Les sœurs Deblois – 1 – Charlotte
Cette nouvelle saga, qui s’amorce dans les années vingt, a pour cadre une famille québécoise dont la mère, hypocondriaque, sombre inéluctablement dans les abîmes de l’alcoolisme et de la dépression aux côtés d’un mari qui se refuse à la vérité. Au début de ce premier tome, Charlotte a quatre ans. Aînée de famille avec une mère presque toujours malade, elle doit, pour sa petite sœur Emilie, être l’exemple à suivre. Charlotte, si responsable, autonome, compréhensive ! Elle grandit en se détachant de plus en plus d’une famille où maladie réelle et imaginaire occupent toute la place. Petite fille vive et intelligente, elle prend vite conscience de l’étrangeté du comportement de sa mère qui, malheureusement par amour, en vient à être un réel danger pour ses proches. En perpétuelle quête d’amour et d’affection, Charlotte portera un regard passionné, colérique, désabusé sur cette famille et cette mère qui l’étouffent…
Sotos
Entrer dans la vie, c’est entrer dans l’arène. On est jeune, plein de feu, et on croit la vie à ses pieds. Très vite, on découvre que ce qui va se passer est un peu plus compliqué qu’il n’y paraissait. Que les châtiments successifs débouchent sur l’inéluctable mise à mort. Sous la lumière brutale d’un immense Sud hispanique, trois hommes font brutalement l’apprentissage de la vie : Mani, fils sans père, dans toute la fougue de ses dix-huit ans, cherche une direction, un chemin ; Vito, père sans fils, confronté à la quarantaine, cherche à revenir dans les pas qu’il s’est tracé ; Victor Sarramanga, vieux solitaire farouche qui règne sur l’espace et les gens, cherche à régler ses ultimes comptes. Le premier va subir les premières piques, le second recevoir les banderilles, le dernier rencontrer son heure de vérité. Et tous vivront le manque amer de ce que l’on veut de toutes ses forces et qui ne vient jamais quand et comme on l’attend. Ainsi de ces femmes que l’on désire trop fort. Et qui se livrent trop vite, trop mal. Et tandis que les Sotos, ces petits démons qui vivent aplatis comme des galettes entre le bois et l’écorce et qu’on entend crier quand les troncs grincent et craquent à la tombée du jour, vibrent sous la tension électrique des orages, les personnages s’affrontent dans la fulgurance des passions et des pulsions. Jusqu’à ce que le feu les dévore et mette chacun, survivant ou mort, en paix armée avec lui-même.
Le mystère du tableau
Pour Sara, marchande d'art chez Perfect Touch, la Muse représente bien plus que l'unique portrait peint par le célèbre Custer. C'est un défi, une quête, l'oeuvre qui donnera à sa carrière l'élan dont elle a besoin. Encore faut-il mettre la main dessus?Pour cela, elle est prête à tout. Et même à délaisser son cher San Francisco pour un ranch perdu au fin fond du Wyoming. Car c'est là-bas qu'a vécu Custer, au milieu des montagnes majestueuses et des prés verdoyants. C'est là-bas que l'a invitée Jay Vermilion, l'héritier du peintre, un homme aussi sexy que différent d'elle.Seulement voilà, arrivée sur place, Sara comprend qu'elle est loin d'être la seule à s'intéresser au tableau. Tandis que Jay subit de fortes pressions de la part de sa belle-mère qui tente de lui ravir son héritage, un couple est retrouvé assassiné au ranch Vermilion. Le prélude à une série de menaces qui s'abattent bientôt avec violence sur Sara et son troublant cow-boy ?
Les amandes amères
Découvrant que Fadila ne sait ni lire ni écrire, Édith entrevoit à quel point la vie est compliquée pour un analphabète et combien c’est humiliant. Elle lui propose de lui apprendre à lire le français. Fadila n’est pas jeune. Édith n’est pas entraînée. L’apprentissage s’avère difficile. Ce qui semblait acquis un jour est oublié la semaine suivante. Si Fadila a tant de mal à progresser, c’est que sa vie entière est difficile. Ce n’est pas une marginale. Elle a une famille, un toit, du travail. Mais la violence a marqué son rapport aux autres, depuis l’adolescence. Elle a de la rancœur contre son Maroc natal et, en France, elle ne se fait pas à la solitude. Elle vit dans une perpétuelle inquiétude. Édith, de son côté, se sent de plus en plus démunie dans cette aventure dont elle a pris la responsabilité et qui va l’entraîner beaucoup plus loin qu’elle n’aurait cru. Une amitié singulière, rugueuse et douce, amère, cocasse.
