ACCÉDEZ À L’ENSEMBLE DE NOS LIVRES À TRAVERS NOS RUBRIQUES PAR GENRE :
Afrique – Animaux Architecture/Décoration – Art Aventure – Bande dessinée Biographie/Autobiohraphie Cinéma – Classique – Dépôt-vente – Document – Économie English – Épistolaire – Essai Fable/Conte
Fantastique – Gastronomie Grand format – Histoire Humour – Jeunesse Journaux/Magazines – Justice Livre audio – Livre rare – Manga Musique – Nouvelle Philosophie – Photographie Plante/Jardin
Poésie – Policier – Politique Poster – Pratique – Psychologie Récit/Témoignage – Roman Santé/Bien-être – Science Science-fiction – Sociologie Spiritualité – Sport – Théâtre Voyage/Géographie
Coup de ❤
Découvrir la biologie
Kumpag Wàngalàng Wi (Jaar-Jaari TINTIN)
La geste de Ham-Bodêdio ou Hama le Rouge
Salut les Copains – Coffret 3 DVD
Voyages autour du monde
Aimé Césaire
Idiss
Partenaire pour nos livraisons au Sénégal
AMALION
contact@labouquinerie.sn
(+221) 77 872 52 83
Retrouvez toute notre actualité
sur Facebook, Instagram et Twitter
Nos derniers livres
La maison Russie
À Moscou, pendant la première Foire du livre des années de la « Perestroïka », un manuscrit change de mains. Il s’agit en réalité d’une liasse contenant des secrets militaires qui pourrait bien changer le cours de l’histoire. L’invraisemblable destinataire de ce dossier, un petit éditeur du nom de Barley Scott Blair, se voit enrôlé malgré lui dans les services secrets britanniques. Sa mission : remonter à la source du texte et découvrir l’intention cachée de son auteur. Barley reprend contact avec la ravissante Katia, celle qui lui a remis le manuscrit. On aurait pu croire qu’avec la nouvelle politique d’ouverture de Gorbatchev, le roman d’espionnage était fini. John Le Carré démontre le contraire avec ce récit qui joue des nouvelles données géopolitiques et prouve qu’un bon écrivain peut toujours tirer son épingle du jeu. Il brosse une galerie de portraits post-guerre froide aussi justes et humains que l’étaient ses espions du temps de « La Taupe ».
Paris est tout petit
L’histoire d’amour que vous n’oublierez jamais, un roman qui répare et un hymne à Paris. Inès a 17 ans et un objectif : être admise à Sciences Po après le bac. Elle vient de trouver un job de femme de ménage chez les Brissac, dans le 7e arrondissement de Paris, mais elle n’avait pas prévu le coup de foudre intense entre elle et Gabin, le fils aîné de ses employeurs. Paris est tout petit pour ceux qui s’aiment, comme nous, d’un aussi grand amour. Cette phrase de Prévert devient leur credo. Inès et Gabin sont ensemble le soir de l’attentat du Bataclan, quand le pire se produit. Dès lors, leur histoire et la ville qui les entoure prennent d’autres couleurs, celles de l’après.
The hate u give
Starr a seize ans, elle est noire et vit dans un quartier rythmé par les guerres entre gangs et les descentes de police. Tous les jours, elle rejoint son lycée blanc situé dans une banlieue chic ; tous les jours, elle fait le grand écart entre ces deux mondes.
Sa vie vole en éclats le soir où son ami Khalil est tué, sous ses yeux, de trois balles dans le dos, par un policier trop nerveux.
Starr est la seule témoin et tandis que son quartier s’embrase, tandis que la police cherche à enterrer l’affaire, Starr va apprendre à redresser la tête.
Soeurs pour la vie
Ted a quinze ans lorsqu’elle est repérée par une agence de mannequins. En même temps, sa grande soeur Ava, fashionista invétérée, apprend qu’elle est atteinte d’un cancer. Dès lors, la mode devient pour Ted un moyen d’échapper à la dure réalité, tout en se rapprochant de sa soeur Ava qui l?initie aux codes de ce monde nouveau pour elle. Lorsqu’Ava perd ses cheveux à cause de la chimiothérapie, Ted décide de se raser la tête par solidarité. Son nouveau look lui permet d’attirer le regard d?un agent international. À elle la scène new-yorkaise, les jet-lags, les soirées luxueuses… mais aussi les difficultés de la vie face aux appareils photos.
