Je l’aimais
À soixante-cinq ans, il est à l'âge des bilans. Elle en a moitié moins et rumine son chagrin. Celui d'avoir été plantée là avec ses deux filles par un mari volage parti pour une « femme moins usée. » A priori, Pierre et Chloé n'ont pas grand chose à partager. Il en décide pourtant autrement, emmenant sa belle-fille sur un coup de tête pour quelques jours à la campagne. Au fil d'un long dialogue, ils vont peu à peu se livrer. Tombe alors le masque du « vieux con » autoritaire et hautain attribué un peu hâtivement par Chloé à son beau-père. L'homme renfermé aux jugements définitifs révèle une blessure et une sensibilité à fleur de peau, tandis que la jeune femme pleine de vie reprend le dessus sur l'épouse éplorée.
Je suis mort. Et alors ?…
« Je suis mort hier. Au seuil de l’éternité, j’ai déjà mesuré le monument de bêtises qu’on édifie à chaque fin d’existence. Moi, le premier. Encore que, par superstition, j’évitais le sujet. C’est à destination des survivants provisoires que j’ai donc décidé de tenir, durant ma première année d’éternité et avant d’être gagné par la routine posthume, mes carnets de mort. » Des carnets qui n’ont rien de morbide tant ils manient l’ironie et assènent des vérités, tant la plume qui les trace se baigne d’encre douce-amère et évoque, avec une légèreté propice aux gravités éternelles, un sujet qui – hélas ! – s’adresse à chacun. Des funérailles de l’auteur fort courues aux premiers jours de solitude totale dans le cercueil, des voisins de caveaux muets aux souvenirs du passé qui eux peuvent remonter à la surface, des questions sur l’âge, la maladie, Dieu, la famille, les femmes aux réflexions sur notre monde forcément profondes – puisque venues de l’au-delà -, cet ouvrage est un délice d’humour noir… autant qu’une ode à la vie. A l’aube de ses 80 ans, Philippe Bouvard offre une formidable bouffée d’air frais littéraire, un texte sincère et hors normes qui possède une âme puisqu’il déborde d’esprit.
Aller-retour, tous frais payés
Daniel se rend à l’Opéra de Bratislava trois semaines après l’enterrement de sa femme, morte dans un accident de voiture. Avant la représentation, à la terrasse d’une pâtisserie, le veuf séduisant commande un café. La serveuse, d’une grande beauté, est étudiante. Il couvre la jeune femme de compliments. Lila, étonnée et méfiante, le prend pour un dragueur et garde ses distances. Lors d’une deuxième visite, Daniel, tenace, fait la connaissance de sa mère, Colette, une jolie divorcée de quarante ans. Il les invite à Paris. Evidemment » aller-retour, tous frais payés « . Lila, la rebelle de vingt ans, fait accepter l’invitation à sa mère, qui depuis longtemps rêve d’un homme comme ce Français… Elles arrivent pour un week-end dans un enfer que seuls l’argent et la haine peuvent créer. Lila rencontrera le fils de Daniel, Alex, et viendra à son secours. Un amour va naître, mais à quel prix ?
Tom Boker est ce que l’on appelle dans les vielles histoires américaines un chuchoteur. Il a un don avec les chevaux. Il est capable de rendre le plus enragé d’entre eux doux comme un agneau. Il vit dans le Montana où il gère le ranch familial avec son frère Frank et sa famille. C’est vers Tom que va se tourner Annie Graves Maclean, suite à l’accident qui a rendu sa fille handicapée et fou son cheval Pilgrim. Il lui apparait comme une évidence que l’enfant ne pourra pas guérir si son cheval ne se remet pas. Pendant quelques semaines, la mère et la fille vont, en même temps que Pilgrim, panser leurs blessures et réapprendre le vrai sens de la vie.
Elémentaire, ma chère Sarah !
Rio de Janeiro, 1886. Appelé à la rescousse par son amie Sarah Bernhardt, en tournée dans le pays, Sherlock Holmes, flanqué de l’inévitable Watson, débarque au Brésil pour tirer au clair une mystérieuse affaire : on a dérobé le stradivarius que l’empereur avait offert à l’une de ses maîtresses. Sherlock se lance sur la piste du voleur, mais sa rencontre avec une enivrante métisse et les effets conjugués du cannabis et de la cuisine locale lui font bientôt perdre ses capacités de déduction. Alors que plusieurs jeunes femmes sont sauvagement assassinées, notre héros se trouve plongé dans un brouillard plus épais que le fog londonien. Dans cette fantaisie comico-policière débridée, l’auteur recrée avec bonheur l’atmosphère du Brésil de la fin du XIXe, où le snobisme francophile en vogue dans les salons offre un contrepoint désopilant au portrait iconoclaste d’un Sherlock Holmes loufoque, plus proche de Billy Wilder que de Conan Doyle.
Le président du marigot
Personne n’a oublié ce 4 juin 2007, lorsque toutes les télévisions du monde interrompirent leurs programmes pour diffuser l’incroyable nouvelle : » L’avion du président de la République française vient de disparaître des écrans radar au-dessus de l’Afrique équatoriale.
