Cette association permet aux Artistes peignant de la bouche et du pied de ne pas dépendre de l’autonomie publique, mais surtout elle leur donne le sentiment d’être, de par leur propre force, des membres actifs de la société capable de se créer eux-mêmes une existence.
La manufacture des rêves
Ce que nous sommes, qui et comment ? En l’occurrence qui est Yves Simon ? Si le présent est le résultat d’un passé, l’écrivain et chanteur (prix Médicis en 1991 pourLa Dérive des sentiments) livre ici tout ce qui l’a conduità être ce qu’il est aujourd’hui… Et choisit pour ce récit, dédié à ses deux premiers instituteurs, un déroulement chronologique pour que son « panégyrique de comètes et anges de passage ne ressemble pas à un patchwork arbitraire ». Au commencement, l’enfance donc, ce temps où tout fait trace. Un Meccano, le noviciat, Contrexéville dans les Vosges et l’apprentissage de la lecture, une adolescence marquée par la révélation de la musique (et une première guitare), l’écoute stupéfiante de Gainsbourg, la lecture de Jack London…. Puis les premières chansons, les premiers albums, les premiers livres… Voilà une mine d’anecdotes, une mine d’émotions. Et de pleins fagots de souvenirs hommages, mi-nostalgiques, mi-admiratifs. Des rencontres (souvent hasardeuses), des événements, des caractères hors du commun qui ont forgé, instruit, bouleversé une personnalité. Enseignants, artistes, hommes politiques, anonymes… Une galerie de personnages de Nazim Hikmetà Bardamu, de Cervantes à Julien Sorel, de Rimbaud à Chris Marker. Où se bousculent encore la mort du père et celle de Juliet Berto, la forte présence de François Mitterrand, la tombe de Kafka, la verticalité new-yorkaise…
Le jour où papa s’est remarié
Aujourd’hui, Guillaume est dans la lune. Il pense à son papa qui va se remarier. Mais ce n’est pas avec une femme que le papa de Guillaume va se remarier… C’est avec un mari. Parce que maintenant, le papa de Guillaume, il est homo, explique Hélène à la maîtresse. Est-ce que, quand Guillaume sera grand, il sera homo lui aussi ?
C’est le cliché sépia d’une Anglo-Polynésienne, acheté aux enchères par l’auteur, qui le pousse à partir, soudain, sur les traces de Paul Gauguin. Qui était cette jolie vahiné ? Et surtout pour quelle raison l’artiste peignit-il le visage cireux de son fils, Aristide, dit Atiti, le jour de sa mort à Papeete ? Quelle blessure intime ce tableau ravive-t-il chez Jean-Luc Coatalem ? Commence alors une traque, minutieuse mais fulgurante, où l’on comprendra que Gauguin, « Inca » halluciné, « Péruvien à la bourse plate », fuit la réalité pour se trouver lui-même, renverse tous les clichés sur l’exotisme, à en perdre la raison, jusqu’au fonds du puits du Jouir. Voici une enquête, spirituelle, humaine, géographique. Un voyage au long cours en Bretagne, Hollande, Danemark, Panama, Martinique, Tahiti, et les lointaines mers du Sud, avec pour compagnons les peintres, les créanciers, les marchands du culte, les vahinés, l’océan, et au bout la solitude. Quel est le vrai Gauguin ? Un affairiste courant après la vente ? Un égoïste pourtant père de famille, abandonnant ses cinq enfants à Copenhague ? Un mystique réconcilié avec lui-même, peintre apaisé, dont la main fut guidée par les dieux maoris ? Un morphinomane des îles Marquises ? « Où irons-nous demain, nous qui désirons sans fin ? »
Le pouvoir des ténèbres
Grace Peltier, étudiante en histoire, ne s’est pas suicidée. On l’a « aidée. » Charlie Parker en est convaincu : quelques années mouvementées dans la police, suivies d’un reclassement volontaire en qualité de détective privé, ont affiné son flair naturel. Et la mort de la jeune femme pourrait même être liée aux sinistres « Baptistes d’Aroostock. » Cette secte, sujet de thèse de Grace, fait la une des journaux depuis que l’on a retrouvé un charnier dans le nord du Maine. Le rapport de police a conclu au suicide collectif. Pas un des membres de la société secrète n’aurait survécu à ce massacre datant de plusieurs dizaines d’années. Et pourtant, le chemin qui conduit peu à peu Parker à enquêter sur les Baptistes est jonché de cadavres : quarante ans après le drame, l’un d’eux serait toujours en vie, semant la mort sans retenue…
