Ah ! J’ai une histoire…
Philippe Castelli est un acteur français des années 1970 et 1980. Il s’est fait particulièrement remarquer lors de ses différentes interventions à l’émission radiophonique des « Grosses têtes » animée par Philippe Bouvard sur RTL.
Qu’on lui jette la première pierre
« … Quand on tournait les yeux vers les murs, le regard s'arrêtait. Tout s'arrêtait aux murs. Les murs n'étaient éloignés du bâtiment où se trouvait le dortoir que de cinq mètres. Je pensais alors que la liberté était là, à cinq mètres. Cinq mètres et vingt ans. »
Je n’ai aimé que vous
Myriam Dulac a disparu. Est-elle morte ? A-t-elle rejoint, au-delà des mers, ceux dont elle partageait peut-être l’espoir et les combats ? A-t-elle voulu, par cette fuite, manipuler secrètement les désirs d’autrui ? Laura, une jeune photographe qui l’a suivie des années durant à travers le monde, ignore tout, presque tout. Pourtant, et impérieusement, il lui faut retrouver la trace de cette femme troublante.Quête intense, déraisonnable, qui la conduit à prendre sa place entre son mari et sa fille : peut-on se glisser sans risque dans une vie qui ne vous appartient pas ? Où commence et où finit la vérité d’un sentiment ? Plusieurs personnages traverseront ce tumulte ; ils s’y perdent, s’y brûlent, avec délices et frayeurs, au fil d’une aventure qui mêle les urgences de chacun en une seule vague d’amour. Mais qui peut vraiment dire : je n’ai aimé que vous ? Il faudra entendre ces quelques mots comme le bruit d’un destin hésitant ; comme l’écho de la passion qui court entre les êtres, qui les sépare ou les précipite, tout proches, parmi songes et mensonges.
La nuit du grand Boss
Que se passe-t-il donc dans la paroisse de Santa Liberata? La secte qui y est installée est-elle dangereuse? Et que vient faire dans cette histoire Monguzzi et sa passion pour une correspon-dance datant du XIXe siècle ? Le lecteur est plongé au cœur d'une ville italienne grouillante d'hommes et de femmes apparemment normaux. Les personna-ges du roman sont si nombreux que les auteurs nous donnent un organigramme pour les connaître. Il y a ceux du Turin comme il faut et les autres! L'histoire peut se résumer en un entrefilet de quelques lignes : une bande de voleurs et de prévaricateurs, un gros déficit et un règlement de compte. Mais Fruttero et Lucen-tini.et leur imagination débordante font naître d'insaisissables collusions entre Mafia, édition, Fiat, police, terroristes, curie et drogués. Le commissaire Santa Maria en perd son latin. Toutes les intrigues riches en couleur, parfois sanglantes, vont s'imbriquer les unes dans les autres comme les pièces d'un puzzle.
Étude sur Balzac et la Petite tailleuse chinoise – Dai Sijie – En 1971, comme des millions d'autres jeunes citadins chinois, le narrateur et son ami Luo sont envoyés sur une haute montagne isolée voisine du Tibet, où ils seront « éduqués » par les paysans. Les adolescents ont trois chances sur mille de revenir un jour dans leur ville natale. Dans le village voisin, un autre jeune de la ville cache scrupuleusement une valise remplie de livres interdits : Balzac, Flaubert, Hugo, Kipling, Emily Brontë, Rousseau, Dostoïevski… Grâce à ces trésors, la ravissante petite tailleuse, jeune fille convoitée par tous, ne sera plus jamais la même. Écrit avec un accent de vérité confondant, un roman fort qui, tout en nous plongeant dans la Chine communiste, raconte une belle histoire d'amitié et d'amour, auréolée de la magie de la littérature.
Werther, ce soir…
En cette fin des années 80, Orlando Natale est le meilleur ténor du monde. Du Metropolitan de New York à la Scala de Milan, de Covent Garden au Palais-Garnier, les foules se pressent pour l’entendre. De tous les rôles qu’il interprète, celui qu’il préfère est Werther… Et un soir, au théâtre de Mannheim, sous des tempêtes d’applaudissements, il rencontre Carola K. À partir de cet instant, l’Opéra et la Vie commencent à se ressembler étrangement… Des coïncidences se produisent à Munich, à Vienne, jusqu’à ce qu’arrive enfin la nuit de Venise où tout s’embrase dans le déferlement de l’orchestre et où théâtre et réalité se confondent.
