
Méditer avec Petit Bambou
Le livre Méditer avec Petit Bambou est un livre qui vous accompagnera dans la méditation en toute simplicité à travers le personnage de Petit Bambou. Il se compose d’une série d’illustrations simples mais qui vous aideront à comprendre intuitivement en quoi consiste la méditation et comment l’intégrer à votre quotidien.
La bulle de savon, le vélo, la feuille qui tombe, la boule à neige, Méditer avec Petit Bambou dispose d’un catalogue ludique d’images à méditer, de petits exercices où piocher en fonctions de vos envies
Par accident
L’officier Napoleon Dumas n’obéit qu’à une seule loi, la sienne. Quand on retrouve sur la scène de meurtre d’un policier les empreintes de Maura, son amour de lycée disparue il y a quinze ans, c’est selon ses règles que Nap est décidé à enquêter. Les coïncidences semblent bien trop nombreuses dans cette affaire : peu avant la disparition de Maura, Leo, le frère jumeau de Nap, et sa petite amie Diana avaient été retrouvés morts sur la voie ferrée. Un double suicide auquel Nap n’a jamais cru. Or Rex, l’officier qui vient de mourir, était aussi un de leurs camarades de lycée. Que s’est-il passé à l’époque ? Quel lien unissait ces quatre adolescents ? Nap n’a jamais perdu l’espoir de retrouver Maura et de découvrir la vérité sur la mort de son frère. Mais est-il prêt à tout entendre ?
Morales provisoires
Dans ses chroniques, Raphaël Enthoven passe au scalpel de la philosophie les événements ordinaires (ou non) de l’existence. Deux règles à cela : comprendre avant de juger, et s’étonner de ce qu’on a l’habitude de voir. Tous les sujets deviennent ainsi matière à réflexion : de François Fillon à Batman, de Miss France à Daesh, en passant par le dopage, le complotisme, Facebook, ou l’islamophobie… Si Proust, Montaigne, Platon, Descartes, Bergson ou Spinoza y sont régulièrement convoqués, et s’il est tellement de les comprendre, c’est qu’eux-mêmes nous comprennent, et décrivent merveilleusement le monde qu’ils n’ont pas connu.
Espiègles ou virulentes, érudites et insolentes à l’envi, les « morales de l’info » tiennent désormais dans la poche.
La saga des Vikings – Tome 1 et Tome 2
Norvège, IXe siècle après J.-C. Depuis que son père est mort, Ragnvald n’a qu’une hâte : atteindre la maturité pour pouvoir enfin gouverner les terres qui lui reviennent, placées sous l’égide de son beau-père, le cruel Olaf. Aussi, quand il échappe à une tentative d’assassinat, Ragnvald devine que c’est Olaf qui est à la manœuvre. Obtenir justice n’est pas chose aisée en pays viking, où des centaines de petits rois se disputent un lambeau de territoire, mais Ragnvald est prêt à mourir pour sauver son honneur. Quant à sa petite sœur, l’impétueuse Svanhild, elle serait capable de prendre les armes pour lui venir en aide. Jusqu’au jour où elle croise le chemin du beau Solvi, l’ennemi juré de son frère… Tandis que Ragnvald choisit de rejoindre les troupes du jeune Harald, guerrier prodige incarné dans le monde des rêves par un loup à la crinière d’or, Svanhild sera confrontée au pire des dilemmes : la famille ou la liberté. Tous ont tué, pillé, trahi. Tous sillonnent les flots, encore et toujours. Tous n’aspirent qu’à une chose : le repos de la terre et la paix des familles. Depuis qu’elle s’est unie à Solvi, l’ennemi juré de son frère, la farouche Svanhild mène une vie de rapines, de paria des mers. Tout l’inverse de Ragnvald de Møre, son frère, qui, fidèle au roi Harald, mène pour lui une guerre sans fin. Où s’arrête l’honneur ? Où commence le sacrifice ? Quel poids ont les serments quand, dressés l’un contre l’autre à la proue d’un dragon, le destin exige de faire couler le sang des siens ?
Alors que jusque-là je marchais normalement sur ce que je pensais être mon propre chemin, voilà que soudain celui-ci a disparu sous mes pas, et c’est comme si j’avançais simplement dans un espace vide sans connaître de direction, sans plus aucune sensation. Une jeune fille a disparu. Une jeune fille dont le narrateur avait entrepris de faire le portrait. Une jeune fille aux yeux comme une flamme gelée. Une jeune fille qui l’intrigue et qui pourrait être liée à Menshiki. Il va rendre visite au vieux peintre Tomohiko Amada. Là, dans la chambre d’hôpital, apparaît le Commandeur. Le Commandeur est prêt à offrir sa vie pour que la jeune fille soit retrouvée. Il faut faire revivre la scène du tableau, le Commandeur doit être poignardé. Le narrateur lui plante un couteau dans le cœur. Une trappe s’ouvre dans un coin de la chambre. Un personnage étrange en surgit, qui l’invite à entrer dans le passage souterrain. Le début d’un périple qui va conduire le narrateur au-devant des forces du mal… Deuxième livre d’une œuvre exceptionnelle, dans la lignée du monumental 1Q84, un roman somme, ambitieux, profond. Deux tomes pour une odyssée initiatique étrange, inquiétante, envoûtante, où le maître Murakami dévoile ses obsessions les plus intimes.
