Les dents du bonheur
Marginale dans son métier parce qu’un peu trop bien élevée, éprise de pureté et de justice. Nicole Calfan, petite fille du Champs-de-Mars aux dents du bonheur, s’en est cassé plus d’une en voulant suivre sa ligne et faire de la résistance dans un milieu où tous les coups sont permis. De la Comédie-Française aux feuilletons qui ont bercé l’histoire de la télévision, des scènes de théâtre de toute la France aux films avec Alain Delon ou Dirk Bogarde, ce petit bout de femme énergique a tout vu, aimé, joué, enduré. Mais quel bonheur insatiable, après trente ans de carrière aux côtés de Jean-Paul Belmondo, Georges Descrières, Roger Hanin, Jean Poiret, Jean Yanne et tant d’autres, que de pouvoir encore éclater de rire devant son miroir ou pleurer sur l’épaule d’un de ses enfants pour un rôle qui se dérobe ou une proposition qui enchante. Comédienne à fleur de peau, elle raconte sans détours les passages à vide comme les grands moments de jeu, les remises en question comme les instants de joie. Un ouvrage sincère, tendre et émouvant où elle se donne à voir dans sa plus simple vérité.
Benoit ou les contemporains obscurs
« Benoît, je vois tellement comment va se passer notre histoire que c’est comme si elle était déjà passée… Regarde les gens, autour de nous : c’est toujours pareil… On est très fiers parce qu’on est la nouvelle génération, n’est-ce pas, la nouvelle France. Les nanas consomment leurs pilules, couchent ici et là, après quoi, au lieu de se marier comme Papa Maman, on vit ensemble, en se jugeant très supérieurs… Et on est très libérés, sportifs, on fait bien l’amour, on a des loisirs intelligents et culturels ! Et on s’ennuie, Benoît… Les coucheries, les couples qui tiennent deux ans, et on recommence un peu plus loin… Et on se croit libres ! Je ne parviens pas à trouver tout cela passionnant, Benoît. Je trouve ça d’une platitude écœurante. À quoi ça mène, dis-le-moi ? À frissonner de peur, la nuit, parce qu’on a déjà atteint la trentaine, parce qu’on est déjà un peu moins frais et rose… Benoît, tant pis si je te fais sourire : il m’arrive de me dire que l’homme que j’aimerais rencontrer, c’est le chevalier Lancelot ».
De cœur inconnu
Après la parution de L’amour dans le sang, livre dans lequel elle révèle sa séropositivité et sa greffe cardiaque, Charlotte Valandrey reçoit une lettre anonyme : “Je connais le coeur qui bat en vous, je l’aimais…” Ces mots, qui pourraient sembler fous, la bouleversent alors qu’elle est en proie à des cauchemars récurrents, des sensations de déjà-vu et des changements surprenants. Y a-t-il vraiment une autre vie en elle ? Un voyant troublant, un cardiologue amant, une psychanalyste rationnelle et un professeur figé dans le secret médical vont tenter de lui répondre.
Née à Paris en 1893, Violette Morris s’est d’abord illustrée comme estafette sur le front pendant la Grande Guerre, puis comme sportive de haut niveau, notamment en course automobile où elle gagna le Bol d’Or en 1927 devant des concurrents masculins. Mais en 1930, la Fédération féminine sportive de France la condamne pour » mauvais exemple aux jeunes filles « . Marginalisée, Violette fréquente les artistes, se fait couper les seins et s’installe avec sa compagne sur une péniche. Un homme venu la menacer y meurt sous les coups d’une arme à feu… Acquittée pour légitime défense, elle n’en devient pas moins une femme dangereuse, réputation qu’elle justifie en fréquentant les milieux collaborationnistes et allemands sous l’Occupation. A la tête d’un garage réquisitionné par la Luftwaffe tout en se livrant au marché noir, elle est accusée d’être agent de la Gestapo. Sa fin tragique sous les balles de la résistance normande en 1944 scelle le destin d’une figure hors norme qui n’a pas pu trouver sa place dans la France de l’entre-deux-guerres. Mal connu, objet d’une légende noire, le » dossier Violette Morris » méritait d’être rouvert. Une enquête minutieuse dans les archives des services secrets de la France libre, de la police, des procès en cour de justice de la Libération, et auprès des témoins en Normandie ne conclut pas à sa culpabilité. Et si Violette Morris incarnait tous les démons refoulés d’une époque ?
Oedipe roi
Il avait traversé silencieusement une ville qui suintait la mort. Pyloros, le portier de la citadelle, l’avait conduit jusqu’au vestibule du palais où les servantes l’avaient accueilli, selon le rituel. Souvent interrogé sur les circonstances de cette arrivée, Pyloros n’avait pu rapporter que trois choses sur l’étrange voyageur : la rareté de ses paroles, l’absence de tout bagage, l’enflure insolite de ses sandales. D’où venait-il ?
