Serre moi fort
« Serre-moi fort. » Cela pourrait ressembler à un appel au secours. Du jeune Nick, tout d’abord. Victime collatérale de la disparition inexpliquée de sa sœur, contraint de vivre dans un foyer brisé et entre deux parents totalement obsédés par leur quête de vérité. Il aimerait tant que sa mère le prenne dans ses bras… D’Adam Gibson, ensuite. Policier chargé de diriger l’équipe qui enquête sur la découverte d’un effroyable charnier dans l’Alabama, il doit identifier les victimes – toutes des femmes – et tenter de remonter jusqu’au tueur, qui a savamment brouillé les pistes. Si Adam parvient à cerner quelques-unes de ses motivations, c’est à peu près tout. Et il prend le risque de trop qui le jette directement dans les bras du tueur. Commence alors entre eux un affrontement psychologique d’une rare violence… N’entendez-vous pas leur appel désespéré quand tous murmurent : « Serre-moi fort » ?
Un macchabée à Pont-L’abbé
L’île aux Sangsues, dans la rivière de Pont-l’Abbé, doit son nom à l’élevage à des fins médicales de ces charmants vers annelés qui peuvent absorber jusqu’à huit fois leur poids de sang en une heure. Un riche antiquaire a acheté l’île et y a entreposé ses trésors, notamment, sous surveillance électronique, un tableau de Maurice Denis. Dans ces circonstances, lorsqu’il décide d’y organiser une grande fête, l’antiquaire aurait dû faire plus attention à sa liste d’invitations. Pour éviter, d’abord, de terroriser ses convives dans l’obscurité, et ensuite, de les accuser de vol. Quand Iphigénie Boulard débarque, il est trop tard pour empêcher certains des invités de s’entretuer.
L’herbe verte du wyoming
Thunderhead, le sauvage étalon blanc, s’est enfui dans les collines avec une pouliche de grand prix. Au ranch, on organise une expédition pour les retrouver. Mais si Thunderhead est capturé, il perdra sa liberté ou sera abattu. Ken, le héros de Mon amie Flicka et du Fils de Flicka réussira-t-il à ramener son cheval sain et sauf ? Gagnera-t-il le cœur de Carey en dépit de tout ce qui les sépare ?
Mamma Lucia
Il y a longtemps que l’Amérique est considérée comme un lieu d’asile, un Eldorado où tous les espoirs sont permis à qui ne craint pas l’ouvrage, imitant l’exemple donné par les célèbres Pères pèlerins (les Pilgrim Fathers) qui ont débarqué d’un petit voilier appelé Mayflower un jour de 1620 pour fonder les premières colonies anglaises sur le sol américain. Au fil des siècles, des hommes et des femmes de bien des nations sont partis à leur tour pour cette terre promise, notamment d’Italie — comme l’a fait Lucia Santa. Parce que les siens étaient trop misérables, Lucia Santa n’a pas hésité à épouser par procuration le fils d’un voisin émigré à New York et à s’en aller à dix-sept ans fonder avec lui une famille à Manhattan, dans le quartier ouest où s’est implantée une importante colonie italienne. Leur troisième enfant n’est pas encore né quand Anthony Angeluzzi meurt accidentellement. Des voisins l’aident à trouver un autre mari qui puisse les prendre en charge. Frank Corbo est un illettré que la ville oppresse et qui fuira à sa manière cette oppression. Lucia poursuivra seule avec énergie la réalisation de son rêve de prospérité. Mamma Lucia, c’est l’intégration et l’ascension sociales d’émigrés italiens dans leur patrie d’adoption entre 1928 et 1940 racontées avec tendresse dans un récit vibrant de vérité.
Dans Manger pour bien guérir, vous trouverez des menus équilibrés, des conseils pour guérir les troubles fonctionnels( colites, ballonnement, aérophagie, constipation…) baisser votre taux de cholestérol, prévenir les maladies cardio-vasculaires, rester jeune.
Un an après la sortie d’iLife ’04, Apple présente iLife ’05, un ensemble de logiciels encore plus riches, véritable concentré de technologies, vous permettant de donner libre cours à vos envies créatrices dans les domaines du son, de l’image et de la vidéo numériques. Vous qui faites vos premiers pas dans la création numérique, nous vous proposerons de réaliser votre premier DVD en quelques clics. Vous apprendrez ensuite progressivement toutes les recettes qui vous permettront de vous lancer dans les projets les plus ambitieux ! Pour vous qui possédez notre ouvrage sur iLife ’04 et qui souhaitez maintenant maîtriser iLife ’05, ce livre ne sera pas uniquement la voie la plus rapide pour en découvrir toutes les nouveautés mais une édition entièrement revisitée répondant à toutes les questions que vous nous avez posées depuis l’année dernière !