Les contemplations – Livre I à IV
Les Contemplations, écrit Hugo, « c’est l’existence humaine sortant de l’énigme du berceau et aboutissant à l’énigme du cercueil ; c’est un esprit qui marche de lueur en lueur en laissant derrière lui la jeunesse, l’amour, l’illusion, le combat, le désespoir, et qui s’arrête éperdu au bord de l’infini ». Face à la perte de sa fille Léopoldine et à la mort symbolique que représente l’exil, Hugo inscrit la parole subjective dans la marche de l’histoire et fait du déchirement un acte créateur. De la célèbre « Réponse à un acte d’accusation », où le poète pose en révolutionnaire de la langue, aux poèmes sur le deuil, il offre une réflexion poignante sur les pouvoirs de la littérature contre la destruction et le passage du temps. Tombeau à la mémoire d’une âme disparue, Les Contemplations (1856) marquent le sommet de l’oeuvre poétique de Victor Hugo.
Les Fleurs du Mal
TEXTE INTEGRAL DES EDITIONS DE 1857 ET 1861
Avec Les Fleurs du Mal commence la poésie moderne : le lyrisme subjectif s’efface devant cette « impersonnalité volontaire » que Baudelaire a lui-même postulée ; la nature et ses retours cycliques cèdent la place au décor urbain et à ses changements marqués par l’Histoire, et il arrive que le poète accède au beau par l’expérience de la laideur. Quant au mal affiché dès le titre du recueil, s’il nous apporte la preuve que l’art ici se dénoue de la morale, il n’en préserve pas moins la profonde spiritualité des poèmes.
D’où la stupeur que Baudelaire put ressentir quand le Tribunal de la Seine condamna la première édition de 1857 pour « outrage à la morale publique et aux bonnes moeurs » et l’obligea à retrancher six pièces du volume – donc à remettre en cause la structure du recueil qu’il avait si précisément concertée. En 1861, la seconde édition fut augmentée de trente-cinq pièces, puis Baudelaire continua d’écrire pour son livre d’autres poèmes encore. Mais après la censure, c’est la mort qui vint l’empêcher de donner aux Fleurs du Mal la forme définitive qu’il souhaitait – et que nous ne connaîtrons jamais.
Lettres persanes
« Rien n’a plu davantage dans les lettres persanes, que d’y trouver, sans y penser, une espèce de roman. On en voit le commencement, le progrès, la fin : les divers personnages sont placés dans une chaîne qui les lie. À mesure qu’ils font un plus long séjour en Europe, les mœurs de cette partie du monde prennent, dans leur tête, un air moins merveilleux et moins bizarre : et ils sont plus ou moins frappés de ce bizarre et de ce merveilleux, suivant la différence de leurs caractères. Dans la forme de lettres, l’auteur s’est donné l’avantage de pouvoir joindre de la philosophie, de la politique et de la morale, à un roman ; et de lier le tout par une chaîne secrète et, en quelque façon, inconnue. » Montesquieu
La cantatrice chauve
« Tout le monde la connaît. Peu peuvent l’expliquer. C’est ce que fait à merveille Emmanuel Jacquart, éditeur du Théâtre de Ionesco dans la Bibliothèque de la Pléiade. Il commence par retracer l’historique, la genèse de la pièce, à partir de » L’anglais sans peine » de la méthode Assimil. Les répliques se sont naturellement assemblées, et l’ensemble a produit ce que l’auteur appelle une » anti-pièce » une vraie parodie de pièce, sans ambition idéologique particulière. Dans cet illustre chef-d’oeuvre, l’esprit de dérision prend le contre-pied de la tradition. Une série de sketches désopilants jusqu’au dénouement tonitruant et digne des surréalistes, telle est la pièce dont nous étudions les secrets en la replaçant dans la tradition de l’antitradition, de la modernité en évolution. C’est désormais, dans un format élégant et maniable, la version de référence de » La Cantatrice chauve « . »
Signe de vie
Les immenses radiotélescopes de l’institut SETI en Californie viennent de capter un signal inhabituel venu de l’espace sur la fréquence 1,42 GHz. Un signe de vie. La NASA, l’Agence spatiale européenne et la CNSA en Chine, préparent une mission internationale pour découvrir qui émet ce signal. En tant que cryptanalyste reconnu dans le monde entier, Tomás Norhona est recruté pour faire parti de l’équipe des astronautes qui seront à bord de la navette Atlantis. Loin de s’imaginer ce qu’ont déjà découvert les scientifiques sur la vie extra-terrestre, il plonge alors au cœur du plus grand mystère de l’univers. Le mystère de la vie.
Marie
« Existe-t-il une personne au monde qui ignorerait le nom de Marie, mère de jésus, celle qui engendra le plus grand bouleversement spirituel depuis la naissance du monothéisme ? Pourtant, ce que nous en disent les Evangiles se résume à quelques versets elliptiques et mystérieux.
Durant les années nécessaires à la rédaction de ce roman, dressant le portrait de » ma Marie « , je me suis efforcé d’imaginer qui avait pu être cette Miryem de Nazareth, née en Galilée dans le chaotique royaume d’Israël en butte à l’occupation romaine.
