Mac Coy – Trafiquants de scalps
Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres. Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.
Mac Coy – Un nommé Mac Coy
Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres. Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.
On les surnomme les « Chevaliers du ciel. » Le brun au menton carré et aux allures de gendre idéal, c’est Tanguy. La grande gigue à l’air ahuri et aux cheveux blonds, c’est Laverdure. Aux commandes de leur Mirage, ils forment un sacré duo de pilotes de chasse. Les deux gaillards se complètent comme le yin et le yang : Tanguy, c’est le sérieux à sang froid. Laverdure, le farfelu friand de catastrophes et de jolies filles? Ils atterrissent dans la bande dessinée à l’occasion du premier numéro de Pilote, en 1959.
Le 12 juillet 197…, un transport militaire Noratlas, ayant Michel Tanguy, à son bord, décolle de l’aéroport du Bourget, mis en état de siège. Dans la soute de l’appareil s’alignent dix énormes containers étanches. Ils renferment la plus fabuleuse rançon jamais exigée par un criminel : deux milliards de francs lourds.
On les surnomme les « Chevaliers du ciel. » Le brun au menton carré et aux allures de gendre idéal, c’est Tanguy. La grande gigue à l’air ahuri et aux cheveux blonds, c’est Laverdure. Aux commandes de leur Mirage, ils forment un sacré duo de pilotes de chasse. Les deux gaillards se complètent comme le yin et le yang : Tanguy, c’est le sérieux à sang froid. Laverdure, le farfelu friand de catastrophes et de jolies filles… Ils atterrissent dans la bande dessinée à l’occasion du premier numéro de Pilote, en 1959.
Jerry Spring -14- Les broncos du montana
Dans le Nord-Ouest des Etats-Unis, la cavalerie américaine a un besoin urgent de chevaux de remonte. Le gouvernement a décidé d’offrir 100 dollars pour chaque mustang sauvage qu’on pourra capturer et lui amener. Le contrat est proposé à Jerry Spring, en concurrence avec un autre traqueur, du nom de Jim Barrett. Immédiatement, le personnage se montre hostile envers Jerry : il espérait obtenir l’exclusivité de la fourniture de chevaux pour l’armée, et partager le contrat ne lui plait pas du tout. Pour apaiser les tensions, Jerry se montre conciliant : il propose à Barrett de se répartir les territoires prospectés, pour l’un le Wyoming, pour l’autre le Montana, et laisse même à son concurrent le choix du terrain. De mauvais gré, Barrett choisit le Montana.
Jerry Spring -13- Pancho hors-la-loi
Pancho hors-la-loi est la seizième histoire de la série Jerry Spring de Jijé. Elle est publiée pour la première fois du no 1290 au no 1311 du journal Spirou. Puis est publiée sous forme d’album en 1964.
Jerry Spring -12- El zopilote
El Zopilote est la quinzième histoire de la série Jerry Spring de Jijé. Elle est publiée pour la première fois du no 1252 au no 1273 du journal Spirou. Puis est publiée sous forme d’album en 1964.
Jerry Spring -10- Le maitre de la sierra
Jerry Spring est engagé par un avocat de New York, Ray Parker, qui représente George Harrison, un milliardaire. Cet homme voudrait, avant de mourir, retrouver son petit-fils, Teddy Harrison, qui a disparu avec ses parents au Mexique lors d’une révolution. Les parents furent tués, mais l’enfant fut enlevé. Aujourd’hui, cet enfant aurait 25 ans et le vieil Harrison voudrait pouvoir lui léguer sa fortune au lieu de tout laisser à son débauché de neveu, Ruthman.
Jerry Spring -9- Fort redstone
Jerry Spring et son ami Pancho arrivent à Fort Juniper, un poste fortifié de l’armée américaine situé sur le territoire des Indiens Loucheux, dans la vallée de la rivière Okanoah, à proximité de la frontière canadienne. Ils sont accueillis par le commandant du fort ainsi que par Mr. Meadows, propriétaire du poste de traite de fourrures local, qui expliquent à Jerry la mission dont ils comptent le charger.