La Nomenklatura, ce mot inconnu jusqu’ici, sauf de quelques spécialistes, mérite de devenir aussi célèbre que le terme de Goulag. II désigne la classe des nouveaux privilégiés, cette aristocratie rouge qui dispose d’un pouvoir sans précédent dans l’Histoire, puisqu’elle est l’État lui-même. Elle s’est attribué d immenses et d’inaliénables privilèges (datchas et logements luxueux. limousines, chauffeurs, restaurants, boutiques, cliniques, centres de repos spéciaux et presque gratuits). Le récit évoqué à la fin de son livre par Voslensky dune journée dans la vie de Denis Ivanovitch, chef de secteur au Comité central du Parti communiste. nous donne tout autant envie de rire que de pleurer. Que ce livre nous dérange, qu’il nous interpelle dans toute sa vérité, qu’il nous oblige à pousser jusqu’au bout notre réflexion. Voilà qui n est pas banal et mérite que l’on y consacre quelque temps.
Louis Capet, suite et fin
Si chacun sait bien que Louis XVI, échappant de justesse à la guillotine, fut par la Convention condamné au bannissement perpétuel, l’on connaît moins, en revanche, les innombrables difficultés rencontrées à l’époque pour trouver au souverain déchu une terre d’exil qui veuille bien le recevoir, et l’on ignore presque tout des raisons qui poussèrent finalement la Suisse à accueillir Louis Capet et à le reléguer à Saint-Saphorien, petite bourgade des bords du Léman, dans un territoire alors possession des baillis de Berne. Basé sur de nombreuses archives inédites, se lisant comme un vrai livre d’histoires et sur un ton dont la légèreté n’exclut pas le sérieux, ce roman nous révèle donc l’accueil… mitigé que le ci-devant monarque reçut à son arrivée au pays de Vaud, les hôtes… inattendus qui s’en vinrent le visiter, les diverses péripéties… tragicomiques qui, d’octobre 1795 à janvier 1798, marquèrent son séjour forcé dans la région et la fin… logique qu’il y trouva.
Sunset
Los Angeles… Douze millions d’habitants, mégapole du Troisième Millénaire, cité des mythes. Beverly Hills, Bel Air, Hollywood… Ses milliards, ses ghettos, parano… Soleil, palmiers, ciel bleu, piscines… Jusqu’au jour où débarque un dissident russe, Kostia Vlassov. Jeune, beau, sans le sou. Alors, soudain, la carte postale se déchire, les façades s’effritent et tous les secrets de la ville explosent dans une traque à couper le souffle, qui nous bouscule des résidences des rois du monde aux taudis de Down Town, des salons de massage aux cliniques de désintoxication, des soirées haschisch aux rodéos meurtriers des Hells Angels, des plages de Malibu aux bordels de Colombie, des homos aux héros, des studios où se fabriquent les rêves à la chambre de Jenny.
Les otages du président
« … Dans cette valise, il y a une bombe atomique de dix kilotonnes. Prête à exploser ! » s’écria un intendant. Le président de la République française laissa son discours en suspens. Il s’appuya lourdement sur la table, sa main droite agrippant le micro devant lui. Ses yeux, brillant d’un éclat fixe, firent le tour de la salle de conférences et s’arrêtèrent sur une place vide, celle du secrétaire général du parti communiste soviétique. A sa droite, le président des États-Unis stupéfait ; « Vous ne voulez pas croire au terrosrisme nucléaire. eh bien. Nous y voilà pourtant ».
Le petit garçon
La Villa, à l’écart d’une petite ville du sud-ouest de la France, ressemble, avec son immense jardin, à un paradis où rien ne peut arriver. C’est bien ce qu’avait voulu le père, un homme juste et sage. Voyant approcher la guerre, il avait quitté Paris pour mettre sa jeune femme et leurs sept enfants à l’abri. Mais quand déferlent les années quarante, le malheur atteint les univers les plus protégés. Bientôt, la Villa se peuplera d’étranges jardiniers et cuisinières. Ce sont des hommes, des femmes, des enfants traqués, en danger de mort. Puis les Allemands vont arriver et violer le sanctuaire. La paix revenue, le père sacrifie repos et confort ; il arrache ses enfants à leur paradis afin de mieux assurer leur avenir. Cette histoire est vue par un enfant. Il traverse des tragédies et rencontre des solitudes, il connaît l’enchantement de la découverte de la vie, la nature.
Un mouton dans la baignoire
Un soir de novembre 2003, à la Foire du Livre de Brive-la-Gaillarde, le romancier et sociologue Azouz Begag, enfant des bidonvilles et de la banlieue à Lyon, croise Dominique de Villepin, flamboyant ministre des Affaires étrangères. Sur le mode de la plaisanterie, Azouz lui fait savoir combien il aimerait être ambassadeur dans quelque pays lointain d'Afrique. Dix-huit mois plus tard, le jeudi 2 juin 2005, son portable sonne : c'est Villepin, nouveau Premier ministre, qui lui annonce de but en blanc qu'il l'a nommé ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances. Une nomination symbolique pour incarner la diversité française ? ou bien une promotion destinée à faire contrepoids à l'image répressive du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy ? De fait, à compter du jour où le mot « racaille » est lancé par ce dernier et à compter du début de la crise des banlieues de novembre 2005, c'est la guerre ouverte entre l'hôte de la place Beauvau, son entourage, et le ministre délégué.
