La princesse de clèves
Le duc de Nemours est épris de la princesse de Clèves, qui l’aime en retour, mais est adorée de son époux. Par refus de s’abandonner à une passion coupable, la princesse commet l’irréparable : elle avoue tout au prince… L’énigme de l’amour est au coeur du roman, mais que peut-on appeler amour ? L’amour rêvé, qui porte à s’absorber en l’autre, exclut toute infidélité et ne peut concevoir sa fin même dans la mort, est bousculé par les réalités de la vie. Qu’à cet amour fou ne réponde qu’un sentiment raisonnable, il engendre le malheur. Qu’un amour réciproque ne puisse s’épanouir sans infidélité, il perd sa pureté. L’échec est inévitable… Symphonie de l’amour, La Princesse de Clèves s’achève en poème de la condition humaine. DOSSIER – Le roman et ses personnages au XVII? siècle – L’oeuvre vue par ses contemporains – Un roman de la mondanité – Le modèle du roman d’analyse – Les adaptations cinématographiques.
Crochet – Des chaussons pour bébé
L’auteur vous propose de confectionner au crochet, 32 modèles de chaussons de bébés tous plus ravissants et originaux les uns que les autres. Les modèles présentés dans cet ouvrage, permettent de chausser votre bébé au rythme des saisons. Vous pouvez également faire des heureux et offrir le résultat de votre travail pour compléter, par exemple, un trousseau de naissance. Les points de base utilisés sont expliqués afin de vous permettre de réaliser facilement ces adorables petits chaussons. Le montage et la couture sont rendus d’autant plus faciles que des indications claires et précises, des schémas techniques ainsi que des photographies en couleurs vous accompagneront tout au long de vos créations.
Entre Dieu et diable
Fils d’un propriétaire terrien3, petit-fils du poète occitan Achille Maffre de Baugé4, Emmanuel Maffre-Baugé est élève des dominicains à l’abbaye-école de Sorèze3. Engagé activement dans l’action syndicale en tant que viticulteur, il démissionne en juin 1976 de ses fonctions de Président de la Fédération Nationale des vins de table et de pays, dans l’intention de « protester contre l’incapacité de cet organisme à régler la crise »5. En 1977, Emmanuel Maffre-Baugé est interrogé en pleine campagne dans le Midi sur la condition des viticulteurs. Il évoque « une situation dramatique ». La plupart d’entre eux vivent au-dessous du SMIC. Pour lui les viticulteurs sont victimes d’une politique dans laquelle « l’intérêt des marchands domine celui des hommes »6
Mes 15 plus belles histoires de chevaux
Un recueil de 15 histoires illustrées sur les chevaux – un mélange des genres avec du féérique, du contemporain, du mythologique, du légendaire… – un Collectif d’auteurs reconnus en jeunesse ou sur le thème des chevaux – de magnifiques illustrations – un produit qui n’existe pas dans la concurrence.
Une année au Poney-club
Tu aimes les poneys et tu veux connaître les moments forts d’une première année d’équitation ? Bienvenue au poney-club ! Au fil des pages, tu vas découvrir le village équestre, l’équipement du cavalier, apprendre à soigner un poney, vivre les premiers galops, assister à la naissance d’un poulain… À travers le quotidien du poney-club, tu connaîtras mieux ton animal préféré. Des conseils pratiques et des informations te permettront d’en savoir plus sur le vaste monde de l’équitation, la compétition, les disciplines équestres, les académies… tout ce qui fait rêver les jeunes cavaliers. En selle pour un voyage au pays des poneys !
Tout sur les chevaux et les poneys :Les différentes races de chevaux et de poneysS’occuper d’un poneyMonter à cheval.
The Usborne encyclopedia of planet earth
The Usborne Encyclopedia of Planet Earth Explore our planet in a new fresh way, and learn interesting facts along the way. This stunningly illustrated encyclopedia reveals the wonders of the amazing planet we live on.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai
Maryse est une éminente neuropédiatre, une femme belle et intelligente, affreusement narcissique et persuadée d’avoir toujours raison. Elle est aussi la mère de Charlot, fils singulier, qui l’émerveille et l’exaspère à la fois. C’est que Charlot, Petit Prince désarmant de vérité, la confronte à des questions philosophiques. Quel sens donner à sa vie lorsqu’on traverse des épreuves ? Où se cache l’amour lorsqu’on fait face à l’intimidation, la bêtise, la peur de l’autre ? Et surtout, qu’est-ce que l’ego, cette chose dont tout le monde semble souffrir ? Animé d’un courage fou, d’une humanité à fleur de peau, Charlot va apprendre à sa mère, et à beaucoup d’autres, qu’en se dépouillant de ses certitudes, en cessant de se regarder le nombril, on peut enfin accéder à la vraie joie, celle du lâcher prise et de l’intelligence du cœur. Et surtout : apprendre à s’aimer pour de vrai. Une extraordinaire leçon de vie, profonde et lumineuse, dont on sort bouleversé d’émotion.
