Comment savoir si vous êtes noir
Comment savoir si vous êtes noir ? Avouez-le, vous ne vous êtes jamais posé la question. Heureusement, grâce à ce livre, à travers des observations de la vie quotidienne et de nombreux exemples, vous pourrez enfin combler cette lacune ! Si cette question peut sembler insolite, c’est bien sûr parce que les auteurs ont décidé d’y répondre avec humour et second degré, en s’appuyant sur des faits qu’elles ont vécus, parfois drôles, parfois non, pour parler d’une communauté dite minoritaire et pourtant si visible : les Noirs !L’objectif de ce livre : décrisper les zygomatiques tout en nous faisant réfléchir. Et si, finalement, nous n’étions pas si différents les uns des autres ?
The power of six
I’ve seen him on the news. Followed the stories about what happened in Ohio. John Smith, out there, on the run. To the world, he’s a mystery. But to me . . . he’s one of us. Nine of us came here, but sometimes I wonder if time has changed us—if we all still believe in our mission. How can I know? There are six of us left. We’re hiding, blending in, avoiding contact with one another . . . but our Legacies are developing, and soon we’ll be equipped to fight. Is John Number Four, and is his appearance the sign I’ve been waiting for? And what about Number Five and Six? Could one of them be the raven-haired girl with the stormy eyes from my dreams. The girl with powers that are beyond anything I could ever imagine. The girl who may be strong enough to bring the six of us together? They caught Number One in Malaysia. Number Two in England. And Number Three in Kenya. They tried to catch Number Four in Ohio—and failed.
I am Number Seven. One of six still alive. And I’m ready to fight.
Laelia
Tired of the men in their lives, three long-suffering, African-American sisters—Rebecca, Claudia, and Gracelyn Cates–set out to find a way for them to enjoy their senior years without having to worry about drunken Timothy, confused Jake, or terminally ill Bernard, coming up with a plan that will turn their lives, their church, and their town upside down.
Filet droit
Pour adolescent – Sur le fichier central de la police, Luke Reid s’est
vu attribuer trois lettres : JDM. Pour jeune Délinquant Multirécidiviste. A quinze ans, il traîne la moitié du temps dans la rue à la recherche d’une bonne affaire. Quelque chose à voler, qu’il pourrait garder ou bien revendre. Alors que Luke est sur un coup sympa, le vol d’une belle paire de baskets à l’arrière d’un 4×4, deux caïds le prennent par surprise, piquent le véhicule et tout dérape. Pour éviter la détention, Luke va devoir prendre un autre chemin. Un chemin finalement plus escarpé que celui de sa vie de petit voleur. Pour la première fois, quelqu’un va lui faire confiance. Elle s’appelle Jodi, elle est aveugle. Et pourtant elle voit, mieux que tous les autres. Surtout quand Luke est prêt à tout, même à se soumettre une dernière fois à la loi des caïds, pour la protéger du pire.
My story, my dream
The talented and beautiful woman who has moved us with her singing now moves us with her words. Celine Dion — My Story, My Dream is an unforgettable true story of courage, perseverance, dedication, and devotion — told with the wide-eyed honesty of someone who has basked in the glowing adoration of millions of fans but has never lost touch with her working-class roots. Here is a book for anyone who has ever wondered about the real person behind the magnificent voice. Touching and funny, fascinating and uplifting, it is an exquisitely detailed portrait of a remarkable woman who has never backed away from any challenge…even the most daunting challenges of the heart.
Louis Massignon (Hommage)
520 pages – Ce Cahier est une approche de la personnalité exceptionnelle, géniale, de Louis Massignon, historien islamologue, titulaire de la chaire de sociologie musulmane au Collège de France et l’un des principaux acteurs de l’établissement d’un dialogue entre l’Islam et l’Église catholique. Il fait appel à des témoins qui, d’une manière ou d’une autre, se sont laissé atteindre par sa science ou par sa passion de justice.
Massignon resta, jusqu’à la fin, président de l’Institut d’études iraniennes de l’université de Paris. On aborde ici les détails de sa biographie, on rappelle les grands événements du Proche-Orient auxquels il fut mêlé, postérieurement à la Première Guerre mondiale, et on récapitule son oeuvre scientifique très vaste qui aborda, et déborda même parfois, tous les domaines de l’islamologie, on tente finalement de cerner au plus près ce que fut et ce que voulut Louis Massignon. Puisse ce Cahier inciter à parler et permettre que sortent de l’ombre ses écrits.