Couverture toile – Depuis que son lieutenant français l’a abandonnée, Sarah est montrée du doigt par les villageois puritains de Lyme Regis qui la jugent irrémédiablement déshonorée et menacée de folie. Seul Charles Smithson ose l’approcher, fasciné par son impénétrable mystère. Pour la voir, il brave le scandale, met en péril ses fiançailles, risquant son bonheur et bouleversant tout le village. // Ce livre a été adapté au cinéma avec les acteurs Meryl Streep et Jeremy Irons
Cycle de Pendragon – Tome I à V
Le Cycle de Pendragon comprend : 1. Taliesin 2. Merlin 3. Arthur 4. Pendragon 5. Le Graal – Je ne pleurerai plus les disparus, endormis dans leur tombe marine. Leurs voix s’élèvent : « Conte notre histoire, disent-elles. Elle mérite de rester dans les mémoires.» Je prends donc la plume. Ainsi commence la tragédie de l’Atlantide engloutie, à jamais disparue dans de terribles convulsions. Fuyant le cataclysme, trois navires désemparés emportent le roi Avallach et sa fille vers Ynys Prydein, une île noyée dans les brumes. Dans ce nouveau monde, où les guerriers celtes luttent pour leur survie dans les derniers soubresauts d’un Empire romain agonisant, ils essaient tant bien que mal de refaire leur vie. De la rencontre de ces deux civilisations, et de l’union de la jeune princesse atlante avec le barde Taliesin, naîtra celui que chacun connaît désormais sous le nom de Merlin.
La maison de la source
C’est une petite maison bretonne avec un jardin et un puits. Une source coule par en dessous. Ici a grandi la romancière du Nabab , la journaliste à grand souffle de Devi. Un jour de juin 1998, se retrouvant devant le minuscule domaine, elle a eu l’idée de ce livre. Elle dit ici son enfance, tout simplement. Non pour l’étalage narcissique des souvenirs, mais parce que, la maturité venue, la femme pouvait enfin rejoindre la petite fille, et saisir tout ce qui a fait d’elle ce qu’elle est. Un milieu modeste et aimant, où le père, maçon, et la mère, couturière, veulent pour leurs enfants une vie moins dure que la leur. Et les images qui marquent une enfance : la machine à coudre maternelle, les abords du puits interdits, le chien abattu par un voisin… Irène Frain sait raconter les destinées extraordinaires, les drames de la passion, l’aventure. Nous lui découvrons ici un autre visage : intimiste, recueilli, serein dans la mémoire retrouvée.
Le maître des abeilles
Le Bourguignon de Paris Louis Châgniot assiste en rêve à l’effondrement de sa vieille maison familiale. Il y voit un signe prémonitoire et décide de « vivre sa vie ». Il retourne à Montfranc-le-Haut, avec son fils Loulou, étudiant à la dérive, toxicomane. Il retrouve dans son village natal une pléiade de personnages hauts en couleur, que domine la figure de Balthazar, le maître des abeilles. Celui-ci fera découvrir à Loulou à la fois les valeurs fondamentales de l’existence et l’amour, en la personne de la radieuse Catherine. Tout le roman se passe pendant la semaine sainte, au moment de l’explosion du printemps, ce qui permet à Vincenot de marier l’ancienne culture païenne et la spiritualité chrétienne, et de célébrer ainsi pleinement sa Bourgogne, de nous en communiquer jusqu’à la sensation physique.
Muchachas
Les filles sont partout dans ce roman. Elles mènent la danse. De New York à Paris, de la Bourgogne à Londres ou à Miami. Des filles qui inventent, s’enflamment, aiment. Des filles qui se battent pour la vie. Et les hommes ? Ils sont là aussi. Mais ce sont les muchachas qui dansent, dansent, dansent. Elles font voler les destins en éclats. Et ça n’en finit pas !
L’Embellie
En ce ténébreux mois de novembre, la narratrice voit son mari la quitter sans préavis et sa meilleure amie lui confier son fils de quatre ans. Qu'à cela ne tienne, elle partira pour un tour de son île noire, seule avec Tumi, étrange petit bonhomme, presque sourd, avec de grosses loupes en guise de lunettes. Avec un humour fantasque et une drôlerie décapante, l'Embellie ne cesse de nous enchanter par cette relation cocasse, de plus en plus attentive, émouvante entre la voyageuse et son minuscule passager. Ainsi que par sa façon incroyablement libre et allègre de prendre les fugaces, burlesques et parfois dramatiques péripéties de la vie, et de la vie amoureuse, sur fond de blessure originelle. Et l'on se glisse dans l'Embellie avec le même bonheur immense que dans Rosa candida, en une sorte d'exultation complice qui ne nous quitte plus.