Jerry et Pancho sont témoins de l’attaque d’une diligence par 3 bandits masqués. Ils interviennent et mettent en fuite les assaillants, réussissant même à blesser et à capturer l’un d’eux. Mais l’homme est achevé par ses complices qui craignent apparemment qu’il soit trop bavard. Jerry est intrigué : la diligence ne transportait rien de précieux et une seule passagère, une jeune femme de Boston nommée Jane Ellis. Le seul indice abandonné par les bandits est un morceau de garniture de selle en métal.
Jerry Spring -5- La passe des indiens
Sur le territoire des Indiens Utes, une famille de pionniers est massacrée. Jerry Spring et Pancho découvrent les corps criblés de flèches et préviennent le shérif de la ville voisine. Tous trois se rendent à la réserve indienne pour enquêter, mais le chef Long-Cri leur certifie que les Utes ont définitivement enterré la hache de guerre et que ses guerriers n’ont attaqué aucun visage pâle depuis des années. Le shérif est sceptique, tout comme ses concitoyens qui souhaitent organiser des représailles et parlent de « casser de l’Indien » comme au bon vieux temps, avant la signature des traités et la création de la réserve. Lorsqu’une nouvelle victime est découverte, blessée d’une flèche dans le dos, le shérif propose d’organiser une patrouille pour battre la campagne, à la recherche des assassins.
Jerry Spring -4- Trafic d’armes
Le Mexique en pleine révolution, une fois de plus… Le shérif Pat McCoy, un vieil ami de Jerry Spring (voir l’épisode Golden Creek), lui transmet une lettre d’un grand journal new-yorkais qui lui propose d’écrire un article sur les évènements. Jerry décide d’accepter l’offre, et de profiter de l’occasion pour tenter de retrouver son ami Pancho, dont il n’a plus de nouvelles. Pour renflouer ses finances autant que pour lui permettre de voyager au Mexique sans éveiller la méfiance, il accepte de convoyer dix caisses de machines à coudre jusqu’à la ville de Chihuahua. Là, il devra les remettre à un certain Jose Almanza y Padilla et touchera 1000 dollars pour ce travail.
Semio-2- Ithycène
Fuyant l’injustice et les complots, Sémio et Callygine parviennent jusqu’daux portes de l’ancienne capitale, Ithycène, la ville, autrefois somptueuse, n’est plus que ruines brumeuses noyées par les eaux où règnent désormais les démons. Sémio, le bâtard orphelin de la caste des Vilains, y découvrira alors le secret de sa naissance…
Le 27juillet 1804, à Paris, après discussion en conseil d’état, l’emblème de l’Empire est choisi : « l’Aigle éployée » (après avoir écarté coq, abeille, lion couché). Ainsi Bonaparte prend un impérial envol. Ses fils spirituels, partageant l’idéal d’une France issue de la Révolution, se retrouvent à ses côtés et plus particulièrement dans la Grande Armée. Les fils de l’Aigle, ce sont eux, ils écriront quelques grandes et violentes pages d’une histoire de l’Europe. Tous nos personnages d’origines sociales diverses (noblesse de l’ancien régime, tiers état…) se fondent dans le creuset de la société nouvelle du début du 19e siècle. Ils représentent quelques exemples de ces fils de l’Aigle qui forceront haine et admiration parmi les peuples européens.
Le 27juillet 1804, à Paris, après discussion en conseil d’état, l’emblème de l’Empire est choisi : « l’Aigle éployée » (après avoir écarté coq, abeille, lion couché). Ainsi Bonaparte prend un impérial envol. Ses fils spirituels, partageant l’idéal d’une France issue de la Révolution, se retrouvent à ses côtés et plus particulièrement dans la Grande Armée. Les fils de l’Aigle, ce sont eux, ils écriront quelques grandes et violentes pages d’une histoire de l’Europe. Tous nos personnages d’origines sociales diverses (noblesse de l’ancien régime, tiers état…) se fondent dans le creuset de la société nouvelle du début du 19e siècle. Ils représentent quelques exemples de ces fils de l’Aigle qui forceront haine et admiration parmi les peuples européens.