» Au bout de cinq semaines, on abandonna les recherches. Il était évident que le Président et sa suite de ministres, d’hommes d’affaires et de journalistes avaient été engloutis à jamais par la forêt primaire. On décréta un jour de deuil national et la vie reprit son cours. Nous sommes en mesure de vous révéler aujourd’hui les singuliers événements qui suivirent le crash de l’avion présidentiel. A travers le regard goguenard des habitants de la brousse, Le Président du marigot raconte l’extravagante aventure de ces élites de la nation qui prétendent régir le monde et sont incapables de dépecer un singe…
Je vous parle d’un temps
Chansonnier, comédien, humoriste, satiriste, chroniqueur radio… la vie de Jean Amadou, c’est mille vies en une existence. Pour la première fois, il les raconte. Son enfance heureuse au coeur d’une famille qui a la République dans le sang et le goût du débit si bien chevillé au corps que le petit Jean ne pouvait que tomber dans la marmite de la politique. Ses débuts de comédien où il accumule les rôles muets, la rencontre avec Pierre Fresnay, l’équipe de volley-ball où il joue avec Jacques Charron et Jean Le Poulain, son tournage avec Yves Montand et Simone Signoret à Berlin. Fernand Raynaud, qui le fera entrer dans le monde des chansonniers : il en deviendra au fil des années l’une des figures de proue, du Théâtre de Dix-Heures au Don Camillo. Ses débuts à la radio et à la télé – dont « L’Oreille en coin », « C’est pas sérieux » au côté d’Anne-Marie Carrière, « Tournez manège » et bien entendu « Le Bébête Show » avec ses complices Jean Roucas et Stéphane Collaro. Ses galas aussi, pour lesquels il parcourt la France, faisant rire chaque soir des milliers de spectateurs. Sans compter ses 22 Tours de France (528 étapes) qu’il suivra dans la roue des figures légendaires de la course reine: Jacques Goddet, Robert Chapatte, Antoine Blondin…
La république du copinage
Copinage et réseautage sont les deux mamelles de la France. Depuis l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007, les coteries et les castes oligarchiques ont accentué leur mainmise sur tous les pouvoirs : nominations, décorations, placards dorés, prébendes, marchés et contrats s’octroient en fonction de l’entregent. Des conseillers occultes et intermédiaires multicartes prospèrent dans les couloirs de l’Élysée. Les amis du 9-2, du Fouquet’s et les proches de la Première Dame sont choyés. Des élus devenus avocats ou «consultants» monnaient leurs carnets d’adresses. Les élites pantouflent, les ambitieux se placent, les lobbyistes s’activent, les gourous de la com’ surfent sur la crise et les princes des médias se transforment parfois en courtisans. Dansant au-dessus du volcan d’un pays en crise, le microcosme se protège ainsi, entre révérences et connivences. Les réseaux servent surtout d’assurance aux puissants pour préserver leurs privilèges. Vincent Nouzille a enquêté pendant plusieurs années pour décrypter ces systèmes de pouvoir, leur fonctionnement et leur influence réelle. Il révèle comment ceux-ci imposent discrètement leur loi et comment la plupart transcendent les camps politiques. Mieux, ils préemptent l’avenir. Francs-maçons, énarques, diplômés d’HEC, communicants, Corses, gays ou cathos: tous tirent déjà les ficelles pour tenter de se placer dans les coulisses du pouvoir. Quel(le) que soit le (la) président(e) qui sera élu(e) en mai 2012, ils seront toujours là…
Les français mode d’emploi
Au fil de l’Histoire de France, Jean Amadou construit un portrait de la France et des Français sous forme de dialogue avec un Américain. Il n’épargne personne et surtout pas les icônes : Napoléon, La Marseillaise, De Gaulle, Mitterrand… et Sarkozy. Mais encore Aragon, qui affirmait que » le transport des militaires en chemin de fer peut avoir comme effet d’efféminer les troupes » jusqu’au futur maréchal Foch qui, en 1911, considérait les avions » comme de beaux jouets à l’efficacité militaire nulle « , sans oublier bien entendu les énarques, les experts de tout poil et les politiques de tous bords, qui illustrent la devise de Talleyrand : » En politique il n’y a pas de convictions, il n’y a que des circonstances. » On compte autant de traits d’esprit qu’il y a de pages.
Comme les grands vins, la plume de Jean Amadou s’affine avec le temps. Dans Les Français mode d’emploi, elle est pétillante, subtile, raffinée, impertinente. Feu d’artifice d’anecdotes, de flèches savamment décochées et de bons mots cueillis dans la grande et la petite histoire, le nouveau livre du chansonnier préféré des Français est à garder sur sa table de nuit, pour s’endormir avec le sourire aux lèvres.
Confidences
Personnage incontournable du football français, Guy Roux avait encore des choses à dire. À 82 ans, le mythique entraîneur de l’AJ Auxerre a replongé dans ses souvenirs pour nous faire découvrir des anecdotes drôles et croustillantes qu’il n’avait encore jamais racontées, ou bien évoquer des sujets qui le passionnent, comme évidemment le football, mais également le cyclisme, la politique et la gastronomie. Saviez-vous par exemple que Guy Roux était dans l’avion présidentiel pour aller assister à la demi-finale de la Coupe du Monde 2018 en Russie ? Mais comment a-t-il fait pour faire partie des invités, de quoi a-t-il discuté avec Emmanuel Macron, et comment ont-ils fêté la victoire ensemble ? De nombreuses personnalités participent à ce livre, comme Hervé Mathoux, présentateur du Canal Football Club, le sénateur François Patriat, et bien sûr des joueurs iconiques comme Djibril Cissé, Enzo Scifo ou Sabri Lamouchi. Passez de bons moments avec cet ouvrage passionnant et divertissant et découvrez aussi : – Les 10 phrases les plus drôles de Guy Roux. – Son onze de rêve. – Quiz : connaissez-vous vraiment bien Guy Roux ? 10 questions sur sa carrière, ses records, sa vie.