Le Temple de Jérusalem
Tom Sagan est un ancien journaliste d'investigation de tout premier plan, dont la carrière a été brisée par un scandale. Il vit aujourd'hui dans la maison de ses parents, en Floride. Un jour, un homme fait irruption chez lui, arme au poing, et lui montre une photo de sa fille séquestrée. Elle lui sera rendue saine et sauve uniquement si Tom accepte d'obéir à une requête pour le moins étrange : faire exhumer la dépouille de son père, Abiram. C'est le début pour Tom d'une course contre la montre qui va bientôt le mettre sur la piste des secrets de Christophe Colomb et du Temple de Jérusalem. De Vienne à la Jamaïque, en traversant Prague et la Floride, Steve Berry nous emmène aux quatre coins du monde sur les traces d'énigmes passionnantes, du destin des douze tribus d'Israël à la personnalité secrète de Christophe Colomb en passant par les mystères du Temple de Jérusalem.
Zabiba et le roi
Amour, trahison, complots, guerres… Il était une fois en Irak, l'antique Mésopotamie, un roi et une fille du peuple qui s'aimaient… Zabiba et le roi n'est pas seulement un conte philosophique écrit à la façon des Mille et Une Nuits, c'est, dans le contexte actuel de nouvelle guerre du Golfe, un livre prémonitoire. « Son auteur » tenait à rester anonyme. Il ne l'a pas été longtemps. À Bagdad ses proches et à l'étranger les services occidentaux ont reconnu dans ce récit d'aventures, d'amour et de politique, la plume de Saddam Hussein. À travers les dialogues entre le roi Arab et Zabiba, « l'auteur » expose ses idées politiques sur la solitude du monarque absolu, la contribution de la femme au développement social et national, la lutte contre les conspirations ennemies, la création de relais militants pour asseoir la crédibilité d'un régime, l'inéluctabilité du pouvoir populaire, et s'engage dans une approche courageuse de la sexualité dans la société arabe. La lecture de Zabiba et le roi jette un éclairage nouveau sur la personnalité de Saddam Hussein.
En décembre 2003, au terme d'un accord transactionnel, la France accepte de payer la somme astronomique de 771,5 millions de dollars aux Etats-Unis. Mais les contribuables français n'ont pas fini de régler la note d'une des aventures financières les plus osées du Crédit Lyonnais, qui avait repris au début des années 90 une compagnie d'assurances californienne en faillite : Executive Life. Un crime économique aux yeux de la justice américaine qui réclamait plusieurs milliards de dollars à la veille du procès civil. Une tentative d'extorsion de fonds aux yeux des Français qui ont dû accepter, sur les marches du tribunal de Los Angeles, en février 2005, de payer des centaines de millions de dollars de plus. Le nouveau livre d'Airy Routier révèle la face cachée de cette incroyable affaire, essentiellement décrite jusqu'ici sous son aspect franco-français.
L’argent des autres
Comment fonctionne une banque ? Comment « triche » une banque, avec l’argent des autres ? Comment un homme, aidé seulement de son épouse et d’un avocat obstinés, peut déjouer la machination de banquiers qui, au nom de la toute-puissance de l’argent, se mettent hors-la-loi ? L’Argent des autres vous le révèle. Pour la première fois, un roman démystifie les milieux de la haute finance. Jamais ce monde balzacien où règne l’hypocrisie, où l’amitié ne résiste pas à l’ambition n’avait été aussi bien décrit. Un monde impitoyable où, afin de sauver les apparences, l’on va jusqu’à sacrifier un homme innocent. Cette lutte du pot de terre contre le pot de fer, riche en rebondissements, …
Moi, l’homme qui rit
« François Hollande, quand j’ai évoqué avec lui ce projet de L’homme qui rit, a eu ce sourire malicieux que ses plus proches savent lire. Il signifiait que cette idée loufoque le rebutait, voire l’agaçait. Depuis ce jour, il ne m’a jamais reçu, malgré mes demandes insistantes. Il avait raison. D’une certaine manière, il m’a donné carte blanche pour m’introduire par effraction dans sa zone sombre. Je n’ai pas bénéficié de sauf-conduit. Je suis entré dans le labyrinthe d’un homme insaisissable. »
Le Gendarme de Chirac
De la guerre d’Algérie au conseil des ministres, en passant par la sécurité de l’Élysée au temps du général de Gaulle, les arcanes des services de renseignement et la gestion des cabinets de Jacques Chirac, Michel Roussin a connu tous les méandres de l’État, sa grandeur mais plus souvent ses servitudes. Formé par la gendarmerie, il a exécuté au mieux les missions diverses qui lui ont été confiées, sans perdre son quant-à-soi, en sachant se taire et assumer des conséquences – y compris judiciaires – que d’autres, sans doute, auraient pu assumer à sa place. Aujourd’hui, « le gendarme de Chirac » parle après avoir, en dépit de pressions, décidé de faire appel du jugement qui le condamne dans l’affaire dite « des marchés de la région île-de-France ». Il estime venu le moment de faire le point.
