Mort sur le lac
Imaginez un cadre de rêve : le lac de Côme et les petits villages de montagne de la Lombardie. Rencontrez une commissaire haute en couleurs : Stefania, mère célibataire au tempérament bien trempé. Plongez dans un mystère : des ossements du siècle dernier retrouvés non loin de la somptueuse Villa des Cappelletti. Et si les paysages idylliques de l’Italie du Nord masquaient de terribles secrets enfouis dans l’histoire ?… Le commissaire Stefania Valenti enquête sur le squelette d’un soldat allemand de la Seconde Guerre mondiale découvert dans la région du lac de Côme, à proximité de la villa des richissimes Capelletti. Dans une atmosphère d’omerta et de secrets de famille, la quarantenaire divorcée aura fort à faire pour résoudre ce mystère et mener de front sa vie de famille et son histoire d’amour naissante.
L’Epreuve
Plus de vingt ans ont passé depuis cette aventure de la Résistance, qui est celle même d’Annie Guéhenno. Elle la revit ici intérieurement, débarrassée de l’image déformante que l’histoire en a quelquefois donnée et dont les héros mêmes de l’aventure ont pu être dupes. Récit simple, nu et pourtant plein d’événements, où le drame et l’humour se mêlent. Étudiante à Paris pendant l’Occupation, Annie Guéhenno entre dans un mouvement de Résistance (parachutage d’armes) et accomplit toutes sortes de missions à travers l’Ouest de la France. Arrêtée par la Gestapo, elle est enfermée à la prison d’Angers. Elle y passe deux mois au secret. L’aventure prend alors un caractère profondément intérieur. Embarquée dans un train à destination de Ravensbrück. Annie Guéhenno s’évade. C’est la Libération. Elle retrouve une vie sur laquelle elle s’interroge. La réponse que chaque jeunesse se donne dépend, pour une grande part, de ce que fut sa rencontre avec son temps. Pour Annie Guéhenno et ses camarades, l’Occupation et la Résistance furent une épreuve d’eux-mêmes, peut-être une chance. À vivre dans l’anonymat, en marge des habitudes et de la comédie sociale, ils étaient paradoxalement libres et en quelque sorte à nu devant l’essentiel. La mesure de leur vie était la vie même. Quand l’aventure fut finie et qu’il fallut se rajuster à la vie quotidienne, beaucoup d’entre eux furent désemparés. Mais tout cela n’avait pas été vain… En disant très simplement ce que ce fut pour ses camarades et pour elle, Annie Guéhenno a cherché sans doute à » sauver quelque chose de la mort « .
The hit list
En Anglais – When a tycoon apparently falls from his yacht and drowns, the two secret service operatives who have in fact murdered him are also killed. The top secret governmental organisation that had employed them needs to find new recruits. Peter Slater, a former SAS soldier, is working as a games master in a public school. When he foils an attempt by terrorists to kidnap an Arab boy, the boy is hurt and Slater is sacked. Down on his luck he is framed for the murder of his girlfriend, and blackmailed into working for MI7. The missions he is asked to undertake on behalf of the British government become so evil that he finds himself preferring to die rather than complete these missions successfully.
La clinique
Le policier Milo Sturgis et le psychologue Alex Delaware sont chargés d’élucider le meurtre de Hope Devane, féministe convaincue et professeur d’université, sauvagement assassinée devant son domicile. Les assassins potentiels sont nombreux. Hope s’était fait des ennemis parmi les universitaires en raison de ses positions extrêmes et de sa notoriété, mais aussi parmi les étudiants dont certains avaient été accusés de harcèlement sexuel au sein d’une commission qu’elle présidait. Elle entretenait une relation sexuelle avec un de ses étudiants qui aurait pu susciter la jalousie de son mari. Enfin, elle était conseillère auprès d’un médecin aux pratiques médicales peu orthodoxes. Autant de pistes dont Alex Delaware comprendra qu’elles sont des leurres. La vérité est ailleurs, dans le passé de la victime. Un roman où la vérité des personnages se révèle à mesure que se dévoile leur désarroi. Madeleine Sorel
Soudain trop tard
Au petit matin, dans un bar d’un quartier populaire de Barcelone, Epi Dalmau tue son ami Tanveer à coups de marteau. Puis s’enfuit sans un mot retrouver Tiffany Brisette, la femme pour laquelle il a commis l’irréparable. Témoin de la scène, le frère aîné d’Epi, Álex, va tâcher de lui sauver la mise en faisant porter le chapeau à quelqu’un d’autre. Mais quel secours un ancien toxicomane schizophrène est-il capable d’apporter? Soudain trop tard est le récit d’une journée où tout a brutalement basculé, où les rumeurs naissent à chaque coin de rue, où les petites gens se veulent acteurs de la tragédie. C’est aussi le portrait d’une Barcelone durement touchée par la crise et le désenchantement, à travers celui de ses habitants, toutes générations et origines confondues.
