Kran – 5 – L’invasion des envahisseurs
Alors que Krän, Kunu et le Garou se baladent tranquillement en forêt, v’là-t-y pas qu’ils se font agresser par de méchants teutons genre « casques à pointe ». Ils s’en prennent tout de suite au Garou, mais Krän ne supporte pas qu’on joue avec lui… Après il est tout énervé et il fait du mauvais poil tout terne. Alors du coup, pétage de gueule et compagnie… Les teutons maintenant, soit ils sont morts, soit ils se sont cassés sans demander leur reste. Mais Kunu fouille dans le sac de l’un des guerriers, et vous ne devinerez jamais sur quoi il tombe ? Il espérait de la thune, eh ben non, même pas … En revanche, il découvre un plan, le plan de la grosse invasione secrète (à prononcer avec l’accent fridolin s.v.p.)… Vous concevez un instant que Krän le Barbare va répondre aux injonctions d’une immense brute lui hurlant « Papier Raus ! » à l’entrée de Torgnol ? Vous imaginez le délire ? Vous sentez comme ils vont morfler les mecs ?…
Kran – 4 – Le grand tournoi
Dans ce nouvel album, y a Kunu qui déconne grave. Attiré par l’argent facile, il s’associe avec un certain Tonio, tout autant escroc qu’agent d’assurances. Et vas-y que le Kunu vend des assurances incendie à tour de bras et à tous les habitants du village. Et bien entendu, même pas cinq minutes après, t’as un dragon qui fout le feu à toutes les baraques. En taule le Kunu, et en taule le Krän, même si pour une fois il a rien fait. Pour rembourser leurs dettes (à savoir la modique somme de cent-quatre-vingt-dix mille huit-cent-soixante-dix-neuf mille six-cent-trente-trois millions de pièces d’or), Tonio les inscrit de force au grand tournoi organisé par la ville de Fourbulus, qu’ils sont évidemment obligés de remporter. Et là, Krän estplutôt jouasse : Ca va enfin castagner ! Et castagner grave !
Orbital – 1 – Cicatrices
Caleb et Mézoké forment un binôme exemplaire : c’est la première fois dans l’histoire de la galaxie que leurs peuples respectifs accèdent à cet honneur. Les Sandjarr, le peuple de Mézoké, s’étaient tenus à l’écart des instances politiques intermondiales jusqu’à ce que les guerres humano-sandjarr éclatent. Les humains avaient été écartés jusqu’à présent des plus hautes instances. Leur binôme revêt donc une importance symbolique. À peine sortis de leurs séances d’entraînement, les voilà embarqués pour leur première mission. Ils partent pour Senestam où un groupe de parias humains tentent d’exploiter illégalement une mine détenue par les Jävlodes. Basée sur un contexte géopolitique très riche, une fantaisie incroyable dans l’invention extraterrestre, comme dans les meilleurs « Valérian », cette histoire se déroule en deux tomes, cette première aventure se concluant dans » Ruptures « . Caleb et Mézoké forment un duo de choc, mal assortis et pourtant très complémentaires ! Attention, les agents de l’ODI vont décoller…
Ça y est, j’ai récupéré le talisman du rat ! Enfin. Je l’avais récupéré. Je venais juste de découvrir son pouvoir quand j’ai dérapé sur un des fichus jouets de Jade. Résultat : une jambe cassée ! Quant au talisman, Super-Gnome le robot a eu la mauvaise idée de l’avaler ! Manquait plus que ça !
Paul n’aurait jamais dû être si dissipé à l’école ! Pour le punir, ses parents décident de l’envoyer dans l’internat le plus strict du pays. II paraît que là-bas un terrible professeur, Mme Maargh, fait subir aux derniers de la classe un châtiment très spécial… Et si Paul n’arrivait pas à faire remonter sa moyenne ?
Tous les héros fuient Horrorland et se retrouvent dans un nouveau parc : Panic Park ! Une des Horreurs d’Horrorland envoie des mails à Lizzy et Luc Morris, leur signalant que quatorze enfants sont en danger. Les Morris n’hésitent pas une seconde : ils partent au secours des victimes. Une fois à Horrorland, ils déconseillent fortement à ceux qui sont encore en vie de se rendre à « Panik Park », un autre parc encore plus dangereux. Sauf que certains y sont déjà ! Lizzy et Luc décident donc de traverser le miroir pour rejoindre les malheureux. Ils se retrouvent dans un parc désuet, avec une grande roue vieillotte, des bateaux en forme de cygnes, et des manèges démodés. Lorsqu’un des enfants en danger, Robby Schwartz, découvre un journal daté de 1974, ils commencent à se poser des questions. Surtout qu’ils apprennent que le parc a été fermé suite à des disparitions inquiétantes et des meurtres inexpliqués, et complètement détruit. Et s’ils avaient remonté le temps ?