Jusqu’au bout de l’Algérie française
Le 11 mars 1963, le lieutenant-colonel Jean Bastien-Thiry, trente-cinq ans, polytechnicien, ingénieur en chef de l'air, issu d'une famille appartenant à la grande bourgeoisie lorraine, est fusillé pour avoir voulu supprimer le président de la République française, le général de Gaulle. L'événement est entré dans l'histoire sous le nom d'attentat du Petit-Clamart. Comment un homme, doté de profondes convictions catholiques et d'un bagage culturel supérieur, a-t-il pu en arriver là ? Grâce à de nombreux documents inédits, notamment les souvenirs de Jacques Cantelaube, directeur de la sécurité du général de Gaulle et contrôleur général de la police, les lettres de Geneviève Bastien-Thiry, les procès-verbaux d'interrogatoire de l'inculpé, le dossier d'instruction et de police de l'affaire, Jean-Pax Méfret apporte de nombreuses et stupéfiantes révélations.
À travers le destin de Nicolas, jeune aristocrate idéaliste, Gilles Cosson nous fait partager le drame de la Révolution russe, de l’entre-deux guerres et de la montée du nazisme. Un roman d’apprentissage qui, en trois grandes étapes. Dans la tourmente rouge nous plonge dans la convulsion de l’Europe en proie aux dictatures. Gilles Cosson, non sans panache, prouve que la Révolution russe peut à nouveau donner lieu à de beaux dégagements romanesques, avec ce qui convient de larmes, de sang et d’amour, d’histoire bien documentée aussi.
L’impossible défaite
Il avait tout pour gagner : un bilan respecté, une crédibilité reconnue, un adversaire affaibli. En soixante jours de campagne électorale, Lionel Jospin a pourtant tout perdu. Et son échec a provoqué le plus grand séisme politique et institutionnel de la Cinquième République. Que s’est-il passé ? L’impossible défaite est d’abord le récit d’une aventure électorale ratée, vécue de l’intérieur au plus près de ses animateurs. Denis Pingaud a eu un accès privilégié au cœur des réunions et des décisions qui, de juin 2001 à avril 2002, ont conduit à cette défaite historique. L’impossible défaite est aussi l’analyse d’une responsabilité. Celle d’une gauche de gouvernement qui n’a pas compris que la fracture sociale, la vraie, oppose désormais la France d’en haut à la France d’en bas.
Bien des hivers ont passé sur le Royaume du Nord. Sur les rives glacées de l’Harricana, les cités pionnières ne sont plus que villes fantômes. Labrèche reste seul désormais, gardien obstiné de cette terre. Seul avec son cheval, dernier témoin de sa solitude et de son labeur harassant. L’irréductible maudit les déserteurs, amis, voisins, enfants, tous enfuis vers ces grandes métropoles de bureaucrates et de mécaniciens. Mais pourquoi s’écharne-t-il ainsi ? Pourquoi, dans ses rêves et ses hallucinations, feint-il de croire que la vallée vit encore ? Est-ce folie, est-ce prescience ? Labrèche sait qu’un jour, ils reviendront et que l’angélus sonnera à nouveau au clocher de Val Cadieu.
Qumran
Le vol d'un des précieux manuscrits de la mer Morte, découverts en 1947 dans les grottes de Qumran, précipite Ary, jeune juif religieux, fils d'un archéologue israélien, dans une enquête jalonnée de cadavres. De cadavres crucifiés. Ceux des savants ou des prêtres qui ont eu entre les mains un de ces manuscrits … Quels terribles secrets renferment-ils donc, pour être toujours en grande partie soustraits, cinquante ans après, à la connaissance du public et des scientifiques ? Les énigmes qui entourent la vie et la mort de Jésus ont-elles donc des enjeux susceptibles de provoquer ces meurtres atroces ? Avec ce récit érudit et palpitant, dont l'intrigue se joue sur deux mille ans de l'histoire humaine, Eliette Abécassis nous donne — à vingt-sept ans ! — un formidable thriller théologique, que ne renierait sans doute pas Umberto Eco.
Mémoires d’un adolescent clandestin
Au Venezuela, ou l'histoire commence, un adolescent de seize ans quitte son père et se rend en Espagne. Il embarque clandestinement sur un paquebot, où il se cache dans un placard à balais. Après cinq heures infernales de claustration, il gagne le pont et se mêle aux passagers. Les péripéties commencent… Au bout de quelques jours, le commandant est mis dans la confidence, inévitablement. Reinaldo, l'adolescent, continue la traversée et débarque à Santa Cruz de Tenerive. Là on ne peut lui délivrer un visa. Il travaille pour pouvoir payer son voyage vers l'Espagne. En reprenant le bateau, il rencontre une riche veuve espagnole mystique et masochiste. Elle le prendra en charge en arrivant à Cadix. Mais Reinaldo voyage vers un but précis. Et sa traversée est semée d'histoires où il fera la découverte de nombreuses expériences sexuelles très insolites.