Le noyé du grand canal
A la cour de Versailles, la reine s’ennuie. D’escapades nocturnes en bals costumés, Marie-Antoinette s’étourdit de plaisirs… mais la fête tourne court lorsqu’un de ses précieux bijoux, volé pendant le Bal de l’Opéra, devient l’enjeu d’une affaire aux multiples ramifications. Alors que la guerre navale se développe contre l’Angleterre, Nicolas Le Floch, commissaire au Châtelet et familier des arcanes du pouvoir, plonge dans un jeu de dupes au parfum de trahison. Entre les frasques du duc de Chartres, les manigances du comte de Provence, le double jeu de l’inspecteur Renard et un assassin qui le défie avec orgueil, Le Floch n’aura pas la tâche facile. Car à la cour, ce royaume du mystère et de l’indiscrétion, toutes les batailles ne se jouent pas à fleurets mouchetés !
Tanis – Trésors des Pharaons
Les merveilles artistiques découvertes lors des fouilles d’une nécropole qui se situe dans le delta du Nil à Tanis. Publié au moment où débute l’exposition Tanis, l’or des pharaons, au Grand Palais, du 26 mars au 20 juillet 1987.
La jeune fille à la perle
La jeune et ravissante Griet est engagée comme servante dans la maison du peintre Vermeer. Nous sommes à Delft, au dix-septième siècle, l’âge d’or de la peinture hollandaise. Griet s’occupe du ménage et des six enfants de Vermeer en s’efforçant d’amadouer l’épouse, la belle-mère et la gouvernante, chacune très jalouse de ses prérogatives. Au fil du temps, la douceur, la sensibilité et la vivacité de la jeune fille émeuvent le maître qui l’introduit dans son univers. À mesure que s’affirme leur intimité, le scandale se propage dans la ville… Un roman envoûtant sur la corruption de l’innocence, l’histoire d’un coeur simple sacrifié au bûcher du génie.
Jonathan Cartland
Jonathan Cartland (ou simplement Cartland) est une série de bande dessinée de western dessinée par Michel Blanc-Dumont et écrite par Laurence Harlé. Nommée d’après le personnage principal et apparue en 1974 dans le magazine Lucky Luke, elle a été publiée en dix volumes jusqu’en 1995. C’est l’un des « westerns contemporains les plus importants1.
Jaunes-5- Affaires Royales
La censure frappe une fois encore lors de la parution dans le journal Circus du 5ème tome de la série Affaires Royales. Le journal sera distribué avec quelques difficultés, les pages contenant le premier chapitre de l’épisode, arrachées. Tout débute par un attentat en plein cœur du palais royal. Un dissident tchèque du nom de Chaumski est rapidement soupçonné. Il s’agit en fait de Daniel qui a dû conserver l’identité de son double pour avoir une existence légale. Durant son arrestation, celle avec qui il vit à présent, la véritable petite amie de Chaumski, Maria, est défenestrée.
Jaunes-4- Le transfert Slave
Un bonheur de courte durée… Deux ans suffiront pour que Jaunes, séparé de son amie, remercié de la police, sombre doucement dans l’alcool. C’est alors qu’il se voit proposé par Daelemans, le chef de la Brigade de Surveillance et de Recherches, une mission bien particulière. Il est censé prendre la place d’un politicien tchécoslovaque invité en France pour dénoncer la politique de son pays. La ressemblance entre les deux hommes est frappante et Jaunes accepte le défi.
Jaunes-3- Ordre nouveau ?
Ordre nouveau ? est le volume 3 de la série Jaunes par Jan Bucquoy et Tito, paru en 1982. Il n’en existe qu’une seule édition, publiée par Glénat.
