Pouvez-vous devenir ou rester français ?
150 questions pour mesurer vos connaissances sur l’Histoire de France, ses institutions et ses curiosités, abandonner quelques idées fausses et vous rafraîchir la mémoire. Un réjouissant petit manuel de cuture générale » à la française », proposé par le grand économiste et historien Jacques Marseille.
Françoise Sagan – Œuvres
Ce livre contient 15 titres de Françoise Sagan : Bonjour Tristesse, Un certain sourire, Dans un mois dans un an, Château en Suède, Aimez-vous Brahms …, Les merveilleux nuages, La chamade, Le garde du cœur, Un peu de soleil dans l’eau froide, Des bleus à l’âme, Le lit défait, Le chien couchant, La femme fardée, La laisse, Les faux-fuyants. /// Françoise Sagan, de son vrai nom Françoise Quoirez, est née le 21 juin 1935 à Carjac, dans le Lot. Elle a grandi dans un milieu bourgeois très protégé, fréquentant le couvent des Oiseaux et le cours Hattemer à Paris. C’est le Saint-Germain de l’après-guerre et les plages de Saint-Tropez qui lui permettent de s’émanciper. En 1954, Bonjour Tristesse la rend immensément célèbre. Le roman choque par un mélange très original de naïveté et de perversité et surtout par l’absence de tout sentiment moral. François Mauriac admirera presque malgré lui le « charmant petit monstre » qui aligne les succès romanesques et théâtraux.
L’Ecole des Robinsons
Le jeune Godfrey mène une vie de privilégié chez son oncle William W. Kolderup, l’homme d’affaires le plus riche de San Francisco. Bien qu’il aime la belle Phina, il s’entête à vouloir parcourir le monde sans elle avant de l’épouser.
Son oncle accepte mais à l’unique condition qu’il voyage avec son professeur de danse et de maintien, Tartelett. Il met alors à sa disposition l’un de ses bateaux en partance pour la Nouvelle-Zélande, le Dream ; mais celui-ci sombre en pleine mer.
Seuls rescapés de ce naufrage, Godfrey et Tartelett échouent sur une île déserte.
Commence alors pour eux une vie de Robinsons, riche d’aventures et d’enseignements… Après L’oncle Robinson et L’Île mystérieuse, Jules Verne signe avec ce roman, écrit en 1882, une nouvelle réécriture de Robinson Crusoé sur fond de roman d’apprentissage.
La pensée religieuse de Victor Hugo
180 pages – Recueil de poèmes de Victor Hugo sélectionnés par l’auteur afin de montrer un lien entre littérature, religion et spiritualité.
1640 pages – La Comtesse de Chamy succède immédiatement à Ange Pitou : il débute le 6 octobre 1789 pour s’achever, le 21 janvier 1793, avec l’exécution du roi. L’aventure collective relègue à l’arrière-plan les destins individuels et les personnages ne subsistent plus que comme symboles d’une idée ou d’un groupe social : Billot incarne le peuple, Chamy, l’aristocrate loyal, Gilbert, le constitutionnel, Pitou, la générosité. Au cours des événements qui ponctuent la chute de la royauté (fuite à Varennes, retour aux Tuileries, 10-Août, procès du roi), les héros ne réapparaissent que pour terminer leur carrière romanesque par la mort ou l’exil. Après les excès des passions antagonistes, Le Chevalier de Maison-Rouge incarne la tentative de réconciliation. Un républicain convaincu, Maurice Lindey, s’éprend d’une royaliste, Geneviève Dixmer, dont le mari et le frère (celui-ci est en réalité le chevalier de Maison-Rouge qui se cache sous un faux nom) ont entrepris de délivrer la reine du Temple. Maurice, révolutionnaire mais humain, Geneviève, royaliste mais amoureuse, vivent un amour impossible : la cruauté de Dixmer et de celle de son double républicain, Simon, les conduira à la mort sur l’échafaud, après que la reine elle-même aura eu la tête tranchée. Le roman semble illustrer cette phrase de Michelet : « Cette affaire […] fut un solennel champ de bataille où se rencontrèrent et se combattirent deux principes et deux esprits : l’un, le principe original et naturel qui avait fait la révolution, la justice, l’équitable humanité – l’autre, le principe d’expédients, d’intérêt, qui s’appela le salut public, et qui a perdu la France. »
Une pièce montée
Un mariage bourgeois, un beau jour de juin en Normandie. Avec, de chapitre en chapitre, les différents regards des héros de la fête. De la petite demoiselle d’honneur émerveillée au curé assailli par ses démons, de la tante excentrique à la mariée au bord de la crise de nerfs, les personnages hauts en couleurs défilent à travers des scènes drôles, cruelles ou attendrissantes. Les masques tombent et les secrets de famille éclatent.