Blanc comme neige
Tout à commencé par un simple coup de téléphone. A 4 heures du matin et anonyme, bien sûr ! Un détraqué venait de vous coucher sur sa liste noire. Quand, enfin, vous réalisez ce qui vous arrive, il est déjà trop tard. Il ne vous reste plus que sept jours à vivre… et le temps tourne à la neige.
En Gaule pendant la paix romaine
Après les campagnes de César, la Gaule pacifiée connaît, pour la première fois, l'unité politique et administrative. Pendant plus de trois siècles, dans la paix et la prospérité, deux peuples, deux styles de vie, vont s'associer, fusionner même, sans pour autant perdre leur caractère propre, et créer ainsi une civilisation originale dont nous sommes les héritiers. Partout les villes se construisent, des monuments s'élèvent et, la verve gauloise venant revigorer le classicisme latin, un art nouveau apparaît, puissant et humain, souvent presque familier, car il puise son inspiration dans les scènes de la vie quotidienne. C'est cette vie de chaque jour que Paul-Marie Duval nous fait connaître, nous entraînant aussi bien dans les villes que dans les campagnes, chez les riches ou chez les pauvres, les intellectuels ou les artisans, les paysans ou les esclaves. Tout un monde surgit. Il a la France pour cadre et nos ancêtres pour peuple.
Erwin Rommel
Erwin Rommel est le plus connu des généraux allemands de la Seconde Guerre mondiale. Plus de soixante ans après sa mort, il personnifie encore le soldat allemand exemplaire, qui inspire le respect aussi bien pour sa formidable maîtrise de l’art de la guerre que pour s’être montré réservé avec le régime nazi. Or, à la lumière des archives et notamment des correspondances privées de Rommel, comme des rapports officiels, Benoît Lemay remet en question cette image apologétique. En réalité, Rommel a été un partisan convaincu du Führer qui lui est resté fidèle jusqu’à la fin et sa gloire est redevable en partie à la propagande nazie qui en a fait un « dieu de la guerre » issu du peuple. Mais cela n’aurait pas suffi à faire du « Renard du désert » un héros capable d’inspirer Hollywood : l’adversaire britannique a contribué presque autant à la fabrication du « mythe Rommel ».
Alexandre III – Le Tsar des neiges
Quand, en 1881, Alexandre III succède à Alexandre II, qui vient d’être assassiné, c’est un jeune homme traumatisé et donc peu enclin aux réformes qui arrive au pouvoir. Persuadé que le libéralisme de son père a fait le lit de la violence, Alexandre III va s’employer à restaurer l’autocratie dans toute sa rigueur. S’il laisse le souvenir d’un esprit étroit, il a cependant à son actif la création du chemin de fer qui traverse les grandes plaines russes jusqu’aux neiges sibériennes, de même qu’une gestion habile de la politique extérieure après avoir détaché la Russie de ses alliances avec l’Allemagne, il œuvre au rapprochement avec la France. Au centre d’une époque troublée, cet être assez fruste, qui fut l’avant-dernier tsar de Russie, apparaît, grâce à la plume d’Henri Troyat, dans toutes ses contradictions.
Sans aucun remords – Tome I et II
John Kelly, l’as des commandos de plongeurs de la guerre du Vietnam, a voulu décrocher, mais la violence le poursuit. Pam, la jeune fille qu’il tentait de soustraire à la drogue, a été sauvagement assassinée par un réseau de dealers. Et presque dans le même temps, le pentagone lui demande de récupérer des pilotes américains toujours détenus dans un camp nord-vietnamien.Deux affaires moins distinctes que ne le pense Kelly, qui devra apprendre à reconnaître ses ennemis avant d’agir… sans aucun remords. L’auteur d’Octobre rouge et de Danger immédiat – sans doute le seul romancier que la Maison Blanche et le Kremlin aient soupçonné d’avoir découvert des secrets d’états – nous entraîne une fois de plus dans une affaire hallucinante de réalisme, où les séquelles de la guerre, le marché de la drogue et ses ravages, les rouages les plus secrets du pouvoir sont impitoyablement démonté
Une journée d’Ivan Denissovitch
En 1962, pour qu'Une joumée d'Ivan Denissovitch pût être publiée en URSS, Soljenitsyne avait dû consentir à des coupures et, par endroits, remanier le texte original. Voici la version intégrale de ce roman si profondément, si tragiquement russe et qui, cependant, fait maintenant partie du patrimoine mondial de la culture. Vingt ans ont passé depuis qu'il a vu le jour. Des oeuvres monumentales ont succédé à ce joyau : le Premier Cercle, le Pavillon des cancéreux, Août Quatorze et ce requiem colossal qu'est l'Archipel du Goulag ; pourtant, c'est toujours Ivan Denissovitch qui revient le premier à la mémoire dès qu'on nomme Soljenitsyne. Récit, dans sa version intégrale, de la douloureuse expérience du maçon Denissovitch dans le camp Solovetski. Cette description crue du goulag a fait sensation dès sa parution.
