L’intrus
– Où essayez-vous d’aller, madame ?
– A Jefferson.
– Jefferson, vous lui tournez le dos, Madame.
– Je sais, il a fallu que je fasse un détour à cause d’un arrogant et insupportable nègre qui a mis sans dessus dessous tout le comté, lequel soutient mordicus qu’il a assassiné un blanc.
Le secret des Andrônes
Un vrai cadavre est balancé du haut de la citadelle de Sisteron au cours d’une représentation théâtrale. Le commissaire Laviolette, retraité de la police, était dans le public. Dès lors, il n’a de cesse de percer le mystère de ce crime, le premier d’une série.
Les charbonniers de la morts
Un homme noir à l’odeur de forêt arrive à Combe-Madame, dans la montagne de Lure. Il apporte un précieux adjuvant au produit aphrodisiaque que son frère Attilio, pauvre charbonnier, vend aux notables du village. Le petit Rosito est déjà parti sur son âne livrer les cornets de poudre pour la fête « galante » de la Saint-Pancrace. Le président Serenne, le notaire Boutedieu et sa « particulière » meurent d’amour. Le minotier se jette dans une fosse. Le conseiller d’Ardantes et le sous-préfet sont malades. Un seul indice pour le brigadier Laviolette : un rempailleur de chaises a croisé un enfant sur un âne, qui portait dans sa main comme un bouquet de cornets gris, et laissait derrière lui une odeur de souris. D’autres savent et se taisent. Et voilà que le mystère s’épaissit encore, se complique d’autres morts, et que de plus en plus de monde semblent mêlé à cette énigmatique affaire…
A défaut de génie
665 pages – « J’ai essayé d’avoir pour moi, à défaut d’admiration, une tolérance bougonne », déclare François Nourissier. On ne saurait être plus proche et plus intransigeant avec soi-même. La sentence peut paraître exagérée de la part de cet homme de lettres qui a obtenu ce que l’on peut espérer de mieux dans ce milieu : la gloire et la reconnaissance. Écrivain à succès depuis plus de trente ans, critique avisé, membre de l’Académie, à soixante ans passés, Nourissier n’aurait plus rien à attendre du monde des lettres. Il a déjà tout eu. C’est un des rares enfants chéris du milieu. Et pourtant, il n’a jamais autant écrit. Il bouillonne d’insatisfaction. Loin de la retranscription chronologique, de l’approche systémique ou du règlement de compte aigri. À défaut de génie est un modèle d’autobiographie en liberté. Comme pour Montaigne, l’exercice autobiographique n’a de sens pour Nourissier que si l’on devient soi-même « la matière de son livre ». Il y parvient.
Le cycle d’Opar II – Hadon, le guerrier
Au cœur du mythique continent africain, dix mille ans avant notre ère, Hadon rêve de reconquérir le trône de sa glorieuse cité. Mais il lui faut d’abord se battre pour la belle Lalila, qui porte désormais son enfant. Traqué par les armées du tyran Minruth, le courageux guerrier devra affronter mille péripéties avant peut-être — de parvenir à ses fins.
« Avec Hadon, Farmer a réé l’une des figures les plus abouties du héros mythologique. »
Après Un trône pour Hadon, Hadon le guerrier poursuit un cycle d’une efficacité redoutable, par l’un des maîtres incontestés des littératures de l’imaginaire. Auteur culte (la Saga des hommes dieux, Le Cycle du Fleuve de l’éternité), Philip José Farmer fut couronné par les prix les plus prestigieux (prix Hugo, prix Nebula, World Fantasy Award).
Tolérance Zéro
L’inspecteur Win, détaché auprès du procureur du Massachusetts, est rappelé par Monique Lamont, une femme aussi séduisante que redoutable, qui lui annonce son intention de se présenter au poste de gouverneur. En guise de programme, elle veut promouvoir un nouvel outil de lutte contre le crime, baptisé Tolérance zéro, capable, selon elle, d’élucider «n’importe quel crime, n’importe quand». C’est en fait une technique de pointe en matière d’analyse ADN. Très sûre d’elle, Mme Lamont décide de revenir sur un meurtre commis vingt ans plus tôt. Win est sceptique, mais il n’a pas le temps d’exprimer ses réticences : la violence surgit, bouleversant leurs vies. S’agit-il d’une coïncidence… ou d’une vengeance ?
Le fou et les rois
On y croise David Ben Gourion, Golda Meir, Elsa Triolet et Pierre Mendès-France, on y parle d’art, de guerre et de paix, on y redécouvre la deuxième moitié du siècle dernier avec les yeux d’un témoin privilégié des grands tournants de l’Histoire. Ce récit de Marek Halter est un voyage aux quatre coins de la planète, une réflexion politique et humaine, une mosaïque de souvenirs. Né à la fin des années trente en Pologne, Marek Halter s’évade à cinq ans du ghetto de Varsovie, gagne l’Ouzbékistan, se fait enrôler dans les Jeunesses communistes, et, en 1949, découvre la France où il commence à peindre. Juif militant, très touché par la lutte qui oppose le peuple israélien à la minorité palestinienne (il a lui-même souffert d’être frappé du sceau de la « minorité »), il se veut porteur d’une mission, celle de restaurer le dialogue entre juifs et arabes. Peu après la guerre des Six jours, il crée le Comité international pour la paix au Proche-Orient et s’en va frapper sans relâche aux portes des puissants. Le Fou et les Rois raconte ce périple public et intime en vingt-sept chapitres courts et enlevés.
