
Une jeune fille bien comme il faut
On peut être ” une jeune fille bien comme il faut “, jolie, brillante, et être complexée et mal dans sa peau. On peut aussi s’entendre avec ses parents et réaliser un beau jour que leur amour vous étouffe, surtout lorsqu’on tombe amoureuse du meilleur ami de papa. Comment leur avouer ? Difficile. Alors, Sarah ment et commence la spirale sans fin : les dilemmes, l’incommunicabilité, la culpabilité…Elle arrête de manger fautant pour se punir que pour faire maigrir ce corps de femme qu’elle a du mal à accepter. Cette histoire d’amour douce-amère où l’innocence se transforme en perversité, c’est aussi l’histoire d’une famille jusque-là si unie, brusquement déchirée par l’anorexie, ce mal étrange…
Le cavalier grec
Un homme d’affaires est assassiné à Paris. On retrouve son corps derrière l’hôpital Sainte-Anne et sa tête dans un casier de consigne à New York. Qui a tué ? Pourquoi cette mise en scène ? Trois personnages enquêtent : un commissaire routinier et conservateur, un maître international d’échecs et un professeur d’histoire grecque. Le premier a recours aux vieilles méthodes – filatures et perquisitions -; le deuxième considère Paris comme un vaste échiquier et la victime comme un cavalier blanc; le troisième voit dans le crime une reconstitution de la Guerre de Troie. Et s’ils avaient tous raison ? Le roman policier qu’Homère aurait écrit s’il avait su jouer aux échecs en fumant la pipe de Maigret.
La trahison prométhée
ILS SAVENT TOUT. ILS VOIENT TOUT. ILS ONT CONSTRUIT VOS CERTITUDES. ILS ANTICIPENT VOS PEURS LES PLUS SECRÈTES… Après des années au services du gouvernement américain, Nicholas Bryson découvre que le Directorat, l’agence ultra-secrète qui l’employait, est en réalité de mèche avec un groupe terroriste international disposant de systèmes de surveillance insoupçonnés… Alors même qu’il n’est plus certain de sa propre identité, à qui Nicholas Bryson peut-il faire confiance ? Il a perdu tout ses repères. La mort de ses parents, lorsqu’il avait quinze ans, était-elle vraiment accidentelle ? Chargé par la CIA de mettre fin à cette folie, il va tenter de cerner les agissements et les motivations de ce mystérieux groupe “Prométhée,” qui s’est infiltré jusque dans les plus hautes sphères de l’État, aux États-Unis comme en Russie, en Chine, en France. Bryson se retrouve confronté au cauchemar d’un monde “parfait,” dans lequel chacun de ses faits et gestes a déjà été prévu… Une fois de plus, Robert Ludlum bous entraîne sur un rythme infernal dans une intrigue visionnaire, où la fiction est étrangement proche de la réalité.
L’embellisseur
Ludovic Garnier est un ” embellisseur “. Chirurgien esthétique, il fait partie de ces hommes qui adorent tellement la beauté des femmes qu’ils travaillent à l’améliorer, l’intensifier. Change-t-il ainsi leur destin ? C’est la question que se pose Justianne, venue s’offrir à son bistouri pour oublier la trahison de son jeune amant qui vient de l’abandonner pour un top model… Comment lutter lorsqu’on a quarante ans contre une rivale qui n’en a que vingt ? Justianne, infériorisée par les premières atteintes du vieillissement décide de se rajeunir par la chirurgie. Mais, lorsqu’elle a recouvré un visage lisse grâce à l’art de Ludovic, ses problèmes sont loin d’être résolus : Justianne s’éprouve en ” décalage horaire “, aussi bien avec les hommes qui lui refont la cour qu’avec les femmes qui jalousent son nouvel aspect sans oser en faire autant. Admirée autant que rejetée, elle sent s’accroître sa solitude. Elle revoit Ludovic qui, lui aussi, est seul : il a perdu son unique amour, sa sœur Coralie, défigurée par sa faute lorsqu’ils étaient enfants, à un âge où le futur chirurgien n’était pas en mesure de la ” réparer ” …Or, voilà que le destin lui offre une chance de se rattraper : un terrible accident se produit et Justianne, sa passagère, est à son tour défigurée. Cette fois, Ludovic peut intervenir… Dans ce roman fort, tendre et cruel, Madeleine Chapsal s’attaque à un sujet encore tabou : les miracles, mais aussi les limites actuelles de la chirurgie esthétique. Si elle transforme les corps, ça n’est pas sans toucher à l’âme…
Le mensonge dans la peau
Entre Jason Bourne et Leonid Arkadin, le combat se poursuit et devient plus féroce encore… Gravement blessé au cours d’une embuscade, Bourne fait croire à sa mort et disparaît sans laisser de traces. Lorsqu’il refait surface, c’est sous une autre identité, et bien décidé à découvrir qui veut sa mort. Dans le même temps, un avion de ligne américain s’écrase en Égypte, fauché en plein vol par un missile iranien – du moins en apparence… L’enquête de Bourne se transforme en une course contre la montre, car un conflit mondial menace d’éclater…
The bridges of Madison county
En Anglais – The story of Robert Kincaid, the photographer and free spirit searching for the covered bridges of Madison County, and Francesca Johnson, the farm wife waiting for the fulfillment of a girlhood dream, THE BRIDGES OF MADISON COUNTY gives voice to the longings of men and women everywhere-and shows us what it is to love and be loved so intensely that life is never the same again.