Petit traité d’éternelle joie de vivre
Éric Antoine vous invite à l’accompagner partout – de sa loge de magicien à la philosophie d’Empédocle, et jusque dans… une crotte de pigeon ! Non conformiste, baroque et drôle, son petit traité offre un récit et un spectacle où il se raconte entre les souvenirs, les surprises et les tours. L’existence est une quête de sens et d’enseignements qu’on ne perçoit pas toujours. Lui, en magicien mentaliste, tient le bonheur à l’œil. Il vous trompe pour vous plaire, vous bouscule par amitié. Il vous livre son regard sur la vie plein d’humour, de pédagogie et de poésie. La pensée magique existe. Grâce à elle, les galères, les épreuves ou le chagrin cèdent face à la décision d’être heureux. Le quotidien prend un sacré coup de jeune. Si un magicien vous tend sa baguette, n’hésitez plus : prenez-la…
Landon
Landon est un garçon sportif, beau gosse et extrêmement gentil. Il vit agréablement avec sa mère et le mari de celle-ci à Washington, mais sa petite amie de longue date, Dakota, décide de partir étudier la danse à New York. Afin de poursuivre de bonnes études et pour ne pas l’abandonner, il décide de la suivre. Il s’installe à New York et découvre la vie d’un jeune homme dans cette ville qui ne dort jamais. Mais, dès leurs retrouvailles, Dakota rompt avec lui. Elle veut bien rester son amie, mais pas plus. Lorsqu’il commence une nouvelle histoire avec Nora, une fille secrète qui cache un lourd passé, Dakota se fait de nouveau plus présente. A-t-elle renoncé à Landon ? Et Landon supportera-t-il ses allers et retours ?Landon est-il vraiment ce garçon fidèle, sérieux et positif, ce » gendre idéal » ?
Sarkozy, encore ? Non : Sarkozy, enfin ! Le « off », en langage journalistique, c’est tout ce qu’il est convenu de ne jamais dire, écrire, décrire ou révéler : quand les propos officiels cèdent la place aux secrets partagés ou aux confidences personnelles, il est entendu que le témoin doit poser le stylo, le magnétophone ou la caméra. Ce livre commence exactement là où les autres finissent : Nicolas Sarkozy ayant transgressé la loi de l’incarnation présidentielle, les auteurs se trouvent affranchis de la loi du silence. Ils renoncent à la connivence qu’ont tissée trente années de fréquentation pour nous livrer le spectacle vivant d’un homme tel qu’en lui-même : tel qu’on ne l’a jamais vu, jamais entendu, jamais imaginé. La violence des emportements comme la chaleur d’un geste ou d’un mot, les cicatrices intérieures comme les convictions d’une vie ou d’un moment, les doutes confessés comme les certitudes fanfaronnées, la rage comme la séduction : c’est un Sarkozy « brut de décoffrage » que nous offrent ici deux hommes qui connaissent tout de la cruauté du monde politique.Nicolas Domenach, directeur adjoint de la rédaction de Marianne, est également chroniqueur à l’Edition Spécial de Canal + et sur i>Télé. Maurice Szafran est le PDG de Marianne.Leurs livres écrits en commun, notamment De si bons amis, ont été des succès d’édition considérables et les ont imposés au premier rang des journalistes-écrivains politiques.
On a roulé sur la terre
Le point de départ ? Un beau pari : faire le tour du monde à bicyclette, en un an jour pour jour, avec pour tout budget moins de 1 000 euros chacun ! 365 jours après, Alexandre et Sylvain sont revenus avec 31 pays et 25 000 kilomètres dans les mollets. Ils ont traversé l’Afrique, le continent américain, l’Asie, les pays de l’Est et enfin l’Europe de l’Ouest, vivant chez l’habitant, au gré de leurs rencontres. Improvisation et débrouillardise, anecdotes burlesques, petites et grosses contrariétés, mais aussi splendeur et poésie émaillent le récit de leur voyage. Au-delà de l’exploit sportif, les aventures surprenantes de deux jeunes Français qui racontent, avec toute la fraîcheur de leurs vingt ans, cette année à la découverte du monde. Ils ont suscité, depuis, beaucoup de vocations.
De battre la chamade
En commençant son internat de médecine à Brest, Marie-Lou est très vite happée par le tumulte de l’hôpital. Un concentré d’humanité où les rencontres, les émotions, les disparitions aussi, font grandir, mûrir. Plus qu’un apprentissage, c’est une prise de conscience, sur soi et sur le monde. C’est là que bat le coeur de la vie. Côté sentimental, les choses ne sont pas moins compliquées… Comment retenir l’instable et insaisissable Matthieu dans ses filets ? Lui qui a dû mettre la médecine entre parenthèses pour retrouver son père disparu ? On retrouve l’énergie et la fraîcheur de l’auteur des Yeux couleur de pluie et de Entre mes doigts coule le sable dans ce roman du quotidien mouvementé de Marie-Lou et Matthieu. Un chassé-croisé amoureux sans répit, un portrait sans fard du monde hospitalier, des histoires d’amitié, beaucoup de résilience pour une vraie surprise.