Le Code Altman
Un mystérieux navire battant pavillon chinois quitte Shanghai, chargé de produits chimiques illégaux destinés à la fabrication d’armes de destruction massive. Il faut l’intercepter sans compromettre le fragile équilibre diplomatique entre la Chine et l’Amérique…
Jon Smith, agent du très secret Réseau Bouclier, part à Taiwan dans l’espoir de découvrir ce qui se trame. Mais en dépit des risques mortels qu’il n’hésite pas à prendre, son enquête piétine et le cargo poursuit sa route inexorablement…
A mesure que s’accumulent les traquenards, les trahisons et les meurtres, et que le funeste navire approche de son point de non-retour, Jon Smith remonte la piste d’un gigantesque complot international, qui pourrait bien impliquer les plus hautes sphères du pouvoir – et menace de faire basculer le monde dans un conflit nucléaire.
Intrigue palpitante, rythme haletant, machinations politiques, secrets, menaces, action et suspense – Le Code Altman, quatrième épisode de la série du «Réseau Bouclier» créée par Robert Ludlum, est un roman explosif et jubilatoire de la première énigme à la dernière révélation.
Les petites morsures
J’ai rêvé de lui. Cette nuit, il était dans mon sommeil. Et ça m’a fait tout drôle. J’ai pas l’habitude de l’y voir. Il s’y est introduit comme ça, comme un voleur. Et dans mon rêve, j’ai même senti son parfum d’agrumes. J’avais l’impression que mon sommeil l’avait rendu palpable, en chair et en os. Je l’ai touché. J’ai senti son enveloppe intacte, j’ai été surprise : douce, pas rugueuse. Sa main a pris la mienne naturellement, normalement. Comme il se doit dans un rêve. Il m’a embrassée aussi sans que ça me gêne. Tout ça me laisse dans un état bizarre. C’est des trucs d’enfant ça, d’aimer son prof, de rêver de lui toute la nuit. Ou ça peut être le résultat du transfert que j’aurais effectué sur lui. Des fantasmes quoi ! Et pourtant je ne peux pas m’empêcher de me dire que j’aurais aimé que ce soit vrai. Parce que la chaleur dans mon sommeil faut pas se leurrer, c’était pas le chauffage.
Quel a été le chemin parcouru par Sophie Davant avant de devenir l’une des personnalités féminines préférées des Français ? Depuis 26 ans, l’animatrice présente avec le succès que l’on sait l’émission du matin de France 2 C’est au programme, et en début d’après-midi Toute une Histoire, émission créée par Jean Luc Delarue. Elle est aussi indissociable du «Téléthon» qu’elle co-anime depuis 1997 avec un engagement personnel très fort. Aujourd’hui, arrivée à la cinquantaine, âge d’une étonnante richesse et d’un regain d’énergie, où tout est possible, elle nous raconte un parcours émaillé d’émotions, de mille et une rencontres, riche en opportunités, avec ses peines et ses bonheurs. Partant des événements décisifs de sa vie, Sophie Davant nous livre le fruit de ses petites (et parfois surprenantes) découvertes afin que chacun puisse y trouver des clefs pour explorer son chemin de vie, avec peut-être plus de lucidité, de plaisir et de sérénité…
Le Bac Français pour les nuls
« Le soleil noir de la mélancolie »… Mais quelle est cette figure de style ? La différence entre pastiche et parodie ? La distinction entre réalisme et naturalisme ? Pour vous aider à préparer l’épreuve anticipée de français ou à combler vos lacunes à quelques semaines du bac, les Nuls ont concocté cette méthode tout-en-un qui répond vraiment à vos attentes. Grâce à ce kit de révision, vous saurez tout sur le commentaire littéraire, la dissertation, l’écriture d’invention… Même l’oral n’aura plus de secret pour vous! Pour réussir le bac, faites confiance à un Nul! Avec Le Bac Français pour les Nuls, mettez toutes les chances de votre côté : des conseils de méthode, des cours clairs et complets, de nombreux exercices d’entraînement et d’autoévaluation, sans oublier les bonus de la collection Pour les Nuls (le système d’icônes, la partie des Dix…). Avec, dans cette nouvelle édition, les annales corrigées des années passées : vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas décrocher le bac haut la main !