Le Vol du Frelon
Juin 1941. Le ciel appartient à Hitler. La plupart des bombardiers anglais tombent sous le feu ennemi. Comme si la Luftwaffe parvenait à détecter les avions… Les Allemands auraient-ils doublé les Anglais dans la mise au point de ce nouvel outil stratégique : le radar ? Winston Churchill, très préoccupé par la situation, demande à ses meilleurs agents d’éclaircir la situation, et de diriger leur enquête vers le Danemark, lieu probable du positionnement de l’engin. Harald, jeune Danois de dix-huit ans décidé à se battre contre l’occupant germanique, a découvert sur la base allemande de son île une drôle de machine. Sa découverte pourrait inverser le cours de la guerre. Mais à qui la révéler ? À qui peut-il faire confiance ? Harald en sait trop, il risque la mort. À bord du Frelon, son biplan de fortune, il va jouer sa vie pour transmettre son brûlant secret.
La Mafia des cités
Au-delà de la fumée des émeutes ou des crimes du » gang des barbares « , ce livre s'attache à cerner le vrai visage de la criminalité issue des banlieues. Polyvalente, multicarte, violente, armée et très organisée : comment fonctionne cette pègre des cités, cette petite minorité qui règne sur les sanctuaires du trafic de stupéfiants, de voitures ou d'armes, les hauts lieux du vol et du braquage ? En quelques années, les petits délinquants sont devenus des voyous professionnels. Quels sont leurs nouveaux trafics et leurs territoires ? Comment fonctionne cette économie souterraine ? Organisation des bandes, mise en coupe réglée des quartiers, blanchiment, relation avec le grand banditisme traditionnel, mainmise sur les prisons autant de thèmes qui permettent de cerner le profil de ce nouveau milieu. Aux côtés des voyous à l'ancienne, il faut maintenant compter avec les caïds des cités des banlieues parisienne, marseillaise, lyonnaise, mais aussi toulousaine, lilloise, bordelaise, strasbourgeoise.
Paul Ier – Le Tsar mal aimé
« Fils présumé de Pierre III et de Catherine la Grande, Paul Ier (1754-1801) éprouve durant son règne, bref et calamiteux, l’irrésistible besoin de déplaire, comme d’autres éprouvent le besoin de séduire. Appelé à diriger la Russie, il n’a que dédain pour les Russes, leur langue et leurs traditions, alors qu’il proclame à tous son admiration sans bornes pour les disciplines et les mœurs prussiennes. Soumis dès ses plus jeunes années à une mère dominatrice, il la prend en haine, à la fois pour son despotisme familial, pour sa vie dissolue et pour les soupçons qui pèsent sur elle depuis la mort étrange de son mari. Mégalomane incapable de contrôler ses plus folles impulsions et trouvant autant de satisfaction à châtier qu’à récompenser sans motif pour surprendre son entourage, il a gardé dans son âge mûr l’insanité, la cruauté et l’irresponsabilité de son enfance.
Le grand soir
Illustre et décrié, vieillissant et proscrit, Gustave Courbet croise un soir à Genève une prostituée, Mona, en qui il croit reconnaître une amante de jadis, la belle Jo – celle qui donna naissance à L'Origine du monde, l'oeuvre maîtresse de sa peinture… Mona n'est pas Jo, mais qu'importe : ivre d'amertume et de solitude, devant cette femme de hasard, le temps d'une nuit Gustave Courbet se raconte, laisse déferler ses utopies et ses désillusions, sa colère et sa honte, son égoïsme, ses échecs, la tempête de ses passions. Car il aura mis à peindre, à jouir ou à lutter, toute la puissance de sa nature, toute la véhémence de sa révolte – lui, l'artiste libertaire, l'ami du peuple, le communard – compagnon de Proudhon, camarade de Vallès… Mona l'écoute, soudain se cabre – la Commune de Paris ? Pour l'avoir vécue, elle a beaucoup à en dire. N'y a-t-elle pas perdu son père et ses frères ?
