La fourmi qui aboie
Moteur… Action ! On tourne un film en Australie, mais survient une quantité de séquences qui n’étaient pas du tout prévues dans le scénario. Finalement, c’est une réussite. Tous les acteurs jouent avec un naturel parfait. Surtout les morts.
Tout New York en otage
Jadis, Otto fut un S.S. À présent, son fils, fier de son père fusillé par les soldats des démocraties, va le venger. Il dispose pour cela d’un gaz innervant qui pourrait pousser toute la population de New York à la panique, sinon à la mort. En face de lui, un esprit clair, audacieux : Bloom, flic de qualité.
Cancer
La société le poursuivait de toute sa haine ; mais non seulement elle ne savait jamais s’il fallait déguster la vengeance chaude ou froide mais au surplus elle restait toujours hésitante sur l’assaisonnement. Fallait-il le tuer en un instant et bien salé, vite avec poivre et piment fort ou allaient-ils l’émietter et le rouler ainsi dans de la crème anglaise en accompagnant le tout de mauvais vermouth ? L’histoire de ce roman c’est l’adolescence, la conscience aiguë d’une frontière fragile entre deux mondes, l’enfance et l’âge adulte, entre deux genres, la poésie et la prose, entre deux sensibilités, la soumission et la révolte. Mais la révolte totale, l’insurrection, ou la soumission absolue, la mort.
Une année sous silence
Paul Miller s’est coupé du monde.
Le déclencheur: le suicide de sa femme, vécu comme une dernière provocation. Installé dans son nouvel appartement comme une bombe à retardement, il épie ses voisins, tourmente sexuellement les jeunes femmes, harcèle un curé libidineux, révère une strip-teaseuse qui brise des vitres avec ses seins, et a totalement renié ses enfants. Mais surtout il se tait. Une année va passer, d’événements drôles en scandales, sans que nul ne comprenne où veut en venir Miller.
Pas même son psychiatre, au bord de la crise de nerfs… Sans doute l’un des meilleurs romans de Dubois, où l’on retrouve tout le talent de l’auteur d’Une vie française (prix Femina 2004) et de Kennedy et Moi (adapté au cinéma avec Jean-Pierre Bacri).
La nuit de tous les dangers
Southampton, Angleterre, septembre 1939 : l’Europe entre en guerre, et le Clipper de la Pan American – un fabuleux vaisseau des airs, le plus luxueux hydravion jamais construit – décolle pour la dernière fois vers l’Amérique. A son bord, un lord anglais, fasciste notoire, et sa famille ; une princesse russe ; un couple d’amants ; un beau jeune homme, très intéressé par les bijoux qui ne lui appartiennent pas ; et puis le chef mécanicien, officier irréprochable, soumis au plus odieux des chantages. Durant trente heures de traversée, la tempête va secouer l’appareil. Au-dehors… et au-dedans. Un savoureux cocktail de suspense et d’humour, écrit par le romancier de L’Arme à l’œil et du Code Rebecca.
L’agenda Icare
Sur l’agenda d’Icare, une page blanche : y inscrira-t-on la date de sa mort ou celle des son accession au pouvoir suprême ?
Parce qu’il s’est héroïquement comporté lors d’une prise d’otages dans le sultanat d’Oman, Evans Hendricks, dit « Icare », se trouve un an après les événements à la une de la presse internationale.
Qui cherche ainsi à le désigner à la vindicte des terroristes ? Quelles sont les forces obscures qui s’emparent de cet homme tranquille et sans ambition, l’une le poussant vers l’élection à la présidence des États-Unis, l’autre précipitant sa chute ?
Après La Mémoire dans la peau, La Progression Aquitaine, Une invitation pour Matlock, le roman le plus ambitieux d’un maître incontesté du suspense.
Sur la route de Gandolfo
Un général baroudeur et forte tête, à la carrière jalonnée d’exploits guerriers et d’incidents diplomatiques, qui va se reconvertir dans le gangstérisme de haut vol ; ses quatre épouses, plus séduisantes les unes que les autres, demeurées ses admiratrices et à l’occasion ses complices ; un jeune lieutenant à la veille de sa démobilisation qui rêve de retrouver la quiétude de son cabinet d’avocat et va connaître des émotions fortes ; un pape haut en couleur, doté d’une solide philosophie de la vie ; son cousin ténor d’opéra qui lui ressemble comme un frère : tels sont les personnages dont les destins vont se croiser dans la plus extravagante des aventures. Les situation inattendues vont se succéder jusqu’à l’étonnant rebondissement final…
Sur la route de Gandolfo est un thriller captivant. Robert Ludlum, l’auteur de La Mémoire dans la peau, un des maîtres mondiaux du suspense, nous offre toutes les ressources de son humour et de son imagination.