Envies de fraises
Chef dans un restaurant, Becky est très amoureuse de son mari, et ravie d’être enceinte. Tout irait bien si les médecins la lâchaient un peu avec ses problèmes de poids. Kelly est overbookée, hyper-ordonnée et archi-ambitieuse. Elle s’investit dans sa grossesse comme dans tout : à fond. Seul point noir : son mari, qui passe ses journées vautré sur le canapé… Ayinde est canon. Intelligente. Gentille. Et mariée à un champion de basket dont elle attend un enfant : bref, on adorerait la détester. Quand ces futures mamans font connaissance lors d’un cours de yoga prénatal, elles se disent qu’elles n’ont rien en commun. Et pourtant… « Ces portraits de femmes modernes sont drôles, cruels parfois, et très près de la réalité, c’est-à-dire de nous. »
Dès 1940, avec la déclaration obligatoire des Juifs dans les commissariats, se préparait « l’opération Etoile jaune » La rafle du Vél d’Hiv de l’été 1942 allait commencer. Grâce à des documents d’archives inédits, M. Rajsfus reconstitue cette journée du 16 juillet. Un livre essentiel, en mémoire de ces 13 000 Juifs arrêtés et déportés.
Bien frappé
Une enquête de Regan Reilly 03
Désormais connue d’un très vaste public, Regan Reilly, l’héroïne de Par-dessus bord et de L’Accroc, mène ici, avec l’énergie et l’intrépidité qui la caractérisent, une enquête sur des vols de tableaux.
En sa compagnie, nous pénétrons le cercle très fermé de la jet-set d’Aspen, une station de ski du Colorado. Plusieurs chefs-d’oeuvre de grande valeur ont disparu des luxueuses résidences qui les abritaient. Et l’on accuse Eben, un cambrioleur repenti en qui Regan a pourtant une totale confiance… Cependant, une vieille dame seule, Géraldine, se dispose à offrir au musée local un tableau ancien dont elle est propriétaire.
Le gang va-t-il frapper à nouveau? Serait-ce l’occasion pour Regan de faire éclater la vérité? Suspense, humour, émotions fortes: Carol Higgins Clark offre ici un polar pétillant et de grand cru!
Par-dessus bord
En se rendant à la réunion des anciennes de St. Polycarp, dans le manoir de l’excentrique vieille lady Exner, Regan Reilly ne songeait qu’à oublier ses soucis de détective pour évoquer d’agréables souvenirs. Mais parmi ces souvenirs, il y a la disparition, dix ans plus tôt, de l’une d’entre elles: Athena Popoulos, jeune héritière grecque. Et lorsqu’on apprend que, le même soir, son corps vient d’être retrouvé dans un bois, tout près du manoir, l’évocation du passé prend les allures d’un début d’enquête… C’est à bord d’un paquebot de luxe, le Queen Guinevere, que se trouve l’assassin, et tout indique que c’est à lady Exner et à Regan qu’il en veut maintenant
Bouleversé par la confession de sa ravissante épouse qui lui a révélé son attirance pour un autre homme, un jeune médecin voit s’effondrer ses certitudes. Que sait-il des désirs secrets de sa femme ? Et lui-même connaît-il vraiment ses pulsions les plus intimes ? Il se lance alors dans une étrange virée nocturne. Ses pérégrinations le conduisent à un mystérieux bal masqué que le marquis de Sade n’aurait sans doute pas renié… De Vienne à New York, sous la plume d’Arthur Schnitzler, analyste inégalé des tourments de l’âme, puis entre les mains de Stanley Kubrick, cinéaste réputé pour son regard sans pitié sur la nature humaine, un couple valse de l’amour à la jalousie, de la réalité au fantasme, avec une élégance brillante et une mélancolie indicible.
Le Protocole Sigma
A Zurich, Ben Hartman, fils d’un légendaire investisseur qui survécut aux camps de la mort nazis et fit ensuite fortune aux États-Unis, échappe de peu à un assassinat. Le meurtrier, qui provoque un carnage dans une galerie marchande avant d’être tué par Ben, n’est autre que son ami d’enfance…
Ben n’est pas au bout de ses surprises : il se retrouve bientôt face à son frère jumeau, Peter, supposé mort dans un accident d’avion, quatre ans plus tôt. Peter a tout juste le temps de lui confier un secret avant d’être tué. Ben n’a plus qu’une idée en tête : faire payer les coupables…
Pendant ce temps, la jeune et belle Anne Navarro, talentueux agent du gouvernement américain, se voit confier la mission d’enquêter sur la mort de personnes âgées. D’abord sceptique – pourquoi s’intéresser d’aussi près à des décès qui semblent naturels ? – elle découvre, au péril de sa vie, que les dossiers médicaux confidentiels de ses nouveaux « patients » sont tous marqués d’un sceau énigmatique : Sigma…
Réunis par accident, Anne et Ben, qui sentent une menace de plus en plus lourde peser sur eux, vont lever le voile sur l’inconcevable…
Le Pacte Holcroft
L’enjeu du Pacte Holcroft est la coquette somme de 700 millions de dollars, déposée en 1945 dans une banque suisse par trois nazis repentis : les généraux Clausen, von Tiebolt et Kessler. L’argent est destiné à leurs descendants, afin qu’ils l’utilisent en dédommagement des crimes d’Hitler contre l’humanité.