Je voudrais que cela ne finisse jamais
Alors que Göteborg est écrasée par une chaleur caniculaire, le commissaire Erik Winter, désormais marié et père de famille, doit faire face à une série de crimes particulièrement atroces. La découverte du corps d’une jeune fille dans un parc municipal lui rappelle un autre meurtre, resté non résolu… Il va alors se plonger au coeur de ce dossier où s’entrelacent inextricablement affaires crapuleuses et drames familiaux. Dans ce polar psychologique à la fois intimiste et efficace, Åke Edwardson pose une fois encore un regard original et subversif sur son pays, loin des clichés du « modèle suédois ».
Si aimée, si seule
Diva est une grande star du cinéma et du théâtre. Née dans une modeste famille du Sud, cette belle brune conquiert rapidement la gloire. Mais plus la comédienne accumule l’argent et les honneurs, plus la femme se retrouve seule. Diva, dévorée par son travail, se laisse bientôt aller à de multiples aventures amoureuses : les unes avec des gens de son métier, d’autres sordides ou condamnées d’avance. Un grand amour domine la vie de Diva : celui qu’elle voue à David Sullinger, metteur en scène de génie. Le couple s’adore, se quitte, se retrouve, à la joie des gaz’ et s à scandale.
Le hussard sur le toit
Le hussard sur le toit : avec son allure de comptine, ce titre intrigue. Pourquoi sur le toit ? Qu’a-t-il fallu pour l’amener là ? Rien moins qu’une épidémie de choléra, qui ravage la Provence vers 1830, et les menées révolutionnaires des carbonari piémontais. Le Hussard est d’abord un roman d’aventures ; Angelo Pardi, jeune colonel de hussards exilé en France, est chargé d’une mission mystérieuse. Il veut retrouver Giuseppe, carbonaro comme lui, qui vit à Manosque. Mais le choléra sévit : les routes sont barrées, les villes barricadées, on met les voyageurs en quarantaine, on soupçonne Angelo d’avoir empoisonné les fontaines ! Seul refuge découvert par hasard, les toits de Manosque ! Entre ciel et terre, il observe les agitations funèbres des humains, contemple la splendeur des paysages et devient ami avec un chat. Une nuit, au cours d’une expédition, il rencontre une étonnante et merveilleuse jeune femme. Tous deux feront route ensemble, connaîtront l’amour et le renoncement.
Souvenez-vous : le 23 novembre 2006, une heure avant de mourir, Alexandre Litvinenko, ancien agent du KGB réfugié à Londres, apprend qu’il est victime d’un empoisonnement au polonium 210. Une microscopique bombe nucléaire ravage ses cellules sanguines, les médecins ne peuvent plus rien faire pour le sauver… Lors d’un rendez-vous secret dans un hôtel londonien, ce dissident proche de Boris Berezovski (l’homme d’affaires exilé, bête noire de Vladimir Poutine) aurait bu une tasse thé contenant la dose radioactive fatale. Relayée par la presse du monde entier, cette mort atroce devient rapidement une affaire d’État. Elle ébranle les relations diplomatiques entre Londres et Moscou, et nous laisse cette question sans réponse officielle : pourquoi Alexandre Litvinenko a-t-il été éliminé ? Alex Goldfarb, lui-même dissident, a aidé son camarade à fuir la Russie, il a coécrit ce livre avec la veuve de Litvinenko, Marina. Tous deux reviennent sur les événements qui ont précédé l’empoisonnement. Dès le premier chapitre, la tension est à son comble ; nous suivons la folle cavale de Litvinenko et de sa famille en Turquie. Ils ont quitté précipitamment leur pays, sont à la recherche d’un visa, mais l’ambassade américaine rejette leur demande. La CIA, les services secrets russes et turcs entrent en action, Litvinenko est traqué, sa femme et son fils sont en danger. Une course contre la montre et un incroyable retournement de situation vont leur permettre de trouver asile en Grande-Bretagne… Au-delà même du thriller, les auteurs brossent dix ans d’histoire de la Russie, après l’effondrement soviétique, les échecs du gouvernement Eltsine, puis l’arrivée de Poutine au pouvoir suprême. Ils dénouent, sur fond d’espionnage et de police secrète, le système des oligarques, Berezovski en tête, la guerre de Tchétchénie et, bien sûr, l’irrésistible ascension du président russe.
La conjuration des importants
Paris, décembre 1642, le commissaire de police du quartier de Saint-Avoye a été assassiné dans une pièce entièrement close. Louis Fronsac, jeune notaire audacieux, mène l’enquête avec son ami de toujours, Gaston de Tilly, nommé commissaire à Saint-Germain-l’Auxerrois. Au même moment, autour de la duchesse de Rambouillet, de Marie de Rabutin-Chantal et du prince de Marcillac, s’agitent des Importants. Cherchent-ils simplement à influencer la régente Anne d’Autriche, et sont-ils responsables de la mort du roi ? Alors que Louis Fronsac recherche autant la vérité que l’aide du jeune duc d’Enghien qui tente d’arrêter les troupes espagnoles, le duc de Beaufort et sa maîtresse, Mme de Montbazon, trament leur criminelle conspiration. Et si la cabale des Importants n’était qu’une intrigue de façade pour tenter d’assassiner le Sicilien Mazarini ?