Mon amie Flicka
Ken est revenu pour les vacances dans le ranch familial du Wyoming. Il rêve d’avoir un poulain tout à lui, un cheval qui serait aussi son ami. Mais Flicka, la pouliche qu’il a choisie, est issue d’une lignée de chevaux sauvages et indomptables. Elle se rebelle contre les hommes qui veulent la capturer et se blesse gravement. Tous la croient condamnée. Tous sauf Ken. Réussira-t-il, grâce à sa ténacité et à son amour, à sauver Flicka et à l’apprivoiser?
Dans ce livre, visant à constituer en quelque sorte un passeport vers la santé, nous nous élevons tout d’abord vigoureusement contre l’emploi abusif des médicaments allopathiques qui, parfois, – et nous le démontrons à l’aide d’exemples précis et irréfutables – se comportent comme de véritables poisons capables de troubler définitivement l’équilibre cellulaire. Qui plus est, nous soulignons que certains médicaments, considérés comme non toxiques et même inoffensifs, peuvent devenir dangereux, voire provoquer des accidents graves chez certains sujets. Nous précisons ensuite les règles qu’il convient de suivre afin de conserver ou d’acquérir ce bien précieux entre tous: La Santé.
Livre audio – Pactum salis
Quasi neuf, sous cellophane (1 CD MP3, Durée : 6 h 30) – Très improbable, cette amitié entre un paludier misanthrope, ex-Parisien installé près de Guérande, et un agent immobilier ambitieux, prêt à tout pour « réussir ». Le premier mène une vie quasi monacale, déconnecté avec bonheur de toute technologie, tandis que le second gare avec fierté sa Porsche devant des boîtes de nuit. Liés à la fois par une promesse absurde et par une fascination réciproque, ils vont passer une semaine à tenter de s’apprivoiser, au cœur des marais salants. Frédéric Gorny restitue tout le sel de cette rencontre rocambolesque entre deux hommes que tout oppose, au cœur des marais de Guérande. – Lu par Frédéric Gorny
Livre audio – Les mains du miracle
Quasi neuf, sous cellophane (1 CD MP3, Durée : 9 h 30) – À la veille de la Seconde Guerre mondiale, Felix Kersten est spécialisé dans les massages thérapeutiques. Parmi sa clientèle huppée figurent les grands d’Europe. Pris entre les principes qui constituent les fondements de sa profession et ses convictions, le docteur Kersten consent à examiner Himmler, le puissant chef de la Gestapo. Affligé d’intolérables douleurs d’estomac, celui-ci en fait bientôt son médecin personnel. C’est le début d’une étonnante lutte, Felix Kersten utilisant la confiance du fanatique bourreau pour arracher des milliers de victimes à l’enfer. – Lu par Michel Vuillermoz
Quasi neuf, sous cellophane (2 CD MP3, 535 Mo + 534 Mo, Durée : 12 h 57) – 1938. Dans une Europe au bord de l’abîme, une organisation nazie, l’Ahnenerbe, pille des lieux sacrés à travers le monde. À la recherche de trésors aux pouvoirs obscurs destinés à établir le règne millénaire du Troisième Reich. Son maître, Himmler, envoie des SS fouiller un sanctuaire tibétain dans une vallée oubliée de l’Himalaya et se rend lui-même en Espagne, dans un monastère, pour chercher un tableau énigmatique. De quelle puissance ancienne les nazis cherchent-ils la clé ? À Londres, Churchill découvre que la guerre contre l’Allemagne sera aussi la guerre spirituelle de la lumière contre les ténèbres. Ce livre est le premier tome d’une saga où l’histoire occulte fait se rencontrer les acteurs majeurs de la Seconde Guerre mondiale et des personnages aux destins d’exception : Tristan, le trafiquant d’art au passé trouble, Erika, une archéologue allemande, Laure, l’héritière des Cathares… – Lu par François Hatt
Bien repasser en dix leçons
Au fil des années qui passent, Laura, Orane, Solène, Edith et Martha repassent leur linge et leurs histoires de femmes avec ou sans homme, avec ou sans enfants. Dans la panière presque toujours pleine de ces cinq femmes, il y a les serviettes et les torchons du ménage, leurs jupes et leurs corsages, mais aussi les chemises des maris, des amants, les pyjamas et les jeans des enfants. Sous la semelle du fer, il y a la trame et la chaîne du linge qui sont aussi la trame et la chaîne de la vie.
Livre audio – La Daronne
Quasi neuf, sous cellophane (1 CD MP3, 390 Mo, Durée : 4 h 43) – « Alors que j’entamais ma nouvelle carrière, Philippe, mon fiancé flic, prenait son poste comme commandant aux stups de la 2e DPJ.