Soleils amers
« Ayez pitié du cœur des hommes », racontait le pari fou d’Aimé, l’insurgé communard, et de Côme, l’aristocrate ruiné, qui, condamnés tous deux à la déportation en Guyane, échangeaient pour le pire et le meilleur leur identité et leur destin. Voici, avec Soleils amers, l’histoire des enfants d’Aimé : Jean, le fougueux, l’intransigeant, qui a été élevé comme le fils de Côme, et l’irrésistible Georges, né de la prostituée Anna. Alors qu’il lui demandait la main de Virie, sœur de George, Jean a appris par Aimé la vérité de sa naissance ; il est le fils d’un bagnard évadé et la femme qu’il aime est sa demi-sœur. Dans un sursaut de désespoir, il a frappé Aimé et croit l’avoir tué. Depuis, ayant rompu tous ses liens, il fuit un passé et un amour dont il ne peut guérir. Nous le retrouvons moine dans un couvent des hauts plateaux brésiliens, précepteur en Louisiane, photographe ambulant dans l’immensité des solitudes américaines. Partagé entre des pulsions et des remords également brûlants, il s’efforce de renaître à lui-même…
Notre coeur
Le roman raconte l'histoire d'une femme du monde, froide et sans coeur, frigide ou lesbienne peut-être, comme Maupassant en a connu, qui se livre ici plus que dans aucun de ses romans. Le héros, face à cet être fascinant et redoutable, prend une autre maîtresse, qui ne lui suffit guère. Il est dévasté par une passion amoureuse, violente, mélancolique et cruelle. C'est un roman douloureux, écrit par un Maupassant déjà malade, et qui dit comme un adieu aux femmes qui ont été le désir, le tourment, et les victimes de sa vie. On y voit le personnage de l'artiste qui se dégrade, écrit de moins en moins, face à la femme moderne, produit d'une société parvenue à un point critique. Comme dans le remarquable Sur l'eau, c'est un aspect inattendu de l'art de Maupassant, dans la longue durée du roman, qui se révèle ici.
Après un accident ayant coûté la vie à sa meilleure amie et traumatisé son cheval, Grace MacLean, amputée d’une jambe, perd peu à peu le goût de vivre et reste recluse, renonçant à lutter pour surmonter son infirmité. Annie MacLean, la mère de l’adolescente de treize ans, décide de réagir et se met en quête d’un dresseur de chevaux pour guérir celui de sa fille et réconcilier celle-ci avec la vie. Sa quête lui fera traverser les États-Unis jusqu’au Montana pour rencontrer le mystérieux « homme qui murmure à l’oreille des chevaux » et dont la connaissance de la vie en pleine nature lui a peut-être aussi appris à connaître les humains.
La fortune d’Alexandrie
An 38 de notre ère. Alexandrie est la plus grande métropole de la méditerrannée. Même Rome l’envie. Le fameux phare, l’une des Sept Merveilles, est le symbole des lumières que les philosophes et les savants de la ville dispensent au reste du monde. Là se rencontrent et s’affrontent toute les religions, y compris le christianisme naissant. Delia, une femme vouée au plaisir, disparaît. Une enquête religieuse. Ou philosophique. Ou bien encore sentimentale. Quand Delia reparaît, Alexandrie l’a métamorphosée : par delà son luxe fou, son affairisme, sa débauche, ses crautés racistes, ses intrigues politiques, religieuses et philosophiques, ses superstitions, ses immenses et attroces massacre aussi, sa grandeur et ses bassesses, c’est son génie même qui l’a possédée. Alexandrie fut l’une des villes d’enfance de Gérald Messadié, romancier et historien, hauteur de L’homme qui devient Dieu et de Matthias et le Diable, entre autres ouvrages désormais traduits en plusieurs langues.
Pietra viva
Michelangelo, en ce printemps 1505, quitte Rome bouleversé. Il vient de découvrir sans vie le corps d’Andrea, le jeune moine dont la beauté lumineuse le fascinait. Il part choisir à Carrare les marbres du tombeau que le pape Jules II lui a commandé. Pendant six mois, cet artiste de trente ans déjà, à qui sa pietà a valu gloire et renommée, va vivre au rythme de la carrière, sélectionnant les meilleurs blocs, les négociant, organisant leur transport. Sa capacité à discerner la moindre veine dans la montagne a tôt fait de lui gagner la confiance des tailleurs de pierre. Lors de ses soirées solitaires à l’auberge, avec pour seule compagnie le petit livre de Pétrarque que lui a offert Lorenzo de Medici et la bible d’Andrea, il ne cesse d’interroger le mystère de la mort du moine, tout à son désir impétueux de capturer dans la pierre sa beauté terrestre…
Quatre-vingt-treize
Initialement prévu comme le dernier volet d’une trilogie consacrée à la Révolution française, le livre se situe aux heures les plus noires du soulèvement populaire : la Terreur. La Convention a « abdiqué » après un bain de sang orchestré par les girondins et comme emportés par une folie meurtrière, les vainqueurs – Danton et Robespierre – vont s’affronter à mort. Victor Hugo place son décor en Vendée où les royalistes tentent un dernier coup de dés. La flotte révolutionnaire traque sans merci une frégate, la Claymore. A son bord le marquis de Lantenac qui doit prendre la tête de la révolte contre-révolutionnaire. Au tout dernier instant, le royaliste parvient à rejoindre le rivage… Au travers de ses personnages, Victor Hugo ne se contente pas d’un simple affrontement entre les valeurs de l’ancien régime et celles de la révolution. Profondément républicain, il dépeint brillamment l’émergence de cet idéal souillé par des âmes noires et inflexibles.