C’est ainsi qu’un beau matin, Noël Holcroft, le fils de Clausen, reçoit une lettre écrite quarante ans après l’effondrement du IIIe Reich. S’il veut blanchir son père, Holcroft doit retrouver les enfants de von Tiebolt et de Kessler et, avec eux, signer le Pacte. Le rendez-vous est fixé à Genève. Mais les associations nazies et les services secrets anglais, américains, israéliens ne l’entendent pas de cette oreille…
Nuits-lumière – Mystères en Guillestrois
Comment Frank, jeune assistant réalisateur en repérage pour un téléfilm, aurait-il pu se douter que ce voyage en apparence des plus anodin dans les Hautes-Alpes transformerait sa vie à jamais ? Alors qu’il s’efforce d’oublier les difficultés d’un mariage qui part à vau-l’eau, il croise le chemin de Doriane, une sculpturale et fascinante jeune femme. Littéralement envoûté, il noue bientôt avec cette nymphe aux cheveux blancs une relation passionnée comparable à nulle autre. Mais Doriane disparaît soudain dit sans laisser de traces, si ce n’est une mystérieuse énigme… Frank s’engage alors dans une quête désespérée pour retrouver cette femme qui donne désormais sens à sa vie, sans savoir qu’au fil de ses recherches, il va mettre au jour des secrets pour certains plus anciens que l’humanité…
La mouflette
L’histoire est celle d’un ménage à trois : Lui, Elle et l’Autre. L’Autre, c’est la mouflette, un bébé de six mois. Pas le genre » risettes et gazouillis « , mais un bébé à problèmes. Un bébé à angoisses. Un bébé tyran, d’une fragilité… herculéenne. Elle s’appelle Ophélie. Elle, c’est la grand-mère d’Ophélie. Pas le genre » Mamy confiture « , mais une grand-mère qui voyage, qui travaille, qui sort, qui aime. En vérité, c’est une femme de quarante-trois ans qui a beaucoup de bonheur à rattraper. Et depuis seulement une vingtaine de mois, elle le rattrape avec… « Lui ». Lui, c’est « Lui ». Pas le genre » gentil et confortable « . Sur ses cartes de visite, il s’intitule « Homme libre ». Dans la vie, il s’ingénie à l’être et fuit tout ce qui peut entraver son indépendance. En premier lieu, les enfants. Pour Elle et Lui, amants comblés et insouciants, l’Autre a beau être au berceau, c’est quand même l’Autre et sa présence entraîne les mêmes conflits que dans la plupart des ménages à trois.
Poète et romancier, ami de Nerval et de Baudelaire, il fut l’auteur du fameux Capitaine Fracasse, ainsi que du Roman de la momie. Il voulait offrir du rêve et de l’évasion à ses lecteurs ? Il y a parfaitement réussi.
Peut-on être prêtre et amoureux ? Peut-on aimer la nuit et prêcher le jour ? Question bien embarrassante…
Ajoutez-y une pincée de fantôme. Secouez. Et vous voici dans une mystérieuse histoire d’amour !
Mais rassurez-vous, il ne s’agit que d’un rêve… et d’ailleurs, Clarimonde, la belle courtisane, est morte depuis longtemps…
Mais au fait, que vient-elle faire dans le présent ? Pourquoi trouble-t-elle encore les vivants ? Prenez garde, âme pure, de ne pas succomber aux charmes de cette immortelle ! La beauté dissimule parfois de puissants venins…
La Marque de Windfield
L’auteur du Code Rebecca et de l’inoubliable fresque des Piliers de la Terre nous emmène ici, avec sa prodigieuse science de l’intrigue, au cœur de l’Angleterre victorienne.
En 1866, plusieurs élèves du collège de Windfield sont les témoins d’un accident au cours duquel un des leurs trouve la mort. Mais cette noyade est-elle vraiment un accident ? Les secrets qui entourent cet épisode vont marquer à jamais les destins d’Edward, riche héritier d’une grande banque, de Hugh, son cousin pauvre et réprouvé, de Micky Miranda, fils d’un richissime Sud-Américain.
Autour d’eux, des dizaines d’autres figures s’agitent, dans cette société où les affaires de pouvoir et d’argent, de débauche et de famille, se mêlent inextricablement derrière une façade de respectabilité…
La fourmi qui aboie
Moteur… Action ! On tourne un film en Australie, mais survient une quantité de séquences qui n’étaient pas du tout prévues dans le scénario. Finalement, c’est une réussite. Tous les acteurs jouent avec un naturel parfait. Surtout les morts.
Tout New York en otage
Jadis, Otto fut un S.S. À présent, son fils, fier de son père fusillé par les soldats des démocraties, va le venger. Il dispose pour cela d’un gaz innervant qui pourrait pousser toute la population de New York à la panique, sinon à la mort. En face de lui, un esprit clair, audacieux : Bloom, flic de qualité.
