
Valérie Valère : Malika ou un jour comme tous les autres
Eric Ambler : L’héritage Schirmer
Catherine Paysan : Le clown de la rue Montorgueil
Norman Katkov : A cœur ouvert
Stephen Becker : Le Chan aux yeux bleus
Susan Howatch : Passion noire
Christopher Andersen : Sweet Caroline ou la mémoire de Kennedy
Hervé Bazin : Le démon de minuit
Irwin Shaw : Le riche et le pauvre
Madeleine Chapsal : Une femme heureuse
Chroniques du temps passé
1093 pages
Les Pérégrines
Les Compagnons d’éternité
La Dame de Beauté
Les Amours blessés
Qu’il s’agisse de roman ou d’histoire – mais les deux se mêlent ici intimement-, les héroïnes de Jeanne Bourin sont avant tout femmes de leur temps. Comme ces Pérégrines qui répondirent, à l’aube de notre millénaire, à l’appel du pape Urbain II pour libérer le tombeau du Christ à Jérusalem, et que rien ne fit reculer, ni les marches épuisantes, ni la faim, ni la maladie, ni la violence des combats. Comme Agnès Sorel, la belle maîtresse de Charles VII, qui incarnera au Xve siècle la dualité de son époque, encore médiévale par sa foi et sa gaieté, déjà moderne par sa manière d’éloigner Dieu de la vie quotidienne. Ou comme Cassandre Salviati, la fille d’un riche banquier, florentin, qui s’adapte naître la passion de Pierre de Ronsard, Poète de la Renaissance. Leurs espoirs, leurs défaites, leurs victoires se mêlent au bruit et à la fureur du monde. A leur suite revivent ici de pans entiers de notre histoire. Ces Chroniques du temps passé, du Moyen Age à la Renaissance constituent, après Chroniques médiévales, le deuxième volume de l’œuvre de Jeanne Bourin chez Omnibus.
Abécédaire de la bêtise ambiante
Dédié à Jean-Pierre Chevènement et aux petites gens bernés en permanence, ce livre analyse, à travers 120 textes polémiques et brefs, la lente dérive de l’universalisme républicain issu de la Révolution de 1789, vers cet agglomérat de communautarismes revendicatifs et de narcissismes hostiles qui constituent aujourd’hui la société française. Présenté sous forme d’abécédaire, l’ouvrage s’attaque à différentes dérives qui, selon l’auteur, menacent l’unité républicaine.
La vie à l’épreuve du temps
Catherine Bergeret-Amselek explore depuis plusieurs années les crises maturatives que nous traversons, en vacillant parfois fortement, à chaque entrée dans un nouvel âge de la vie. La vie à l’épreuve du temps propose un regard nouveau sur le grand âge qui tient compte des âges précédents. Et si, contrairement aux idées reçues, un travail analytique pouvait être fructueux après 70 ans ? Qu’en est-il de la sexualité, de la créativité dans la deuxième partie de la vie ? À condition d’assumer les pertes, les renoncements et les deuils en cours, sénescence peut être une étape fondamentale pour se réaliser pleinement. L’auteur nous fait entrer dans les coulisses de la scène analytique, dévoilant sa pratique atypique avec les personnes âgées, mais aussi ses doutes et ses questionnements. On s’aperçoit qu’au crépuscule, la lumière peut être aussi vive qu’à l’aube pour éclairer le temps qui reste. Catherine Bergeret-Amselek est psychanalyste, membre de la Société de psychanalyse freudienne où elle anime un séminaire sur les âges de la vie. Elle a publié notamment Le mystère des mères et La Femme en crise, aux éditions Desclée de Brouwer.
La saison de l’ombre
Si leurs fils ne sont jamais retrouvés, si le ngambi ne révèle pas ce qui leur est arrivé, on ne racontera pas le chagrin de ces mères. La communauté oubliera les dix jeunes initiés, les deux hommes d’âge mûr, évaporés dans l’air au cours du grand incendie. Du feu lui-même, on ne dira plus rien. Qui goûte le souvenir des défaites ? » Nous sommes en Afrique sub-saharienne, quelque part à l’intérieur des terres, dans le clan Mulungo. Les fils aînés ont disparu, leurs mères sont regroupées à l’écart. Quel malheur vient de s’abattre sur le village ? Où sont les garçons ? Au cours d’une quête initiatique et périlleuse, les émissaire du clan, le chef Mukano, et trois mères courageuses, vont comprendre que leurs voisins, les BWele, les ont capturés et vendus aux étrangers venus du Nord par les eaux. Dans ce roman puissant, Léonora Miano revient sur la traite négrière pour faire entendre la voix de celles et ceux à qui elle a volé un être cher. L’histoire de l’Afrique sub-saharienne s’y drape dans une prose magnifique et mystérieuse, imprégnée du mysticisme, de croyances, et de « l’obligation d’inventer pour survivre.
54 Contes d’Afrique (Partie 1) – Livre neuf
LIVRE NEUF EN DEPOT-VENTE / ULTIMES GRIOTS
« 54 Contes d’Afrique » propose une étonnante collection d’histoires qui couvrent l’intégralité du continent africain, des dunes de sable du Nord aux jungles luxuriantes de la région centrale. Chaque récit donne vie aux riches traditions de narration qui ont été transmises de génération en génération, avec un casting dynamique de personnages, des animaux parlants aux êtres mythiques, chacun partageant une sagesse intemporelle et des leçons de vie.
Avec chaque histoire, votre enfant va :
Acquérir une connaissance culturelle : Présentez à votre enfant les cultures, les langues et les enseignements moraux dynamiques des nations africaines, favorisant une perspective mondiale et une empathie culturelle.
Développer le raisonnement moral : Les contes sont imprégnés de dilemmes et de résolutions éthiques qui encouragent les jeunes esprits à réfléchir de manière critique au bien et au mal.