Quand elle rencontre Roch Thériault, en 1977, Gabrielle Lavallée cherche une voie qui donne un sens à sa vie, un guide qui l’aide à devenir meilleure. D’emblée, elle est subjuguée par cet homme. Elle accepte de se joindre à son groupe. Peu à peu, Roch devenu Moïse se transforme en despote. Il exige une obéissance totale. La vie de Gabrielle bascule dans l’horreur. Tortures, mutilations, lapidations… Moïse est démoniaque, sa cruauté sans bornes. Malgré les menaces, Gabrielle Lavallée, sans fausse honte, ose aujourd’hui dire et étaler l’insoutenable vérité. Celle qui fait mal à entendre, celle qui brise le mur du silence érigé par certains groupes qui ont promis l’enfer aux brebis qui trahiraient leur alliance.
L’empreinte du soupçon
« La présomption d’innocence, ça n’existe pas. Pas dans la vraie vie. » Une maison brûle dans le Wisconsin, non loin d’un lieu appelé la Porte des Morts.Une petite fille de dix ans, Glory, assiste au drame depuis le garage où elle s’est glissée en cachette dans la nuit. Six ans plus tard, on la retrouve morte sur une plage de Floride, étranglée. Mark Bradley, professeur dans la petite ville de Glory, est soupçonné du meurtre. Tout le monde le croit coupable excepté sa femme Hilary, qui a déjà été la seule à le défendre quand, un an plus tôt, on l’a accusé d’avoir eu des rapports sexuels avec une de ses élèves, Tresa, la soeur de Glory. Cab Bolton, l’inspecteur qui enquête en Floride sur la mort de Glory, ne tarde pas à penser que c’est dans le Wisconsin qu’il trouvera la clef de l’affaire. Mais ceux qui habitent dans le voisinage de la Porte des Morts ne sont pas très enclins à parler du passé. Certains sont même prêts à tuer pour que la vérité demeure cachée…
La rose noire
Trois cadavres de femmes sont découverts dans l’Oregon sur un chantier. Le promoteur, Martin Darius, est arrêté et mis en accusation. Mais le dossier se révèle bien mince… Jusqu’à ce que le procureur apprenne que le suspect aurait commis, sous un nom différent, d’autres atrocités dix ans plus tôt dans une autre localité avec un scénario identique. Pourquoi Darius n’a-t-il pas été appréhendé et pourquoi le dossier de l’affaire reste-t-il introuvable ? Quels rôles ont joué gouverneur, police et maire pour rendre sa liberté à un tueur en série ?
Pulsion meurtrière
Eté 1983. Une femme est retrouvée pendue dans une maison inoccupée de Thistledown, dans le Missouri, après s’être livrée à des jeux sulfureux avec son amant. Des jeux que trois adolescentes trop curieuses avaient pris l’habitude d’épier… Persuadées que le compagnon de la victime a cédé à des instincts pervers et meurtriers, elles le dénoncent à la police. Mais il est trop tard, et l’homme disparaît du jour au lendemain sans laisser de traces… Quinze ans après ce drame, il resurgit brutalement dans la vie des trois amies. Courriers menaçants, coups de fil anonymes : Andie, Julie et Raven replongent dans l’horreur d’un passé qu’elles avaient cru pouvoir oublier. Et cette fois, il ne fait aucun doute que la folie de l’assassin ne connaît plus de limites… Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
Un voile sur ma vie
Héléninha, petite fille Portugaise, vivant sous la dictature Salazar, issue d’un milieu agricole pauvre, va devoir subir dans sa chair la dure loi de son père et le terrible poids des traditions avant de s’en affranchir, avec l’aide de sa meilleure amie et complice de toujours, Maria. Toutes deux vont défier la morale jusqu’à commettre l’irréparable.
Rottweiler
La première fille avait une morsure dans le cou. Selon la police, les analyses ADN désignaient son fiancé. Qu’importe ! La presse à sensation s’était tout de suite emparée de l’histoire : elle avait baptisé le tueur le Rottweiler, et le surnom lui était resté. Le dernier corps est découvert tout près du magasin d’antiquités d’Inez Ferry, dans le quartier de Marylebone, à Londres. Depuis la mort de son mari, Inez complète son modeste revenu en acceptant des locataires au-dessus de la boutique. Les activités obsessionnelles et imprévisibles du Rottweiler sèment la suspicion au sein de cette petite communauté disparate : un maniaque, un assassin se cache parmi eux.
La dynastie des Weber
Juillet 1870 en Alsace. Louise, fille d’un manufacturier mulhousien, épouse Lazare Bader, fils de pasteur et polytechnicien. Elle pensait découvrir le grand amour mais son mari la néglige pour se consacrer à la filature ultramoderne que son beau-père lui a donnée à diriger. Incomprise de ses parents, Louise ne trouve de réconfort que dans la correspondance qu’elle échange en secret avec sa sœur Lucile exilée aux États-Unis. Le nom même de celle-ci est tabou depuis qu’elle s’est enfuie avec un négociant en coton, juif de surcroît. Quant à sa belle famille, elle est pour la jeune épouse une énigme. Elle comprend mal les liens étroits unissant les Bader à Arthur Ziegler, un ouvrier, originaire de la même vallée. Ainsi commence la saga des Bader, vieille famille alsacienne taraudée par les secrets et les non-dits, dont nous suivrons le destin tumultueux jusqu’aux années 1970. Au-delà de Louise, l’héritière d’industriels protestants, entreprenants et fiers de leur rang, au-delà d’Arthur Ziegler, l’ouvrier catholique engagé dans les luttes sociales, et de leurs descendants, c’est toute l’histoire tourmentée de l’Alsace pendant un siècle qui défile sous nos yeux : une terre disputée, souvent dévastée, déchirée entre deux nations et deux États mais qui a toujours su se reconstruire et porter haut son identité.