— Comme ça on se verra plus souvent, m’a-t-il dit, réjoui, en m’annonçant la nouvelle… – Lu par Isabelle de Botton
Quasi neuf, sous cellophane (1 CD MP3, 649 Mo, Durée : 7 h 52) – Pas évident d’échapper à sa famille, a fortiori quand cette dernière est en conflit permanent, avec une fâcheuse tendance à se mettre dans des situations compliquées. Alice Burns, elle, a choisi une solution radicale : mettre un océan entre elle et les siens et poursuivre ses études en Irlande. D’abord déstabilisée par l’accueil quelque peu revêche des Dublinois, elle se surprend à apprécier une existence simple, plus sereine. Et sa rencontre avec Ciaran pourrait même lui laisser entrevoir la possibilité d’une autre vie. Mais alors que résonnent les premiers échos des exactions de l’IRA, voici que resurgit une vieille connaissance, et avec elle un passé qu’Alice aurait préféré oublier à jamais… Fresque à l’ampleur inédite, La Symphonie du hasard couvre vingt ans d’histoire américaine. Dans le bouillonnement social, culturel et politique des sixties – seventies, de New York à Dublin en passant par l’Amérique latine, un roman fleuve porté par un souffle puissant. – Lu par Ingrid Donnadieu
Egypte
L’histoire de l »Egypte nait avec le coup de pioche d’un souverain que les égyptologues ont baptisé ( le roi scorpion) comme l’histoire de Rome nait sous le sol de la charrue de Romulus. Une image du scorpion nous est en effet transmise, qui trace dans le limon du Nil un canal. Il est permis de voir en ce geste éminemment créateur, l’acte de naissance de cette nation-fleuve.
Clefs pour le tiers monde
Qu’est ce que le Tiers monde ? Sa signification historique avant sa rencontre avec l’Europe, pendant sa colonisation par l’Europe, et à partir de sa libération par l’Europe. Ou en est le Tiers monde ? Sa température politique, son histoire actuelle, ses échecs et ses réussites, ses difficultés. Ou va le Tiers monde ? A la lumière des expériences contemporaines, recherche des règles strictes ou des remèdes empiriques qui semblent les mieux appropriés pour assurer le développement et la croissance, voire le bonheur du Tiers monde.
Traboules maboules – 28-8 police !
Tout change. Même la bistouille (genièvre) de contrebande, à Lille. Cela pose des problèmes au commissaire Jablonski qui a d’autres chats à fouetter. Le Chef, grand manitou des affaires de la Police judiciaire à Paris, lui envoie alors son âme damnée, le commissaire Hetib Hobzbizzeit (Hob). Lequel mène une curieuse enquête sur la bistouille – dont les effets lui sont néfastes – et sur d’étranges petits sachets de nourriture semi-préparée qui apparaissent un peu partout dans les restaurants du nord de la France. Jablonsky et Hob soupçonnent la mafia chinoise.
Le monde d’Ulysse
Il est rare que, pour reconstruire l’ensemble d’une civilisation, l’historien ne dispose pour tout document que de deux poèmes. C’était pourtant le cas de Moses Finley lorsqu’il s’est lancé dans une entreprise que beaucoup jugeaient promise à l’échec : considérer l’Iliadeet l’Odysséenon pas seulement comme des œuvres littéraires, mais comme les uniques témoignages laissés par un monde disparu. De cette démarche profondément nouvelle et originale est sorti un des ouvrages les plus intelligents et stimulants de l’histoire ancienne. Passant en revue tous les domaines de l’activité humaine, de l’économie à la politique, de la psychologie à la religion, Moses Finley, dans un véritable tour de force, donne vie à une société jusqu’alors presque inconnue. De plus, une très éclairante mise au point sur l’ensemble du problème homérique – identité d’Homère, date de la composition des textes, historicité de la guerre de Troie, influence d’Homère sur toute la culture grecque classique – complète cet essai passionnant que sa simplicité rend accessible à tous.
Le Misanthrope
La pièce est accompagnée de questionnaires de lecture pour une approche méthodique du texte. Le cahier iconographique. Les thèmes majeurs de la pièce sont évoqués par de nombreuses photographies de mises en scène (Marcel Bluwal, Antoine Vitez…). Des questions de lecture de l’image sont proposées dans la rubrique « Le texte et ses images ». L’appareil critique : Biographie de l’auteur et genèse de l’œuvre. La préciosité. La représentation de la Cour. Les grands thèmes de la pièce : l’honnête homme, la misanthropie… Des groupements de textes sur la satire du jeu social (Du Bellay, Diderot…) et les portraits de femmes (Crébillon, Rousseau…).