L’univers
Quelque part dans le Pacifique, un homme est rejeté par la mer. Victime d’une forme particulière d’amnésie, il tente de recomposer les événements de son passé. Il élabore ainsi le dictionnaire d’une vie tumultueuse que mille avatars jalonnent et dont le protagoniste n’a plus la clé. Un vieux dictionnaire culinaire lui permet de retrouver par bribes sa mémoire. Son fil d’Ariane sera la succession alphabétique : il retrouve des événements minuscules de son enfance quelque part en Europe de l’Est, la pension Kuntz, une famille en partie décimée dans les camps de la mort, des périples sur un cargo, ou les amours tumultueuses avec une acrobate de cirque. Toute son existence peu à peu se redessine, avec ses passions erratiques, son expérience d’astrophysicien perché dans un phare. « Un livre fou, inventif, féerique » (Olivier Le Naire L’Express), dans le plus pur imaginaire de la littérature. « Un de ces livres monstres qui résistent, qu’on reprend, qui finissent par exercer une fascination profonde et durable. Une de ces œuvres écrites pour l’avenir.» Bertrand Fauconnier, le Magazine littéraire. « Hubert Haddad n’en est pas à son coup d’essai, ce qui ne l’empêche pas, avec l’Univers, de faire un coup de maître. » Les Inrockuptibles. « Qui n’a pas lu Hubert Haddad ignore l’un des écrivains français les plus féconds et les plus talentueux d’aujourd’hui. » Jacques de Decker, Le Soir.
Le soleil brise
Mariée à un riche bourgeois, Cécilia aurait pu mener la vie tranquille des femmes aisées de son temps, mais sa soif de liberté la conduira vers une errance inexplicable pour ceux qui s’accommodent des contraintes de l’existence. L’errance de Cécilia résulte de sa fragilité et de son incapacité à se placer dans la société, et le symptôme de la fuite vers le soleil levant n’est que la recherche éperdue d’un monde idéal. Ni vagabonde ni démente, Cécilia ne sait pas qu’elle poursuit une chimère, et jusqu’aux portes de l’adultère, elle reste étonnante de candeur. Parce qu’aux Antilles il n’y a pas que des odeurs de sucre et de vanille, Le Soleil brisé c’est aussi la chronique d’une île en proie au désespoir, avec ses misères, sous le soleil, ses tourments politiques et ses amours déphasées. Dans Lari à Grenndé, Lari Sanzazil ou la rue des Cinq-Plaisirs évoluent des personnages hauts en couleur, et c’est dans ce contexte douloureux, sur fond de détresse, que se joue la vie dans le ghetto. Une femme, un pays, tous deux à la recherche d’un soleil désormais brisé.
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L’intérêt de cet ouvrage est de mettre en perspective certaines ambiguïtés de la justice pénale internationale, les ressorts politiques qui les sous-tendent et le caractère encore inachevé de l’édifice en cours. En évoquant les cas de Charles Taylor, de Saddam Hussein, de Pinochet et de Hissène Habré, Sidiki Kaba relate les calculs politiques qui ont entouré leurs procès, ou l’absence de procès. On saisit la trame politique des procédures inachevées ou expéditives et des délocalisations sans raison, sinon politique, des procès.
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Catalogue de 360 pages. Pour les passionnés de montres. Le spécialiste de la haute horlogerie d’occasion et de collection, MMC, décide d’offrir à tous les passionnés de montres-bracelets d’exception un outil pour estimer la valeur de leurs montres ou de leurs futures acquisitions. Rassemblant près de 1700 montres produites par les plus grandes marques horlogères, l’ouvrage, riche en couleurs, présente chacune d’elles avec ses principales caractéristiques, son prix catalogue lorsqu’elle est encore en production et sa cote.
Paris au mois d’août
o Henri Plantin n’est rien, dans la vie, ou pas grand-chose
o Patricia Greaves, dite « Pat », nul ne sait rien d’elle, depuis trois jours qu’elle est arrivée à Paris.
o Il est français, de la rue Saint-Martin. Un Français quelconque, de ceux « dont on ne dit rien ».
o Elle est anglaise de Londres. Une jolie Anglaise de celles dont on dit: « Une belle fille ».
o Ils ne sont absolument pas faits pour se rencontrer.
o Ils se rencontrent pourtant, un soir, à Paris au mois d’août.
o Ils n’ont que trois semaines devant eux pour vivre… une histoire sans histoire.
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Ils marchèrent côte à côte, lentement. Plantin n’était pas pressé de la perdre, adoptait un pas de flâneur des deux rives. Elle balançait, heureuse, un petit sac à main noir. Oui, elle était heureuse, épanouie, jeune et vive. Elle devait avoir vingt-cinq ans, ou vingt-six. Elle était même un peu plus grande que lui. Il est vrai qu’elle était anglaise. Henri n’avait jamais parlé à une Anglaise.
Alors qu’ils s’intéressaient à Léonard de Vinci et au suaire de Turin, Lynn Picknett et Clive Prince ont remarqué l’importance que de nombreuses sociétés secrètes accordaient à deux personnages bibliques Jean-Baptiste et Marie-Madeleine. Poussant leur enquête plus avant, ils ont été amenés à étudier attentivement l’aventure cathare, l’épopée templière et l’émergence de la franc-maçonnerie. Les croyances de ces organisations font apparaître un tableau d’une cohérence remarquable. Les hérétiques semblent ainsi avoir été les dépositaires d’un secret, qui constituerait le « chaînon manquant » du christianisme, et qui éclairerait de nombreuses questions fondamentales mettant en jeu le mystère de la véritable nature du Christ. Il se pourrait que nous soyons à l’aube d’une révélation qui fera vaciller les fondements mêmes de l’Église catholique.