De l’autre côté du lit
« Je crois que je voudrais… être un homme. Un homme qui part le matin à 8 heures, revient le soir à 8 heures et entre-temps, tchlaaak, black-out ! Un homme à l'ancienne, d'une seule pièce, qui rit en secouant les épaules et se plaint qu'il n'y a plus de bière au frigo. » Monsieur part le matin diriger sa grosse entreprise de matériel de chantier, madame travaille à mi-temps et s'occupe des enfants. Pourquoi comme ci et pas comme ça ? Ariane et Hugo, lassés du traintrain quotidien, ont relevé le défi : ils ont échangé leurs vies pour un an. La compréhension entre les sexes pourra-t-elle naître de la confusion des genres ? Grâce à cette épopée tonique et drôle, découvrez les aventures de ces grands explorateurs des temps modernes qui, pour découvrir des contrées vierges, n'ont besoin que de… passer de l'autre côté du lit !
Dany (le dessinateur) et Greg (le scénariste) ont un beau jour convenu que le mot » rêveur » était injustement bafoué par les gens trop raisonnables qui, bien souvent, rendent le monde si ennuyeux. Alors, Greg et Dany ont décidé de donner au rêve ses lettres de noblesse. Ils l’ont concrétisé. Rêverose, le pays où tout est possible existe désormais. C’est là que vivent Olivier, Colombe, M. Pertinent et tous les autres. Rejoignez-les…
Cocon-le-vilain, géant de son état, et qui normalement dors la plupart du temps, s’est réveillé. Cela ne serait absolument pas grave s’il n’avait pas cette fâcheuse manie de souffler dans une trompette appelée la trompette du silence qui a la fâcheuse manie de figer les personnes, et à force, de les rendre idiots… La première fois, Combe et Olivier Rameau sont épargnés, car ils étaient en train de se baigner, mais les fois suivantes quasiment personne n’en réchappe. Aussi donc notre petite troupe habituelle se rend chez le grand-pas-sage Ebouriffon, qui comme chacun le sait possède toujours d’exactes solutions.
En 1969, il crée, sur scénario de Christian Godard, la série qui va le rendre célèbre, La Jungle en folie. Christian Godard raconte que c’est Mic Delinx qui vient le solliciter, désespéré parce qu’on ne lui donne plus de travail à Pilote et qu’il a charge de famillen 2. Godard, qui apprécie le talent de Mic Delinx, trouve alors un sujet pouvant lui convenir qu’il propose au rédacteur en chef de l’hebdomadaire Pif, qui se montre intéressé et demande un essai sur vingt pages. Le succès est immédiat et les gags de La Jungle en folie sont publiés régulièrement dans Pif jusqu’en 1978 puis de manière occasionnelle jusqu’en 19864,5.
Un classique de la bande dessinée animalière humoristique. Au début des années 70, Christian Godard, le scénariste, et Mic Delinx, le dessinateur, ont créé un monde qu’il est impossible de trouver sur une carte, mais dont les principaux habitants, de Joe le tigre à Gros Rino, nous ressemblent beaucoup.
Un classique de la bande dessinée animalière humoristique. Au début des années 70, Christian Godard, le scénariste, et Mic Delinx, le dessinateur, ont créé un monde qu’il est impossible de trouver sur une carte, mais dont les principaux habitants, de Joe le tigre à Gros Rino, nous ressemblent beaucoup.
Enfin le troisième et dernier volume (très attendu) de la trilogie Marshal… Heaven, la ville frontière, ne connaît plus de répit depuis l’arrivée du nouveau représentant de la loi. Ce dernier a décidé de mener la vie dure aux trafiquants qui l’avaient laissé pour mort à la fin de l’épisode précédent. Mais on ne se débarrasse pas comme ça de Mike S. Blueberry.
Trent-4- La vallée de la peur
Suite au départ de la personne qui occupait ce poste, le jeune ingénieur George Petterson a été nommé directeur des travaux du tunnel de la White Pass. Après un long voyage qui l’a conduit de chez lui jusqu’à ce coin perdu de majestueuse nature canadienne où se tenait le chantier, George Petterson a vite ressenti le malaise qui planait sur les ouvriers : la peur de celui que les Indiens appellent Hoppo, le démon ours, à qui étaient attribuées de nombreuses morts. Quelque temps après la mutation de son mari, Agnès Petterson n’a plus reçu de courrier de lui et s’en est inquiétée auprès des autorités. Il a été fait appel au sergent Trent qui est alors parti avec elle pour éclaircir le mystère de ce silence. C’est sur un chantier complètement déserté qu’ils sont arrivés.
