Aria (03) – La septième porte
Une fillette aux pouvoirs magiques, un chef de guerre miné par une étrange maladie vont unir leurs pouvoirs aux forces d’Aria pour franchir la septième porte et surmonter d’inquiétantes épreuves…
Aria (01) – La fugue d’Aria
Guerrière solitaire et fougueuse, Aria est engagée comme conseiller militaire parmi des hommes rudes et frustes. Elle se lance ainsi dans sa première aventure !
Aria (02) – La montagne aux Sorciers
Une étrange région est soumise à la malédiction du sinistre Alkaïr. Pour le combattre, Aria devra puiser en elle toute son énergie mentale et physique…
L’île sous la mer
1770, Saint-Domingue. Zarité Sedella, dite Tété, a neuf ans lorsqu’elle est vendue comme esclave à Toulouse Valmorain, jeune français tout juste débarqué pour prendre la succession de son père, propriétaire terrien mort de syphilis. Zarité va découvrir la plantation, avec ses champs de canne à sucre et les esclaves courbés sous le soleil de plomb, la violence des maîtres, le refuge du vaudou. Et le désir de liberté. Car entre soldats, courtisanes mulâtres, pirates et maîtres blancs, souffle le vent de la révolte. Lorsque Valmorain, réchappé de l’insurrection grâce au courage et à la détermination de son esclave, parvient à embarquer pour La Nouvelle-Orléans, Tété doit le suivre. Mais la lutte pour la dignité et l’émancipation ne peut être arrêtée… Aventure, exotisme, magie, L’île sous la mer est un magnifique portrait de femme, une histoire d’amour et fresque historique, qui entraîne le lecteur de Saint-Domingue à la Louisiane, des plantations de canne à sucre aux maisons de jeux de la Nouvelle-Orléans, des demeures de maîtres aux bordels de mulâtresses. Une magnifique ode à la liberté, un hommage à la première révolution des esclaves de l’histoire.
Sexus rugbysticus
» J’entends déjà les réflexions de ces messieurs communiant en curie ou en obédience dans leur blazer en pure laine vierge peignée fleurant bon les tournées, les comités directeurs, la débrouille et les petits arrangements entre amis : « Ce mec nous emmerde avec ces histoires de cul. Est-il raisonnable de cracher ainsi dans la soupe ?’ » A.G.
Mais est-ce vraiment pécher que de lever le voile sur les écarts de conduite de nos chers joueurs, qui se dévoilent à l’envi dans les cars et les avions, à l’hôtel et au banquet, ou encore Chez Denise, le temple libertin de la capitale ? Un ouvrage se penche enfin sans faux-fuyants sur le thème tabou du sexe dans le rugby, l’ingrédient majeur de toute troisième mi-temps accomplie, au fil d’un récit truffé de drôleries et souvent empreint de passion et de tendresse.
Titus n’aimait pas Bérénice
Quand on parle d’amour en France, Racine arrive toujours dans la conversation, à un moment ou à un autre, surtout quand il est question de chagrin, d’abandon. On ne cite pas Corneille, on cite Racine. Les gens déclament ses vers même sans les comprendre pour vous signifier une empathie, une émotion commune, une langue qui vous rapproche. Racine, c’est à la fois le patrimoine, mais quand on l’écoute bien, quand on s’y penche, c’est aussi du mystère, beaucoup de mystère. Autour de ce marbre classique et blanc, des ombres rôdent. Alors Nathalie Azoulai a eu envie d’aller y voir de plus près. Elle a imaginé un chagrin d’amour contemporain, Titus et Bérénice aujourd’hui, avec une Bérénice quittée, abandonnée, qui cherche à adoucir sa peine en remontant à la source, la Bérénice de Racine, et au-delà, Racine lui-même, sa vie, ses contradictions, sa langue. La Bérénice de Nathalie Azoulai veut comprendre comment un homme de sa condition, dans son siècle, coincé entre Port-Royal et Versailles, entre le rigorisme janséniste et le faste de Louis XIV, a réussi à écrire des vers aussi justes et puissants sur la passion amoureuse, principalement du point de vue féminin. En un mot, elle ne cesse de se demander comment un homme comme lui peut avoir écrit des choses comme ça. C’est l’intention de ce roman où l’auteur a tout de même pris certaines libertés avec l’exactitude historique et biographique pour pouvoir raconter une histoire qui n’existe nulle part déjà consignée, à savoir celle d’une langue, d’un imaginaire, d’une topographie intime. Il ne reste que peu d’écrits de Racine, quelques lettres à son fils, à Boileau mais rien qui relate ses tiraillements intimes. On dit que le reste a été brûlé. Ce roman passe certes par les faits et les dates mais ce ne sont que des portes, comme dans un slalom, entre lesquelles, on glane, on imagine, on écrit et qu’on bouscule sans pénalités.