Quels liens entretenait-elle avec la résistance et l’un de ses chefs les plus populaires, Barabbas ? Quels rapports avait-elle avec les esséniens de Damas, la secte des thérapeutes ? Et avec son lointain cousin jean le Baptiste ? Né en Pologne, où le culte de Marie domine l’Eglise catholique, j’ai été depuis mon enfance fasciné par le destin de cette jeune juive à l’origine du christianisme.
Un jour il fallait bien que je parte à sa recherche. Aujourd’hui, j’aimerais partager cette histoire passionnante avec vous. »
Le triomphe des ténèbres
La Saga du Soleil noir
1938. Dans une Europe au bord de l’abîme, une organisation nazie, l’Ahnenerbe, pille des lieux sacrés à travers le monde. Elle cherche des trésors aux pouvoirs obscurs destinés à établir le règne millénaire du Troisième Reich. Son maître, Himmler, envoie des SS fouiller un sanctuaire tibétain dans une vallée oubliée de l’Himalaya. Il se rend lui-même en Espagne, dans un monastère, pour trouver un tableau énigmatique. De quelle puissance ancienne les nazis croient-ils détenir la clé ? À Londres, Churchill découvre que la guerre contre l’Allemagne sera aussi celle, spirituelle, de la lumière contre les ténèbres.
Tristan, le trafiquant d’art au passé trouble ; Erika, une archéologue allemande ; Laure, l’héritière des Cathares… : dans le premier tome de cette saga, l’histoire occulte fait se rencontrer des personnages aux destins d’exception avec les acteurs majeurs de la Seconde Guerre mondiale.
Madame S
L’anecdote est célèbre : alors que le président Félix Faure agonise, sa « connaissance » s’est sauvée par l’escalier de service. Cette mort en épectase va changer le cours de l’affaire Dreyfus et bouleverser le destin de celle que l’on surnomme depuis la « pompe funèbre »… Intriguée par cette « putain de la République », une journaliste recluse décide d’enquêter sur cette si mystérieuse Madame S. et sur les secrets d’un État français toujours aux prises avec les mêmes démons : antisémitisme, antiféminisme, petits arrangements entre amis et journaux avides de scandales. Sylvie Lausberg livre un passionnant thriller historique sur les traces volontairement effacées de Marguerite Japy-Steinheil, personnalité troublante qui sauvera sa tête grâce à un art virtuose du mensonge, un charme dévastateur et une profonde intelligence politique, restés ensevelis sous des torrents d’injures misogynes qui en disent long sur notre rapport au sexe, au pouvoir et aux femmes qui en jouent.
Journal d’un amour perdu
« Maman est morte ce matin et c’est la première fois qu’elle me fait de la peine. »Pendant deux ans, Eric-Emmanuel Schmitt tente d’apprivoiser l’inacceptable : la disparition de la femme qui l’a mis au monde. Ces pages racontent son « devoir de bonheur » : une longue lutte, acharnée et difficile, contre le chagrin. Demeurer inconsolable trahirait sa mère, tant cette femme lumineuse et tendre lui a donné le goût de la vie, la passion des arts, le sens de l’humour, le culte de la joie. Ce texte explore le présent d’une détresse tout autant que le passé d’un bonheur, tandis que s’élabore la recomposition d’un homme mûr qui n’est plus « l’enfant de personne ». Éric-Emmanuel Schmitt atteint ici, comme dans La nuit de feu, à l’universel à force de vérité personnelle et intime dans le deuil d’un amour. Il parvient à transformer une expérience de la mort en une splendide leçon de vie.
Qui ne se plante pas ne pousse jamais
Après sa sortie de l’hôpital, Jacqueline, une octogénaire, réalise que le temps passe vite. Elle décide donc de réunir auprès d’elle en Bretagne les deux personnes qui lui sont les plus chères : Alexandre, son jeune voisin qu’elle a élevé, et sa petite-fille Margaux, qui travaille à l’étranger dans le chocolat. Pour mener à bien sa mission, cette grand-mère atypique se rend au bout du monde.
Le manuscrit inachevé
Aux alentours de Grenoble, une voiture finit sa trajectoire dans un ravin. Dans le coffre, le corps d’une femme. À la station-service où a été vu le conducteur, la vidéosurveillance est claire : l’homme n’est pas le propriétaire du véhicule.
Léane Morgan et Enaël Miraure sont une seule et même personne. L’institutrice reconvertie en reine du thriller a toujours tenu sa vie privée secrète : un mariage dont il ne reste rien sauf un lieu, » L’Inspirante « , villa posée au bord des dunes de la Côte d’Opale, et le traumatisme de l’enlèvement de sa fille Sarah. L’agression soudaine de son mari va faire resurgir le pire.
Dans le vent, le sable et le brouillard, une question parmi d’autres se pose : vers qui et vers quoi se tourner quand l’unique vérité est que tout vous devient étranger ?