Cupidon-19- Solitude
Vous êtes du genre plutôt gauche avec le sexe opposé ? Vous avez du mal à trouver les mots qu’il faut ? Pas besoin d’aller sur un site de rencontres. Cupidon est là! Il a troqué son arc et ses flèches pour se transformer en un véritable conseiller conjugal! Mais le métier ne s’annonce pas de tout repos, d’autant qu’il a affaire à un cas désespéré! Savoir parler aux filles, c’est tout un art… Cupidon, parviendra-t-il à enseigner cet art à son élève ? Le poids des mots aura-t-il plus d’impact que le tranchant des flèches ? Voilà bientôt vingt ans que le dessinateur Malik et son ami, le scénariste Raoul Cauvin conjuguent leurs talents pour raconter, avec tendresse, les déboires et les joies de l’amour.
Cupidon-13- Jour de chance
Artisans du coup de foudre, le charmant angelot et ses copains du paradis lancent tous azimuts leurs imparables flèches d’amour. Pour le meilleur et pour le rire, ils unissent même ceux qui ne devraient pas l’être.
Cupidon-10- Coup de foudre
Inutile de vous cacher sous un arbre ou de porter des semelles en caoutchouc, personne n’est à l’abri d’un coup de foudre. Surtout lorsqu’il est lancé du ciel par le facétieux Cupidon, toujours prêt à l’impossible pour réunir ceux qui s’aiment (et qui bien souvent l’ignorent). Sous l’oeil bienveillant de saint Pierre, ce héraut de l’amour traverse le temps et les cieux pour le bonheur des amoureux.
Le fond du problème
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Scobie vit dans un petit comptoir colonial de la Sierra Leone avec sa femme Louise. Mais tant d'années de mariage ont eu raison de la passion et la perte de leur fille âgée de neuf ans a laissé Louise inconsolable. Lorsque celle-ci décide de partir pour l'Afrique du sud, Scobie se retrouve seul et fait la rencontre de la jeune Helen : il en tombe aussitôt éperdument amoureux. Quel sera le choix de cet homme tiraillé entre la passion et le devoir ? Dans un décor inspiré d'un de ses voyages en Afrique, Graham Greene, un des plus grands auteurs britanniques du XXe siècle, nous offre une variation subtile sur les thèmes de l'amour, de la trahison et de la culpabilité.
Germinal
Un jeune chômeur, Etienne Lantier, se fait embaucher aux mines de Montsou, dans le nord de la France. Il fait connaissance avec une famille de mineurs, les Maheu, et tombe amoureux de leur fille Catherine ; Mais celle-ci, qui n'est pas insensible à Etienne, est la maîtresse d'un ouvrier brutal, Chaval. Etienne est révolté par les conditions de vie misérables des mineurs et quand la Compagnie des mines, alléguant la crise économique, décide de baisser les salaires, sa révolte s'exaspère. Rêvant d'une société plus juste, il propage des idées révolutionnaires et pousse les mineurs à la grève. Les semaines s'écoulent. Les grévistes affamés se déchaînent en une bande enragée aux cris de « Du pain !, du pain ! »…
Passions criminelles
« Tu me quittes, je te tue… » Le crime de sang est impardonnable, mais une émotion l’humanise aux yeux des jurés : l’amour fou, seule force à pouvoir concentrer les sentiments à la pointe aiguë d’une seconde hors du temps… Qui est à l’abri ? Voici trois histoires vraies, librement inspirées des films tournés par Mireille Dumas ces dernières années, fidèles aux faits divers d’origine, infidèles à leur calendrier, maquillées quant aux états civils. L’authenticité, notre but, à Mireille Dumas et moi-même, sous-tend la beauté des mots, inséparable d’une histoire évoquée par ceux qui l’ont vécue. Des meurtriers, oui – des gens comme tout le monde et des meurtriers. Pourquoi les pensions-nous différents du commun des mortels ? Pourquoi les comprenons-nous si bien ? Comment s’imaginer dans un tel pétrin ? Ce qu’il a fait, l’aurais-je fait à sa place ? Pourrais-je donner la mort ?