Stimuler l’imagination : Les éléments fantastiques et les descriptions riches stimuleront l’imagination, encourageant la créativité et l’amour de la narration.
Chérir l’héritage culturel : Spécialement pour les enfants de la diaspora africaine, ces contes servent de pont vers leur héritage ancestral, offrant un sentiment de fierté et d’appartenance à travers les histoires chéries de leurs ancêtres.
Parfait pour la lecture à voix haute ou pour que les enfants plus âgés lisent de manière indépendante, ce livre est conçu pour être une passerelle vers des discussions sur les valeurs, les décisions et les conséquences qui en découlent. « 54 Contes d’Afrique » n’est pas seulement un livre ; c’est un outil pédagogique qui divertit tout en enseignant, ce qui en fait un ajout précieux à la bibliothèque de tout enfant.
27 pays : Kenya, Maurice, Ethiopie, Ouganda, Soudan, Somalie, Tanzanie, Angola, Mozambique, Afrique du Sud, Zimbabwe, Algérie, Egypte, Tunisie, Guinée Equatoriale, Cameroun, Burundi, Congo Brazzaville, Congo Kinshasa, Ghana, Mali, Bénin, Sierra Leone, Burkina Faso, Côte-d’Ivoire, Guinée-Bissau, Nigéria
54 Contes d’Afrique (Partie 2) – Livre neuf
LIVRE NEUF EN DEPOT-VENTE / ULTIMES GRIOTS
« 54 Contes d’Afrique » propose une étonnante collection d’histoires qui couvrent l’intégralité du continent africain, des dunes de sable du Nord aux jungles luxuriantes de la région centrale. Chaque récit donne vie aux riches traditions de narration qui ont été transmises de génération en génération, avec un casting dynamique de personnages, des animaux parlants aux êtres mythiques, chacun partageant une sagesse intemporelle et des leçons de vie.
Avec chaque histoire, votre enfant va :
Acquérir une connaissance culturelle : Présentez à votre enfant les cultures, les langues et les enseignements moraux dynamiques des nations africaines, favorisant une perspective mondiale et une empathie culturelle.
Développer le raisonnement moral : Les contes sont imprégnés de dilemmes et de résolutions éthiques qui encouragent les jeunes esprits à réfléchir de manière critique au bien et au mal.
Stimuler l’imagination : Les éléments fantastiques et les descriptions riches stimuleront l’imagination, encourageant la créativité et l’amour de la narration.
Chérir l’héritage culturel : Spécialement pour les enfants de la diaspora africaine, ces contes servent de pont vers leur héritage ancestral, offrant un sentiment de fierté et d’appartenance à travers les histoires chéries de leurs ancêtres.
Parfait pour la lecture à voix haute ou pour que les enfants plus âgés lisent de manière indépendante, ce livre est conçu pour être une passerelle vers des discussions sur les valeurs, les décisions et les conséquences qui en découlent. « 54 Contes d’Afrique » n’est pas seulement un livre ; c’est un outil pédagogique qui divertit tout en enseignant, ce qui en fait un ajout précieux à la bibliothèque de tout enfant.
27 pays : Djibouti, Érythrée, Soudan du Sud, Rwanda, Seychelles, Botswana, Comores, Eswatini, Lesotho, Madagascar, Malawi, Namibie, Zambie,
Libye, Maroc, Mauritanie, Centrafrique, Gabon, Sao Tomé et Principe, Tchad, Cap-Vert, Gambie, Libéria, Niger, Sénégal, Guinée, Togo
L’autre qu’on adorait
“Quand tu penses à ce qui t’arrive, tu as l’impression de te retrouver en plein David Lynch. Blue Velvet, Twin Peaks. Une ville universitaire, le cadavre d’un garçon de vingt ans, la drogue, la police, une ravissante étudiante, une histoire d’amour entre elle et son professeur deux fois plus âgé : il y a toute la matière pour un scénario formidable. Ce n’est pas un film. L’autre qu’on adorait fait revivre Thomas, un homme d’une vitalité exubérante qui fut l’amant, puis le proche ami de la narratrice, et qui s’est suicidé à trente-neuf ans aux États-Unis. Ce douzième roman de Catherine Cusset, où l’on retrouve l’intensité psychologique, le style serré et le rythme rapide qui ont fait le succès du Problème avec Jane, de La haine de la famille et d’Un brillant avenir, déroule avec une rare empathie la mécanique implacable d’une descente aux enfers.
Jeu Le Monde – Jouez et faites la Une !
600 questions sur l’actualité de 19454 à nos jours servies sur un plateau.
Intégrez la rédaction du Monde ! Lancez le dé, progressez sur le “plateau de la salle de rédaction” et mettez à l’épreuve vos connaissances, votre curiosité et votre ouverture d’esprit pour être le premier à faire la Une !
Un jeu inédit, à la fois culturel, enrichissant et divertissant, avec un partenaire prestigieux, celui du quotidien Le Monde !
Obtenez d’abord votre carte de presse, puis, au gré des coups de dés, progressez sur le plateau et répondez correctement aux questions des six rubriques : politique et société, international,économie, sport, culture – art de vivre et mode, sciences et environnement. Surmontez les obstacles scoops et ratages, couvrez un maximum de rubriques, arrivez à temps pour le bouclage et soyez le premier à décrocher la Une du quotidien !
Le matériel : un plateau de jeu – 8 pions-cartes de presse, 50 cartes ” scoop ” ou ” ratage “, 100 fiches questions, un livret pour la règle du jeu et les réponses, 60 jetons rubriques.
Le but du jeu : après un parcours culturel et ponctus des imprévus du métier de journaliste, il s’agit d’arriver le premier sur la case ” arrivée ” doté de ses 6 jetons (un par rubrique).