Jaunes-2- Gérard le diable
Toute aussi inattendue est la mésaventure qu’il va vivre à Gand. Alors qu’il est invité à une soirée d’anciens élèves, il est appelé sur la scène d’un meurtre plutôt surprenant. Au milieu de sa collection d’objets de la seconde guerre mondiale, un homme est retrouvé sans vie, poignardé. Fait troublant, l’arme du crime est entre les mains d’un des mannequins de cire de sa collection ! Lors de sa soirée, Jaunes fait la connaissance d’une charmante demoiselle.
Jaunes-1- Aux limites du réel
Pour Daniel, tout débute par une mutation à la police judiciaire de Dinant où il se rend sans grande conviction, la ville lui paraissant une cité sans grande animation. Cependant dans le train qui le mène à Dinant, il a une curieuse conversation avec une femme qui lui relate l’assassinat de son fils par la Gestapo. Simple coïncidence ou véritable manipulation ? Jaunes s’interroge, car il y a peu, à Bruxelles, il avait reçu une étrange lettre datée de… 1938, contenant une carte du parti rexiste à son nom ! Et le mystère s’épaissit d’avantage lorsque arrivé dans sa nouvelle affectation, il doit enquêter sur l’incendie du château du Comte de Mall, lequel fut exécuté par les nazis en représailles d’une attaque de ses chiens contre un officier.
Barbe-Rouge – Le trésor de Barbe-Rouge
LA GUERRE DES PIRATES : Voguer au large des Caraïbes est devenu trop risqué pour Barbe-Rouge. Sur les conseils d’Eric, il change de cap et se retrouve, à bord du Faucon Noir à Pondichéry, capitale des Établissements Français de l’Inde. Le début d’aventures périlleuses qui vont successivement le mener à la recherche de navires disparus, à enlever la fiancée du Grand Moghol et à affronter une flibustière qui à bord du Sans-Pitié, a décidé de mettre un terme à ses exploits…
Barbe-Rouge – Défi au roy
Barbe-Rouge, alias le Démon des Caraïbes, est bien sûr le fameux pirate (imaginé par Charlier & Hubinon) qui écumera toutes les mers du globe à bord de son célèbre Faucon noir. Larguez les amarres !
Barbe-Rouge – Le vaisseau de l’enfer
Barbe-Rouge, alias le Démon des Caraïbes, est bien sûr le fameux pirate (imaginé par Charlier & Hubinon) qui écumera toutes les mers du globe à bord de son célèbre Faucon noir. Larguez les amarres !
Barbe-Rouge – Mort ou vif
Barbe-Rouge, alias le Démon des Caraïbes, est bien sûr le fameux pirate (imaginé par Charlier & Hubinon) qui écumera toutes les mers du globe à bord de son célèbre Faucon noir. Larguez les amarres !
Le hussard sur le toit
Le hussard sur le toit : avec son allure de comptine, ce titre intrigue. Pourquoi sur le toit ? Qu’a-t-il fallu pour l’amener là ? Rien moins qu’une épidémie de choléra, qui ravage la Provence vers 1830, et les menées révolutionnaires des carbonari piémontais. Le Hussard est d’abord un roman d’aventures ; Angelo Pardi, jeune colonel de hussards exilé en France, est chargé d’une mission mystérieuse. Il veut retrouver Giuseppe, carbonaro comme lui, qui vit à Manosque. Mais le choléra sévit : les routes sont barrées, les villes barricadées, on met les voyageurs en quarantaine, on soupçonne Angelo d’avoir empoisonné les fontaines ! Seul refuge découvert par hasard, les toits de Manosque ! Entre ciel et terre, il observe les agitations funèbres des humains, contemple la splendeur des paysages et devient ami avec un chat. Une nuit, au cours d’une expédition, il rencontre une étonnante et merveilleuse jeune femme. Tous deux feront route ensemble, connaîtront l’amour et le renoncement.
Mac Coy – Le triomphe de Mac Coy
Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres. Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.