Laura adore les animaux. Les observer, les soigner, c’est sa passion. Alors elle passe beaucoup de temps dans la forêt voisine. Pourtant, depuis peu, des événements étranges s’y produisent. Les oiseaux se cachent, les chauves-souris sortent en en plein jour et attaquent sans raison. Et puis il y a ces gémissements terribles. Inhumains qui résonnent dans les bois. Que se passe-t-il ? Laura veut comprendre. A tout prix. Mais elle risque de le regretter amèrement.
En l’an 1519 de l’ère chrétienne, l’empire aztèque du terrible Moctezuma II vacille sous l’assault des envahisseurs venus de l’Est. Des milliers d’êtres humains sont massacrés. La population, terrorisée fuit le carnage. On annonce déjà la fin du monde. Votre famille, de pauvres paysans de Tlaxcala, s’est ralliée aux envahisseurs dans l’espoir de renverser la tyrannie aztèque. Mais vous-même avez été capturé et, à présent, vos jours sont comptés. Moctezuma II a en effet décrété que seul un sacrifice humain pouvait arrêter la brutale invasion et c’est vous qui avez été désigné comme victime ! Si vous réussissez à vous évader, échapperez-vous aux prêtres qui vous traqueront dans les ruines de la cité terrifiante et parviendrez-vous à retrouver votre famille?
Le Horla et six contes fantastiques
Un être invisible hante un personnage qui ne peut lui échapper. Une jeune morte réapparait dans un château gardé par un étrange jardinier. Une main s’anime et tue l’homme qui la gardait chez lui comme un trophée. Voici le sujet de trois des sept nouvelles de ce recueil, sept nouvelles fascinantes où le lecteur, confronté à des faits insolites et captivé par l’art du conteur, sent parfois vaciller sa raison.
Les misérables – Tome 1 – Jean Valjean
Une planche pour dormir, la chiourme, les coups, les boulets au pied, dix-neuf ans de cet implacable bagne ont fait du forçat Jean Valjean un homme meurtri, brisé. Tout ça pour avoir cassé un carreau et pris un pain. Pourtant, lorsqu’il est enfin libéré en 1815, l’espoir renaît lorsque l’ancien bagnard croise sur sa route Fantine et Cosette.
Lucile aime Valère et en est aimée. Mais son père veut la marier à un autre. La jeune femme joue la malade, espérant trouver un docteur complaisant qui lui conseille de s’installer au grand air ; là, son amant pourra la rejoindre. C’est Sganarelle, serviteur de Valère, qui devient médecin malgré lui. Un homme croit son épouse volage et lui ferme sa porte. Rusée, la jeune femme parvient à inverser la situation. Mari cocufié, valet fripon, médecin pédant… Voici deux courtes pièces qui mettent en scène les plus grands rôles du théâtre de Molière.
Le mariage de Figaro
La Folle Journée, ou le Mariage de Figaro est une comédie en cinq actes de Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais écrite à 46 ans en 1778, lue à la Comédie-Française en 1781, donnée en privé le 23 septembre 1783 dans la maison de campagne du comte de Vaudreil à Gennevilliers (dite château de Gennevilliers)1, mais dont la première représentation officielle publique n’eut lieu que le 27 avril 1784 au théâtre François (aujourd’hui théâtre de l’Odéon), après plusieurs années de censure2 : ce fut un triomphe, un événement, et l’occasion de polémiques. 68 représentations suivirent en huit mois.
Une journée d’Ivan Denissovitch
En 1962, pour qu’Une joumée d’Ivan Denissovitch pût être publiée en URSS, Soljenitsyne avait dû consentir à des coupures et, par endroits, remanier le texte original. Voici la version intégrale de ce roman si profondément, si tragiquement russe et qui, cependant, fait maintenant partie du patrimoine mondial de la culture. Vingt ans ont passé depuis qu’il a vu le jour. Des oeuvres monumentales ont succédé à ce joyau : le Premier Cercle, le Pavillon des cancéreux, Août Quatorze et ce requiem colossal qu’est l’Archipel du Goulag ; pourtant, c’est toujours Ivan Denissovitch qui revient le premier à la mémoire dès qu’on nomme Soljenitsyne. Récit, dans sa version intégrale, de la douloureuse expérience du maçon Denissovitch dans le camp Solovetski. Cette description crue du goulag a fait sensation dès sa parution.
Succession ouverte
Un homme vient de mourir, le vieux Seigneur. Avec lui meurt toute une époque. L’un de ses fils, Driss Ferdi, s’était jadis révolté contre lui, avait fui sa famille, son pays, brûlant de mordre à même la civilisation occidentale, de s’en nourrir, d’élargir son horizon humain. Or le jour où il s’aperçoit que la transplantation ne lui a apporté qu’angoisse, solitude, déséquilibre, il reçoit un télégramme de Casablanca lui apprenant la mort de son père. Il prend l’avion, regagne son pays natal. Par-delà la mort, le dialogue avec le père continue, la succession est ouverte.
La cuisine à la bière
Tout sur la fabrication de la bière. La partie historique raconte son usage au fil des temps dans les différents pays.