Michel fait mouche
Quoi de plus innocent qu’un cirque ambulant, qu’un estaminet en ruine, qu’un tir forain ? Il est vrai que si Michel n’avait pas fait mouche, si Martine ne lui avait pas chipé l’étrange rose bleue, rien ne serait peut-être arrivé.
Dunes-sur-Mer, malgré la célébrité que lui confèrent les travaux du tunnel sous la Manche, n’est pourtant qu’un paisible village des Flandres. Ses habitants sont loin de soupçonner la terrible menace qui pèse sur eux. S’ils savaient ce que trame dans l’ombre certaine société secrète !
Qui est donc l’homme à la pipe ? l’énigmatique « ange-gardien » de Michel et ses amis ? Et ce géant roux, celui qui s’intéresse si étrangement à une banale rose de papier ? Quel rôle joue donc le frère du petit Justin ? Mystère…
Le pays dignois
Nommé professeur d’histoire-géographie à Digne en 1961, Claude Braun est retraité depuis 1997. Il a publié de nombreux recueils de poésie et participé à un ouvrage collectif avec le Cercle des Auteurs de Haute Provence. Il participe à la revue « Le Moulin de Poésie » de Saintes et aux anthologies de « l’Atelier Poésie » de Cognac. Anime le Printemps des Poètes à Digne et organise, l’été, des sorties poésie avec l’Office de tourisme. Organise également des soirées poésie. Il habite à Digne, en Haute Provence.
Vaincre autour du monde
Philippe Jeantot, né le 8 mai 1952 à Tananarive, est un navigateur à la voile français et le créateur du Vendée Globe, course à la voile en solitaire autour du monde. Il fait partie de cette génération de coureurs qui a largement contribué au développement de l’activité nautique en France, qui a amélioré l’image de la voile et des chantiers français.
Alors que tous dans la maison de retraite s’apprêtent à célébrer dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson, qui déteste ce genre de pince-fesses, décide de fuguer. Chaussé de ses plus belles charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et prend ses jambes à son cou. Débutent alors une improbable cavale à travers la Suède et un voyage décoiffant au cœur de l’histoire du XXe siècle. Car méfiez-vous des apparences ! Derrière ce frêle vieillard en pantoufles se cache un artificier de génie qui a eu la bonne idée de naître au début d’un siècle sanguinaire. Grâce à son talent pour les explosifs, Allan Karlsson, individu lambda, apolitique et inculte, s’est ainsi retrouvé mêlé à presque cent ans d’événements majeurs aux côtés des grands de ce monde, de Franco à Staline en passant par Truman et Mao…
Rimbaud le fils
Pierre Michon n’est pas le biographe de Rimbaud. Il ne cherche à ajouter aucun chapitre, aucune ligne aux hagiographies et études existantes. Simplement, il enfile la personnalité du poète, se glisse dans l’intime de son écriture, tâchant de rejoindre, en définitive, la sienne. À coups de « on dit que » ou « on ne sait si », il parcourt, commente, hésite, rêve, abandonne, reprend l’aventure d’Arthur Rimbaud. Il ne donne aucune réponse, ne résout rien, mais s’interroge (en même temps qu’il interroge le jeune poète) : qu’est-ce qui pousse un homme à écrire ? À rechercher l’excellence ? Qu’est-ce qui fait soudain mûrir ses vers, « autant que s’il avait écrit d’un seul trait de plume La Légende des siècles, Les Fleurs du mal et La Divine Comédie » ? Le regard de Pierre Michon sur le « jeune versificateur bien doué, roué et hugolâtre » est délectable. Car il vibre de son désir de dire la genèse de sa propre écriture et, partant, de toute création.
La liste de Freud
1938 : l’Allemagne nazie s’apprête à envahir l’Autriche, les Juifs cherchent à fuir par tous les moyens.
Alors qu’on lui délivre des visas pour l’Angleterre, Sigmund Freud est autorisé à soumettre une liste de ceux qu’il souhaite emmener avec lui.
Figurent sur cette liste, entre autres, son médecin et ses infirmières, son chien, sa belle-soeur, mais pas ses propres soeurs. Tandis que le père de la psychanalyse finira ses jours à Londres, toutes les quatre sont déportées dans le Camp de Terezin.
Adolfina, la soeur préférée de Freud, âme sensible et douée, enfant mal aimée, femme condamnée à la solitude, raconte : l’enfance complice avec son frère adoré, ses aspirations dans cette Vienne de fin de siècle, pleine du bouillonnement artistique et intellectuel, son amour déçu pour un camarade d’université, l’éloignement d’avec son génie de frère, sa rencontre avec Klara Klimt dans un hôpital psychiatrique, son rêve de Venise, sa blessure familiale…
L’islam contre l’islam
Rien ne serait plus périlleux, aujourd’hui, que de décrypter les tumultes qu secouent le monde arabe par le prisme de l’opposition entre démocratie et dictature. Ce sont là des catégories qui, sans être dépourvues de pertinence, ne rendent pas compte d’une réalité fondamentale : l’antagonisme immémorial des sunnites et des chiites. C’est pourquoi, dans cet ouvrage, Antoine Sfeir a choisi de remonter aux sources historiques et théologiques de cette guerre de «l’islam contre l’islam», afin d’en mieux saisir les implications géopolitiques. De l’Iran à l’Egypte, du Qatar à la Syrie, du Maghreb à «l’Orient compliqué» ? et, surtout, du prophète Mahomet aux luttes de succession ouvertes par sa mort ?, il brosse une freque magistrale du monde arabe tel qu’il est, de ses «printemps» à ses éventuels automnes. Une exploration minutieuse et pédagogique qui, en brassant un immense passé, éclaire singulièrement notre présent.