Cancer
La société le poursuivait de toute sa haine ; mais non seulement elle ne savait jamais s’il fallait déguster la vengeance chaude ou froide mais au surplus elle restait toujours hésitante sur l’assaisonnement. Fallait-il le tuer en un instant et bien salé, vite avec poivre et piment fort ou allaient-ils l’émietter et le rouler ainsi dans de la crème anglaise en accompagnant le tout de mauvais vermouth ? L’histoire de ce roman c’est l’adolescence, la conscience aiguë d’une frontière fragile entre deux mondes, l’enfance et l’âge adulte, entre deux genres, la poésie et la prose, entre deux sensibilités, la soumission et la révolte. Mais la révolte totale, l’insurrection, ou la soumission absolue, la mort.
Une année sous silence
Paul Miller s’est coupé du monde.
Le déclencheur: le suicide de sa femme, vécu comme une dernière provocation. Installé dans son nouvel appartement comme une bombe à retardement, il épie ses voisins, tourmente sexuellement les jeunes femmes, harcèle un curé libidineux, révère une strip-teaseuse qui brise des vitres avec ses seins, et a totalement renié ses enfants. Mais surtout il se tait. Une année va passer, d’événements drôles en scandales, sans que nul ne comprenne où veut en venir Miller.
Pas même son psychiatre, au bord de la crise de nerfs… Sans doute l’un des meilleurs romans de Dubois, où l’on retrouve tout le talent de l’auteur d’Une vie française (prix Femina 2004) et de Kennedy et Moi (adapté au cinéma avec Jean-Pierre Bacri).
La nuit de tous les dangers
Southampton, Angleterre, septembre 1939 : l’Europe entre en guerre, et le Clipper de la Pan American – un fabuleux vaisseau des airs, le plus luxueux hydravion jamais construit – décolle pour la dernière fois vers l’Amérique. A son bord, un lord anglais, fasciste notoire, et sa famille ; une princesse russe ; un couple d’amants ; un beau jeune homme, très intéressé par les bijoux qui ne lui appartiennent pas ; et puis le chef mécanicien, officier irréprochable, soumis au plus odieux des chantages. Durant trente heures de traversée, la tempête va secouer l’appareil. Au-dehors… et au-dedans. Un savoureux cocktail de suspense et d’humour, écrit par le romancier de L’Arme à l’œil et du Code Rebecca.
L’agenda Icare
Sur l’agenda d’Icare, une page blanche : y inscrira-t-on la date de sa mort ou celle des son accession au pouvoir suprême ?
Parce qu’il s’est héroïquement comporté lors d’une prise d’otages dans le sultanat d’Oman, Evans Hendricks, dit « Icare », se trouve un an après les événements à la une de la presse internationale.
Qui cherche ainsi à le désigner à la vindicte des terroristes ? Quelles sont les forces obscures qui s’emparent de cet homme tranquille et sans ambition, l’une le poussant vers l’élection à la présidence des États-Unis, l’autre précipitant sa chute ?
Après La Mémoire dans la peau, La Progression Aquitaine, Une invitation pour Matlock, le roman le plus ambitieux d’un maître incontesté du suspense.
Sur la route de Gandolfo
Un général baroudeur et forte tête, à la carrière jalonnée d’exploits guerriers et d’incidents diplomatiques, qui va se reconvertir dans le gangstérisme de haut vol ; ses quatre épouses, plus séduisantes les unes que les autres, demeurées ses admiratrices et à l’occasion ses complices ; un jeune lieutenant à la veille de sa démobilisation qui rêve de retrouver la quiétude de son cabinet d’avocat et va connaître des émotions fortes ; un pape haut en couleur, doté d’une solide philosophie de la vie ; son cousin ténor d’opéra qui lui ressemble comme un frère : tels sont les personnages dont les destins vont se croiser dans la plus extravagante des aventures. Les situation inattendues vont se succéder jusqu’à l’étonnant rebondissement final…
Sur la route de Gandolfo est un thriller captivant. Robert Ludlum, l’auteur de La Mémoire dans la peau, un des maîtres mondiaux du suspense, nous offre toutes les ressources de son humour et de son imagination.
La princesse de Clèves
«Je vais vous faire un aveu que l’on n’a jamais fait à un mari…» Sincère, tourmentée, la princesse de Clèves ne parvient plus à taire ses sentiments. Elle brûle d’amour depuis trop longtemps pour le duc de Nemours, l’un des plus beaux fleurons de la cour d’Henri II. Son désir est ardent ! Désespéré ! Mais elle a juré fidélité à son époux, le prince de Clèves.
Elle aspire au bonheur et ne peut brader sa vertu. Elle veut aimer sans trahir… Cruel dilemme ! Faut-il donc renoncer au monde ? Faire ainsi le malheur d’un mari et d’un amant ? La mort est-elle préférable aux affres de l’amour ?
Du mariage au déchirement, de la pudeur au sacrifice… Madame de La Fayette exprime jusque dans ses plus impudiques silences la langue subtile de la passion.
La Mort à Venise est le récit de la passion folle et fatale qui saisit un écrivain d’âge mûr et l’apparition d’un gracieux adolescent d’une extraordinaire beauté. Dans Tristan, le dilemme qui s’offre à l’héroïne est de tenter de vivre en étouffant ses dons d’artiste ou mourir de musique. La fin de Lobgott Piepsam dans Le Chemin du cimetière prouve que la vie est dure aux faibles, mais que la mort vaut mieux que la débâcle d’une constante lâcheté. C’est peut-être dans ses nouvelles que Thomas Mann, le plus célèbre écrivain allemand de ce siècle, a mis le meilleur de sa verve ironique et de sa sensibilité musicale, de son émotion discrète et dominée, qui se drape volontiers d’un sarcasme. Introduction et notes d’Armand Nivelle.