Noir comme le souvenir
On a décapité un ange, l’ange de pierre qui veillait sur la tombe de Hayley une gamine morte il y a vingt ans et qui fut-elle -même décapitée. Pour Caroline, la mère c’est le cauchemar qui continue. Comme s’il ne suffisait pas d’avoir perdu sa fille, quelqu’un semble vouloir ressusciter ce douloureux passé.
A couteaux tirés
« C,
Figure-toi que je serai dans ton secteur d’ici une quinzaine de jours. Un séminaire à Santa Cruz. Je n’ai rien de prévu le 16 octobre, un mardi, et j’aimerais beaucoup t’inviter à dîner. Choisis le restaurant, j’enverrai la facture au gouvernement.
Je t’embrasse,
H »
Henry se rend en Californie et revoit à cette occasion Celia, son ancienne maîtresse. Tous deux ont été agents secrets, à Vienne, et ne se sont pas revus depuis l’attentat terroriste qui a coûté la vie à cent vingt personnes dans un avion, cinq ans plus tôt. Celia a quitté la CIA et a fondé une famille. Malgré les sentiments qu’il éprouve encore, Henry a aujourd’hui une mission à remplir : découvrir ce qu’elle sait sur cette terrible journée où tout a basculé.
Un huis clos époustouflant où un simple dîner de retrouvailles, du moins en apparence, se transforme en habile joute verbale, chacun jonglant entre discussion personnelle et professionnelle, chacun poussant l’autre dans ses retranchements pour sauver sa peau… Une plongée magistrale dans les coulisses de l’espionnage et de l’antiterrorisme.
« Un tour de force splendide. » The Washington Post
« Olen Steinhauer est le digne héritier de John Le Carré. » Daily Mail
Dans les pas d’Arianne **
Dans Le testament d’Ariane, Anne héritait de sa tante. Désormais, le domaine familial landais lui appartient. Pour le pire, les épreuves qui s’accumulent et la fin de son mariage. Et surtout, pour le meilleur, le soutien de son frère Jérôme et, plus inattendu, de Julien, l’associé de son ex-mari. Alors qu’elle travaille d’arrache-pied pour transformer l’immense bâtisse en maison d’hôtes, la jeune femme trouve la suite du journal intime d’Ariane… dont les révélations pourraient bien briser l’unité déjà fragile de la famille.
La camarguaise
À la mort de François Valence, sa petite-fille Jordane a repris en main la destinée du Biloba, la bastide familiale en plein coeur des somptueux paysages de Camargue. Mais comment la seule exploitation des champs d’iris, des moutons mérinos et des chevaux andalous pourrait-elle sauver de la ruine un si lourd héritage ?
Déchirée à l’idée de perdre son domaine guetté par les huissiers, mais trop fière pour accepter l’aide de Lionel, son mari dont elle est séparée, la jeune femme décide de transformer le Biloba en hôtel de luxe : un choix douloureux, violemment critiqué par son entourage. Au sein des dynasties arlésiennes, on n’aime guère les touristes…
Tandis que des intrigues se nouent autour du devenir du Biloba, la beauté et la fougue de Jordane font tourner les têtes et chavirer les coeurs : celui de Lionel, qui n’a pas perdu espoir de la reconquérir, mais aussi celui de deux hommes, deux frères que tout sépare, et qui vont se disputer son coeur…
Op-Center – Tomes 5, 6, 7 et 10
Tome 5 – Rapport de force – Tragique événement pour Op-Center : l’un de ses agents vient d’être abattu en pleine rue, à Madrid où il menait une mission diplomatique secrète. Les meurtriers ? Les terroristes basques sont bien sûr soupçonnés. Mais ne s’agit-il pas plutôt d’une machination ? … L’Europe tout entière qui risque de se transformer en une véritable poudrière.
Tome 6 – Etat de siège – État de siège à l’ONU : un groupe d’ex-Casques bleus vient de s’emparer de diplomates et de leurs invités lors d’une réception officielle à New York. Parmi les otages, la fille de Paul Hood, l’homme à la tête d’Op-center. 100 millions de dollars : le prix de la rançon. L’enjeu est grave.
Tome 7 – Diviser pour régner – La crise internationale et le désordre politique sont à leur paroxysme. Situation idéale pour s’emparer du pouvoir. Mais pour régner, il faut diviser. Attiser les tensions entre l’Iran et l’Azerbaïdjan et impliquer les États-Unis et la Russie : c’est le but d’un redoutable réseau terroriste.