Antipathies
Antipathies est un livre d’humeur de Gérard Miller, un ouvrage de parti-pris, vif et polémique, sur les sujets qui l’agacent, l’inquiètent, voire l’indignent. Constatant qu’il existe dans la société française un vaste ensemble d’opinions marécageuses, de mensonges, d’approximations, de niaiseries et de méchancetés, l’auteur s’amuse à démonter quelques unes de ces idées reçues qui ne consacrent souvent qu’un seul dieu, le bon sens, et qu’encouragent comme de bien entendu les pouvoirs en place. Dans une succession de petits chapitres enlevés, Antipathies met en scène avec humour les exaspérations, les allergies et autres répulsions d’un psychanalyste que sa propre cure a apaisé, mais pas assagi, et qui continue d’être agité par les deux sentiments qui, depuis l’enfance, ne l’ont pas quitté : l’indignation et la colère. Gérard Miller envoie ses flèches sur pas moins de 123 cibles, parmi lesquelles : Eric Zemmour, la Française des jeux, Charles de Gaulle, les hommes au volant, les perroquets de Le Pen, le culte de l’évaluation, les discours anti-Roms, le crédit, Jean-Jacques Bourdin, la pérennité des proverbes, le réalisme patronal, Brice Hortefeux, les tatouages, le grand public, le travail le dimanche, les ennemis de la psychanalyse, Frédéric Taddéi, la médecine américaine, Valeurs actuelles ou Laurent Gerra. Antipathies est suivi de L’homme qui excita l’antipathie de Freud, un récit étonnant de la haine tenace que le fondateur de la psychanalyse vouait au président américain Wilson, à qui il consacra le moins connu et donc le moins lu de ses livres, Portrait psychologique d’un président. Comme quoi il n’y a aucune raison d’imaginer que les psychanalystes, pour exercer leur métier, doivent être des poissons froids, cachant leurs opinions et dissimulant leurs aversions !
Le prophète du libéralisme
«Il nous avait tous réunis, sur le golf somptueux de sa demeure privée. Et nous le suivions radieux, portant fièrement à tour de rôle le sac garni de ses clubs.
Et nous nous tenions là pour apprendre de lui, pleins d?une soif de savoir humble et sans borne. Juges, médecins, banquiers, professeurs, chefs d?entreprise, journalistes.., notre cortège l?accompagnait, comme la traîne d?une robe princière. Alors, dans un sourire béat, Mère Rosetta demanda : – ET LA PAUVRETÉ, MAÎTRE ? Que les rêveurs cessent de rêver. Toujours il y eut des pauvres et toujours il y aura des pauvres, car toujours il y aura des individus plus faibles, moins industrieux et plus fainéants. Il est normal que l?inventivité des plus forts soit récompensée, il est normal que la passivité des plus faibles ne le soit pas. Mais il n?y a pas de réelle pauvreté économique. Le plus pauvre des pays a toujours quelque chose à vendre. Accepter nos déchets nucléaires, prostituer ses enfants, les proposer à l?adoption, vendre leurs organes, leurs reins, leurs cornées. En vérité, je vous le dis, la richesse des pauvres est incalculable. » En ces temps de désarroi, où beaucoup s?interrogent sur la marche et l?avenir de notre civilisation, il est bon d?écouter Celui qui parle vrai, Celui dont la langue n?est pas de bois, qui dit les choses crûment. En pastichant un fameux livre de sagesse, Michel Piquemal nous livre une satire drolatique et jubilatoire. Un pamphlet terriblement décapant. Qui osera nier que ce sont là les paroles d?évangile de l?ultra-libéralisme triomphant ?
L’existence de Beaumarchais est une ivresse de vivre. Une suite de folles journées. Une pièce de théâtre effrénée où les personnages, tous Beaumarchais, se succèdent, se nourrissent l’un l’autre, s’allient,se contredisent, se combattent, parfois se détestent, le plus souvent s’aiment, trop. Ce serait banal si, vécues par tous ces personnages, toutes ces vies se succédaient sagement. Cet horloger, fils d’horloger, ne supporte pas la chronologie. C’est le prince du En Même Temps, cette stratégie qui, quoi qu’on pense n’est pas moderne : c’était déjà la devise du XVIIIe siècle. Musicien, courtisan, financier, promoteur immobilier, industriel, espion, armateur, auteur d’oeuvres tantôt géniales, tantôt très oubliables, éditeur de Voltaire, il devient révolutionnaire malgré lui. Trop gourmand pour ne pas TOUT vivre à la fois. Et trop joyeux de toutes ces aventures pour en ressentir de la fatigue. Comme l’écrivait Fernando Pessoa, n’être qu’un est une prison.
Qu’ai-je donc fait
Une petite anthropologie intellectuelle et sentimentale. Dans « Qu’ai-je donc fait ? » Jean d’Ormesson révèle sur lui et sur les siens des pans entiers d’existence qu’il a longtemps gommés. Sur les différents milieux auxquels il a appartenu, sur leur langage, sur leurs croyances, et leurs modes de vie, il jette avec précision et humour une lumière nouvelle. Il passe à quelques aveux et donne de lui-même une image nouvelle. Et du monde où nous vivons une vision ironique et enchantée.