Jean-Godefroy Bidima nous propose ici d’envisager l’espace public via la pratique de la palabre. Pour ce faire, il nous faut d’abord cesser de croire en la résolution possible de tous les conflits. Pour Bidima, placer la palabre comme clef de voûte de l’institution politique, c’est l’envisager au sens “agonistique” (agôn : la lutte en grec). Il s’agira donc d’une palabre engagée dans la prise en charge des différends. Il nous faudra par ailleurs renoncer au mythe de l’unité nationale, toujours imposée par la violence. Sortir de la perpétuelle référence à une figure transcendante de l’unité reviendrait à mettre en péril des idéaux omniprésents : ceux de nation, de nature consensuelle des sociétés traditionnelles en Afrique ou d’irréfutabilité des valeurs religieuses. Pour faire advenir et exister la conscience de l’altérité dans la pratique politique, il faut envisager “le soi” comme divisé. Briser l’homogénéité d’une personnalité qui se représente à elle-même au travers de fictions telles que les concepts d’autonomie et d’atemporalité. Ainsi pourrons-nous, peut-être, sortir de ce que Bidima nomme la “victimologie” sous-jacente aux discours identitaires. Discours d’ordre économique (obsession d’une reconnaissance par les pays du Nord qui passe par la soumission aux modèles qu’ils imposent), intellectuel (la “négritude” comme figure inversée du complexe inoculé par le colonialisme) ou politique (l’incapacité d’aborder la question de l’espace public en dehors d’une réflexion logique sur le fonctionnement des institutions). Pourtant Bidima se réfère à la tradition philosophique occidentale. Il cite Aristote, Kant, Foucault, Ricoeur…et nourrit son ppos de récents travaux sociologiques et anthropologiques sur l’Afrique qui montrent la richesse des pratiques africaines dans le domaine juridique. Position ambitieuse ? Paradoxale ? On peut lire dans l’introduction de cette “Palabre” : “Ceux qui ont trop magnifié le droit en reviennent à la médiation informelle, tandis que ceux qui la pratiquaient spontanément dans leur propre tradition veulent tout codifier par un droit rigide d’importation : ainsi va le monde”.
Petite philosophie de l’amour
Il y avait une chance sur 5 840,82 qu’ils se rencontrent. Une probabilité plus incertaine encore qu’il tombe amoureux d’elle et qu’elle réponde à son amour. Et pourtant, c’est arrivé ! Chloé est entrée dans sa vie un mercredi de décembre à onze heures trente précises à bord du vol British Airways Paris-Londres de dix heures quarante-cinq. C’est ainsi qu’a commencé la plus exquise des romances. Une romance narrée par un jeune homme féru de littérature et de philosophie, qui fait appel à Montaigne, Pascal, Emma Bovary, Nietzsche, Freud, Marx (Groucho et Karl)… et bien d’autres pour commenter le déroulement de leur idylle. Il nous livre ses réflexions enthousiastes, ironiques ou désenchantées et, pour notre plus grand amusement, compose un véritable traité de l’amour en Occident aujourd’hui. “Drôle et habile, dans la lignée de Calvino, ce roman annonce l’arrivée d’un talent nouveau, aussi inventif que facétieux.”
Un amour
Antonio Dorigo, cinquante ans, est tombé follement amoureux de Laïde, petite call-girl de vingt ans. Ce n’était pas une question charnelle, c’était d’une sorcellerie plus profonde, comme si un nouveau destin, auquel il n’avait jamais pensé, l’appelait, lui Antonio, et le traînait progressivement, avec une irrésistible violence, vers des lendemains ignorés et ténébreux. Et de quelque côté qu’on la regardât, la situation ne laissait entrevoir aucune issue possible. Rien d’autre ne pouvait l’attendre que rage, humiliation, jalousies et soucis éternels. Antonio va se débattre ; il lui faudra deux années d’enfer pour se rendre compte et s’avouer qu’il a perdu la bataille.
Totems du temps – Livre neuf
LIVRE NEUF – Radwane Saheli fait partie de ces écrivains dont l’assemblage des mots et des maux dessine une palette de couleurs poétiques, inaltérables par le temps. Malgré les empreintes et les sillages de ce dernier, le poète manie avec une dextérité singulière l’art d’aller aux essentiels de la vie, en toute universalité. Sang et culture mêlés, sensualité, vérités immuables, douleurs, douceur. Un souffle poétique singulier et brûlant qui vous tiendra hors d’haleine dans ce troisième recueil de poésie qu’il signe ici. Une fois la sonorité lyrique quelque peu dissipée, ses mots résonneront longtemps dans vos pensées, car son texte est une ode à l’amour, à l’envie, aux passions, et c’est avec « la langue de l’amour » qu’il s’adresse à vous.
Croc-Blanc
«Tout n’est pas liberté dans le monde», et quand ce monde est le Wild, pays farouche et terre glacée, même le loup se sent prisonnier.
Jack London, dans ce décor sauvage et cette nature hostile, nous conte l’histoire d’un louveteau qui vient petit à petit à la civilisation et se fait chien. La vie âpre des animaux sauvages et des chasseurs indiens ou blancs de l’Alaska a rarement été peinte avec autant de force et de vérité. Pour écrire ce récit, qui est devenu un classique de la littérature, Jack London s’est inspiré des souvenirs de son séjour dans le Grand Nord.
Haka
D’origine maorie, Jack Fitzgerald est devenu flic à Auckland avec l’espoir de retrouver sa femme et sa fille, mystérieusement disparues.