La princesse de Clèves
«Je vais vous faire un aveu que l’on n’a jamais fait à un mari…» Sincère, tourmentée, la princesse de Clèves ne parvient plus à taire ses sentiments. Elle brûle d’amour depuis trop longtemps pour le duc de Nemours, l’un des plus beaux fleurons de la cour d’Henri II. Son désir est ardent ! Désespéré ! Mais elle a juré fidélité à son époux, le prince de Clèves.
Elle aspire au bonheur et ne peut brader sa vertu. Elle veut aimer sans trahir… Cruel dilemme ! Faut-il donc renoncer au monde ? Faire ainsi le malheur d’un mari et d’un amant ? La mort est-elle préférable aux affres de l’amour ?
Du mariage au déchirement, de la pudeur au sacrifice… Madame de La Fayette exprime jusque dans ses plus impudiques silences la langue subtile de la passion.
La Mort à Venise est le récit de la passion folle et fatale qui saisit un écrivain d’âge mûr et l’apparition d’un gracieux adolescent d’une extraordinaire beauté. Dans Tristan, le dilemme qui s’offre à l’héroïne est de tenter de vivre en étouffant ses dons d’artiste ou mourir de musique. La fin de Lobgott Piepsam dans Le Chemin du cimetière prouve que la vie est dure aux faibles, mais que la mort vaut mieux que la débâcle d’une constante lâcheté. C’est peut-être dans ses nouvelles que Thomas Mann, le plus célèbre écrivain allemand de ce siècle, a mis le meilleur de sa verve ironique et de sa sensibilité musicale, de son émotion discrète et dominée, qui se drape volontiers d’un sarcasme. Introduction et notes d’Armand Nivelle.
Un secret
Souvent les enfants s’inventent une famille, une autre origine, d’autres parents. Le narrateur de ce livre, lui, s’est inventé un frère. Un frère aîné, plus beau, plus fort, qu’il évoque devant les copains de vacances, les étrangers, ceux qui ne vérifieront pas… Et puis un jour, il découvre la vérité, impressionnante, terrifiante presque. Et c’est alors toute une histoire familiale, lourde, complexe, qu’il lui incombe de reconstituer. Une histoire tragique qui le ramène aux temps de l’Holocauste, et des millions de disparus sur qui s’est abattue une chape de silence.
Pour exorciser le souvenir de ses amours passionnées avec Rimbaud, Verlaine se lance à corps perdu dans l’ivresse poétique et physique. Du bordel aux amours lesbiennes, des fêtes sensuelles aux plaisirs vécus comme des vices, le poète alterne chansons gauloises et élans de désespoir, vers d’érotisme précis et rêveries amoureuses…
La nuit de tous les dangers
Southampton, Angleterre, septembre 1939 : l’Europe entre en guerre, et le Clipper de la Pan American – un fabuleux vaisseau des airs, le plus luxueux hydravion jamais construit – décolle pour la dernière fois vers l’Amérique. A son bord, un lord anglais, fasciste notoire, et sa famille ; une princesse russe ; un couple d’amants ; un beau jeune homme, très intéressé par les bijoux qui ne lui appartiennent pas ; et puis le chef mécanicien, officier irréprochable, soumis au plus odieux des chantages. Durant trente heures de traversée, la tempête va secouer l’appareil. Au-dehors… et au-dedans. Un savoureux cocktail de suspense et d’humour, écrit par le romancier de L’Arme à l’œil et du Code Rebecca.
