Le patient anglais
Quelque part en Italie, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, dans une villa transformée en hôpital militaire, Hana, une jeune infirmière, veille sur son unique patient : un aviateur anglais atrocement brûlé lors d’un accident d’avion dans le Sahara. Deux hommes font irruption dans la villa éventrée par les obus, et chacun tour à tour doit dévoiler son secret. Le plus énigmatique reste celui de ce patient anglais, ivre de morphine, amoureux du désert, qui raconte dans les marges des livres ses propres histoires chimériques.
Le Patient anglais a obtenu le Booker Prize en 1992 et a été adapté à l’écran par Anthony Minghella.
Mangeclous
Mangeclous, un des sommets de la littérature contemporaine. Mangeclous, livre plein d’une verve triomphale, livre d’une liberté extraordinaire (nous sommes à l’époque des livres contraints), livre riche (nous sommes à l’époque des livres pauvres), livre gras (nous sommes à l’époque des livres maigres), grand livre enfin. Mangeclous est pour moi l’exemple à peu près unique, dans la littérature contemporaine, d’une épopée comique, c’est-à-dire d’un comique grand. Une épopée, et pourtant on ne cesse pas de hurler de rire. Félicien Marceau, de l’Académie française. Un héros comme Mangeclous atteint à l’épique. Il y a là, à mon sens, quelque chose sans aucune espèce de comparaison. Il y a du souffle de Rabelais. C’est comme dans Rabelais: on accepte tout. On accepte tout parce qu’il y a encore un amour du personnage, parce qu’il y a une manière démesurée de le traiter qui fait que simplement on est ébloui. Joseph Kessel, de l’Académie française. L’admirable Mangeclous, un grand héros comique d’une drôlerie extraordinaire. Le comique de Mangeclous est juif par sa subtilité, par les récifs de mélancolie qui affleurent soudain, par l’observation féroce et tendre qui le nourrit. Mais ce roman acquiert une portée générale par son humanité, son grand rire salubre, sa verve populaire. Sa fraîcheur, sa fruste saveur, sa robuste simplicité le font accéder à la majesté des légendes populaires et des grandes épopées.
Argentine, Buenos Aires, années trente. Le fortuné Ricardo Vacarezza a un problème de taille : depuis peu, des rêves récurrents l’assaillent, où il s’exprime avec la voix d’un autre homme dans une langue inconnue et fait l’amour avec une femme mystérieuse… La rencontre de l’indien Yanpa le désignant comme chaman malgré lui n’arrange rien à l’affaire ; et voilà notre héros condamné à se confronter à une psychanalyste d’obédience jungienne afin d’interpréter propos oniriques et visions impromptues ! En est-il des songes de Ricardo comme des remous politiques qui secouent l’Argentine d’alors ? De fait, à la tête de l’État comme dans les interstices du psychisme, « il y a des remises en ordre plus assassines que les plus grands désordres ». Pour redevenir « maître dans la maison », Ricardo doit entamer un voyage jusqu’en Grèce où l’attend selon lui l’élue de son cœur, dont il est séparé depuis rien moins que trois mille ans… Gilbert Sinoué surprend par ce récit plus « moderne », sinon moins enlevé, que ses précédents opus, l’inoubliable Livre de Saphir et L’Enfant de Bruges. Chacun jugera sur pièces cette histoire qui mêle, jusqu’au vertige, temporel et existentiel, réincarnation et amour absolu. En gardant à l’esprit une phrase dont la passion humaine vient ici sublimer la facture anodine : « Nous rêvons tous. Combien sommes-nous à réaliser nos rêves ? Frédéric Grolleau
La traversée
La maladie qui m’a conduit à la réanimation m’a emmené plus loin que la réa, bien au-delà du Cap Horn, dans ce qu’il convient d’appeler une expérience de mort approchée. Au cours de cette traversée, j’ai vu et entendu toutes sortes de choses. Des monstres, des anges, des paysages et des visages, du vide et du trop-plein, de la compassion, de l’horreur et de l’amour. Aux prises avec un bouleversement constant du temps et de la durée ; quand les jours et les nuits n’avaient plus aucun sens, aucune construction ; lorsque je perdais tout repère : lorsque deux Moi-même s’affrontaient en un dialogue permanent, quand l’un de ces deux Moi disait : – Tu vas mourir, laisse aller, c’est foutu, tandis que l’autre Moi répliquait : -Non, bats-toi, il faut vivre.