Tome 10 – Chantage au nucléaire – Lorsqu’un homme d’affaires influent prend goût au terrorisme,
le pire est à craindre … Panique en Asie du Sud-Est ! Au large des côtes indonésiennes, non loin d’un site de décharge nucléaire utilisé par la Chine, la Corée et le Japon, la collision entre un mystérieux yacht et le sampan de pirates singapouriens fait de nombreuses victimes…
Les silences du cœur
Quand la plus belle des passions laisse place à un drame silencieux. La redécouverte d’un roman bouleversant, le portrait d’une femme pleine de courage et d’espoir, par celle qui restera à jamais la reine de la littérature féminine. Lynn a vingt ans lorsqu’elle rencontre Robert Ferguson. Elle, la jolie secrétaire, tombe irrésistiblement amoureuse de son ténébreux patron. Un mariage heureux, deux enfants et une jolie maison dans les quartiers chics de la côte Est : le bonheur. Jusqu’au jour où un tragique accident emporte leur cadette. Soudain, les démons de Robert se réveillent. Violence verbale, puis physique. Si Lynn tente de sauver les apparences, la confiance est rompue. Que cache le passé de cet homme dont elle sait si peu ? D’où vient sa colère ? Avec l’aide de ses amis, Lynn tente de reprendre sa vie en main. Entre révolte et angoisse, comment échapper à ce cauchemar ?
Un tueur pour la mariée
Peu d’époques se prêtent aussi bien au récit criminel que la Renaissance italienne. On le savait déjà par l’Histoire officielle, l’épopée des Borgia ou celle des Médicis. Avec ce nouveau Grand Détective, Sigismondo et ses pittoresques acolytes, on pénètre dans les arcanes les plus mystérieux de cette période fastueuse et troublée à la fois. Enlèvements, meurtres, amours contrariées, vengeances familiales, fausses identités, nains et religieuses : tous les ingrédients d’un whodunit historique sont réunis. Laissons-nous emporter.
Noël à la petite boulangerie
Polly Waterford ne voit pas le temps passer… Sa petite boulangerie l’occupe du matin au soir, au désespoir d’Huckle, son compagnon, qui rêve de profiter d’une simple grasse matinée avec elle. À l’approche des fêtes de fin d’année, Huckle rêve aussi d’un Noël en amoureux, bien au chaud dans leur grand phare, avec leur petit macareux Neil. Mais quand Kerensa débarque à Mount Polbearne pour dévoiler à sa meilleure amie un terrible secret sur son passé, Polly voit soudain son avenir s’assombrir. D’autant que la révélation de Kerensa menace la belle histoire qu’elle a construite avec Huckle. Jusqu’à présent, Polly a toujours réussi à surmonter les épreuves en cuisinant. Pourtant, cette fois-ci, préparer de bons petits pains risque de ne pas suffire à la sortir d’affaire. Polly est-elle prête à affronter son passé ? Réussira-t-elle à remettre sa vie sur de bons rails pour passer un joyeux Noël auprès de ceux qu’elle aime ?
Au milieu du XIXe siècle, un adolescent français de seize ans fonde une Compagnie dont il est le seul employé. 160 ans plus tard, ses successeurs la développent toujours. Si vous aimez l’Afrique qui gagne et les aventures hors du commun, vous allez vous passionner pour l’histoire d’une entreprise française qui depuis 160 ans traverse avec succès les vicissitudes de l’Histoire européenne, africaine et mondiale.
Ce livre retrace l’itinéraire d’une des pensées les plus originales de notre génération, qu’elle s’exprime sur les arbres ou sur le zen. D’abord philosophe, Jacques Brosse, animé par une curiosité inlassable, aiguillonné par une constante quête spirituelle, a suivi une psychanalyse didactique. Il s’interroge dans cet ouvrage, qu’il tient pour l’un des plus importants qu’il ait écrits, sur son cheminement de philosophe et de chrétien, au carrefour du bouddhisme – des substances hallucinogènes à l’enseignement des chamans sud-américains, puis à celui des moines bouddhistes. Il évoque sa rencontre avec de nombreuses personnalités : Albert Camus, Gaston Bachelard, Claude Lévi-Strauss, Henri Michaux, Jean Cocteau, Jean Malaurie, et les maîtres du bouddhisme. Enseignant-errant du zen en France et en Europe, il témoigne d’une acceptation joyeuse de la vie et de son terme, sans cesser de plaider pour un retour à l’ordre naturel menacé par la rentabilité et la médiocrité des gouvernants.
Le plus bel endroit du monde est ici
Iris, âgée de trente-six ans, est bouleversée par la mort de ses parents dans un accident de voiture. Par un après-midi froid et gris où rien ne semble plus avoir de sens, elle songe à commettre l’irréparable. Quand soudain, elle découvre un petit café auquel elle n’avait jamais prêté attention. Son nom étrange, Le plus bel endroit du monde est ici, ayant éveillé sa curiosité, elle décide de pousser la porte et d’aller s’asseoir à une table. Un jeune Italien vient bientôt l’y rejoindre, il se prénomme Luca. Ensemble, ils commencent à évoquer la vie d’Iris. Pendant six jours d’affilée, ils se retrouvent au même endroit et, progressivement, Iris semble sortir la tête de l’eau. Mais au septième jour, Luca demeure introuvable. Iris comprend qu’elle ne le reverra plus. Ce qu’elle ignore en revanche ce sont les raisons de sa disparition. Mais une chose est certaine, la semaine qui vient de s’écouler avait quelque chose de magique… Au sens propre du terme.