Secondé par une jeune criminologue tout aussi acharnée, il trouvera sur sa route une effroyable série de cadavres liés – ou non ? – à des rites ancestraux, mais surtout la vérité sur les fantômes qui le hantent…
Cherub (Tomes 1 à 15)
15 + 1 livres en très bon état. – A PARTIR DE 12 ANS
Le tome 16 est manquant et le tome 17 sera proposé seul
CHERUB est le titre générique d’une série de livres pour la jeunesse de Robert Muchamore qui racontent les aventures des agents d’une agence gouvernementale fictive du Royaume-Uni, étant uniquement composée d’agents mineurs âgés de 10 à 17 ans. Après le succès de la série originale de douze tomes où le personnage principal est James, la suite de cinq tomes raconte cette fois les aventures de Ryan, qui “succède” dans la série à James, bien que celui-ci revienne dans les derniers tomes, le 15 (Black Friday) et dans le 16 (Hors-la-loi). Dans le 17 (Commando Adams) Ryan et James se partagent le livre donc c’est en quelque sorte un mélange de la première et la deuxième saga. Tout au long de la série différents thèmes sont abordés comme l’adolescence, le deuil, l’alcool et la drogue, l’homosexualité et le sexe, mais aussi la construction identitaire.
01 – 100 jours en enfer / 02 – Trafic / 03 – Arizona Max / 04 – Chute libre / 05 – Les survivants / 06 – Sang pour sang / 07 – A la dérive / 08 – Mad dogs / 08 1/2 – Soleil noir / 09 – Crash / 10 – Le grand jour / 11 – Vandales / 12 – La vague fantôme / 13 – Le clan Aramov / 14 – L’ange gardien / 15 – Black Friday
L’étonnante vie de Jésus
Livre neuf – La vie de Jésus est présentée ici en 43 histoires. depuis l’Annonciation jusqu’à l’Ascension. Avec ses nombreux détails, ce récit est une bonne introduction à la personne de Jésus, à sa vie et à son enseignement.
Chroniques de San Francisco – Tome 1
San Francisco et sa fameuse baie, ses tramways cahotant dans les rues en pente, son pont du Golden Gate, compte désormais un monument de plus : le 28, Barbary Lane, une pension de famille tenue par la pittoresque Anna Madrigal qui materne ses locataires avec une inépuisable gentillesse. Et ils en ont tous bien besoin, car “s’il ne pleut jamais en Californie, les larmes en revanche peuvent y couler à flots”. Ils le savent bien, Mary Ann, venue de Cleveland dans cette ville qui a le don de décoincer les gens, Mona qui vient de perdre son emploi, Michael qui cherche vainement l’homme de sa vie. Né en 1944 à Washington DC, Armistead Maupin vit à San Francisco depuis 1971. C’est dans un quotidien, le San Francisco Chronicle, qu’en 1976 il a commencé à publier ses chroniques réunies plus tard en six volumes qui ont connu un succès immédiat. Parce que cette comédie humaine, pleine d’humour et de fantaisie, est surtout un plaidoyer contre l’hypocrisie et pour le respect des différences. Gérard Meudal
L’associé
Après avoir simulé sa mort accidentelle, Patrick Lanigan, un avocat brillant, s’est volatilisé avec les 90 millions de dollars destinés à ses associés. Un coup de maître que ses ennemis ne sont pas près de lui pardonner. Au bout de quatre années de cavale, il est rattrapé et torturé par ses poursuivants avant de tomber entre les mains de la justice. Tout le monde veut la peau de Patrick Lanigan, à n’importe quel prix. Mais dans son plan machiavélique, l’avocat a tout prévu… ou presque.
“T” comme tombeau
Alors qu’il n’a plus que quelques semaines à vivre, l’intrépide Gideon Crew est sous le choc. Du jour au lendemain, il est licencié par son employeur et il a une heure pour débarrasser les lieux ! Mais c’est alors qu’on lui donne un précieux indice pour déchiffrer le code de Phaistos, une tablette datant de plusieurs milliers d’années. Elle indique un lieu, à la frontière de l’Égypte et du Soudan.
Sur place, avec l’aide d’une égyptologue, il découvre un tombeau, qui pourrait bien être celui d’Akhenaton. Et si ce pharaon était le véritable auteur des dix commandements ?
Et s’il en existait un onzième ?
La cinquième et la plus dangereuse mission de Gideon Crew!
Méditer avec Petit Bambou
Le livre Méditer avec Petit Bambou est un livre qui vous accompagnera dans la méditation en toute simplicité à travers le personnage de Petit Bambou. Il se compose d’une série d’illustrations simples mais qui vous aideront à comprendre intuitivement en quoi consiste la méditation et comment l’intégrer à votre quotidien.
La bulle de savon, le vélo, la feuille qui tombe, la boule à neige, Méditer avec Petit Bambou dispose d’un catalogue ludique d’images à méditer, de petits exercices où piocher en fonctions de vos envies
Notes d’Afrique relate l’essor de la musique populaire sur le continent. Le livre couvre les évènements et les styles musicaux qui se sont développés depuis les années 60, jusqu’aux années 80 lorsque que le terme « World Music » a été inventé comme label marketing et que des musiciens africains, notamment Youssou N’Dour et ses contemporains, sont apparus sur la scène internationale, et la dominance d’Afrobeats de la période contemporaine. Jenny Cathcart nous offre, à travers son expérience personnelle et son travail aux côtés de Youssou N’Dour, des portraits et des histoires de la vie de tous les jours et leur influence sur la musique en Afrique. Il en résulte de nouvelles perspectives pour la culture contemporaine, la religion et la politique, aussi bien pour le développement que pour de futures collaborations sur le continent et dans sa diaspora.
Une bête au Paradis
Ce livre est dans un très bon état mais quelques feuilles se sont un peu détachées. Dans sa ferme isolée au bout d’un chemin de terre, appelée le Paradis, Emilienne élève seule ses deux petits-enfants, Blanche et Gabriel. Devenue adolescente, Blanche rencontre Alexandre, son premier amour. Mais, arrivé à l’âge adulte, le couple se déchire lorsqu’Alexandre, dévoré par l’ambition, exprime son désir de rejoindre la ville tandis que Blanche demeure attachée à son coin de terre.
Etonnantes histoires de la bible
Livre neuf – Tous les récits favoris de l’histoire sainte sont racontés ici, illustrés de jolies aquarelles : Noé et Jonas, Joseph et Daniel, Jésus et son Père, qui a tout inspiré… Les enfants y reviendront souvent !