Pour qu’il ne meure jamais
Après la mort par overdose de son fils unique, Julian, au Cambodge, Judith n’a qu’une obsession : faire payer le prix du sang à ses assassins. Et pour elle, les assassins, ce sont les mafias du Triangle d’or qui inondent de stupéfiants tout le Sud-Est asiatique. Mais comment cette femme seule pourra-t-elle relever pareil défi ? Comment cette biologiste de profession pourra-t-elle se muer en une guerrière impitoyable ? Sans l’appui providentiel d’un ami de longue date travaillant pour les services secrets, sa mission eût été impensable. Il lui donnera les moyens de recruter quatres mercenaires, aussi inattendus que pittoresques. Avec eux, et le concours d’ethnies opprimées de la région, elle va se lancer dans une traque qui l’amènera des bas-fonds de Phnom-Penh, aux casinos véreux de la frontière birmane, et dans tous les lieux interlopes qui bordent le Mékong. Grâce à ses compagnons, elle parviendra à s’infiltrer au cœur du dispositif ennemi, chez les mafieux les plus cruels du monde, là où aucune police n’a encore osé se risquer. Et pour cause…
Là-haut
Qui est Henri Lanvern ? Peut-être faudrait-il dire : qui était Lanvern… Car depuis ce soir de juin 78, où, lors du tournage d’un film qu’il devait signer, le cinéaste a annoncé à son équipe qu’il partait le lendemain vers le Laos chercher un ami de longue date, ancien d’Indochine comme lui, nul ne l’a revu, n’a recueilli le moindre écho de sa vie. Au devant de qui, au juste, se portait Lanvern ? De son frère d’armes Cao Ba Ky. Mais dans quelles circonstances, quelles conditions – et pourquoi ce silence? S’agirait il d’un meurtre longuement prémédité ou d’un kidnapping des nouveaux maîtres du Vietnam ?. Ou encore – à l’inverse – d’une fuite? Autant de questions qui jalonnent une recherche singulièrement chargée d’ombres et de brumes. Mais c’est une femme qui mène l’enquête et ce que femme veut… L’un après l’autre, le producteur, le colonel du S.D.E.G.E., le monteur, le prêtre breton qui a connu et` confessé Lanvern enfant finiront par livrer leur part de vérité de cette histoire dont la clé fondamentale, bien avant la découverte finale, pourrait avoir pour définition cette observation simple et superbe : « Un seul type bien, vraiment bien, et ça change tout. – Un seul! Une histoire haletante parfois énigmatique, parfois bouleversante, et constamment prenante par le poids de vérité humaine qu’elle impose dans le parcours de ce labyrinthe.
A demain ! En chemin vers ma liberté
«Merci à TF1 de m’avoir offert ces deux décennies magnifiques. C’est un métier magique et c’est un bonheur de l’avoir exercé ici. Je suis sûr qu’on se reverra très vite. Soyez aussi heureux que cela est possible. Et, comme on dit en Bretagne, À Dieu vat! » 20h35, 10 juillet 2008,conclusion du journal de 20 heures de TF1. Pendant vingt et un ans, Patrick Poivre d’Arvor a conclu son journal télévisé par: «À demain!» Désormais, la grand-messe du 20 heures sans «PPDA» ne sera plus jamais la même. Pourquoi TF1 s’est-elle séparée de son présentateur vedette? Comment la rupture a-t-elle été annoncée, vécue, jugée par le principal intéressé et par les téléspectateurs? Au terme de cet été où il a remis ses pas dans les traces séculaires des pèlerins de Compostelle, celui que près de dix millions de Français regardaient chaque soir sur le petit écran raconte ici son chemin de liberté.