Clive Cussler – 5 livres Grand Format, en très bon état
- Quart mortel
- Mirage
- Rivage mortel
- Croisière fatale
- Corsaire
Quand les chinois s’épanouiront
Ce qu’il y a de bon, dans l’œuvre de Marcel-Étienne Grancher, c’est qu’on ne sait jamais s’il rit ou s’il parle sérieusement… — et nous n’avons pas tellement l’occasion de rire pour que nous puissions nous en plaindre !… Son goût pour le paradoxe, et son incontestable érudition, lui permettent de nous placer, parfois, devant les situations les plus invraisemblables — et les plus cocasses ! — sans que nous puissions nous empêcher de nous dire : et si ça arrivait ! Il en fut ainsi de son précédent livre “Quand les Russes seront là…”, dans lequel il avertissait déjà loyalement le lecteur : “Je ne pense pas — écrivait-il — que ces choses-là se passeront… Mais elles pourraient se passer — et c’est amplement suffisant !…” — Vous ne serez donc jamais sérieux ? lui objectait un jour l’un de ses amis. — Heureusement pour vous, répliqua-t-il… Nous n’avons que déjà trop de rhéteurs… Il faut bien qu’il reste quelques fols de mon genre pour vous amuser… Mais n’oubliez pas que les seigneurs de jadis appréciaient surtout, chez leurs bouffons, la sagesse dont ils faisaient parfois preuve… Nous ne plaidons pas pour le présent ouvrage — qui se défend suffisamment par lui-même ! Nous souhaitons simplement indiquer qu’une fois de plus, l’auteur a voulu apprendre quelque chose à ceux qu’il se donne pour mission essentielle d’amuser… Et nous croyons pouvoir dire qu’il y a brillamment réussi !
Dans cette série dérivée des Nombrils, on retrouve Karine, Jenny et Vicky au temps où Karine ne sortait pas encore avec Dan et où elle faisait, sans broncher, les devoirs de ses deux “amies”. Mais on découvre aussi l’origine de l’amitié entre Vicky et Jenny quand une Vicky boulotte et boutonneuse bavait devant une Jenny ultra sexy et fraîchement débarquée dans l’école. Et comment Vicky n’a pas hésité à lâcher sa seule amie de l’époque pour traîner aux côtés de Jenny, appelée à devenir inévitablement la fille la plus populaire du bahut. On découvre aussi l’intelligence de Vicky qui multiplie les trucs tordus pour faire faire ses devoirs à Karine (comme demander à Jenny de simuler une attaque cérébrale) ou pour faire virer les mecs qui ne s’intéressent pas à elle avec assez d’enthousiasme. Un album 100 % “gag”qui se situe chronologiquement au moment du tome 1 de la série principale. Tout simplement hilarant !
Beast Quest 11 – L’ensorceleuse
Tom, Elena, Tempête et Silver ont fini par vaincre la deuxième des Bêtes créées par Malvel. Le jeune héros possède désormais une cotte de mailles qui donne du courage à celui qui la porte. Cependant, Aduro est toujours prisonnier du sorcier maléfique… Et, avant de pouvoir le délivrer, il leur faut encore affronter quatre autres Bêtes…
September
En Ecosse, septembre est le mois des festivités, des parties de chasse, le mois où les mariages se font et se défont, où l’on célèbre les derniers feux de l’été avant le long hiver. Cette année, le bal qu’organise Verena Steynton s’annonce somptueux. Tout Strathcroy attend l’événement qui amènera dans la petite ville des invités venus du monde entier. C’est aussi l’occasion pour deux vieilles familles de retisser les liens basés par un drame ancien. Le véritable événement, cependant, c’est le retour de Pandora. Sulfureuse Pandora, qui fit scandale vingt ans plus tôt en partant avec un riche Italien, et dont plus jamais on n’entendit parler. Et voilà qu’elle réapparaît, tel un fantôme surgi du passé! Dans quel but ? Effacer les souffrances anciennes ou rouvrir les blessures mal cicatrisées ? Que sera le bal de septembre ? Hymne à la paix ou bal des maudits ?
Princesse Sara – 6 – Bas les masques !
Alors que Pondichery est convaincu que la célèbre héritière Sara Crewe est défigurée, cette dernière travaille aux usines Delatour sous l’identité d’Émilie Saint-John. Elle imagine des automates merveilleux, dans l’espoir d’établir une relation privilégiée avec le vieil Ernest Delatour. Il faut à tout prix que ce dernier lui revende ses usines, qui autrefois portaient le nom de Crewe ! Mais Ernest ne se laisse pas attendrir facilement, contrairement à son petit-fils Léopold, qui est totalement tombé sous le charme. Pendant que les relations se nouent dans un jeu de chassé-croisé, un tigre rôde autour de la ville. Et si la simple présence de l’animal renversait les règles du jeu ?
C’était le plus précieux trésor de Montezuma, le gage de toutes les félicités, apporté jadis aux empereurs aztèques par Quetzacoatl, le Serpet-à-plumes, le dieu inconnu : cinq émeraudes fabuleuses arrachées par les bourreaux de Cortès, le conquistador, au désespoir de Tahena, sa fille, la toute jeune épouse de Cuhautemoc, le dernier empereur, mis à la torture. Cinq émeraudes disparues dans la nuit des temps… Elles réapparaissent à Paris, au XXe siècle, à l’occasion du mariage de Gilles Vauxbrun, le grand antiquaire de la place Vendôme et proche ami d’Aldo Morosini qui doit en être le témoin. La fiancée est une jeune Mexicaine de grande famille, d’une rare beauté. Or, le mariage tourne soudain au cauchemar, contraignant Morisini et son ‘presque frère’ l’égyptologue Vidal-Pellicorne à se lancer dans une aventure d’autant plus inquiétante qu’il est difficile de savoir d’où vient le danger.