Vallauris Plage
La difficulté de vivre
Bien que je sois psychanalyste, je tiens à dire d’entrée de jeu au lecteur qu’il ne trouvera pas ici un ouvrage, à proprement parler, de psychanalyse. Il y lira plutôt nombre de réflexions qui l’éveilleront, je l’espère, à la compréhension de ce que tout un chacun peut entendre, sans préparation ni connaissance particulières. J’ai toujours pensé, pour ma part, que le rôle du psychanalyste ne se limite pas à la cure proprement dite, ni à la capitalisation égoïste d’un savoir, mais s’étend, prenant racine dans son expérience de la souffrance humaine, au-delà de son cabinet et de ses concepts, à ses activités sociales et publiques, à ses interventions quotidiennes. La parole et l’écrit du psychanalyste doivent s’adresser surtout à ceux qui sont aux prises avec la vie réelle. Ses interventions doivent éveiller les adultes, les pousser à chercher la juste attitude à prendre vis-à-vis des difficultés de leurs enfants. Cette attitude vivante, toujours en éveil, à l’écoute, prête à réagir selon la vérité, peut prévenir les troubles, canaliser les échanges vers la créativité et le développement et non pas vers des impasses. Et mieux vaut prévenir que guérir.
Essai sur l’entendement humain
L’Essai sur l’entendement humain de John Locke (1632-1704) fait partie des très grands livres qui ont modelé le visage de la philosophie occidentale. Paru en 1689, l’ouvrage a été publié en traduction française en 1700. Il est au point de rencontre de deux grands siècles de philosophie : ancré dans les concepts et les débats de l’âge classique, il marque aussi un moment de rupture dans la manière de faire de la philosophie et met au jour de nouvelles questions que les auteurs du XVIIIe siècle n’auront de cesse d’explorer.
Touaregs du Niger – Le destin d’un mythe
Si la signature d’accords de paix (Niamey, 24 avril 1995) mit fin à la rébellion touarègue au Niger, le problème posé par l’insertion de cette société dans un Etat et une économie moderne ne semble pas pour autant résolu. A travers l’étude du développement de la région d’Agadès, l’auteur comprend une histoire politique et économique du pays touareg nigérien. Cette genèse met à nu les mécanismes qui ont amené l’accumulation des groupes marchands arabes, haoussas et djermas-songhaïs et ceux qui ont conduit à la marginalisation de la communauté touarègue qui n’a pas pu, ou su, s’insérer dans le nouveau tissu économique mis en place dès l’époque coloniale.
L’ouvrage, qui se défend de tout parti pris, s’efforce de souligner les terribles défis que doivent relever les Touaregs afin de mettre fin à leur situation de sous-développement. A l’aide de l’Etat nigérien et des bailleurs de fonds internationaux, un sursaut salvateur s’impose pour que cette société prenne enfin sa place dans le monde contemporain et ne devienne pas le figurant d’un merveilleux décor parcouru par des touristes avides d’exotisme. La marche de l’histoire ne l’attendra pas…
Mémoire d’une nuit d’orage
Á Rose, au Kansas, la terre est dure, séchée par le soleil, et les orages son dévastateurs. Cette nuit de 1986, c’et sur la maison des Linder que s’abat la foudre : au matin on découvre le corps de Hugh-Jay, le fils aîné, assassiné. La belle Laurie, son épouse, a disparu, laissant derrière elle leur fille Jody. Alcoolique et violent, Billy Crosby est le coupable évident.
Vingt-trois ans plus tard, le procès est révisé, et Billy sort, libre. Jody, qui avait pris soin de tenir son passé tragique à distance, voit sa vie basculer à nouveau. Mensonges, rancunes et jalousies ressurgissent, la ville s’embrase et un nouvel orage gronde…
Histoire de ma vie (G. Sand)
1680 Pages –
À 42 ans, en avril 1847, George Sand commence Histoire de ma vie dont la rédaction prendra huit ans. Somme méconnue, cet incontestable chef-d’oeuvre raconte comment Aurore Dupin est devenue écrivain sous le nom de George Sand. Mais il se présente aussi comme une quête des origines d’une modernité exceptionnelle. Sand rappelle qu’elle est arrière-petite-fille du maréchal de Saxe par son père et fille du peuple par sa mère. Avec une rare lucidité, elle analyse le “devenir soi” d’un caractère, rappelle sa petite enfance à Nohant, les conflits familiaux qui la déchirent, les tensions qui habitent une famille brisée par la mort du père, la grande mélancolie qui s’ensuit jusqu’à sa tentative de suicide à 17 ans. Si elle évoque admirablement le passé, Sand sait aussi dire le présent et l’avenir : elle expose ses vues sur le devenir de la société, le rôle de la religion, la condition des femmes. Histoire de ma vie reste un modèle de vivacité et de courage, de franchise et de détermination. George Sand fonde un genre : l’autobiographie au féminin.
L’homme terminal
Des scientifiques Américains tentent sur un être humain la première greffe d’un cerveau électronique. Une fausse manœuvre transforme en monstre le cobaye humain. Comment arrêter cette machine à tuer ? Ingénieur informaticien lui-même, Benson, atteint de troubles psychiques, s’est porté volontaire pour cette expérience qui peut faire de lui un meurtrier prédéterminé extrêmement dangereux. Nous suivons les phases de l’opération, de la fuite et de la poursuite de l’“homme terminal” comme une tragédie scientifique implacable, d’une vraisemblance absolue. Qui prendra la décision d’abattre Benson ?