La Route d’Omaha
Tout le monde veut sa peau! Les politiciens, la CIA, le FBI… il faut les comprendre. Depuis qu’ils ont limogé l’illustre général MacKenzie Hawkins, celui-ci n’a cessé de les harceler. Aujourd’hui, il affirme que les Indiens Wopotamis sont légalement propriétaires du sol de l’espace aérien d’Omaha (Nebraska) et il se paie le luxe de traduire le gouvernement américain en justice. Le pire, c’est qu’il a raison. Alors forcément, ils veulent le neutraliser. Mais ce qu’ils ne savent pas – ou n’ont pas encore compris! -, c’est qu’on n’arrête pas « le Faucon, » et qu’une fois encore il s’est entouré de collaborateurs aussi précieux qu’inattendus…
Les petits chevaux de Tarquinia
« Il n’y a pas de vacances à l’amour, dit-il, ça n’existe pas. L’amour, il faut le vivre complètement avec son ennui et tout, il n’y a pas de vacances possibles à ça. Il parlait sans la regarder, face au fleuve. » Et c’est ça l’amour. S’y soustraire, on ne peut pas. Marguerite Duras Perso – L’Italie et les rapports familiaux « Les petits chevaux de Tarquinia », c’est le roman de vacances passées en Italie, au bord de la mer. Au bout d’une route, au pied d’une montagne, devant un débarcadère, un petit groupe de français, deux couples dont l’un a un enfant, retrouvent des amis italiens, une épicerie, un hôtel restaurant, un terrain de boules, une aire de bal, l’estuaire d’un fleuve, la mer, un paysage menacé par le feu d’un incendie de saison. Tout est torpeur. La chaleur de l’été torride, le temps de vacances dont les vacanciers ne savent trop que faire, l’état des relations entre eux et au sein des couples. La torpeur et l’ennui de vacances dont ils espéraient tout sont les deux facettes d’une seule et même chose : que faire de soi et de la liberté ? Qu’être sans l’amour de l’autre ? Ils attendent qu’une chose : la brise du soir. Ils espèrent qu’une chose : la pluie et sa fraîcheur. Et puis l’amour, les femmes surtout et Sara en particulier. Dans le roman, un autre se développe, comme un lierre au tronc d’un arbre : le drame d’une mère et d’un père dont l’enfant, démineur, est mort déchiqueté par l’explosion d’une mine. Il a pour scène la montagne, au-dessus de la petite station balnéaire. Les parents ont ramassé ce qui reste de leur fils dans une boite, don de l’épicier, lui-même dans le deuil de sa femme. Ils ne parviennent pas à quitter les lieux. La torpeur du chagrin nourrit l’autre, celle des vacances. La torpeur est ainsi perte de tous les repères sociaux … »
Rendez-vous au Cupcake Café
Lorsqu’elle est licenciée, Issy décide de tenter sa chance en ouvrant à Londres un salon de thé spécialisé dans les cupcakes. En effet, la jeune femme a un talent particulier pour réaliser ces petits gâteaux. Un don qu’elle tient de son grand-père boulanger. Mais les ennuis ne vont pas tarder à arriver, et Issy devra se battre pour réaliser son rêve.
L’herbe rouge
Serait-on heureux si l’on obtenait sur-le-champ ce qu’on désire le plus au monde? La plupart des gens répondent oui, le sénateur Dupont aussi.
Wolf, quant à lui, prétend que non. Pour le prouver, il va chercher l’objet des vœux du sénateur: un ouapiti.
A la suite de quoi, le sénateur Dupont tombe dans un état de béatitude qui ressemble fort à de l’hébétude. Bien que le sénateur Dupont ne soit qu’un chien, ce spectacle déprimant accroît encore la mélancolie de Wolf.
Vivre doit être autre chose qu’une oscillation de pendule entre cafard et sotte félicité. Pour en avoir le cœur net, Wolf utilise la machine qu’il a inventée avec l’aide de son mécanicien Saphir Lazuli.
D’une plongée à l’autre, qu’apprendra-t-il… et où plonge-t-il?
C’est le secret de L’Herbe rouge, qui est aussi celui de Boris Vian – sous le travesti de l’humour noir, il met en scène ses propres inquiétudes avec la frénésie d’invention burlesque qui l’a rendu célèbre.
Sex and the City
Elles sont journalistes, marchandes d’art, avocates, responsables des relations publiques. Elles ont tout pour plaire: jeunes, jolies, brillantes, sexy, indépendantes. Tout, sauf ce qu’elles cherchent désespérément: le partenaire idéal.
Dans la jungle new-yorkaise, les places au soleil sont chères, Sex and the City en témoigne. Devenue un livre-culte avant d’inspirer une série télévisée, cette chronique à la fois hilarante et terrifiante des moeurs amoureuses et sexuelles de l’élite de Manhattan met l’Amérique WASP en émoi. Il est vrai que Candace Bushnell, journaliste branchée du New York Observer, n’hésite pas à bousculer le « sexuellement correct » de rigueur, en narrant en toute impudeur les aventures de ses contemporaines, leurs états d’âme et leurs frasques sexuelles. Ou du moins, ce qu’il en reste…
Bienvenue dans l’ère de l’innocence perdue: un regard lucide et impitoyable sur une société qui fout décidément le camp.
Le Peuple du Tapis
Sur tout le Tapis règne la paix de l’empire dumii. Aux marges de la civilisation, la tribus des Munrungues coule sous les poils un existence paisible. Mais, un jour, un terrible cataclysme frappe à proximité du village munrungue. Une ville dumii est broyée par l’ancien monstres des légendes : le Grand Découdre est de retour !
Dans son sillage, des créatures féroces montées sur des fauves parachèvent son oeuvre de destruction. Cernés, les Munrungues s’engagent dans un grand périple à travers les poils, sous la conduite des frères Orkson.
Un voyage qui les conduira à la découverte des merveilles de leur monde, et qui changera pour toujours l’existence de tous les Fils de la poussière.