Mac Coy – Pièges pour Mac Coy
Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres. Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.
Mac Coy – Fiesta à durango
Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres. Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.
Mac Coy – Little big horn
Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier parmi les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer la dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres. Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel Lucky Luke que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans Tintin, Pilote et Charlie Mensuel.
Mac Coy – Trafiquants de scalps
Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres. Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.
Mac Coy – Un nommé Mac Coy
Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres. Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.
On les surnomme les « Chevaliers du ciel. » Le brun au menton carré et aux allures de gendre idéal, c’est Tanguy. La grande gigue à l’air ahuri et aux cheveux blonds, c’est Laverdure. Aux commandes de leur Mirage, ils forment un sacré duo de pilotes de chasse. Les deux gaillards se complètent comme le yin et le yang : Tanguy, c’est le sérieux à sang froid. Laverdure, le farfelu friand de catastrophes et de jolies filles? Ils atterrissent dans la bande dessinée à l’occasion du premier numéro de Pilote, en 1959.
Le 12 juillet 197…, un transport militaire Noratlas, ayant Michel Tanguy, à son bord, décolle de l’aéroport du Bourget, mis en état de siège. Dans la soute de l’appareil s’alignent dix énormes containers étanches. Ils renferment la plus fabuleuse rançon jamais exigée par un criminel : deux milliards de francs lourds.
On les surnomme les « Chevaliers du ciel. » Le brun au menton carré et aux allures de gendre idéal, c’est Tanguy. La grande gigue à l’air ahuri et aux cheveux blonds, c’est Laverdure. Aux commandes de leur Mirage, ils forment un sacré duo de pilotes de chasse. Les deux gaillards se complètent comme le yin et le yang : Tanguy, c’est le sérieux à sang froid. Laverdure, le farfelu friand de catastrophes et de jolies filles… Ils atterrissent dans la bande dessinée à l’occasion du premier numéro de Pilote, en 1959.
Jerry Spring -14- Les broncos du montana
Dans le Nord-Ouest des Etats-Unis, la cavalerie américaine a un besoin urgent de chevaux de remonte. Le gouvernement a décidé d’offrir 100 dollars pour chaque mustang sauvage qu’on pourra capturer et lui amener. Le contrat est proposé à Jerry Spring, en concurrence avec un autre traqueur, du nom de Jim Barrett. Immédiatement, le personnage se montre hostile envers Jerry : il espérait obtenir l’exclusivité de la fourniture de chevaux pour l’armée, et partager le contrat ne lui plait pas du tout. Pour apaiser les tensions, Jerry se montre conciliant : il propose à Barrett de se répartir les territoires prospectés, pour l’un le Wyoming, pour l’autre le Montana, et laisse même à son concurrent le choix du terrain. De mauvais gré, Barrett choisit le Montana.
Jerry Spring -13- Pancho hors-la-loi
Pancho hors-la-loi est la seizième histoire de la série Jerry Spring de Jijé. Elle est publiée pour la première fois du no 1290 au no 1311 du journal Spirou. Puis est publiée sous forme d’album en 1964.
Jerry Spring -12- El zopilote
El Zopilote est la quinzième histoire de la série Jerry Spring de Jijé. Elle est publiée pour la première fois du no 1252 au no 1273 du journal Spirou. Puis est publiée sous forme d’album en 1964.
Jerry Spring -10- Le maitre de la sierra
Jerry Spring est engagé par un avocat de New York, Ray Parker, qui représente George Harrison, un milliardaire. Cet homme voudrait, avant de mourir, retrouver son petit-fils, Teddy Harrison, qui a disparu avec ses parents au Mexique lors d’une révolution. Les parents furent tués, mais l’enfant fut enlevé. Aujourd’hui, cet enfant aurait 25 ans et le vieil Harrison voudrait pouvoir lui léguer sa fortune au lieu de tout laisser à son débauché de neveu, Ruthman.