Les fillettes chantantes
Olivier, le petit garçon des Allumettes suédoises, de Trois sucettes à la menthe, des Noisettes sauvages, au début des ces Fillettes chantantes a seize ans. Sa vie se partage entre son travail d’apprenti-imprimeur, ses courses dans un Paris émerveillé, des vacances en Touraine, à Montrichard, où l’on boit le vin rosé dans des fillettes chantantes, d’autres, à la veille d’une guerre, dans un Saugues retrouvé. Il ne cesse pas d’être amoureux : de sa cousine, la belle Ji, de Vivy, épouse d’un industriel, de la comédienne Junie Astor, et d’autres le troublent, comme Louise, la petite bonne rousse, des jumelles entrevues dans un train ou ces belles Parisiennes qu’il croise dans les rues. On le verra jouer à l’étudiant au Quartier latin, au noctambule à Montparnasse, au chevalier servant à la gare de l’Est au flâneur dans l’île Saint-Louis, au quartier juif de la rue des Rosiers, à Montmartre ou sur les grands boulevards. Il lit beaucoup, se cultive sans le savoir, écrit même des vers. Sa grande affaire, plus que les amours déçues, sera la rencontre de Samuel Bernard, étudiant en chimie, qui lui ouvre, en même temps que les portes de l’amitié, des horizons neufs : ceux d’un enthousiasme scientifique qui rejoint son enthousiasme littéraire. Ensemble, l’apprenti Olivier et l’étudiant Samuel vont fréquenter les cinémas, les théâtres, les musées. Les scènes émouvantes ou cocasses abondent. On retrouve des personnages déjà rencontrés: Jean et Elodie, l’oncle Henri et la tante Victoria, Marceau et Jami, la mémé de Saugues et l’oncle Victor, le personnel de l’imprimerie, car le monde ouvrier est sans cesse présent dans ce roman qui fait revivre, par la sensibilité d’Olivier, par son regard pur sur les êtres et les choses, un monde difficile situé à un tournant de l’histoire. Les Fillettes chantantes se présente comme une fête, une fête de l’adolescence avec ses inquiétudes, ses contradictions, ses exaltations et sa joie. Le jeune Olivier, de plus en plus attachant, par sa présence.
Trois sucettes à la menthe
Olivier, le petit garçon des Allumettes suédoises, a quitté sa chère rue Labat pour aller vivre chez son oncle. Autant dire, pour l’enfant, changer de planète. L’univers bourgeois, l’appartement cossu, la vie mondaine des Des rousseaux le surprennent et le déconcertent. Olivier s’intègre difficilement. Mais ainsi va la vie, et bientôt il s’apercevra que sa curiosité est sans cesse mise en éveil. Qui est vraiment l’oncle Henri ? Et la tante Victoria ? Il y a aussi les cousins, les deux bonnes, et, comme on reçoit beaucoup, toute une foule de personnages cocasses, grandioses ou ridicules. Et puis, et surtout les rues de Paris, le canal Saint-Martin, les étonnants Grands Boulevards, leurs passages mystérieux, leurs théâtres, leurs cinémas, leurs music-halls. Trois sucettes à la menthe, merveilleuse suite des Allumettes suédoises, ressuscite une manière de vivre, mille faits oubliés, toute une fête de la vie qui apparaît, de page en page, dans un univers de vérité et de poésie.
Tous les matins du monde
« Il poussa la porte qui donnait sur la balustrade et le jardin de derrière et il vit soudain l’ombre de sa femme morte qui se tenait à ses côtés. Ils marchèrent sur la pelouse.Il se prit de nouveau à pleurer doucement. Ils allèrent jusqu’à la barque. L’ombre de Madame de Sainte Colombe monta dans la barque blanche tandis qu’il en retenait le bord et la maintenait près de la rive. Elle avait retroussé sa robe pour poser le pied sur le plancher humide de la barque. Il se redressa. Les larmes glissaient sur ses joues. Il murmura : – Je ne sais comment dire : Douze ans ont passé mais les draps de notre lit ne sont pas encore froids. »
Contes de la bécasse
Des récits pour les soirées de chasse, après les longues marches, l’attente et la fatigue du jour.Histoires de la campagne, cette Normandie natale que l’auteur évoque avec une tendresse narquoise et la hantise du plaisir vif. Paysans rusés, fermiers misérables, chasseurs bons vivants, à travers cette galerie de personnages solidement campés, ces contes du terroir normand disent un réel saisissant d’humanité, en mêlant tous les registres, du comique au burlesque en passant par le drame et la tragédie. Et si Maupassant épingle au passage lâcheté, bêtise, cruauté ou avarice, c’est pour donner à voir tous les aspects de la vie, mais sans visée moralisatrice ou jugement de valeur.
Le lys dans la vallée
« Oui, la première femme que l’on rencontre avec les illusions de la jeunesse est quelque chose de saint et de sacré. » Balzac en fit l’expérience. Il imagine son roman comme une confession. Félix de Vandenesse raconte, avant de l’épouser, ses amours passées à la comtesse de Manerville. Très jeune, au cours d’un bal, il couvre de baisers les épaules – d’une belle inconnue assise à ses côtés. Mme de Mortsauf était douce et maternelle. Il l’aima, et ce lys dans une vallée de Touraine brûla d’amour pour lui. Son mari ne vivait que pour la défunte monarchie, et Félix quitta la vallée pour une brillante carrière politique et mondaine à Paris, au bras d’une sensuelle marquise anglaise. Mme de Mortsauf avait la beauté d’un ange, elle le devint. Le roman de Balzac est aussi « l’histoire des Cent Jours vue d’un château de la Loire ».
