Apocalypse maya
Maya est une petite planète perdue au fin fond du cosmos, colonisée depuis peu par la société AgroCorp qui y expérimente du maïs génétiquement modifié. Après la mort de sa mère, Jové est envoyé sur Maya chez son grand-oncle Trree, un étrange personnage d’origine indienne qui a bourlingué sur toutes les planètes colonisables. Trree va confier à Jové le secret de Maya : la planète abrite une forme de vie intelligente, des sortes de serpents à fourrure munis d’un seul œil cyclopéen, qu’il a baptisés « Suris ». Ils utilisent un langage à base de soupirs, vénèrent le dieu maïs et peuvent être de redoutables guerriers. Pour les responsables d’AgroCorp, bien décidés à exploiter la planète, les Suris ne sont que des animaux. Cette erreur se révélera tragique… Un roman poétique et visuel sur la difficile reconnaissance de l’Autre, qui renvoie (comme Les Chroniques martiennes de Ray Bradbury) au génocide indien.
L’enjeu alimentaire nord-sud
Pour se nourrir, le Sud dépend largement du Nord ; les produits alimentaires font l’objet de transactions internationales complexes ; l’agriculture du tiers-monde en subit les conséquences, qui ne sont pas toujours positives. Autant d’interdépendances qui rendent précaire la situation alimentaire du Sud, sans régler pour autant les problèmes de l’agriculture au Nord. Ce livre décrit non seulement ces interdépendances à l’aide d’informations soigneusement sélectionnées et de schémas explicatifs ; mais il avance aussi des solutions pour modifier une situation qui n’a rien de fatal.
Zoé et l’élixir of eternal life
Un neuf de moyenne en anglais, et hop ! les parents de Zoé l’expédient une semaine à Brighton. Heureusement, Nicky, sa correspondante, est une fille cool. Deux fois par semaine, elle se rend en cachette dans un centre d’accueil pour migrants. Zoé, elle, a un secret bien différent : elle trouve des objets. Alors, pour faire la preuve de son talent, elle se penche sous un banc et ramène… une sorte de thermos métallique, frappé du logo Biohazard.
« Le lecteur doit vivre ce que tu vis », avait dit Lidwine. Mais qu’est-ce que je vivais au juste ? J’avais pas l’air maligne avec mon rêve de devenir écrivaine. Et là, une idée m’est venue. J’allais raconter comment Dirkje était entrée dans notre vie. J’ai ouvert mon ordinateur portable et j’ai retroussé mes manches. Mais mes doigts sont restés immobiles sur le clavier. Avant d’en venir à Dirkje, il faudrait d’abord que j’écrive que ma mère n’est plus là, et que je parle de mon père et de Kalle, de notre maison et du fait qu’on ne mange jamais à table. Je devais commencer par le commencement. Mais où commençait le commencement ? Il était une fois une fille à Hilversum ?
Les histoires de famille, de succession, de patrimoine, d’argent et d’héritage, quel que soit l’importance des avoirs, peuvent rapidement mal tourner si, en amont, toutes les directives n’ont pas été définies officiellement. Il est donc important de s’en préoccuper suffisamment tôt, surtout lorsque la forme de la famille a été chahutée au fil des années.