De sang et d’ébène
Venise, un soir d’hiver. Un vendeur à la sauvette africain est assassiné au beau milieu de Campo San Stefano. Un groupe de touristes américains était sur la place, marchandant des contrefaçons de sacs de marque, mais personne n’a rien vu qui puisse aider la police. Le commissaire Brunetti est chargé de l’enquête et il a du mal à comprendre les raisons d’un tel crime : les immigrants sans-papiers vivent repliés sur eux-mêmes dans des squats insalubres, sans contact extérieur… Cela ressemble fort à un règlement de comptes au sein de la communauté et sa hiérarchie lui conseille de laisser tomber ses investigations. Mais Brunetti veut en avoir le cœur net. Il fouille les quelques affaires de la victime et dans une petite boîte, il retrouve des diamants bruts dissimulés dans du sel… Qui était réellement cet immigrant ? Et comment s’est-il retrouvé en possession d’un tel trésor ? Et pourquoi cherche-t-on à décourager le commissaire dans son enquête ? « Magnifiquement ciselé, ce polar vénitien frôle la perfection. » Le Nouvel Observateur (à propos de Mortes-eaux). « Les saveurs vénitiennes de Donna Leon constituent un régal aussi dépaysant que délétère. » Madame Figaro. « Avec cet art bien à elle, tout en subtilité, de laisser affleurer dans les dialogues un ton de comédie amère, […] ». Le Parisien
Les enfants du fleuve
Un roman poignant sur l’amour fraternel et le poids des secrets trop longtemps gardés. Peu importe les chemins empruntés, le coeur se souvient toujours d’où l’on vient. Memphis, 1939. Par une nuit pluvieuse, Rill Foss, douze ans, et ses quatre frère et sœurs sont enlevés par des inconnus. Emmenés loin de la péniche familiale et des bords du Mississippi, jetés dans un orphelinat, les enfants réalisent bien vite qu’ils ne reverront plus leurs parents. La mystérieuse Société des foyers d’accueil du Tennessee vient de sceller leur sort à tout jamais. Caroline du Sud, de nos jours. Avery Stafford, jeune avocate épanouie à qui tout semble sourire, est de retour dans la ville de son enfance. Lors d’une visite à sa grand-mère, cette dernière tient un discours étrange qui remet en cause toutes ses certitudes. Quelle est vraiment l’histoire de sa famille ? D’où vient-elle ? Troublée, Avery commence à enquêter. » L’un des meilleurs livres de l’année. À ne pas manquer. » The Huffington Post. Un des best-sellers de 2017 selon The New York Times.
En cherchant des truffes avec son chien, un homme découvre des restes humains ensevelis. L’autopsie révèle qu’il s’agit d’un homme mort depuis une dizaine d’années, mais rien ne permet de déterminer son identité ou la cause du décès. L’inspecteur Wexford et son équipe se trouvent confrontés à un défi de taille quand ils découvrent la liste impressionnante des personnes disparues durant cette période. Leur tâche se complique lorsqu’un second corps est retrouvé sur le même site. Pour savoir si les deux affaires sont liées, l’inspecteur Wexford doit explorer le passé d’une petite communauté fermée, où chacun garde jalousement ses secrets et où les gens disparaissent sans traces, ni chair, ni sang…
La nuit de Maritzburg
En 1893, une entreprise indienne propose à Mohandas Karamchand Gandhi, tout jeune avocat, de se rendre en Afrique du Sud pour y défendre ses intérêts. Gandhi accepte. Il ne le sait pas encore, mais c’est le tournant de sa vie. Il découvre l’apartheid, l’humiliation, et se lance dans un combat acharné contre la discrimination dont sont victimes ses compatriotes indiens. C’est là qu’il expérimentera pour la première fois une arme redoutable : la résistance passive. Jour après jour, le petit avocat timide et si british, va se métamorphoser jusqu’à devenir le Mahatma, la Grande Ame. C’est aussi sur cette terre de violences qu’il rencontre Hermann Kallenbach, un architecte juif allemand, avec lequel s’instaure une relation hors du commun. Une intimité précieuse, intense, forte comme une passion, digne d’un amour vrai. Gilbert Sinoué dévoile un visage méconnu de Gandhi et nous fait découvrir comment ces vingt-trois années en Afrique du Sud ont fait du personnage l’adversaire le plus redoutable de l’occupant anglais.
Wash
Sa force, Wash la puise dans les voix de ses ancêtres africains ; dans les souvenirs de sa mère, Mena ; dans les rituels chamaniques auxquels elle l’a initié dans son enfance ; dans les talismans qu’elle lui a légués ; et aujourd’hui, dans ces instants volés le long de la rivière, auprès de Pallas, esclave elle aussi, métisse et guérisseuse. Sa force, c’est ce qui lui a permis de survivre. Aux humiliations de ses anciens maîtres, jaloux de sa capacité à endurer le pire sans jamais montrer sa douleur ; aux coups qui lui ont ôté un oeil ; au marquage au fer rouge, sur sa joue, de la lettre des fugitifs. Cette force, c’est ce qui l’aide à supporter que Richardson, son maître, pour sauver la plantation d’une ruine annoncée, l’utilise désormais comme étalon reproducteur. Qu’il le loue chaque vendredi aux propriétaires voisins pour féconder leurs esclaves. Et quand sa force vacille, Wash se raccroche à Pallas et l’écoute parler du lien qui unit maître et esclaves dans une toile d’araignée aussi fragile qu’inévitable.
Le livre secret de Dante
Septembre 1321, Dante Alighieri meurt de la malaria ; sa dépouille est couronnée de lauriers et le monde pleure le poète de génie. Giovanni, jeune médecin, disciple de l’auteur de la « Comédie », doute de cette version officielle. Tout le porte à croire que Dante a été empoisonné et la disparition des treize derniers chants du « Paradis » » ne fait que renforcer son intuition. Avec la fille du poète, sœur Béatrice, il décide partir à la recherche des feuillets disparus et de retrouver l’assassin. Guidés par les codes cachés de « La Divine Comédie », Giovanni et sœur Béatrice vont découvrir la face secrète du poète et se trouver au cœur d’enjeux et de questions qui les dépassent. Pourquoi Dante a-t-il dissimulé ses derniers chants ? Que contiennent-ils et pourquoi un ancien templier cherche-t-il à se les procurer ? Qui pouvait vraiment vouloir la mort de Dante ?