Un secret
Souvent les enfants s’inventent une famille, une autre origine, d’autres parents. Le narrateur de ce livre, lui, s’est inventé un frère. Un frère aîné, plus beau, plus fort, qu’il évoque devant les copains de vacances, les étrangers, ceux qui ne vérifieront pas… Et puis un jour, il découvre la vérité, impressionnante, terrifiante presque. Et c’est alors toute une histoire familiale, lourde, complexe, qu’il lui incombe de reconstituer. Une histoire tragique qui le ramène aux temps de l’Holocauste, et des millions de disparus sur qui s’est abattue une chape de silence.
Pour exorciser le souvenir de ses amours passionnées avec Rimbaud, Verlaine se lance à corps perdu dans l’ivresse poétique et physique. Du bordel aux amours lesbiennes, des fêtes sensuelles aux plaisirs vécus comme des vices, le poète alterne chansons gauloises et élans de désespoir, vers d’érotisme précis et rêveries amoureuses…
La nuit de tous les dangers
Southampton, Angleterre, septembre 1939 : l’Europe entre en guerre, et le Clipper de la Pan American – un fabuleux vaisseau des airs, le plus luxueux hydravion jamais construit – décolle pour la dernière fois vers l’Amérique. A son bord, un lord anglais, fasciste notoire, et sa famille ; une princesse russe ; un couple d’amants ; un beau jeune homme, très intéressé par les bijoux qui ne lui appartiennent pas ; et puis le chef mécanicien, officier irréprochable, soumis au plus odieux des chantages. Durant trente heures de traversée, la tempête va secouer l’appareil. Au-dehors… et au-dedans. Un savoureux cocktail de suspense et d’humour, écrit par le romancier de L’Arme à l’œil et du Code Rebecca.
La Route d’Omaha
Tout le monde veut sa peau! Les politiciens, la CIA, le FBI… il faut les comprendre. Depuis qu’ils ont limogé l’illustre général MacKenzie Hawkins, celui-ci n’a cessé de les harceler. Aujourd’hui, il affirme que les Indiens Wopotamis sont légalement propriétaires du sol de l’espace aérien d’Omaha (Nebraska) et il se paie le luxe de traduire le gouvernement américain en justice. Le pire, c’est qu’il a raison. Alors forcément, ils veulent le neutraliser. Mais ce qu’ils ne savent pas – ou n’ont pas encore compris! -, c’est qu’on n’arrête pas « le Faucon, » et qu’une fois encore il s’est entouré de collaborateurs aussi précieux qu’inattendus…
Les petits chevaux de Tarquinia
« Il n’y a pas de vacances à l’amour, dit-il, ça n’existe pas. L’amour, il faut le vivre complètement avec son ennui et tout, il n’y a pas de vacances possibles à ça. Il parlait sans la regarder, face au fleuve. » Et c’est ça l’amour. S’y soustraire, on ne peut pas. Marguerite Duras Perso – L’Italie et les rapports familiaux « Les petits chevaux de Tarquinia », c’est le roman de vacances passées en Italie, au bord de la mer. Au bout d’une route, au pied d’une montagne, devant un débarcadère, un petit groupe de français, deux couples dont l’un a un enfant, retrouvent des amis italiens, une épicerie, un hôtel restaurant, un terrain de boules, une aire de bal, l’estuaire d’un fleuve, la mer, un paysage menacé par le feu d’un incendie de saison. Tout est torpeur. La chaleur de l’été torride, le temps de vacances dont les vacanciers ne savent trop que faire, l’état des relations entre eux et au sein des couples. La torpeur et l’ennui de vacances dont ils espéraient tout sont les deux facettes d’une seule et même chose : que faire de soi et de la liberté ? Qu’être sans l’amour de l’autre ? Ils attendent qu’une chose : la brise du soir. Ils espèrent qu’une chose : la pluie et sa fraîcheur. Et puis l’amour, les femmes surtout et Sara en particulier. Dans le roman, un autre se développe, comme un lierre au tronc d’un arbre : le drame d’une mère et d’un père dont l’enfant, démineur, est mort déchiqueté par l’explosion d’une mine. Il a pour scène la montagne, au-dessus de la petite station balnéaire. Les parents ont ramassé ce qui reste de leur fils dans une boite, don de l’épicier, lui-même dans le deuil de sa femme. Ils ne parviennent pas à quitter les lieux. La torpeur du chagrin nourrit l’autre, celle des vacances. La torpeur est ainsi perte de tous les repères sociaux … »
Rendez-vous au Cupcake Café
Lorsqu’elle est licenciée, Issy décide de tenter sa chance en ouvrant à Londres un salon de thé spécialisé dans les cupcakes. En effet, la jeune femme a un talent particulier pour réaliser ces petits gâteaux. Un don qu’elle tient de son grand-père boulanger. Mais les ennuis ne vont pas tarder à arriver, et Issy devra se battre pour réaliser son rêve.