La joie de vivre
Près d’Arromanches, dans la maison du bord de mer où ils se sont retirés après avoir cédé leur commerce de bois, les Chanteau ont recueilli Pauline, leur petite cousine de dix ans qui vient de perdre son père. Sa présence est d’abord un surcroît de bonheur dans le foyer puis, autour de l’enfant qui grandit, les crises de goutte paralysent peu à peu l’oncle Chanteau, la santé mentale de son fils Lazare se dégrade, l’héritage de Pauline fond dans les mains de ses tuteurs, et le village lui-même est rongé par la mer.
En 1884, lorsqu’il fait paraître ce roman largement autobiographique, le douzième des Rougon-Macquart, c’est pour une part ironiquement que Zola l’intitule La Joie de vivre. Car en dépit de la bonté rayonnante de Pauline qui incarne cette joie, c’est l’émiettement des êtres et des choses que le livre raconte. Après Au Bonheur des Dames, grande fresque du commerce moderne, c’est un roman psychologique que l’écrivain propose à ses lecteurs, un roman de la douleur où les êtres sont taraudés par la peur de la mort face à une mer destructrice.
À la fin de son périple autour du monde, qu’elle a relaté dans Mange, prie, aime, Elizabeth Gilbert s’éprenait de Felipe, un citoyen australien né au Brésil. Ils se sont juré fidélité, mais, échaudés par des séparations douloureuses, se promettent de ne jamais convoler en justes noces. Le Ciel, ou plutôt l’Immigration américaine, en décide autrement : le couple doit se marier pour que Felipe obtienne un visa. « Condamnée » au mariage, Elizabeth Gilbert décide de juguler sa peur de l’institution en s’y intéressant de plus près, tout en parcourant l’Asie du Sud-Est avec son compagnon. Écrit avec l’intelligence et la sensibilité qui ont fait sa renommée, Elizabeth Gilbert s’attache à envisager le mariage sous tous les angles, dans toutes les cultures, sans éluder les sujets qui fâchent : l’argent, le désir, la fidélité, les traditions familiales, le risque de divorce…
Entre mes doigts coule le sable
Pas facile de concilier médecine et vie privée quand on est internes à l’hôpital ! Marie-Lou, qui a quitté sa Savoie natale pour Brest, et Matthieu, le ténébreux surfeur, sont tombés amoureux au premier regard. Mais entre leurs stages en psychiatrie et en neurochirurgie, les nombreuses gardes à effectuer, les apéros au « Gobe-mouches » et les fêtes carabines, leur histoire d’amour n’est pas un long fleuve tranquille. C’est plutôt la valse des sentiments… Surtout quand leurs proches deviennent leurs patients.
Matthieu parviendra-t-il à vaincre ses peurs et à laisser Marie-Lou entrer dans sa vie ? Marie-Lou apprendra-t-elle à laisser glisser le sable entre ses doigts ?
Jeune fille
Printemps 1965. Anne, la narratrice, a dix-huit ans quand elle rencontre le cinéaste Robert Bresson. Cette entrevue a été organisée par son amie Florence, laquelle tenait le premier rôle dans Le procès de Jeanne d’Arc. Persuadée que Anne est l’actrice idéale pour interpréter Marie dans Au hasard Balthazar, le prochain film du maître, Florence la pousse à auditionner malgré sa complète inexpérience. Au fil des séances d’essai, la présence d’Anne, son attitude, sa voix convainquent Robert Bresson de la nécessité de ce choix. Mais Anne est encore mineure, et il s’agit de faire accepter le projet à son grand-père, François Mauriac. Heureusement pour elle, ce dernier mesure toute l’importance de cette opportunité. Pendant plus d’un mois, Anne va faire l’expérience d’un plateau de cinéma. Robert Bresson, lui, instaure un jeu ambigu, entre séduction et domination. Bien que repoussant ses avances, Anne subit son emprise psychologique et le magnétisme de son génie artistique…
Tout ce que j’aimais
Au milieu des années 1970, à New York, deux couples d’artistes ont partagé les rêves de liberté de l’époque. De l’art et de la création, ils ont fait le ciment d’une amitié qu’ils voulaient éternelle et, quand ils ont fondé leur famille, se sont installés dans des appartements voisins. Rien n’a pu les préparer aux coups dont le destin va les frapper et qui vont infléchir radicalement le cours de leur vie. Siri Hustvedt convie ici à un voyage à travers les régions inquiétantes de l’âme : bouleversant, ambigu, vertigineux. « Tout ce que j’aimais » est le roman d’une génération coupable d’innocence qui se retrouve vingt ans plus tard au bord de son beau rêve.
Mini-accro du shopping
Une vocation précoce. Deux ans et pas toutes ses dents, Minnie a déjà l’oeil pour la sape chic et le jouet choc. « Papa, Maman, Visa » : un vocabulaire minimum pour le shopping, à renfort de hurlements et de caprices. Il faut dire que la charmante enfant a de qui tenir – et Becky, en bonne fashion mummy, n’hésite pas à chauffer la carte Bleue. Pas évident quand on habite chez ses parents et que la crise financière impose la rigueur.