La fille du train
Entre la banlieue où elle habite et Londres, Rachel prend le train deux fois par jour : à 8 h 04 le matin, à 17 h 56 le soir. Et chaque jour elle observe, lors d’un arrêt, une jolie maison en contrebas de la voie ferrée. Cette maison, elle la connaît par coeur, elle a même donné un nom à ses occupants, qu’elle voit derrière la vitre. Pour elle, ils sont Jason et Jess. Un couple qu’elle imagine parfait. Heureux, comme Rachel et son mari ont pu l’être par le passé, avant qu’il la trompe, avant qu’il ne la quitte. Rien d’exceptionnel, non, juste un couple qui s’aime. Jusqu’à ce matin où Rachel voit Jess dans son jardin avec un autre homme que Jason. Que se passe-t-il ? Jess tromperait-elle son mari ? Rachel, Bouleversée de voir ainsi son couple modèle risquer de se désintégrer comme le sien, Rachel décide d’en savoir plus sur Jess et Jason. Quelques jours plus tard, c’est avec stupeur qu’elle découvre la photo de Jess à la une des journaux. La jeune femme, de son vrai nom Megan Hipwell, a mystérieusement disparu…
Le chuchoteur
Cinq petites filles ont disparu. Cinq petites fosses ont été creusées dans la clairière. Au fond de chacune, un petit bras, le gauche.
Depuis le début de l’enquête, le criminologue Goran Gavilla et son équipe ont l’impression d’être manipulés. Chaque découverte macabre les oriente vers un assassin différent. Lorsqu’ils découvrent un sixième bras, appartenant à une victime inconnue, ils appellent en renfort Mila Vasquez, experte en affaires d’enlèvement. Dans le huis clos d’un appartement, Gavila et ses agents vont échafauder une théorie à laquelle nul ne veut croire… Un époustouflant thriller littéraire, inspiré de faits réels.
Mort d’un étranger
Londres, 1862. Le corps d’un respectable directeur d’une société de chemins de fer, Nolan Baltimore, est découvert dans une maison close du quartier de Coldbath Square, non loin du dispensaire où chaque nuit, Hester, la femme du détective William Monk, apporte soins et réconfort aux prostituées. Celles-ci sont les premières suspectes et le scandale fait bientôt la une des journaux. Alors que Monk enquête sur une fraude risquant de causer une catastrophe ferroviaire, il découvre bientôt d’étranges liens entre cette affaire et le meurtre de Coldbath Square. Mais le détective, amnésique depuis six ans, va aussi se trouver confronté au cours de cette enquête à hauts risques avec son mystérieux passé… Le temps est-il venu pour lui de lever le voile sur son identité ?
Que ta volonté soit faite
Bienvenue à Carson Mills, petite bourgade du Midwest avec ses champs de coquelicots, ses forêts, ses maisons pimpantes, ses habitants qui se connaissent tous. Un véritable petit coin de paradis… S’il n’y avait Jon Petersen. Il est ce que l’humanité a fait de pire, même le diable en a peur. Pourtant, un jour, vous croiserez son chemin. Et là… sans doute réveillera-t-il l’envie de tuer qui sommeille en vous.
Mauvaise base
Plage de sable fin sur une île privée des Caraïbes, une bombe sexuelle pour seule compagnie, le célèbre agent sportif Myron Bolitar essaie d’oublier Ses dernières mésaventures. Mais quand Win, richissime Sociopathe et néanmoins meilleur ami arrive en jet privé, les ennuis ne sont pas loin. Fatalement. Esperanza, son associée, est accusée d’avoir assassiné un de leurs clients une Star du base-ball sur le déclin. Pas vraiment la publicité rêvée pour MIB sports… Ni une ni deux, Myron fait son come-back pour voler au Secours d’Esperanza et prouver l’innocence de celle que tout accuse. Le seul problème, c’est qu’elle ne veut pas de son aide. Mais Myron n’est pas du genre à renoncer, surtout quand il considère le cas comme une affaire personnelle. Car entre un passage éclair dans un club de trans, une propriétaire des Yankees dont la fille a disparu, un contrôle antidopage truqué et l’image d’une adolescente en train de mourir sur son ordinateur, la propre investigation de Myron le conduit à un seul autre suspect : lui-même…
Une putain d’histoire
Au commencement est la peur. La peur de se noyer. La peur des autres, ceux qui me détestent, ceux qui veulent ma peau. Autant vous le dire tout de suite : Ce n’est pas une histoire banale. Ça non. c’est une putain d’histoire. Ouais, une putain d’histoire… Un thriller implacable. Hors des flots déchaînés, une main tendue vers le ciel. Un pont de bateau qui tangue, la pluie qui s’abat, et la nuit… Le début d’une « putain d’histoire ». Une histoire d’amour et de peur, de bruit et de fureur. L’histoire de Henry, 17 ans, que le meurtre de sa petite amie plonge dans l’enfer du soupçon. Sur son île, Glass Island, battue par les vents, cernée par la brume 360 jours par an et uniquement accessible par ferry, tout le monde connaît tout le monde, jusqu’au plus noir de ses secrets. Ou du moins le croit-on. Quand la peur gagne, la vérité s’y perd…
LIVRE NEUF – Première édition en 2011. Une nouvelle édition, disponible à la Librairie l’Agneau Carnivore à St Louis, avec un choix iconographique en partie différent mais même pagination est réalisée en 2020. Pierre Tacher naît en Saône et Loire en 1875 ; il débute sa vie professionnelle dans la fonction publique qu’il quitte très vite pour la photographie qui le passionne. Il ouvre d’abord un studio dans le centre de Lyon puis part avec son fils Maurice pour le Sénégal où il reprend très vite ses activités de photographe et d’éditeur de cartes postales aidé par sa femme qui le rejoint. Il se consacre principalement à la région de Saint-Louis pour laquelle il nous laisse environ 360 cartes postales qui constituent un patrimoine iconographique de premier intérêt couvrant le début du XXe siècle. C’est cette collection quasi-complète qui est présentée dans cet ouvrage suivant un regroupement thématique.