Notre jeu
Ancien agent secret, Tim Cranner pense, à quarante-huit ans, pouvoir jouir d’une retraite anticipée et de la présence d’Emma, son énigmatique compagne, dans son manoir du Somerset. Même si l’un de ses voisins se trouve être Larry Pettifer, un homme qui a servi d’agent double à Tim pendant vingt ans. Mais nul ne peut échapper à son passé. Soudain Larry et Emma disparaissent. Ensemble ? Larry a-t-il réussi à convaincre Emma de l’aider à combattre pour une de ses nombreuses causes perdues ? Emma est-elle en danger ? Sans réfléchir, Tim se lance à leur recherche, mais dans le monde nébuleux de l’espionnage, chasseur et gibier ne sont jamais ceux qu’on croit, et l’ex-Union soviétique continue d’attirer vers elle ses anciens adversaires. John Le Carré réussit avec Notre Jeu un thriller politique où l’amour occupe une place majeure. Toujours aussi fort dans la description des relations ambiguës, il brosse ici le portrait de trois personnages dépassés à la fois par leurs émotions et par l’Histoire. Lisa B.
Tokyo : Daido Moriyama, Shomei Tomatsu
The catalogue published on the occasion of the exhibition Moriyama – Tomatsu: Tokyo scheduled to be held at Maison Européenne de la Photographie in Paris, June 2020. The exhibition has been repeatedly postponed due to the spread of Covid-19 in France.
For this reason Akio Nagasawa Publishing will start selling at its online shop the photo-book exceptionally prior to the opening of the Paris exhibition.
The catalogue is a set of 3 books including Daido Moriyama’s works, Shomei Tomatsu’s works and a textbook of written by both authors.
Catalogue publié à l’occasion de l’exposition « Moriyama – Tomatsu : Tokyo » prévue à la Maison Européenne de la Photographie à Paris en juin 2020. L’exposition a été reportée à plusieurs reprises en raison de la propagation du Covid-19 en France.
C’est pourquoi les éditions Akio Nagasawa ont proposé exceptionnellement ce livre photo sur leur boutique en ligne avant l’ouverture de l’exposition parisienne.
Le catalogue est un ensemble de trois ouvrages comprenant les œuvres de Daido Moriyama, celles de Shomei Tomatsu et un manuel écrit par les deux auteurs.
Pour toi, Nicolas
Editrice, Katie Wilkinson croyait avoir trouvé l’amour en la personne de Matt, dont elle s’apprêtait à publier le recueil de poèmes. Mais ce dernier disparaît brusquement, lui laissant pour toute explication un journal intime. Suzanne, une jeune mère, s’y adresse à son fils, Nicolas. Au fil des pages, Katie découvre que l’homme dont elle est tombée amoureuse n’est autre que le mari de Suzanne, le père de Nicolas… Matt, qui prétendait vivre seul, lui a-t-il menti ? Mène-t-il une double vie ? Pourquoi lui infliger un tel supplice ? Malgré sa douleur, Katie poursuit sa lecture… James Patterson a tenu à dédier ce roman, inspiré par la disparition de sa femme, à tous ceux qui ont aimé, tout perdu, et aimé de nouveau.
Jeune couple s’éclate en plein air
Appa et Amma, qui ont travaillé dur pour en arriver là, sont fiers de garer leur nouvelle Honda devant chez eux, histoire d’épater tous les voisins. Bizarrement, leur aîné, Sreenath, jeune adulte, daigne à peine sortir de sa chambre, et ne semble pas partager l’excitation familiale. Son frère est le premier à saisir le malaise : Sreenath et sa copine ont été filmés à leur insu dans un parc, en pleins ébats, et la vidéo est en train de devenir virale. Un scandale dont la famille ne se remettra pas, raconté avec humour, tendresse et désespoir par le fils cadet, prêt à tout pour sauver les siens. Un roman sur l’infamie qui se répand comme une traînée de poudre, sur le pouvoir destructeur de l’image volée – dans une société conservatrice où toute intimité hors mariage relève de l’impossible, dans un monde ultra-connecté où chacun peut être jeté en pâture.
The black book
Billy Harney was born to be a cop. The son of Chicago’s chief of detectives, whose twin sister is also on the force, Billy plays it by the book. Alongside Detective Kate Fenton, Billy’s tempestuous, adrenaline-junkie partner, there’s nothing he wouldn’t sacrifice for his job. Enter Amy Lentini, a hard-charging assistant state’s attorney hell-bent on making a name for herself-who suspects Billy isn’t the cop he claims to be. They’re about to be linked by more than their careers. One missing black book. A horrifying murder leads investigators to an unexpected address-an exclusive brothel that caters to Chicago’s most powerful citizens. There’s plenty of incriminating evidence on the scene-but what matters most is what’s missing: the madam’s black book. Now with shock waves rippling through the city’s elite, everyone’s desperate to find it. Chicago has never been more dangerous. As everyone who’s anyone in Chicago scrambles to get their hands on the elusive black book, no one’s motives can be trusted. An ingenious, inventive thriller about power, corruption, and the power of secrets to scandalize a city-and possibly destroy a family-The Black Book is James Patterson at his page-turning best.
Ousmane Ndiaye Dago “Femme Terre”
157 pages – Ousmane Ndiaye Dago a très certainement conscience que le moyen photographique ne restitue que la peau de la réalité et que même la dénudation de ses modèles n’est, au final, qu’un artifice, quand bien même il se révèle fertile d’un point de vue linguistique. Dago se base dans un premier temps, sur l’identification de la femme avec la terre pour leur capacité commune de proliférer. terre nue et corps nue.
Une femme heureuse
Toute jeune encore, Clotilde choisit de divorcer. Non que son mariage avec Albert soit malheureux, mais elle attend davantage d’un homme et de l’amour que ce bonheur paisible et fade. Bien des épreuves l’attendent. La liberté n’est pas facile, surtout pour une femme. Contrainte à accepter un emploi médiocre, en butte aux reproches voilés de la famille et aux avances des hommes en quête d’une proie facile, elle découvre la solitude, en même temps qu’une vie matérielle de plus en plus problématique… Des rencontres jalonneront le parcours – nouveaux pièges qui s’offrent, nouveaux malentendus – avant que Clotilde ne parvienne enfin à construire un bonheur adulte.