1944-1945 : Le triomphe de la liberté
1944 : Roosevelt et Churchill mettent en place le débarquement des troupes anglo-américaines sur les côtes normandes prévu le 6 juin 1944. De Gaulle, maintenu à l’écart, rêve de fouler le sol français libéré par son peuple et de rendre à la France sa souveraineté.
Prises en étau par les forces alliées, les puissances de l’Axe capitulent les unes après les autres. En France, la violence monte, barbare, sanglante. La Résistance s’unit et s’organise, les maquisards des Glières et du Vercors se sacrifient, alors que miliciens, collaborateurs et soldats allemands, en représailles, massacrent des innocents. Hitler, qui échappe à un attentat fomenté par son propre camp en juillet 1944, et malgré la débandade de ses troupes, croit encore à la victoire ; mais, devant l’entrée des Russes à Berlin, il se suicide d’une balle dans la tête, laissant une semaine plus tard ses généraux signer la reddition sans condition de l’Allemagne le 8 mai 1945. Dans le Pacifique, les combats sont acharnés. Pour faire plier les Japonais, l’état-major américain utilise l’arme atomique : sur Hiroshima, le 6 août 1945, et sur Nagasaki, le 9 août. Le 2 septembre, les Japonais ont capitulé, l’armistice est signée. 1945 : au prix de dizaines de millions de morts, la paix est revenue, la liberté a triomphé. Un nouveau monde est à construire.
1943 : Le souffle de la victoire
Avec cette année riche d événements et de revirements, où le souffle de la victoire se profile au milieu de l horreur, Max Gallo poursuit sa grande Histoire de la 2e guerre mondiale.1943, année cruciale. Des rives de la Volga aux plages de Sicile, l armée allemande vacille.Stalingrad est enfin reprise par l armée Rouge qui déferle à la poursuite de la Wehrmacht et reprend les terres perdues en 1942. Rommel cède du terrain en Afrique où les Alliés ont débarqué, les bombardements alliés touchent l Allemagne et détruisent ses villes et ses civils, la Résistance s organise, multiplie les attentats…Hitler semble s enfoncer dans une impasse, et l espoir, timide, s éveille dans une Europe asphyxiée. Jean Moulin parcourt la France occupée afin de créer le Conseil National de la Résistance. Mais on redoute une nouvelle offensive d été des Allemands sur le front de l Est. Le second front tant espéré tarde à s ouvrir, et si les Alliés débarquent, c est à l autre bout de l Europe. Surtout les Alliés se méfient les uns des autres. Méfiance aussi dans les rangs de la Résistance que de Gaulle peine à unir sous son nom. On tente de l écarter, on parle de l éliminer. Et pendant ce temps, celui des alliances et des trahisons, des vagues sans fin de soldats de plus en plus jeunes sont envoyées au sacrifice. Pendant ce temps, les nazis massacrent, déportent, torturent, de plus en plus vite, de plus en plus massivement. Les trains roulent vers Auschwitz.1943 : année décisive où les espoirs changent de camp, où, malgré les souffrances et les sacrifices de plus en plus durs, on se prend à espérer, à oser croire peut-être de nouveau en un avenir, à se laisser porter par le souffle de la victoire.
L’enfant halluciné
Peintre et romancier, René-Jean Clot s’est servi de sa double expérience pour composer l’émouvant personnage de Jean Bressy, adolescent « retardé » comme on dit à la campagne, qui vit d’art et d’amour exclusivement. L’amour, c’est celui, passionné, jaloux, que Jean voue à sa mère, « l’hirondelle », jeune veuve, belle, chaste et pauvre. L’art, c’est la peinture, vers laquelle le porte cet élan irrépressible qu’on appelle la vocation, et qu’il étudie sous la férule d’un génie atrabilaire et méconnu, Ravot. C’était fatal, la mère et le maître se rencontrent un jour, et cette jonction de ses deux univers bouleverse d’abord le jeune homme. Mais, paradoxalement, le choc se révélera salutaire : il permettra à Jean de rompre le cordon ombilical qui le lie à « l’hirondelle », en même temps qu’il le poussera à se détacher de Ravot pour conquérir son autonomie artistique. L’enfant promis à l’asile par les médecins est devenu un adulte équilibré.
La boîte de Pandore
Savez-vous qui vous êtes vraiment ? Êtes-vous sûr de ne pas avoir vécu d’autres vies ? René Toledano, professeur d’histoire, assiste à un spectacle d’hypnose au cours duquel il est choisi dans le public pour participer à une séance. Il se retrouve alors projeté dans ses vies précédentes et se demande s’il peut influer sur les événements.