Le mur des cons
Ce fut ce qu’on a appelé le « mur de la honte ». On dénonce, on ricane, on bafoue les droits de de ceux dont on ne partage pas les idées réelles ou supposées. Et ces juges se « vengent ». Le temps est venu de révéler les rapports malsains qui règnent aujourd’hui au sein de la magistrature, dans les arrière-cours des palais, mais aussi dans les relations entre juges, politiques, médias, opinion publique. J’ai connu à titre personnel les premières marques de cette volonté politique de « caporaliser » la justice. Le pouvoir et les juges portent une part de responsabilité de cette dérive. Cette politisation de certains magistrats a ouvert une faille, un espace dans lequel le monde politique s’est engouffré pour délégitimer l’oeuvre de la justice. Le préjudice est irréparable. Il est urgent de nommer les dérives pour y mettre fin. Il y va de notre avenir et de la démocratie.
Femme écarlate
Femme écarlate, Pape Samba Kane, poésie, collection Paroles arc-en-ciel, Editions Lettres de Renaissances, septembre 2019 Cette réception enthousiasmante a dû pousser l’orfevre à plus d’exigence avec lui-même car le « bouquet de fureurs » qu’il tend ici à la Femme Ecarlate nous fait entrevoir d’autres replis de son âme. L’aspirant descend délicatement au fond de son intimité et, à genoux, rend un culte à Venus. Extrait de la préface par Ibrahima Wayne Bien souvent, la Poésie est pour PSK la langue de la Souffrance, de la Fureur. Elle est un intense moment de transe qui transporte le Poète dans un délire de mots, d’imagés, de symboles, le tout avec une ivresse contagieuse qui nous submerge. Extrait de la postface par André-Marie Diagne-Bonané. Pape Samba Kane est journaliste, essayiste et romancier. Il a publié plusieurs Écrits journalistiques et des portraits politiques satiriques avant de se consacrer à la fiction avec un premier roman intitulé Sabaru Jinne : Les Tam-tams du diable, publié en 2015 aux Editions Feu de brousse. A tire d’Elles, son premier recueil de poésie, a été publié aux Editions Lettres de Renaissances en 2018.
Les misérables – Tome 3
Jean Valjean comprend qu’il ne pourra pas toujours garder Cosette auprès de lui. Marius s’est épris d’elle et la jeune fille s’éveille à l’amour. Éclate alors l’insurrection de 1832. Marius s’est lié d’amitié avec des étudiants républicains et va se battre sur la barricade de la rue de la Chanvrerie, aux côtés de Gavroche, qui chantera là sa dernière chanson… » Le roman le plus grandiose du siècle. » Imagine-t-on un monde sans Fantine, Cosette, Javert ou Gavroche ? Il paraît qu’en visitant la maison de Victor Hugo, des touristes demandent où se trouve la chambre de Jean Valjean…
365 Haïkus : Instants d’éternité
Poèmes japonais courts et profonds. les haikus saisissent la beauté éphémère de l’instant. Supports de méditation, jeux de l’esprit vagabond, ils accompagnent les moments de joie comme les heures de mélancolie. Cheng Wing fun et Hervé Collet en ont choisi et traduit 365 pour nous accompagner. chaque jour, au fil des saisons. 365 haikus tous illustrés de leur texte japonais calligraphié, et rythmés par des peintures zen.
Dernier été pour Lisa
On les appelle « les Inséparables » : Lisa, Nick et Ethan, trois adolescents qui grandissent ensemble près du lac Michigan, dans une bourgade du Wisconsin. À la fin de l’été 2004, leur paisible existence vole en éclats : Lisa est retrouvée assassinée sur la plage. Après une enquête bâclée, Ethan, son petit ami, est arrêté et condamné à la prison à vie.
Douze ans plus tard, installé à New York, Nick est devenu un écrivain à succès. Mais les fantômes du passé ne sont pas près de le laisser en paix : contre toute attente, Ethan vient d’être remis en liberté. De retour dans sa ville natale, Nick va devoir affronter l’hostilité des habitants, toujours convaincus de la culpabilité de son ami. Pour innocenter définitivement son ami et parvenir à se reconstruire, il n’aura d’autre choix que de faire la lumière sur la mort de Lisa et de retrouver le véritable meurtrier.
Avec ce nouveau thriller d’une redoutable efficacité, Valentin Musso nous entraîne au cœur d’une petite ville américaine en apparence sans histoires, et qui cache bien ses secrets.
Né en 1977, Valentin Musso est agrégé de lettres. Il est l’auteur de six romans, traduits dans plusieurs langues, dont Sans faille (Seuil, 2014), Une vraie famille , (Seuil, 2015), en cours d’adaptation cinématographique, et La Femme à droite sur la photo (Seuil, 2017).
Le Choix d’une femme libre
Sept ans que Lucrèce est montée à Paris. A trente-deux ans, la jeune femme a réussi : journaliste reconnue, elle s’est imposée dans un milieu très masculin. Elle y fait tourner les têtes, y compris celle de Claude-Eric Valère, grand patron de presse, mais n’est pas du genre à se laisser dompter. Tout en multipliant les aventures, elle poursuit sa liaison avec le célèbre chirurgien Fabian CARTIER.Pourtant, Lucrèce va douter de ses choix quand son univers commence à se fissurer…
Suite des Années passion, Le Choix d’une femme libre nous entraîne au cœur d’un Paris des années 1990 empreint de réalisme et de romanesque. Françoise Bourdin offre la peinture exaltante d’une femme contemporaine et de toute une époque.