Confessions d’une mère qui en a marre
Alors comme ça, la super maman qui habite à côté de chez vous est en train de transformer ses enfants en athlètes de haut niveau, en violonistes virtuoses et en élèves surdoués. Tout ça du même coup. Vous ne comprenez pas comment elle fait. Et tout bien réfléchi, vous n’êtes pas vraiment certaine que ça vous intéresse. Parce qu’au fond, vous êtes persuadée qu’il existe une approche alternative par laquelle les enfants apprennent les choses par eux-mêmes, et grâce à laquelle il est tout à fait possible d’en faire moins, de posséder moins de choses et de dépenser moins d’argent. Une approche qui permet aux parents de se détendre un peu et d’oser avoir une vie personnelle. Vous n’êtes pas la seule. Voici les confessions – pas si honteuses que ça – d’une maman fainéante et fière de l’être. Vous allez voir, je suis de votre côté. Et préparez-vous à rire aux éclats. Finie la culpabilité! Dans ” Confessions d’une mère qui en a marre “, Muffy Mead-Ferro nous parle, entre autres, de son enfance dans un ranch du Wyoming, là où, forcément, les méthodes d’éducation étaient plus détendues, où les gens se débrouillaient comme ils le pouvaient et où le bon sens et la sagesse ancestrale étaient de mise. C’est là qu’elle a appris quelques astuces de sa mère, qui lui ont été utiles lorsqu’elle est devenue maman. Quelle fainéante! Nous devrions toutes faire comme elle.
Blanc métal
«Ébranlement cérébral. La vue, la mémoire, tout en perte. Silence. – Vous vous droguez ? – Non. – Vous vous droguez ? – Non. Pas cru. Qu’importe. Deux mois plus tard. Arrêt direct. Isolement. Repos. Parfois, un type s’enferme seul dans sa ville. Et il attend. Un an, deux ans, parfois plus. Désintoxication. Un type avait pris deux ans de sa vie pour oublier. Seul. Un de ces types dont on dit : – Ah ! Il était comme ça ? Je ne l’aurais jamais cru. – Oh ! Quand même ! Bien sûr, maintenant que vous me le dites…»
Les voleurs d’hommes
Osuquo est à l’âge où, aux pays des Inuits, l’enfant devient femme. Poq, un jeune chasseur, viendra bientôt la chercher, et ils vivront ensemble, perpétuant les traditions propres aux habitants du Pays des Hommes. Mais alors qu’elle participe à la chasse avec sa famille et son futur époux, les étrangers venus sur leur sombre navire lui volent sa vie. Poq et elle sont emmenés au-delà des mers, prisonniers d’êtres violents et sauvages. En Norvège où Christine attend le retour de son père, Osuquo et Poq sont regardés comme des sauvages. On confie à la jeune fille, la garde de ces “créatures” que l’on débarque sur le quai du port. Son père lui, ne débarquera pas. Il est mort en mer. Elle trouve alors un écho de sa souffrance dans le sort inhumain réservé aux deux Inuits. Des liens invisibles et muets se tissent, comme une promesse de retour au pays des Hommes. Deux récits parallèles composent ce livre, deux voix se répondent, celles d’Osuquo et de Christine. Fondée sur des faits réels, l’histoire d’une rencontre violente entre deux cultures opposées dans l’Europe du XVIIe siècle.
Tome 3 – Fusion
Par amour pour Grace, Sam a décidé de quitter la meute. De rester humain plus d’un été. Pour que leur amour continue de s’épanouir. Toujours. Grace, qui a été mordue quand elle n’était qu’une enfant, est aujourd’hui devenue loup à son tour. Le destin n’aurait pu choisir pire moment pour la changer. Car alentour une spectaculaire chasse est ouverte. La fureur des habitants de Mercy Falls s’est encore déchaînée et ne cessera qu’avec le dernier loup abattu. Aidés de Cole et d’Isabel, Sam est prêt à tout pour sauver Grace et le reste de la meute. Dans un monde que semblent mener la haine et la mort, l’espoir est-il encore seulement possible ?
Tome 2 – Fièvre
Grace et Sam ne se quittent plus, mais leur avenir s’annonce fragile. Sam se débat avec son passé de loup qui lui colle à la peau. Grace, elle, se heurte à l’autorité de ses parents et souffre d’une étrange fièvre, qui pourrait bien mettre son amour, et sa vie, en péril. Survient alors Cole. Lui aussi doit affronter ses démons, et il menace encore plus l’équilibre précaire qui s’est instaurée à Mercy Falls. Quant à Isabel, elle ne se pardonne pas la mort de son frère, mordu par les loups. Irrésistiblement attirée par Cole, elle sait pourtant que lui ne rêve que de rejoindre la meute. Quand un monde s’écroule, seul l’amour subsiste. Pour toujours ?