Great expectations
Great Expectations charts the progress of Pip from childhood through often painful experiences to adulthood, as he moves from the Kent marshes to busy, commercial London, encountering a variety of extraordinary characters ranging from Magwitch, the escaped convict, to Miss Havisham, locked up with her unhappy past and living with her ward, the arrogant, beautiful Estella. Pip must discover his true self, and his own set of values and priorities. Whether such values allow one to prosper in the complex world of early Victorian England is the major question posed by Great Expectations, one of Dickens’s most fascinating, and disturbing, novels. This edition includes the original, discarded ending, Dickens’s brief working notes, and the serial instalments and chapter divisions in different editions. It also uses the definitive Clarendon text.
Toujours plus !
Au nom de l’égalité, les 54 millions de Français se proclament tous défavorisés et réclament plus d’argent mais aussi plus de droits, d’avantages, de loisirs et de garanties. « Toujours plus ! » Au terme d’une enquête sans précédent, François de Closets dresse le nouveau palmarès des inégalités révélant les Français qui jouissent des plus hauts revenus, mais également ceux qui bénéficient de la sécurité de l’emploi, des rentes de situation, des privilèges fiscaux, des positions de monopole, du travail agréable, du temps libre, des protections renforcées, des promotions assurées, des avantages en nature, des statuts confortables et des primes généreuses. Ainsi est mise en évidence l’existence d’une France à l’abri de la crise, une véritable « privilégiature » qui englobe tout à la fois riches héritiers, opulents notaires, gros céréaliers et, plus modestes, les salariés des banques, d’E.D.F. ou des grandes entreprises. A l’opposé de ces puissantes corporations se trouve la France faible et inorganisée, celle des petits patrons, des ouvriers, des travailleurs précaires ou sans emplois. Ahurissant contraste ! Un siècle de progrès social sépare le personnel douillettement installé dans les caisses d’épargne ou au {Journal officiel} et les travailleurs misérables du nettoyage ou de l’habillement. Preuves à l’appui, chiffres en main, c’est la coupure en deux de notre société qui est ici dénoncée. Au-delà du simple constat, Toujours plus ! pose les nouvelles règles du jeu entre les Français, celles qu’aucun gouvernement n’a encore eu le courage d’énoncer. En conclusion l’auteur propose une « société à la carte » qui, rejetant les guerres de religion, permettrait à chacun de choisir son destin.
Pour l’honneur de Hannah Wade
L’honneur perdu d’Hannah Wade. Parce qu’elle ne s’est pas suicidée avant d’être capturée, parce qu’elle a survécu, elle, une femme blanche, comme esclave dans une tribu indienne, tous à Fort Bayard condamnent Hannah ! Coupable d’avoir voulu vivre malgré toutes les violences subies ! Coupable de n’être plus une « dame », mais une femme d’une trempe et d’un courage exceptionnels ! Délivrée de l’enfer indien, Hannah connaît un nouveau cauchemar : vivre en paria parmi les siens. On s’écarte d’elle; Stephen, son mari, la traite en étrangère. Seul le capitaine Cutter se range à ses côtés. Ensemble ils vont lutter. Pour l’honneur d’Hannah. Pour son bonheur. Mais peut-elle l’espérer encore?
Hannah
Pologne, 1882. Hannah est juive, elle a sept ans. Dans la chaleur de l’été elle joue avec Taddeuz, un jeune Polonais catholique. Mais dans le village, les Cavaliers de la Mort ont déferlé, détruisant, brûlant, assassinant. En ce jour tragique, Hannah va connaître l’amour, le goût amer de la trahison, l’horreur. Londres, 1899. Dans le monde entier, le double H du nom d’Hannah signe des produits de beauté que les femmes s’arrachent. De la petite fille, elle a gardé les yeux gris. Mais elle est devenue une femme à la volonté de fer. Son don de séduction lui gagne tous ceux qui passent sur son chemin. De son village natal, l’aventure l’a conduite en Australie puis à Londres, Paris, Vienne, dans l’atmosphère brillante de la fin du siècle. Mais plus sa réussite est exceptionnelle, plus Hannah souffre d’avoir perdu Taddeuz. Avec Hannah, Sulitzer, l’auteur du Roi vert, a écrit le grand roman, plein d’aventure et de passion, d’une héroïne inoubliable.
Passion rugby – Questions ? Réponses !
Qui a inventé le rugby ? Pourquoi le ballon est-il ovale ? Faut-il être un géant pour jouer ? L’esprit rugby, ça s’apprend ? Qui surnomme-t-on les » gros » ? Que fait le capitaine avant un match ? Tous les joueurs ont-ils les oreilles en chou-fleur ? Comment inscrit-on un essai ? Springboks, Wallabies, Pumas… qui sont ces animaux ? 32 questions pour découvrir les valeurs du rugby, ses règles et usages, qui rassemblent les passionnés de tous les âges !