Le silence de la mer et autre récit
1941 : un jeune officier allemand, cultivé et francophile, est l’hôte imposé d’un homme et de sa nièce. A cette intrusion de l' »ennemi », ils répondront par un inaltérable mutisme : pas une phrase ne sera échangée pendant leurs longs mois de cohabitation, en dépit des tentatives du jeune homme qui aimerait partager avec eux ses convictions humanistes. Mais sous la calme surface des eaux, c’est toute « la vie sous-marine des sentiments cachés, des désirs et des pensées qui se nient et qui luttent ».
Emmanuel d’Astier : un anarchiste en escarpins, un esthète individualiste, d’abord maurrassien, puis aventurier de la Résistance, hier, chevau-léger du communisme, aujourd’hui, Don Quichotte du gaullisme… Pas du tout: un écrivain-né qui a un style bien à lui, de même qu’à la télévision il ne ressemble à personne ; avec cela, entêté et parfois empêtré dans la bonne foi, l’amitié, le désintéressement – car il n’est pas de ceux qui quêtent la fortune ou les places. Et par dessus-tout, même quand il fait fausse route, de l’allure, de la gueule. Attaqué avec hargne, défendu avec passion, controversé, attachant, irritant, c’est l’un des personnages les plus singuliers de notre scène. Sa biographie en zigzag promène ce fils de hobereaux polytechniciens depuis l’École navale et les mers de Chine jusqu’au gauchisme de Gaulle en passant par l’opium et le Bœuf sur le toit, Cocteau et Drieu La Rochelle, le roman et divers journaux, de Gaulle, Churchill, Roosevelt, et un poste de ministre, Thorez, Staline, Khrouchtchev et un siège de député. Racé, désinvolte, sceptique et confiant à la fois, ce nonchalant aime l’action, la vie chaude, imprévue, frémissante. Il ne sera jamais un mémorialiste.
Le Clan Campbell – Trahi
Tu as dix ans de retard, Duncan Campbell. Seule la corde t’attend ici, et je serai ravie de te la passer autour du cou. Le Highlander contemple Jeannie Grant, cette furie blonde qui vient de lui tirer dessus. Des années plus tôt, Duncan l’a aimée au premier regard, mais la perfide l’a manipulé. Accusé de trahison, Duncan a dû fuir son clan. De retour pour retrouver son honneur, il a besoin de Jeannie. Or, ne sont-ils pas ennemis désormais ? Même si la passion couve toujours, plus folle que jamais…
L’Africain blanc – La forêt autrement ….
Mon nom est Jean-Michel Lage, j’ai grandi en Auvergne dans une famille de forestiers et de scieurs venus d’Italie et d’Espagne quand ces pays étaient des dictatures. J’ai voulu poursuivre ce parcours familial, mais autrement, et surtout ailleurs. La foret nous a beaucoup donné, mais j’ai découvert peu à peu que son aménagement durable est la seule manière efficace de pérenniser ses écosystèmes, notamment en milieu tropical. Mais pour pouvoir être protégée, elle doit aussi être source de profit afin d’autofinancer sa propre survie et celle de ses habitants, humains ou animaux.
Deuil interdit
Dans la Los Angeles de l’été 1988, une jeune fille de 16 ans, Becky Verloren, est enlevée chez elle, puis retrouvée morte quelques jours plus tard. Elle a été tuée d’une seule balle tirée en pleine poitrine. Tout fait penser à un suicide et si les premiers enquêteurs ont, eux, songé à un meurtre, personne n’a jamais été arrêté. Dix huit ans plus tard, l’inspecteur Harry Bosch qui vient de réintégrer la police de Los Angeles après trois ans de retraite, reçoit les résultats d’une analyse ADN qui remet toute l’affaire en branle. Superbe reconstitution d’une affaire ancienne qui a vu une jeune métisse de 16 ans se faire enlever chez elle puis tuer par des individus qui, bénéficiant de très hautes protections, n’ont jamais été inquiétées. Auteur du Poête, Créance de sang, L’Oiseau des ténèbres, Lumière Morte, Los Angeles River, entre autres ouvrages publiés dans la collection Seuil Policiers, Michael Connelly est président de la Mystery Writers of America et a reçu tous les plus grands prix internationaux décernés aux auteurs de romans policiers. Il partage son temps entre la Floride et Los Angeles, sa ville fétiche.
Perce-nuits
Il ne suffisait pas d’être première en français à l’école, il fallait aimer d’abord et dévorer la vie. Mariée à vingt ans, Marie est bientôt mère de trois enfants qu’elle aime, comme elle continue à aimer passionnément son père, son frère, sa mère et sa mère adoptive. Abandonnée, reprise, jalousement revendiquée, elle s’épuise à les regarder survivre à leurs passions.