L’ordinateur à la maison facile
Nouvelle collection Facile : enfin des petits livres de poche, à tout petit prix, pour franchir de grandes étapes. 4,90 € seulement ! Idéal pour démarrer en informatique sans se ruiner ! Les livres de la collection Facile vous mettent le pied à l’étrier en un rien de temps. ? Du texte ultra simple et concret. ? Les explications essentielles. ? Les mots à connaître. ? Les astuces vraiment utiles. Un ordinateur, pour quoi faire ? Comment et où acheter un ordinateur pour éviter les déboires ? Installer la machine et bien s’installer devant elle. Le moment de vérité : mettre l’ordinateur en service. Découvrir Windows, votre interlocuteur privilégié. Surfer sur Internet et sur le Web comme un pro. Échanger du courrier électronique avec le monde entier. Regarder des DVD et écouter de la musique. Jouer en solo ou contre des adversaires sur Internet. Rédiger des textes pour tous vos besoins. Vous avez dit bureautique ? Se protéger contre les virus et les autres malfaisants. Ne pas oublier d’enregistrer et de sauvegarder votre travail.
L’homme qui voulait vivre sa vie
La vie de Ben Bradford n’est qu’une vaste comédie : en apparence c’est un père et un mari comblés, en réalité il souffre de la froideur de son épouse. Brillant avocat envié par ses pairs, il ne rêvait que d’être photographe. Alors qu’il se persuade qu’il est heureux, il découvre que sa femme le trompe et, qui plus est, avec un photographe ! Anéanti, il supprime son rival. Que faire ? Se rendre ou fuir ? Ben choisit la fuite et recommence une nouvelle vie à l’autre bout des Etats-Unis en prenant l’identité de sa victime.
De la naissance de la République à nos jours, un florilège tour à tour amusant, ridicule et parfois terrible de ce que les hommes et les femmes politiques français ont dit et écrit de leurs adversaires.« Bayrou fait l impression de l amant qui craint la panne… »« Fabius est au Premier ministre ce que le Canada Dry est à l alcool. »« La présidentielle, Hollande y pense en nous rasant. »« Marine Le Pen, Une gourgandine sans foi ni loi, sans doctrine, sans idéal. »« Ségolène Royal, une Frédégonde qui serait passée par la Star Ac ! »« Sarkozy est passé de la présidence bling-bling à la présidence couac-couac ! »
Cet instant-là
À la fois drame psychologique, roman d’idées, roman d’espionnage mais surtout histoire d’amour aussi tragique que passionnée, une oeuvre ambitieuse portée par le talent exceptionnel de Douglas Kennedy. Écrivain new-yorkais, la cinquantaine, Thomas Nesbitt reçoit à quelques jours d’intervalle deux missives qui vont ébranler sa vie : les papiers de son divorce et un paquet posté d’Allemagne par un certain Johannes Dussmann. Les souvenirs remontent. Parti à Berlin en pleine guerre froide afin d’écrire un récit de voyage, Thomas arrondit ses fins de mois en travaillant pour une radio de propagande américaine. C’est là qu’il rencontre Petra. Entre l’Américain sans attaches et l’Allemande réfugiée à l’Ouest, c’est le coup de foildre. Et Petra raconte son histoire, une histoire douloureuse et ordinaire dans une ville soumise à l’horreur totalitaire. Thomas est bouleversé. Pour la première fois, il envisage la possibilité d’un amour vrai, absolu. Mais bientôt se produit l’impensable et Thomas va devoir choisir. Un choix impossible qui fera basculer à jamais le destin des amants. Aujourd’hui, vingt-cinq ans plus tard, Thomas est-il prêt à affronter toute la vérité ? Traduit de l’américain par Bernard Cohen.
L’encyclopédie hachette
Plus de 500 sujets classés par ordre alphabétique sur tous les grands domaines de la connaissance. Une mise e, page vivante et un texte accessible à tous qui captiveront les lecteurs de tous âges. Plus de 4500 illustrations tout en couleurs (photos, dessins, cartes, schémas, tableaux), accompagnés de légendes, pour mieux comprendre une époque, un évènement, un personnage, un mouvement artistique, une technologie… Véritable outil de connaissance, » L’encyclopédie Hachette » s’avérera particulièrement utile aux élèves, grâce à : des articles informatifs courts, rédigés dans un style simple et vivant ; un index détaillé permettant d’accéder immédiatement à l’information cherchée ; plus de 300 sites internet et des renvois systématiques d’un sujet à l’autre, pour mieux naviguer dans l’ouvrage et replacer l’information dans un contexte plus large ; 30 pages synthétiques de frises chronologiques, de données statistiques et de tableaux récapitulatifs, abondamment illustrés, permettant de balayer d’un seul coup d’oil : l’histoire de France et du monde, la géographie et l’économie de la France et du monde, les différentes espèces et variétés du monde vivant, la carte du ciel et les volumes, la classification des éléments…
On dit que les orchidées…
On dit que certaines orchidées d’Amazonie vivent sans racines au sommet des arbres. Venues de nulle part, on les nomme » filles du ciel « . Les enfants qui ont pour origines le X de l’inconnu doivent aussi se suffire à eux-mêmes, grandir sans terre ni secours. Ils sont condamnés à marcher avec une blessure sans cesse rouverte et jamais guérie. Comment vivre avec cette douleur où la honte se mêle à la rage ? Comment être mère quand on est un enfant du néant ? Anne da Costa nous livre le témoignage poignant de l’apprentissage qu’elle a dû faire seule des règles du jeu de la vie : être, aimer, pardonner. L’écriture devient alors un moyen de cheminer vers la paix. Dans une langue très pure, elle parvient à apprivoiser une souffrance jusqu’alors indicible.