Un long dimanche de fiançailles
Janvier 1917. Cinq soldats français condamnés à mort en conseil de guerre, aux bras liés dans le dos. Toute une nuit et tout un jour, ils ont tenté de survivre. Le plus jeune était un Bleuet, il n’avait pas vingt ans. A l’autre bout de la France, Mathilde, vingt ans elle aussi, plus désarmée que quiconque, aimait le Bleuet d’un amour à l’épreuve de tout. La paix venue, elle va se battre pour connaître la vérité et le retrouver, mort ou vivant, dans le labyrinthe où elle l’a perdu. Tout au long de ce qu’on appellera plus tard les années folles, quand le jazz aura couvert le roulement des tambours, ses recherches seront ses fiançailles. Mathilde y sacrifiera ses jours, et malgré le temps, malgré les mensonges, elle ira jusqu’au bout de l’espoir insensé qui la porte. On découvre dans ce livre, obstinée et fragile à la fois, attachante, bouleversante, une Mathilde qui prendra place parmi les héroïnes les plus mémorables de l’univers romanesque.
L’or de Cajamalca
De 11 à 13 ans – De l’or, de l’or, de l’or ! En 1523, le général Pizarro part à la conquête du Pérou et entre dans la ville de Cajamalca. Ses hommes et lui sont éblouis par ce qu’ils découvrent : il y a de l’or partout. Pour s’en emparer, Pizzaro a un plan : il va capturer l’Inca, l’empereur du Pérou, et réclamer le plus d’or possible en échange de lui. Mais jusqu’où ira cette fièvre de posséder, violente et incompréhensible ? Et aura-t-elle jamais une fin ?
« Le plus beau livre écrit en langue allemande du XXe siècle » (Thomas Mann)
Nouvelle Vie, et autres récits
Texte intégral
Les avancées de la science fascinent et inquiètent Pierre Bordage. Cet écrivain de science-fiction reconnu se demande jusqu’où l’homme pourra aller au nom du progrès. Les cinq nouvelles de ce recueil font froid dans le dos : clonages, société hyperindustrialisée, vente de patrimoine génétique, chasse à l’homme grandeur nature… Bienvenue dans les « nouvelles vies » de Jérémie Quint, P’tit Tom, Emna, Azem, et des frères du G5.
L’édition s’appuie sur les grandes questions de la bioéthique pour travailler les techniques d’argumentation. Une interview de Pierre Bordage permet de découvrir son univers. Le cahier photos prolonge la lecture en explorant le cinéma de science-fiction.
Elin connaît un succès immense comme photographe de mode à New York. Elle vit seule avec son mari dans un superbe loft à terrasse panoramique depuis que leur fille a commencé l’université. Aux yeux de sa famille, elle consacre trop d’heures à son métier, mais Elin est passionnée et trouve ainsi son bonheur.
C’est alors qu’une lettre venue de Suède, son pays d’origine qu’elle a laissé derrière elle depuis fort longtemps, va la foudroyer. En quelques mots, elle replonge dans un terrible secret enfoui depuis l’enfance. Un secret qui la fait culpabiliser depuis des années.
Entre Manhattan aujourd’hui et Gotland dans les années 1970, où Elin vécut des premières années très rudes, se déploie le bouleversant portrait d’une femme qui s’est construite toute seule malgré mille embûches.
Avec une grande finesse, et une habile manière de distiller de l’émotion à chaque page, Sofia Lundberg signe ici un deuxième roman très réussi.
La dictature des syndicats
Qui dirige Bercy ? Matignon ? Le ministre ? Non : le SNUI, le syndicat maison. Et l’Éducation nationale ? Le SNES et la FSU. Et la liste est longue. Car ils font la loi. Ils sont en grève quasi permanente comme à la SNCF. Ils refusent tout changement et cassent les ministres qui s’essaient à de timides réformes. Qui sont-ils ? Les syndicats bien sûr. FO, la CGT, SUD, la CFDT, chacun a son bastion et le défend, au besoin contre l’intérêt général. Nulle part ailleurs la politique fiscale ou les avancements au sein de l’administration ne sont décidés par des syndicalistes ; nulle part ailleurs un gouvernement démocratiquement élu n’est forcé de s’incliner devant leur diktat. Et pourtant, ils sont numériquement les plus faibles de toute l’Europe. Quels intérêts préservent ces lobbies qui, derrière la conservation des « avantages acquis », bloquent la France ? D’où vient leur argent ? Que peuvent faire les citoyens et les entreprises victimes de cette dictature pour s’en défendre ? Autant de questions auxquelles ce livre apporte des réponses précises et claires dans cet essai sur les nouveaux maîtres de la France.