Long Island
Ce livre paru en 2024 est dans un état quasi-neuf
Une inoubliable passion amoureuse, après le chef-d’œuvre du Magicien, par un des maîtres de la fiction contemporaine. Tout bascule lorsqu’un inconnu à l’accent irlandais frappe à la porte d’Eilis Lacey. Après vingt ans de mariage, Tony et elle profitent du confort offert par les années 1970 aux familles américaines. Installés à Long Island, ils ont deux enfants, bientôt adultes, et mènent une vie tranquille où les seuls tracas proviennent de l’oppressante belle-famille italienne d’Eilis. Mais en apprenant au seuil de sa maison que Tony l’a trompée et qu’une autre femme attend un enfant de lui, ce bonheur patiemment construit vole en éclats. Sans promesse de retour, elle part en Irlande, à Enniscorthy. Rien n’a changé dans sa ville natale, ce monde clos où, de générations en générations, tout se sait sur tout le monde. Alors qu’il a repris le pub familial, même Jim Farrell est resté tel qu’il était vingt ans plus tôt, pendant l’été qu’Eilis et lui avaient passé ensemble, bien qu’elle fût déjà secrètement fiancée à Tony. La blessure du départ d’Eilis est toujours vive mais son retour ravive cet amour de jeunesse – et l’Amérique s’éloigne plus que jamais… Situé à l’interstice entre deux mondes, Long Island offre des retrouvailles bouleversantes avec Eilis Lacey dont les lecteurs de Brooklyn se souviennent encore. Quinze après la publication de ce best-seller, Colm Tóibín fait la démonstration magistrale de ses talents de romancier avec un inoubliable portrait de femme.
Une passion africaine
Afrique, 1899. En cette fin de dix-neuvième siècle, peu de femmes osent s’aventurer en Afrique. Pourtant, Meg Owen, une jeune Ecossaise, n’hésite pas à partir avec Jenny, sa fillette de cinq ans. Une épuisante croisière à bord d’un bateau à vapeur les conduit à Suez, leur faisant ensuite traverser la mer Rouge, puis longer la corne de l’Afrique jusqu’à Mombasa, où s’achève leur périple. Mais, pour Meg, le plus difficile commence. Elle va maintenant devoir retrouver Cameron Mac Kenna, le père de Jenny, l’homme qu’elle a épousé cinq ans plus tôt et qui l’a quittée sitôt après leurs noces… Le temps est venu de mettre un terme à ce mariage absurde. Pour refaire sa vie et offrir un avenir à Jenny, elle a besoin de recouvrer sa liberté, une liberté que Cameron est le seul à pouvoir lui rendre en lui accordant le divorce. La détermination de Meg à obtenir son indépendance est sans faille… à ceci près qu’elle appréhende leurs retrouvailles. Car comment réagira-t-elle en revoyant celui qui, l’année de ses dix-sept ans, lors d’une inoubliable nuit sur une plage déserte, a fait d’elle une femme?
Encore une danse
Ils forment une bande d’amis: Clara, Joséphine, Lucille, Agnès, Philippe et Rapha. Ils ont grandi ensemble à Montrouge, banlieue parisienne. Ils ont habité le même immeuble, sont allés dans les mêmes écoles et ne se sont jamais quittés. Lorsqu’ils sont devenus adultes, leurs vies ont pris des tournants différents mais leur amitié a résisté au temps, à la réussite des uns, aux échecs des autres.
Armance
“Je vous parlerai comme à moi-même, dit Octave avec impétuosité. Il y a des moments où je suis beaucoup plus heureux, car enfin j’ai la certitude que rien au monde ne pourra me séparer de vous ; mais, ajouta-t-il… et il tomba dans un de ces moments de silence sombre qui faisaient le désespoir d’Armance… Mais quoi, cher ami ? Lui dit-elle, dites-moi tout; ce mais affreux va me rendre cent fois malheureuse que tout ce que vous pourriez ajouter. Eh bien! Dit Octave… vous saurez tout… Ai-je besoin de vous jurer que je vous aime uniquement au monde, comme jamais je n’ai aimé, comme jamais je n’aimerai ? Mais j’ai un secret affreux que jamais je n’ai confié à personne, ce secret va vous expliquer mes fatales bizarreries.” Stendhal entreprit la rédaction d’Armance, son premier roman, en 1826, à la suite d’une déception amoureuse. Ses héros, Octave et Armance, sont deux êtres d’exception qui se méprennent l’un sur l’autre mais parviennent, en passant par toutes les phases de la “cristallisation” stendhalienne, à l’apogée du véritable amour. A la parution, Armance eut si peu de succès que Stendhal songea à se tuer. A présent, les critiques voient dans ce roman les signes d’un génie naissant.
Cromwell
Cromwell est un drame en cinq actes et en vers, publié en décembre 1827. – La scène se passe à Whitehall, en l’année 1657. Olivier Cromwell, ce républicain austère, inflexible, est devenu maître des destinées de l’Angleterre. Cependant, il n’est pas satisfait. Ayant le pouvoir et tous les privilèges de la royauté, il veut en porter les insignes. La Cité de Londres a déposé le sceptre à ses pieds, et le Parlement, la couronne : il touche à son rêve; mais il découvre autour de lui des conjurés qui n’attendent, pour lever leur poignard, que d’avoir à frapper un roi. Alors, il rejette au loin la couronne, et, affermi par cet acte apparent de fidélité à la république, il peut encore rêver la royauté et se dire : Quand donc serai-je roi ? Ce sont les derniers mots du drame. Cette pièce n’a jamais été jouée : elle ne pouvait pas l’être. Ce n’est pas, à proprement parler, une action dramatique. C’est un tableau historique extrêmement développé, où s’agitent un grand nombre, de personnages. L’évocation de la société d’alors est puissante et complète : cavaliers, puritains, poêles, soldats, personnages nobles ou ridicules se mêlent sur la scène ; mais c’est en vue du pittoresque plutôt que de l’intrigue. Les personnages n’ont pas la vérité psychologique de leur caractère tel que l’histoire nous le fait connaître. Victor Hugo travestit la personne de Cromwell, lorsque, de cette figure puissante, austère, il fait un être guindé, grotesque, pour aboutir, comme dans tous ses drames, à une antithèse de caractère. On pourrait encore reprocher à Victor Hugo d’avoir rapetissé les puritains. Ces hommes un peu raides, lugubres même à force d’austérité, mais grands et purs en définitive, ne méritaient pas qu’on ne fit d’eux que des théologiens pédants, des bouffons, même des hypocrites.Milton lui-même n’a qu’un rôle mesquin. Le style est, en revanche, d’un lyrisme sonore et brillant.