Un pont sur l’infini
Richard gagne sa vie en faisant partager aux autres ses acrobaties aériennes. Mais son plaisir toujours renouvelé de s’élever vers les cieux cache une grande solitude. Car à chaque nouveau vol, l’aviateur espère que, dans la foule pressée à terre pour l’admirer, se trouve celle qui saura l’aimer et combler le vide affectif de son quotidien.
Bakhita
Elle a été enlevée à sept ans dans son village du Darfour et a connu toutes les horreurs et les souffrances de l’esclavage. Rachetée à l’adolescence par le consul d’Italie, elle découvre un pays d’inégalités, de pauvreté et d’exclusion. Affranchie à la suite d’un procès retentissant à Venise, elle entre dans les ordres et traverse le tumulte des deux guerres mondiales et du fascisme en vouant sa vie aux enfants pauvres.
Jeu Le Monde – Jouez et faites la Une !
600 questions sur l’actualité de 19454 à nos jours servies sur un plateau.
Intégrez la rédaction du Monde ! Lancez le dé, progressez sur le « plateau de la salle de rédaction » et mettez à l’épreuve vos connaissances, votre curiosité et votre ouverture d’esprit pour être le premier à faire la Une !
Un jeu inédit, à la fois culturel, enrichissant et divertissant, avec un partenaire prestigieux, celui du quotidien Le Monde !
Obtenez d’abord votre carte de presse, puis, au gré des coups de dés, progressez sur le plateau et répondez correctement aux questions des six rubriques : politique et société, international,économie, sport, culture – art de vivre et mode, sciences et environnement. Surmontez les obstacles scoops et ratages, couvrez un maximum de rubriques, arrivez à temps pour le bouclage et soyez le premier à décrocher la Une du quotidien !
Le matériel : un plateau de jeu – 8 pions-cartes de presse, 50 cartes » scoop » ou » ratage « , 100 fiches questions, un livret pour la règle du jeu et les réponses, 60 jetons rubriques.
Le but du jeu : après un parcours culturel et ponctus des imprévus du métier de journaliste, il s’agit d’arriver le premier sur la case » arrivée » doté de ses 6 jetons (un par rubrique).
Dans les forets de Sibérie
Assez tôt, j’ai compris que je n’allais pas pouvoir faire grand-chose pour changer le monde. Je me suis alors promis de m’installer quelque temps, seul, dans une cabane. Dans les forêts de Sibérie. J’ai acquis une isba de bois, loin de tout, sur les bords du lac Baïkal. Là, pendant six mois, à cinq jours de marche du premier village, perdu dans une nature démesurée, j’ai tâché d’être heureux. Je crois y être parvenu.
L’homme qui voulait voir Mahona
1528. Une petite flotte de caravelles aborde les côtes inconnues de la Floride. Trois hommes survivent à l'expédition, anéantie par les naufrages, les épidémies et les flèches indiennes. Nunez Cabeza de Vaca, noble andalou, découvre, au lieu de l'Eldorado promis, des villages faméliques peuplés de primitifs candides, malades, profondément religieux. Au nom du Christ, ses compatriotes se livraient à des massacres. Au nom de Mahona, divinité de ces peuples, le conquistador apporte la paix, la guérison et l'amour. Une extraordinaire épopée commence, à la fois récit authentique et œuvre soulevée par la passion humaniste, le souffle de l'aventure et de la poésie, contée avec le style, l'art et la magie d'Henri Gougaud.
Air marin
Quand Adrien reçoit une carte postale de Bretagne avec une petite algue collée sur l’enveloppe, il remarque tout de suite que sa lettre a un parfum particulier. Un parfum plutôt agréable. Il se souvient alors de toutes les odeurs qu’il connaît : de celles qu’il aime, mais aussi de celles qu’il déteste. Son amie Alex a aussi un parfum préféré, mais elle refuse de lui dire lequel. Plus Adrien y pense et plus il a envie de savoir ce que c’est.
Le soleil se rapprochait. La température devenait intolérable. La soucoupe qui emportait Serge, Xolotl et Thibaut vers Mars était tombée en panne. A présent, elle se précipitait, à une vitesse incalculable, vers le soleil dont la masse en fusion l’attirait irrésistiblement. A tout prix, il fallait réparer, ou ce serait, dans quelques heures, la désintégration totale. Jamais les trois Conquérants de l’Impossible n’avaient affronté un aussi terrible danger. Et pourtant. Deux jours plus tôt, ils partaient en vacances, insouciants, sur les routes de l’Italie.