Le silence du ténor
Un père, une mère, six enfants. Avocat réputé, ténor du barreau de Beyrouth, le père plaide avec une rare éloquence. Dans l’exercice de sa profession, la parole est d’or. Son travail est sa vie. Il est craint, suit une discipline militaire, impose la gymnastique à ses enfants, les punit sévèrement lorsqu’ils transgressent les règles. Pourtant, derrière cette rigueur, se cache un homme affectueux, pétri d’humour, curieux de tout, à l’optimisme contagieux. Soudain, c’est le drame : le ténor est victime d’une attaque cardiaque. Il se retrouve sur une chaise roulante, privé de la parole qui a fait sa célébrité. Mais l’amour de sa famille et l’espoir vont l’aider à surmonter l’épreuve. Dans un style limpide, à travers des séquences tantôt émouvantes, tantôt cocasses, Alexandre Najjar rend ici au père un merveilleux et bouleversant hommage.
De beaux lendemains
Dans une bourgade au nord de l’état de New York, l’embardée d’un bus de ramassage scolaire a provoqué la mort de plusieurs enfants. Les réactions de la petite communauté sont rapportées par les récits que font quatre protagonistes : Dolorès Driscoll, la conductrice, solide et généreuse, choquée par ce qui ne pouvait lui arriver ; Billy Ansel, l’inconsolable père de deux enfants qui ont péri dans l’accident ; Michel Stephens, un avocat new-yorkais qui s’acharne à trouver des responsables ; Nicole Burnell, adolescente promise à tous les succès, qui a perdu l’usage de ses jambes et provoque un dénouement aussi amer qu’inattendu. Ces quatre témoignages – avec l’étonnante capacité qu’a Russell Banks de se mettre dans la peau de ses personnages et d’orchestrer leurs conduites en révélant la personnalité secrète des habitants, leurs douleurs, leurs frustrations, leurs égoïsmes, nous découvrent aussi le visage singulier d’une Amérique profonde. Il s’agit là, à n’en pas douter, d’un des plus forts romans de cet écrivain qui a maintenant conquis les États-Unis. De beaux lendemains a fait l’objet d’une adaptation cinématographique d’Atom Egoyan, qui a obtenu le grand prix du Festival de Cannes 1997.
La Cathédrale de la mer
Barcelone, XIVe siècle. La cité catalane s’enorgueillit d’un nouveau fleuron gothique : Santa Maria del Mar, la cathédrale de la mer, qui s’élève, pierre à pierre, vers un ciel sans nuages.
Du haut de ses huit ans, le jeune Arnau Estanyol contemple le chantier. À l’image de ce chef-d’œuvre en devenir, l’ascension de ce fils de paysan exilé, parti de rien, sera fulgurante.
Devenu consul et proche du roi, humaniste et philanthrope, il n’oubliera jamais que son destin est placé, depuis sa naissance, sous le signe des tragédies : l’ombre de la Sainte Inquisition plane sur ses ambitions, et la Grande Peste s’apprête s’abattre sur le nord de l’Espagne…
« Fureur et lumière, violences et amours, trahisons et rédemptions : le roman du Moyen Âge catalan mélange avec talent tous les ingrédients des grands récits picaresque. »
La Vie
La reine crucifiée
La reine crucifiée Elle s’appelle Inès de Castro. Il s’appelle dom Pedro, héritier de la couronne du Portugal. Ils ont vingt ans. Ils s’aiment. Nous sommes en 1340. Ils vont se retrouver pris au piège d’une effroyable machination, broyés entre raison d’État et raison du cœur. Du Portugal à la plaine vénitienne, de la Castille au palais des Papes, Gilbert Sinoué nous entraîne au cœur d’une fabuleuse fresque historique où la pureté des sentiments se heurte à la cruauté des temps, l’amour dévorant aux ambitions politiques. Entre fiction et réalité, tragédie et conspiration, il ressuscite, dans la lignée de L’enfant de Bruges, l’histoire célèbre et mythique d’une folle passion : celle de deux êtres que même la mort ne parviendra pas à séparer.
Disparu à jamais
Will a tiré un trait sur son frère. Onze ans après les faits, il le considère comme mort et continue d’occulter cette question lancinante : comment Ken a-t-il pu violer et assassiner leur voisine ? En fuite depuis le drame, l’adolescent meurtrier n’a plus donné signe de vie. Alors qu’il est toujours recherché par la police, le voilà qui refait surface. Au même moment, Sheila, la fiancée de Will, disparaît subitement. Comment croire à pareille coïncidence ?