Fort comme la mort
Un autre Maupassant que celui des contes normands et de La Maison Tellier. Un Maupassant qui, à travers l’histoire du peintre Olivier Bertin, projette son obsession du déclin, tente de se libérer de l’angoisse qui saisit tout créateur lorsque s’approche l’heure du bilan. Histoire d’un homme qui cherche à retrouver dans la fille de sa maîtresse sa jeunesse perdue, Fort comme la mort est aussi un grand roman social qui analyse les mécanismes et les rites de ce monde du faux-semblant, de l’ennui, de la stérilité du cœur que l’on appelle le grand monde. On a dit : Paul Bourget, mais la lucidité, déjà, est celle de Proust.
La Scène des souvenirs
2011. La célèbre actrice Laurel Nicolson se rend dans le Suffolk, au chevet de sa mère âgée. Dans la ferme de son enfance, la comédienne est assaillie par les souvenirs, et plus particulièrement par les images d’un après-midi d’été étouffant, cinquante ans auparavant. Partie se réfugier dans une cabane perchée dans les arbres afin de rêvasser tranquillement, Laurel, alors adolescente, avait vu sa mère poignarder un inconnu. Un événement que personne n’avait évoqué par la suite. Hantée par ce drame resté secret, Laurel décide de plonger dans le passé de sa famille. Elle trouve dans le grenier une photographie datant de la Seconde Guerre mondiale qui lui révèle l’existence d’une certaine Vivien…
Nos destins inachevés
Une femme traquée. Un homme en quête de vérité. Une course contre le temps. Paris : Catherine n’a pas eu le choix. Lorsque son mari a été assassiné sous ses yeux alors qu’ils s’apprêtaient à découvrir ensemble le secret de la vie éternelle, la jeune chercheuse a pris la fuite. New York : Maximilien va devenir fou. Lorsqu’il découvre que la femme en charge du nettoyage de son laboratoire est une brillante scientifique, il est sûr d’avoir démasqué une espionne. Mais plus il apprend à connaître Catherine, plus il tombe sous le charme de cette femme brisée. Jusqu’à ce qu’elle disparaisse. Maximilien n’a alors qu’un but : la retrouver. Une histoire d’amour enivrante, électrique, éternelle.
Un mariage de convenance
Entre deux êtres au tempérament de feu, seuls deux sentiments peuvent se donner libre cours la haine ou la passion… Promis l’un à l’autre dès l’enfance, Colton Wyndham et Adriana Sutton se retrouvent seize ans plus tard face à face, dans l’Angleterre de l’après-Waterloo. Colton, qui s’était violemment opposé aux projets matrimoniaux de son père, se sent très attiré par la jeune beauté brune courtisée par une meute d’aristocrates. Adriana, de son côté, n’a jamais cessé de penser au « beau chevalier » de son enfance. Ce qui ne l’empêche pas de s’en méfier comme de la peste… Quand elle n’était encore qu’une petite fille, Colton l’a humiliée en la rejetant avec mépris. Devenue femme, elle sait que, s’il la repousse à nouveau, elle ne s’en remettra pas. Dans une ambiance d’intrigues et d’aventures, Colton et Adriana vont s’efforcer d’accomplir leur destin en dépit des quiproquos, des coups de théâtre et des dangers qui les menacent à tout moment. De l’amour ou de la fureur, qui l’emportera ?
A un détail près
Quand elle débarque pour deux mois à Manningsport, la petite ville des Finger Lakes où vit toute sa famille, Faith Holland a dans la poche une liste ambitieuse de projets : – rénover la vieille grange du domaine familial de Blue Heron – faire en sorte que la ville oublie, enfin, que son ex-fiancé l’a larguée devant l’autel le jour de leur mariage en faisant son coming out (un moment particulièrement bien choisi, non ?) – trouver une nouvelle compagne à son père, lequel pourrait bien vouloir se remarier avec une femme cupide et d’un absolu mauvais goût (pour elle, le comble du chic est de porter une robe à imprimé léopard) – régler ses comptes avec Levi Cooper, le copain ô combien attentionné qui a tout fait pour que son ex-fiancé clame son homosexualité devant la moitié de la ville… Car pour Faith, une chose est sûre : rien, ni le sex-appeal affolant de Levi ni ses magnifiques yeux verts, ne viendra altérer la colère que suscite en elle celui qui, trois ans plus tôt, a fichu sa vie en l’air.