La première épouse
C’est moins le récit d’une séparation que celui d’un deuil car être quittée par son mari qu’elle connaît depuis trente ans est pour la narratrice pire qu’un simple divorce.
Elle se sent véritablement en deuil d’un vivant sans avoir droit aux consolations d’usage mais elle perd aussi du même coup une famille, des amis et, dans une certaine mesure, ses propres enfants. Bien sûr, elle savait son mari volage mais se croyait inattaquable dans son rôle de première épouse. Ce qu’elle découvre au-delà de l’effondrement dans la douleur c’est l’étendue et l’ancienneté d’une trahison. C’est aussi que même dans la grande bourgeoisie on n’évite pas forcément la violence (elle se retrouvera à l’hôpital) ni le grotesque d’un vaudeville procédurier. L’auteur de L’Allée du roi, ces mémoires imaginaires de Madame de Maintenon, donne ici un livre bouleversant de sincérité et d’autant plus touchant qu’au-delà de la nécessité du deuil, au-delà même de la vengeance contre le mari infidèle, c’est aussi le récit d’un nouvel apprentissage de la vie.
La curée
A la fin d’une chasse, pendant la curée, les chiens dévorent les entrailles de la bête tuée. Pour le jeune Zola qui déteste son époque, c’est le coeur de Paris, entaillé par les larges avenues de Napoléon III, que des spéculateurs véreux s’arrachent. Ce deuxième volume des Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire, est l’un des plus violents. Zola ne pardonne pas ces fortunes rapides qui inondent les allées du Bois d’attelages élégants, de toilettes de Worms et de bijoux éclatants. Aristide Saccard a réussi. Mais tout s’est dénaturé autour de lui : son épouse, Renée, la femme qui se conduit en homme, si belle et désoeuvrée, son fils, Maxime, l’amant efféminé de sa belle-mère. On accusa Zola d’obscénité. Il répliqua « Une société n’est forte que lorsqu’elle met la vérité sous la grande lumière du soleil. »
Cher Daddy
La foudre tomberait à ses pieds qu’Olivier Watson ne serait pas plus abasourdi quand sa femme Sarah lui annonce son départ. Elle a décidé de reprendre ses études et de se remettre à écrire. La quarantaine passée, lasse de n’être que l’ombre d’un homme qui s’est fait une belle carrière, elle veut enfin vivre sa vie. Elle ne reviendra jamais. Désespéré, puis la rage au coeur, Oliver mettra un an à comprendre. Une année fertile en conflits avec ses trois enfants – avec l’aîné surtout, qui, père à dix-sept ans, abandonne ses études pour entretenir son foyer. Un autre choc attend Oliver après le décès de sa mère, atteinte de la terrible maladie d’Alzheimer, son père s’empresse de se remarier. Mais george Watson n’a-t-il pas raison ? La belle Morgan Townsend ne sera, pour Olivier, qu’une tentation sans lendemain. Et c’est par le hasard d’une rencontre avec la grande vedette Charlotte Sampson qu’il retrouvera enfin le bonheur.
Rançon
Depuis la disparition de son mari, Fernanda vit un cauchemar : elle a perdu l’homme qu’elle aimait et se retrouve seule pour élever leurs trois enfants, avec des factures qui s’accumulent. Car si, aux yeux de tous, Allan Barnes était à la tête d’une immense fortune, personne ne sait qu’il est mort ruiné, ne laissant à Fernanda que des dettes. Et la jeune femme ne peut imaginer que le secret trop bien gardé de cette faillite va avoir de terribles conséquences sur elle et ses enfants, qu’elle devra affronter le pire, face à des gangsters aguerris ne reculant devant rien. Car, malgré l’aide de la police et du FBI, le drame va se produire… Seule la présence de Ted Lee, de la police de San Francisco, lui apportera réconfort et amitié.
A bon port
C’est sur une plage des environs de San Francisco que la petite Pip, 11 ans, rencontre Matthew, le pinceau à la main. Entre ce peintre sans nouvelles de sa propre fille et Pip, orpheline de père depuis peu, la complicité est immédiate.Une relation bientôt renforcée par la profonde amitié qui naît entre Matt et Ophélie, la mère de Pip, qui apprécie sa présence réconfortante et le nouvel équilibre qu’il a su instaurer.
Le cadeau
Déchiré par la perte d’un enfant, un couple se désagrège lentement. Noël à Grinnell, paisible petite ville des Etats-Unis. Une méningite emporte brutalement Annie Whittaker, âgée de cinq ans. En un instant, la vie sans nuages de sa famille bascule dans le malheur et le deuil. Liz, sa mère, et John, son père, ne peuvent que pleurer leur enfant à jamais. Et c’est dans la douleur et la solitude que Tommy, le frère de la jeune disparue, passera le cap difficile de l’adolescence vers l’âge adulte… Hélas cette mort injuste engendre la discorde : insensiblement, Liz et John Whittaker s’éloignent l’un de l’autre, vivant bientôt comme des étrangers dans la vaste demeure devenue silencieuse. Mais la providence veille, qui met Maribeth sur le chemin de Tommy. A seize ans, la jeune fille porte le fruit d’un amour fugitif… L’amitié qui lie les deux jeunes gens ne tarde pas à se muer en un sentiment plus profond. Et au Noël suivant, le cadeau que le ciel a trop vite retiré aux Whittaker leur sera restitué comme un miracle.