Les âmes fortes
Publié en 1950, cette célèbre chronique, à la couleur intensément tragique et au style souple et varié, doit son titre à un aphorisme de Vauvenargues qui définit l’âme forte comme étant « dominée par quelque passion altière et courageuse ». Cette âme forte, c’est avant tout celle de l’héroïne, Thérèse, personnage stendhalien, à la fois ingénue et prédatrice déclarée. À travers son récit se lit la puissance irréductible de la passion, qui éloigne du réel et fait vivre dans l’imaginaire. Aussi sa voix est-elle systématiquement contestée par une seconde narratrice, anonyme, sorte de « contre » en quête d’une autre vérité. Il en résulte un système romanesque profondément original, qui détruit de façon lancinante les récits successifs qui s’y déploient ; cette mise en péril permanente de l’existence même de l’histoire rappelle les procédés chers à Pirandello, qui propose le même système de vérités plurielles et antagonistes. Les Âmes fortes contribue ainsi sans doute à l’avènement de cette nouvelle époque romanesque que Nathalie Sarraute appellera dès 1956 « l’ère du soupçon ». —
Arrachée à la famille pauvre, mais aimante et chaleureuse, qu’elle croyait être la sienne, Rain Arnold vit désormais chez des gens riches, où elle se sent désespérément étrangère et seule. Sa seule passion, le théâtre, pourrait bien devenir son unique planche de salut dans cette nouvelle vie. Inscrite dans une prestigieuse école d’art dramatique, Rain est envoyée à Londres chez sa grand-mère Leonora, épouse du très distingué Richard Endfield. Leur austère demeure semble abriter de bien mystérieux et anciens secrets… Comme ces pas et le rire aigu d’une petite fille que Rain croit parfois entendre dans la nuit. Comme ces curieuses lumières qu’elle aperçoit dans des pièces qu’on dit inhabitées. Comme ces domestiques étranges, silencieux, d’une froideur inquiétante… Sous le vernis glacé de l’opulence et des privilèges semble se tapir quelque chose d’innommable. Quelque chose qui pourrait bien transformer les rêves les plus chers de Rain en un cauchemar sans issue…
La Famille Hudson (1) – Rain
Parce qu’elle est née et qu’elle a grandi dans le ghetto noir de Washington, la jeune Rain Arnold sait son avenir obstrué. Généreuse, idéaliste, courageuse, elle ne se laisse pourtant pas abattre. Mais elle a l’impression d’être étrangère à son propre monde, et ne se sent jamais complètement à l’aise parmi les siens. Un soir, elle apprend un secret très lourd de conséquences. Le regard qu’elle portait sur tout et sur tous est soudain métamorphosé, et tout ce qu’elle a connu s’effondre… Rain est alors conduite chez de complets inconnus, la riche famille Hudson. Mais une fois encore, elle se sent totalement déracinée. Son courage et sa détermination indéfectibles sauront-ils la guider vers ce havre tant désiré, un endroit qu’elle puisse enfin appeler son véritable foyer ?
Tereza Batista
Dans un pauvre village du Nordeste brésilien, le destin d’une jolie orpheline est irrémédiable, même si elle est le chef de la bande des gamins du village. Tereza sera vendue quinze mille cruzeiros et une bague en toc alors qu’elle n’a pas encore quinze ans. L’acquéreur est Justiniano Duarte da Rosa, homme riche et atrabilaire, voleur, assassin et grand amateur de combats de coqs. Il collectionne les petites filles, celles qui sentent encore le lait et à chaque nouveau viol ajoute un anneau d’or à son collier. Justiniano apprendra la peur à Tereza, à coups de lanière et au fer rouge. Il possédera son corps en l’avilissant. Passe un gigolo au visage d’ange, Tereza croit découvrir l’amour, son indompta-ble nature renaît et elle tue son bourreau. Elle échoue alors dans une maison de prostituées. Depuis longtemps, le seigneur des lieux, le docteur Emiliano Guedes, l’homme à la cravache d’argent, propriétaire de la banque des Etats-Réunis de Bahia et du Segipe, désirait le corps de miel de Tereza. Il l’enlève du bordel et six années plus tard, de maîtresse en titre, Tereza est devenue une femme aimée et comblée, chaque coup de fouet du Capitao a été effacé; Tereza s’est épanouie en beauté, en élé-gance et en grâce. Le sort lui enlève brutalement l’être tant aimé et c’est de nouveau pour elle la prostitution dans un monde où sévit la famine et la variole. Seules les prostituées enrôlées par Tereza vont soigner les malades et luttent contre l’épidémie.