Dexter fait son cinéma
Lumière… Moteur… Chaos ! // Quand le tout-Hollywood débarque à Miami, l’action est au rendez-vous, et la réalité dépasse la fiction. // La méga-star Robert Chase est connue pour sa capacité à s’identifier totalement à ses personnages. Pour préparer le tournage d’une nouvelle série policière, Chase et les autres comédiens font un stage en immersion au département de police de Miami. Afin de saisir toutes les nuances de son rôle, Chase doit jouer les doublures d’un certain Dexter Morgan, analyste de traces de sang et amateur de doughnuts… Mais l’étude tourne vite à l’obsession, et Chase se met en tête d’observer les moindres gestes de son modèle, à toute heure du jour ou de la nuit. Ce qui pose un léger problème : le passe-temps préféré de Dexter, traquer et massacrer sauvagement les pires tueurs, est un secret qui ne supporte ni l’exposition aux spotlights ni la fascination d’une vedette hollywoodienne. S’il veut éviter la chaise électrique, il doit à tout prix rester dans l’ombre. Mais même Dexter n’est pas insensible aux lumières de la gloire… surtout quand elles illuminent une charmante actrice dont la beauté perturbe le Passager noir. Sinistre, jubilatoire et palpitant : avec Dexter fait son cinéma, Jeff Lindsay fait preuve une nouvelle fois de la macabre originalité qui a fait son succès et en profite pour égratigner au passage l’industrie hollywoodienne.
L’usine à lapins
Arthur est un septuagénaire qui ne bande plus ou presque et qui refuse pourtant le Viagra. Helen, sa femme bien plus jeune, s’ennuie et se console dans l’alcool et les coucheries. Domino, de son côté, livre de la viande suspecte à des lions et deale de l’herbe en butant les flics qui le dérangent. Son patron n’en sait rien, ne s’occupe que de ses affaires de mafia et traque un homme qu’il voudrait bien donner à ses gros chats. A l’autre bout de la ville, un type se fait buter dans un salon de coiffure, un marin tombe amoureux et Anjalee, jeune fille traquée par la police, fait tout ce qu’elle peut pour survivre tout en portant une poisse mortelle à ses amants… Autant de destins qui se croiseront pour un livre dense et sinueux, très noir, d’une infinie tendresse.
Quatre racines blanches
Quand un combat acharné s’engage contre la pègre québécoise, meurtres, trafics et enlèvements s’enchaînent. Seul témoin de l’enlèvement d’une inconnue et du meurtre de l’un de ses collègues canadiens, le capitaine français Daniel Magne échappe de justesse à la mort. Sollicité par la Sûreté du Québec pour l’aider à identifier les assassins, Magne et sa co-équipière Lisa Heslin, vont se heurter à une enquête hors juridiction des plus difficiles. Sans le savoir, ils viennent de mettre les pieds sur le territoire de l’un des criminels les plus dangereux du Canada.
Dernière nuit à Twisted River
A Twisted River circulent des histoires… Celles que les bûcherons racontent dans la chaleur du camp, peuplées d’ours et de sensuelles Indiennes. Et celles qu’ils taisent, comme cette nuit glacée qui a vu la fuite de Dominic et de son fils, après le meurtre accidentel de la maîtresse du shérif. En cavale à travers l’Amérique, ils tentent de semer leur passé. Mais peut-on oublier Twisted River ?