Au fond des yeux
La ville entière est sous le choc. Adam, un jeune autiste de neuf ans, a été retrouvé dans les bois à côté du corps sans vie d’une camarade d’école sauvagement poignardée. Quelques heures auparavant, les deux enfants avaient échappé à la vigilance des adultes pendant la récréation et s’étaient évanouis dans la nature. Tous les espoirs d’identifier le coupable reposent désormais sur le témoignage d’Adam. Mais, replié sur lui-même, il ne réagit pas et refuse de communiquer. Commence alors pour Cara, sa mère, un subtil exercice d’interprétation : saura-t-elle déchiffrer les silences de son fils et aider les enquêteurs à débusquer le meurtrier ? Thriller psychologique, Au fond des yeux raconte avec pudeur et justesse le courageux combat d’une mère contre les préjugés et l’isolement.
Le bel amour
Le temps d’un été, Laurence, fantasque et sensuelle, décide de s’installer à La Farge, en Dordogne, dans la propriété familiale où vit son oncle Georges Lacaze, misanthrope invétéré. L’été est chaud, l’orage tourne sans éclater : des villageois aux citadins en vacances, tous en subiront la touffeur moite, leurs vies bancales en seront changées.
L’amour n’y est pas pour rien, et si dans la famille Lacaze il est de tradition de le juger de mauvais goût, chacun en rêve et le poursuit. Brigitte Le Varlet sait évoquer avec cette vivacité tonique et chaleureuse, lucide et caustique qui lui est propre, le monde de la campagne fait de plaisirs simples, sensuels et généreux, mais aussi les rapports difficiles entre les êtres, l’usure des sentiments, le désarroi et le rêve. Humour, naturel et fantaisie pour une éducation sentimentale où la sagesse paysanne fait la nique aux affectations citadines.
Une nouvelle vie
Jillian et Jody sont des produits de l’insémination artificielle. Rose s’est développée dans le ventre d’une mère porteuse. David est le fils adoptif d’un célibataire endurci… Leurs parents sont riches et célèbres. Ils voulaient des enfants, ils les ont eus. Ils ne regrettent rien. Ils sont heureux mais ils sont inquiets. Un jour, les chers petits leur poseront des questions sur leur origine… C’est la raison pour laquelle ces parents un peu particuliers se retrouvent chaque semaine à Beverly Hills dans le cabinet du Barbara Singer, psychologue pour enfants. Là, ils évoquent leurs difficultés et apprennent à se remettre en cause pour affronter l’avenir avec sérénité. Un sujet original et d’actualité, traité avec finesse et sensibilité. Un beau roman à la fois chaleureux, drôle, triste et vrai.
Premier livre de Dany Laferrière, satire féroce des stéréotypes et des clichés racistes, Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer se présente comme la joyeuse description d’une vie de bohème, version black. Deux jeunes noirs oisifs partagent un appartement dans un quartier pauvre de Montréal. L’un d’entre eux, le narrateur, projette d’écrire un roman et, pour s’occuper, connaît diverses aventures féminines en dissertant sur la trilogie Blanc-Blanche-Nègre. Car c’est un juste retour des choses, après avoir souffert de l’esclavage, que de séduire toutes ces jeunes donzelles innocentes ou curieuses. Quant à son compère, Bouba, il dort, dort, dort. Et philosophe en lisant et relisant le Coran, sur des airs de jazz. Cachez vos filles, blanches mères, les nègres sont en ville !
Misérable Miranda
Un doberman dépressif ? Un ouistiti somnambule ? Un iguane irritable ? Une seule solution: Miranda ! Tout Londres ne parle que des miracles de cette jeunes et jolie psy pour animaux. Dommage que son don pour décrypter les névroses de ses patients à poils et à plumes s’évapore dés qu’elle rencontre un homme. Car la vie amoureuse de Miranda est une véritable catastrophe. La preuve : elle était sur le point de se marier avec Alexander quand elle a brutalement découvert sa vraie nature. Et ce n’est pas la réapparition de son premier amour, James – avec qui elle a commis l’irréparable- qui va l’aider à inverser la tendance.