Cette immense fresque populaire est à l’image des carnavals .brésiliens. Les participants y sont aussi nombreux. Tous les masques sont là: celui de la lubricité comme celui de l’amour, le sadisme, la corruption, la folie, la bourgeoisie, la propriété, la famille. Jorge Amado fait vivre mille et un personnages issus de sa terre. Le corps de Tereza est le symbole du peuple brésilien. Tereza Coup de Couteau, Tereza des Sept Soupirs, Tereza aux Mains de Velours, Tereza Chasse la Peur. La malédiction et l’espoir d’un peuple est chanté dans ce livre, avec tout le rythme envoûtant, la poésie et la sensualité de sa terre.
Ce crétin de prince charmant
Une chose est sûre: le chevalier servant n’existe pas! Beau parleur, mesquin, égoïste, obsédé, irresponsable, voire désespérément immature, le mâle du XXIe siècle pencherait plutôt du côté « odieux crapaud », avec tout ce qu’il faut de ridicule et de veulerie affichée. Et ce n’est ni Ariane, jeune Parisienne branchée, mariée « par intérim » à un jeune loup de la finance aussi agaçant qu’absent, ni Justine, charmante célibataire juive new-yorkaise adepte des cuites au saké et névrosée de première, qui vous diront le contraire. La preuve, les innombrables et irrésistibles mails que nos deux trentenaires délaissées – et déchaînées – ont décidé de s’envoyer le temps d’un jeu de massacre transatlantique à la fois acerbe et drolatique…
Bridget Jones – Folle de lui
Veuve, 51 ans, mère de deux enfants en bas âge, mais toujours en quête de l’homme idéal: Bridget is back !
Elle n’est plus obsédée par ses kilos, plutôt par les réseaux sociaux, le nombre d’amis qu’elle a sur Facebook (ce qui ne peut que mal se passer, vu son niveau en informatique) et ses enfants qui la font tourner en bourrique.
Le grand Mark Darcy avec qui elle a vécu le bonheur conjugal pendant dix ans est mort dans un accident, et après une longue période de deuil, Bridget se transforme en cougar dans les bras d’un trentenaire sexy (et quelque peu immature). Mais pour combien de temps? Car elle a bien entendu toujours le don de se mettre dans des situations impossibles. Les mésaventures de cette Bridget plus posée et plus mûre n ont rien perdu de leur piquant. Au contraire.
Un roman pétillant et audacieux qui plaira aux fans de la première heure, qui ont vieilli avec Bridget et se reconnaîtront dans cette quinqua toujours aussi drôle…
Quelque chose du bonheur
Lorsque deux jeunes femmes que tout oppose se rencontrent, leur destin pourrait bien basculer.
Annie mène une existence vide de sens et de joie depuis qu’un drame a brisé sa vie deux ans plus tôt. Polly, elle, n’a plus que trois mois à vivre. Mais Polly, aussi rayonnante et excentrique qu’Annie est terne et renfermée, est bien décidée à profiter de la vie jusqu’au bout: trouver chaque jour une source de joie, réenchanter le quotidien pour retrouver le goût de vivre et la force d’accepter l’inéluclable. Elle entraîne sa nouvelle amie dans un tourbillon fantasque de petits bonheurs: « si vous voulez l’arc-en-ciel, vous devez accepter la pluie »
Livre audio – La Soif
Quasi neuf, sous cellophane (1 CD MP3, Durée : 19h30 h) – Une jeune femme est assassinée après un rendez-vous pris sur un célèbre site de rencontres. Les violentes marques de morsures trouvées sur le cadavre ne laissent pas de doute : il ne s’agit pas d’un simple fait divers comme tant d’autres, d’un tête-à-tête qui aurait mal tourné avec un maniaque arpentant le Web. C’est un prédateur particulièrement féroce qui a sévi, assoiffé de sang humain. Lorsqu’un deuxième corps est découvert, mutilé selon la même mise en scène macabre, il semble clair qu’un seul homme peut mettre un terme aux agissements du tueur… Mais Harry Hole est réticent à l’idée de s’occuper de cette affaire. Désormais instructeur à l’École de police, apparemment libéré de ses démons et heureux avec son épouse, il s’est promis de ne plus mettre les siens en danger.
Malgré tout, un doute s’immisce en lui : ces meurtres pourraient être liés à l’unique enquête non résolue de sa carrière. Il comprend que le destin le place de nouveau face à un dilemme : mener une vie paisible et tirer un trait définitif sur son passé d’enquêteur, ou arrêter enfin le criminel qui lui a jadis échappé et qui continue de le hanter. – Lu par Dominique Collignon-Maurin
Moni Mambou – Retrouvailles
Il s’en est fallu de peu que Moni-Mambou ne devienne esclave après son séjour mouvementé à Akrikritomékry. Grâce à Zimoli, sa compagne, et Nzila, son fils, il en a réchappé.