Le septième voile
A la mort de sa mère, Julio Ballesteros apprend que son père n’est pas l’homme qui l’a élevé, mais un Français, Jules Tillon. Bouleversé, Julio décide de reconstituer l’histoire de Jules. Il apprend que celui-ci a été un héros de la Résistance française sous le pseudonyme de Houdini, et qu’à la fin de la guerre, devenu amnésique à la suite d’une blessure à la tête, il a sombré dans la folie et le meurtre, et a abandonné la femme qu’il aimait. En enquêtant sur le passé de son père, Julio lève peu à peu les voiles de ce personnage obscur et d’une histoire faite d’héroïsme, mais aussi de trahison, d’abjection et de mensonge. Avec ce magnifique et passionnant roman d’aventures aux multiples rebondissements, qui conduit le lecteur de la France occupée à l’Espagne franquiste et à l’Argentine d’aujourd’hui, Juan Manuel de Prada poursuit son exploration du mal et de la culpabilité en abordant le thème de la mémoire, de ses lois et de ses pièges. Le Septième Voile a reçu le prix Biblioteca Breve 2007.
Mystères de Lisbonne
« Cette histoire n’est pas une fiction : c’est un journal de souffrances, véridique, authentique et justifié ». Un homme meurt à Rio, laissant un manuscrit qui commence ainsi : « J’avais quatorze ans et je ne savais pas qui j’étais… » Et nous voici aussitôt plongés dans le Portugal du XIXe siècle. Le petit João est élevé dans une école de village par le père Dinis, qui lui dévoile peu à peu le secret de sa naissance : le garçon se révèle être le fruit d’amours contrariées au sein d’une des plus grandesfamilles de Lisbonne. Par l’entremise de ce prêtre bienveillant, il retrouve sa mère, mais trop peu de temps : celle-ci choisit un jour de s’enfermer définitivement au couvent. Dès lors, le jeune homme passera sa vie à reconstruire le fil de son identité. Au cours de sa quête, il croisera un assassin professionnel reconverti en homme d’affaires magnanime, une vendeuse de morue devenue sainte après avoir empoisonné son mari et prostitué sa fille, une comtesse solitaire avide de vengeance…Quant au dévoué père Dinis, on le retrouvera tantôt sous les traits d’un Gitan, tantôt sous ceux d’un poète, et l’on rassemblera progressivement les pans de son destin tragique…
Générosité
Thassa Amzwar, une jeune algérienne dont les proches ont disparu dans le sillage des émeutes en Kabylie, poursuit ses études à Chicago. Loin d’être une exilée traumatisée, c’est une jeune femme lumineuse, gaie, heureuse, d’un optimisme inflexible. Un de ses professeurs, Russell Stone, est vite intrigué et fasciné par son incroyable propension au bonheur. Thassa serait-elle victime d’hypertymie, une forme d’euphorie chronique ? Le cas de la jeune femme attire bientôt l’attention de Thomas Kurton, un scientifique très en vogue dans les médias, ardent partisan des manipulations génétiques. Ce dernier découvre que le bien-être de Thassa est dû à une disposition chromosomique particulière et en vient à se demander s’il ne serait pas possible d’isoler le gêne du bonheur. Cette hypothèse éveille l’intérêt des médias, et Thassa se retrouve sous les feux de la rampe. Face à une telle pression, la jeune femme devra faire appel à d’autres ressources que sa simple joie de vivre…Jusqu’où peut-on remettre nos existences entre les mains de la science ? Qu’adviendra-t-il de la condition humaine lorsque le bien-être dépendra des laboratoires pharmaceutiques ? C’est au bonheur et à son devenir dans une société façonnée par la science et les médias que s’attaque Richard Powers avec ce nouveau roman d’une intelligence et d’une densité exceptionnelle.
Un membre permanent de la famille
Un mari humilié qui rôde dans la maison de son ex-femme, un serveur déprimé qui invente à une inconnue une vie qui n’est pas la sienne pour la sauver d’un hypothétique désespoir, des hommes et des femmes qui, pour transcender leur existence ordinaire, mentent ou affabulent à l’envi, sous le soleil de Miami ou sous des cieux plus sombres… Dans ces douze nouvelles d’une extraordinaire intensité et peuplées de personnages cheminant sur le fil du rasoir, Russell Banks, convoquant les angoisses et les tensions où s’abîment les fragiles relations que l’être humain tente d’entretenir avec ses semblables, transmue magistralement le réel et le quotidien en authentiques paraboles métaphysiques.