Toute une histoire
Dans ce récit tendre et drôle à la fois, Hanan el-Cheikh rapporte avec une scrupuleuse fi délité les confessions de sa mère analphabète, Kamleh, née au début des années 1930 dans une famille chiite extrêmement pauvre, au Sud-Liban. Après la mort prématurée de sa grande soeur, Kamleh est promise à son beau-frère alors qu’elle n’a que onze ans. Dans le quartier populaire de Beyrouth où elle s’installe avec la famille de son futur mari, elle est placée comme apprentie chez une couturière et tombe amoureuse du cousin de cette dernière, Mohamed, un jeune lettré féru de poésie. Forcée à quatorze ans de se marier avec son fi ancé, Kamleh a une fi lle l’année suivante, puis une seconde, Hanan, trois ans plus tard, mais reste follement éprise du beau Mohamed. Elle échange avec lui des lettres enfl ammées qu’elle se fait écrire et lire par ses amies, s’identifi e aux héroïnes du cinéma égyptien, se grise des paroles ardentes des chansons à la mode. Elle va surtout, bravant tous les usages, tenter d’obtenir le divorce, au risque d’être séparée de ses filles. Portrait finement dessiné d’une femme du peuple, ru sée, truculente, enjouée, ce récit a été salué à sa pa rution, en arabe puis en anglais, par une presse unanime.
Le malade imaginaire
Argan, mari tyrannisé, père abusif, se livre aveuglément aux médecins qui l’entretiennent dans un état maladif, entre fantasmes et névrose. Rendu à l’état végétatif, il ne voit d’espoir, pour sauvegarder sa santé, qu’en l’union de sa fille Angélique avec un homme de médecine. Son choix s’est porté sur Thomas Diafoirus, neveu dégénéré d’un charlatan. Angélique, éprise de Cléante qui lui fait la cour travesti en maître de musique, refuse cette union que sa marâtre Béline encourage avec hypocrisie. Bousculé par Toinette, sa servante, ébranlé par une dispute avec son apothicaire dont il refuse un lavement, sermonné par son frère Béralde, Argan accepte de feindre le mort pour éprouver l’affection des siens. La fidélité de sa fille et la duplicité criminelle de sa femme éclatent enfin à ses yeux. Chassant de chez lui les faussaires de l’amour comme ceux de la science, il entreprend de se faire médecin lui-même pour mieux se soigner.
Les métiers des langues
Quels sont les débouches pour les linguistes ? Outre les débouchés » classiques – l’enseignement, l’interprétation et la traduction -, d’autres secteurs exigent désormais la maîtrise d’une à deux langues étrangères : commerce international, diplomatie, tourisme, information et communication, secrétariat, finance et droit international… Combien et quelles langues faut-il maîtriser ? Tout dépend du poste visé ! Dans l’enseignement, pas la peine de multiplier les combinaisons, à condition de connaître toutes les subtilités de la langue choisie. Quel que soit le métier envisagé, l’anglais reste hégémonique, mais une autre langue européenne – allemand, espagnol, italien, tchèque, hongrois… – ou une langue » rare » – le chinois a le vent en poupe – est un atout à l’embauche. Ou peut-on enseigner les langues ? En classes de primaire (et bientôt de maternelle !), au collège, au lycée, à l’université, dans les organismes de formation continue ou encore à l’étranger. Ou travaillent les interprètes et traducteurs ? La fonction publique (notamment internationale ou européenne) offre quelques places accessibles sur concours. Certains traducteurs et interprètes sont salariés en agence ou en entreprise, mais la plupart exercent en free lance. Traducteurs techniques, littéraires ou audiovisuels, ils doivent souvent jongler d’une spécialité à une autre pour arrondir leurs fins de mois. Y a-t-il une formation minimale pour entrer ans le secteur ? A la fac, les études de langues littéraires (dites » LLCE « ) mènent essentiellement à l’enseignement et à la traduction littéraire, tandis que celles de LEA (langues étrangères appliquées) sont plus ouvertes sur l’entreprise. Pour devenir professeur, il faudra aller jusqu’à la licence ou la maîtrise avant de passer un concours. Pour devenir traducteur ou interprète, l’idéal reste de passer par l’une des deux écoles les plus réputées l’ESIT (Ecole supérieure d’interprètes et de traducteurs) et l’ISIT (Institut supérieur d’interprétation et de traduction).