Après bien des péripéties, Moni-Mambou et les siens débarquent à Mbanza-Kimpa, une cité où se passent des choses étranges.
Guy Menga a su conserver dans cet épisode des « Aventures de Moni-Mambou » sa manière bien alerte de raconter la vie d’un héros qui a fini par conquérir la sympathie de tous.
Désirs de femmes
Françoise Allain, Marie Boman, Lucie de Boutiny, Sophie Cadalen, Laure Clergerie, Anne-Lise David, Jeanne Decize, Marie-Laure Dougnac, etc …
Ces nouvelles érotiques écrites par les meilleurs auteurs féminins du genre couvrent toute la palette des désirs et des fantasmes. De la vengeance à la soumission, sans oublier la frustration, chacune des dix-sept nouvelles de l’ouvrage aborde sans retenue tous les penchants de la sexualité vue du côté des femmes. Désirs étranges, bizarres, sages, vicieux ou inavouables, c’est un nouvel univers de plaisirs qui s’offrent ainsi à la lecture. Du mâle torero, privé de ses attributs virils et jeté en pâture à une maîtresse sadique et vengeresse (Tauromachie),à l’homme à la verge d’or tant convoitée (Chadolor), en passant par les plaisirs inassouvis d’une vierge futuriste dans un paysage cybernétique (Terminal Désir) ou encore à la femme pantelante de soumission (Sur un air de piano) ; chaque récit traite avec justesse de l’érotisme féminin contemporain. Les textes de Françoise Allain, Marie Boman, Lucie de Boutiny ou Sophie Cadalen ont ceci de précieux qu’ils savent à la fois s’inspirer de légendes ou fantasmes les plus anciens et de visions particulièrement modernes de la sexualité. Les amoureux d’ébats sensuels, les adeptes du sado-masochisme ou encore des tentations saphiques, tous y trouveront le reflet de leurs rêves les plus fous, au gré des pages et dans un style propre à chacun des auteurs, invitant le lecteur à un voyage inédit dans les arcanes d’un érotisme à la fois tendre et sulfureux.
Et puis après …
Epouse exemplaire d’un macho séduisant, Agnès quitte son mari après trente ans de bons et loyaux services. Elle devient romancière et pense avoir trouvé le bonheur dans les bras de son éditeur. Mais… coup du sort, ce dernier disparaît dans un accident, le jour même où le mari d’Aline, son amie d’enfance, rend l’âme, lui, au milieu d’un nirvana amoureux. Par chance pour Agnès et Aline, leurs deux épreuves sont allégées par cette double révélation post mortem : leurs chers défunts, qu’elles croyaient vertueux, étaient en vérité de fieffés hypocrites. Et puis après ? La colère efface le chagrin. La déception mène à l’oubli. Et l’oubli, lui, mène forcément aux chemins de la vie… où tout est toujours possible, comme d’habitude.
A tombeau ouvert
Alors que l’anthropologue judiciaire Tempe Brennan est chargée d’examiner le corps d’un homme tué d’une balle dans la tête, un inconnu lui remet la photo d’un squelette. « Voici la clé du meurtre », dit-il. Ses premières recherches révèlent à Tempe que cette ossature est un vestige archéologique retrouvé lors d’un chantier mené à Massada, en Israël. Pourquoi toute trace de la découverte a-t-elle été effacée des rapports de fouilles? Pourquoi assassine-t-on ceux qui y ont été mêlés? Et qui était cet homme? Certains prononcent le nom de Jésus de Nazareth… Tempe va suivre la piste jusqu’au bout, au risque de sa vie.
Janvier 1946. Tandis que Londres se relève douloureusement de la guerre, Juliet, jeune écrivain, cherche un sujet pour son prochain roman. Comment pourrait-elle imaginer que la lettre d’un inconnu, natif de l’île de Guernesey, va le lui fournir ? Au fil de ses échanges avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre un monde insoupçonné, délicieusement excentrique ; celui d’un club de lecture au nom étrange inventé pour tromper l’occupant allemand : le « Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates ». De lettre en lettre, Juliet découvre l’histoire d’une petite communauté débordante de charme, d’humour, d’humanité. Et puis vient le jour où, à son tour, elle se rend à Guernesey…
Mauvais coûts
Les tribulations de Gaby Aspinall, salaud cynique et misanthrope, pourtant un brin attachant, acheteur dans une multinationale dont il concurrence sans peine l’amoralité. Il déteste, en vrac, les syndicats, Nespresso, Alain Souchon, le rugby, ce sport de gros cons… Un livre drôle et corrosif, rythmé par des dialogues enlevés. Houellebecq revisité par Iain Levison.