La Révolution française
1064 Pages –
Avec Penser la Révolution française (1978), François Furet, en désacralisant la Révolution, en contestant une historiographie qui admettait mal la prise de distance à l’égard de l’objet, faisait oeuvre révolutionnaire. Dix ans plus tard, dans La Révolution de Turgot à Jules Ferry (1988), il remplissait ce programme iconoclaste. Et au fil de nombreux articles autour du bicentenaire de 1789, il approfondissait encore sa réflexion sur le rapport de la Terreur et de la Révolution, sur la place de 1789 comme de 1793 dans l’imagination des Français, sur la relation complexe qu’ils entretiennent avec le grand événement de leur histoire. Il annonçait aussi, pour le futur, l’étude de la pérennité des passions révolutionnaires. Dans tout ce parcours, ponctué de saisissants portraits, il combinait l’énergie de l’investigation intellectuelle avec le bonheur de l’écriture. «Une oeuvre, avait-il écrit dans Penser la Révolution, c’est une question bien posée.» À condition d’ajouter qu’elle doit être portée aussi par la force et la grâce du talent, la définition convient assez bien à la sienne.
200 drôles d’expressions
Battre la chamade, au fur et à mesure… Mais quel est le sens de ce « chamade » et de ce « fur » et par quels chemins insoupçonnés sont-ils passés pour arriver jusqu’à nous ?
Chaque expression cache une histoire, et ce sont ces histoires pleines de surprises qu’Alain Rey nous raconte avec l’humour et l’érudition qui le caractérisent. Et quand quelques-unes sont pimentées par Stéphane De Groodt, virtuose du jeu de mots, c’est encore plus savoureux !
Jouer avec les mots pour qu’ils ne se jouent pas de nous. Éclairer les obscurités, lever les couvercles qui font de nos expressions favorites des trésors cachés.
Voilà ce qu’une équipe d’amoureux du langage, animée par Alain Rey, a imaginé pour nous permettre d’« en connaître un rayon » et faire que nous cessions de « ne pas être dans notre assiette ». Quand on se lève « dès potron-minet », on peut reconnaître le minet, mais certes pas le potron. Si les choses se produisent « au fur et à mesure », qu’es aco, ce « fur » ?
La langue française est une richesse, mais c’est aussi une boîte à malice. Déjouer cette malice, ce n’est pas trahir notre langage, c’est l’enrichir, et c’est nous faire plaisir. 200 fois plaisir, par les temps qui courent, ce n’est déjà pas si mal.
Et quand quelques-unes de ces expressions sont pimentées par Stéphane De Groodt, virtuose du jeu de mots, c’est encore plus savoureux !
Racontées par Alain Rey
Linguiste et lexicographe reconnu, Alain Rey est l’auteur de nombreux ouvrages sur la langue française et l’un des principaux créateurs des dictionnaires Le Robert.
Avec la participation de Stéphane De Groodt
Comédien de renom, ce natif de Bruxelles est également un funambule des mots connu notamment pour ses chroniques sur Canal+ qui ont donné naissance à ses célèbres Voyages en absurdie (Plon).
Sérotonine
« Mes croyances sont limitées, mais elles sont violentes. Je crois à la possibilité du royaume restreint. Je crois à l’amour » écrivait récemment Michel Houellebecq. Le narrateur de Sérotonine approuverait sans réserve. Son récit traverse une France qui piétine ses traditions, banalise ses villes, détruit ses campagnes au bord de la révolte. Il raconte sa vie d’ingénieur agronome, son amitié pour un aristocrate agriculteur (un inoubliable personnage de roman, son double inversé), l’échec des idéaux de leur jeunesse, l’espoir peut-être insensé de retrouver une femme perdue. Ce roman sur les ravages d’un monde sans bonté, sans solidarité, aux mutations devenues incontrôlables, est aussi un roman sur le remords et le regret.
La 6ème extinction
Une station de recherche militaire, cachée dans les montagnes de la Sierra Nevada en Californie, envoie un message de détresse : ” Il y a eu une faille de sécurité. (…) Qu’importe le résultat : Tuez-nous… tuez-nous tous. ” Lorsque les secours arrivent sur place, ils font face à une situation apocalyptique : toute forme de vie est anéantie ; même les bactéries n’ont pas survécu. Et le phénomène se propage à une vitesse effrayante.
Pour stopper l’inévitable, le commandant Gray Pierce et son équipe Sigma doivent affronter un danger qui provient d’un passé lointain, à une époque où l’Antarctique était verdoyant et où la vie sur Terre ne tenait qu’à un fil. Parviendront-ils à éviter l’extinction imminente de l’humanité ?
Andréa Caméros : Qui êtes-vous John Green ?
Homère : Odyssée
Didier Daeninckx : Meurtres pour mémoires
Régine Deforges : L’Orage
Rosamunde Pilcher : Retour au pays
Alain-Fournier : Le Grand Meaulnes
Charlotte Vale Allen : L’enfance volée
Die Sijie : Balzac et la Petite Tailleuse chinoise
Les enfants du monde : Aux cœurs des mots
Christian Signol : Les amandiers fleurissaient rouge
Il s’agit d’un texte de réflexion, d’inspiration chrétienne, à propos des incidences des compressions budgétaires dans le domaine de la santé. L’auteur s’étend dans une première partie sur les fondements et les conditions d’exercice de l’éthique clinique, en mettant en évidence le concept de l’être humain comme être de parole et en se prononçant pour une approche valorisant l’autonomie réciproque et privilégiant le dialogue. Il pose ensuite la question de l’insertion de cette “éthique dialogique” dans l’environnement contemporain de pénurie et d’exclusion. Le plaidoyer est vif, prenant parti contre la soumission à la fatalité de lois économiques convenues qui auraient pour effet d’écarter des soins des catégories de personnes en ayant le plus besoin. Par les choix qu’elle impose et les responsabilités qu’elle dilue, la mondialisation est appréhendée comme “une machine à déshumaniser la plupart des humains (…) au profit d’une minorité qui s’imagine réaliser ainsi son propre épanouissement”. Face à cette “loi du plus fort”, c’est une résistance ferme, impertinente même, qui est préconisée au niveau des grands questionnements, en particulier quand il en va de la définition des enveloppes budgétaires. Par contre la marge de man uvre des soignants chargés de distribuer le contenu rationné des enveloppes apparaît si faible que Jean-François Malherbe prône, à cette échelle, l’application de critères fondés sur des règles assouplies, autorisant l’ouverture d’un processus de dialogue susceptible d’adoucir l’application de critères sélectifs rigides. Il apparaît en tout cas problématique, au niveau de la gestion d’une pénurie décidée ailleurs, de prôner une régulation qui pourrait vite apparaître comme un ajustement, une résignation, une sorte de caution justifiée par l’objectif respectable mais rétréci du moindre mal. Roger Charbonney (août 1998).