L’œuvre de San Antonio est sans conteste un monument de la littérature contemporaine… profitons de la verve tonifiante de San-Antonio, de ce grand petit garçon, qui pour notre bonheur et notre honneur a su désavouer les pédants, les minus, les minables… Renée Boviatsis L’Humanisme de San Antonio.
Julien des fauves
Dans une Europe enfin confédéré, mais démunie, en proie au tumulte et à une menace extérieure, un homme apparait, fils présumé d’un artisan modeste du nord de la France. : Julien Mahé. A ses côtés, ou plutôt à ses flancs tant il paraît humain, marche une poignée de filles et de garçons. En face d’eux, un pouvoir rigoureux, impitoyable. Et, pour arbitrer ce duel, en spectateur impuissant, une société européenne hébétée par ses propres révoltes, en proie à la folie et à la peur. Apparitions télévisées, violences, campagnes de calomnie, meurtres, rien n’arrête Julien Mahé, dans sa dénonciation et son message de fraternité. Vers lui, venus de toute l’Europe, ils accourent par centaines, bientôt par milliers. Alentour, la nature s’en mêle, la terre craque en Méditerranée… Le pouvoir s’inquiète, l’Eglise s’interroge. Qui est réellement Julien Mahé ? D’où lui viennent ce magnétisme et d’autres pouvoirs, plus étranges encore ? Julien est-il celui qu’on attendait ? Dans les cinquante dernières pages, alors que devant cinq cents millions de téléspectateurs le voile semble se lever de façon dramatique sur ce jeune homme étrange, le mystère rebondit encore avec la personnalité d’une enfant de six ans, Maya, qui ne le quitte plus jusqu’à ce dernier jour…
La femme aux cheveux roux
En un instant, sur un coup de tête, Franziska quitte son mari et prend le premier train pour Venise. Elle croit rompre à jamais avec l’Allemagne pseudo-libérale des années soixante, et avec l’amnésie que son pays oppose désormais à l’histoire. Mais quelle renaissance peut lui offrir une ville si théâtrale, où semblent encore à l’œuvre tous les cauchemars du nazisme ? Avec ce portrait d’une jeune femme décidée mais vulnérable, Alfred Andersch met en scène l’aventure de la liberté. Et, comme dans nombre de ses œuvres, il rappelle la nécessité de toujours reconduire l’acte existentiel qui la fonde.
Les champs d’honneur
« Jean Rouaud ne devrait pas passer longtemps inaperçu de ses contemporains, qui suspecteront en lui l’une des plus soudaines et des plus étonnantes révélations de la décennie. Mettons, du quinquennat, pour ne désobliger personne. » Jean-Louis Ezine, le Nouvel Observateur. « Sans nostalgie, sans banalité, Jean Rouaud rend hommage à ces Français qu’on dit moyens. L’écriture, très belle, frappe par son ampleur et sa grande justesse. » Jean-Maurice de Montremy, Lire « Les champs d’honneur est mieux qu’un livre réussi dont on discute les vertus et qu’on range ensuite dans une hiérarchie serrée des mérites. Il est l’un de ces rares, de ces très rares livres, qui emportent l’immédiate conviction; conviction qu’on brûle de faire partager. » Patrick Kéchichian, le Monde « Avez-vous lu Rouaud ? » La rumeur court, flatteuse, résonne dans le plus puissant circuit de publicité, le bouche à oreille. … C’est toujours émouvant, la naissance d’un écrivain, et c’en est un assuré¬ment, qui ne doit rien aux modes, ni aux procédés de fabrication, ni à la frénétique course aux prix. … Il a écrit parce qu’il avait quelque chose à dire ; il le dit d’une écriture très élaborée mais limpide, souple, aisée.
La mère (d’après Gorki)
La Mère ou Vie de la révolutionnaire Pélagie Vlassova de Tver (Die Mutter) est une pièce de théâtre du dramaturge allemand Bertolt Brecht écrite en 1931. Elle est inspirée du roman de Maxime Gorki La Mère (1907). La musique est de Hanns Eisler. La première de cette pièce a eu lieu le 17 janvier 1932 à Berlin.
Mulder et Scully doivent affronter un tueur capable de plier les gens à toutes ses volontés par le pouvoir de la pensée.
Le Tsar poisson
Victor Astafiev débute comme journaliste, étudie à Moscou à l’Institut de littérature, écrit des récits pour enfants, des nouvelles sur la guerre, des romans, qui ont pour cadre la taïga, l’Ienisseï, les campagnes et les villes de la Russie profonde dont Le Tsar poisson. Victor Astafiev n’a que huit ans quand sa mère se noie accidentellement. Il suit son père à Igarka, un grand port en train de naître. Fugueur, il est d’abord placé dans un orphelinat, puis commence à travailler comme pêcheur. Il participe comme soldat à la seconde guerre mondiale.