Le club des infidèles
Mariées et heureuses de l’être ? Pas vraiment… Eliza, Leelee, Helen et Victoria, quatre amies trentenaires des beaux quartiers de L.A., doivent bien se rendre à l’évidence : avec les années, leurs mariages ont quelque peu perdu de leur lustre. Comment y remédier ? En concluant un pacte absolument jouissif : elles se donnent un an pour goûter à l’adultère ! Et pour cela elles fondent un club des plus singuliers: le Club des infidèles. Le but est de pimenter leur vie et de se sentir désirées sans mettre en péril leur ménage (bien pratique tout de même), les détails croustillants restant bien entendu strictement réservés au cercle des initiées. Mais elles ne se doutent pas que leur voisin, journaliste à scandale, les épie. Lorsqu’il menace de révéler leurs petites cachotteries au grand jour, ces épouses et mères de famille se sentent prêtes à tout pour le faire taire… Vraiment à tout ?
L’appartement témoin
« J’ai tout de suite aimé cet appartement. D’abord parce qu’il se trouvait Rive gauche, et que je n’y avais jamais habité. Ma jeunesse s’était déroulée à Passy ; l’épisode marié-père de famille : boulevard des Batignolles ; et vieux divorcé : rue Quentin-Bauchart. » L’apprentissage de la vie est-il une question d’âge ? Le regard acide d’un proche, des événements aussi inattendus qu’étranges peuvent modifier une existence. Entraîné de New York à Venise sur les traces d’une femme mystérieuse, le héros de cette histoire, un quinquagénaire blasé, découvrira-t-il enfin le bonheur perdu dont la nostalgie n’a cessé de le poursuivre ?
Le dernier témoin
Un soir d’été, deux hommes pénètrent dans un manoir isolé et assassinent Lady Anne Robinson. Son fils, Thomas, persuade la police que les meurtriers ont été envoyés par la belle secrétaire de son père, mais l’on sait que Thomas a une imagination débridée et des raisons de mentir. Le père de Thomas, Sir Peter Robinson, ministre britannique de la Défense, refuse de croire son fils. Au contraire, il épouse en secondes noces sa secrétaire, Greta Grahame, dont il est dépendant professionnellement et amoureux fou, et qui est devenue sa maîtresse le soir de l’enterrement de Lady Anne. C’est lui qui sera appelé à la barre en dernier pour témoigner dans le procès contre la nouvelle Lady Robinson. Simon Tolkien mêle le suspense juridique à la tension psychologique dans ce portrait finement ciselé de personnes dont la vie est bouleversée après un meurtre. Alternant entre le procès à la cour d’assises de Londres et la vie privée des protagonistes, Tolkien décrit avec maîtrise l’art du prétoire, l’affrontement entre les classes sociales en Grande-Bretagne et, surtout, la complexité des relations familiales.
Juste une fois
À trois heures de son mariage new-yorkais, César dévisage la sœur cadette de celle qu’il s’apprête à épouser et comprend que c’est elle, la femme de sa vie.
« Puisque notre histoire n’est pas possible, j’aimerais que nous nous aimions… juste une fois dans notre vie, lui propose-t-il. Pour n’avoir aucun regret. Choisis le moment Hannah. Et je ferai comme si je n’avais rien dit. J’attendrai. » Quinze ans plus tard, ils se retrouvent au bord d’un lac québécois, à trois semaines du mariage d’Hannah. Sera-t-elle fidèle à sa parole ou à ses souvenirs ? Veuf, César est guéri de tout romantisme. Revenue de ses rêveries, Hannah a renoncé au sentimentalisme. Peut-on croire encore à la passion quand on a cessé d’y croire ?
Retour à Montechiarro
1855. Adriano Lungo, un jeune orphelin, arrive dans la magnifique propriété du comte Della Rocca, au-dessus du village de Montechiarro, en Toscane. Sous la protection bienveillante de cet homme brisé par un chagrin d’amour, Adriano va faire des études et, devenu maître d’école, s’impliquer dans le destin collectif d’une Italie en pleine unification. 1919. Dans l’Italie en proie à la crise économique, Agnese, la petite-fille du comte Della Rocca, se voit contrainte, pour sauver la propriété familiale, d’épouser le riche Salvatore Coniglio, aux sympathies fascistes déclarées. Sa rencontre avec le photographe Sébastien Morgan bouleversera sa vie. 1978. Laetitia revient à Montechiarro. Elle est la descendante directe de l’autre Laetitia, celle dont la fuite a désespéré, cent trente ans plus tôt, le comte Della Rocca. Dans l’Italie des » années de plomb « , elle ne sait rien des espoirs, des combats et des déchirements qui ont fait le destin de la petite cité. Trois volets, trois époques : ainsi revit toute l’histoire de l’Italie moderne, dans une saga puissante où les destins individuels, à chaque page, s’entrecroisent avec les enjeux et les bouleversements de l’Histoire.