Une irrépressible et coupable passion
Inspiré par un crime dont les détails à la fois salaces et macabres ont scandalisé l’Amérique de 1927, Ron Hansen nous livre un huitième roman époustouflant situé dans le New York effréné, jazzy et alcoolisé des Années folles. Où la voluptueuse et irrésistible Ruth Snyder, mère téméraire jusqu’à l’imprudence d’une fillette de neuf ans, est piégée par un mariage sans amour. Et parfois à ce point violent qu’elle n’a qu’une obsession : se débarrasser d’Albert, son mari. Pour arriver à ses fins, elle tisse peu à peu sa toile autour d’un élégant représentant en lingerie féminine, marié lui aussi. De lettres secrètes en rendez-vous torrides au Waldorf-Astoria, Ruth ensorcelle Judd Gray grâce à sa sensualité animale et l’amène, à force de caresses, là où elle le veut…
Puisant dans les minutes du procès, parmi les pages des tabloïds de l’époque et entre les lignes des journaux intimes des amants, Ron Hansen nous donne, par le biais de la fiction, les clés d’un des plus grands crimes passionnels de tous les temps. Ce meurtre fut aussi à la source du roman de James M Cain, Assurance sur la mort, du film éponyme de Billy Wilder, des deux versions du film Le facteur sonne toujours deux fois, sans oublier Ossessione de Luchino Visconti.
Mille femmes blanches
En 1874, à Washington, le président Grant accepte la proposition incroyable du chef indien Little Wolf : troquer mille femmes blanches contre chevaux et bisons pour favoriser l’intégration du peuple indien. Si quelques femmes se portent volontaires, la plupart viennent en réalité des pénitenciers et des asiles… l’une d’elles, May Dodd, apprend sa nouvelle vie de squaw et les rites des Indiens. Mariée à un puissant guerrier, elle découvre les combats violents entre tribus et les ravages provoqués par l’alcool. Aux côtés de femmes de toutes origines, elle assiste à l’agonie de son peuple d’adoption…
« Un roman splendide, puissant et engagé » – Jim Harrison.
L’amour dans le sang
« L’amour dans le sang », ou l’incroyable histoire d’une femme qui a tant aimé la vie qu’elle eut besoin d’un autre cœur. A 15 ans, Anne-Charlotte Pascal quitte brutalement une vie d’adolescente insouciante pour devenir Charlotte Valandrey, l’héroïne éclatante du film « Rouge baiser ». Vingt ans plus tard, à l’hôpital de la Salpétrière, on lui greffe un nouveau cœur. C’est cet itinéraire que la comédienne raconte ici, la gamine espiègle étouffée par une vie bourgeoise qui ne lui ressemble pas, la jeune fille entrée de plein fouet et sans aucune prévention dans le tourbillon du succès, les coulisses sans pitié du monde du cinéma et de la télé, enfin la jeune femme au cœur trop tendre, en quête éperdue d’amour. Une existence romanesque, faite de rencontres essentielles, de rendez-vous ratés, d’amours passionnées, de difficultés à s’aimer, à aimer, de démesure humaine, trop humaine, d’une envie de vivre ‘malgré tout’, de trouver un nouveau souffle. Dans un style direct et sans concessions, ce livre raconte l’histoire d’une renaissance. Plus qu’un témoignage, c’est une véritable leçon d’amour et de vie.
Le temps est assassin
Eté 1989, la Corse, presqu’île de la Revellata, entre mer et montagne. Sur cette route de corniche, au-dessus d’un ravin de vingt mètres, une voiture qui roule trop vite et bascule dans le vide. Une seule survivante : Clotilde, quinze ans. Ses parents et son frère sont morts sous ses yeux. Eté 2016. Clotilde revient pour la première fois sur les lieux de l’accident, avec son mari et sa fille adolescente. Elle veut profiter des vacances, pour exorciser le passé.
C’est au camping dans lequel elle a vécu son dernier été avec ses parents que l’attend une lettre de sa mère. Vivante ?
C’était ainsi
A l’âge de six ans, le jeune Lobsang, fils de seigneur et de dame Rampa, entendait son avenir de la bouche d’un très célèbre astrologue du Tibet. » L’existence la plus dure que j’ai eu à prédire « , déclarait le vieil homme. Et à disait vrai… Lobsang Rampa raconte ici son apprentissage des arts et des secrets initiatiques des lamas tibétains, puis ses études de médecine en Chine.
Récits tirés de l’histoire de Rome
Voici les Gaulois à l’assaut de la Ville éternelle, les éléphants d’Hannibal venus de la puissante Carthage, César trahi par les siens, l’esclave Spartacus luttant pour libérer ses compagnons d’infortune, l’empereur Néron emporté par sa folie mégalomane. Un passionnant roman d’aventures doublé d’une riche initiation à la civilisation romaine.