Le dîner de trop
Gjirokastër – la « ville de pierre » au sud de l’Albanie – voit déferler les troupes allemandes qui remontent de la Grèce envahie. À leur tête, un colonel nazi qui a fait ses études en Allemagne avec un dignitaire de la ville, le docteur Gurameto. Le colonel von Schwabe retrouve avec effusion son ex-condisciple qui l’invite à dîner. Or, des maquisards ouvrent le feu sur l’avant-garde des blindés allemands . En représailles, les nazis raflent des otages parmi les habitants de la cité. Le docteur Gurameto se sent contraint durant le souper avec l’état-major allemand de convaincre le colonel de les libérer – y compris un pharmacien juif- sous peine de passer pour traître aux yeux de la population. Il obtient gain de cause. Une fois la guerre terminée et le communisme instauré, cette affaire revient sur le tapis. Au moment où dans tout le bloc communiste la paranoïa stalinienne atteint des sommets, la libération du pharmacien juif par le colonel nazi désigne Gjirokastër comme un noyau du grand complot planétaire visant à décapiter les pays socialistes… Quelle est la clé de l’énigme du fameux dîner ? Et si l’invité du docteur Gurameto n’avait été autre qu’un mort ?
🇨🇳 儿童书 – 17
🇨🇳 儿童书 – 07
Histoire de la Gestapo
Gestapo, ces trois syllabes ont, pendant douze années, fait trembler l’Allemagne, puis l’Europe entière. Des centaines de milliers d’hommes ont été traqués par les agents qui opéraient sous le couvert de cette « raison sociale », des millions d’êtres humains ont souffert et sont morts sous leurs coups ou sous ceux de leurs frères, les SS.
Jamais, dans aucun pays et à aucune époque, une organisation n’atteignit cette complexité, ne détint un tel pouvoir, ne parvint à un tel point de « perfection » dans l’efficacité et dans l’horreur.
A ce titre, la Gestapo demeurera dans la mémoire des hommes comme l’exemple d’un instrument social dévoyé par des êtres sans scrupules.L’être humain est un fauve dangereux. En période normale, ses instincts mauvais demeurent à l’arrière-plan, jugulés par les conventions, les habitudes, les lois, les critères d’une civilisation. Mais, que vienne un régime qui non seulement libère ses impulsions terribles, mais en fasse des vertus, alors du fond des temps le mufle de la bête réapparaît sous le masque fragile du civilisé, déchire cette mince écorce et pousse le hurlement de mort des temps oubliés.Ce que le nazisme, incarné quelque sorte dans la Gestapo, a tenté de réaliser, et qu’il a failli réussir, c’est la destruction de l’homme, tel que nous le connaissons, tel que des millénaires l’ont façonné.
La fabrique des illusions
Molly Howe est une jeune fille sublime, admirée, gâtée par la vie et adulée par ses parents, jusqu’au jour où le secret qu’elle dissimulait est exposé au grand jour, sa réputation démolie et sa présence désormais indésirable dans la petite ville de son enfance. Elle s’enfuit alors à Berkeley où elle trouve réconfort dans les bras d’un jeune étudiant en art, John Wheelwright. Il est immédiatement fou d’elle, et consumé d’amour et de fascination. Jusqu’à ce qu’elle disparaisse de nouveau. Dix ans plus tard, John est entraîné dans une aventure aussi risquée qu’exaltante par le visionnaire et excentrique gourou de la publicité, Mal Osbourne. Son idée menace le concept même de publicité et la grande machine à slogans américaine. John ne savait pas dans quoi il s’engageait en suivant Osbourne, mais surtout il n’aurait jamais imaginé que dans son orbite graviterait la femme qui l’a laissé dévasté des années plus tôt.
La bibliothèque du photographe
Paul Tomm, journaliste débutant, se pique d’élucider la mort mystérieuse de son ancien professeur d’histoire. Mais sa curiosité en contrarie plus d’un… Paul est confronté à des individus prêts à tout pour s’approprier d’inestimables reliques. Quels sont ces étranges objets, malfaisants, occultes, dispersés depuis le XIIe siècle à travers le monde ? Un thriller érudit dans lequel présent et passé mènent une danse endiablée.