La chambre rouge
Depuis le remariage de son père, Hélène vit de sa rancune, guettant la moindre faiblesse de Tamara, la nouvelle épouse. Justement Tamara, qui s’ennuie, semble s’émouvoir devant les attentions d’un décorateur parisien venu ressusciter le théâtre de la ville. Hélène imagine de détourner sur elle l’attention du nouveau venu. Elle n’y réussit que trop bien. Entre eux, c’est le chassé-croisé du plaisir et même de la passion. Mais ce garçon plus tout jeune et cette jeune fille trop sûre d’être femme ne veulent rien sacrifier à un amour dont ils ont pourtant pressenti la force. Hélène continuera à cultiver ses vieilles rancunes, Jean ne voudra pas renoncer au personnage cynique qu’il s’est créé. Dès lors, et puisqu’ils ont refusé de l’accepter dans sa totalité, leur amour est condamné.
La vallée des roses
La Vallée des roses est l’histoire d’une ambition folle qui réussira, d’une ascension qui n’avait pas une chance sur un million de se réaliser, celle d’une fleur, d’une beauté à la grâce incarnée : une jeune fille qui a nom Yi. Yi, qui caresse un rêve inouï : devenir la femme de l’Empereur régnant et, en le subjuguant, régner sur la Chine aux 500 millions de sujets. On voudrait tout citer, tout raconter. D’abord Hieng-Fong, le Soleil Impérial, le souverain auquel Yi rêve de s’unir, « … dégénéré, ivrogne et débauché, une raclure, un être sans foi ni loi… » On voudrait dire aussi la Cité Violette de Pékin, que gardent des régiments de castrats… Et encore le Concours du Concubinat où gardée par le Grand Eunuque et le Grand Surveillant, la Mère du Ciel (mère de l’Empereur), choisira parmi cent filles dénichées d’un bout à l’autre de la Chine, les trente qui seront les concubines de son fils, formeront le Harem Impérial et tenteront de séduire l’implacable pédéraste… Comment passer sous silence la scène où Yi séduit Héros Coupé, l’Eunuque Grand Surveillant. On aimerait raconter encore Yi Concubine Impériale, son ascension jour après jour. Comment devenue Impératrice Tseu-hi, Souveraine Absolue, elle empoisonne l’Empereur, cependant que les Barbares, c’est-à-dire les Blancs (Français et Anglais), sont aux portes de Pékin, au terme d’une marche qui fournit les pages d’horreur les plus hallucinées, les plus chargées de mort et de sang que l’on ait jamais écrites. Ce roman de moeurs est un fantastique roman d’aventures qui à chaque page confronte le lecteur à la réalité la moins vraisemblable et, génie de l’auteur, à la gorge, gonfle et magnifie le style de Bodard – qui n’était jamais allé aussi loin dans la description comme fascinée, et toujours méticuleuse, de l’horreur ou de l’insolite.
Comme un verger avant l’hiver
A la fin de la Seconde Guerre mondiale, une survivante des camps de la mort accepte, pour le protéger, d’épouser son ami d’enfance qui, résistant et arrêté, l’a livrée à la Gestapo. Elle se croit sa seule victime. Mais Gérard va profiter du pardon et du silence de Jeanne-Claude pour se forger une stature de héros, gravir les marches des honneurs et de la réussite financière tandis que la jeune femme, complice malgré elle, brisée, va découvrir la tragique étendue de la trahison de son mari. Cette histoire est celle de l’escroquerie d’un homme protégé par la puissance de l’argent et la lâcheté d’une société qui choisit de fermer les yeux afin de préserver l’ordre bourgeois et masculin, l’image des classes privilégiées et celle de la Résistance. Un jour, pourtant, le mécanisme grippera du fait d’un témoin négligé. Mais cette rébellion isolée pourra-t-elle enrayer l’impudente ascension du faux héros ? Bien qu’il s’agisse là d’un roman, et que ses personnages en soient purement imaginaires, on retrouve dans ces lignes âpres, corrodées d’un humour grinçant, l’expérience de guerre de son auteur.
Photoshop CS
Apprenez à combiner photographies, dessins et textes pour créer des illustrations de qualité ; réalisez des effets spéciaux pour l’impression et pour le Web ; effectuez des corrections colorimétriques ; organisez vos bibliothèques d’images et bien d’autres choses encore ! Classroom in a book, collection au succès mondial, propose des livres de formation par la pratique pour étudier rapidement et aisément les fonctionnalités des logiciels Adobe. Chaque ouvrage offre ce qu’aucun autre livre ou programme de formation ne propose : des supports pour travaux pratiques développés par les experts en formation logicielle d’Adobe Systems, testés et optimisés dans les salles et les laboratoires de cours d’Adobe. Les vingt leçons de cet ouvrage traitent des principes fondamentaux de Photoshop CS et vous livrent d’innombrables astuces pour devenir rapidement un utilisateur expert de Photoshop. La structure de l’ouvrage vous permettra de progresser à votre rythme, de suivre une formation correspondant à vos besoins et d’adapter votre apprentissage au temps dont vous disposez.
