la voix analogue à celui des empreintes digitales. Qui sont ces détenus ? Des mathématiciens, des paysans ou de hauts fonctionnaires qui ont plongé par le hasard d’un caprice ou, d’une dénonciation dans l’Enfer de la disgrâce dont la charachka est le premier cercle, le camp de déportation le dernier ? épreuves qu’Alexandre Soliénitsyne, pour les avoir vécues, décrit et dénonce avec vigueur dans ce livre bouleversant.
La maison Russie
À Moscou, pendant la première Foire du livre des années de la « Perestroïka », un manuscrit change de mains. Il s’agit en réalité d’une liasse contenant des secrets militaires qui pourrait bien changer le cours de l’histoire. L’invraisemblable destinataire de ce dossier, un petit éditeur du nom de Barley Scott Blair, se voit enrôlé malgré lui dans les services secrets britanniques. Sa mission : remonter à la source du texte et découvrir l’intention cachée de son auteur. Barley reprend contact avec la ravissante Katia, celle qui lui a remis le manuscrit. On aurait pu croire qu’avec la nouvelle politique d’ouverture de Gorbatchev, le roman d’espionnage était fini. John Le Carré démontre le contraire avec ce récit qui joue des nouvelles données géopolitiques et prouve qu’un bon écrivain peut toujours tirer son épingle du jeu. Il brosse une galerie de portraits post-guerre froide aussi justes et humains que l’étaient ses espions du temps de « La Taupe ».
De la part de la princesse morte
Ceci est l’histoire de ma mère, la princesse Selma, née dans un palais d’Istamboul. Ce pourrait être le début d’un conte ; c’est une histoire authentique qui commence en 1918 à la cour du dernier sultan de l’Empire ottoman. Selma a sept ans quand elle voit s’écrouler cet empire. Condamnée à l’exil, la famille impériale s’installe au Liban. Selma, qui a perdu à la fois son pays et son père, y sera la princesse aux bas reprisés. C’est à Beyrouth qu’elle grandira et rencontrera son premier amour, un jeune chef druze ; amour tôt brisé.
La garde blanche
Sur un fond de guerre civile russe, Mikhaïl Boulgakov dépeint le destin d’une famille, les Tourbine : il y a Alexis le médecin, Nikolka le cadet, leur sœur, la belle Hélène, son mari et quelques autres. Encore une fois, l’auteur part des anecdotes pour aller vers le général, vers les événements que tout le monde connaît. Les canons tonnent sans que personne ne comprennent pourquoi… la confusion est totale ! Les allemands fuient, les hommes abandonnent leurs femmes, tout comme le mari d’Hélène. À travers cette œuvre, Boulgakov nous montre son immense humanité et le respect de son pays et de ses compatriotes…
We are young
TROIS personnes sont MORTES Et personne ne se demande POURQUOI. Mais j’ai BESOIN de REPONSES. Je dois DECOUVRIR ce qui s’est REELLELENT passé CETTE NUIT-LA.
Sans blessures apparentes
Grand reporter, Jean-Paul Mari est témoin depuis trois décennies des conflits qui ensanglantent le monde. Confronté à la mort de deux collègues journalistes en Irak, il décide de donner la parole à ceux qui, ni victimes directes, ni bourreaux, ont pourtant vu la mort de près, souvent de bien trop près. Militaires, humanitaires et journalistes, tous ont été choqués et ont enfoui cette expérience au plus profond d’eux-mêmes devant l’incrédulité de ceux qui ne l’avaient pas vécue. Dans ce récit, Jean-Paul Mari libère leur parole, leur conscience et leur coeur. Il donne voix à l’indicible, à l’inconcevable, à ce que la société refuse de reconnaitre, cette névrose post-traumatique de ceux qui reviennent tout droit du royaume des enfers.