LIVRE NEUF – La Cathédrale de Saint-Louis du Sénégal a été construite en 1828. Elle constitue l’un des principaux monuments de cette île classée au patrimoine mondial de l’Unesco en 2000, et sa restauration a été entreprise en 2018. L’occasion de dédier un ouvrage à son histoire, indissociable de celle de Saint-Louis, de sa bourgeoisie métisse et des fameuses signares, à l’origine de la construction de la ville. Un ouvrage illustré de plans et de photos anciennes, de plans et de photos du chantier actuel et de photos du bâtiment achevé après restauration.
Viva la madness
Heureux propriétaire d’un hôtel à la Jamaïque, X, ex-trafiquant de cocaïne londonien, a raccroché les gants. Interrompre cette retraite au soleil serait forcément une mauvaise idée. Mais le mal du pays, la nostalgie d’une vie pleine d’adrénaline et la promesse d’un coup exceptionnel finissent par emporter toutes ses réticences. Le pied à peine posé sur le sol britannique, notre homme s’aperçoit bien vite que ce coup exceptionnel qu’on lui a proposé est surtout exceptionnellement dangereux. Entre mafieux anglais, cartels vénézuéliens sensibles de la gâchette et Irlandais psychotiques, il va falloir que X use de sa dextérité légendaire s’il veut une nouvelle fois s’en tirer à bon compte.
Propagande noire
Lyon, le 8 décembre. Le juge Renan Le Goff est saisi d’une enquête sur la mort d’un adepte des survivalistes. Il s’attaque à la plus puissante secte au monde, et peut-être aurait-il dû faire comme d’autres, ne pas s’en approcher. Mais ce quadra solitaire, entêté, un brin macho, est aussi pétri d’idéal de justice et va enquêter au mépris du danger. Le juge Le Goff n’a pas la moindre idée de ce qu’il déclenche : infiltrés dans toutes les strates de la société française, même au plus haut niveau du pouvoir, les survivalistes lancent contre lui la propagande noire. Attaqué dans son intégrité, épié jusque dans le palais de justice, atteint dans sa vie privée, Renan Le Goff va mener un combat dantesque. Seul, ou presque, face à cette force occulte qui a déjà commencé à ronger la charpente de notre société. Les liens occultes entre une secte et les pouvoirs qui nous gouvernent. Un thriller judiciaire glaçant. Une intrigue intense, bâtie sur des années de lutte contre les sectes : seuls Georges Fenech, magistrat et député, ancien président de la Miviludes, Mission de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires, et Alexandre Malafaye, écrivain qui aime lire entre les lignes de l’Histoire, pourraient démêler le vrai du faux dans cette formidable première enquête du juge Renan Le Goff. Spécialiste reconnu de la lutte contre le phénomène sectaire, Georges FENECH a instruit le procès lyonnais de l’Eglise de Scientologie en 1994. Il a présidé, en qualité de député, la commission d’enquête parlementaire sur l’influence des sectes sur les mineurs, puis la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes). Réélu en juin 2012, député du Rhône, Georges FENECH est l’auteur de plusieurs ouvrages consacrés à la justice, la sécurité, la presse et le phénomène sectaire. Il signe avec Alexandre MALAFAYE son premier roman. Alexandre Malafaye est écrivain. Il est l’auteur d’un essai sur La 6ème République. En 2008, il publie le premier tome d’une série de romans consacrés à la géopolitique (Jeux chinois, puis Roulettes russes en 2009 et L’homme de Washington en 2012). Il a aussi écrit un thriller, Le secret de Moïse publié chez Plon en 2010. Parallèlement à son travail d’écriture, il est impliqué dans plusieurs think tanks et a créé Synopia au printemps 2012. Il se partage entre Paris et la Touraine.
Deux gouttes d’eau
Une jeune femme est retrouvée morte dans son appartement de Boulogne-Billancourt, massacrée à coups de hache. Elle s’appelle Élodie et son ami, Antoine Deloye, est identifié sur l’enregistrement d’une caméra de vidéosurveillance de la ville, sortant de chez elle, l’arme du crime à la main. Immédiatement placé en garde à vue, Antoine s’obstine à nier malgré les évidences. Il accuse son frère jumeau, Franck, d’avoir profité de leur ressemblance pour mettre au point une machination destinée à le perdre. Quand Franck Deloye arrive au commissariat central pour être entendu, le trouble est immense : il est impossible de différencier les deux hommes, qui se ressemblent, littéralement, comme deux gouttes d’eau… Le divisionnaire de la PJ en charge de l’enquête, Robert Laforge, un homme réputé pour sa compétence mais aussi son intransigeance et ses éclats incontrôlés, va devoir tirer au clair avec son équipe ce véritable casse-tête. Lequel des deux jumeaux ment, lequel est le bourreau, lequel la victime ? On retrouve dans ce nouveau roman tout ce qui fait l’univers de Jacques Expert : l’observation sans empathie de personnalités troublées, perverses, abîmées, qui ne savent plus exactement quelles sont les limites de leur identité ou de leur mission, y compris chez les enquêteurs.