La nuit du renard
Ronald Thompson doit mourir sur la chaise électrique. Témoin terrorisé, le petit Neil a affirmé, au cours du procès, le reconnaître comme le meurtrier de sa mère. Mais Ronald a toujours clamé son innocence. À quelques heures de la sentence, l’enfant est enlevé avec une jeune journaliste amie de son père, par un déséquilibré qui se fait appeler Renard. Il les séquestre dans la gare centrale de New York. Le kidnappeur menace de faire sauter une bombe au moment précis où le condamné sera exécuté. Existe-t-il un lien entre ces deux terribles faits divers ? Un innocent va-t-il payer pour le crime d’un autre ? Une course contre la montre s’est engagée…
Le système éducatif évolue : le service public se modernise et l’opposition classique entre administration et pédagogie s’estompe lentement. De nouvelles démarches, de type contractuel notamment, favorisent une meilleure performance au bénéfice des usagers du service public de l’éducation. La mise en œuvre de ces évolutions passe par une parfaite maîtrise du fonctionnement des institutions de la part des acteurs concernés. Cette nouvelle édition de l’ouvrage, devenu aujourd’hui un classique, propose tout d’abord une description actualisée de l’ensemble du système éducatif à travers ses structures, ses personnels, ses missions… – la première partie présente les services de l’Education nationale : administrations centrales et services déconcentrés ; – la deuxième traite des compétences aux différents niveaux de l’Etat et des collectivités locales ; – la troisième est consacrée au management et à la modernisation du système éducatif. Mais elle va plus loin avec la mise en perspective des institutions et des mécanismes : la qualité de la gestion du système, l’évaluation – véritable » révolution culturelle » – sont des conditions essentielles de la performance éducative et font l’objet de développements substantiels. Des tableaux, des schémas, des repères bibliographiques : un ouvrage de base fondamental pour les partenaires de l’Education nationale, les candidats aux concours tant administratifs que de l’enseignement et pour toute personne désireuse de comprendre cet univers complexe et passionnant.
Rumeurs dans la salle des profs
Dans la salle des profs devenue de 12 heures à 13 heures 30, leur cantine, ils n’échangent guère que le sel et la moutarde. Un collègue vient de se suicider et tout bascule. Les masques tombent. La mémoire met à jour des drames proches ou lointains, les souvenirs font une sarabande effroyable et les personnages perdent de leur réalité. Le quotidien débouche sur le fantastique et ces visages tour à tour grimaçants, terrifiés ou agressifs appartiennent au monde du grotesque « la plus riche source que la nature puisse offrir à l’art » (Victor Hugo).
Dernier jour de beau avant la pluie
Voilà deux ans que Chloé n’est pas revenue au cabanon, dans cette maison de rêve et d’enfance, aux murs épais en pierres sèches, dans cet endroit sauvage, coupé du monde, au bord d’une rivière, avec sa table de bois autour du tronc d’un platane. Elle n’est pas revenue depuis que Béryl, sa soeur jumelle, est morte, écrasée dans une rue de Barcelone, lors d’un séjour linguistique. Chloé n’avance plus. Elle est tendue, pessimiste, elle n’arrive plus à vivre. Alban, son frère, et Félicien, son meilleur ami, tous deux étudiants en médecine, sont là, comme d’habitude. Mais eux aussi lui rappellent le passé. Alors, pour essayer, Chloé a invité une intruse, une nouvelle, son amie Madeleine, à passer la semaine avec eux. Madeleine va partager sa chambre, occuper le lit de Béryl. Mais ce n’est pas son genre de combler les vides. Madeleine est trop vivante pour cela.
Tombeau pour le collège
» Quand on me demande quel sport je pratique, je répondS l’enseignement. «
Des fameuses sept merveilles du monde antique, il ne reste que l’impressionnante pyramide de Khéops. Mais les anciens avaient bâti des cités fabuleuses dont le nom seul fait rêver: Persépolis, ce trésor des perses qui disparut dans l’incendie allumé par Thais, la compagne d’Alexandre le grand, Baalbek, dont les colonnes dans le soleil couchant du désert vous imprègnent d’une douce mélancolique.
Suspens – Tome II
Quand un médecin se retrouve, sans l’avoir voulu, espion international…Quand tout l’équipage d’un avion s’endort en vol …… c’est le suspens qui commence. Suspens a d’abord été une émission de Pierre Bellemare sur TF1. C’est maintenant une lecture passionnante. Suspens 2 : de nouvelles histoires haletantes, racontées « à la Bellemare », rapides, variées, toujours captivantes. Des histoires à couper le souffle.