Bilqiss
Vendu sans le bandeau – « Vous priez encore Dieu ? – Bien sûr. Pourquoi ne le ferais-je pas ? – Eh bien, il me semble qu’Il vous a abandonnée ces derniers temps. – Allah ne m’a jamais abandonnée, c’est nous qui L’avons semé. » Bilqiss est l’héroïne de ce roman : c’est une femme indocile dans un pays où il vaut mieux être n’importe quoi d’autre et si possible un volatile. On l’a jugée, on l’a condamnée, on va la lapider. Qui lui lancera la première pierre ? Qui du juge au désir enfoui ou de la reporter américaine aux belles intentions lui ôtera la vie ? Le roman puissant de Saphia Azzeddine est l’histoire d’une femme, frondeuse et libre, qui se réapproprie Allah.
L’enfant Lazare
Elizabeth Chase, une brillante neurologue américaine, mène des expériences inédites sur le coma profond. Pour de nombreuses familles meurtries elle représente l’ultime recours. Cambridge, Angleterre – une journée radieuse. La petite Frankie et son frère Ben sont sur le chemin de l’école. Un instant d’inattention, un cri… Renversée par un autobus, Frankie sombre dans le coma.
Profondément traumatisé, Ben voit maintenant ses nuits hantées par la présence de sa soeur captive d’un monde mystérieux. Leurs parents, Jack et Alison Heywood, décident de lutter ensemble pour ramener leur fille à la vie. Leur seul espoir : Elisabeth Chase. En dépit de menaces de fermeture qui pèsent sur sa clinique, elle décide de tout tenter, même l’inconnu, pour libérer Frankie.
Mais pour sauver leur fille, les Heywood doivent-ils prendre le risque de perdre aussi Ben?
Stupeur et tremblements
Embauchée par la compagnie Yumimoto, Amélie espère bien pouvoir faire ses preuves dans ce pays qui la fascine tant depuis qu’elle y a séjourné enfant. C’est sans compter sur la subtilité des règles tacites qui régissent la société japonaise, sans compter encore sur le mépris de Mlle Mori, sa supérieure. Les humiliations et les vexations se succèdent et la soumission s’installe : Amélie pensait être traductrice, elle finira dame pipi de l’entreprise…
Demi-siècle
Ils sont douze à se retrouver le dimanche soir, rue de l’Université, depuis leurs vingt ans. Avocats ou artistes, hommes politiques ou écrivains, journalistes, souvent séparés par leurs origines ou leurs opinions, ils se sont accoutumés à ce rendez-vous au point de ne le manquer à aucun prix. Ambitions atteintes ou déçues, illusions intactes ou perdues : leurs histoires professionnelles ou amoureuses se cachent ou se dévoilent tour à tour. Le rituel mêle inextricablement la sincérité et le faux-semblant, l’ironie et l’estime. La guerre d’Algérie, mai 68, l’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981, ont rythmé leur histoire. Mais par la grâce du romancier d’Une ville immortelle et de La Nuit de Ferrare, ces dîners égrenés au cours du demi-siècle semblent n’en faire qu’un, comme un miroir où se réfracte le temps…
Dix-neuf secondes
Rompre avec sa vie conjugale au bout du rouleau et comment y parvenir ? !… Gabriel a trouvé une idée originale : une station de RER dans la proche banlieue parisienne pour un rendez-vous hypothétique fatal. Lui sur le quai, et Sandrine dans la troisième voiture. Si elle est là, elle descendra, ils s’embrasseront et tout recommencera. Sinon… Tout pourrait donc se jouer dans les quelques secondes qui séparent l’ouverture des portes de leur fermeture.. Dans ces quelques secondes, exactement dix-neuf, Pierre Charras a imaginé les possibles et les impossibles d’une vie, variant les narrateurs. Car ce couple en faillite n’est pas seul dans ce RER emprunté par d’autres passagers et autant de destins. Une jeune fille qui s’en va retrouver son amoureux, une femme un peu perdue entre deux hommes, un enseignant homosexuel, un amateur de peep-shows… Et puis un sac lourd, suspect, abandonné brusquement par un dadais au blouson jaune qui pourrait tout enrayer, le RER comme ces vies parallèles…
La proie
« Rien n’est plus amer que de voir de surhumains efforts donner si peu de bonheur. Il ne reste qu’une consolation possible : se dire qu’il n’y a pas de bonheur. » Paru pour la première fois en 1938, ce roman aux accents stendhaliens raconte l’ascension sociale puis la chute d’un jeune ambitieux, Jean-Luc Daguerne, que l’amour pour sa belle mènera à sa perte. Sur cette trame éprouvée, Irène Némirovsky fait danser les mots avec humour et se joue brillamment des passions humaines et des cruautés du sort. Mais cette Proie doit pourtant beaucoup aux années folles, à leur énergie tragique, à leurs espoirs brisés. C’est cette course éperdue vers le gouffre qui en fait la modernité.