Comment l’école est-elle vécue par les enfants des banlieues ? Quels rapports l’élève établit-il avec le savoir ? Pourquoi 37 des 71 collégiens d’une ZEP de Saint-Denis accèdent-ils à la classe de seconde ? C’est sur ces questions que s’ouvre une longue enquête de Bernard Charlot, professeur des sciences de l’éducation, et de son équipe de Paris VIII. Suivis sur plusieurs années, trois cents adolescents de Saint-Denis, Le Courneuve et Massy livrent un » bilan de savoir » et nous disent la cité, l’école, les pratiques des enseignants. Ces » histoires scolaires « , confrontées les unes aux autres, remettent en cause la fatalité de l’échec – ou de la réussite – chère aux théories du handicap socioculturel. Une synthèse à méditer pour les futurs enseignants, les acteurs de la formation continue et de l’action sociale.
Encyclopédie pratique des champignons
Cèpes de Bordeaux, girolles, morilles, rosé-des-prés. Où les trouver? Comment les identifier? Comment les préparer et les cuisiner? Vous découvrirez dans ce guide 30 champignons facilement reconnaissables, des meilleurs comestibles aux pires toxiques. Milieux typiques, odeurs et textures particulières, apprenez à repérer les détails carfactéristiques de ces espèces. Observez le monde fascinant des champignons!
L’Afrique depuis 1940
L’Afrique depuis 1940 est l’un des plus remarquables ouvrages écrits depuis longtemps sur l’histoire de l’Afrique contemporaine. Clair, concis, documenté, il propose une approche à la fois chronologique et thématique pour jeter un pont entre les périodes coloniale et postcoloniale, en étudiant les changements qui ont accompagné la fin des empires, mais aussi tous les processus qui se sont perpétués après l’indépendance. En abordant les questions économiques et sociales sur l’ensemble de la période 1945-2000 et en montrant qu’entre les sociétés africaines et le reste du monde se tenait un Etat garde-barrière, il dépasse un débat stérile, celui qui attribue les causes de la situation actuelle de l’Afrique soit à l’héritage colonial soit à une mauvaise gouvernance. Il analyse enfin les divers moyens que les Africains ont trouvé pour vivre avec – mais aussi pour lutter contre – les contraintes économiques et politiques auxquelles ils devraient faire face.
L’espoir est une terre lointaine
A travers le destin de Richard Morgan (qui, selon les dires de l’auteur, a réellement existé) Colleen McCullough brosse une gigantesque fresque historique retraçant la formation de l’Australie. Mais avant tout l’espoir est une terre lointaine est l’histoire d’un homme ordinaire qui connu l’amour, la haine et les pires épreuves, un homme qui a su transcender l’injustice et les souffrances les plus terribles pour fonder une nouvelle génération de conquérants.
La malédiction du Mooga
John et ses amis, un groupe d’adolescents, découvrent un étrange bracelet. Celui-ci libère une vapeur toxique. Peu après, John est contacté par un mystérieux informateur qui lui apprend que l’un d’entre eux a été contaminé par le gaz, et est donc condamné à se transformer en bête sanguinaire pendant la nuit. John devra subir les assauts du monstre. Et découvrir qui se cache derrière.
Je ne suis pas celle que je suis
Des vies différentes dans des villes différentes, et une même femme. Deux histoires entrelacées. L’une, picaresque, nous fait voyager en compagnie de l’héroïne, qui traverse mille et une épreuves, de Téhéran au golfe Persique, de Dubaï aux rives du Bosphore. Et l’autre, intime, à Paris, se construit dans le cabinet d’un psy. Pour la première fois une psychanalyse nous est dépeinte, séance par séance, comme un tableau impressionniste. Le rapport au père, à la mère, aux hommes, la prison, la torture, le viol, la prostitution, la solitude, l’exil et la langue française dont il faut s’emparer pour faire le récit d’une vie, pour se réconcilier avec la vie sont les thèmes de ce livre.
Miraculée
En avril 1994 commence le génocide des Tutsis au Rwanda. Le 7 avril, Immaculée Ilibagiza quitte la maison pour se réfugier chez le pasteur du village mais ne reverra jamais ses parents et ses frères adorés. Le nom d’Immaculée figure sur une liste de morts. Des centaines de Hutus ont une priorité : la trouver et la tuer. Cachée dans une minuscule salle de bains durant quatre-vingt-onze jours, elle prie sans relâche et remet sa vie et celle de ses sept compagnes entre les mains de Dieu. Dans ce témoignage bouleversant, les miracles qui jalonnent le parcours de la jeune femme frappent autant que le pardon qu’elle accordera finalement aux assassins de sa famille et de son peuple.
Neige – Tome 2 – La mort corbeau
Dans un monde sinistré où chacun apprend à survivre dans le froid permanent, Neige parcourt un univers de glace à la recherche de son passé. Rencontres initiatiques, quête aventureuse, l’odyssée de Neige prend les dimensions épiques d’un hymne à la liberté. L’élégance vive du dessin de Gine au service d’une grande histoire née de l’imagination de Convard qui renouvelle les règles de la science-fiction.