Les impressionnistes – Gauguin
Raymond Cogniat, né le 14 avril 1896 à Paris et mort le 23 février 1977 dans cette même ville, est un homme de lettres, critique d’art et inspecteur des Beaux-arts français.
Les impressionnistes – Pissarro
Camille Pissarro est né à Saint-Thomas, colonie française des Antilles, le 10 juillet 1830. Son père Abraham juif français d’origine portugaise est commerçant en quincaillerie et sa mère Rachel Manzano-Pomie est créole des Antilles danoises.
Le Tartuffe
Un faux dévot s’installe dans la famille d’Orgon dont il fait sa dupe, y vit grassement et manifeste une assez vive sensualité pour courtiser la maîtresse de maison – avant d’être finalement démasqué. Le sujet de sa pièce, Molière dut longuement batailler pour finalement l’imposer en 1669, car, à sa première représentation à Versailles, la comédie avait été jugée dangereuse : s’il décriait les apparences de la vertu, Molière ne rendait-il pas également suspects les dévots authentiques ? Car tel est bien l’enjeu sérieux de la pièce : percer à jour l’hypocrisie tout en nous incitant à méditer sur le déguisement et la métamorphose. Mais Le Tartuffe est aussi une comédie de mœurs et de caractères où la farce peu à peu s’inßéchit vers le drame et cependant s’harmonise parfaitement avec lui. Molière fait preuve ici d’un métier admirable pour faire passer le spectateur du rire franc à la plus délicate émotion, de la gaieté la plus vive à la réflexion la plus grave, et parfois la plus sombre.
Les impressionnistes – Cézanne
Paul Cézanne naît le 19 janvier 1839, à Aix-en-Provence. Son père, Louis Auguste Cézanne, venant de Saint-Zacharie (Var), descendant de petits artisans (drapiers, ferronniers, etc. ) repérés à Marseille depuis la fin du XVIe siècle, possède une chapellerie sur le cours Mirabeau. La famille est assez aisée et le père crée une banque, le 1er juin 1848, 24, rue des Cordeliers[1], établissement qu’il transfère en 1856 13, rue Boulegon[2], ainsi qu’à laquelle il donnera le nom de «Banque Cézanne et Cabassol», de son nom propre et de celui de son associé. Paul Cézanne fréquente le collège Bourbon (devenu lycée Mignet), où il se lie d’amitié avec Émile Zola. Il entreprend sans enthousiasme des études de droit à l’Université d’Aix. Il suit des cours à l’École de Dessin et aménage un atelier au Jas de Bouffan, résidence que son père a acquise. Il se rend une première fois à Paris en avril 1861, poussé par son ami Zola, mais n’y reste que quelques mois et retourne dans le domaine familial à l’automne, inaugurant ainsi une série d’allers-retours entre la ville-lumière et la Provence.
Les impressionnistes – Toulouse Lautrec
Peinture XIXe siècle, cabarets, Goulu, maisons closes, l’univers de Toulouse Lautrec.
Les impressionnistes – Renoir
Dans un bel épanouissement du paysage impressionniste durant la seconde moitié du XIXe siècle, Alfred Sisley occupe une place originale. Singulière destinée que celle de cet anglais, français d’adoption, qui, sans s’écarter de sa voie, sans montrer d’hésitation, sut peindre en toutes saisons les paysages les plus mesurés, les plus harmonieux, à la double gloire de l’Ile-de-France et de la sensibilité de ses habitants. À la lumière des publications existantes, mais aussi et surtout grâce à des renseignements nouveaux – lettres inédites, journaux intimes, tableaux et carnets de dessins retrouvés – il est apparu qu’une étude d’ensemble sur celui que l’on considère, aujourd’hui, comme l’un des créateurs de l’Impressionnisme français, devait être tentée. Dans cette nouvelle monographie, François Daulte s’est proposé de faire revivre la carrière de Sisley, tout en la situant dans son milieu et dans son époque. Si l’artiste quitta parfois sa retraite de Louveciennes et, plus tard, sa chère maison de Moret-sur-Loing pour aller peindre les brouillards de Londres, les régates de Hampton Court ou les falaises de Langland, il revint toujours au coin de terre qu’il avait élu. Ce qui compte dans la vie de Sisley ce sont les liens qui l’unirent à ces rives de la Seine et du Loing, où les gens et les choses lui étaient familiers. Ayant choisi un pays, Sisley s’y est maintenu avec fidélité.