Les neufs cercles
1974. Vétéran du Vietnam, John Gaines a accepté le poste de shérif de Whytesburg dans le Mississippi. Un jour, on découvre, enterré sur la berge de la rivière, le cadavre d’une adolescente, Nancy Denton, disparue vingt ans plus tôt. Le corps a été préservé par la boue, mais le cœur a été remplacé par un panier contenant la dépouille d’un serpent. Déjà traumatisé par la sale guerre du Vietnam, John est à nouveau confronté à l’horreur. Il va ainsi repartir au combat et devra faire face aux secrets et aux vérités cachées de cette petite ville tranquille. Vingt ans après le crime, c’est une nouvelle traversée des neuf cercles de l’enfer qui attend John. Avec ce thriller sombre et ambitieux, R.J. Ellory fouille au plus profond de l’âme humaine, et dans les replis les plus nauséabonds du passé, pour s’imposer une fois encore comme une des plus grandes plumes du roman noir actuel. Philippe Blanchet, Le Figaro magazine.
La proie
Au Cap, Benny Griessel et Vaughn Cupido, de la brigade des Hawks, sont confrontés à un crime déconcertant : le corps d’un ancien membre de leurs services, devenu consultant en protection personnelle, a été balancé par une fenêtre du Rovos, le train le plus luxueux du monde. Le dossier est pourri, rien ne colle et pourtant, en haut lieu, on fait pression sur eux pour qu’ils lâchent l’enquête.À Bordeaux, Daniel Darret, ancien combattant de la branche militaire de l’ANC, mène une vie modeste et clandestine, hanté par la crainte que son passé ne le rattrape. Voeu pieux : par une belle journée d’août, un ancien camarade vient lui demander de reprendre du service. La situation déplorable du pays justifie un attentat. Darret, qui cède à contre coeur, est aussitôt embarqué, via Paris et Amsterdam, dans la mission la plus dangereuse qu’on lui ait jamais confiée. Traqué par les Russes comme par les services secrets sud-africains, il ne lâchera pas sa proie pour autant…
La femme au manteau bleu
Les treize passagères d’un taxi-minibus qui a fait halte au panorama du col de Sir Lowry, à l’ouest du Cap, découvrent avec horreur un corps nu de femme disposé sur un muret. Pas le moindre objet, ou vêtement, qui permette de l’identifier. Un détail intrigue Benny Griessel et Vaughn Cupido, le tandem de choc de la brigade des Hawks chargé de l’enquête : le cadavre a été soigneusement lavé à l’eau de Javel. Quand il est établi que la victime est une experte en peinture de l’Age d’or hollandais, le mystère s’épaissit. Quelle œuvre cachée est donc venue chercher dans un village perdu cette Américaine dont le travail consistait à localiser des tableaux disparus ? Deon Meyer explore un nouveau territoire, le monde de l’art, tout en évoquant les liens unissant l’Afrique du Sud contemporaine aux colons néerlandais au XVIIe siècle.
Jusqu’au bout
Elle croyait participer à un jeu. Elle ne pensait pas que ça irait aussi loin… Ils sont douze à participer à un challenge de survie en pleine nature sauvage, dans un coin reculé de la côte est des États-Unis. Tous ont été prévenus : ils seront mis à l’épreuve jusqu’aux limites du supportable. La faim, la solitude, l’épuisement physique et psychologique… Mais au fur et à mesure que Zoo, l’une des candidates, avance dans son périple, le doute s’insinue dans son esprit. Ces villages déserts, ces pièges de plus en plus vicieux, ces accessoires d’un réalisme déroutant : s’agit-il vraiment d’une mise en scène parfaite ? Que se passe-t-il loin du regard des caméras ? Découvrir la vérité ne sera que le début du défi qui attend Zoo… » D’un suspense implacable, aussi brillant que troublant, Jusqu’au bout interroge de manière provocante ce qu’il faut pour survivre. Actuel et dérangeant. »
Le sang des anges
Ward Hopkins, ex-agent de la CIA, tout comme Nina Baynam, en congé du FBI, ne se berçait pas d’illusions : toute victoire contre les Hommes de Paille, organisation criminelle aux ramifications planétaires, ne pouvait être que provisoire. Les faits ne tardent pas à leur donner raison : des cadavres mutilés sont retrouvés en Virginie, d’inquiétantes menaces circulent sur Internet. Impossible de ne pas les relier à la sinistre organisation. D’autant que le frère de Ward, qui en est le cerveau, s’est évadé de la prison où il purgeait une peine à vie. La disparition soudaine de Nina balaie les derniers doutes : les Hommes de Paille ont repris les armes…
Guerilla : Le jour où tout s’embrasa
Dans une France proche et obscure, une descente de police dans une cité sensible tourne au drame : un policier pris dans un guet-apens perd son sang-froid et tire aveuglément. La cité s’embrase et tout le pays vacille. De villes en villes, le feu se propage et la République explose. Forces de l’ordre, voyous, terroristes, responsables, journalistes, citoyens, tous sont submergés par le raz-de-marée du chaos. Rapidement, réseaux électriques et hydrauliques tombés, faute d’approvisionnements, d’ordre, de moyens de communication, de transports et de secours, la déferlante gagne la campagne, la société vole en éclats et les villes sont la proie de violences, de pillages et de gigantesques incendies. Des terroristes, dépassés par les troubles, déclenchent des actions de grande ampleur depuis les terres, la mer et le ciel. Privés de tout, livrés à eux-mêmes, les citoyens s’apprêtent à faire face au carnage. Les événements décrits dans Guerilla reposent sur le travail d’écoute, de détection et les prévisions du renseignement français. Après deux ans d’immersion au contact d’agents des services spéciaux et des plus grands spécialistes de la terreur et des catastrophes, l’auteur du chef-d’oeuvre Utøya (l’affaire Breivik) et des enquêtes phénomènes La France Orange Mécanique et La France Interdite livre un roman météore ultra-réaliste et nous plonge dans le récit paroxystique de la guerre civile.