” Après de longs siècles au cours desquels s’est structuré un ” socle de savoir ” biomédical, les dernières décennies ont été marquées par le déploiement de ce savoir dans sa dimension opératoire, ouvrant ainsi la voie à une toute nouvelle capacité d’efficacité de la médecine. Chemin faisant, la conjonction, d’une part, de l’acquisition de connaissances nouvelles sur l’humain en sa constitution biologique (et psychique) et, d’autre part, des efforts d’intervention efficace sur le cours de l’existence humaine et de la morbidité a induit des questions toutes nouvelles dont la portée éthique invite à mettre en œuvre un nouveau mode de réflexion sur les conditions de validité qu’il conviendrait de donner au développement biomédical. “
Les mannequins nus (3 volumes)
Christian Bernadac, né le 1er août 1937 à Tarascon (aujourd’hui Tarascon-sur-Ariège) et mort le 12 décembre 2003 à Compiègne1, est un journaliste et écrivain français. Ses ouvrages sur la déportation ont connu un succès public considérable dans les années 1960-1970.
LES MANNEQUINS NUS : Série en 3 volumes consacrée aux cemps de femmes
Volume 1 – Les mannequins nus – Volume 2 : Le camp des femmes, Ravensbrück – Volume 3 : Kommandos de femmes. // “On plonge dans les documents de ceux qui ont vécu ces horreurs par leurs propres mots avec des données historiques de Christian Bernadac. Un roman qui nous montre une nouvelle fois le combat de ces personnes, car ce sont des personnes quelque soit leur religion, leur apparence ! L’homme est un loup pour l’homme. Chacun cherche un moyen de résister, de vivre. Malgré les groupes qui se forment, qui se soudent pour arriver à rester vivants ; les bas coups, la jalousie … font partie du quotidien !
C’est tellement horrible qu’on ne peut s’imaginer, alors il faut lire ce genre de livres pour ressentir avec les mots de ces femmes, les lettres qui nous sont parvenues pour ne pas les oublier ! Il y ces femmes, ces militantes qui ont toujours gardé la tête haute, aidant les autres du mieux qu’elles pouvaient puis certaines qui se sont rabaissées espérant un sursis qui ne leur a pas été accordé. Un livre d’Histoire, à avoir dans sa bibliothèque !”.
Vingt ans après
Texte intégral en 3 volumes regroupés en 1- Vingt ans après, ils courent, chevauchent et ferraillent toujours, sur les routes de France ou d’Angleterre. Leurs bras, comme leurs langues, n’ont rien perdu de cette vigueur étincelante qui les faisait déplacer les montagnes et réussir l’impossible. Leur amitié, dans les moments critiques, ressoude leurs quatre lames comme limailles autour d’un seul aimant. Mais les temps ont bien changé. Aramis sert ses duchesses, Athos ne songe qu’à son fils, Porthos à son titre et d’Artagnan s’est attaché à un Mazarin que tout le monde abandonne. C’est le règne de l’individualisme bourgeois que Dumas dénonce, et l’élan brisé de la jeunesse, de ses espoirs, qu’il évoque avec une tendre nostalgie. Les montagnes, cette fois, ne bougent plus. Le ciel s’est assombri. Et si les dialogues claquent toujours, dans ces pages ferventes et enflammées, ils s’épuisent aussi, bien souvent, contre le mur de l’irrémédiable. Cette fragilité avouée, ce demi-renoncement, grandissent Dumas et nous le rendent plus proche encore.
Les autres
Lors d’une soirée d’anniversaire, un jeu de société destiné à mieux se connaître devient le révélateur de secrets de famille jusqu’ici soigneusement occultés par la honte, la déception ou la souffrance. Avec délicatesse et cruauté, ce roman d’une rare finesse psychologique interroge la féminité, l’amour et les relations entre les hommes et les femmes.
Dans sa préface à cette anthologie, Edouard J. Maunick montre comment le fil conducteur de l’ouvrage est dans L’Être et le lieu, “être” au sens d’identité, à la fois une et plurielle, d’hommes venus de lieux différents mais réunis dans une histoire dont les péripéties souvent se côtoient et s’apparentent. “Lieu” d’une langue aussi : ces conteurs, ces nouvellistes, ces poètes, ces romanciers sont originaires d’Afrique noire, du Maghreb, des îles de l’océan Indien et des Antilles. Ils sont une soixantaine pour une vingtaine de pays et s’expriment dans une langue commune, le français.
Ce livre mêle poèmes, proses, contes et récits traditionnels.
D’Aimé Césaire à Léopold Sédar Senghor, de Tahar Ben Jelloun à Tchicaya U’Tam’si, de Jean-Joseph Rabearivelo à Bernard Dadié, de Davertige à Birago Diop, de Khaïr-Eddine à Jean Fanchette, les meilleurs écrivains et poètes contemporains sont ici réunis pour chanter leur attachement et leur amour à leurs îles, à leurs villages, à leurs villes, à leurs traditions.
La conspiration Berry
De conspirations occultes en révélations explosives : Cotton Malone défie l’histoire officielle !
2000. Officier de marine, Cotton Malone est recruté par le ministère de la Justice pour récupérer au fond des mers une pièce de collection extrêmement rare. Celle-ci doit servir de monnaie d’échange pour obtenir d’un ancien opérationnel de la CIA des dossiers secrets relatifs aux agissements occultes du FBI dans les années 1960.