Le Diable au corps
Hachette Education – Textes et Commentaires – Le premier roman d’un écrivain mort à vingt ans et l’un des plus beaux rôles de Gérard Philipe. En 1918, un lycéen, François (prénom uniquement usité dans le film), s’éprend d’une jeune femme, Marthe, dont le fiancé, Jacques, est au front. L’amour fou, absolu, malgré tout et contre tous, voisins ricaneurs ou parents désemparés. Mais aussi, très vite, l’anxiété, la cruauté inconsciente, l’impossibilité pour un enfant de vivre une aventure d’homme. La guerre finit et ses « quatre ans de grandes vacances », Marthe meurt en mettant au monde l’enfant qu’elle a eu de François et qui sera la « seule de raison de vivre » de Jacques. » En voyant ce veuf si digne, je compris que l’ordre, à la longue, se met de lui-même autour des choses. Ne venais-je pas d’apprendre que Marthe était morte en m’appelant, et que mon fils aurait une existence raisonnable? »
Les rivières pourpres
Un cadavre, horriblement mutilé, suspendu entre ciel et terre dans les montagnes de la région grenobloise. Une tombe, celle d'un petit garçon, mystérieusement « visitée » pendant la nuit, cependant que les dossiers le concernant disparaissaient de son école. Deux énigmes, que vont s'attacher à résoudre deux flics hors normes : Pierre Niémans, policier génial, dont les méthodes peu orthodoxes ont compromis la carrière. Et Karim Abdouf, l'ancien délinquant devenu flic, dont la couleur de peau et les dreadlocks suscitent plutôt la défiance dans le trou de province où on l'a nommé… Les deux affaires vont se rejoindre, et les deux hommes se reconnaître. Ensemble, ils vont remonter vers le terrifiant secret des rivières pourpres. Un secret qui ne nous sera livré qu'aux dernières pages de ce thriller exceptionnel, dû à l'auteur du Vol des cigognes et porté à l'écran par Mathieu Kassovitz.
Psychanalyste d’enfants aussi célèbre que controversée, Françoise Dolto fut une clinicienne de génie. Si elle n’a pas fait école, elle a profondément modifié l’image et la connaissance que l’on avait de l’enfant. La langue des enfants ne s’écrit pas, celle de Dolto non plus. C’est sa parole qu’elle veut faire entendre quand elle apprend aux adultes comment écouter le désir de l’enfant. Bien que reconnue et souvent admirée par ses pairs, elle resta isolée au sein du monde analytique. Souvent proche de Lacan, elle se situa parfois aux antipodes de celui-ci. Pour approcher la singularité de Françoise Dolto, Jean-François de Sauverzac parcourt et interroge une vie, une pratique et une théorie étroitement mêlées: il évoque la jeunesse de Françoise Marette, les événements qui décidèrent de sa vocation, et questionne les figures de la psychanalyse – Laforgue, Morgenstern, Pichon – dont elle suivit l’enseignement.
Les jours et les nuits de Venise
Vues d’ensemble, perspectives ou détails, les images des jours et des nuits de Venise révèlent les lumières, le quotidien et les secret d’une ville unique au monde. Ni tout à fait sur la terre, ni tout à fait sur la mer, Venise s’est dotée au fil des siècles de magnifiques palais et de trésors artistiques incomparables. Aujourd’hui, la fabuleuse cité se délabre, sous l’effet conjugué des marées de l’adriatique et de la pollution. Mais au soleil couchant, Venise retrouve son extraordinaire beauté qui la rend inoubliable.
Une autre femme
Qui n’a pas eu le désir de déserter sa vie, de tout recommencer ailleurs, de devenir quelqu’un d’autre ? Ce qui pour la plupart des gens demeure un rêve, Delia, quarante ans, se décide soudain à l’accomplir. Elle marche sur une plage, s’éloignant d’un mari devenu indifférent, de trois enfants pour qui elle n’est guère qu’une domestique… Et voilà, elle ne sait pas si elle reviendra un jour. Tandis que ses proches se révèlent incapables de donner à la police un signalement précis, Delia entreprend de bâtir sa nouvelle vie à une centaine de kilomètres de là. Nouveau job, nouveaux amis… Et puis ? Peut-on vraiment trouver sa liberté en s’absentant de soi et du monde ? Un vrai roman, un roman vrai aussi, souriant, humain, lucide, accueilli par un succès international.