Projet Adam
Après un terrible accident de voiture, Eve, 16 ans, est soignée dans le complexe médical de sa mère, la très puissante généticienne Terra Spiker. Pour éviter qu’elle ne s’ennuie, Terra propose à sa fille une étrange activité : créer le garçon parfait, grâce à un programme de simulation génétique qu’elle vient de mettre au point. Eve se prend au jeu et imagine alors le garçon idéal : Adam. Mais grâce à Solo, jeune et séduisant employé de sa mère, Eve découvre que Spiker Biotech couvre en vérité les projets scientifiques les plus douteux. Terra est-elle responsable des expériences interdites qui se déroulent dans ses laboratoires ? Eve aimerait bien le savoir, et Solo semble prêt à tout pour l’aider. Mais l’aventure va prendre un tour inattendu lorsque l’Adam imaginé par Eve viendra s’en mêler. En chair et en os…
Bébés chats
Farouches, Craintifs, Ebouriffés ou agiles, les chatons sont des forces de la nature. Apprentis de la vie, mais déjà félins dans l’âme, ils apprennent rapidement à devenir des chats, sous le regard attentif et protectif de leur mère.
Sur cette terre comme au ciel
Palerme, années 1980. Comme tous les garçons de son âge, Davidù, neuf ans, fait l’apprentissage de la vie dans les rues de son quartier. Amitiés, rivalités, bagarres, premiers sentiments et désirs pour Nina, la fillette aux yeux noirs qui sent le citron et le sel, et pour laquelle il ira jusqu’à se battre sous le regard fier de son oncle Umbertino. Car si Pullara, Danilo, Gerrudo rêvent de devenir ouvriers ou pompistes comme leurs pères, Davidù, qui n’a pas connu le sien, a hérité de son talent de boxeur. Entre les légendes du passé et les ambitions futures, le monde des adultes et la poésie de l’enfance, Davide Enia tisse le destin d’une famille italienne, de l’après-guerre aux années 90, à travers trois générations d’hommes dont le jeune Davidù incarne les rêves. Entremêlant leurs histoires avec brio, Davide Enia dresse un portrait vibrant de sa terre, la Sicile, et ceux qui l’habitent.
Le monde magique des flamants.
Pars en voyage au pays des flamants.
De leur naissance à leur envol, découvre un monde caché rempli d’aventures et d’émotions.
Grâce à des informations claires et précises et aux magnifiques photographies qui illustrent ce livre, les flamants n’auront bientôt plus de secrets pour toi !
En anglais – Dimensions of Advertising Theory and Practice in Africa brings together cutting-edge research by leading African communication and media theorists to provide students of African advertising with a broad but detailed survey of the history and present state of the art in Africa. For teachers and researchers, the book is a thought-provoking reminder of the variety of approaches to the study of marketing communication on a continent where advertising is often taken for granted. From indigenous African forms of advertising by street criers, wall paintings and even olfactory appeals to the latest experiments in integrated marketing communication via the Internet, home videos, smartphones and social media, Dimensions of Advertising Theory and Practice is a comprehensive survey both of Africa’s contributions to the globalized advertising industry and of the industry’s profound impact on African economies and cultures.
Fiches de cours et quiz d’évaluation : un outil de révision 100% efficace pour préparer les épreuves écrite et orales du bac en anglais. L’essentiel du programme en 82 fiches claires et visuelles • les points clés de grammaire • le vocabulaire des notions du programme • les faits de civilisation expliqués en « V.O » • des quiz pour s’évaluer, avec les corrigés au verso. Dans le dépliant et les rabats • une grande frise chronologique • les cartes utiles • les tableaux de conjugaison et les verbes irréguliers.
Le ranch
C’est au Ranch, superbe résidence hôtelière cachée dans les montagnes du Wyoming, que Mary Stuart, Tanya et Zoe se retrouvent après s’être perdues de vue pendant près de vingt ans. Ces retrouvailles vont leur donner l’élan nécessaire pour continuer à se battre et apaiser les souffrances que la vie leur a infligées. Riche, belle, mariée à un grand avocat, Mary Stuart semble avoir tout pour être heureuse. Mais, depuis le drame qui l’a frappée un an plus tôt, Mary Stuart est une femme brisée et son mariage part à vau-l’eau. Superstar de la chanson adulée par des millions de fans, la vie de Tanya n’est pas aussi dorée qu’il y parait. Poursuivie par les paparazzis, harcelée par les médias, Tanya n’a pas un instant de tranquillité et sa vie sentimentale est un immense fiasco. Médecin de renom, spécialisée dans la lutte contre le sida, Zoe mène la vie qu’elle souhaite, surtout depuis qu’elle a adopté une adorable petite fille. Mais tout est remis en question quand Zoe doit faire face à une terrible nouvelle qui bouleverse sa vie. Ces vacances au Ranch, en pleine nature, vont transformer leur existence. Mary Stuart rencontre un écrivain veuf qui tombe éperdument amoureux d’elle ; Tanya fait la connaissance d’un beau cow-boy ; quant à Zoe, son ami et associé lui déclare enfin sa flamme. Mary Stuart et Tanya retourneront-elles auprès de leurs maris, Zoe acceptera-t-elle l’amour de Sam? Ce séjour va permettre aux trois amies de redonner un sens à leur vie pour repartir, gonflées d’espoir et pleines de projets d’avenir.