Dayan
Faucon ? Colombe ? Caméléon ? – L’enfance d’un sabra – Un soldat parmi les femmes – Né pour combattre – Des jours d’inquiétude – Première « course » dans le Sinaï – Sur la rive du canal – Le mythe – Les batailles du Sinaï et du Golan : la guerre des six jours, du Kippour – Alliés et ennemis de Dayan : David Ben Gourion, Golda Meir, Anouar el-Sadate – Comme ils l’ont vu – Ecrits de Dayan : Le problème Israélien, ce que je pense du Fatah, Arabes et Juifs, les Palestiniens, ma guerre.
Pas après minuit
Un instituteur quadragénaire se trouve entraîné à la suite d’un couple d’Américains dans des parties de pêche qui sont loin d’être ce qu’elles paraissent. Une jeune actrice se lance dans une quête passionnée dont le dénouement la laissera à jamais désemparée.
Je voudrais que cela ne finisse jamais
Alors que Göteborg est écrasée par une chaleur caniculaire, le commissaire Erik Winter, désormais marié et père de famille, doit faire face à une série de crimes particulièrement atroces. La découverte du corps d’une jeune fille dans un parc municipal lui rappelle un autre meurtre, resté non résolu… Il va alors se plonger au coeur de ce dossier où s’entrelacent inextricablement affaires crapuleuses et drames familiaux. Dans ce polar psychologique à la fois intimiste et efficace, Åke Edwardson pose une fois encore un regard original et subversif sur son pays, loin des clichés du « modèle suédois ».
Ombres chinoises
Début de l’année 1957. On retrouve May et Pearl, les deux sœurs de Filles de Shanghai, ainsi que la fille de cette dernière, âgée de dix-neuf ans, la fougueuse Joy. Bouleversée par les secrets familiaux qu’elle vient de découvrir, Joy décide de s’enfuir pour Shanghai afin de retrouver son père biologique, un homme dont sa mère et sa tante May furent éprises par le passé, l’artiste Z.G Li. Éblouie par sa personnalité et aveuglée par des idéaux révolutionnaires, Joy se jette à corps perdu dans le projet de la Nouvelle république populaire de Chine, inconsciente des dangers du régime communiste. Dévastée par le départ de Joy et craignant pour sa vie, Pearl est déterminée à sauver sa fille, à n’importe quel prix. Elle devra affronter ses vieux démons et relever des défis quasi insurmontables, au cours d’un des épisodes les plus dramatiques de l’histoire chinoise…
L’ermite de la forêt d’Eyton
Un tout jeune garçon, une formidable grand-mère qui souhaite le marier, un ermite qui mène la danse (ou le sabbat ?) au fond des forêts, et, bien sûr, ce fin limier de frère Cadfael flairant le crime passé ou à venir, tels sont les ingrédients du suspense d'Ellis Peters. Le sang coule, les cœurs battent plus vite peut-être qu'aujourd'hui. Mais il suffit d'ouvrir le livre pour être au diapason de ce Moyen Âge si violent et si chaleureux. C'était hier, en 1142, quelque part en Grande-Bretagne…
Canada
« D’abord, je vais vous raconter le hold-up que nos parents ont : Commis. Ensuite les meurtres, qui se sont produits plus tard. »
Great Falls, Montana, 1960. Dell Parsons a 15 ans lorsque ses parents braquent une banque, avec le foi espoir de rembourser un créancier menaçant. Mais le hold-up échoue, les parents sont arrêtés. Del doit choisir entre la fuite et l’orphelinat. Il traverse la frontière et trouve refuge dans un village du Saskatchewan, au Canada. Arthur Remlinger, le propriétaire d’un petit hôtel, le prend alors à son service. Charismatique, mystérieux, Remlinger est aussi recherché aux États-Unis. C’est la fin de l’innocence pour Dell. Dans l’ombre de Remlinger, au sein d’une nature sauvage et d’hommes pour qui seule compte la force brutale, il cherche Son propre chemin. Canada est le récit de ces années qui l’ont marqué à jamais.
Ce roman, d’une puissance et d’une beauté exceptionnelles, signe le retour Sur la scène littéraire d’un des plus grands écrivains américains contemporains.
«Un chef-d’œuvre, qui capture la solitude logée au cœur même de la vie américaine – et peut-être de toute vie. » John Banville
Les chemins de Loco-Miroir
La moindre pulsation de tambour faisait palpiter ses reins, elle marchait comme on danse, frémissante, vers sa liberté…, ainsi Alma Viva Jean Joseph, dite Cocotte, décrit Violaine, sa sœur Marassa, sa jumelle, quoi, selon les esprits de Guinée, les Loas, ceux de l’autre côté de l’eau (nous sommes en Haïti) qui régissent la vie des vivants et des morts. Et les Esprits, croyez-moi, quand ils vous choisissent, votre vie cesse d’être un champ de roses. Pourquoi, par exemple, Violaine la resplendissante, à la peau de velours doré, se laisse-t-elle ainsi égarer ? Pourtant, cette folle, cette tête d’orage, ce petit fruit rebelle, elle le savait bien que l’on ne tombe pas impunément amoureuse d’un pauvre Noir, si beau et intelligent soit-il, quand on est quasiment blanche et qu’on est promise à un riche héritier. Oui, mais voilà, si la vie s’alignait sur la couleur du ciel, il y a longtemps que Haïti serait le pays le plus heureux du monde… Dans ce premier roman, riche de tendresse et de sensualité, Lilas Desquiron, qui appartient à une vieille famille haïtienne, laisse percer, sous le foisonnement d’un langage magique, le regard acéré de l’ethnologue.