L’herbe rouge
Serait-on heureux si l’on obtenait sur-le-champ ce qu’on désire le plus au monde? La plupart des gens répondent oui, le sénateur Dupont aussi.
Wolf, quant à lui, prétend que non. Pour le prouver, il va chercher l’objet des vœux du sénateur: un ouapiti.
A la suite de quoi, le sénateur Dupont tombe dans un état de béatitude qui ressemble fort à de l’hébétude. Bien que le sénateur Dupont ne soit qu’un chien, ce spectacle déprimant accroît encore la mélancolie de Wolf.
Vivre doit être autre chose qu’une oscillation de pendule entre cafard et sotte félicité. Pour en avoir le cœur net, Wolf utilise la machine qu’il a inventée avec l’aide de son mécanicien Saphir Lazuli.
D’une plongée à l’autre, qu’apprendra-t-il… et où plonge-t-il?
C’est le secret de L’Herbe rouge, qui est aussi celui de Boris Vian – sous le travesti de l’humour noir, il met en scène ses propres inquiétudes avec la frénésie d’invention burlesque qui l’a rendu célèbre.
Sex and the City
Elles sont journalistes, marchandes d’art, avocates, responsables des relations publiques. Elles ont tout pour plaire: jeunes, jolies, brillantes, sexy, indépendantes. Tout, sauf ce qu’elles cherchent désespérément: le partenaire idéal.
Dans la jungle new-yorkaise, les places au soleil sont chères, Sex and the City en témoigne. Devenue un livre-culte avant d’inspirer une série télévisée, cette chronique à la fois hilarante et terrifiante des moeurs amoureuses et sexuelles de l’élite de Manhattan met l’Amérique WASP en émoi. Il est vrai que Candace Bushnell, journaliste branchée du New York Observer, n’hésite pas à bousculer le « sexuellement correct » de rigueur, en narrant en toute impudeur les aventures de ses contemporaines, leurs états d’âme et leurs frasques sexuelles. Ou du moins, ce qu’il en reste…
Bienvenue dans l’ère de l’innocence perdue: un regard lucide et impitoyable sur une société qui fout décidément le camp.
Le Peuple du Tapis
Sur tout le Tapis règne la paix de l’empire dumii. Aux marges de la civilisation, la tribus des Munrungues coule sous les poils un existence paisible. Mais, un jour, un terrible cataclysme frappe à proximité du village munrungue. Une ville dumii est broyée par l’ancien monstres des légendes : le Grand Découdre est de retour !
Dans son sillage, des créatures féroces montées sur des fauves parachèvent son oeuvre de destruction. Cernés, les Munrungues s’engagent dans un grand périple à travers les poils, sous la conduite des frères Orkson.
Un voyage qui les conduira à la découverte des merveilles de leur monde, et qui changera pour toujours l’existence de tous les Fils de la poussière.
Les âmes fortes
Publié en 1950, cette célèbre chronique, à la couleur intensément tragique et au style souple et varié, doit son titre à un aphorisme de Vauvenargues qui définit l’âme forte comme étant « dominée par quelque passion altière et courageuse ». Cette âme forte, c’est avant tout celle de l’héroïne, Thérèse, personnage stendhalien, à la fois ingénue et prédatrice déclarée. À travers son récit se lit la puissance irréductible de la passion, qui éloigne du réel et fait vivre dans l’imaginaire. Aussi sa voix est-elle systématiquement contestée par une seconde narratrice, anonyme, sorte de « contre » en quête d’une autre vérité. Il en résulte un système romanesque profondément original, qui détruit de façon lancinante les récits successifs qui s’y déploient ; cette mise en péril permanente de l’existence même de l’histoire rappelle les procédés chers à Pirandello, qui propose le même système de vérités plurielles et antagonistes. Les Âmes fortes contribue ainsi sans doute à l’avènement de cette nouvelle époque romanesque que Nathalie Sarraute appellera dès 1956 « l’ère du soupçon ». —
Arrachée à la famille pauvre, mais aimante et chaleureuse, qu’elle croyait être la sienne, Rain Arnold vit désormais chez des gens riches, où elle se sent désespérément étrangère et seule. Sa seule passion, le théâtre, pourrait bien devenir son unique planche de salut dans cette nouvelle vie. Inscrite dans une prestigieuse école d’art dramatique, Rain est envoyée à Londres chez sa grand-mère Leonora, épouse du très distingué Richard Endfield. Leur austère demeure semble abriter de bien mystérieux et anciens secrets… Comme ces pas et le rire aigu d’une petite fille que Rain croit parfois entendre dans la nuit. Comme ces curieuses lumières qu’elle aperçoit dans des pièces qu’on dit inhabitées. Comme ces domestiques étranges, silencieux, d’une froideur inquiétante… Sous le vernis glacé de l’opulence et des privilèges semble se tapir quelque chose d’innommable. Quelque chose qui pourrait bien transformer les rêves les plus chers de Rain en un cauchemar sans issue…
La Famille Hudson (1) – Rain
Parce qu’elle est née et qu’elle a grandi dans le ghetto noir de Washington, la jeune Rain Arnold sait son avenir obstrué. Généreuse, idéaliste, courageuse, elle ne se laisse pourtant pas abattre. Mais elle a l’impression d’être étrangère à son propre monde, et ne se sent jamais complètement à l’aise parmi les siens. Un soir, elle apprend un secret très lourd de conséquences. Le regard qu’elle portait sur tout et sur tous est soudain métamorphosé, et tout ce qu’elle a connu s’effondre… Rain est alors conduite chez de complets inconnus, la riche famille Hudson. Mais une fois encore, elle se sent totalement déracinée. Son courage et sa détermination indéfectibles sauront-ils la guider vers ce havre tant désiré, un endroit qu’elle puisse enfin appeler son véritable foyer ?