Les métiers du journalisme
20% C’est ce que représentent les pigistes dans la profession en 2006, soit plus du tiers des journalistes débutants. Passage obligé avant l’obtention d’un poste fixe, ce mode d’exercice payé à l’article ou à la journée correspond à un vrai choix pour certains mais peut aussi s’avérer synonyme de difficultés et de précarité lorsque l’insertion professionnelle tarde à venir. 36503 journalistes possesseurs de la carte de presse étaient recensés par la CCIJP (Commission de la carte de presse des journalistes) en janvier 2006. Si elle ne constitue pas la condition sine qua non pour exercer, la carte de presse permet d’être reconnu par ses pairs et peut être indispensable pour accéder à certains secteurs comme l’audiovisuel. 72, 8 % des journalistes travaillent dans la presse écrite, dont 21 % en presse spécialisée grand public. Forte de ses 1680 titres, cette dernière reste très prisée des lecteurs français, au point d’en faire les plus gros consommateurs de magazines (avec le Japon). La télévision ne représente quant à elle que 12,4% des effectifs et la radio, 5,3%. 80 % des journalistes en exercice sont passés par la filière universitaire. Les médias généralistes, les agences, la presse quotidienne nationale et l’audiovisuel plébiscitent également les formations des douze écoles reconnues par la profession, ainsi que celles de quelques établissements privés. Quel que soit le cursus, culture génerale, motivation et professionnalisme constituent des sésames pour faire sa place dans le métier.
Tout Bricoler
Remplacer un robinet, poser du carrelage ou du parquet, préparer et peindre les murs… Voici des projets de bricolage simples ou élaborés pour dépanner ponctuellement, entretenir ou améliorer toutes les pièces de votre maison (cuisine, salon, chambre et salle de bains). Pour chaque projet vous trouverez sa durée de réalisation, son niveau de difficulté et la liste du matériel nécessaire. Des infographies précises permettent d'expliquer en détail les gestes délicats, étape par étape.
Le garçon en pyjama rayé
A partir de 12 ans
Berlin 1942. Bruno a 9 ans, et vit avec ses parents et sa soeur dans une belle maison. Son père, un officier nazi, vient d’avoir une promotion et ils déménagent hors de Berlin. Bruno est triste de se retrouver loin de tout, dans une lugubre maison. De sa fenêtre, il peut voir des silhouettes d’hommes, de femmes et d’enfants, tous vêtus de pyjamas rayés. Personne ne veut lui expliquer qui ils sont.
Si tu veux être mon amie
A partir de 11 ans
Mervet, treize ans, du camp palestinien de Dheisheb, et Galit, douze ans, de Jérusalem, commencent à s’écrire en 1988. Comment se parler alors qu’autour d’elles deux peuples se déchirent, se battent, se haïssent parfois? « Je ne sais pas si tu veux être mon amie. A part ma famille, personne ne sait que je t’écris », s’interroge Mervet. « Quel sentiment étrange de savoir que j’écris à une palestinienne. C’est comme si c’était un rêve, un rêve heureux », lui répond Galit. Leur amitié naissante est sans cesse mise à l’épreuve par l’Intifada. Marquées par les préjugés de leur communauté, elles s’affrontent parfois ou tentent naïvement de trouver des solutions. Ce livre n’est pas une fiction : c’est un échange de correspondances qui parle d’incompréhension et d’amour, il parle de l’histoire humaine. Littsa Boudalika est réalisatrice de documentaires. Lors d’un voyage en Israël en 1988, elle a eu l’idée de proposer à deux petites filles, l’une israélienne, l’autre palestinienne de correspondre.
La belle Adèle
A partir de 12 ans
Adèle en a assez. Pourquoi devrait-elle se donner du mal pour se maquiller et s’habiller, comme les filles de sa classe? Est-ce le plus sûr moyen de ne pas se faire remarquer? D’être normale ? Et Frédéric… Il est gentil, il est même tragiquement gentil. N’est- ce pas le pire des défauts pour un garçon ? Adèle et Frédéric doivent trouver d’urgence une stratégie de survie. Ils ont alors une idée lumineuse..