Le faux pas
La commune de Saint-Jean-du-Gard, dans les Cévennes, est sous le choc : Jean Chavanel, le fondateur d’une prestigieuse marque de chaussures, s’est suicidé en apprenant la délocalisation de son entreprise à l’étranger, une initiative de son neveu Gérald, à qui il en avait confié la direction. Chloé, la belle-fille du défunt, revient à La Commanderie, la demeure familiale, pour assister aux funérailles. C’est l’occasion pour elle de renouer avec les Chavanel qu’elle n’a pas revus depuis la mort de son mari, victime dix ans plus tôt d’un tragique accident de voiture où elle-même avait été grièvement blessée. Anéantie, elle avait tout quitté et s’était installée sur la Côte d’Azur, malgré son admiration pour Jean Chavanel et son travail de styliste qu’elle accomplissait avec passion au sein de l’entreprise. Attachée à cette région des Cévennes pour ses traditions, ses valeurs et sa beauté, mais surtout décidée à honorer la mémoire du patriarche qui lui a légué une partie du patrimoine familial, elle décide de se battre pour sauver la fabrique de chaussures, aidée par Johann, le chef d’atelier aux manières un peu rustres. Des liens se tissent et une complicité les rapproche au fil des mois. Chloé parviendra-t-elle à oublier les démons du passé et à forcer le destin ? Amoureux de la Provence, où il séjourne régulièrement, Frédérick d’Onaglia vit à Lyon, sa ville natale. De sa trilogie, dont le premier volet, Le Secret des cépages, a été finaliste du prix Carrefour Savoirs 2004 et lauréat du prix Lion’s Club International 2005, à L’Honneur des Bastide et à La Mémoire des Bastide, ses romans, tous parus chez Belfond, ont su conquérir un public toujours plus large.
Le fleuve qui tout emporta
Un coeur rougeoie sous les étoiles… C’est la puissante aciérie des Scott, au bord de l’Ohio. Toute la vie de la région est suspendue au battement de cette fournaise. Qu’il s’arrête, et la misère reprendra le dessus. La misère, Mary en vient. A quinze ans, engagée comme femme de chambre chez les Scott, elle découvre un autre monde. Elle renaît. Ses qualités naturelles trouvent enfin à s’épanouir. Et quand elle tombe amoureuse de Paul Scott, c’est dans leurs coeurs que le brasier s’enflamme. Alors, un nouveau conte de fées ? La petite ouvrière et le fils du patron ? Débute un confilt entre la raison, le devoir et la passion, l’amour.
Un été près de la mer
C’est un été radieux, comme si les beaux jours ne devaient jamais cesser d’être beaux. Les grandes personnes et les enfants sont vacants, jouant ou rêvant entre la mer et les vignes, dans la chaleur heureuse. Tant de lumière, de paix, de joie présente et promise – une jeune femme attend un enfant pour bientôt – finissent étrangement par vous serrer le cœur. On se sent pris d’angoisse et on s’en veut, puisque rien ne la justifie. C’est le miracle et l’art de ce livre. Un rocher en équilibre, la chute d’une feuille suffisent à nous troubler. Tu as remarqué, dit un personnage, quand on est le plus heureux, on pense à la mort « . La mort qui nous attrape aussi simplement qu’un serpent avale un lapin. comment raconter un roman d’Anne Philipe où l’essentiel est suggéré plus que dit, où la vie parle en silence. « Un été près de la mer » est sans doute un des plus beaux de l’auteur du « Temps d’un soupir ». Anne Philipe a déjà publié aux Editions Gallimard « Spirale » et « Ici, là bas, et ailleurs », ainsi que « Gérard Philipe », en collaboration avec Claude Roy. Ses premiers livres, « Caravanes d’Asie », « Les rendez-vous de la colline », « Le temps d’un soupir », ont été publiés aux Editions Julliard.
Rendez-vous
Qu’y a-t-il au-delà de l’horizon? Eve, Freddie et Delphine ont répondu à cette question, chacune à leur manière, mais toutes avec le même goût du risque, de l’audace, des émotions fortes, du défi. A Dijon, en 1913, Eve est celle par qui le scandale arrive. Rompant les liens avec sa famille, bafouant les principes de la bourgeoisie, elle s’éprend d’un artiste de music-hall, et s’enfuit avec lui. Ses filles hériteront de son intrépidité. Freddie, un peu garçonne, se passionne pour l’aviation et devient l’une des premières femmes pilotes acrobatiques. Delphine, comédienne, séductrice à l’écran comme à la ville, partage sa vie entre le regard des caméras et celui des hommes qu’elle fascine. Des vignobles de Champagne à Los Angeles, du théâtre aux armées de la Grande Guerre aux studios de cinéma dans Paris occupé, des salles de bal d’un château britannique aux terrains d’aviation de la RAF, ces trois femmes sont allées au-devant de leur époque. Elles ont osé repousser leurs propres limites.
Retour sur la Lande
« La Vie et rien d’autre », « Carrousel » et « Des voix d’été » : trois courts romans de Rosamunde Pilcher qui se déroulent en Cornouailles, cette région pleine de charme et de mystère. Chacune des héroïnes éprouve le besoin de faire le point sur ses sentiments et s’efforce de trouver la bonne route vers le bonheur.