Tereza Batista
Dans un pauvre village du Nordeste brésilien, le destin d’une jolie orpheline est irrémédiable, même si elle est le chef de la bande des gamins du village. Tereza sera vendue quinze mille cruzeiros et une bague en toc alors qu’elle n’a pas encore quinze ans. L’acquéreur est Justiniano Duarte da Rosa, homme riche et atrabilaire, voleur, assassin et grand amateur de combats de coqs. Il collectionne les petites filles, celles qui sentent encore le lait et à chaque nouveau viol ajoute un anneau d’or à son collier. Justiniano apprendra la peur à Tereza, à coups de lanière et au fer rouge. Il possédera son corps en l’avilissant. Passe un gigolo au visage d’ange, Tereza croit découvrir l’amour, son indompta-ble nature renaît et elle tue son bourreau. Elle échoue alors dans une maison de prostituées. Depuis longtemps, le seigneur des lieux, le docteur Emiliano Guedes, l’homme à la cravache d’argent, propriétaire de la banque des Etats-Réunis de Bahia et du Segipe, désirait le corps de miel de Tereza. Il l’enlève du bordel et six années plus tard, de maîtresse en titre, Tereza est devenue une femme aimée et comblée, chaque coup de fouet du Capitao a été effacé; Tereza s’est épanouie en beauté, en élé-gance et en grâce. Le sort lui enlève brutalement l’être tant aimé et c’est de nouveau pour elle la prostitution dans un monde où sévit la famine et la variole. Seules les prostituées enrôlées par Tereza vont soigner les malades et luttent contre l’épidémie.
Cette immense fresque populaire est à l’image des carnavals .brésiliens. Les participants y sont aussi nombreux. Tous les masques sont là: celui de la lubricité comme celui de l’amour, le sadisme, la corruption, la folie, la bourgeoisie, la propriété, la famille. Jorge Amado fait vivre mille et un personnages issus de sa terre. Le corps de Tereza est le symbole du peuple brésilien. Tereza Coup de Couteau, Tereza des Sept Soupirs, Tereza aux Mains de Velours, Tereza Chasse la Peur. La malédiction et l’espoir d’un peuple est chanté dans ce livre, avec tout le rythme envoûtant, la poésie et la sensualité de sa terre.
Ce crétin de prince charmant
Une chose est sûre: le chevalier servant n’existe pas! Beau parleur, mesquin, égoïste, obsédé, irresponsable, voire désespérément immature, le mâle du XXIe siècle pencherait plutôt du côté « odieux crapaud », avec tout ce qu’il faut de ridicule et de veulerie affichée. Et ce n’est ni Ariane, jeune Parisienne branchée, mariée « par intérim » à un jeune loup de la finance aussi agaçant qu’absent, ni Justine, charmante célibataire juive new-yorkaise adepte des cuites au saké et névrosée de première, qui vous diront le contraire. La preuve, les innombrables et irrésistibles mails que nos deux trentenaires délaissées – et déchaînées – ont décidé de s’envoyer le temps d’un jeu de massacre transatlantique à la fois acerbe et drolatique…
Bridget Jones – Folle de lui
Veuve, 51 ans, mère de deux enfants en bas âge, mais toujours en quête de l’homme idéal: Bridget is back !
Elle n’est plus obsédée par ses kilos, plutôt par les réseaux sociaux, le nombre d’amis qu’elle a sur Facebook (ce qui ne peut que mal se passer, vu son niveau en informatique) et ses enfants qui la font tourner en bourrique.
Le grand Mark Darcy avec qui elle a vécu le bonheur conjugal pendant dix ans est mort dans un accident, et après une longue période de deuil, Bridget se transforme en cougar dans les bras d’un trentenaire sexy (et quelque peu immature). Mais pour combien de temps? Car elle a bien entendu toujours le don de se mettre dans des situations impossibles. Les mésaventures de cette Bridget plus posée et plus mûre n ont rien perdu de leur piquant. Au contraire.
Un roman pétillant et audacieux qui plaira aux fans de la première heure, qui ont vieilli avec Bridget et se reconnaîtront dans cette quinqua toujours aussi drôle…