Famille et autres supplices
De l’inconvénient d’avoir un appartement trop grand, une famille envahissante et de dire stupidement à tout le monde qu’on prend un congé sabbatique… Lorsque Louise, sa fille, la réveille au milieu de la nuit pour l’informer de la présence dans le salon d’un probable cadavre, Laura Abner ne peut pas deviner que cette plaisanterie d’assez mauvais goût n’est que le premier épisode d’une cascade de catastrophes dont elle va difficilement se remettre. Le zombie vautré sur sa moquette est le professeur de philo de sa fille que son amant vient de jeter à la porte et qui espère se réfugier quelques jours chez son élève favorite. Pour échapper aux sarcasmes de sa fille qui l’a toujours soupçonnée d’être une insupportable bourgeoise, Laura accepte de loger quelques nuits l’enseignant dépressif, d’autant que son appartement est spacieux. Mais doit-elle tolérer que l’importun emprunte ses déshabillés et ses lotions faciales au prétexte qu’il a toujours rêvé d’être une femme ? Laura n’aura pas le temps de s’attarder sur cette question car, en laissant cet être hybride s’installer dans son appartement, elle a ouvert sa porte à une armée d’emmerdeurs. C’est d’abord Maxime, son frère adoré, qui décide d’abandonner le domicile conjugal et de squatter son ancienne chambre pour échapper aux fureurs légitimes de sa femme qui menace par ailleurs de se jeter du toit de son immeuble…
L’oiseau de feu
Ce magnifique livre découpé raconte l’univers magique du célèbre ballet L’Oiseau de feu. Le prince Ivan Tsarevitch et l’oiseau de feu délivreront-ils la princesse Hélène la très belle de l’emprise du sorcier Kastcheï ?
Le cachalot
Une enfance écartelée entre parents et grands-parents, un mariage à dix-neuf ans, trois enfants. Une licence d’allemand, l’enseignement pendant deux ans, puis des traductions. Une vie comme tout le monde… Vers la quarantaine, il rencontre une jeune femme, Elise. C’est l’amour fou, il y investit sa vie. Un matin, il part voir un ami en province. Le soir, Elise n’est plus là. Yves Le Roux sombre alors dans l’alcool, » pour ne rien voir, ne plus rien savoir « . La dérive commence. Quelques mois plus tard, il est SDF. Suivront huit ans de » zone « . La faim, la maladie, l’alcool ( » le dernier refuge « ), la violence, les vols et les agressions, il connaît tout cela pour l’avoir vécu… Aujourd’hui, Yves Le Roux n’en peut plus. Il a de nouveau envie de lire, d’écrire. Alors il raconte… Un témoignage bouleversant sur la marginalité, sur notre société. Un document effrayant. Et si cela n’arrivait pas qu’aux autres ?
A propos d’un gamin
Pour Marcus, douze ans, une mère divorcée, dépressive et baba cool, la vie n’est pas toujours facile. Surtout quand de surcroît cette mère végétarienne n’écoute que des tubes des années soixante-dix, vous attife de vêtements ringards et que les durs de l’école ne jurent que par le hip-hop. Quant à Will, la trentaine, branché, riche, oisif et fier collectionneur d’amours épisodiques, il a du mal à trouver sa place dans la société. Malgré leur méfiance réciproque, l’homme et l’enfant que tout oppose vont finir par se trouver et s’épauler pour affronter l’adolescence et des liens sociaux distendus. Cette rencontre paradoxale entre un mâle solitaire prototype de l’homme moderne ! et un gosse tendre et marginal est magistralement orchestrée par Nick Hornby. Une histoire de parents célibataires, d’enfants solitaires, de fringues, de foot et de musique. Après les succès de Haute fidélité et Carton jaune, l’auteur signe là son livre le plus accompli. Le ton est sarcastique et drôle, les situations d’un réalisme désarmant et les émotions sincères. C’est enfin un regard d’une grande lucidité sur les désordres amoureux de cette fin de siècle. –Stellio Paris. Adapté au cinéma sous le titre » : Pour un garçon » de C Weitz, avec Hugh Grant, Toni Collette, Rachel Weisz et Nicolas Hoult ( le garçon de 12 ans …)
La grève
Tout débute par une grève de journaliers agricoles dans la région de Jerez à l’époque des vendanges. La garde civile incarcère et torture « pour l’exemple » quelques grévistes. L’un d’entre eux, le jeune Antonio, meurt de ses blessures. Don Alberto se chargera de maquiller en mort naturelle le meurtre d’Antonio. Notaires absents, médecins complices, témoins aveugles, magistrats sourds …Nul n’a rien vu…. Gouverneur opportuniste, maire corrompu, bureaucrates des syndicats phalangistes, médecins marrons, Gitanes graciles, boutiquiers et pêcheurs, journaliers et gardes civils. Toute une société espagnole d’aujourd’hui défile dans une suite d’instantanés pris sur le vif. « La Grève ». Témoignage d’une combattante de la justice!
les mensonges
Un grand port de la mer du Nord. Ce pourrait être Anvers. Un puissant industriel tyrannique, le vieux Klaes et Alberte, sa fille naturelle dont il veut faire son héritière ? Deux personnages hors du commun, qui vont s’affronter, se déchirer et se perdre tout au long de ce livre envoûtant.