La métairie et le château
Tiénot, onze ans en 1918, a deux amours : les bois de Hautefage et le château. Au cours de ses longues promenades, il s’émerveille des vies minuscules tapies dans la lumière d’une clairière ou à l’ombre des haies. Au château, ce sont les idées modernes qui l’enchantent. Depuis la Grande Guerre, on y parle d’émanciper les métayers, de libérer les femmes, ou, plus étrange encore, des progrès modernes, comme l’aviation. Cependant, à la métairie, où il vit avec ses parents et sa petite soeur, l’atmosphère vire à l’aigre. Le père, gazé, est envoyé à l’hôpital. La belle Mado, sa femme, s’entiche de Joseph, un bellâtre odieux qui lui tourne les sens. La violence s’installe à la maison. Pour Tiénot, c’est la fin de l’insouciance. Même les bois de Hautefage sont impuissants à le consoler face à la sauvagerie de Joseph et à l’aveuglement de Mado. Pour sauver sa vie et préserver sa mère, Tiénot doit trouver le moyen de chasser Joseph. Mais le prix à payer sera lourd : il devra devenir comme les autres -un grand. Dans une langue riche tout en contrastes, où se mêlent humour, modernité et patois, Michel Jeury saisit au vif ce moment à nul autre pareil où un enfant comprend, presque malgré lui, qu’il doit renoncer à ses illusions.
La chevelure d’ébène
La jeune institutrice Carmen doit aujourd’hui faire un choix crucial. Le curé Ratineau lui a demandé un immense service : protéger le petit Simon ! Carmen réalise soudain que cette école privée dans laquelle elle enseigne depuis peu est un refuge pour les enfants juifs et le brave curé, un farouche résistant. A-t-elle le droit d’abandonner Simon pour préserver son existence enfin paisible ? Non ! Carmen n’est pas celles qui renoncent. En ces temps obscurs, elle sait désormais que se dessine pour elle une tout autre destinée…
En ton âme et conscience
Evan est un chirurgien reconnu, un beau quadra qui a tout pour plaire. Pourtant il cache un profond traumatisme : à 12 ans, il a vu sa petite sœur Kelsie se faire kidnapper sous ses yeux. Tétanisé par le choc et la peur, il n’a rien pu faire, ce qu’il ne se pardonne toujours pas. Dans le parc de l’hôpital, Evan est abordé par un petit garçon de 10 ans, plutôt dégourdi, qui veut absolument engager la conversation avec lui. Il affirme que Kelsie est vivante mais qu’elle court un grand danger. Le petit garçon promet de le conduire à sa sœur, mais à une condition… qui pourrait faire basculer la vie d’Evan…
La part des flammes
4 mai 1897. Autour de l’épisode méconnu du tragique incendie du Bazar de la Charité, « La Part des flammes » mêle les destins de trois figures féminines rebelles de la fin du XIXe siècle : Sophie d’Alençon, duchesse charismatique qui officie dans les hôpitaux dédiés aux tuberculeux, Violaine de Raezal, comtesse devenue veuve trop tôt dans un monde d’une politesse exquise qui vous assassine sur l’autel des convenances, et Constance d’Estingel, jeune femme tourmentée, prête à se sacrifier au nom de la foi. Qu’ils soient fictifs ou historiques (la duchesse d’Alençon, née duchesse de Bavière, est la sœur de Sissi), Gaëlle Nohant donne vie et chair à ses personnages dans une histoire follement romanesque, qui allie avec subtilité émotion et gravité. Tout à la fois porté par un souffle puissant, littéraire et généreux, « La Part des flammes », nous entraîne de rebondissements en révélations à la manière d’un roman feuilleton.
Les carnets d’Esther
Nuit de juillet 1942. Deux petites filles sont endormies. L’une est raflée, l’autre pas. Vingt ans plus tard, Esther mène une vie épanouie à la tête de l’entreprise de confection familiale. Son bonheur s’effondre quand son père est brutalement assassiné. Esther est déterminée à découvrir la vérité, quitte à soupçonner ses frères ou Gladys, la mystérieuse fiancée de l’un d’eux. En plongeant dans les secrets du passé, Esther affrontera la plus terrible des révélations…
Wala Bok : une histoire orale du hip hop au Sénégal se souvient et narre les mémoires des générations de pratiquants du hip hop, des derniers précurseurs aux derniers arrivés, des promoteurs et des rares critiques sociaux intéressés par ce mouvement aux multiples facettes. Une ballade à travers l’histoire et la vie contemporaine dans la jungle urbaine et dans les quartiers populaires. Les portraits artistiques et témoignages de ce courant motivé par la reconnaissance de la diversité culturelle et la quête d’un monde meilleur dévoilent une société hétéroclite qui tire les ficelles entre promotion artistique personnelle et engagement politique.