Quand le soleil était chaud
Que savait-elle de la vie? Lola, lorsqu’elle dansait d’un pas léger, au début des années cinquante, dans les grands bals du Caire? Comment aurait-elle pu se douter que son univers, insouciant et brillant, allait être englouti par une tourmente? Que ses amours adolescentes, ou la douceur des soirées au bord du Nil, ne seraient plus, bientôt. Que les souvenirs d’un paradis incendié par la guerre? Car l’histoire de Lola, dans ce roman, se mêle sans cesse à celle qui, depuis un demi-siècle, accompagne l’agonie des chrétiens d’Orient. À celle des coptes, de ces syriaques, de ces maronites, de ces orthodoxes qui, à tort ou à raison, crurent toujours que le ciel veillerait sur leur destin. Des palais de son enfance aux ruines de Beyrouth, de la frivolité aux massacres, du nassérisme aux camps palestiniens et aux guerres du Liban, Lola assistera ainsi, avec les siens, au triomphe absurde de l’intolérance sur le bonheur. Le roman d’une femme? Le roman d’une civilisation défaite par la violence des hommes qui, hier encore, savaient vivre ensemble? C’est tout cela que Josette Alia a voulu ressusciter dans cette fresque au goût de miel et de feu.
Au XVIIe siècle, la guerre de Trente Ans ravage la Franche-Comté qui est l'une des plus riches provinces de la couronne d'Espagne. Durant cette conquête par la France, des centaines de villages sont incendiés, des milliers d'hommes torturés, assassinés ou décimés par la peste. Certains, pourtant, continuent à vivre, à se battre, à espérer des jours meilleurs. Ils sont soldats, paysans, nobles ou compagnons. Leur histoire commence au cours de l'hiver 1639, dans la région de Salins où Mathieu Guyon, un charretier, est désigné pour enterrer les victimes de la peste parquées dans un village isolé…
Etat quasi-neuf – « Il fut l’un des premiers à rompre avec les habitudes de la caste diplomatique pour s’engager dans la démarche de la perestroïka. Depuis 1985, on se souvient de son visage à la télévision associé au vent de changement. Quand Gorbatchev fit marche arrière, Fédorovski n’hésita pas à quitter la « carrière ». Je l’ai vu à l’oeuvre, lorsqu’il fut porte-parole du mouvement des réformes démocratiques dans les jours fatidiques de la résistance au putsch communiste de Moscou en août 1991 ». C’est ainsi qu’Alexandre Yakovlev, idéologue de la perestroïka, présentait Vladimir Fédorovski dans Le Figaro en avril 1996. Vladimir Fédorovski a consigné au fil du temps les témoignages uniques des protagonistes de cette époque. Gorbatchev, son épouse Raïssa, Jean-Paul II, Jacques Chirac ou encore Vladimir Poutine se succèdent devant le lecteur qui entre dans leur intimité. L’auteur a non seulement recueilli de nombreuses confidences mais il a mené pendant des années une minutieuse enquête, bousculant les idées reçues, mettant en lumière les années cruciales d’une des plus grandes ruptures de l’Histoire. Ce changement historique aurait pu, comme d’autres révolutions récentes, se terminer bien autrement, dans la guerre civile ou dans une Apocalypse mondiale. Mais la sortie du communisme fut assurée « en douceur » : la perestroïka mettait ainsi tout le monde devant le fait accompli. Et ce faisant, par petites touches, elle put faire jaillir, au coeur du communisme… la liberté !
L’apartheid était une politique dite de « développement séparé » affectant des populations selon des critères raciaux ou ethniques dans des zones géographiques déterminées. Il fut conceptualisé et introduit à partir de 1948 en Afrique du Sud par le Parti national, et aboli le 30 juin 1991. La politique d’apartheid se voulait l’aboutissement institutionnel d’une politique et d’une pratique élaborée en Afrique du Sud depuis la fondation par la Compagnie néerlandaise des Indes orientales de la colonie du Cap en 1652. Avec l’apartheid, le rattachement territorial (puis la nationalité) et le statut social dépendaient du statut racial de l’individu. L’apartheid a également été appliqué de 1959 à 1979 dans le Sud-Ouest africain (actuelle Namibie), alors administré par l’Afrique du Sud.
Regarde-moi quand je t’aime
Un homme amoureux, une fille lascive, un père, un tueur en série, un enfant, une femme éprise, un mauvais garçon, Le Palace, une vodka tonic, un texto, un Coca Light, une garce, un morceau de sucre, une mère, la passion, la haine, l’indifférence, une larme, du plaisir, un orgasme. L’amour.