Le premier miracle
Karen Holt est agent d’un service de renseignement très particulier. Benjamin Horwood est un universitaire qui ne sait plus trop où il en est. Elle enquête sur une spectaculaire série de vols d’objets historiques à travers le monde. Lui passe ses vacances en France sur les traces d’un amour perdu. Lorsque le vénérable historien qui aidait Karen à traquer les voleurs hors norme meurt dans d’étranges circonstances, elle n’a pas d’autre choix que de recruter Ben, quitte à l’obliger. Ce qu’ils vont vivre va les bouleverser. Ce qu’ils vont découvrir va les fasciner. Ce qu’ils vont affronter peut facilement les détruire…
Le sceau des sorcières
Quand Isabelle Desrameaux, chef d’entreprise à la vie privée débridée, est retrouvée torturée à mort à son domicile, c’est du côté du milieu libertin que va fouiller la police. Mais quand une mère de famille sans histoires est découverte, quelques jours plus tard, immolée par le feu sur le campus de Grenoble, l’enquête prend une autre tournure. Rapidement, le capitaine Nadia Barka comprend que c’est dans le passé qu’elle aura une chance de trouver la clé de ces meurtres.Les secrets du Vatican ou la mémoire d’un vieil aristocrate misanthrope tapi sur le sommet du Trastevere à Rome sauront-ils l’aider à décrypter les rares indices dont elle dispose ?
Passant des procès iniques de l’Inquisition du XVIIe siècle aux turpitudes d’une élite lyonnaise dépravée, l’officier de police va se battre pour découvrir la signification du sceau des sorcières, tatouage commun aux victimes, et tenter d’arrêter les assassinats qui s’enchaînent. Ce roman prend racine dans l’histoire de France pour livrer au lecteur une quête qui l’emmènera à la rencontre d’une guérisseuse au savoir ancestral, d’un prêtre romain séduisant, de truands tapis dans toutes les couches de la société et de flics au bord de la crise de nerfs. Déjà plusieurs best-sellers numériques et des dizaines de milliers de lecteurs. Plongez dans l’univers de Jacques Vandroux. N’hésitez pas à lire l’extrait gratuit avant de vous décider à effectuer votre achat. La version papier de ce livre sera disponible ultérieurement.
Une chance sur un milliard
Je venais d’avoir onze ans lorsque j’ai pris conscience de ce qu’était le destin. C’est drôle, en repensant à cette soirée et à tout ce qui m’est arrivé d’important depuis, je me dis que dans une vie, on ne voit jamais venir les événements qui vont vraiment compter. Depuis ce jour, plus personne ne m’a pris dans ses bras. Enfin, jusqu’à la semaine dernière. C’était encore pour m’annoncer une nouvelle qui allait dynamiter mon existence. Il n’y a pas que les insectes qui se prennent des coups de pantoufle. Je ne sais pas qui les donne, mais si c’est un dieu, il chausse grand. À travers une histoire aussi réjouissante qu’émouvante, Gilles Legardinier nous entraîne au moment où chacun doit décider de ce qui compte réellement dans sa vie. Plus de temps à perdre. Plus question de s’égarer. Se jeter sans filet. Remettre les pendules à l’heure, dire, faire, espérer. Aimer, libre comme jamais.
Je ne sais pas dire non !
Pour ses quatre-vingt-neuf ans, Michel Galabru nous invite au théâtre de sa vie et de sa verve, avec une finesse d’observation douce-amère qui n’empêche pas les éclats de rire. Les gags de son enfance de cancre, la magie et aussi les intrigues de la Comédie-Française qu’il a quittée pour le boulevard et le cinéma… où il a tourné un peu de tout mais il assume : « je ne sais pas dire non. » Et puis cela lui a permis d’être sur scène plusieurs mois par an, d’acheter deux théâtres qu’il a complètement rénovés, de combler sa famille et de regarder autour de lui. Il se souvient de tout ! Du trac de Louis de Funès, du talent de Pagnol et de Raimu, des péripéties de la série des Gendarmes, du succès des Ch’tis, et de son César pour Le juge et l’Assassin. A travers des chapitres courts, incisifs, on découvre sous la faconde un homme sensible, lucide, parfois blessé, mais qui refuse de se prendre au sérieux. Parce que, élit-il, » tout est théâtre. Le monde est théâtre, chaque endroit est un décor, et nous sommes tous des comédiens « .
Sans un mot
Jusqu’à quel point connaît-on vraiment son enfant ? Mike et Tia ne cessent de se poser la question : leur fils Adam, seize ans, a changé. Réfugié dans sa chambre, il ne quitte plus son ordinateur. Malgré leurs réticences, Mike et Tia se décident à installer un logiciel de contrôle. Un jour, un e-mail inquiétant. Et Adam disparaît. Sans un mot… C’est alors que tout bascule. Sur un rythme d’enfer, Harlan Coben nous entraîne dans un thriller plus électrisant que jamais. Pièges du web, délinquance virtuelle, tueur psychopathe, le maître de nos nuits blanches se joue de nos angoisses avec une délectation machiavélique.
La femme qui ne vieillissait pas
« À quarante-sept ans, je n’avais toujours aucune ride du lion, du front, aucune patte d’oie ni ride du sillon nasogénien, d’amertume ou du décolleté ; aucun cheveu blanc, aucun cerne ; j’avais trente ans, désespérément. » Il y a celle qui ne vieillira pas, car elle a été emportée trop tôt. Celle qui prend de l’âge sans s’en soucier, parce qu’elle a d’autres problèmes. Celle qui cherche à paraître plus jeune pour garder son mari, et qui finit par tout perdre. Et il y a Betty. Ce qui est arrivé à Betty est le rêve de toutes les femmes. Et pourtant.