Les frères moraves
Septembre 1982. Un jésuite de soixante-dix ans, le père Anselme Bouchard, astrophysicien de renommée mondiale, achève une campagne d’études à l’observatoire de Mauna Kea, aux îles Hawaii. Il a consacré à la recherche fondamentale une vie toute de réclusion et d’austérité qui lui a donné la réputation d’un être hautain et solitaire.En cette dernière nuit qu’il doit passer dans sa coupole isolée à plus de quatre mille mètres, le cours de son existence va pour-tant changer totalement. Il devient en effet, à son insu, l’objet d’une machination qui l’entraînera peu à peu dans une situation qu’il ne maîtrisera plus, vers des domaines qu’il avait toujours voulu ignorer, où règnent le dérèglement…
L’aigle de Sibérie
L’aigle de Sibérie est le seul oiseau de proie au monde capable de chasser les loups, C’est aussi le surnom du plus redoutable homme de main de Staline : Petrov. En avril 1945, à la tête d’un groupe d’opérations spéciales, Petrov est lancé à la poursuite d’un mystérieux personnage, Herr Wolf, le Loup, que le colonel SS Brumm a sauvé du bunker où Hitler et Eva Braun étaient censés s’être donné la mort. Dans une Allemagne en pleine tourmente, où se bousculent anciens nazis, agents secrets, prêtres aidant dans leur fuite les dignitaires du IIIe Reich, chasseurs et gibier engagent une poursuite mortelle… Diaboliquement conduite, fondée sur des données historiques rigoureuses, cette traque constitue un véritable morceau d’anthologie, à classer auprès des plus grands thrillers.
Cinq-mars
1640 : un procès de sorcellerie. Un bûcher. Un complot. Louis XIII défaillant d’amour, de culpabilité et de haine devant son jeune et gracieux favori. Richelieu remontant le Rhône dans un bateau tapissé de velours cramoisi qui traîne derrière lui l’embarcation où Cinq-Mars et de Thou enchaînés sont conduits au supplice : leur mort signifiera la fin de la vieille noblesse écrasée par le pouvoir et la raison d’Etat. Dans la foulée de Walter Scott et en attendant Dumas, Cinq-Mars est le premier en date, le plus dramatique et sans doute le plus réussi des romans historiques français.
Le piège de Bogota
L'auteur de L'Année du dragon et du Prince de New York, grands succès en librairie comme au cinéma, nous entraîne en Colombie sur les traces du cartel de Medellin. Ray Douglas, qui lutte contre la drogue dans l'enfer new-yorkais, n'a rien d'un flic orthodoxe : veuf, solitaire, résolu, ses méthodes jugées « dérangeantes » en haut lieu lui valent d'être expédié en Colombie pour aider l'antenne locale de la « Drug Enforcement Agency. » Dans Bogota étouffante, populeuse et violente, il rencontre Jane Fox, journaliste intrépide qui a préféré à un mari et à une vie paisible la chasse aux reportages choc. Entre ces deux déracinés va naître une passion renforcée par un combat commun. Jusqu'à ce que se referme sur eux le piège de Bogota…
Boule de suif
Pendant l'hiver, 1870-71, durant la guerre franco-prussienne, la ville de Rouen (Normandie) est envahie par les Prussiens. Pour fuir l'occupation, dix personnes prennent la diligence de Dieppe : un couple de commerçants, un couple de bourgeois, un couple de nobles, deux religieuses, un démocrate et enfin la jeune Boule de suif.
Jusqu’au bout du Sentier
Milieu des années 80 : Myriam Sitbon débarque du Maroc à Paris. Dans l'effervescence du Sentier, elle trouve des parents, des amis, l'homme de sa vie et la chaleur d'une communauté qui lui font oublier l'exil. La petite Juive de Casablanca se sent chez elle dans cette ruche extraordinaire agitée par les révolutions de la mode et se lance avec succès dans l'aventure de la confection et des magasins de cuir. Mais son itinéraire va l'entraîner un jour dans un monde de violence, d'extorsions, de chantage qu'elle ne soupçonnait pas. Prise dans la » rafle » de novembre 2000, elle se retrouve à Fleury-Mérogis. C'est dans sa cellule qu'elle a entrepris la rédaction de ce récit. Il nous initie aux trafics quotidiens, aux secrets des » petits chèques « , aux entourloupes d'un microcosme méconnu, mais aussi à ses espoirs toujours renaissants, ses défis sans cesse relevés, sa puissance de travail, sa générosité, son humour, et ses fêtes luxuriantes.
Fontbrune
Adeline Gontier naît en 1806. Orpheline à l’âge de trois ans, elle sera élevée par sa grand-mère et son oncle. Elie, à Fontbrune, au c?ur du Périgord noir. Sans dot, son avenir paraît bien incertain…. Mais Adeline est riche d’une excellent nature : énergique, audacieuse, pleine de bon sens, adorant la vie et dotée d’un tempérament de feu. Quelle gaillarde ! Entre semailles, moissons, vendanges, dans une odeur de champignons et de bruyères, au pays des sorciers et des ripailles, où règnent la patience, la ruse et le secret, mais où on a la langue leste et le rire large, Adeline sera aimée et aimera passionnément, avec violence, mais aussi avec une tendresse rare. A travers sa belle héroïne, ses nombreux personnages Fontbrune est un grand roman historique qui brosse un tableau passionnant de la France provinciale au lendemain de l’épopée napoléonienne.