Un garçon convenable – Partie 1
« Tu épouseras un garçon que j’aurai choisi. »
Ainsi parle à sa fille Lata une digne veuve éprise de respectabilité, Mrs Mehra. Un propos qui n’a rien d’inhabituel dans cette Inde provinciale des années cinquante, indépendante de fraîche date. Mais tout bouge dans cet immense pays. Les moeurs, les idées, les convictions religieuses ou politiques, tout est prétexte à affrontements et à débats. Courtisée par un jeune industriel, par un étudiant musulman et par un poète, Lata mettra deux ans à imposer sa liberté. Autour d’elle se déploie une fresque grandiose, prodigieusement vivante, où rajahs et intouchables, artisans et intellectuels, révolutionnaires et fanatiques, femmes libres et femmes soumises nous donnent le prisme complet d’une société placée entre ses traditions millénaires et son entrée dans le XXe siècle…
On a pu évoquer le souffle de Dickens et de Tolstoï à propos de ce roman-fleuve, à la fois saga familiale et fresque historique, accueilli par un succès triomphal.
Un garçon convenable – Partie 2
« Tu épouseras un garçon que j’aurai choisi. » Ainsi parle à sa fille Lata une digne veuve éprise de respectabilité, Mrs Mehra. Un propos qui n’a rien d’inhabituel dans cette Inde provinciale des années cinquante, indépendante de fraîche date. Mais tout bouge dans cet immense pays. Les mœurs, les idées, les convictions religieuses ou politiques, tout est prétexte à affrontements et à débats. Courtisée par un jeune industriel, par un étudiant musulman et par un poète, Lata mettra deux ans à imposer sa liberté. Autour d’elle se déploie une fresque grandiose, prodigieusement vivante, où rajahs et intouchables, artisans et intellectuels, révolutionnaires et fanatiques, femmes libres et femmes soumises nous donnent le prisme complet d’une société placée entre ses traditions millénaires et son entrée dans le XXe siècle… On a pu évoquer le souffle de Dickens et de Tolstoï à propos de ce roman-fleuve, à la fois saga familiale et fresque historique, accueilli par un succès triomphal.
La couleur du mensonge
À 35 ans, Claire découvre l’identité de son père, un riche homme d’affaires de l’Arizona. Désireux de racheter son affection, celui-ci souhaite la voir intégrer l’empire familial. Mais tout le monde ne semble pas partager son avis… Lorsqu’elle échappe à plusieurs accidents étranges, la jeune femme comprend rapidement qu’on cherche à l’éliminer. Quelqu’un aurait-il intérêt à ce qu’elle disparaisse ? Aidée par son instinct infaillible et par un mystérieux mais séduisant conseiller de son père, Claire est déterminée à rester en vie pour découvrir la vérité qu’on lui a si longtemps cachée.
Un heureux événement
Destins croisés de trois futures ma-mans qui vont devenir amies à la naissance de leurs enfants respectifs.
C’est écrit dans le ciel
Ils sont tous venus. Et Alyssia les fait attendre, comme autrefois. Bientôt elle apparaît, resplendissante. Ils vont enfin savoir pourquoi elle les a convoqués. Tous ensemble. Après des années de silence. Étrange spectacle que de voir le clan des Cordiner trembler devant cette femme ! Barry, son ex-mari ; Beth, sa belle-soeur ; Pad et Maxim, les cousins le gratin de Hollywood. Qui est Alyssia, pour les terroriser à ce point ? Rien qu’une petite domestique mexicaine, une intrigante qui a profité d’eux, de la puissance de la famille, pour se hisser au rang de star. Pourtant, au fond d’eux-mêmes, ils savent. Qu’ils n’ont pas toujours été très élégants. Que tous ont commis des actes dont ils ont à rougir. Tous, sauf Hap, le seul homme qu’Alyssia ait jamais aimé. Le seul membre du clan qui ne soit pas là aujourd’hui.
Les yeux de l’amour
Experte reconnue en Arts-Déco, Alexa Chambers a vu sa carrière ruinée, malgré elle, par une affaire de contrefaçon. De retour à Avalon, la ville de son enfance, la jeune femme espère revenir sur le devant de la scène en participant secrètement à l’élaboration d’une magnifique collection pour l’inauguration d’un palace appartenant au richissime John Lair Trask. Un nom plus que familier pour Alexa : si John est revenu à Avalon après avoir fait fortune, c’est aussi parce qu’il soupçonne le beau-père de la jeune femme d’être lié à la mort de son père survenue douze ans auparavant. John et Alexa vont ainsi se retrouver unis par une quête de la vérité qui semble inexorablement les pousser l’un vers l’autre. Et ce malgré les avertissements donnés par différents membres de l’étrange secte des Dimensions qui règne en maître à Avalon.
Magique
Par une douce soirée d’été parisienne, des centaines de personnes, toutes vêtues de blanc, se rassemblent dans un lieu emblématique de la capitale. C’est le célèbre et mystérieux » Dîner en blanc » qui débute, comme chaque année. Les convives, triés sur le volet, installent leurs tables, leurs chaises, leur service le plus raffiné, quelques fleurs et les mets les plus exquis. Quand le soleil se couche, des milliers de bougies sont allumées et la Ville lumière révèle alors toute sa magie. Jean-Philippe et Valérie assistent à l’événement en compagnie de quelques-uns de leurs plus proches amis : Benedetta et Gregorio Mariani, un couple de Milanais qui travaillent dans la mode, Chantal, une scénariste et réalisatrice de films documentaires, et Dharam, un riche magnat indien. Pendant le repas, des liens se font et se défont, des carrières et des destins se jouent. Un an plus tard, au Dîner en blanc suivant, tout a changé. Pour le meilleur ou pour le pire ?