Ce cadavre exquis à grande échelle, qui a impliqué les élèves de quatre classes de Dakar, invente plusieurs destins entrelacés à partir de celui de la jeune Fatim, lancée dans un combat pour un monde meilleur, contre la résignation et l’impuissance devant l’injustice. Sa fin tragique ouvre sur le retour en Afrique de Ndèye, sa meilleure amie, dont nous suivons les pérégrinations, puis sur le sort incertain de Sabrina, sa fille, qui rencontrera enfin Fadel. Cette saga traduit le regard porté par les enfants sur le monde contemporain, ses valeurs en mutation, son devenir : migrants, traversées catastrophes avec leurs drames mortels, terrorisme, misère urbaine, sort des femmes, exil… mais aussi et surtout l’amour et les liens fraternels et familiaux ; tels sont les thèmes traités en profondeur et avec la légèreté apparente de la fiction.
Chaque livre est vendu 500 F
Mary Higgins Clark : Ne pleure pas ma belle
Mary Higgins Clark : Le fantôme de Lady Margaret
Jean-Pierre Fabre, Claire Julliard : Crimes au village
Annika Brumak : Le Réseau
Maurice G. Dantec : Artefact
Robert Ludlum : L’échange Rhinemann
Jack Higgins : Exocet
Patricia McDonald : Un étranger dans la maison
Robin Cook : Phase terminale
Maxime Chattam : Le Coma des mortels
Le cimetière de Prague
Trente ans après Le Nom de la rose, Umberto Eco nous offre le grand roman du XIXe siècle secret. De Turin à Paris, en passant par Palerme, nous croisons une sataniste hystérique, un abbé qui meurt deux fois, quelques cadavres abandonnés dans un égout parisien. Nous assistons à la naissance de l’affaire Dreyfus et à la création de l’évangile antisémite, Les Protocoles des Sages de Sion. Nous rencontrons aussi des jésuites complotant contre des francs-maçons, des carbonari étranglant les prêtres avec leurs boyaux. Nous découvrons les conspirations des renseignements piémontais, français, prussiens et russes, les massacres dans le Paris de la Commune où l’on se nourrit d’illusions et de rats, les coups de poignard, les repaires de criminels noyés dans les vapeurs d’absinthe, les barbes postiches, les faux notaires, les testaments mensongers, les confraternités diaboliques et les messes noires…
Les ingrédients sont donc réunis pour faire de ce savoureux feuilleton un diabolique roman d’apprentissage. Tout est vrai ici, à l’exception de Simon Simonini, protagoniste dont les actes ne relèvent en rien de la fiction mais ont probablement été le fait de différents auteurs. Qui peut, cependant, l’affirmer avec certitude ? Lorsque l’on gravite dans le cercle des agents doubles, des services secrets, des officiers félons, des ecclésiastiques peccamineux et des racistes de tous bords, tout peut arriver…
Chaque livre est vendu 400 F
Nicole de Buron : … dix jours de rêve …
Pierre Viallet : Trousse Chemise
Sidney Sheldon : Maîtresse du Jeu
Claude Courchay : Retour à Malaveil
Ysabelle Lacamp : Mambo Mambo
Marc Lévy : Un sentiment plus fort que la peur
Belva Plain : Les saisons du bonheur
Judith Kelman : Entre les mailles du filet
Sally Beauman : Femmes en danger
Liliane Guignabodet : Car les hommes sont meilleurs que leur vie
Comme la foudre
Un couple à qui tout sourit… Une société qui suscite toutes les convoitises… Le danger qui se rapproche… Et la mort qui frappe !
Amour, argent, réussite professionnelle… Megan et Stephen ont tout pour être heureux. Jusqu’au jour où l’entreprise de Stephen, sur le point de révolutionner la médecine, devient un enjeu politique et financier majeur. Quand la pression devient menace et que la mort frappe, la vie du couple bascule…
La cité sans sommeil
Steve Carella et Artie Brown enquêtent sur le meurtre d’une jeune femme étranglée dans Grover Park. Grâce à son alliance, ils découvrent qu’il s’agit d’une religieuse de l’ordre des sœurs de la miséricorde. Plus troublant encore : la victime avait subi récemment des implants mammaires. De leur côté, Bert Kling et Meyer Meyer recherchent un voleur de bijoux et de vêtements surnommé Cookie Boy, car il signe ses exploits en laissant des cookies aux pépites de chocolat. Enfin, Sonny Cole, le voyou qui a tué accidentellement le père de Carella lors d’un hold-up manqué, craint que le policier ne cherche à se venger et ne décide de l’abattre.