Boulimiques d’images, téléspectateurs à la chaîne, ces professionnels de la télécommande composent au fil de leurs pages une symphonie en zap majeur pour pouce et boutons. Cartoons, gags en une page, histoires courtes…, chaque morceau est un hymne cathodique à la plus belle conquête de l’homme : la télévision ! (Ben oui, vous avez déjà essayé de passer une soirée devant un cheval ?)
Les zappeurs -6- La victoire en zappant
Série cathodi-comique. Une famille de zappeurs invétérés vit journellement le stress des programmations télévisuelles et craque régulièrement… Heureusement , la télécommande a des piles neuves !!!
Les zappeurs -4- Fidèles au poste
La famille qui télécommande plus vite que son ombre revient dans un nouveau recueil de gags.Que vous soyez simple téléspectateur ou acharné du petit écran, vous vous retrouverez sûrement dans l’une des situations croquées malicieusement par Ernst. Qu’il s’agisse de choisir un programme en famille ou de rivaliser d’ingéniosité pour suivre son feuilleton préféré, les Zappeurs sont toujours fidèles au poste !
Êtes-vous plutôt «Club Dorlotée», «Cuisine des moustiquaires»,Très bête Show, Fort Braillard ou «Patrick Poivrot d’Accord» ? De toute façon, quels que soient vos goûts en matière de TV, vous ne pourrez que vous esclaffer devant les mésaventures de cette petite famille scotchée à son écran et vivant au seul rythme de la grille des programmes. Une succession de gags hilarants sur la nouvelle plus belle conquête de l’homme, animée par Ernst, très à l’aise dans la chronique quotidienne.
Les zappeurs -1- Complètement accros !
De nos jours, dans le Gers, la télévision bouleverse la vie d’une famille tranquille…
Axle Munshine vagabonde à travers les limbes à bord de son vaisseau Vaisseau d’argent, en compagnie de Musky. Une image l’obsède indéfiniment : celle de Chimeer, femme de ses rêves. Et comme les rêves ont parfois leurs réalités, il sera inéluctablement confronté à celle-ci. Non sans rebondissements.
Septième tome des aventures du Vagabond des Limbes, Axle Munshine toujours accompagné de Musky qui a décidé de devenir une femme (pour rappel elle/il vient d’une planète ou les habitants ont un sexe indéterminé jusqu’à l’âge de 13 ans ensuite ils peuvent choisir selon leur souhait), La Guerre des Bonkes est moins entraînant que les histoires précédentes mais…
Sur Terre (ou presque), de nos jours (ou presque). Un scénariste habitué des séries à succès relit son dernier cru avec la vedette pressentie. Quelque part dans l’espace, le héros, Axle recherche sa bien aimée, Choumeer, qu’il ne peut rencontrer que dans ses rêves. Ailleurs, sur une autre planète, le véritable Axle, en compagnie de Musky, a demandé audience à une rabatteuse afin de retrouver Chimeer, la femme de ses rêves. La rabatteuse lui confie son animal de compagnie, une grosse chenille bleue qui donne le pouvoir aux hommes d’accéder à leurs rêves.
Axle Munshine vagabonde à travers les limbes à bord de son vaisseau Vaisseau d’argent, en compagnie de Musky. Une image l’obsède indéfiniment : celle de Chimeer, femme de ses rêves. Et comme les rêves ont parfois leurs réalités, il sera inéluctablement confronté à celle-ci. Non sans rebondissements.
Axle Munshine vagabonde à travers les limbes à bord de son vaisseau Vaisseau d’argent, en compagnie de Musky. Une image l’obsède indéfiniment : celle de Chimeer, femme de ses rêves. Et comme les rêves ont parfois leurs réalités, il sera inéluctablement confronté à celle-ci. Non sans rebondissements.