L’enfant aux yeux bleus
De retour d’une dangereuse mission humanitaire, Ginny erre dans New York en s’interrogeant sur le sens de sa vie. Une fois encore, elle s’apprête à fêter seule Noël et ressent âprement le vide laissé par ceux qu’elle a perdus trop tôt. Elle croise alors le regard bleu perçant d’un jeune garçon. Transi de froid, affamé et manifestement sans abri, il doit avoir une douzaine d’années. Ginny lui offre un repas chaud et l’installe chez elle, le temps de lui trouver un centre d’accueil. C’est le début d’une relation unique qui changera à jamais la jeune femme. L’adolescent, d’abord sauvage, s’ouvre peu à peu à elle jusqu’à lui révéler son plus grand traumatisme. Ginny a maintenant une raison de se battre mais aussi une raison de vivre. Et elle n’abandonnera pas avant d’avoir obtenu justice. En abordant ici des sujets actuels et difficiles, Danielle Steel livre un roman poignant et palpitant qui la place au sommet de son art.
Paris retrouvé
Légende vivante du cinéma américain, Carole Barber se rend à Paris pour écrire son premier roman. Mais alors qu’elle s’apprête à rejoindre son hôtel, elle est blessée dans un attentat et se réveille à l’hôpital, amnésique. Inquiets de ne pas avoir de nouvelles, ses enfants accourent bientôt à son chevet. C’est avec leur aide qu’elle va devoir tenter de reconstituer sa vie, souvenir après souvenir.
La mémoire du fleuve
Ni blanc ni noir, exilé partout, Jean Michonet échappe à quinze ans à l’orphelinat de Brazzaville (on est avant la guerre) et devient recruteur de main-d’oeuvre pour le compte des compagnies forestières. Il écume le sud du Gabon, encore inexploré. Sa vie pourrait être un roman d’aventures comme tant d’autres, si ne le retenait, presque malgré lui, le subtil écheveau des solidarités humaines. Ayant gardé les meilleurs éléments de son « négoce », il crée son propre chantier, seul maître après Dieu en des villages décimés par la lèpre, grand connaisseur en essences tropicales, expert en serpents et anti-venins, attiré par les sociétés secrètes – le bwiti en particulier, dont il devient un initié notable. Femme noire, femme blanche. Michonet n’en a pas fini avec le compromis racial. « Conseiller » de Léon M’Ba, il vit sur le tas – et non sans pittoresque – le passage de l’Afrique ancestrale à celle des nouveaux États. Puis il retourne à sa vie de forestier où ne tardera pas à le surprendre – énième dégringolade – la fin de son empire des crocos. Rien ne manque à ce tableau : ni les intrigues, ni la magie, ni les chasses fabuleuses. Celles-ci passionneront le lecteur comme elles ont fasciné Christian Dedet, lequel devait nouer avec Michonet une amitié qui forme comme le ciment invisible de ce texte – une « histoire vraie » qui se donne à lire comme un roman. La presse, à la sortie du livre, saluera chapeau bas : « Un livre qui nous introduit dans les secrets de l’Afrique bien mieux que ne saurait le faire un régiment d’ethnologues. »
Les griots wolof du Sénégal
Détenteurs de l’histoire orale, bardes, hérauts, panégyristes, généalogistes, moralistes, garants des traditions, précepteurs, chanteurs et instrumentistes, maîtres incontestés de la parole et de la musique, les griots hantent l’imaginaire ouest-africain. Ils jouèrent un rôle prépondérant dans l’ancien empire du Mali et les royaumes wolof subséquents et persistent dans la société sénégalaise actuelle. L’essor du mbalax, la nouvelle musique de Dakar, dérivée de rythmes de griots et le succès international de musiciens tels que Youssou N’Dour et Doudou N’Diaye Rose, issus de lignées de griots, témoignent à la fois de l’inventivité du Sénégal et de la vigueur de ses traditions. Tout en maintenant certaines de ces traditions, les griots wolof, en raison des vicissitudes de l’histoire, ont été contraints de s’adapter non sans parfois des traumatismes à des contextes nouveaux. Ce livre retrace leur saga depuis l’ère des royaumes pré-coloniaux jusqu’à l’époque contemporaine. Il analyse leur rôle et leurs fonctions dans des contextes historiques et sociaux différents ainsi que la façon dont ils ont été affectés par les changements survenus depuis la colonisation. Il aborde également l’évolution des musiques et danses wolof, depuis les temps anciens jusqu’à l’époque actuelle.