La couleur de la neige
En apparence, la famille Stone est l’image même du bonheur : Daniel, auteur de bandes dessinées, mène une vie harmonieuse avec sa femme Laura, brillante universitaire, et Trixie, sa fille de quatorze ans qu’il adore. Mais le monde des Stone s’effondre lorsque Trixie accuse son petit ami Jason de l’avoir droguée et violée. La police semble mettre en doute les allégations de l’adolescente, la soupçonnant de chercher à se venger. Et quand on découvre Jason assassiné, elle est la première suspecte sur la liste… Révélée par Ma vie pour la tienne (2007), Jodi Picoult confirme avec La Couleur de la neige, à l’intrigue aussi tendue qu’un thriller, qu’elle sait comme personne saisir sur le vif les tourments sentimentaux et les conflits de générations.
Le Cottage
Quand il a acheté Le Cottage, somptueuse maison au coeur de Los Angeles, Cooper était jeune, riche et célèbre. Cinquante ans plus tard, l’argent manque et il doit se résoudre à louer les dépendances de sa propriété pour ne pas la vendre. Mark et Jimmy, tous deux à un tournant de leur vie, s’y installent. Rapidement, la vie des trois hommes s’organise. Au programme : amitié, bonne chère et aventures féminines…
Réponds, si tu m’entends
Le » Meilleur Boulot du Monde » à New York pour une marque de cosmétiques ultra-branchées, une garde robe de rêve, une meilleure amie très fashion, une famille irlandaise gentiment foldingue et Aidan, un parfait petit mari, à la fois adorable et sexy : de l’avis de tous, Anna Wash est une sacrée veinarde. Jusqu’à ce terrible accident qui la ramène tout droit à Dublin, sur le canapé de se parents, entre plâtre, cicatrices, médicaments, séries télé et zizanie familiale. Mais Anna est bien décidée à retrouver sa trépidante vie-new-yorkaise et son homme au plus vite. Aidant qui, depuis l’accident, n’a plus donné signe de vie… Anna est prête à tout pour le retrouver, quitte à mettre la Grosse Pomme sens dessus dessous !
Le palais des miroirs
A Mandalay, en 1885, alors que le royaume de Birmanie s’écroule, offrant le triste spectacle d’un roi emmené en exil par les Britanniques, Rajkumar, un Indien orphelin âgé de onze ans que le destin des pauvres a jeté sur les rives de l’Irrawaddy, prend sa décision : il sera riche et retrouvera Dolly, la fillette fragile entrevue dans le Palais des Miroirs livré au pillage, et dont il est tombé amoureux. Ainsi va débuter une grande saga…
Bienvenue au club
Imaginez ! L’Angleterre des années soixante-dix, si pittoresque, si lointaine, avec ses syndicats prospères et sa mode baba cool. Une image bon enfant que viennent lézarder de sourdes menaces : tensions sociales, montée de l’extrême droite, et une guerre en Irlande du Nord qui ne veut pas dire son nom. Mais dans ces années où l’État-providence laisse place au thatchérisme, Benjamin, Philip, Doug et leurs amis ont d’autres choses en tête : s’intégrer aux clubs de leur lycée, oser parler aux filles, monter un groupe de musique, s’échapper de Birmingham l’endormie pour des aventures londoniennes… Trop innocents pour saisir les enjeux et les intrigues qui préoccupent leurs parents. Jusqu’à ce que le monde les rattrape.
Le meilleur de la vie
Quand les femmes se lient d’amitié, elles peuvent soulever des montagnes! Dans la charmante ville de Dunmore, Sally tient un salon de beauté où trois femmes ont l’habitude de se retrouver pour échanger leurs petits et grands secrets. Abby réussit une belle carrière à la télévision, mais le couple qu’elle forme avec Tom bat de l’aile et leur fille est en pleine crise d’adolescence. Lizzie, secrétaire médicale, passe son temps à s’occuper des autres – ses grands enfants, ses amis et son ex-mari. Elle n’a pas une minute à elle et risque bien de rester seule si elle ne réagit pas. Enfin, Erin, qui vient de rentrer en Irlande après neuf ans d’absence, n’est pas certaine de pouvoir affronter son douloureux passé. Toutes sont à un tournant de leur vie et toutes ont le sentiment de ne plus faire face. Pourtant, quand le malheur les frappe réellement, les jeunes femmes comprennent qu’il ne tient qu’à elles de saisir le meilleur de la vie…
Au cœur des forêts
Depuis son enfance, Bastien a toujours vécu dans la forêt. Pour lui, les arbres vivent, parlent, rêvent. Ils veulent renouer avec le ciel. Il en connaît tous les mystères, tous les sortilèges, qu’il révèlera à sa petite-fille gravement malade, venue se réfugier auprès de lui. Pour Bastien, elle est comme une forêt fracassée par l’orage. Mais il ne doute pas de sa guérison s’il se bat à ses côtés et partage ses secrets. Dans ces pages qu’irriguent la magie et la force des arbres, c’est tout le sens de la vie humaine que pose Christian Signol. Traversées du souffle de la Grande Histoire, des forêts blessées par les tempêtes et des légendes immémoriales, elles révèlent un monde de beauté, inconnu et superbe, au pouvoir salvateur.