Plus grands que l’amour
UNE PRODIGIEUSE ÉPOPÉE DANS LE MONDE D’AUJOURD’HUI. Des médecins-détectives, des chercheurs, des sœurs de Mère Teresa, un moine libanais et des malades du sida confrontés au plus terrible fléau de notre temps. Une aventure débordante de courage, de compassion, de générosité, de foi et d’espérance. Plus grand que l’amour est le récit de l’inlassable combat de tous ceux, médecins, chercheurs, soignants, victimes, qui se montrent chaque jour plus grands encore que l’amour dans l’accomplissement de leur vocation ou l’acceptation de leurs souffrances.
Marie la jolie
Ce n’est pas la première fois qu’une prostituée publie ses souvenirs. Mais c’est la première fois qu’une « femme » qui a fait le « voyage » dans les réseaux de la traite des Blanches, raconte son aventure… Après avoir débuté, à l’âge de dix-sept ans, sur le trottoir de Marseille, Marie a « fait » les Amériques, avec les « hommes de la remonte ». De 1928 à 1931, elle a « travaillé » en « maison » ou en « casita » à Rosario, Cordoba et Buenos Aires. Puis, c’est la Colombie, le Venezuela, et Rio de Janeiro. En 1937, elle épouse, à Marseille, Dominique Paoleschi, qui a été mêlé à la terrible vendetta Stefani-Marini à Pigalle. À la Libération, Paoleschi ouvrait – à Marseille – un luxueux cabaret, le « Paris-Montmartre », et retirait sa femme du trottoir. Deux ans plus tard, il ouvrait une « maison » à Saïgon, qu’il fit tenir par Marie jusqu’à la fin de la guerre d’Indochine. Peu après, il réinvestissait ses capitaux dans une « maison » à Biskra, que Marie allait également diriger jusqu’en 1962. Avec son mari, Marie a fréquenté les figures les plus célèbres du Milieu : Venture Carbone, Lydro Spirito, les frères Guerini, Joseph Marini, le capitaine des Corses de Paris, Ange Salicetti, François Lucchinacci, successeur de Carbone dans le cœur de Manouche, etc. Son récit constitue un extraordinaire document sur l’âge d’or de ce monde marginal.
Les dames de marsanges
Fin juillet 1789. Plateau de Millevaches, en Limousin. Drôle de gens que ces Marsanges. Ils vivent en dehors du temps, sur le haut plateau du limousin hanté par les loups et battu par les rudes vents d’Auvergne. À l’aube de la Révolution, ils ne perçoivent du séisme que les frémissements. Ambroise de Marsanges règne sur la famille, mais, féru de lectures philosophiques, il laisse à l’abandon ses vastes domaines. Ses trois fils, Hyacinthe, Louis-Amour et François mènent leur vie en marge de la communauté. Le seul » homme « , si l’on peut dire, de la famille, c’est Diane, l’une des quatre sœurs Marsanges, qui vit une aventure tourmentée avec le député Jacques Brival, ex-procureur du roi. Mais, bientôt, la tourmente révolutionnaire va amener dans les solitudes austères de Marsanges des personnages inspirés par la passion ou l’intérêt. Vient le temps des orages, des drames, des grandes espérances…
Une poignée de riz
Kamala Markandaya naît en 1924 dans une famille de l’aristocratie brahmane sud-indienne, les Purnaiya de Mysore1,2. Son père occupant un poste de cadre supérieur dans les chemins de fer indiens, elle est amenée dans son enfance et son adolescence à le suivre, avec sa famille, dans ses différentes mutations ainsi que lors de ses voyages en Inde et à l’étranger (Europe, États-Unis), pour notamment visiter l’un de ses deux frères, étudiant en Angleterre. Installée à Bangalore, sa mère, lettrée mais dévote, fréquente à partir de 1945 l’ashram du guru Sathya Sai Baba.