Avec tout ce qu’on a fait pour toi
Journal d’une adolescente en détresse, à Versailles, en 1951. Depuis la mort de sa soeur, renversée sous ses yeux par un tramway, May n’a plus goût à la vie. Elle programme son suicide pour son quinzième anniversaire. Autour d’elle, personne n’est en mesure de l’aider. Sa famille part à la dérive : folie d’une mère, insouciance d’un frère, absence d’un père Mais l’écriture, qu’elle découvre en tenant son journal, lui fait entrevoir d’autres horizons et ranime en elle la flamme de l’espoir. May choisira finalement de vivre…
Les orphelines (5) – En fuite
Orphelines, Janet, Crystal, Brenda et Rebecca sont toujours restées solidaires. Cette solidarité résiste aux brimades et humiliations dont elles font l’objet dans un foyer d’accueil. Mais un jour, elles ne peuvent plus les endurer et décident de fuir. Une épique traversée des Etats-Unis, semée d’embûches, commence.
Les orphelines (4) – Rebecca
Son père l’ a abandonnée à sa naissance ; sa mère, qui a sombré dans l’alcool et la drogue, se retrouve en prison.
A douze ans, Rebecca ne peut vivre seule et est recueillie par son oncle et sa tante.
L’oncle Reuben est un homme injuste et violent, qui la traite comme une domestique et n’hésite pas à la frapper.
Certes, la tante Clara est une brave femme, mais trop terrorisée par son mari pour prendre la défense de Rebecca.
Quant à Jennifer, sa cousine, d’un an son aîné- c’est une vraie peste. Finalement, cette » vie de famille » est un enfer qui ne vaut guère mieux que l’orphelinat.
Le jour où son professeur de gymnastique découvre par hasard les marques qu’elle porte sur le corps, Rebecca ose parler. Le tribunal pour enfants décide alors de la placer dans une maison d’accueil. Où elle fait la connaissance de Janet, de Crystal et de Brenda, dont la vie juqu’à présent n’a pas été plus drôle que la sienne.
Les orphelines (3) – Brenda
Pamela et Peter Thompson voulaient adopter une fillette. Elancée, dotée d’un jolie teint, cheveux blonds et yeux bleus.
Tout le portrait de Pamela. Leur objectif : la présenter à des concours de beauté pour qu’elle remporte un jour le titre de Miss America que Pamela a raté de peu, quelques années plus tôt. Une sorte de revanche en somme.
Alors ils sont allés dans un orphelinat comme on va dans un magasin de jouets et ils ont choisi Brenda. Le physique correspondait à leurs souhaits; le moral, ils se faisaient fort de le façonner.
Cours de maintien, esthéticienne, leçons de piano, vêtements hors de prix. Pamela s’en donne à coeur joie, rectifie, estompe, rembourre. Elle n’avait pas prévu, que la jolie petite poupée se rebellerait : Brenda déteste le piano et les franfreluches. Sa passion, c’est le base-ball -sport pour lequel elle est très douée-, mais qui ne fait pas partie des critères de sélection pour une raine de beauté.
Les orphelines (2) – Crystal
Crystal a treize ans. Née de père inconnu, fille d’une malade mentale, elle est pupille de l’Etat. Avec un tel dossier, elle n’a pas le droit de faire la difficile. Aussi, lorque Karl et Thelma lui affirment qu’ils vont la rendre heureuse et gommer en un rien de temps toutes les cicatrices laissées par ce passé douloureux, elle accepte de jouer le jeu, même si leur optimisme la laisse sceptique.
Leur objectif à tous les trois est simple : former une vraie famille. Discuter, dîner, faire les courses, regarder la télévision, être heureux ensemble. Simple, mais pas si facile quand on n’a pas l’habitude du bonheur.
La confiance et l’amour ne se décrètent pas, ils s’inspirent. Tranquillement, jour après jour, avec des ratés, des reculs et des compromis. Karl et Thelma sont pleins de bonne volonté et Crystal si avide de tendresse que leur tentative devraient réussir. Mais le destin s’acharne sur Crystal, comme pour la punir d’une faute qu’elle n’a pas commise.
Les orphelines (1) – Janet
Quand Céline et Sanford Delorice se présentent à l’orphelinat et décident d’adopter Janet, elle n’ose y croire.
Elle, l’adolescente frêle et timide dont personne ne voulait, va vivre dans cette somptueuse villa, aura une immense chambre pour elle seule. Elle croit rêver. Un rêve qui bientôt devient cauchemar : Céline, ancienne danseuse étoile, est désormais clouée dans un fauteuil roulant. Grâce à Janet, elle va pouvoir vivre par procuration, concrétiser ses espoirs déçus. » Tu seras danseuse étoile, ma fille. Danser, c’est s’envoler dans l’espace tel un papillon.
S’enivrer de la musique, des applaudissements, de la gloire. » Mais danser, c’est muscler et assouplir un corps rebelle. Le forger, en faire un instrument parfaitement maîtrisé. Au prix d’un entraînement impitoyable et de mille souffrances, jusqu’à l’épuisement. Janet est prête à tous les sacrifices pour se faire aimer de sa nouvelle famille. Mais satisfaire une mère aussi exigeante n’est pas tâche facile.
Les romans de Virginia C. Andrews se sont vendus à des millions d’exemplaires et ont été traduits en seize langues. Après sa mort, sa famille, s’inspirant de l’extraordinaire créativité de la romancière et travaillant en étroite collaboration avec un écrivain de talent, a lancé de nouveaux cycles V. C. Andrews. Avec Janet voici le premier volet d’une série inédite, Les orphelines.