La possibilité d’une île
Qui, parmi vous, mérite la vie éternelle ? « Roman d’anticipation autant que de mise en garde. La possibilité d’une île est aussi une réflexion sur la puissance de l’amour. Vite vient l’envie de comparer sa propre lecture à celle des autres. S’il est des livres que l’on a envie de garder pour soi, il n’en est décidément rien avec ceux de Houellebecq, comme s’ils offraient, à chaque fois, la possibilité d’une confrontation. » – Franck Nouchi, Le Monde.
Les mal partis
Marseille sous l’Occupation. Denis Leterrand, quatorze ans, est élève dans un collège de Jésuites. A l’hôpital, où les collégiens rendent visite aux malades, Denis croise une jeune religieuse, soeur Clotilde. Dès lors, il ne vit plus que pour la revoir. Soeur Clotilde, elle, ne sait plus quel nom donner à cette relation qui s’enflamme. Ils deviennent amants. La famille, l’âge, la religion : tout est contre eux. Ils fuient vers la paix et la solitude, mais leur histoire est celle d’une passion condamnée, ponctuée de scènes d’amour intenses. Les mal partis est le premier roman écrit par Sébastien Japrisot à dix-sept ans.
Jeux interdits
Sur une route de campagne, un flot pressé de gens, de bêtes, de chariots : on est au mois de juin 1940, en plein exode. Un avion survole et mitraille le convoi. La petite Paulette voit tomber ses parents. Un chien blessé rôde autour d’elle puis s’éloigne à travers champs. Machinalement, elle le suit, le ramasse quand il meurt, s’arrête enfin, le cadavre dans les bras, au bord d’un ruisseau. C’est là que la rencontre Michel, fils cadet des Dollé, qui l’emmène à la ferme de ses parents. L’enfance est une période féerique contre laquelle la guerre ne peut prévaloir. Tout au plus risque-t-elle d’infléchir le cours des jeux et des rêves. Dans l’espèce d’état second où la plongent l’exode et la disparition des siens une seule notion vague émerge pour la petite Paulette à la surface dé sa conscience, c’est qu’un mort doit être enterré, donc que son chien doit l’être et que tout ce qui meurt doit avoir sa tombe. Tel est le point de départ de la tragi-comédie qui se joue au hameau de Saint-Faix.
Le survivant
En pleine nuit, Lana apprend par un coup de téléphone que l’avion dans lequel son mari, Pierre, a embarqué quelques heures plus tôt, s’est écrasé dans le désert. Mais il y a des survivants. Bientôt plus qu’un survivant ! Lana, convaincue qu’il s’agit de Pierre , part à la recherche de l’homme qu’elle aime à travers oasis, villages, désert et solitude… Cette histoire à suspense, cette quête bien réelle, sont aussi une interrogation sur le sens de l’amour, son usure, sa vitalité. Un amour qui métamorphose parfois l’absence en présence.
L’absence
… Claude ne viendra pas. S'il venait j'entendrais son pas, son pas hésitant, il retardait son pas comme s'il réfléchissait, il semblait boiter, je reconnaîtrais son souffle, son souffle trop lent, son cœur trop lent, son cœur d'enfant blessé, blessé d'être né. Chaque geste, chaque mot le déchirait, il était trop intelligent, trop sensible, nous n'avons pas su le protéger, nous ne l'avons pas même rencontré… « Le premier vendredi de novembre, Claude Hartmann est parti pour Venise, emmenant sa mère mourante. Dix jours ils ont vécu ensemble, dix jours, une vie. Elle est morte. Il a disparu. Ainsi commença, ou finit, son absence… »
Lost City Radio
Après dix années de guerre civile, un pays d'Amérique latine non identifié est plongé dans un état d'extrême désolation. La junte militaire, après avoir défait les rebelles, a entrepris de rebaptiser les lieux en leur affectant un simple numéro. Désormais, évoquer le passé est devenu suspect. Norma, présentatrice vedette de l'émission Lost City Radio, est le dernier espoir de tous ceux qui sont à la recherche d'un disparu. Mais lorsqu'un enfant lui demande de diffuser sur les ondes les noms des habitants de son village portés disparus, Norma doit se confronter à son propre passé et au souvenir de son mari dont elle a perdu la trace tandis qu'il faisait route vers ce même village perdu dans la jungle.
Tuer le père
« Allez savoir ce qui se passe dans la tête d’un joueur. » En 2010, Amélie Nothomb est intriguée par Joe Whip et Norman Terence, deux magiciens américains, croisés dans une fête, que tout semble séparer.
Au secours pardon
A Moscou, Octave Parango est chargé par une marque de cosmétiques de trouver la plus jolie femme du monde. Lena a la détermination boudeuse des jeunes filles et la beauté d'un ange démoniaque. A Moscou et à Saint-Pétersbourg, Octave se damne pour la sauver puis se perd avec elle. Lequel des deux sauvera l'autre ?