Les femmes d’heresy ranch
Colorado, 1873. Après la mort de son mari, Margaret Parker décide de continuer à s’occuper de son ranch. À ses côtés, celles qu’elle considère comme sa famille : deux soeurs, Joan et Stella, une cuisinière, Julie, et Hattie, une ancienne esclave au passé aventureux. Mais des femmes seules sur un ranch ont vite fait d’exciter toutes les convoitises, et bientôt elles sont dépossédées de leurs biens. Elles n’ont plus, chacune, qu’un cheval, et le choix qui reste dans l’Ouest américain à celles qui ont tout perdu : se marier ou se prostituer. Ces femmes-là vont néanmoins trouver une option inédite pour survivre : tourner le dos à la loi dont elles ont été les victimes et prendre les armes pour se faire justice. Le gang Parker est né. Bien vite, les exploits de cette mystérieuse bande de femmes défraient la chronique et les Pinkerton se mettent sur leur piste. Les Femmes d’Heresy Ranch est un formidable récit d’aventures tiré de faits réels. Historienne et romancière au talent fou, Melissa Lenhardt y crée des personnages inoubliables, au caractère bien trempé, et nous livre des informations inestimables sur la vie méconnue des femmes dans l’Ouest américain.
Un enfant à soi
Porté par une écriture sensible, un roman troublant, d’une grande tension dramatique, le portrait d’une femme meurtrie, entraînée dans une quête désespérée d’identité et d’amour. A trente-deux ans, Jennifer se sent prisonnière d’un quotidien qu’elle déteste. Ses journées s’égrènent, sans joie ni bonheur. Un soir, son chemin croise celui de Sam, un petit garçon de deux ans maltraité par sa mère. Emportée par un formidable élan d’affection, Jennifer va se convaincre qu’elle seule peut sauver l’enfant de la violence des adultes. Qu’elle doit enlever Sam. Une nouvelle vie commence pour Jennifer. Un nouveau départ avec son fils. L’occasion de tirer un trait sur le passé, de combler le silence et de retisser des liens avec sa mère, qu’elle n’a pas vue depuis tant d’années. Mais un jour, la réalité la rattrape, brutalement. Soudain, le voile du mensonge se déchire, libérant les terribles secrets d’une famille brisée…
Le couple d’à côté
Anne et Marco sont invités à dîner chez leurs voisins. Au dernier moment, la baby-sitter leur fait faux bond. Qu’à cela ne tienne : ils emportent avec eux le baby-phone et passeront toutes les demi-heures surveiller le bébé. La soirée s’étire. La dernière fois qu’ils sont allés la voir, Cora dormait à poing fermés. Mais de retour tard dans la nuit, l’impensable s’est produit : le berceau est vide. Pour la première fois, ce couple apparemment sans histoire voit débarquer la police chez lui. Or, la police ne s’arrête pas aux apparences… Qu’est ce que l’enquête va bien pouvoir mettre au jour ?
Livre en anglais – Kofi Awoonor, one of Ghana’s most accomplished poets, has for almost half a century committed himself to teaching, political engagement, and the literary arts. The one constant that has guided and shaped his many occupations and roles in life has been poetry. The Promise of Hope is a beautifully edited collection of some of Awoonor’s most arresting work spanning almost fifty years. Selected and edited by Awoonor’s friend and colleague Kofi Anyidoho, himself a prominent poet and academic in Ghana, The Promise of Hope contains much of Awoonor’s most recent unpublished poetry, along with many of his anthologized and classic poems. This engaging volume serves as a fitting contribution to the inaugural cohort of books in the African Poetry Book Series.
Les amants du presbytère
Saint-Germain-de-Montbron, été 1849. Pour le plus grand bonheur des paroissiens de cette bucolique commune rurale située en Charente, un nouveau curé se présente enfin au presbytère. Or, le jeune Roland Charvaz n’a manifestement pas la vocation; il favorise de loin les conquêtes féminines au détriment de la salvation des âmes. Pour sa part, Mathilde, la jolie épouse du docteur de Salignac et mère d’un petit garçon, n’a jamais connu la passion amoureuse, du moins, jusqu’au jour où le nouveau religieux s’installe tout près de chez elle. Dès leur première rencontre, c’est le coup de foudre et les deux amants se lancent dans une aventure torride, à l’insu de tous. Leur secret honteux ne sera pas éventé jusqu’à ce que la nouvelle domestique du curé découvre leur liaison illicite. Scandalisée, Annie Meunier menace de tout révéler au mari trompé et à l’évêché. Elle ne sait dans quel piège elle vient de mettre les pieds, car Roland et Mathilde sont prêts à tout pour sauver leur honneur et leur relation. Lorsque la vieille femme décède dans des circonstances mystérieuses, une enquête est ouverte par les autorités…
Jeux de dupes
Comment se reconstruire après un drame ? Spécialiste des traitements post-traumatiques, le Dr Samantha Laschen va avoir l’occasion de confronter ses théories à la réalité. La police lui a en effet confié la garde de Finn Mackenzie, une adolescente qui a miraculeusement survécu au massacre de sa famille. Mais l’enquête piétine et les assassins courent toujours. S’ils en ont après Finn, ils n’épargnent pas non plus ceux qui lui apportent leur aide. Et d’apaisant refuge, la tranquille maison de Samantha, isolée sur la lande, pourrait bien se transformer en un piège mortel…
La promesse d’un ciel étoilé
L’impossible et sublime histoire d’amour d’une anglaise, fille de médecin, et d’un jeune domestique indien dans les splendeurs des palais des Maharajas. Quand Sophie revient en Inde, dix ans après son départ, c’est au bras de Lucien. Elle a accepté d’épouser cet ambitieux diplomate qu’elle connaît à peine, mais n’a rien oublié du pays de son enfance, ni de son premier amour… En elle vibre l’espoir de guérir enfin des blessures du passé. Mais à quel prix ?