Jerry Spring -9- Fort redstone
Jerry Spring et son ami Pancho arrivent à Fort Juniper, un poste fortifié de l’armée américaine situé sur le territoire des Indiens Loucheux, dans la vallée de la rivière Okanoah, à proximité de la frontière canadienne. Ils sont accueillis par le commandant du fort ainsi que par Mr. Meadows, propriétaire du poste de traite de fourrures local, qui expliquent à Jerry la mission dont ils comptent le charger.
Jerry et Pancho sont témoins de l’attaque d’une diligence par 3 bandits masqués. Ils interviennent et mettent en fuite les assaillants, réussissant même à blesser et à capturer l’un d’eux. Mais l’homme est achevé par ses complices qui craignent apparemment qu’il soit trop bavard. Jerry est intrigué : la diligence ne transportait rien de précieux et une seule passagère, une jeune femme de Boston nommée Jane Ellis. Le seul indice abandonné par les bandits est un morceau de garniture de selle en métal.
Jerry Spring -5- La passe des indiens
Sur le territoire des Indiens Utes, une famille de pionniers est massacrée. Jerry Spring et Pancho découvrent les corps criblés de flèches et préviennent le shérif de la ville voisine. Tous trois se rendent à la réserve indienne pour enquêter, mais le chef Long-Cri leur certifie que les Utes ont définitivement enterré la hache de guerre et que ses guerriers n’ont attaqué aucun visage pâle depuis des années. Le shérif est sceptique, tout comme ses concitoyens qui souhaitent organiser des représailles et parlent de « casser de l’Indien » comme au bon vieux temps, avant la signature des traités et la création de la réserve. Lorsqu’une nouvelle victime est découverte, blessée d’une flèche dans le dos, le shérif propose d’organiser une patrouille pour battre la campagne, à la recherche des assassins.
Jerry Spring -4- Trafic d’armes
Le Mexique en pleine révolution, une fois de plus… Le shérif Pat McCoy, un vieil ami de Jerry Spring (voir l’épisode Golden Creek), lui transmet une lettre d’un grand journal new-yorkais qui lui propose d’écrire un article sur les évènements. Jerry décide d’accepter l’offre, et de profiter de l’occasion pour tenter de retrouver son ami Pancho, dont il n’a plus de nouvelles. Pour renflouer ses finances autant que pour lui permettre de voyager au Mexique sans éveiller la méfiance, il accepte de convoyer dix caisses de machines à coudre jusqu’à la ville de Chihuahua. Là, il devra les remettre à un certain Jose Almanza y Padilla et touchera 1000 dollars pour ce travail.
Semio-2- Ithycène
Fuyant l’injustice et les complots, Sémio et Callygine parviennent jusqu’daux portes de l’ancienne capitale, Ithycène, la ville, autrefois somptueuse, n’est plus que ruines brumeuses noyées par les eaux où règnent désormais les démons. Sémio, le bâtard orphelin de la caste des Vilains, y découvrira alors le secret de sa naissance…
Le 27juillet 1804, à Paris, après discussion en conseil d’état, l’emblème de l’Empire est choisi : « l’Aigle éployée » (après avoir écarté coq, abeille, lion couché). Ainsi Bonaparte prend un impérial envol. Ses fils spirituels, partageant l’idéal d’une France issue de la Révolution, se retrouvent à ses côtés et plus particulièrement dans la Grande Armée. Les fils de l’Aigle, ce sont eux, ils écriront quelques grandes et violentes pages d’une histoire de l’Europe. Tous nos personnages d’origines sociales diverses (noblesse de l’ancien régime, tiers état…) se fondent dans le creuset de la société nouvelle du début du 19e siècle. Ils représentent quelques exemples de ces fils de l’Aigle qui forceront haine et admiration parmi les peuples européens.
Le 27juillet 1804, à Paris, après discussion en conseil d’état, l’emblème de l’Empire est choisi : « l’Aigle éployée » (après avoir écarté coq, abeille, lion couché). Ainsi Bonaparte prend un impérial envol. Ses fils spirituels, partageant l’idéal d’une France issue de la Révolution, se retrouvent à ses côtés et plus particulièrement dans la Grande Armée. Les fils de l’Aigle, ce sont eux, ils écriront quelques grandes et violentes pages d’une histoire de l’Europe. Tous nos personnages d’origines sociales diverses (noblesse de l’ancien régime, tiers état…) se fondent dans le creuset de la société nouvelle du début du 19e siècle. Ils représentent quelques exemples de ces fils de l’Aigle qui forceront haine et admiration parmi les peuples européens.