Le Luthier de Crémone
XVIIe siècle. C’est auprès de Maître Nicolas qu’un certain Antonio commence son apprentissage de luthier. Il y trouve peu d’intérêt, jusqu’à ce qu’il entende Cavalli, venu de Venise choisir ses instruments, jouer du violon: émerveillement, coup de foudre à s’en renverser un pot de colle brûlante sur les doigts. La légende d’Antonio Stradivarius est née. De son premier violon construit avec des » chutes de bois » au millier d’instruments à cordes qui passèrent entre ses mains, c’est toute la vie et l’œuvre de ce grand homme, mort à quatre-vingt-quinze ans, qui nous est racontée. Avec Le Luthier de Crémone, Herbert Le Porrier prolonge la générosité d’inspiration et le pouvoir d’évocation qui firent le grand succès du Médecin de Cordoue.
Les évasions célèbres
« En cherchant à s’évader, le prisonnier fait son, métier», a dit le ministre de la Police. Un rude métier, sil en fut, qui exige du courage, de l’imagination, de l’énergie, de la santé et de la chance. Quand toutes ces conditions sont réunies la réalité peut dépasser la fiction ainsi que le prou vent les évasions célèbres diffusées par la télévision et que nous conte Pierre Duchesne. Il s’agit d’une véritable anthologie des exploits que des hommes accomplirent en des temps et des lieux différents pour reconquérir leur liberté. Anthologie qui a pris une nouvelle dimension grâce à une remarquable série télévisée.
Le cahier volé
Dans LE CAHIER VOLE, on retrouve Léone, la petite fille aux appétits violents de BLANCHE ET LUCIE. Elle a maintenant quinze ans et tient, dans un cahier, un journal intime où elle évoque les sentiments passionnés, exaltés, réciproques d’ailleurs, le véritable amour sentimental et sensuel qui la lie à une amie de collège. Sous forme romanesque, une histoire vraie, le tableau d’une petite ville de province à une époque où les remous de 1968 n’avaient pas encore balayé les tabous d’une morale très étroite.
Sur un steamer transformé en opéra flottant, la troupe du capitaine Dumont interprète soir après soir « Le Plaisir Du Capitaine ». Le succès est au rendez-vous, mais pour le plaisir, Dumont va un peu loin dans le macabre. Épouvantée par les créatures magiques que le maître du bord garde à fond de cale, la danseuse Larissa s’enfuit avant d’y perdre son âme. Hélas, elle est l’Étoile Du Nord de Dumont, et celui-ci, en bon marin, ne perd jamais le cap. Une lutte à mort s’engage, mobilisant tous les démons de l’enfer contre un ange qui ira jusqu’au bout…
Ravenloft – Tome 3 – Cœur de minuit
Dans la cité d’Harmonia, où bien des choses passent par la musique, le jeune orphelin Casimir est doué d’une voix envoûtante qui devrait lui garantir épanouissement et plénitude. Hélas, l’adolescent, obsédé par le désir de venger sa mère, est aussi un loup-garou tenaillé par la faim de chair humaine.
Dear Henry
Dear Henry a disparu un jour mystérieusement. Quand il réapparut, le monde entier apprit avec stupeur qu’il était allé à PEKIN préparer le voyage en Chine du Président Nixon.
Cette extraordinaire mission d’Henry Kissinger, en Juillet 1971, une femme faillit en être, en secret, la victime.
Le témoignage qu’apporte l’auteur est à la fois un remarquable document d’actualité et un roman passionnant. Danielle Hunubelle trace d’Henry Kissinger un portrait fascinant, le plus fouillé sans doute de tous ceux qui ont été décrits.
Mais cet ouvrage est aussi un cri, celui d’une femme aimante et blessée, dont l’aveu touchera le coeur de toutes les femmes.
Les jupes-culottes
« Les jupes-culottes »… Lauranne appelle ainsi les femmes qui, comme elle, travaillent et vivent à la manière des hommes, sans pour autant renoncer à leur féminité: les femmes « qui ont le cœur en jupe et la tête en culotte ». Et Lauranne apprécie intensément cette dualité diriger de main de maître les instituts L.L. (sauna, mise en forme, gym) et jouir de sa liberté de femme indépendante, parfois fantasque, sans préjugés ni tabous. Sa rencontre avec Philippe risque cependant de tout remettre en question: un amant séduisant, certes, et d’une jolie fougue, mais qui bientôt rêve d’être un mari – sinon dominateur, du moins protecteur. Non, pas question! Humour et patience, lucidité et modestie, Philippe va tout mettre en oeuvre pour la convaincre qu’elle peut l’aimer sans cesser d’être elle-même.