Le guet-apens de piscatoris
Par une aube glacée de janvier 1907, entraîné par son oncle Eugène Baruteau, chef de la Sûreté marseillaise, à une battue au sanglier dans le vallon de Piscatoris, à l’est de Marseille, Raoul Signoret, reporter au Petit Provençal, est témoin d’un meurtre. Qui a tiré sur Gaston Cadenel ? Les ennemis ne manquaient pas au paysan-chasseur de Saint-Marcel, fâché avec tous ceux à qui il reprochait d’avoir vendu la terre de leurs ancêtres aux industriels de la vallée de l’Huveaune. Gustave, le fils, disparu au lendemain de la mort du père, devient le suspect numéro un. Mais lorsque après l’incendie de la bergerie des Cadenel, où périt leur valet, les langues se délient, un « secret de famille » vieux de vingt ans, aux relents de viol et d’inceste, ressurgit. Ce que l’on prenait pour une sordide vengeance paysanne tourne alors à la tragédie grecque. Malgré l’appui de son oncle et l’aide de Cécile, sa précieuse épouse, Raoul Signoret aura bien du mal à dénouer l’écheveau des haines ressassées et des passions refoulées.
La tulipe du mal
Amsterdam, milieu du XVIIe siècle. Peu de temps s’est écoulé depuis que la « fièvre des tulipes » a tenu les Pays-Bas en haleine. Des spéculations à haut risque sur des oignons rares ont provoqué la ruine d’un grand nombre de citoyens. Pourtant, les « Vénérateurs de la Tulipe », un cercle fermé constituée de respectables bourgeois de la ville, continuent à se réunir une fois par semaine Un soir, alors qu’il rentre chez lui, l’un des membres de cette petite société, l’honorable banquier de Koning est arrêté par une inconnue et brutalement poignardé. Amsterdam est en émoi. C’est le deuxième homme assassiné que l’on retrouve avec un pétale rare dans la main… L’inspecteur Jeremias Katoen mène l’enquête, et découvre un univers énigmatique. Des fanatiques de la tulipe et des ennemis tout aussi acharnés de cette fleur, le mettent sur la piste d’un spécimen extrêmement rare et dangereux volé jadis dans l’empire Ottoman – une plante démoniaque aux couleurs fascinantes et dont nul ne s’est encore approché impunément.
Les chênes d’or
De la terre, Mélina a tout appris. Ses dures lois comme ses moindres énigmes. Au fil des hivers qui gèlent le cœur de la Dordogne, elle a senti et éprouvé les forces souterraines qui animent cette nature sauvage, persuadée qu’une puissance était là, qui dépassait celle des hommes. Cette magie inaccessible au commun des mortels, elle a parfois l’impression de la détenir, tant elle est liée à ce pays où l’on croit que les chemins forestiers ne mènent nulle part et qui l’a initiée aux rites de la » demoiselle noire « . Dans ce monde qui porte en lui l’essentiel si l’on sait l’écouter, Mélina cherche sa vérité. Un récit intense où Christian Signol nous fait partager les secrets de la terre et du temps, poursuivant sa sensible description d’un univers soumis à des principes ancestraux. Dans ce roman qui célèbre la communion de l’homme et de la nature, l’auteur de Bleus sont les étés brosse le magnifique portrait d’une femme qui cherche à percer le mystère de sa naissance, comme une tentative de saisir le sens caché des choses.
Une année de neige
Partir, fuir sa triste banlieue, la grisaille… Sébastien a dix ans et la leucémie menace sa vie. Malgré l’amour de sa mère, il n’a qu’une obsession : rejoindre dans le Lot ses grands-parents qui sauront éloigner de lui la peur et la mort. Il est sûr qu’au cœur de cette campagne qu’il aime tant, il pourra puiser l’énergie pour lutter contre la terrible maladie qui l’affaiblit chaque jour d’avantage. Dans la petite ferme familiale, Sébastien oscille entre les périodes de découragement et le plaisir des joies simples, dans l’enchantement et le plaisir toujours renouvelé de la nature et de ses secrets. Son grand-père ne lui a-t-il pas raconté que l’hellébore, éphémère « rose de Noël » qui fleurit sous la neige, possède des pouvoirs magiques qui pourraient lui apporter la guérison tant espérée ?