Quand le destin s’emmêle
C’est à Visby, petite ville au charme pittoresque, sur l’île de Gotland, au large de Stockholm, que se trouve le salon de coiffure d’Angelika. Angelika est une amoureuse de la vie, généreuse, pleine d’humour et qui adore la cuisine. La coiffure, chez elle, est bien plus qu’un métier, c’est une vocation depuis toujours. Son ambition est de rendre les gens heureux. Pour cela, elle n’hésite pas à se faire entremetteuse. Dans le salon, il n’y a que deux fauteuils, un pour le client (ou la cliente)… et un autre laissé libre pour son âme sœur. Il y a peu, elle a embauché Ricky, jeune beau garçon qui a été mis à la porte de chez sa mère pour qu’il grandisse un peu. Le salon d’Angelika est le décor de plusieurs rencontres et situations cocasses. Divers personnages aux personnalités fantasques vont s’y croiser. Il y a, entre autres, Casque de cycliste, surnommée ainsi car elle n’ôte jamais son casque, accompagnée de son teckel obèse ; Gunnar de Radio Gute, râleur à la nuque raide que même un massage du cuir chevelu a du mal à détendre ; la jeune Jessica, férue d’informatique qui se cache dans des pulls trop larges ; Petter de l’INS, trentenaire à l’allure de cow-boy incollable en statistiques ! Sans oublier Jonna, Sinbad, Lovisa, Alexandra ou encore Tilly. Angelika vit seule. Joachim s’en est allé il y a sept ans maintenant. Pour une grande romantique comme elle, n’est-il pas temps qu’elle rencontre à nouveau quelqu’un ? Un soir, après une journée de travail et une séance chez Expert-Conseil Minceur, elle se rend au restaurant Lindgarden, où elle aimait aller avec son mari, s’assoit à leur table, sous le mûrier, se délecte d’un délicieux repas avant de finir par un Parfait aux mûres et tuiles aux amandes. C’est alors qu’elle croise le regard d’un mystérieux homme qui dégage un charme fou et qu’elle va surnommer Arsène Lupin… Comédie enlevée, enjouée, irrésistible, elle se lit avec bonheur. Sous l’apparente légèreté, il y a une vraie profondeur de sentiments, une finesse dans le regard de l’auteur accompagné d’une généreuse bienveillance. Quand le destin s’emmêle est un roman feel-good plein de fantaisie, d’optimisme et de vitalité communicative.
L’échange
Personne ne vit ainsi… à moins d’avoir quelque chose à cacher. Quand Caroline et Francis reçoivent une offre pour échanger leur appartement de Leeds contre une maison en banlieue londonienne, ils sautent sur l’occasion de passer une semaine loin de chez eux, déterminés à recoller les morceaux de leur mariage. Mais une fois sur place, la maison leur paraît étonnamment vide et sinistre. Difficile d’imaginer que quelqu’un puisse y habiter. Peu à peu, Caroline remarque des signes de vie, ou plutôt des signes de sa vie. Les fleurs dans la salle de bains, la musique dans le lecteur CD, tout cela peut paraître innocent aux yeux de son mari, mais pas aux siens. Manifestement, la personne chez qui ils logent connaît bien Caroline, ainsi que les secrets qu’elle aurait préféré garder enfouis. Et à présent, cette personne se trouve chez elle. Le premier roman explosif d’un nouveau talent du thriller, dans la lignée du Secret du mari de Liane Moriarty et du Couple d’à côté de Shari Lapena.
La vengeance dans la peau
Jason Bourne prit la clé fixée par une bande adhésive au plafond du placard, l’inséra dans la serrure et ouvrit le petit coffre. Dedans il y avait deux automatiques démontés, quatre cordes de piano soudées à des poignées qu’il pouvait dissimuler dans ses paumes, trois passeports valides sous trois noms différents, et six charges de plastic capables de faire sauter des pièces entières. Il se servirait de tout. Jason Bourne allait devenir le terroriste que jamais personne n’avait osé imaginer dans le pire de ses cauchemars. Un suspense vertigineux signé Ludlum. Maintenant un grand film avec Matt Damon. Dans l’édition de 1993 : « Tu n’as plus de balles, lança Carlos à Bourne qui le regardait bouche bée. Treize ans, Delta. Treize abominables années d’attente. Mais maintenant, le monde entier saura qui a gagné. » Le chacal leva son arme et fit feu…
Roman
Grand cinéaste ou play-boy international, victime ou viveur? Qui est Roman Polanski? La presse mondiale l’a traité de tout et de son contraire. Pour la première fois, le génial réalisateur du Bal des vampires s’est décidé, nous dit-il, « à mettre sur le papier ce que je crois être ma vérité » Il le fait sans détour, révélant, avec un luxe de détails, la mosaïque de son existence. C’est tout le roman de sa vie que Polanski nous raconte tel qu’il l’a vécu: son enfance dans une Pologne occupée par les nazis, ses débuts d’enfant comédien, ses études, la réalisation du « Couteau dans l’eau » puis l’Ouest, Paris, Londres, la brillante réussite américaine que viendra interrompre la tragédie de l’assassinat de Sharon Tate, l’arrestation pour détournement de mineure en 1977 à Los Angeles et sa nouvelle carrière en France.