L’inconnue de Peyrolles
Lasse de la vie parisienne, Pascale Fontanel décide de retourner à Peyrolles, dans le Sud-Ouest, où elle a passé son enfance. Son père s’oppose à cette décision. La jeune femme s’y installe pourtant avec la ferme intention d’y reconstruire sa vie. Très vite, des événements viennent bouleverser son retour : les voisins racontent des histoires troublantes liées aux Fontanel, et Pascale découvre dans le grenier un livret de famille caché pour de bonnes raisons.
Les bonnes fréquentations
Ils sont nés dans la même région, ils ont fréquenté les mêmes écoles ou commis les mêmes erreurs de jeunesse. Ils partagent la même marginalité, les mêmes fantasmes de carrière ou le même goût pour l’argent. Ils agissent en coulisses pour s’entraider, faire carrière, monopoliser les affaires ou les idées, s’enrichir, conspirer, et, pourquoi pas… devenir Président ! Ils sont corses, corréziens, anciens épurés ou franc-maçons, affairistes, aristocrates, inspecteurs des finances ou anciens trotskystes… Ils appartiennent tous à un réseau. Multiples, informels, ces lieux de complicité et de solidarité dessinent une géogaphie cachée de la société française. Ils expliquent – plus sûrement que les biographies officielles – les décisions, nominations et autres promotions. Pour écrire cette histoire secrète des réseaux, Sophie Coignard et Marie-Thérèse Guichard ont enquêté pendant trois ans. Elles ont interrogé acteurs et observateurs de ces solidarités occultes, dans tous les milieux, toutes les castes, et lèvent le voile sur ces ententes qui cimentent la société française.
Le labyrinthe des cœurs
Le jour où sa mère quitte mari et enfants pour aller vivre avec James Barton, le magnat local du textile, la vie de Rowan bascule. Fou de chagrin, son père disparaît peu après dans des conditions dramatiques, laissant derrière lui une filature au bord de la faillite. Et Rowan, sans un sou, se retrouve en charge de sa soeur Sally et de son frère Andy. Aux yeux de la jeune fille, le responsable de leurs malheurs a un nom : James Barton. Afin de venger leur honneur et de prendre sa revanche sur cet homme odieux, elle décide de le défier sur son propre terrain, celui des affaires. Avec pour seuls atouts l’audace de ses dix-sept ans et une détermination farouche, Rowan va se lancer dans une folle entreprise : tenter de sauver la firme familiale. Mais alors qu’à force de ténacité elle parvient à redresser la barre, son mariage avec Saul, le demi-frère de Barton, lie une nouvelle fois son destin à celui de son ennemi. Entre amour, ambitions et trahisons, une formidable galerie de personnages en proie aux passions les plus dévorantes. Après le succès d’Au risque de la vie, son précédent roman, Elizabeth Walker signe une nouvelle et extraordinaire saga familiale.
La valse des mensonges
Lindsay, journaliste de mode londonienne, veut changer de vie. Elle décide donc de renoncer une fois pour toutes à son amour secret pour Rowland McGuire. Son voyage aux Etats-Unis, et sa liaison avec Colin, un ami de Rowland, l’aideront peut-être à tourner la page… A New York, Natasha Lawrence est sur le point de craquer. La star de cinéma, ex-femme du célèbre metteur en scène Tomas Court, est harcelée par un dangereux pervers, qui menace sa famille. Pour lui échapper, elle emménage au Conrad, une résidence haut de gamme garantissant la sécurité de ses habitants. Le soir de Thanksgiving, Lindsay et Natasha se retrouvent au Conrad. Un terrible drame se prépare dans l’ombre. L’heure a sonné de payer le prix des mensonges passés.
Irrésistible
Maxine Williams a trois adorables enfants, une carrière prenante et une vie bien remplie. Mais elle a également un ex-mari, Blake, aussi irrésistible qu’exaspérant. Brillant, charismatique, fantasque, Blake n’a qu’un seul défaut : il n’est pas doué pour la vie conjugale et sa quête incessante de plaisirs a eu raison de leur mariage. Des années plus tard, Maxine, psychiatre de renom à Manhattan, où elle élève seule leurs trois enfants, rencontre un séduisant médecin aux antipodes de Blake. Sérieux, stable et fiable, Charles ressemble fort à l’homme idéal, et Maxine accepte rapidement sa demande en mariage. Mais Blake, avec qui elle entretient toujours des liens amicaux, n’a peut-être pas dit son dernier mot…
Ouragan
Alors que l’ouragan Ophelia menace New York, Ellen est en visite chez sa mère, qui refuse de quitter son appartement. Peter et Ben, deux étudiants en colocation, trépignent d’impatience à l’idée du spectacle et s’installent confortablement chez eux pour voir le phénomène. Lorsque la tempête s’abat sur la ville, elle emporte tout avec elle et c’est un autre défi qui commence : les survivants doivent affronter l’avenir, réparer les dégâts et panser leurs blessures. Charles ira de refuge en refuge pour retrouver son ex-femme et ses deux filles. Quant à Juliette, médecin urgentiste, elle tentera désespérément de sauver ses patients.