Guerre et paix – Tome 1
Au début du XIXᵉ siècle, Pierre Bézoukhov, fils illégitime héritier d’une grande fortune, et son ami André Bolkonsky, officier tourmenté, évoluent dans une haute société russe francophile et mondaine qui ne tardera pas à être rattrapée par les tourments de la guerre qui s’annonce. Le parcours spirituel et politique de Pierre, comme le trajet militaire d’André, est inséparable du destin contrarié de la Russie : Saint-Pétersbourg et Moscou, la campagne et la ville, la Sibérie et l’Europe… La Russie est bicéphale, tragiquement clivée par le désir patiné de haine qui l’attache au reste de l’occident. La France et Napoléon sont l’incarnation de cet idéal policé et calculateur : un ennemi mortel que les personnages admireront avant de le combattre. Au coeur des guerres napoléoniennes qui ravagèrent le vieux continent, Tolstoï tourne les pages d’un roman immortel : l’âme russe.
Claude Monet: nymphéas
Abondamment illustrée, organisée en chapitres qui analysent la genèse des différentes séries de Nymphéas, complétée d’une chronologie et d’une fortune critique: une excellente approche du thème obsédant et triomphal des dernières années de Monet.
Claude Monet et Giverny
Claire Joyes présente la célèbre maison de Claude Monet. Elle y évoque sa famille, les pièces qu’il a aménagées et habitées pendant plus de quarante années et bien sûr son jardin, à la fois pure création et source inépuisable d’inspiration pour l’artiste.
Les enfants de l’utopie
L’un favorable, enthousiaste, idolâtre, vante le progrès indéfini où triompherait la raison démocratique et sans frontière, à condition d’acculer l’individu à un exercice écrasant et abstrait de toutes les vertus civiques. L’autre, suspicieux, démissionnaire et revanchard constate l’effondrement du Politique et les décombres moraux et culturels que l’individualisme débridé et la « montée de l’insignifiance » orchestrée par l’argent accumulent sur nos têtes. Tels sont les enfants de l’utopie ; devant eux le Politique se trouve réduit à un jeu de rôles où les « représentants du peuple » ne sont que des figurants incapables de prendre en compte la vie des gens et de répondre pour le destin de la Cité. Ce livre s’efforce de reconnaître au milieu de ses ombres le Politique, écarté, dédaigné, travesti, besoin royal pourtant, art, inhérent à l’animal humain, qui en requiert la légitimité et la grandeur. Pour la survie d’abord de la Cité où il s’incarne ; ensuite our qu’elle détermine elle-même un vivre ensemble où l’autorité protectrice des libertés ne sera pas privée de « l’esprit de suite » ; où le passé ne sera pas haï mais accepté en héritage et en symbole vivant de notre histoire commune ; où le futur enfin, intimidant les désespoirs et les tombeaux formera le cortège radieux d’un nouveau prince.
Nom : Killingsworth. Prénom : Séréna. Age : 15 ans. Lieu de résidence : Los Angeles, Etats-Unis. Qualité : lit dans les pensées. Défaut : ne contrôle pas toujours son pouvoir, et peut se laisser envahir par les pensées des autres. Manque de confiance en elle, en particulier avec les garçons. Meilleures amies : Jimena, a des prémonitions, mais ex-membre de gang, est encore en liberté surveillée ; Vanessa, peut se rendre invisible, mais disparaît chaque fois que son petit ami tente de l’embrasser ; Cathy, peut voyager dans le temps, mais doit travailler ses atterrissages. Mission : Filles de la Lune, elle vont devoir livrer un combat sans merci contre l’Atrox et ses Suiveurs, voleurs d’âmes et d’espoir. Tout en continuant, bien sûr, à suivre leurs cours au lycée, et à sortir au Planet Bang, leur boîte préférée de Los Angeles ! Le Sacrifice est le cinquième tome d’une nouvelle série d’aventures fantastiques , dans la lignée de Charmed et de Buffy contre les vampires.
Votre corps n’a jamais rien oublié. Dans ses raideurs, dans ses rétractions, dans ses douleurs se révèle toute votre histoire. Depuis votre naissance, vous avez réagi à des pressions : «Tiens-toi comme ceci, comme cela. Ne touche pas. Ne touche pas…» Vous vous y êtes plié et pour vous conformer, vous vous êtes déformé. Une femme vous raconte son expérience personnelle et professionnelle et vous propose une anti-gymnastique. Non pas un dressage forcé du corps-viande, du corps considéré comme une bête à discipliner, mais des mouvements qu’elle appelle des «préalables». C’est par eux que vous ferez un voyage à rebours à travers le temps de votre vie et que vous retrouverez votre vrai corps harmonieux, équilibré et autonome.
La grande mademoiselle
De toutes les femmes que Louis XIV a côtoyées, sa cousine Anne-Marie-Louise d’Orléans, duchesse de Montpensier, dite la Grande Mademoiselle, est sans nul doute celle qui lui a donné le plus de fil à retordre. Cette petite-fille de Henri IV entre dans la Fronde, fait tirer les canons sur les troupes du jeune souverain en train de reconquérir son royaume. Richissime, pétrie d’orgueil et de grandeur, elle ne se refuse aucun caprice et s’aménage de magnifiques demeures. Auteur prolixe, elle rédige d’innombrables mémoires, portraits littéraires, romans, écrits spirituels et lettres. D’un tempérament exubérant, elle s’éprend à l’âge mûr du futur duc de Lauzun qu’elle épouse secrètement, et sa passion désordonnée sème le trouble à la cour. Excentrique, intelligente, bouillonnante, la Grande Mademoiselle éclaire tout le XVIIe siècle. C’est cette personnalité hors du commun que Christian Bouyer restitue dans sa plus entière vérité.