Retour en Ecosse
Jane March, orpheline de mère, vit aux Eats-Unis avec son père. Une visite impromptue du notaire de sa grand-mère précipite son retour dans les Highlands, où elle retrouve son cousin Sinclair, qu’elle a toujours aimé. Dans cette même région, la belle Victoria Bradshaw vient retrouver l’homme qui l’a déçue deux ans auparavant et qui la supplie maintenant de vivre à nouveau avec lui. Pour Flora qui a découvert l’existencede sa soeur jumelle Rose, ce pays est un lieu de mensonges et de révélations. En renouant avec leur enfance ou le passé, dans cette lointaine contrée sauvage baignée par les lochs solitaires, ces trois femmes sauront-elles trouver le secret de la srénité et du bonheur ?
A grandmother with a food-induced encounter, an ecclesial romance with a tomcat set in the throes of uncertain times, eating and drinking for freedom, wife battery under the watchful eyes of communal love, desperately seeking lovers burdened by violent pasts, and a woman taking liberty after nine children with nine husbands are some of the characters and stories in Antoinette Tidjani Alou’s debut fiction collection.
La poursuite de l’amour
Chronique brillante, spirituelle et gaie, émouvante aussi, de l’aristocratie anglaise de l’immédiat avant-guerre. La Poursuite de l’amour forme avec l’Amour dans un climat froid un diptyque qui valut à son auteur, non seulement la faveur d’un large public, mais aussi l’admiration profonde d’un Evelyn Waugh comme d’un Henry Green. Aussi bien retrouve-t-on dans cette inoubliable saga des Hampton et des Montdore portée au petit écran avec une grande réussite, ses excentriques, ses belles, ses châteaux et ses campagnes, tout ce qui fait le charme, pas toujours discret mais éternel, de la verte Albion.
Ce soir, après la guerre
Viviane Forrester a quinze ans lorsque déferlent l’invasion et l’occupation nazies, les lois raciales. Adolescente rebelle, la narratrice qui n’épargne personne, moins encore elle-même, découvre, lucide, les siens aux prises avec les atrocités de l’Histoire. Il est rare de lire un récit aussi décapant et tendre, impudique et, dans la tragédie, bouleversant de fraîcheur. L’humour alterne avec l’émotion la plus grave. Viviane Forrester romancière, essayiste est critique littéraire au Monde et membre du jury Femina.
Le M23 est né au lendemain des manifestations qui ont fait échec au projet de loi qui voulait faire élire le président de la République avec 25 % des inscrits, en même temps qu’il devait instaurer une élection par ticket (président et vice-président). Ce mouvement de protestation regroupe des partis d’opposition, des groupements de citoyens et des organisations non gouvernementales. Son dernier combat a été celui mené contre la candidature du président sortant Abdoulaye Wade à l’élection présidentielle du 26 février dernier. L’exposition présente plus de 300 photographies d’Alioune Mbaye, Amadou Mbaye, Antoine Tempé, Cheikh Ahmed Tidjane Ndiaye, Christof E, Elise Fitte-Duval, Erick Christian Ahounou, Elias Aba Milki, Gabriela Barnuevo, Jacques Daniel Ly, Jean-Baptiste Joire, Mamadou Gomis, Rebecca Blackwell, Rose Skelton, Sidy Mohamed Kandji, Sidy Yansane, Sylvain Cherkaoui, Tamsir Ndir et Toure Béhan.
L’Insoumis
Sebastian Rudd n’est pas un avocat comme les autres. Il travaille dans un van aménagé, avec des vitres blindées, le wifi, un petit réfrigérateur, des fauteuils de cuir, une cache pour ses pistolets et un chauffeur armé jusqu’aux dents. Il n’a pas de cabinet, ni d’associés, ni de partenaires. Sa petite entreprise ne compte qu’un seul employé : son chauffeur, qui fait office également de garde-du-corps, d’assistant juridique, de confident et de caddy quand il va jouer au golf. Sebastian vit seul au sommet d’un gratte-ciel, dans un appartement de petite taille mais protégé comme une forteresse, où trône un billard ancien. Il est amateur de bourbon premium et porte toujours une arme sur lui. Sebastian défend des gens qui font fuir les autres avocats : un junkie tatoué, membre selon la rumeur d’une secte satanique, accusé d’avoir enlevé et tué deux petites filles ; un chef mafieux sanguinaire, dans le couloir de la mort ; un habitant ayant tiré sur une équipe du SWAT alors qu elle donnait l’assaut dans sa maison et se trompait d’adresse. Pourquoi accepter ces clients ? Parce qu’il considère que toute personne poursuivie en justice a droit à un procès équitable ; et pour ce faire, Sebastian est prêt à franchir la ligne jaune de temps en temps. Il exècre l’injustice, n’aime ni les compagnies d’assurances, ni les banques, ni les grosses sociétés. Il se méfie des gens de pouvoir, à tous les niveaux, et fait fi des règles et de l’éthique. Avec Sebastian Rudd, John Grisham dresse le portrait d’un personnage haut en couleur, outrancier, extravagant, mais avec une justesse de ton et une humanité sans pareilles.