Axle Munshine, destitué de son titre de Grand Conciliateur pour avoir osé franchir les Portes du sommeil, est pourchassé par les membres de la garde pourpre qui ont pour ordre de le faire disparaître. Accompagné par Musky, le fils du prince des Eternautes, Axle se rend sur une planète pour y rencontrer le vieux Shmyle, qui possède une Lingalilith. Cet être très recherché possède le pouvoir de prendre la forme de la femme dont est amoureux celui qui l’approche. Axle espère ainsi rencontrer la belle Chimeer, pour laquelle il s’est mis hors-la-loi. Mais le vieux Shmyle est un fourbe, et l’amour d’Axle pourrait bien le mener à sa perte.
Axle Munshine le savait : sur la planète Xylos, il est interdit de rêver. Pour avoir enfreint cette règle, le voilà transformé en Vagabond des limbes, condamné à errer à travers l’espace à bord du Vaisseau d’argent, pourchassé par la Guilde, et poursuivi par le souvenir obsédant de la blonde Chimeer, tapie dans les replis de sa mémoire, entre rêve et réalité.
Le mercenaire -13- La délivrance (2)
Voici le grand retour du Mercenaire, série culte qui compte un grand nombre de fans et qu’il n’est plus nécessaire de présenter… Segrelles explore, avec toujours autant de brio, le décorum de l’heroic fantasy. Les épées côtoient les vaisseaux spatiaux, les chevaliers montent des griffons et les Dieux vivent à l’égal des hommes … Quand Conan le Barbare rencontre Gustave Moreau, la BD devient une peinture, et Le Mercenaire un chant baroque et sauvage. Roi de l’Heroïc Fantasy, Segrelles trace des tableaux grandioses qui font de lui le chantre des aventures de ce guerrier imperturbable au sourire de marbre… Son dessin d’un grand réalisme n’empêche pourtant pas son imagination débridée de se déployer avec éclat et de nous emmener dans des mondes légendaires tous plus fabuleux les uns que les autres. Le Mercenaire a marqué de son empreinte l’histoire de la bande dessinée.
Le mercenaire -12- La délivrance
Voici le grand retour du Mercenaire, série culte qui compte un grand nombre de fans et qu’il n’est plus nécessaire de présenter… Segrelles explore, avec toujours autant de brio, le décorum de l’heroic fantasy. Les épées côtoient les vaisseaux spatiaux, les chevaliers montent des griffons et les dieux vivent à l’égal des hommes… Quand Conan le Barbare rencontre Gustave Moreau, la BD devient une peinture et Le Mercenaire un chant baroque et sauvage.Roi de l’heroic fantasy, Segrelles trace des tableaux grandioses qui font de lui le chantre des aventures de ce guerrier imperturbable au sourire de marbre… Son dessin d’un grand réalisme n’empêche pourtant son imagination débridée de se déployer avec éclat et de nous emmener dans des mondes légendaires tous plus fabuleux les uns que les autres. Le Mercenaire a marqué de son empreinte l’histoire de la bande dessinée.
Le mercenaire -11- La fuite
Segrelles explore, avec toujours autant de brio, le décorum de l’heroic fantasy. Les épées côtoient les vaisseaux spatiaux, les chevaliers montent des griffons et les Dieux vivent à l’égal des hommes … Quand Conan le Barbare rencontre Gustave Moreau, la BD devient une peinture et Le Mercenaire un chant baroque et sauvage.Roi de l’heroic fantasy, Segrelles trace des tableaux grandioses qui font de lui le chantre des aventures de ce guerrier imperturbable au sourire de marbre… Son dessin d’un grand réalisme n’empêche pourtant son imagination débridée de se déployer avec éclat et de nous emmener dans des mondes légendaires tous plus fabuleux les uns que les autres. Le Mercenaire a marqué de son empreinte l’histoire de la bande dessinée.
Le mercenaire -10- Géants
Dans cet épisode, le Mercenaire, tel Ulysse et les Cyclopes, doit affronter un géant anthropophage avant de poursuivre son odyssée. Segrelles explore, avec toujours autant de brio, le décorum de l’heroic fantasy. Les épées côtoient les vaisseaux spaciaux, les chevaliers montent des griffons et les dieux vivent à l’égal des hommes … Quand Conan le Barbare rencontre Gustave Moreau, la BD devient une peinture et Le Mercenaire un chant baroque et sauvage.