De l’autre côté du lit
« Je crois que je voudrais… être un homme. Un homme qui part le matin à 8 heures, revient le soir à 8 heures et entre-temps, tchlaaak, black-out ! Un homme à l'ancienne, d'une seule pièce, qui rit en secouant les épaules et se plaint qu'il n'y a plus de bière au frigo. » Monsieur part le matin diriger sa grosse entreprise de matériel de chantier, madame travaille à mi-temps et s'occupe des enfants. Pourquoi comme ci et pas comme ça ? Ariane et Hugo, lassés du traintrain quotidien, ont relevé le défi : ils ont échangé leurs vies pour un an. La compréhension entre les sexes pourra-t-elle naître de la confusion des genres ? Grâce à cette épopée tonique et drôle, découvrez les aventures de ces grands explorateurs des temps modernes qui, pour découvrir des contrées vierges, n'ont besoin que de… passer de l'autre côté du lit !
Dany (le dessinateur) et Greg (le scénariste) ont un beau jour convenu que le mot » rêveur » était injustement bafoué par les gens trop raisonnables qui, bien souvent, rendent le monde si ennuyeux. Alors, Greg et Dany ont décidé de donner au rêve ses lettres de noblesse. Ils l’ont concrétisé. Rêverose, le pays où tout est possible existe désormais. C’est là que vivent Olivier, Colombe, M. Pertinent et tous les autres. Rejoignez-les…
Cocon-le-vilain, géant de son état, et qui normalement dors la plupart du temps, s’est réveillé. Cela ne serait absolument pas grave s’il n’avait pas cette fâcheuse manie de souffler dans une trompette appelée la trompette du silence qui a la fâcheuse manie de figer les personnes, et à force, de les rendre idiots… La première fois, Combe et Olivier Rameau sont épargnés, car ils étaient en train de se baigner, mais les fois suivantes quasiment personne n’en réchappe. Aussi donc notre petite troupe habituelle se rend chez le grand-pas-sage Ebouriffon, qui comme chacun le sait possède toujours d’exactes solutions.
En 1969, il crée, sur scénario de Christian Godard, la série qui va le rendre célèbre, La Jungle en folie. Christian Godard raconte que c’est Mic Delinx qui vient le solliciter, désespéré parce qu’on ne lui donne plus de travail à Pilote et qu’il a charge de famillen 2. Godard, qui apprécie le talent de Mic Delinx, trouve alors un sujet pouvant lui convenir qu’il propose au rédacteur en chef de l’hebdomadaire Pif, qui se montre intéressé et demande un essai sur vingt pages. Le succès est immédiat et les gags de La Jungle en folie sont publiés régulièrement dans Pif jusqu’en 1978 puis de manière occasionnelle jusqu’en 19864,5.
Un classique de la bande dessinée animalière humoristique. Au début des années 70, Christian Godard, le scénariste, et Mic Delinx, le dessinateur, ont créé un monde qu’il est impossible de trouver sur une carte, mais dont les principaux habitants, de Joe le tigre à Gros Rino, nous ressemblent beaucoup.
Un classique de la bande dessinée animalière humoristique. Au début des années 70, Christian Godard, le scénariste, et Mic Delinx, le dessinateur, ont créé un monde qu’il est impossible de trouver sur une carte, mais dont les principaux habitants, de Joe le tigre à Gros Rino, nous ressemblent beaucoup.
Enfin le troisième et dernier volume (très attendu) de la trilogie Marshal… Heaven, la ville frontière, ne connaît plus de répit depuis l’arrivée du nouveau représentant de la loi. Ce dernier a décidé de mener la vie dure aux trafiquants qui l’avaient laissé pour mort à la fin de l’épisode précédent. Mais on ne se débarrasse pas comme ça de Mike S. Blueberry.