Le journal intime d’un arbre
« On m’appelle Tristan, j’ai trois cents ans et j’ai connu toute la gamme des émotions humaines. Je suis tombé au lever du jour. Une nouvelle vie commence pour moi – mais sous quelle forme ? Ma conscience et ma mémoire habiteront-elles chacune de mes bûches, ou la statuette qu’une jeune fille a sculptée dans mon bois ? Ballotté entre les secrets de mon passé et les rebondissements du présent, lié malgré moi au devenir des deux amants dont je fus la passion commune, j’essaie de comprendre pourquoi je survis. Ai-je une utilité, une mission, un moyen d’agir sur le destin de ceux qui m’ont aimé ? »
Rupture dans le réel II – Emergence
Joshua Calvert va sur Norfolk où il obtiendra, lors de la prochaine récolte, une précieuse cargaison de larmes. Mais il trouve sa monnaie d’échange sur Lalonde où il prend un passager, Quinn Dexter, un des premiers possédés. Celui-ci réussit à fuir la planète qui devient un enfer ; il propagera le mal qui l’a dévoré.
Quatre saisons en Limousin
Claude et Bernadette. Un couple en Limousin. Et six enfants qui n’ignorent pas ce que signifie « A table ! ». Et des amis qui n’ont pas leur fourchette dans la poche. On ne nourrit pas ce monde avec trois haricots dans une assiette. Ni même, seulement, avec des grives et des palombes. Surtout en pays de Brive. Bernadette a réuni les recettes, plus belles encore d’être simples. Claude a parcouru les terres et les saisons, revisité les mémoires. A nous, veau, vache, cochon ! C’est la cuisine de La Fontaine, si La Fontaine avait été corrézien.
Le maitre et Marguerite
Vendu sans bandeau – Pour retrouver l’homme qu’elle aime, un écrivain maudit, Marguerite accepte de livrer son âme au diable. Version contemporaine du mythe de Faust, transposé à Moscou dans les années 1930, Le Maître et Marguerite est aussi une des histoires d’amour les plus émouvantes jamais écrites. Mikhaïl Boulgakov a travaillé à son roman durant douze ans, en pleine dictature stalinienne, conscient qu’il n’aurait aucune chance de le voir paraître de son vivant. Écrit pour la liberté des artistes et contre le conformisme, cet objet d’admiration universelle fut publié un quart de siècle après la mort de celui qui est aujourd’hui considéré comme l’égal de Dostoïevski, de Gogol et de Tchekhov réunis.
S.
1948 : Claude, après des années d’internat au collège religieux de Salvères – avec ses amitiés particulières, termine ses études secondaires à Lausanne parmi une faune cosmopolite qui ne s’intéresse qu’au jeu et aux femmes. Et c’est dans ce monde trouble et pittoresque que s’opérera le passage, «le passage de la ligne de feu qui sépare l’adolescent de l’homme ». Diane, l’amour, « S. », l’amitié et l’admiration, feront connaître à Claude les certitudes de la vraie vie. Mais S. se tue, en laissant à Claude un message ambigu. Maintenant, c’est Paris et Dominique qui exorcisent les poisons distillés par la mort de S. Claude, en quittant l’Europe pour Hollywood, abandonne les vestiges de son adolescence. Ce roman, le premier de la trilogie (Hollywood, Les Enragés), plein de vie et de talent, a fait scandale lors de sa parution.