Alors que se dessine l’implication d’une branche clandestine du FBI dans un assassinat qui, en 1968, a bouleversé l’histoire, Malone est engagé dans une quête périlleuse, semée d’intrigues et de complots. Au centre de la toile, la figure d’Edgar J. Hoover, dont les secrets sont aussi nombreux qu’inavouables.
Dans cette douzième aventure, Cotton Malone se remémore la création de la division Magellan, branche secrète du ministère de la Justice, et sa première enquête au sein de celle-ci. Les nombreux fans de Steve Berry ne seront pas déçus !
1291, Terre sainte. Un groupe de templiers, chargé d’une mission secrète, est massacré au milieu du désert. Un seul chevalier en réchappe, miraculeusement. 1943. Des ténébreux châteaux allemands aux couloirs troubles du Vatican, Tristan Marcas s’engage malgré lui dans une nouvelle quête. À la recherche d’un mystère qui le conduira jusqu’aux portes de l’enfer. Un thriller vertigineux, qui explore les arcanes oubliés de l’Histoire. De l’action à gogo, des rebondissements à foison et des coups de pied occultes de Stalingrad à Berlin en passant par Rome : avec un tel cocktail, Éric Giacometti et Jacques Ravenne n’ont rien à envier aux cadors du thriller anglo-saxon. Paris Match. Le duo réconcilie une fois encore avec bonheur le roman d’aventure et le document historique. L’Alsace. En bonus : le premier chapitre du cinquième volet de la saga, 669.
Illuminae – Tome 1, 2 et 3
Illuminae (The Illuminae Files) est une série de livres jeunesse (catégorie jeune adulte) de type science-fiction/space opera écrite par les écrivains australiens Amie Kaufman et Jay Kristoff. La série Illuminae est un roman rédigé sous forme de dossier, composé de divers fichiers récupérés par le groupe Illuminae sur des serveurs informatiques. On y trouve donc des e-mails, des extraits de journal intime, des conversations par messagerie instantanée, mais aussi des schémas, des plans, des dessins…
Tome 1 : Dossier Alexander – 607 pages : En 2575, la planète de Kady Grant, 17 ans, et Ezra Mason, 18 ans, est attaquée par l’entreprise interstellaire Bei Tech. Lors de l’évacuation de population, Kady embarque sur l’Hypatie et Ezra sur l’Alexander, mais ils parviennent à garder contact en secret. Grâce à ses talents de hackeuse Kady découvre que l’état-major est impliqué dans cette affaire.
Tome 2 : Dossier Gemina – 670 pages : Sur la station spatiale Heimdall, tout le monde se prépare à la grande fête de Terra. Certains plus intensément que d’autres : la fille du commandant, Hanna Donnelly, experte en mode et en arts martiaux, aimerait bien faire la fête jusqu’au bout de la nuit. C’est à ce moment précis que BeiTech lance son attaque, envahissant la station avec une violence inouïe. Ceux qui résistent sont éliminés. Les autres, capturés. Quant aux fuyards, ils sont traqués sans relâche. Parmi les rescapés : Hanna et Nik, un véritable bad boy issu d’une grande famille mafieuse. Les deux ados que tout sépare s’allient pour sauver leur peau. Pendant que s’amoncellent les cadavres, dont certains d’êtres très proches…
Tome 3 : Dossier Obsidio – 650 pages : Kady, Ezra, Hanna et Nick ont réussi à s’échapper de la station Heimdall. Ils sont désormais réunis sur le vaisseau Mao où s entassent 2 000 réfugiés. Les nerfs sont à vif car la menace Bei-tech est toujours là. De plus, ils n’ont plus aucun moyen de communiquer avec l’extérieur, les vivres manquent, et bientôt, l’oxygène. La seule option est de retourner sur Kerenza. Mais des mois après l’invasion, qui sait ce qui les y attend ? Comble de malchance, une mutinerie éclate à bord du Mao… tandis qu’à terre, Asha, la cousine de Kady, essaie tant bien que mal d’organiser la Résistance…
Le musée secret
Installée dans le Sud de la France, Cassiopeia Vitt a décidé de se séparer d’une partie de son héritage : quinze tableaux de maîtres acquis par son père dans les plus respectables galeries d’art parisiennes après la Seconde Guerre mondiale. Lorsqu’elle arrive dans sa maison de famille de Tossa de Mar, une surprise de taille l’attend : les prétendus chefs-d’œuvre se révèlent être des copies. C’est le début d’une aventure qui va la conduire en Andorre, dans un lieu ultra-secret, le « Dépôt », où sont réunis, cachés aux yeux du monde, des trésors réputés disparus depuis longtemps. Cassiopeia comprend bientôt que la clé de toute cette étrange affaire se trouve au cœur des secrets les mieux gardés de l’occupation nazie. Après Le Manuscrit cathare, cette nouvelle aventure passionnante de Cassiopeia Vitt, qui s’achève au Mémorial de la Shoah à Paris, nous plonge dans les arcanes encore obscurs de la spoliation des œuvres d’art durant la Seconde Guerre mondiale.
Le gang des rêves
New York ! En ces tumultueuses années 1920, pour des milliers d’Européens, la ville est synonyme de « rêve américain ». C’est le cas pour Cetta Luminata, une Italienne qui, du haut de son jeune âge, compte bien se tailler une place au soleil avec Christmas, son fils.
Dans une cité en plein essor où la radio débute à peine et le cinéma se met à parler, Christmas grandit entre gangs adverses, violence et pauvreté, avec ses rêves et sa gouaille comme planche de salut. L’espoir d’une nouvelle existence s’esquisse lorsqu’il rencontre la belle et riche Ruth. Et si, à ses côtés, Christmas trouvait la liberté, et dans ses bras, l’amour ?