Serre moi fort
« Serre-moi fort. » Cela pourrait ressembler à un appel au secours. Du jeune Nick, tout d’abord. Victime collatérale de la disparition inexpliquée de sa sœur, contraint de vivre dans un foyer brisé et entre deux parents totalement obsédés par leur quête de vérité. Il aimerait tant que sa mère le prenne dans ses bras… D’Adam Gibson, ensuite. Policier chargé de diriger l’équipe qui enquête sur la découverte d’un effroyable charnier dans l’Alabama, il doit identifier les victimes – toutes des femmes – et tenter de remonter jusqu’au tueur, qui a savamment brouillé les pistes. Si Adam parvient à cerner quelques-unes de ses motivations, c’est à peu près tout. Et il prend le risque de trop qui le jette directement dans les bras du tueur. Commence alors entre eux un affrontement psychologique d’une rare violence… N’entendez-vous pas leur appel désespéré quand tous murmurent : « Serre-moi fort » ?
Un macchabée à Pont-L’abbé
L’île aux Sangsues, dans la rivière de Pont-l’Abbé, doit son nom à l’élevage à des fins médicales de ces charmants vers annelés qui peuvent absorber jusqu’à huit fois leur poids de sang en une heure. Un riche antiquaire a acheté l’île et y a entreposé ses trésors, notamment, sous surveillance électronique, un tableau de Maurice Denis. Dans ces circonstances, lorsqu’il décide d’y organiser une grande fête, l’antiquaire aurait dû faire plus attention à sa liste d’invitations. Pour éviter, d’abord, de terroriser ses convives dans l’obscurité, et ensuite, de les accuser de vol. Quand Iphigénie Boulard débarque, il est trop tard pour empêcher certains des invités de s’entretuer.
L’herbe verte du wyoming
Thunderhead, le sauvage étalon blanc, s’est enfui dans les collines avec une pouliche de grand prix. Au ranch, on organise une expédition pour les retrouver. Mais si Thunderhead est capturé, il perdra sa liberté ou sera abattu. Ken, le héros de Mon amie Flicka et du Fils de Flicka réussira-t-il à ramener son cheval sain et sauf ? Gagnera-t-il le cœur de Carey en dépit de tout ce qui les sépare ?
Mamma Lucia
Il y a longtemps que l’Amérique est considérée comme un lieu d’asile, un Eldorado où tous les espoirs sont permis à qui ne craint pas l’ouvrage, imitant l’exemple donné par les célèbres Pères pèlerins (les Pilgrim Fathers) qui ont débarqué d’un petit voilier appelé Mayflower un jour de 1620 pour fonder les premières colonies anglaises sur le sol américain. Au fil des siècles, des hommes et des femmes de bien des nations sont partis à leur tour pour cette terre promise, notamment d’Italie — comme l’a fait Lucia Santa. Parce que les siens étaient trop misérables, Lucia Santa n’a pas hésité à épouser par procuration le fils d’un voisin émigré à New York et à s’en aller à dix-sept ans fonder avec lui une famille à Manhattan, dans le quartier ouest où s’est implantée une importante colonie italienne. Leur troisième enfant n’est pas encore né quand Anthony Angeluzzi meurt accidentellement. Des voisins l’aident à trouver un autre mari qui puisse les prendre en charge. Frank Corbo est un illettré que la ville oppresse et qui fuira à sa manière cette oppression. Lucia poursuivra seule avec énergie la réalisation de son rêve de prospérité. Mamma Lucia, c’est l’intégration et l’ascension sociales d’émigrés italiens dans leur patrie d’adoption entre 1928 et 1940 racontées avec tendresse dans un récit vibrant de vérité.
Dans Manger pour bien guérir, vous trouverez des menus équilibrés, des conseils pour guérir les troubles fonctionnels( colites, ballonnement, aérophagie, constipation…) baisser votre taux de cholestérol, prévenir les maladies cardio-vasculaires, rester jeune.
Un an après la sortie d’iLife ’04, Apple présente iLife ’05, un ensemble de logiciels encore plus riches, véritable concentré de technologies, vous permettant de donner libre cours à vos envies créatrices dans les domaines du son, de l’image et de la vidéo numériques. Vous qui faites vos premiers pas dans la création numérique, nous vous proposerons de réaliser votre premier DVD en quelques clics. Vous apprendrez ensuite progressivement toutes les recettes qui vous permettront de vous lancer dans les projets les plus ambitieux ! Pour vous qui possédez notre ouvrage sur iLife ’04 et qui souhaitez maintenant maîtriser iLife ’05, ce livre ne sera pas uniquement la voie la plus rapide pour en découvrir toutes les nouveautés mais une édition entièrement revisitée répondant à toutes les questions que vous nous avez posées depuis l’année dernière !