La séparation
Malaisie, 1955.
Lydia Cartwright vient de rentrer chez elle après avoir passé du temps auprès d’une amie malade. Mais la maison est vide, les serviteurs sont partis, et le téléphone a été coupé. Où est donc passé son mari, Alec ? Et ses deux petites filles, Emma et Fleur ?
Désespérée, la jeune femme contacte l’employeur de son mari et apprend qu’Alec a été muté ailleurs. Pourquoi ne l’a-t-il pas attendue ? Pourquoi n’a-t-il pas laissé de message ?
Elle se lance alors dans un périlleux voyage à travers la jungle en guerre, sans se douter que des milliers de kilomètres la séparent de sa famille. Forcée de se tourner vers Jack Harding, un homme qu’elle avait juré de ne plus revoir, elle va tout faire pour retrouver ses proches.
Mais sera-t-elle capable de supporter la trahison de ceux en qui elle avait confiance ?
Le choix de l’Ori – Livre neuf
L’univers du « Le Choix de l’Ori » est celui du conte merveilleux avec ses multiples possibilités créatrices de métamorphoses, d’extrapolations, de transformations multidimensionnelles. Source d’évasion pour les esprits de tous âges, mais aussi des leçons de sagesse et de morale et une exploration du monde des divinités du panthéon yoruba.
La condamnation du Hissein Habré pour crimes contre l’humanité a été décrite comme « un tournant pour la justice des droits humains en Afrique et au-delà ». Pour la première fois, un criminel de guerre africain était condamné sur le sol africain. Pour avoir, dès le début, suivi le procès et interrogé de nombreuses personnes impliquées, la journaliste Celeste Hicks raconte la remarquable histoire de la manière dont Habré a été traduit en justice. Sa condamnation fait suite à une campagne héroïque de 25 ans menée par des militants et des survivants des atrocités de Habré qui a abouti, malgré l’indifférence internationale, l’opposition des alliés de Habré et plusieurs tentatives infructueuses de le traduire en justice en Europe et ailleurs. Face à de telles difficultés, la condamnation d’un dirigeant, autrefois intouchable, représente un tournant majeur, et a de profondes implications pour la justice africaine et l’avenir de l’activisme pour les droits humains dans le monde.
Les enfants des justes
LIVRE EN ASSEZ GROS CARACTERES
En 1942, dans le département de la Dordogne, la ligne de démarcation croise le cours de l’Isle. La ferme des Laborie est à deux pas de la rivière et Virgile, n’écoutant que son cœur, ne refuse jamais sa barque à ceux qui tentent de passer en zone libre. Lorsqu’on propose à Virgile et à Victoria qui n’ont jamais pu avoir d’enfants, de cacher Sarah et Elie, deux gamins juifs perdus dans la tourmente, ils accueillent les petits réfugiés comme un don du ciel. Au fil des jours, malgré les trahisons, les dénonciations, les contrôles incessants, la Résistance s’organise dans le Périgord jusqu’aux reflux des troupes allemandes dans le sang et la terreur. Avec une sensibilité, une justesse de ton qui bouleversent, Christian Signol évoque cette période douloureuse de l’Histoire où, comme les Laborie, de nombreux Français n’hésitèrent pas à mettre leur vie en jeu avec la simple certitude d’accomplir leur devoir de citoyen, d’être humain. Ce roman auquel l’auteur tient tant est un superbe hommage à la mémoire de ces Justes qu’on ne peut oublier.
La grange de Rochebrune
De 1917 à aujourd’hui, le combat d’une lignée de Provençaux amoureux de la lavande pour gagner leur bonheur menacé par de lourds secrets. En 1918, Pierre Ferri revient à la Grange de Rochebrune, la ferme familiale située aux confins des Baronnies. « Gueule cassée », il se referme sur ses blessures, visibles et invisibles. Pourtant, l’amour inconditionnel de sa femme Antonia et la naissance d’une petite Valentine lui redonnent le goût de vivre. Il décide de développer la culture de la lavande pour laquelle Antonia éprouve une vraie passion. Partageant son amour de « l’or bleu », Valentine croit être à l’abri des tumultes du monde dans la haute vallée. Mais la montée des périls, le chaos de la guerre, les déchirures de l’Occupation, ses engagements bouleversent son destin tout tracé. En Allemagne, une autre femme, Else, poursuit elle aussi son rêve de bonheur piétiné par le IIIe Reich.