La Genèse, qui est le premier livre de la Bible, raconte la création de l’homme et les commencements du monde, mais elle les raconte de façon très laconique. Par exemple, il n’est dévoilé nulle part quelle espèce de poison renfermait le fruit de l’Arbre de la Connaissance. Il n’est pas montré comment Eve, pour avoir Adam à elle toute seule, le brouilla avec les animaux, la nature et le Créateur lui-même. Quelles circonstances atténuantes Caïn avait-il pour que le Seigneur défendît qu’on le tuât ? Dieu, enfin, après avoir été content de son œuvre, en a été dégoûté au point de la rayer comme un brouillon par le Déluge et de la recommencer. Le Livre de la Genèse est particulièrement émouvant en ce qu’il montre comment le Tout-Puissant s’est heurté aux hommes. Ceux-ci, souvent, en dépit de leur foi et de leur amour, lui résistent, discutent avec lui, et il arrive qu’ils influent sur sa volonté. Jean Dutour a en quelque sorte ” rempli les blancs ” de la bible, c’est-à-dire qu’il a ajouté au récit sacré des détails historiques ou psychologiques, ainsi que quelques raisonnements qui manquent. Rien n’est changé mais tout est éclairé, tout prend soudain vie, et l’on s’aperçoit que les hommes qui existaient il y a des milliers d’années sont nos pères, presque nous-mêmes. Abraham, Jacob, Joseph, tous ces précurseurs avaient notre cerveau et notre cœur.
La nouvelle vie de Sophie S.
Lorsque Sophie, trente-six ans, perd son mari d’un cancer après trois courtes années de bonheur conjugal, elle doit réapprendre à vivre seule. À force de se gaver de crèmes glacées et d’antidépresseurs, elle se met à dérailler et finit par perdre – en plus de son mari – son métier, sa maison et son tour de taille… À AshIand, petite bourgade de l’Oregon où elle a décidé de se retirer, Sophie se retrouve embarquée dans une suite d’aventures échevelées aux côtés de Ruth, sa meilleure amie au cœur brisé, de Crystal, une ado à problèmes un tantinet caractérielle, et d’un acteur trop beau pour être tout à fait honnête. Pourtant, une question la taraude : comment devient-on une veuve modèle ?
On ne se lasse pas d’aimer
Tu veux que je te survive. Je ne pourrai plus parler. Je ne peux pas m’exprimer. Je ne vois déjà plus clair. Je perds la tête…” Celle qui parle, c’est Marthe, la femme de Charles, frappée d’un mal terrible — la maladie d’Alzheimer. Elle redoute la déchéance physique et morale, multiplie les tentatives de suicide ; lui ne peut se résoudre à quitter sa compagne. Alors commencent huit années d’une lutte au nom de l’amour. Epris comme au premier jour, il prend tout en main. De celle qu’il n’a cessé d’aimer depuis leur mariage, il devient l’ange gardien, le valet — et toujours l’ardent amoureux. Huit années d’une étrange lune de miel : plus que jamais, Marthe et Charles sont unis malgré les chutes, les accidents, l’aphasie… Ils aiment encore s’aimer…
Le démon du passé
Pat Traymore, jeune et talentueuse journaliste de télévision, est sur le point d’attirer sur elle l’attention des milieux politiques les plus influents de Washington, grâce à une série d’émissions intitulées “Les femmes au gouvernement”. Séduisante, intelligente, interviewer-né, Pat est aussi profondément attachée à un membre important du Congrès. Apparemment, tout lui sourit sinon qu’elle s’est installée dans cette magnifique maison de Georgetown où un crime a détruit son enfance. Et, avant même son arrivée, quelqu’un, un inconnu, l’a menacée au téléphone, lui enjoignant de ne pas venir à Washington… Mary Higgins Clark transporte le lecteur dans le monde brillant de la capitale américaine – dîner de gala à la Maison Blanche, réceptions de Georgetown, la tribune du Sénat, la vie sous pression, le rythme exacerbé des coulisses de la télévision tout en échafaudant avec une maîtrise consommée un scénario envoûtant où s’affrontent deux ambitions féminines, provoquant une confrontation explosive qui les amènera chacune face à leur passé et au mystère qui les réunit.
Sauve qui peut l’amour !
Lili hésite. Stuart le véto ou Peter l’écrivain ? Sauf qu’il y a aussi Louis le botaniste et Andy le peintre en bâtiment… Et pourquoi pas la fuite ? Au volant de sa vieille Mazda, flanquée d’un chien d’emprunt, elle entreprend, du Maine en Floride, un long voyage à la découverte de soi. Sur le compteur, les images du passé défilent, pendant que Lili multiplie les rencontres improbables – une ribambelle de farfelus, d’âmes esseulées et autres chevaliers errants. A tous, elle pose les questions existentielles Comment la Barbie de notre enfance peut-elle à ce point influencer notre comportement amoureux ? La stabilité dans le couple conduit-elle forcément à la perte de l’identité ? D’où vient l’amour et où s’en va-t-il ? Un long et sinueux périple fait de doutes et d’égarements, de fous rires aussi, avec, au bout du chemin, la réconciliation…