On le savait généticien, médecin, humaniste. On le découvre ici en randonneur de haut niveau, capable d’avaler deux mille kilomètres en parcourant « sa » France de la frontière belge dans les Ardennes à la frontière espagnole sur la côte atlantique, au Pays basque. Itinéraire buissonnier qui le conduit de la vallée de la Meuse à Saint-Jean-de-Luz, en passant par Vézelay, le Morvan, la Haute-Loire, les Causses et le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle pendant sept cents kilomètres. Le livre qu’il a tiré de ce périple est plusieurs choses à la fois : un carnet de voyage curieux, drôle, rêveur, où nous sont contées les anecdotes d’une traversée haute en couleurs ; une sorte de manuel d’histoire, où remontent à notre mémoire quelques-uns des lieux célèbres du passé de la France. Mais aussi une réflexion sur l’état de notre pays, la désertification de beaucoup de régions, la pauvreté de certaines, les effets ravageurs de la mondialisation. « Sécession », énonce-t-il : « J’appelle ainsi la rupture d’une partie de la population avec la vie politique ordinaire, l’apparente rationalité de son discours et ceux qui le tiennent. » Comme on voit, l’humaniste engagé n’a pas disparu derrière le marcheur. Et puis ce livre est aussi l’occasion de rencontrer à chaque étape des hommes et des femmes qui racontent chacun un bout de la vraie France d’aujourd’hui, celle dont on n’entend jamais parler.
1492. La foudre s’abat sur Florence. Savonarole, le moine fanatique, a vu le glaive de Dieu déchirer le ciel toscan. La ville expie pour les péchés du Magnifique. Lorenzo se meurt. Le premier des Florentins se retourne une dernière fois sur son flamboyant passé. Maître de la ville-lumière de son époque, il revoit les êtres qui ont peuplé son existence : ses ancêtres qui ont contribué à le hisser au faîte du pouvoir, ses ennemis qu’il a affrontés l’épée à la main, le pape qui a tenté de le faire assassiner, les illustres peintres, sculpteurs, poètes et philosophes, amis et protégés, qui ont fait de Florence un joyau incomparable. Et les femmes, qu’il a aimées avec autant de fureur que de tendresse. Muses et amantes. Les plus humbles comme les plus célèbres. Lucrezia, Simonetta, Bartolomea…Le Magnifique ferme les yeux. Pourquoi meurt-il si tôt ? Nul ne pourra effacer la trace du plus grand mécène de tous les temps, l’homme qui a inventé la Renaissance. Une épopée, dont l’éclat illumine le roman de Patrick Pesnot, premier volet d’une trilogie haute en couleur.
Quand le soleil était chaud
Que savait-elle de la vie? Lola, lorsqu’elle dansait d’un pas léger, au début des années cinquante, dans les grands bals du Caire? Comment aurait-elle pu se douter que son univers, insouciant et brillant, allait être englouti par une tourmente? Que ses amours adolescentes, ou la douceur des soirées au bord du Nil, ne seraient plus, bientôt. Que les souvenirs d’un paradis incendié par la guerre? Car l’histoire de Lola, dans ce roman, se mêle sans cesse à celle qui, depuis un demi-siècle, accompagne l’agonie des chrétiens d’Orient. À celle des coptes, de ces syriaques, de ces maronites, de ces orthodoxes qui, à tort ou à raison, crurent toujours que le ciel veillerait sur leur destin. Des palais de son enfance aux ruines de Beyrouth, de la frivolité aux massacres, du nassérisme aux camps palestiniens et aux guerres du Liban, Lola assistera ainsi, avec les siens, au triomphe absurde de l’intolérance sur le bonheur. Le roman d’une femme? Le roman d’une civilisation défaite par la violence des hommes qui, hier encore, savaient vivre ensemble? C’est tout cela que Josette Alia a voulu ressusciter dans cette fresque au goût de miel et de feu.
Sunset
Los Angeles… Douze millions d’habitants, mégapole du Troisième Millénaire, cité des mythes.
Beverly Hills, Bel Air, Hollywood… Ses milliards, ses ghettos, parano… Soleil, palmiers, ciel bleu, piscines… Jusqu’au jour où débarque un dissident russe, Kostia Vlassov. Jeune, beau, sans le sou. Alors, soudain, la carte postale se déchire, les façades s’effritent et tous les secrets de la ville explosent dans une traque à couper le souffle, qui nous bouscule des résidences des rois du monde aux taudis de Down Town, des salons de massage aux cliniques de désintoxication, des soirées haschisch aux rodéos meurtriers des Hells Angels, des plages de Malibu aux bordels de Colombie, des homos aux héros, des studios où se fabriquent les rêves à la chambre de Jenny. Jenny… La plus grande star du cinéma… Richissime, adulée, paumée, droguée… Regardez bien sous son lit : le Russe est peut-être dessous. Un roman haletant, trépidant, imprévisible, fort comme la cocaïne et plus vrai que la vie. Seul Pierre Rey pouvait l’écrire. Los Angeles, il connaît bien : il y vit.