Tome 17 – XIII – L’or de maximilien
Qui est XIII ? Quel nom se cache sous ce numéro ? Depuis 1984 (vingt et un ans de suspense !), des millions de lecteurs tenus en haleine parviennent enfin à la veille du dénouement… Course au trésor et dernières tentatives du sinistre Giordino : Van Hamme dénoue avec habileté les derniers nœuds de son intrigue. Qui est donc XIII ? La fin de l’énigme est proche… Toujours pourchassés par la justice américaine, XIII et ses amis ont trouvé refuge au Mexique, où ils s’abritent dans une auberge isolée sur la côte pacifique. Là, le trésor revient à l’ordre du jour. Ils ont en effet récupéré les trois montres et disposent à présent du message complet. Crypté et incompréhensible, bien sûr. Heureusement, une intuition géniale leur fait comprendre que le texte, rédigé par des émigrants irlandais, est rédigé en gaélique. Ils se le font traduire et trouvent ainsi la localisation du trésor. Le découvriront-ils ? La réponse est oui. Mais…
Tome 14 – XIII – Secret défense
Le héros culte de la BD est de retour dans une aventure toujours plus angoissante. Est-il vraiment Kelly Brian, ce terroriste de l’IRA, que traque la CIA ? vance et Van Hamme ont encore réalisé un chef-d’oeuvre, une chasse à l’homme meurtrière qui réécrit l’histoire la plus sombre d’un XXème siècle finissant.
Jean-Louis Debré est le fils de Michel Debré, ancien Premier ministre. Il a trois frères : Vincent Debré, homme d’affaires né en 1939, François Debré, journaliste (1942-2020), mort le lendemain du décès de son frère jumeau Bernard Debré, médecin et homme politique (1944-2020)2. Il est aussi le petit-fils du pédiatre Robert Debré et, du côté de sa mère, de l’architecte Charles Lemaresquier. Il est également le neveu du peintre Olivier Debré. Enfin, il est l’arrière-petit-fils du grand rabbin Simon Debré (1854-1939). Avec son épouse, Anne-Marie Engel, morte le 21 juillet 2007, il a eu trois enfants : Charles-Emmanuel Debré (directeur business Grands comptes de Bouygues Télécom), Guillaume Debré (journaliste) et Marie-Victoire Debré (comédienne)3. Il fut élève à l’école Hattemer.
Justices
Familiers du monde mystérieux que constitue la justice, les auteurs de « Justices » éclairent l’envers du décor : sous la lumière crue, l’imposante statue apparaît bien ridée, son glaive brisé, sa balance faussée. Au-delà des discours officiels la justice française offre, en effet, non seulement le spectacle d’une administration miséreuse, mais encore l’image d’une institution dépendant du Pouvoir et, depuis peu, tourmentée par les démons de la politisation. Ce constat amer, qui est aussi la dénonciation de la « langue de bois » des politiciens de tous bords lorsqu’ils parlent de justice, sert pourtant à ces magistrats de point d’appui. Le dépassant, ils proposent les changements indispensables à l’élaboration d’une justice rénovée, condition d’une société civile plus épanouie et plus libre.
Ils sont tombés du ciel
En écrivant « Ils sont tombés du Ciel », Konsalik a renoué avec la tradition du grand roman de guerre qu’il illustra si brillamment avec « Le médecin de Stalingrad ». Le thème de ce livre est la bataille de Cassino, tournant décisif de la Seconde Guerre mondiale. Sous la plume de Konsalik revivent de façon hallucinante les pires horreurs de ce combat meurtrier, et son ouvrage retentit comme un cri d’alarme. « Ils sont tombés du ciel » n’est pas seulement un roman sur les parachutistes, mais un réquisitoire contre la guerre. Son titre est un symbole : toute une génération a vu tomber du ciel, et se briser dans un enfer d’acier, de feu, de sang, son idéal, ses illusions et ses croyances. Le vide est resté, et restera tant que les peuples vivront dans la terreur d’une nouvelle guerre, encore plus affreuse.