L’homme est un dieu en ruine
Teddy a vingt ans lorsqu’il s’enrôle en 1940 comme pilote de bombardier. Vite promu commandant d’Halifax, lui et son équipage vont connaître quatre années d’horreur et d’héroïsme où chaque mission risque d’être la dernière. Il va pourtant vivre jusqu’à plus de quatre-vingt-dix ans sans jamais complètement accepter l’idée d’avoir survécu et avec une obsession : ne plus faire de mal à personne. Le formidable pilote va donc épouser celle qui l’attendait, devenir père puis grand-père tout en se frayant un chemin au milieu des périls et des progrès du XXe siècle. Mélangeant les genres avec maestria : roman de guerre et roman sociétal, passant avec virtuosité du futur au passé, des larmes aux rires, Kate Atkinson signe un roman éblouissant où l’ambition littéraire n’altère jamais l’empathie de l’auteur pour ses inoubliables personnages.
Alex rider – Tome 11 – Never say die
Après la mort de Jack, Alex Rider dévasté, s’est installé à San Francisco, où il tente de se remettre. Mais pour l’ancien espion du MI6, difficile de vivre une vie rangée, loin du feu de l’action. De l’autre côté de l’Atlantique, un hélicoptère militaire, le Super Stallion, s’est volatilisé. Au même moment, Alex reçoit un mail qui pourrait avoir été écrit par Jack. Il en est convaincu: son amie est vivante ! Sans en avertir le MI6, il part à sa recherche… Il ne pouvait pas se douter que cette quête le mettrait sur la piste des voleurs de l’hélicoptère.
L’appel de la forêt
Loin d’avoir une « vie de chien », Buck coule une existence heureuse dans la famille du juge Miller. Grâce à son autorité naturelle, sa beauté, son intelligence et sa force, il règne en monarque absolu sur tous les autres animaux du domaine. Mais tout bascule un jour où, victime de la traîtrise d’un homme, il se retrouve vendu à un conducteur de traîneau dans le Grand Nord américain. Finie la vie d’aristocrate blasé, Buck va devoir affronter son destin dans un univers glacial et sans pitié, où chaque faute, chaque erreur est sévèrement sanctionnée. Saura-t-il survivre dans ce monde cruel où règne la loi du plus fort ? Qu’adviendra-t-il de cet admirable chien le jour où il découvrira, d’abord avec amertume, puis avec un plaisir trouble et instinctif, le goût du sang ? Oeuvre maîtresse de Jack London, ce roman a tout pour passionner les jeunes lecteurs. Il y a l’aventure dans le Grand Nord, en Alaska, parmi les aventuriers et les chercheurs d’or, à la découverte de l’univers mythique des pionniers américains. Et il y a évidemment l’étonnante aventure de Buck, attachant et courageux, au destin hors du commun.
Notre-Dame de Paris
En 1831, Victor Hugo réinvente le Moyen Âge et élève un monument littéraire aussi durable que l’œuvre de pierre qui l’a inspiré. Sous la silhouette noire et colossale de la cathédrale fourmille le Paris en haillons des truands de la Cour des Miracles. Image de grâce et de pureté surgie de ce cauchemar, la bohémienne Esméralda danse pour le capitaine Phoebus et ensorcelle le tendre et difforme Quasimodo, sonneur de cloches de son état. Pour elle, consumé d’amour, l’archidiacre magicien Claude Frollo court à la damnation. De cette épopée hallucinée, ces monstres et ces figures s’échappent pour franchir les siècles, archétypes de notre mythologie nationale, de notre art et de notre Histoire.
Tiens bon
Cette nuit-là, Ingrid a promis à Caitlin qu’elle la suivrait où qu’elle aille. Pourtant, le lendemain matin, Ingrid était partie… pour toujours. Le suicide de sa meilleure amie percute Cailtin de plein fouet. Comment continuer à vivre sans les rires, la complicité, les sessions photo dans le cinéma désaffecté et les secrets qu’elles partageaient au quotidien ? Et surtout, pourquoi ? Se lever le matin ressemble désormais à un challenge impossible. Pourtant, il faut bien retourner au lycée… Le seul indice qu’Ingrid a laissé derrière elle, c’est son journal. Peut-être Caitlin saura-t-elle comprendre ce que son amie a traversé et pourquoi elle a pris une telle décision ? Au fil des pages, elle devra affronter la vérité, mais aussi ses propres démons…
Mlle Wren Heyden est très riche, mais vit en recluse. À presque trente ans, elle a perdu tout espoir de trouver l’amour. Alors pourquoi ne pas s’offrir un époux ? Justement, son nouveau voisin, Alexander Westcott, comte de Riverdale, a besoin d’argent. Sans détour, Wren lui met le marché en main : s’il l’épouse, il pourra user de sa fortune pour rénover son domaine et, en échange, il lui fera des enfants. À sa grande surprise, Alexander exige de lui faire la cour publiquement avant de la conduire à l’autel. Une épreuve terrible que Wren se décide à affronter, mais une passion inattendue va bousculer les termes de leur accord.
Sans défense
Un adolescent est retrouvé à Londres dix ans après avoir été kidnappé aux États-Unis. Que s’est-il passé ?