Les impressionnistes – Degas
Cet ouvrage a été publié à l’occasion de l’exposition Degas présentée à Paris, Galeries nationales du Grand-Palais, du 9 février au 16 mai 1988, à Ottawa, National Gallery of Canada, du 16 juin au 28 août 1988, et à New York, Metropolitan Museum of Art, du 27 septembre 1988 au 8 janvier 1989.
Power Games (04) – Frappe biologique
Ce n’est plus un cauchemar.
C’est peut-être déjà la réalité.
L’arme parfaite. Celle qui a le pouvoir de détruire l’humanité entière mais permet de cibler ses victimes.
Un virus dormant qu’une simple injection de microcapsules permet d’activer.
Toutes les capitales du monde sont en état d’alerte. Il faut trouver la riposte à ce fléau qui menace la planète.
Maintenant ou jamais.
Avec Dette d’honneur et Sur ordre, Tom Clancy avait malheureusement deviné et décrit l’horreur et le terrorisme aveugle d’aujourd’hui. Frappe biologique, dont la vraisemblance géopolitique rattrape la pire des actualités, ne fait que confirmer que toute ressemblance avec des situations ou des personnages réels n’ont plus rien d’imaginaire.
Power Games (01) – Politika
La mort de son président amène la Russie au bord du chaos. Les trois hommes qui assurent l’intérim – un nationaliste, un réformiste, un communiste – se révèlent incapable d’empêcher une famine accrue par de mystérieux attentats contre des silos à grains.
Au même moment, le terrorisme frappe en plein New York, faisant des centaines de victimes. Comme si l’on voulait rendre impossible l’aide que les États-Unis s’apprête à apporter à Moscou.
Businessman à la tête d’une société de haute technologie, Roger Gordian a compris la menace. C’est à son propre réseau, composé de managers et d’experts, mais aussi d’ancien agents des services secrets, qu’il confie la mission d’enrayer cet engrenage.
Le prix à payer sera terrible. Le combat haletant.
L’auteur d’Octobre rouge nous entraîne dans les coulisses du vrai pouvoir mondial.
Auteur/Editeur – Création sous influence
Laurence Santantonios, journaliste à Livres Hebdo, a mené une enquête publiée sous le titre Auteur/éditeur. Création sous influence (Loris Talmart). Maurice Nadeau et Raphaël Sorin avec Michel Houellebecq, Robert Laffont avec Serge Lentz, Jean-Marc Roberts avec Christine Angot et François Taillandier… En s’appuyant sur des entretiens entre des écrivains et leurs éditeurs, Laurence Santantonios fait pénétrer le lecteur dans ces lieux étranges auxquels il n’a pas accès…
Power Games (05) – Guerre froide
En procédant à l’installation d’une base de recherche dans l’Antarctique, les hommes d’UpLink veulent tester un robot d’exploration ultra-performant. Mais à peine mis au point, celui-ci disparaît. C’est la première énigme d’une longue série à l’échelle planétaire : meurtres maquillés en accidents ou en suicides en Écosse, inquiétantes activités d’un consortium privé à Zurich, étrange vol au musée Picasso à Paris…. Un vaste trafic de déchets nucléaires menaçant l’équilibre écologique et géopolitique de la planète pourrait bien être la clef de ces mystères.
Mais en Antarctique, le satellite d’observation SOHO annonce l’imminence d’une gigantesque tempête solaire menaçant d’isolement la base d’UpLink. Pour Gordian et son équipe, commence une longue nuit noire, la déclaration d’une nouvelle « guerre froide » dont on ignore encore l’origine… Le pire peut toujours arriver : entre réalité virtuelle et géopolitique, espionnage et technologie de pointe, un scénario-catastrophe à couper le souffle, signé Tom Clancy.
Power Games (06) – Sur le fil du rasoir
Au cœur des combats technologiques d’aujourd’hui, un combat plus cruel encore se prépare… L’Afrique, nouveau champ de bataille du XXIe siècle. Source de profits exploitée par les multinationales qui se disputent le marché du câblage sous-marin. Au premier rang: Roger Gordian d’UpLink International.
Pour lui barrer la route : Harlan Devane, son pire ennemi, maître du marché noir, affilié aux groupes terroristes et aux États corrompus. La mainmise sur le câble lui offrirait un accès illimité à l’information. II connaît le point faible de Gordian et rien ne l’arrêtera : ni le meurtre ni le chantage.
Plus que jamais, Gordian devra faire confiance aux équipes d’UpLink pour arracher sa fille aux griffes de Devane et se débarrasser de son adversaire. Une fois pour toutes ? Entre réalité virtuelle et géopolitique, espionnage et technologie de pointe, le nouvel épisode de la série Power Games, signée Tom Clancy.