Jacques le Fataliste
« Comment s’étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout le monde. Comment s’appelaient-ils ? Que vous importe ? D’où venaient-ils ? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils ? Est-ce que l’on sait où l’on va ? Que disaient-ils ? Le maître ne disait rien ; et Jacques disait que son capitaine disait que tout ce qui nous arrive de bien et de mal ici-bas était écrit là-haut. […] Vous voyez, lecteur, que je suis en beau chemin, et qu’il ne tiendrait qu’à moi de vous faire attendre un an, deux ans, trois ans, le récit des amours de Jacques, en le séparant de son maître et en leur faisant courir à chacun tous les hasards qu’il me plairait. […] Qu’il est facile de faire des contes ! Mais ils en seront quittes l’un et l’autre pour une mauvaise nuit, et vous pour ce délai. »
Les enfants pillards
Jean Cayrol, l’écrivain bordelais, se souvient 60 ans plus tard de ses jeux d’enfant sur les plages de Lacanau. Pendant l’été 1918, l’écrivain, âgé de huit ans, vit avec ses cousins sur les dunes et les plages de la côte girondine : à 700 km de Douaumont, la guerre a finalement rejoint les lieux de villégiature. Les batailles joyeuses des vacances d’été des petits et la guerre des grands se côtoient. Dans les jeux de plage, des enfants tourbillonnent et disparaissent. Que l’on assassine un écureuil ou que l’on sale un cormoran qui se décompose, la guerre grandit, et des tranchées se creusent parmi les dunes atlantiques. Un beau jour, on découvre une caisse de munitions, on parle des sous-marins au large, on échange des mensonges brutaux que tout le monde accepte – mais rien à voir avec la mythomanie pesante des adultes en proie à l’horreur vraie.
J’avais vingt ans. J’étais gauchiste et il y eut Mai 68. Ma révolution fut celle de la piétaille, des obscurs militants. Nous nous battions pour une barricade, un coin de rue. La police nous tabassait à l’écart des journalistes. Les livres commémoratifs ne parlent jamais de nous. C’est pour réparer cette injustice que j’ai écrit ce roman où il est question d’amour, de joie de vivre, de mort et d’un long exil de vingt ans. Freddy et Teddy, les héros de Jeunes femmes rouges toujours plus belles, sont deux jeunes chiens fous. Ils vont de manifs en émeutes jusqu’au jour où la police les choisit à leur insu pour monter une provocation. Mais Freddy vient de rencontrer le grand amour…
Thérèse desqueyroux
Pour éviter le scandale et protéger les intérêts de leur fille, Bernard Desqueyroux, que sa femme Thérèse a tenté d’empoisonner, dépose de telle sorte qu’elle bénéficie d’un non-lieu. Enfermée dans la chambre, Thérèse tombe dans une prostration si complète que son mari, effrayé, ne sait plus quelle décision prendre. Doit-il lui rendre sa liberté ? Dans ce livre envoûtant, François Mauriac a réussi un portrait de criminelle fascinant.
Histoire de l’Irlande
« Il n’y a pas plus de race irlandaise qu’il n’y a de race anglaise ou de race yankee : l’Irlande, c’est d’abord un climat. » disait Bernard Shaw. L’Irlande est une île d’une grande unité, éloignée du continent, mais accessible de tous côtés, au relief troublé par l’érosion et les dépôts glaciaires, faite pour ensorceler et déconcerter. Si les vents, les eaux, les mers lui donnent une vie mystérieuse, si son relief même déconcerte, aucune magie, cependant, ne peut la dissocier de l’Europe et des îles britanniques. De 6000 avant Jésus-Christ à nos jours, René Fréchet nous présente cette terre fascinante et ses habitants.
Les dames de marsanges
Fin juillet 1789. Plateau de Millevaches, en Limousin. Drôle de gens que ces Marsanges. Ils vivent en dehors du temps, sur le haut plateau du limousin hanté par les loups et battu par les rudes vents d’Auvergne. À l’aube de la Révolution, ils ne perçoivent du séisme que les frémissements. Ambroise de Marsanges règne sur la famille, mais, féru de lectures philosophiques, il laisse à l’abandon ses vastes domaines. Ses trois fils, Hyacinthe, Louis-Amour et François mènent leur vie en marge de la communauté. Le seul » homme « , si l’on peut dire, de la famille, c’est Diane, l’une des quatre sœurs Marsanges, qui vit une aventure tourmentée avec le député Jacques Brival, ex-procureur du roi. Mais, bientôt, la tourmente révolutionnaire va amener dans les solitudes austères de Marsanges des personnages inspirés par la passion ou l’intérêt. Vient le temps des orages, des drames, des grandes espérances…
Le rôle méconnu de « douze femmes en colère » dans l’avènement de la Russie soviétique. Certaines sont connues – telles Alexandra Kollontaï, la première femme diplomate au monde, ou encore Nadejda Kroupskaïa, la militante bolchévique et épouse de « Volodia » – ; d’autres le sont moins, comme Fanny Kaplan, qui a tiré sur Lénine, ou Sofia Perovskaïa, la terroriste qui a organisé l’assassinat du tsar Alexandre II ; d’autres encore sont des grandes oubliées de l’Histoire (citons l’étudiante Maria Bogdanova ou la « populiste » Alexandra Dementieva). Mais toutes ont un point commun : elles ont fait la Russie soviétique. Mues par des sentiments altruistes – instruire les masses paysannes, etc. –, ces égéries sont progressivement devenues des révolutionnaires professionnelles. Leur détermination a ébranlé le tsarisme et a permis à des idéologies utopiques (populisme, anarchisme et communisme) d’inspirer les jeunes générations et de rayonner dans le monde entier. Mais en voulant faire le bonheur du peuple russe, elles ont aussi contribué à l’avènement d’un Parti-État qui a réduit ce même peuple en esclavage, notamment en utilisant la cause des femmes pour asseoir sa domination sur la société. S’il faut louer l’action de ces combattantes il faut aussi se garder de les idéaliser et d’en faire des victimes du régime communiste dépassées par les événements. Leur part sombre (leur connivence avec le régime totalitaire, etc.) doit aussi être étudiée. S’appuyant sur un important corpus documentaire français, russe et anglais, enrichi de documents inédits, Andreï Kozovoï propose un ouvrage vivant et accessible qui analyse avec justesse et sans manichéisme le rôle exact de ces femmes puissantes car engagées.