🇨🇳 儿童书 – 20
🇨🇳 儿童书 – 19
🇨🇳 儿童书 – 18
Messieurs les enfants
« L’imagination ce n’est pas le mensonge, » tel est le leitmotiv que Crastaing assène inlassablement à ses élèves, qui ne l’écoutent guère. Si peu même que trois d’entre eux, les plus frondeurs, Igor Laforgue, Joseph Pritsky et Nourdine Kader vont écoper, en guise de punition, du devoir suivant: Vous vous réveillez un matin, et vous constatez que vous avez été transformé en adulte. Complètement affolé, vous vous précipitez dans la chambre de vos parents. Ils ont été transformés en enfants. Racontez la suite. La suite prouvera que la réalité dépasse souvent la fiction puisque c’est ce qui va véritablement se produire à travers une série de catastrophes et de métamorphoses rocambolesques qui donnent à l’auteur de « Comme un roman, » l’occasion de réfléchir non seulement sur le pouvoir de la fiction mais sur l’enfance et l’éducation. Tout en se livrant sans restriction au « bonheur narratif », Daniel Pennac porte un jugement sévère sur une certaine attitude pédagogique qui produit des enfants « amputés de leur enfance, poussés prématurément dans le train des ambitions, programmés dès l’ovule » et invite chacun de ses lecteurs, quel que soit son âge à « ressentir l’enfance au moins une fois. »
Un long silence
Gary Gilmore est l’un des condamnés à mort les plus célèbres des États-Unis. Après avoir passé une partie de sa vie derrière les barreaux pour vols à main armée, il fut accusé de meurtre en juillet 1976, au moment même où la Cour Suprême, dix ans après la dernière exécution, venait d’autoriser à nouveau la peine capitale. En réclamant lui-même sa mise à mort, plutôt qu’une peine de prison à perpétuité Gilmore enflamma le débat dans tout le pays. Il sera finalement exécuté le 17 janvier 1977 au matin. Quelques années plus tard, Norman Mailer lui consacrera un de ses chefs d’oeuvre, Le Chant du bourreau. Le frère cadet de Gary, Mikal Gilmore, rédacteur en chef au Rolling Stone magazine, aura tenté pendant des années de mettre cette histoire tragique de côté. En vain. Avant qu’elle ne dévaste complètement son existence, comme elle a dévasté les siens, il s’est décidé à la mettre par écrit, pour essayer de mieux comprendre son héritage, dénouer les liens du sang et échapper à la malédiction familiale. Poussé par l’urgence et un instinct de survie impérieux, il s’est ainsi lancé dans une véritable enquête, à la fois affective, douloureuse, sans concessions, sur sa propre famille, sur son enfance, sur ses origines, entreprenant ainsi un sombre voyage, au terme duquel il a découvert un terrible secret. Avec une force d’émotion rare, il nous donne un document passionnant, à la fois cru, intime et puissant, sur les traumatismes et la résilience, qui n’est pas sans évoquer. De sang-froid de Truman Capote dans sa description de l’Enfer Américain. Un document humain, trop humain, qui en aucun cas ne laissera le lecteur intact.
Le Festival de Cannes
Frédéric Mitterrand nous emmène à Cannes, lors du dernier Festival où il avait été invité à présider un jury d'enseignants. Journée après journée, il nous livre ses carnets secrets : ses rencontres, ses impressions, mais aussi les souvenirs très personnels que mémoire et mélancolie réveillent en lui. Un 'Etoile et toiles' intime où l'on croise Anna Magnani et Pedro Almodovar, Rita Hayworth, John Huston et tant d'autres : la magie du septième art se mêle aux confessions d'un homme qui écrit pour « se consoler comme il peut de ses remords ».
Pour les plaisirs du Roi
Paris, printemps 1753. Le comte jean du Barry, gentilhomme de province ruiné et sans scrupules, abandonne sa famille pour s'exiler à Paris. Doté d'un talent rare pour le jeu, le libertinage et l'escroquerie, il devient « courtier galant », recrutant de jeunes beautés qu'il loue à ses puissants amis. Une lucrative activité qui l'érige en maître des plaisirs des plus grands noms de la cour de Louis XV… Ses intrigues lui valent de solides ennemis : déjouera-t-il les pièges tendus par Choiseul, ministre du roi, ou Mme de Pompadour, qui ont juré sa perte ? Qui est cet étrange M. de Kallenberg, qui croise perpétuellement son chemin ? Et réussira-t-il à installer dans le lit du roi sa protégée, Jeanne Bécu, jeune prostituée de vingt ans que le comte transforme en élégante et désirable Mme du Barry ?