Perfectionnement anglais – Niveau C1
Cette méthode vous est destinée si vous avez déjà de bonnes connaissances générales de l’anglais, mais que vous vous sentez déconcerté face à des niveaux de langue ou des contextes insolites. Le vocabulaire que vous y rencontrerez est celui, contemporain, des médias, et les nombreuses notes culturelles vous plongeront dans l’esprit britannique le plus pur. Les enregistrements reprennent l’intégralité des textes en anglais des leçons et des exercices de traduction du livre. Ils sont interprétés par des locuteurs natifs professionnels.
Un nouvel outil pour le voyageur qui ne s’embarrasse pas des subtilités de la langue. Ici, pas de conjugaisons, de déclinaisons ou d’imparfait du subjonctif. C’est pratique, simple et efficace. Des phrases claires, basiques, du vocabulaire sans chichi, pour se débrouiller en toute circonstance. Se déplacer, décider, manger, se soigner, se loger, acheter et même marchander, avec un glossaire pour plus de sécurité, tout devient un jeu d’enfant. ClartéNombre de motsNotes culturelles.
Les enfants du capitaine Grant (Tome 2)
Ici le tome 2 (il y en a 3) – ETAT QUASI NEUF – Après la Patagonie, direction l’Australie. Sur la foi du message trouvé dans une bouteille jetée à la mer, Lord Glenarvan poursuit la recherche du capitaine Grant naufragé. Le voici reparti, aidés de ses amis, pour de nouvelles aventures… Trahisons, tempêtes et autres catastrophes naturelles, rien n’arrêtera le courageux équipage dans son périple qui l’entraînera aux quatre coins du monde.
Notre-Dame d’Alice Bhatti
Au cœur de Karachi, ville tentaculaire et vénéneuse, Alice Bhatti s’enrôle comme infirmière à l’hôpital du Sacré-Cœur. Catholique pauvre mais pugnace, elle s’efforce de prodiguer ses remèdes aux milliers de patients délaissés. Contre le système des castes et des religions, contre les préjugés de son mari, gorille à tout faire de la police locale, et contre la corruption, Alice est prête à payer le prix fort pour survivre et répandre le salut…
Le 9 octobre 1978, Jacques Brel nous quittait, terrassé par un cancer. Témoin direct des années de la vie du célèbre auteur-compositeur-interprète, le pilote Jean Liardon, 76 ans. De toute la galaxie Brel, il est celui dont les inconditionnels du chanteur savent l’existence sans vraiment le connaître, lui le Suisse qui avait appris au grand Jacques, passionné d’aviation, à voler aux instruments, et qu’une indéfectible amitié lia. Discret, par fidélité et pudeur, Jean Liardon avait préféré jusqu’ici garder le silence. Mais quarante ans après, alors que tant de personnes parlent de l’artiste sans l’avoir connu, est venu pour lui le moment de témoigner et de raconter le vrai Jacques Brel.
Cuba – L’arme secrète
Fidel Castro se meurt. De l’autre côté du détroit de Floride, les États-Unis attendent avec appréhension l’inévitable lutte pour le pouvoir qui va se jouer sur cette île d’une inestimable valeur stratégique. Autre motif d’inquiétude pour le président américain : la conférence sur le contrôle des armements vient juste de commencer à Paris alors que les États-Unis ont dissimulé des armes secrètes sur leur base de Guantánamo Bay. Comment les faire disparaître ? Une des factions cubaines n’en a-t-elle pas découvert l’existence ? Seul le contre-amiral Grafton, à la tête d’un porte-avions au large de Cuba, a conscience du danger qu’il va devoir affronter. Lui seul peut sauver les États-Unis d’un désastre qui ferait passer la crise de la baie des Cochons pour une partie de plaisir.
L’ombre de Gray Mountain
New York, 2008. La carrière de Samantha Kofer dans un grand cabinet d’avocats de Wall Street est sur des rails dorés… Mais la récession frappe. La jeune femme se retrouve congédiée du jour au lendemain. Samantha a toutefois de la chance dans son malheur: si elle accepte de travailler gratuitement pendant un an dans un centre d’aide juridique, elle pourra peut-être réintégrer sa place.
En quelques jours, Samantha quitte donc Manhattan pour s’installer à Brady, en Virginie, une petite ville minière au coeur des Appalaches. Mattie Wyatt, la directrice du centre, va lui montrer comment aider «les vraies gens ayant de vrais problèmes ». Pour la première fois dans sa carrière d’avocate, Samantha va préparer un procès, connaître la violence des salles d’audience, recevoir des menaces. Elle apprendra également que Brady, sous la coupe des compagnies minières, cache de lourds secrets. Le danger est partout.