Janvier 1871. Le château de Villersexel, en Franche-Comté, est détruit par les combats de la guerre franco-prussienne. Dans les flammes disparaît un curieux manuscrit du XVIe siècle, qui n’est plus connu de nos jours que par une transcription tardive. On y trouve le récit de la vie aventureuse de Ferry, jeune « Bourguignon » (l’Europe des XVIe et XVlle siècles réservait ce nom aux Comtois), étudiant en médecine à Dole puis, tour à tour, prisonnier des Français durant les guerres d’Italie, des pirates barbaresques d’Alger, des troupes de Charles Quint à Tunis, du Saint-Office de Palerme et des Indiens cannibales de la côte du Brésil, qui se proposent de le manger au cours d’une grande Fête dont il sera le clou. Promené de rivage en rivage sans jamais comprendre ce que la Providence attend de lui, Ferry fait partout l’expérience de la cruauté des hommes (guerre, souffrance des bêtes, exécutions publiques, persécution des sorcières, esclavage), dont il cherche à soulager les effets par sa science médicale et sa générosité.
Pour tout vous dire…
Manifestement, Jean-Pierre Pernaut, présentateur et rédacteur en chef du journal de 13 heures sur TF1 depuis vingt ans, préfère les roses de sa Picardie natale aux ronces de la célébrité. Et pourtant… Une soixantaine de couvertures de magazines en deux mois, des photos volées, les tribulations de son couple romancées de manière fantasque : pour un homme qui déteste faire parler de lui et se veut tout sauf un » people « , il a été bien mal servi, lors de ce qu’il appelle » l’été meurtrier 2005 » ! Aussi a-t-il décidé de raconter ce qu’il en est vraiment, et ce qu’il est, lui. Sa passion pour les régions et pour la vraie vie, celle des gens de tous les jours, parfois plus inventifs que les vedettes, d’où son goût pour le journalisme de proximité. Jean-Pierre Pernaut aime les métiers, et en particulier le sien. Cela nous vaut des pages passionnantes et des anecdotes savoureuses sur son parcours, les lourdeurs de l’ORTF la chasse aux sorcières du début des années 80, la privatisation de TF1, les talentueuses extravagances d’un Mourousi super-pro, les péripéties de » Combien ça coûte ? » et, surtout, les coulisses du journal de la mi-journée comme les quelque 8 millions de téléspectateurs de TF1 ne les ont jamais vues !
Une poignée de riz
Kamala Markandaya naît en 1924 dans une famille de l’aristocratie brahmane sud-indienne, les Purnaiya de Mysore1,2. Son père occupant un poste de cadre supérieur dans les chemins de fer indiens, elle est amenée dans son enfance et son adolescence à le suivre, avec sa famille, dans ses différentes mutations ainsi que lors de ses voyages en Inde et à l’étranger (Europe, États-Unis), pour notamment visiter l’un de ses deux frères, étudiant en Angleterre. Installée à Bangalore, sa mère, lettrée mais dévote, fréquente à partir de 1945 l’ashram du guru Sathya Sai Baba.
« Quand je revois mon enfance, le seul fait d’avoir survécu m’étonne. Ce fut, bien sûr, une enfance misérable: l’enfance heureuse vaut rarement qu’on s’y arrête. Pire que l’enfance misérable ordinaire est l’enfance misérable en Irlande. Et pire encore est l’enfance misérable en Irlande catholique. » C’est ce que décrit Frank McCourt dans ce récit autobiographique. Le père, Malachy, est un charmeur irresponsable. Quand, par chance, il trouve du travail, il va boire son salaire dans les pubs et rentre la nuit en braillant des chants patriotiques. Angela, la mère, ravale sa fierté pour mendier. Frankie, l’aîné de la fratrie, surveille les petits, fait les quatre cents coups avec ses copains. Et, surtout, observe le monde des adultes. La magie de Frank McCourt est d’avoir retrouvé son regard d’enfant, pour faire revivre le plus misérable des passés sans aucune amertume.