Power Games (03) – Ronde furtive
UpLink, l’entreprise de Roger Gordian, s’est diversifiée dans la recherche spatiale. Elle est l’un des principaux sous-traitants du programme de station spatiale internationale. Mais la navette Orion chargée d’emporter un de ses modules est détruite au lancement par un incendie. Simultanément, un groupe terroriste s’en prend au site de construction installé par UpLink au cœur de la forêt brésilienne. Y a-t-il un lien entre les deux ? C’est l’avis des agents d’UpLink et de la commission d’enquête de la NASA. L’heure est grave, d’autant que les Russes doivent lancer, depuis Baikonour, leur propre module de la station spatiale… Roger Gordian va devoir affronter une organisation criminelle dont le but inavoué est de se livrer, depuis l’espace, à un chantage à l’échelle internationale… Après Politika et Ruthless.com, Tom Clancy poursuit sa nouvelle grande série de technothrillers. Géopolitique, techniques de pointe astronautiques, informatique, espionnage : Ronde furtive vous mettra sur orbite entre centres spatiaux et sites de recherche high-tech…
Power Games (02) – Ruthless.com
Aujourd’hui, les logiciels de cryptage protègent les codes utilisés par les réseaux de communication et les systèmes de sécurité. Autoriser la libre exportation de ces technologies de pointe représenterait d’énormes gains mais donnerait aux espions et aux terroristes l’accès à des données secrètes essentielles pour la sécurité.
Quand Roger Gordian, le patron d’UpLink, leader mondial en ce domaine, refuse de céder la licence de ses programmes de chiffrement à des sociétés étrangères, il découvre soudain que son entreprise fait l’objet d’une tentative d’O.P.A. dont le but avoué est précisément la libéralisation du cryptage informatique.Gordian se retrouve seul pour défendre la sécurité du pays.
Il va devoir affronter une dangereuse coalition : un réseau de gros bonnets de la drogue, de militaires et de politiciens véreux dont le premier objectif est de le mettre définitivement hors circuit. Fût-ce au prix de la paix mondiale.
Classe de Lune
Classe de neige, de mer ou classe verte, c’est dépassé. Le CM2 de Christophe se prépare à une grande première : une classe de lune ! Formés et informés, entraînés, habillés et conditionnés pour cette expérience unique, les élèves semblent fin prêts pour que le voyage se passe dans les meilleures conditions. Mais la lune réserve bien des surprises et une drôle de musique aux jeunes terriens.
Olga oh ! La la !
Olga a besoin de tout son sens de l’humour pour faire face aux rebondissements de sa vie quotidienne. Il faut dire qu’elle est dotée d’une mère d’origine hongroise, à la personnalité quelque peu exubérante et qui roule les r à n’en plus finir. Ce n’est pas toujours facile à assumer auprès des camarades de classe, prompts à se moquer. Olga raconte ici cinq de ses aventures, où la complicité et la tendresse l’emportent toujours.
Le Horla et autres contes fantastiques
Par une belle journée de printemps, depuis son jardin, un homme salue un superbe trois-mâts qui passe sur la Seine. Mais, rentré chez lui, il est saisi d’un étrange malaise. Bientôt surviennent des événements mystérieux. Chaque soir, de l’eau disparaît sans raison de la carafe posée sur sa table de chevet et son sommeil est interrompu par un même cauchemar : il croit sentir une créature invisible se pencher sur son corps et aspirer sa vie. Confrontation avec l’invisible, expériences magnétiques, hallucinations : dans ce recueil qui réunit six chefs-d’œuvre de Maupassant, le cadre réaliste est sans cesse bouleversé par l’irruption du surnaturel et de la folie.
La dame de pique (et autres textes)
La Dame de pique, nouvelle fantastique d’Alexandre Pouchkine (1799-1837), structurée comme un roman, met en scène des personnages du théâtre populaire. La fin, suggérée par une citation en exergue, met le lecteur sur la voie : « La dame de pique signifie une malveillance cachée. » Écrivant comme on abat l’une après l’autre ses cartes maîtresses, Pouchkine rencontre différentes figures du fantastique (le comte de Saint-Germain, une revenante), mais sans s’y attarder. Le dialogue, la satire sociale, quelques remarques mêmes sur la littérature russe arrivent à trouver place dans ce condensé romanesque.
La marraine de guerre
A partir de 12 ans – Pendant la guerre de 14-18 un jeune poilu enfoncé jusqu’au cou dans sa tranchée boueuse et sanglante, ne garde le moral que grâce au courrier de sa marraine de guerre. Malgré la misère de ses camarades de feu, le jeune homme rêve de rencontrer celle-ci tout en redoutant cette visite qui lui enlèvera tout le mystère qui l’auréole.
« Chère Marie-Pierre,
Hier, mon bataillon est monté à l’assaut. Quelle misère de voir les camarades tomber à la renverse dans le boyau touchés avant même d’avoir eu le temps d’armer leur fusil! Il faut sauver sa peau, du moins le plus longtemps possible.