🇨🇳 儿童书 – 15
🇨🇳 儿童书 – 14
🇨🇳 儿童书 – 12
🇨🇳 儿童书 – 11
🇨🇳 儿童书 – 10
🇨🇳 儿童书 – 09
🇨🇳 儿童书 – 08
🇨🇳 儿童书 – 05
🇨🇳 儿童书 – 04
🇨🇳 儿童书 – 03
🇨🇳 儿童书 – 02
🇨🇳 儿童书 – 01
Les chemins du sel
Etat neuf – Nombreuses illustrations de qualité – Aux premiers âges de la terre, le sel était là, dans l’océan primitif où la vie a pris naissance. Élément vital, constitutif de l’homme, le sel est symbole de salut. Ses propriétés conservatrices en firent depuis toujours un produit recherché. Convoité par les princes et les marchands, jalousement gardé par les abbés, il devint un enjeu politique. L’inique impôt sur le sel, la gabelle, source de révoltes sanglantes, fut enfin le point fort d’une histoire mouvementée à laquelle seule la technologie du XXe siècle viendra mettre un terme. Gilbert Dunoyer de Segonzac, historien et géologue, relate l’histoire de ce minéral très particulier dont on peut dire, à certains égards, qu’il joua un rôle essentiel dans la vie des hommes.
Un amour dérobé
1914, trêve de Noël. Sur le champ de bataille, Wilhelm, un lieutenant allemand, fait une surprenante requête à Hal, son opposant britannique : aller voir de sa part sa fiancée anglaise pour l’assurer de son amour. Mais Hal va tomber amoureux de la belle et tout faire pour voler la place de Wilhelm dans son cœur.
Le vent des Khazars
Personne ne se souvient du pays des Khazars, province perdue, reculée dans les montagnes du Caucase. Pourtant, là, au Xe siècle, s’est formée la « Treizième Tribu ». On l’appelle aussi les Juifs des montagnes. Ils seraient les premiers Juifs de l’Exode, parlant une langue à l’origine inconnue, le tath, dont la mission était d’apporter la paix à tous les Juifs de l’univers. Personne pour se souvenir d’eux, excepté quelques vieux rabbins ou quelques rats de bibliothèque. Un jour, à Bruxelles, un professeur de l’université est approché par un homme à la mine patibulaire qui lui remet une pièce de monnaie. Après expertise, il s’avère que la pièce est authentique et unique : aucun doute possible, elle provient du Royaume des Khazars ! Quelques jours plus tard, un attentat à la bombe détruit quatre stations de pompage pétrolier dans la baie de Bakou. Un groupe, jusqu’alors inconnu des services de renseignements internationaux, revendique l’attentat. Il se fait appelé le « Renouveau kazhar ».
Le pouvoir des Cinq – Tome 2 – Evil Star
Tout a commencé avec Raven’s Gate. Mais c’est loin D’être terminé. L’ennemi rôde toujours. Après avoir vaincu les Anciens à Raven’s Gate, Matt Freeman pensait qu’il allait pouvoir retrouver une vie normale. Mais tout le monde n’est pas de cet avis, loin de là… Au Pérou, une seconde porte est sur le point de s’ouvrir. Matt est le seul à pouvoir empêcher les forces du mal de s’y engouffrer. Mais à présent, ces forces connaissent tout de lui. Et cette fois, Matt ne leur échappera pas.
« Considéré comme le chef de file de la peinture abstraite au Sénégal, Souleymane Keita est né en 1947 à Gorée, l’île au large de Dakar. Son travail ? Une peinture africaine, certes, là où rythmes et rites se confondent dans les subtilités d’une vue intérieure, mais en rien « locale » : un élargissement de la vision et, par là, de l’expérience humaine. »
Carnets secrets de la présidentielle
La France vient de connaître un séisme. Choqués, les Français ne l’analysent pas encore. Michèle Cotta a toujours tenu un journal, sorte d’éditorial intime : elle y a noté confidences, révélations, déclarations des principaux acteurs de notre vie politique. Confidences de Jospin, de Chirac, de leurs entourages sur les tensions de la cohabitation, analyses de Chevènement, de Bayrou sur les échéances électorales, états d’âme de Noël Mamère, Robert Hue, visions de Laurent Fabius, D.S.K. Mais aussi petits secrets de Jean-Marie Le Pen… Michèle Cotta a tout noté dans ses carnets secrets. Un témoignage unique pour comprendre ou tenter de comprendre les bouleversements que connaît la France aujourd’hui.