Longtemps après, les enfants perdus cherchent leur vérité…
La maison du cap
Arcachon, 1849. Léonie lutte pas à pas pour offrir à ses enfants une vie meilleure que la sienne. En 1862, Margot, sa dernière fille, déborde de désirs de bonheur et refuse une existence toute tracée de misère et de labeur. Charlotte, enfant illégitime de Margot, devient photographe et donne vie à Dorothée, une des premières femmes aviatrices. Enfin il y a Violette, la petite dernière, qui entrera dans la Résistance. De mère en fille, dans cette maison du Cap qui sera pour chacune un refuge, des femmes farouches forgent leur destin avec une ardeur particulière, pleine de tumultes et de remous. Et dans les plis d’une Histoire qu’elles traversent et imprègnent successivement, elles gagnent une à une ce que leur époque voudrait leur refuser.
La fille sans nom
Au retour d’un voyage épuisant, en descendant du train, une jeune femme se rend compte que son sac lui a été volé. Mais elle a un problème nettement plus grave : alors qu’elle veut déclarer le vol, elle ne se souvient plus de son nom. Elle a complètement perdu la mémoire. Son seul souvenir, c’est l’adresse de sa maison. N’ayant plus ses clés, elle frappe à la porte. Deux personnes inconnues lui ouvrent. Elle dit qu’elle habite là, dans cette maison. Tony et Laura affirment pourtant ne jamais l’avoir rencontrée. Quelqu’un ment forcément. Mais qui ? Et pourquoi ? Et la ressemblance de la jeune amnésique avec Jemma Huish, une dangereuse criminelle psychotique disparue depuis des années est pour le moins troublante. Seraient-elles une seule et même personne ? Que croire et à qui faire confiance quand on ne sait plus qui on est ?
Ma vie (pas si) parfaite
Dans la lignée des Petits Secrets d’Emma ou de Poppy Wyatt est un sacré numéro, Sophie Kinsella nous offre une nouvelle comédie aussi hilarante que touchante sur le gouffre qui sépare la vie dont on rêve et celle que l’on vit, le choc capitale/province et les nouveaux snobismes des hipsters de tous poils. La vie à Londres. Du fond de son Somerset natal, Katie en a tellement rêvé, et aujourd’hui, ça y est ! À elle les soirées branchées, les restos fashion, le job de rêve dans une grande agence de pub… Certes, elle vit en coloc à deux heures du centre. Certes, son budget est si serré qu’elle se nourrit essentiellement de nouilles instantanées. Certes, sa boss est un cauchemar. Mais plutôt mourir que de renoncer à cette vie géniale, surtout si elle peut instagramer son mokaccino hors de prix. Mais ce que Katie ignorait, c’est qu’à la capitale, tout va plus vite. Y compris se faire virer. Retour à la case départ : la campagne. Pas question de se laisser abattre. Londres ne veut pas d’elle ? Katie va faire de la ferme familiale l’endroit le plus hype de tout le Royaume-Uni. Tellement hype qu’il pourrait bien attirer les hipsters de la capitale et, avec eux, de vieilles connaissances…
Harrap’s – Vocabulaire Anglais
Plus de 7 000 mots et expressions
66 thèmes pour mémoriser facilement le vocabulaire
Des exemples en fin de chapitres pour illustrer certains termes
L’utilisation de la couleur bleue dans les exemples pour repérer les difficultés linguistiques
Des encadrés pour expliquer les difficultés de traduction (faux amis, etc.) ou de grammaire liées aux termes donnés dans les chapitres.
Les termes américains donnés
Un index d’environ 2000 mots
De quoi sont faites les filles
» Quand j’avais 14 ans, ma mère m’a dit que l’amour inconditionnel n’existait pas. » Nina, 16 ans, bouillonne de désir et aspire à connaître le grand amour. C’est exactement ce qu’elle pensait avoir trouvé avec Seth, jusqu’à ce qu’il la quitte brutalement. Les rêves et les espoirs de Nina s’effondrent. Le cœur brisé et isolée de tous, elle se consacre à ses études et au bénévolat dans un refuge pour chiens. Sa tête fourmille de questions : qui est-elle ? L’amour a-t-il des conditions et comment faire pour le mériter ? Nina tente de trouver des réponses dans son passé : un voyage en Italie avec sa mère, des histoires de saintes violentées, un évènement charnière à son lycée… Arrivera-t-elle à se trouver elle-même ?
La dette odieuse de l’Afrique – Livre neuf
Comment l’endettement et la fuite des capitaux ont saigné un continent – Léonce Ndikumana et James K. Boyce démasquent les liens intimes entre les prêts étrangers et la fuite des capitaux. Plus de la moitié de l’argent emprunté par les gouvernements africains dans les dernières décennies a « fuit » dans la même année, une partie importante étant déposée dans des comptes privés dans les mêmes banques qui ont fourni les prêts. Entre-temps, le service de la dette continue à drainer les ressources rares de l’Afrique, réduisant ainsi les fonds disponibles pour la santé publique et d’autres besoins de base. De façon provocatrice, les auteurs proposent que les gouvernements africains devraient répudier ces « dettes odieuses » dont leur peuple n’a tiré aucun avantage et que la communauté internationale devrait aider dans cet effort.