L’enfant qui disait n’importe quoi
A partir de 11 ans
Alexis, élevé à la campagne par son grand-père, sait observer la nature et percer ses secrets. De retour chez ses parents, il explore, au cours de longues promenades, son nouveau domaine. C’est ainsi qu’il découvre, caché sur le toit d’un vieux moulin abandonné, un chalet où vit une vieille demoiselle. Celle-ci le charge de retrouver sa nièce, disparus des années auparavant. Pour réunir les deux enfants, il faudra la puissance magique d’un langage secret les mots étranges que prononce parfois, sans y penser, Alexis.
Un cadavre dans la bibliothèque
A partir de 12 ans
Le colonel Bantry est contrarié : on l’a tiré de son sommeil pour lui faire constater un fait particulièrement vexant : une jeune femme, inconnue de lui, a été trouvée étranglée dans sa bibliothèque… Venir ainsi se faire assassiner chez les gens !
D’autant que la jeune personne porte une toilette tape-à-l’œil, du satin bon marché et des paillettes ! Tout à fait déplacé dans la bibliothèque aristocratique du manoir…
Cruelle énigme pour la police. Heureusement, le manoir des Bantry est voisin de Sainte-Mary-Mead, le village de Miss Marple. C’est le bon sens de cette sympathique vieille dame qui, une fois de plus, permettra de trouver la solution.
Le train bleu
A partir de 12 ans
Macabre découverte à bord du fameux » train bleu » qui mène vers la Riviera les riches vacanciers : Ruth Kettering, la fille du milliardaire américain Van Aldin, a été assassinée dans son compartiment.
Fuyant son mari avec qui elle ne s’entendait plus, elle allait rejoindre le comte de La Roche, loin de se douter que ce séduisant personnage était très surveillé par la police. Or le somptueux collier offert à la jeune femme par son père, et dont le plus gros rubis est le célèbre « Cœur de feu, » a disparu…
Mais pourquoi, s’il ne s’agissait que de dérober le joyau, avoir eu le raffinement morbide de défigurer la victime ? C’est ce détail qui va conduire Hercule Poirot à éliminer les suspects les plus évidents…
Cinq petits cochons
A partir de 12 ans
Cinq témoignages accablants ont fait condamner à la détention perpétuelle Caroline, la femme de Amyas Crale, peintre renommé, mort empoisonné. Seize ans après, Hercule Poirot, le détective belge qu’Agatha Christie a rendu célèbre, prend l’affaire en main. Ne s’arrêtant pas aux évidences, tirant parti du moindre indice, il fait éclater une vérité à laquelle personne ne s’attendait.
A.B.C. contre Poirot
A partir de 11 ans
Bien sûr, la retraite a ses charmes… Cependant, Hercule Poirot ne peut s’empêcher, de temps à autre, de reprendre du service. Oh ! pas pour n’importe quelle affaire, bien entendu. Un détective aussi célèbre que lui ne se dérangerait pas pour un meurtre ordinaire. Non, Hercule Poirot ne s’intéresse qu’aux crimes les plus déroutants, les plus passionnants, les plus…
Bref, à la crème des crimes. Et quelque chose lui dit que cette curieuse lettre signée A.B.C. va l’entraîner dans un mystère suffisamment épineux pour qu’il daigne faire fonctionner ses petites cellules grises. Oui, de toute évidence, A.B.C. fait partie de la crème des assassins… De quoi réjouir la crème des détectives.
Moi, Boy
Dès 10 ans
Que se passe-t-il quand on attrape une ratite ? Et quand on simule une crise d’appendicite ? Avez-vous jamais fumé du tabac de chèvre ? Vous a-t-on déjà affublé d’un costume de pompes funèbres pour vous rendre à l’école ? Neuf, dix, onze ans… les années passent : voici venu le temps de se demander ce que l’on fera après le collège ! Lorsque Roald Dahl, l’un des plus grands auteurs contemporains se souvient de ses années d’enfance, on découvre avec bonheur un jeune garçon qui ressemble étonnamment aux héros de ses livres.
Est-il indispensable de faire une école ? Internet, ça recrute vraiment ? Sans piston, point de salut ? L’alternance, un bon moyen de mettre le pied à l’étrier ? La presse écrite, c’est fini ? Toutes les réponses à ces questions et bien d’autres pour vous aider à choisir le métier qui vous correspond et à vous orienter vers la formation la plus adaptée.