Votre pauvre poilu qui vous embrasse bien fort. Etienne ».
De la Terre au Ciel
Dans cet ouvrage, qui couronne le cheminement de toute une vie, le très renommé Billy Graham vous invite à vous joindre à lui dans cette découverte du plan de Dieu pour ce voyage enthousiasmant qui se nomme la vie.
Quelque soit l’endroit où vous vous trouvez, que ce soit au début du voyage, au milieu ou près de la fin, vous avez déjà appris que la vie offre une diversité de chemins. Et chaque croisement, chaque croisée des chemins exige un choix ; quelques-uns insignifiants, d’autres majeurs.
Comment choisir le bon chemin et manœuvrer à travers les inévitables bosses et nids de poule qui se présentent devant vous ? Découvrez celui qui veut se joindre à vous et vous aider, malgré les défis qui se présentent, à arriver un jour à bon port, à la maison.
L’Évangile de Jimmy
« Je m’appelle Jimmy, j’ai 32 ans et je répare les piscines dans le Connecticut. Trois envoyés de la Maison-Blanche viennent de m’annoncer que je suis le clone du Christ ».
D.V.C.
Sa maman de papier
Invité en Sologne à une partie de chasse, Lord Blackenfield fait une chute de cheval et est soigné par la fille du garde-chasse, Nicole Grammont, que, peu de temps après, il épouse. Les manières simples et spontanées de Nicole déplaisent à son mari qui les lui reproche sans indulgence.
– Vous ne devez pas vous conduire ici comme la fille d’un garde-chasse ! lui lance-t-il, un jour, au paroxysme de la colère.
– Je vous défends de me parler ainsi, réplique-t-elle, mon père était un homme bien élevé et n’insultait pas les femmes !
Plutôt que de supporter humiliation sur humiliation, lady Blackenfield, qui a touché le fond de toutes les amertumes, s’enfuit, laissant son fils Michaëlis à son mari, lequel entend assumer seul son éducation. La coupe est pleine…
Et chaque soir, devant le portrait de sa mère, l’enfant dépose quelques fleurs. « Ça c’est une maman de papier… C’est une image… comme dans les livres.
La reverra-t-il un jour?
La maison du corsaire
Une dette d’honneur oblige le comte Renaud de Mombrun à épouser. Sabine Sainclair. Mais, le soir même du mariage, elle apprend que Renaud la méprise, elle et sa famille, et lui refuse de jouer le moindre rôle à son foyer. De longtemps elle n’oubliera cette humiliation.
Dans le vieux château breton du comte, autrefois maison de corsaire, vivent des personnages étranges qui cherchent à éloigner Sabine en l’effrayant. Pour la jeune femme les avertissements se succèdent, puis les menaces. Enfin viennent les actes. Ne tente-t-on pas de la tuer au cours d’une chasse ?
Avec dignité Sabine fait face aux forces obscures qui cherchent à l’évincer. Après avoir arraché, enfin, son mystère à la Maison du Corsaire et découvert, avec stupeur, le visage de l’imposture, de la haine, découvrira-t-elle aussi celui de l’amour ?
Ca peut pas rater !
– J’en ai ras le bol des mecs. Vous me gonflez ! J’en ai plus qu’assez de vos sales coups ! C’est votre tour de souffrir !
Marie pensait avoir trouvé l’homme de sa vie, jusqu’à ce que son couple implose de façon brutale et scandaleuse.
Anéantie, elle prend une décision sur laquelle elle jure de ne jamais revenir : ne plus faire confiance aux mâles et surtout, ne plus rien leur passer.
Ni dans sa vie privée, ni au travail. On remet les compteurs à zéro. On renverse la vapeur. La gentille Marie est morte, noyée de chagrin. À présent, c’est la méchante Marie qui est aux commandes.
Marie est remontée comme un coucou. Marie ne croit plus à l’amour, ce mirage source de tous les malheurs des femmes.
Mais voilà, Marie a du cœur, une famille, des amies aussi tordues qu’elle et une soif de vivre qui n’a pas fini de la précipiter dans des plans impossibles. Et si, au-delà de ses illusions perdues, il était temps pour elle de découvrir tout ce qui vaut vraiment la peine d’être vécu ?
L’Infidèle
Le jour même de notre mariage, lord Michaël Wells, mon mari, a trouvé la mort dans un accident de chemin de fer où je fus moi-même grièvement blessée.
Restée seule au monde, j’accepte l’invitation de la famille de mon mari, bien que celui-ci ne m’ait jamais parlé d’elle. Je gagne donc l’Angleterre, et la magnifique propriété de la richissime lady Marwyn, où, je ne tarde pas à l’apprendre, des faits bien étranges se sont produits naguère : morts brutales et disparitions. Je soupçonne alors qu’on m’y a attirée dans un dessein précis.