Vingt mille heures d’angoisse
Le 25 juin 1940, l’Armistice me trouvait dans la Creuse, lieutenant, commandant une compagnie de Sénégalais. Accablés par la défaite, je décidais quelques semaines plus tard de quitter l’armé et d m’établir à Marseille. Septembre 1940- septembre 1944 ; entre ces deux dates, ma vie allait se confondre avec cette époque de l’ombre faite d’aventure, de rencontres, de voyages incessants, de secrets partagés, de drames, d’efforts inouïs et d’obscures victoires. Combattant clandestin vingt-quatre heures sur vingt-quatre, souvent traqué et crevant de peur, j’allais franchir tout les échelons, depuis la construction de ma première « sizaine d’arme secrète jusqu’au commandement officiel de toutes les Forces Françaises de l’intérieur entre Loire, Rhône, Pyrénées et Atlantique : Une armée de près de cent mille hommes que je mettrais en marche avec les étoiles de général. Ce sont ces quatre années que ce livre raconte.
Père Pedro – Prophète des bidonvilles
Dans ce monde où les trois-cinquièmes de l’humanité vivent dans une situation de grande pauvreté, peut-on espérer sauver les uns sans les autres ? S’il est urgent de réinventer notre planète, cela n’ira pas sans mettre en avant la solidarité et l’amour, et à l’exemple du Père Pedro, sans donner aux plus pauvres l’envie de croire en eux-mêmes. Depuis plus de vingt-cinq ans, Père Pedro se bat pour que des hommes et des femmes retrouvent leur dignité en travaillant, en construisant leur maison, en se reconstruisant. Pierre Lunel l’a suivi à de nombreuses reprises, longuement, pour nous raconter l’incroyable histoire d’un homme de foi que rien n’a pu arrêter dans son souci de remettre debout ceux qui lui étaient confiés. Les villages d’Akamasoa à Madagascar témoignent de ce qui se vit. Ils sont aussi la preuve que notre monde peut changer si, à l’image de Père Pedro, missionnaire pour notre temps, chacun se laisse à son tour bousculer par la misère des plus démunis et des blessés de notre société. Une aventure humaine bouleversante et pleine d’espérance ! Pierre Lunel a mené parallèlement une carrière de haut fonctionnaire et d’auteur. Resté très proche des milieux liés à l’humanitaire, il a été l’ami et le confident de l’abbé Pierre et de sœur Emmanuelle. Après son best-seller L’Abbé Pierre, insurgé de Dieu, il a poursuivi le portrait de figures d’exception (Sœur Emmanuelle, Ingrid Bétancourt) tout en partageant avec le grand public sa passion de l’histoire (L’Histoire de France en 80 lieux).
14 Janvier, l’enquete
17 décembre 2010 : un fait divers provoque des manifestations au centre de la Tunisie. Janvier 2011, le mouvement s’étale et atteint pratiquement tout le pays. Avant même que le soulèvement n’aboutisse au départ de Ben Ali, de violentes manifestations ont lieu dans le monde arabe. Elles gagnent même les intouchables monarchies pétrolières. La chute de Ben Ali sera suivie de celle de Moubarak, Abdallah Salah et Kadhafi, tandis que de nombreuses réformes politiques et sociales sont amorcées dans plusieurs pays arabes pour contenir la colère populaire. Mais ce mouvement connaît aussi une forte ingérence étrangère. Certaines puissances ont-elles provoqué le «Printemps arabe» ou ont-elles simplement tenté de l’orienter dans le sens de leurs intérêts ? Cette enquête entend répondre à cette question et lever le voile sur les événements qui ont secoué la Tunisie durant les mois de décembre 2010 et janvier 2011. Ce livre est basé sur des documents officiels, des rapports des renseignements militaires, des procès-verbaux, des écoutes téléphoniques, des listes d’appels, des documents confidentiels, des explications scientifiques et divers témoignages d’acteurs de premier plan. Tous les documents sont consultables dans un site internet dédié à ce livre : 14janvier2011.com
J’aime mon chat !
Karim Daoud a rassemblé dans ce livre toutes les questions, tous les symptômes auxquels il est confronté dans son métier de vétérinaire, tous les problèmes que pose la vie avec un chat.
Trop bien élevé
Ce que je voudrais ici, c’est décrire les premières années d’un enfant trop éduqué, et, à travers lui, si je le puis, les sentiments, les mentalités, les rites qui dominaient encore une part de la bourgeoisie quand vint la guerre de 1939. Je voudrais tâcher de retrouver ceux que j’ai connus, aimés, et chez eux, toute la peine qu’ils se donnaient pour fabriquer des enfants très solitaires et parfaitement bien élevés. Excusez-moi, oui, excusez-moi si je suis là, car je vous gêne. Si vous m’avez bousculé, c’est que je n’aurais pas dû me trouver sur votre chemin. Si vous êtes de mauvaise humeur, je dois y être pour quelque chose. Comment vivre, marcher, respirer sans déranger? Frapper avant d’entrer, s’effacer dans les portes, sourire, toujours sourire. Il ne suffira pas d’une vie entière pour se faire pardonner d’exister.
Le petit livre du changement climatique
SAR Le prince de Galles est l’un des acteurs majeurs de la lutte contre le réchauffement climatique. En 2007, il a initié le Prince’s rainforests Project visant à limiter la déforestation et depuis 2010 il anime un groupe de réflexion sur le développement durable. Cette petite introduction au changement climatique explique en termes simples les mécanismes en jeu et leurs conséquences pour la planète.