A quoi sert le Sénat, institution deux fois centenaire qui nous coute chaque année plus de 300 millions d’euros? D’abord à financer les privilèges (plus de 4 000 euros mensuels de retraite pour 15 ans de cotisation) et les rémunérations royales (11 540 euros net par mois) des derniers princes de la République, nos 331 sénateurs. Et aussi à entretenir les 1 260 fonctionnaires les mieux rémunérés de l’Hexagone (de 2 300 à 20 000 euros net mensuels), qui font la semaine de 32 heures et ont presque 4 mois de vacances. Luxe, calme et volupté… Et, dans l’esprit de beaucoup, de Jospin à Sarkozy, ces super-privilèges n’ont pas la moindre justification, car, selon eux, cette deuxième Chambre ne sert à rien. La réalité est édifiante: un petit tiers des sénateurs travaille, un gros tiers vient de temps en temps à Paris et les autres appartiennent à la famille des rois fainéants. Un royaume hors du monde et du temps ? Pas tout à fait. Car nos sénateurs, qu’ils soient de droite ou de gauche, sont assidument courtisés par des lobbies de tout poil. Des marchands d’armes aux semenciers, chacun connaît la capacité de ces édiles à peser sur la diplomatie française ou à modifier un texte de loi. Cela justifie bien des voyages d’études, tous frais payés, quelquefois au bord d’un lagon lointain… D’autres ténors politiques, en revanche, continuent à considérer la Chambre haute comme un précieux garde-fou contre les dérives des gouvernements et l’obéissance servile de l’Assemblée nationale.
Ne dites pas à ma mère que…
C’est Jacques Prévert qui me fit entrer en publicité. Il faut avouer que j’avais le virus. Je le tenais de Pierre Lazareff. Comment être mieux contaminé ? Alors commença ma course contre le mal. Ma première crise fut de prendre Pompidou comme cover-boy. Je montrai dans l’Express le président barrant un moteur Mercury. Résultat : saisie du magazine. Je rechutai en baptisant » Choux » un immeuble de Créteil en quête de publicitaire. Ce fut le plus beau navet de ma carrière. Dès lors tout empira. Je décrochai le contrat de l’année en proposant les services de Salvador Dali. Mais je ne l’avais jamais rencontré. Pour me punir, le Maître, avant d’accepter, me fit passer de démentielles épreuves initiatiques. Pour ne rien arranger, vint le grand charivari de ma vie. Je lançai les Produits Libres. Je fus aussitôt cloué au pilori. Pour me faire oublier, je réalisai simultanément les affiches du PS., du PR. et du R.P.R.. Ce fut la curée. Restait à me faire soigner. Je traversai l’Atlantique pour trouver un associé yankee. Il me força à boire tant de Château-Margaux que je vis rouge et déclarai la guerre à l’Amérique. J’en suis là. Ne me touchez pas. Je suis contagieux. Je crois bien que je suis fou. Fou de publicité.
En Anglais – Nonprofit organizations are now being forced to manage their activities in a more professional and corporate fashion. This book clearly and concisely shows nonprofits how to make general business management relevant and effective by providing a framework for analyzing management, and by translating business lingo into an accessible vocabulary for nonprofit managers.
Quelque part dans l’Himalaya, en un lieu mythique appelé Shambhala, vivrait une communauté secrète chargée de l’évolution spirituelle de l’humanité. Simple légende tibétaine ou réalité ? Guidé par une série de coïncidences, le héros de James Redfield va partir en quête de ce lieu mystérieux et faire des découvertes inattendues. Aidé du moine Yin et du lama Rigden, il va comprendre pourquoi personne n’a encore réussi à localiser Shambhala. Aucun être ne peut y accéder à moins d’élever ses énergies et de se libérer de ses peurs les plus profondes. Traqué par les services secrets chinois, il poursuit une initiation difficile qui le mènera aux portes de Shambhala, une ville extraordinaire habitée par des humains aux pouvoirs puissants. Ces êtres lui révèlent la onzième prophétie qui changera le destin du monde.