Patrick et Rhys, amis et voisins, ont été kidnappés alors qu’ils jouaient ensemble. Leurs parents ont versé une rançon mais les petits garçons n’ont jamais réapparu, laissant les deux familles dans l’angoisse et le doute. Dix ans plus tard, à Londres, Win, l’oncle de Rhys, croit reconnaître l’un des deux garçons. Il appelle en renfort son meilleur ami, le détective Myron Bolitar. Ils retrouvent Patrick mais Rhys reste introuvable. Peut-il encore être sauvé ? Que s’est-il passé pendant ces dix années ? Pourquoi Patrick refuse-t-il de confier ce qu’il a vécu ?
Le Sicilien – Nuits nantaises 90’S
Nantes, 1995. Une jeune albanaise est assassinée dans des conditions particulièrement sauvages. Dario, gérant de discothèque d’origine sicilienne, fait figure de principal suspect : on a retrouvé le cadavre dans le coffre de sa voiture ! Greg Brandt, policier madré, est chargé de l’enquête, et dresse une liste bien plus étoffée de coupables potentiels, au premier rang de laquelle on trouve quelques mafieux, fraîchement débarqués d’Europe de l’Est, des notables aux curieuses fréquentations, des truands locaux et quelques hommes de main russes…
Le Sicilien est le deuxième opus des Nuits nantaises, une trilogie constituée d’intrigues policières, indépendantes les unes des autres, racontant les décennies 80, 90 et 2000. On y retrouve un personnage récurrent, sacrément attachant, l’inspecteur Greg Brandt. Découvrez sa première enquête en lisant L’Arménien, Prix du cercle anonyme de la littérature 2017.
Civilizations
Vers l’an mille : la fille d’Erik le Rouge met cap au sud. 1492 : Colomb ne découvre pas l’Amérique. 1531 : les Incas envahissent l’Europe. À quelles conditions ce qui a été aurait-il pu ne pas être ? Il a manqué trois choses aux Indiens pour résister aux conquistadors. Donnez-leur le cheval, le fer, les anticorps, et toute l’histoire du monde est à refaire. Civilizations est le roman de cette hypothèse : Atahualpa débarque dans l’Europe de Charles Quint. Pour y trouver quoi ? L’Inquisition espagnole, la Réforme de Luther, le capitalisme naissant. Le prodige de l’imprimerie, et ses feuilles qui parlent. Des monarchies exténuées par leurs guerres sans fin, sous la menace constante des Turcs. Une mer infestée de pirates. Un continent déchiré par les querelles religieuses et dynastiques. Mais surtout, des populations brimées, affamées, au bord du soulèvement, juifs de Tolède, maures de Grenade, paysans allemands : des alliés. De Cuzco à Aix-la-Chapelle, et jusqu’à la bataille de Lépante, voici le récit de la mondialisation renversée, telle qu’au fond, il s’en fallut d’un rien pour qu’elle l’emporte, et devienne réalité.
Une masse sombre, inexpliquée, prise dans les glaces millénaires du mont Ararat. Un livre interdit, gardé sous clé dans l’enfer du Vatican. Un animal de bois, énigmatique, portant au front une corne unique. Les indices sont là, éparpillés. Un gigantesque puzzle à reconstituer pour remonter à l’origine de toutes les religions du monde. De Bordeaux à Hong Kong, en passant par l’Arménie, Zak Ikabi n’a qu’une obsession : en réunir toutes les pièces. Et trouver ainsi l’arche de Noé. Embarquée malgré elle dans sa quête, la glaciologue Cécile Serval, aussi érudite que volcanique, se voit bientôt confrontée à un véritable déluge de questions. Et de balles de kalachnikovs… Car pour garder ce secret, certains sont prêts à tous les sacrifices…. Un thriller ambitieux au rythme effréné. Une intrigue historique diaboliquement séduisante qui embarque le lecteur dans une course folle, de Bordeaux à Erevan en passant par le Vatican et Hong Kong, à la poursuite d’un secret qui n’est rien de moins que celui de l’humanité tout entière. Tout ce qui est sur Terre doit périr a précédemment paru sous le titre La Dernière Licorne, sous le pseudonyme de Tobby Rolland.
En secret
Il suffit d’un mystérieux email adressé à la journaliste d’investigation Gina Kane pour l’alerter sur les méthodes de REL, une célèbre chaîne d’info. L’auteure du message dénonce le harcèlement sexuel dont elle a été victime et prétend ne pas être la seule. Mais après ce message, plus rien… Et pour cause : celle qui signait C. Ryan est morte dans un accident de jet-ski. Lorsqu’une autre femme, victime du présentateur vedette de REL, se suicide, Gina, soupçonnant un meurtre, comprend qu’elle a mis le doigt dans un engrenage. Et que la chaîne est prête à tout pour protéger la réputation d’un prédateur. Seule face à véritable une machine de guerre, Gina Kane n’a qu’une arme : la vérité.
Un suspense coup de poing de Mary Higgins Clark
Les secrets Mayas (Série Fargo – 5)
Lorsque le volcan Tacaná entre en éruption au Mexique, Sam et Remi Fargo – alors en vacances non loin de là – se joignent aux secours. En chemin pour apporter un soutien médical aux habitants d’un village isolé, le couple d’aventuriers remarque un étrange bloc de pierre et découvre dans la roche l’entrée d’un sanctuaire. A l’intérieur, la momie d’un haut dignitaire maya et une jarre qui renferme un codex contenant de précieux enseignements sur les Mayas, leurs villes et les origines de l’homme. Cette trouvaille majeure attise des convoitises, de la collectionneuse britannique Sarah Allersby, héritière sans scrupule. Tous les coups sont permis, et les hommes de main de la riche Britannique sont prêts à tuer pour récupérer le précieux codex. Beaucoup d’innocents y laisseront leur vie car l’enjeu est de taille : préserver les secrets mayas et ceux de l’humanité toute entière.