Mon amie Flicka
Ken est revenu pour les vacances dans le ranch familial du Wyoming. Il rêve d’avoir un poulain tout à lui, un cheval qui serait aussi son ami. Mais Flicka, la pouliche qu’il a choisie, est issue d’une lignée de chevaux sauvages et indomptables. Elle se rebelle contre les hommes qui veulent la capturer et se blesse gravement. Tous la croient condamnée. Tous sauf Ken. Réussira-t-il, grâce à sa ténacité et à son amour, à sauver Flicka et à l’apprivoiser?
Dans ce livre, visant à constituer en quelque sorte un passeport vers la santé, nous nous élevons tout d’abord vigoureusement contre l’emploi abusif des médicaments allopathiques qui, parfois, – et nous le démontrons à l’aide d’exemples précis et irréfutables – se comportent comme de véritables poisons capables de troubler définitivement l’équilibre cellulaire. Qui plus est, nous soulignons que certains médicaments, considérés comme non toxiques et même inoffensifs, peuvent devenir dangereux, voire provoquer des accidents graves chez certains sujets. Nous précisons ensuite les règles qu’il convient de suivre afin de conserver ou d’acquérir ce bien précieux entre tous: La Santé.
Livre audio – Pactum salis
Quasi neuf, sous cellophane (1 CD MP3, Durée : 6 h 30) – Très improbable, cette amitié entre un paludier misanthrope, ex-Parisien installé près de Guérande, et un agent immobilier ambitieux, prêt à tout pour « réussir ». Le premier mène une vie quasi monacale, déconnecté avec bonheur de toute technologie, tandis que le second gare avec fierté sa Porsche devant des boîtes de nuit. Liés à la fois par une promesse absurde et par une fascination réciproque, ils vont passer une semaine à tenter de s’apprivoiser, au cœur des marais salants. Frédéric Gorny restitue tout le sel de cette rencontre rocambolesque entre deux hommes que tout oppose, au cœur des marais de Guérande. – Lu par Frédéric Gorny
Livre audio – Les mains du miracle
Quasi neuf, sous cellophane (1 CD MP3, Durée : 9 h 30) – À la veille de la Seconde Guerre mondiale, Felix Kersten est spécialisé dans les massages thérapeutiques. Parmi sa clientèle huppée figurent les grands d’Europe. Pris entre les principes qui constituent les fondements de sa profession et ses convictions, le docteur Kersten consent à examiner Himmler, le puissant chef de la Gestapo. Affligé d’intolérables douleurs d’estomac, celui-ci en fait bientôt son médecin personnel. C’est le début d’une étonnante lutte, Felix Kersten utilisant la confiance du fanatique bourreau pour arracher des milliers de victimes à l’enfer. – Lu par Michel Vuillermoz
Quasi neuf, sous cellophane (2 CD MP3, 535 Mo + 534 Mo, Durée : 12 h 57) – 1938. Dans une Europe au bord de l’abîme, une organisation nazie, l’Ahnenerbe, pille des lieux sacrés à travers le monde. À la recherche de trésors aux pouvoirs obscurs destinés à établir le règne millénaire du Troisième Reich. Son maître, Himmler, envoie des SS fouiller un sanctuaire tibétain dans une vallée oubliée de l’Himalaya et se rend lui-même en Espagne, dans un monastère, pour chercher un tableau énigmatique. De quelle puissance ancienne les nazis cherchent-ils la clé ? À Londres, Churchill découvre que la guerre contre l’Allemagne sera aussi la guerre spirituelle de la lumière contre les ténèbres. Ce livre est le premier tome d’une saga où l’histoire occulte fait se rencontrer les acteurs majeurs de la Seconde Guerre mondiale et des personnages aux destins d’exception : Tristan, le trafiquant d’art au passé trouble, Erika, une archéologue allemande, Laure, l’héritière des Cathares… – Lu par François Hatt
Bien repasser en dix leçons
Au fil des années qui passent, Laura, Orane, Solène, Edith et Martha repassent leur linge et leurs histoires de femmes avec ou sans homme, avec ou sans enfants. Dans la panière presque toujours pleine de ces cinq femmes, il y a les serviettes et les torchons du ménage, leurs jupes et leurs corsages, mais aussi les chemises des maris, des amants, les pyjamas et les jeans des enfants. Sous la semelle du fer, il y a la trame et la chaîne du linge qui sont aussi la trame et la chaîne de la vie.
Livre audio – La Daronne
Quasi neuf, sous cellophane (1 CD MP3, 390 Mo, Durée : 4 h 43) – « Alors que j’entamais ma nouvelle carrière, Philippe, mon fiancé flic, prenait son poste comme commandant aux stups de la 2e DPJ.
— Comme ça on se verra plus souvent, m’a-t-il dit, réjoui, en m’annonçant la nouvelle… – Lu par Isabelle de Botton