La mise à mort de Jean-Edern Hallier
La mise à mort de Jean-Edern Hallier est un livre effrayant. Un livre si stupéfiant par ses implications que l’on se surprend à penser : ai-je vraiment vécu dans cette France-là, dans cette République-là, sous la présidence de cet homme-là ? C’est la face obscure du mitterrandisme qui est ici dévoilée, et sous un jour insoupçonné. Tombé dans le piège obsessionnel tendu par un écrivain fantasque et talentueux, le président de la République, dont les secrets accumulés depuis des décennies constituent et l’armure et le talon d’Achille, met en place un système de persécution dont on découvre ici l’extravagante ampleur.Nous connaissions déjà le passé et les amitiés troubles de François Mitterrand, président romanesque et dissimulateur. Nous n’ignorions pas que cet «aventurier sans principes et sans scrupules», dixit Jacques Chirac, aimait à confondre vie publique et vie privée.
Le Harem
El Haram. Sanctuaire inviolable, mystère interdit à l’infidèle. Du Bordelais où elle découvre l’Orient à travers des photos, Gabrielle ira jusqu’au désert en fleurs, au cœur de l’Islam, pour retrouver cette merveille de bassins et de verdure, les jardins du harem. Royaume interdit à l’image des amours de Gabrielle. Impossible liberté qui s’enferme dans un bonheur sans issue. Entre Igor et Gabrielle, ce fut le coup de foudre. Avec Perle, la passion comme une escapade. Pour tous les trois l’éblouissement, la lumière de l’amour partagé… Gabrielle, Igor et Perle… Pour ne pas se faire de mal, il leur a certes fallu du génie ! Ou de l’amour tout simplement. Amours défendues, dont il faudra payer le prix… Un roman dont la puissance d’évocation n’a d’égal que la volupté des mots.
Le cas Wallenberg
Raoul Wallenberg, né le 4 août 1912 près de Stockholm, et dont la date de décès reste incertaine, est un diplomate suédois. Héritier de l’empire industriel et financier de la famille Wallenberg, il a mené une carrière d’homme d’affaires dans plusieurs pays avant d’être envoyé à Budapest pendant la Seconde Guerre mondiale. Il bénéficiait d’un statut de diplomate, avec pour mission de contribuer à sauver les Juifs de Hongrie. Il utilisa la possibilité de délivrer des passeports temporaires déclarant que leurs possesseurs étaient des citoyens suédois en attente de rapatriement. Il négocia également avec des officiels nazis, comme Adolf Eichmann, afin d’obtenir l’annulation de déportations. Wallenberg sauva ainsi environ 20’000 Juifs. Il fut arrêté le 17 janvier 1945 par l’Armée rouge, probablement soupçonné d’être un espion à la solde des États-Unis. Ce qui lui arriva ensuite n’est pas connu. Selon la version officielle des Soviétiques, il serait mort en 1947, d’une crise cardiaque pendant sa captivité, mais des témoins ont affirmé l’avoir vu vivant dans les prisons de Russie ou de Sibérie jusque dans les années 1980.
Le Boucher
Une jeune étudiante aux beaux-arts, anorexique et vierge, fantasme sur son boucher. Il lui susurre les mots interdits et elle jouit en attendant l’amour et son dépucelage. Ce premier roman, récompensé par le prix Pierre Louÿs, conféra immédiatement à son auteur une place parmi les grands noms de la littérature érotique. La plume d’Alina Reyes fascine tour à tour par sa précision, sa poésie et son animalité.
La stagiaire et le Mammouth
Reçue du premier coup à l’agrégation d’anglais, Lucie Hart souhaite exercer le plus beau métier du monde. Or, péché originel, elle vient du privé et n’a plus vingt ans. La voilà qui entre en formation à l’IUFM et en stage dans le meilleur lycée de Paris. Mais elle n’a pas la tête de l’emploi : trop bobo, trop diplômée, trop tout… Bref, l’année se passe mal pour la Stagiaire qui est conviée à redoubler. Cette fois, bingo, c’est dans le lycée le plus difficile de l’académie, 1867 sur 1871 au classement national. Le nez dans le guidon, les pieds dans un panier de crabes, la Stagiaire angoisse mais elle a de l’humour. Aucune amertume contre ses élèves qui pourtant lui inspirent des morceaux d’anthologie. Infiltrée malgré elle, elle s’accroche à sa vocation pour le meilleur et pour le pire. Le suspense reste entier : sera-t-elle titularisée ou remerciée pour finir ? Car, en cette nouvelle rentrée, la fiancée du Mammouth doit tripler !