Après L’amie prodigieuse et Le nouveau nom, Celle qui fuit et celle qui reste est la suite de la formidable saga dans laquelle Elena Ferrante raconte cinquante ans d’histoire italienne et d’amitié entre ses deux héroïnes, Elena et Lila. Pour Elena, comme pour l’Italie, une période de grands bouleversements s’ouvre. Nous sommes à la fin des années soixante, les événements de 1968 s’annoncent, les mouvements féministes et protestataires s’organisent, et Elena, diplômée de l’École normale de Pise et entourée d’universitaires, est au premier rang. Même si les choix de Lila sont radicalement différents, les deux jeunes femmes sont toujours aussi proches, une relation faite d’amour et de haine, telles deux sœurs qui se ressembleraient trop. Et, une nouvelle fois, les circonstances vont les rapprocher, puis les éloigner, au cours de cette tumultueuse traversée des années soixante-dix. Celle qui fuit et celle qui reste n’a rien à envier à ses deux prédécesseurs. À la dimension historique et intime s’ajoute même un volet politique, puisque les dix années que couvre le roman sont cruciales pour l’Italie, un pays en transformation, en marche vers la modernité.
Entre ciel et terre
« Certains mots sont probablement aptes à changer le monde, ils ont le pouvoir de nous consoler et de sécher nos larmes. Certains mots sont des balles de fusil, d’autres des notes de violon.
Certains sont capables de faire fondre la glace qui nous enserre le cœur et il est même possible de les dépêcher comme des cohortes de sauveteurs quand les jours sont contraires. »
Parfois, à cause des mots, on meurt de froid. Comme Bardur, pêcheur à la morue islandais, il y a un siècle. Trop occupé à retenir des vers du Paradis perdu de Milton, il oublie sa vareuse en partant en mer.
De retour sur la terre ferme, son meilleur ami entame un périlleux voyage pour rendre à son propriétaire, un vieux capitaine devenu aveugle, le livre funeste. Pour savoir aussi s’il veut continuer à vivre.
Entre ciel et terre, d’une force hypnotique, nous offre une de ces lectures trop rares dont on ne sort pas indemne. Une révélation…
Le dimanche des mères
Angleterre, 30 mars 1924. Comme chaque année, les aristocrates donnent congé à leurs domestiques pour qu’ils aillent rendre visite à leur mère le temps d’un dimanche. Jane, la jeune femme de chambre des Niven, est orpheline et se trouve donc désœuvrée. Va-t-elle passer la journée à lire ? Va-t-elle parcourir la campagne à bicyclette en cette magnifique journée ? Jusqu’à ce que Paul Sheringham, un jeune homme de bonne famille et son amant de longue date, lui propose de le retrouver dans sa demeure désertée. Tous deux goûtent pour la dernière fois à leurs rendez-vous secrets, car Paul doit épouser la riche héritière Emma Hobday. Pour la première – et dernière – fois, Jane découvre la chambre de son amant ainsi que le reste de la maison. Elle la parcourt, nue, tandis que Paul part rejoindre sa fiancée. Ce dimanche des mères 1924 changera à jamais le cours de sa vie.
Graham Swift dépeint avec sensualité et subtilité une aristocratie déclinante, qui porte les stigmates de la Première Guerre – les fils ont disparu, les voitures ont remplacé les chevaux, la domesticité s’est réduite… Il parvient à insuffler à ce court roman une rare intensité, et célèbre le plaisir de la lecture et l’art de l’écriture.
Le choix de Yacine
Paul Marc Mané est né le premier Janvier 1963 au Bénin, de père sénégalais et de mère Béninoise. C’est en 1984, en classe de première, qu’il rédigea le scénario : Le choix de Yacine. Il est actuellement instituteur aux cours privés Charles Baudelaire.
Dans cette série dérivée des Nombrils, on retrouve Karine, Jenny et Vicky au temps où Karine ne sortait pas encore avec Dan et où elle faisait, sans broncher, les devoirs de ses deux « amies ». Mais on découvre aussi l’origine de l’amitié entre Vicky et Jenny quand une Vicky boulotte et boutonneuse bavait devant une Jenny ultra sexy et fraîchement débarquée dans l’école. Et comment Vicky n’a pas hésité à lâcher sa seule amie de l’époque pour traîner aux côtés de Jenny, appelée à devenir inévitablement la fille la plus populaire du bahut. On découvre aussi l’intelligence de Vicky qui multiplie les trucs tordus pour faire faire ses devoirs à Karine (comme demander à Jenny de simuler une attaque cérébrale) ou pour faire virer les mecs qui ne s’intéressent pas à elle avec assez d’enthousiasme. Un album 100 % « gag »qui se situe chronologiquement au moment du tome 1 de la série principale. Tout simplement hilarant !