Afin de percer ce mystère et d’autres que je pressens, je me laisse fiancer à l’héritier du domaine… à Randolf, que j’aime en secret. Soumission fatale et fatale amour, car je découvre bientôt que mon mari vit.
Est-ce donc lui, Michaël, qui détient la clef du passé? Hélas, je ne peut plus ouvrir pour moi que le renoncement et le malheur.
Mon ennemi et moi
A Villarza, joli coin perdu dans les montagnes de Navarre, la jeune et romanesque Isabelle vit avec sa soeur, Béatrice, chez la tante qui les a recueillies. Tony, un ami d’enfance, partage souvent leur existence un peu monotone.
Un hasard inespéré amène à la villa voisine le talentueux romancier Maurice de Viera : Béatrice l’admire avec une ferveur que la bouillante Isabelle prend pour de l’amour. Dès lors, elle met tout en œuvre pour es rapprocher.
La présence de Giadys, ravissante amie anglaise, qui gravite dans le sillage de Maurice, inquiète particulièrement la jeune fille et l’amène à commettre une véritable extravagance pour retenir le romancier à Villarza.
Humilié, Maurice conserve au cœur une rancune solide. Et, lorsque les circonstances le remettront en ‘ace d’Isabelle pour une vengeance… très spéciale, i réalise qu’il est amoureux de la petite furie qui lui tient tête.
Cet amour tumultueux finira-t-il par Ies réunir, au-delà de leur orgueil, au coeur même de leur pays en lutte, tandis que Béatrice, la sage, réalisera le bonheur tranquille auquel elle aspirait.
Socialisme et liberté, Nation-identité-mondialisation – Éthiopiques est une revue culturelle sénégalaise de langue française, à vocation panafricaine, créée en 1975 par Léopold Sédar Senghor et éditée par la Fondation Senghor.
Le bruit de tes pas
« La Forteresse », 1974: une banlieue faite de poussière et de béton, royaume de l’exclusion. C’est là que grandissent Beatrice et Alfredo: elle, issue d’une famille pauvre mais unie, qui tente de se construire une vie digne; lui, élevé avec ses deux frères par un père alcoolique et brutal. Presque malgré eux, ils deviennent bientôt inséparables au point de s’attirer le surnom de « jumeaux ». Mais ce lien, qui les place au-dessus de leurs camarades, tels des héros antiques, est à la fois leur force et leur faiblesse. Car, parallèlement à la société italienne, touchée par la violence des années de plomb, leur caractère, leur corps et leurs aspirations évoluent. Chez Beatrice, qui rêve de rédemption et d’exil, l’amitié initiale se transforme peu à peu en amour sauvage, exclusif. Chez Alfredo, fragile et influençable, le désespoir s’accentue. Drames familiaux, désœuvrement, alcool et drogue, tout semble se liguer pour détruire les deux jeunes gens. Et, quand l’héroïne s’insinue dans la vie d’Alfredo, Beatrice, tenace, ne ménage pas ses forces pour le sauver, refusant de comprendre que la partie est perdue. Le bruit de tes pas est le récit de ces quinze années d’amitié et d’amour indéfectibles. Un premier roman âpre d’une sobre poésie, une voix qui perdure longtemps dans l’esprit de son lecteur.
Islam et philosophie, Islam et littérature – Éthiopiques est une revue culturelle sénégalaise de langue française, à vocation panafricaine, créée en 1975 par Léopold Sédar Senghor et éditée par la Fondation Senghor.
Coeur des ténèbres
C’est une lente et funèbre progression qui mène le capitaine Marlow et son vieux rafiot rouillé, par les bras d’un tortueux fleuve-serpent, jusqu’au « cœur des ténèbres. »
Kurtz l’y attend, comme une jeune fille endormie dans son château de broussailles. Ou comme Klamm, autre K., autre maître du château tout aussi ensorcelé de Kafka. Éminemment moderne, le récit de Conrad, écrit en 1902, suscitera toutes les interprétations : violent réquisitoire contre le colonialisme, féconde représentation d’une libido tourmentée, rêverie métaphysique sur l’homme et la nature, chacun de puiser selon son désir dans ce texte d’une richesse et d’une portée sans limites. Car au bout du voyage, les ténèbres l’emportent. L’illusion domine un monde où pulsions de mort, masques et travestissements ont stérilisé l’amour. Mais pas le rêve qui, par la magie de cette écriture inflexible, se lève et déploie ses splendeurs comme une brume aux échos incertains. Scarbo. Le récit, au fil de la remontée d’un fleuve en forme de serpent, nous entraîne dans une expédition au coeur du continent africain, peuplé de combattants invisibles et de trafiquants d’ivoire rongés par la fièvre. C’est l’un d’eux, M. Kurtz, que Marlow, le narrateur, est chargé par sa compagnie de ramener en Europe. Mais le responsable du comptoir perdu s’est » ensauvagé « , et les indigènes tentent de s’opposer à son départ…