Dieu me déteste
Etat de New York, hôpital Hilltop, Richard Casey aura bientôt 18 ans. Il voudrait faire la fête, draguer et tomber amoureux. Richard sait qu’il ne fêtera jamais ses 19 ans. En effet, ce jeune homme est dans les mains des médecins depuis tout petit, et se retrouve a présent dans les soins palliatifs. Il est plus pressé que les autres et pour vivre comme il veut, il lui faut déjouer les pièges de ceux qui préféreraient le voir vivre un peu plus longtemps.
Et plus si affinités
Un mariage… c’est parfois l’occasion pour les plus proches amis des mariés de faire connaissance… Des personnages tous plus déjantés les uns que les autres, des situations cocasses, du rire, des émotions et des larmes aussi… bref un cocktail détonnant pour une comédie sur vitaminée. Deuxième titre chez Pocket après Jamais deux sans toi.
D’ici là, porte-toi bien
Le meilleur moyen d’alléger ses peines, c’est encore de les partager. Avec son sable fin et son ciel azur, l’Avenue du Parc Resort and Spa est l’endroit idéal pour se remettre d’un coup dur. À condition de donner sa chance à la chance. Alors que Samya tente de pardonner l’adultère de son mari, Alison aimerait oublier qu’elle s’est fait plaquer au pied de l’autel. Jessie s’est excusée mille fois pour le chat et le lave-linge, mais Jérémy est à bout : une pause s’impose. Apolline rêve d’un enfant qui ne vient pas. Quant à Mia, dix-neuf ans et déjà maman, elle se voit rejetée par sa famille. Geneviève, elle, perd peu à peu la mémoire. Ensemble, elles vont libérer leurs émotions et s’apporter un soutien inattendu. Avec au bout du chemin, un gain inestimable : l’espoir.
Histoire d’@
Et si votre passé retrouvait le chemin de votre boîte mail ? Il est parti sans se retourner vers New-York qui lui tendait les bras. Et l’a laissée dans une incompréhension majeure. Douze ans après, il réapparaît derrière son écran, et commence alors une correspondance par mail, comme une conversation. L’occasion d’évoquer les souvenirs, et de se parler de leur vie. Mais quand le passé ressurgit, comment le présent pourrait-il ne pas être ébranlé ? Un roman épistolaire moderne qui rend hommage à l’amitié, questionne l’amour, et interroge les choix de vie.
Le sourire des fées
» Rose l’a dit à Lou : il faut croire encore au bonheur. Elle a toujours eu le don pour apporter de la joie à partir de presque rien. Un joli paysage, une belle lumière, le parfum d’une pivoine, le goût du chocolat noir attrapé avec la langue sur le fouet à pâtisserie, un bon repas, un fou rire qui tire les larmes, respirer à pleins poumons, danser, jouer… Ce sont ces petites doses de bonheur à pratiquer au quotidien. C’est à cela qu’il faut s’accrocher. » Jamais il n’y a eu plus d’urgence à aimer.
La (Toute) dernière fois…
On pense souvent à nos premières fois… Premier jour d’école, premier vélo sans roulettes, premier baiser, première cigarette… Mais c’est si loin, tout ça ! Nos dernières fois ne sont-elles pas plus présentes, plus fortes, plus propices à la réflexion ? Souvenez-vous… de la dernière fois que vous avez vu votre meilleur ami, de la dernière fois que vous êtes allé à la mer, de la dernière fois que vous avez fait une gaffe… Ou imaginez-vous au crépuscule de votre vie, vous rappeler vos toutes dernières fois. Ce recueil de textes vous plonge dans 60 vies. 60 personnages, 60 anonymes, qui pourraient être chacun d’entre vous. 60 anecdotes, comme des bribes de vie… des souvenirs récents ou plus lointains, légers, doux-amers ou plus graves. 60 émotions, ou presque… qui vous divertiront, vous interrogeront, vous étreindront… Tout au long de ces textes, vous vous identifierez, vous sourirez, vous serez peut-être aussi un peu remués… et vous penserez à toutes vos dernières fois, vécues et à venir. Alors vous aurez sans doute aussi une envie : vivre à 100 %.L’avis de quelques blogueuses (extraits) : « On se prend un feu d’artifice d’émotions en pleine figure qui nous renvoie inéluctablement à des situations que nous connaissons ou avons connues. »
La dame de Reykjavik
« L’inspectrice islandaise Hulda Hermannsdóttir est la meilleure héroïne tragique que nous avons lue depuis longtemps. » The Times
Hulda a tout donné à sa carrière. Mais en faisant toujours cavalier seul. Elle a beau être une des meilleures enquêtrices du poste de police de Reykjavik, à soixante-quatre ans, sa direction la pousse vers la sortie. La perspective de la retraite l’affole. Tout ce temps et cette solitude qui s’offrent à elle, c’est la porte ouverte aux vieux démons et aux secrets tragiques qu’elle refoule depuis toujours. Et ses échappées dans la magnificence des paysages islandais, pour respirer à plein poumons la sauvagerie de son île, ne suffiront plus, cette fois. Alors, comme une dernière faveur, elle demande à son patron de rouvrir une affaire non résolue. Elle n’a que quinze jours devant elle. Mais l’enquête sur la mort d’Elena, une jeune russe demandeuse d’asile, bâclée par un de ses collègues, va s’avérer bien plus complexe et risquée que prévu. Hulda a-t-elle vraiment pesé tous les risques ?