Traversée de Paris
Durant l’Occupation, deux compères entreprennent nuitamment la traversée de Paris afin de livrer un cochon découpé dans des valises. Toutefois, si le premier, Martin, est un gars honnête et courageux, le second, Grandgil, se révèle vite antipathique : il extorque de l’argent à Jamblier, le propriétaire du cochon, traite les tenanciers d’un bar de « salauds de pauvres » et assomme un agent de police. Lorsque, Martin découvre que Grandgil est un peintre aisé qui n’est là que pour s’amuser, il entre en fureur et, au cours de la bagarre qui s’ensuit, le poignarde avec son couteau. Plus tard, il se livre à la police avec un sentiment de justice accomplie.
Lorsque je me mets en route, je n’ai aucune spécialité, je suis dilettante en tout ; j’aime la musique sans être véritablement musicologue, je fais des photographies sans être photographe, et j’écris de temps en temps sans être véritablement écrivain. Je crois que si je devais me prévaloir d’une spécialité, j’opterais pour celle de voyageur. Etre l’oeil ou l’esprit qui se promène, observe, compare et ensuite relate, une sorte de témoin.
Oublier Klara
Mourmansk, au Nord du cercle polaire. Sur son lit d’hôpital, Rubin se sait condamné. Seule une énigme le maintient en vie : alors qu’il n’était qu’un enfant, Klara, sa mère, chercheuse scientifique à l’époque de Staline, a été arrêtée sous ses yeux. Qu’est-elle devenue ? L’absence de Klara, la blessure ressentie enfant ont fait de lui un homme rude. Avec lui-même. Avec son fils Iouri. Le père devient patron de chalutier, mutique. Le fils aura les oiseaux pour compagnon et la fuite pour horizon. Iouri s’exile en Amérique, tournant la page d’une enfance meurtrie. Mais à l’appel de son père, Iouri, désormais adulte, répond présent : ne pas oublier Klara ! Lutter contre l’Histoire, lutter contre un silence. Quel est le secret de Klara ? Peut-on conjurer le passé ? Dans son enquête, Iouri découvrira une vérité essentielle qui unit leurs destins. Oublier Klara est une magnifique aventure humaine, traversé par une nature sauvage.
No direction
Dans ce récit choral, Emmanuel Moynot suit « caméra à l’épaule » deux jeunes tueurs en série, Jeb et sa petite amie Bess, en cavale sanglante dans une Amérique déglinguée et crasseuse. En vingt chapitres coup de poing, montés en 8 pages comme des comics, on va croiser tour à tour les destins de la belle Maxine et de ses deux fils, de Bo sa brute épaisse de compagnon, du Pasteur Cletus, plus amateur de jeunes filles que de vin de messe, d’un représentant d’aspirateurs qui sillonne les routes en Camaro, d’un motard juché sur une Norton Commando… Et pendant que Jeb et Bess sèment les cadavres sur leur route, Brett Edmund, le shérif adjoint de Sugar Grove mène l’enquête, en essayant de ne pas entraver celle de l’agent spécial Thomson, jolie blonde venue de l’Est…
Peur
« J’avais toujours cru mon père capable de commettre un massacre. Dès qu’il était question d’une tuerie aux informations, je retenais mon souffle jusqu’à ce que le nom du coupable tombe. Pure paranoïa, j’en conviens, mais nos peurs d’enfant ont la peau dure. » Randolf Tiefenthaler affirme avoir eu une enfance normale, même si son père collectionnait à leur domicile un véritable arsenal. Marié et père de deux enfants, Randolf, aujourd’hui architecte, s’enorgueillit d’avoir acheté pour sa famille un nouvel appartement situé dans un quartier cossu de Berlin. Mais son confort bourgeois et ses convictions progressistes sont torpillés le jour où il rencontre l’homme qui vit sous leurs pieds. Dieter Tiberius se révèle vite un voisin menaçant, un harceleur au comportement de plus en plus erratique et inquiétant. Randolf Tiefenthaler devra répondre à une question que l’on n’aimerait jamais avoir à se poser : jusqu’où est-on capable d’aller pour protéger sa famille ?
660 pages –
Le 22 juin 1994, le conseil de sécurité de l’ONU autorise par la résolution 929 le déploiement d’une force multinationale sous commandement français au Zaïre et au Rwanda. Objectif : contribuer, de manière impartiale, à la sécurité et à la protection des personnes déplacées, des réfugiés et des civils en danger au Rwanda.
Depuis plus de vingt ans, membres d’ONG, chercheurs et surtout le régime du Rwanda accusent la France et les militaires français d’avoir participé à la préparation et à l’exécution du génocide ?
Mais sur quoi reposent les accusations ?
Pourquoi la France garde t-elle le silence et ce silence est-il coupable ?
Après plus de dix années de recherches dans les archives du Conseil de Sécurité, de l’Elysée, du ministère français de la Défense, du gouvernent des Etats-Unis et du Tribunal pénal international pour le Rwanda, Charles Onana démontre, tous documents à l’appui, que les dirigeants actuels du Rwanda ont, d’avril à juin 1994, empêché l’intervention de l’ONU, encourageant ainsi les massacres et la lutte armée plutôt que l’arrêt des hostilités qui devait déboucher sur un partage du pouvoir, prévu par les accords d’Arusha.
